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HEBDOMADAIRE DE LUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI 1ge année, numéro 24 Lundi, 14 mars 1988 Mode d'emplois Administration (suite à la page 2) Selon monsieur Leblanc, les ent repreneurs dans les PME d' au- Le directeur affirme que la Commission scolaire est exigeante sur le choix de ses ensei- gnants-es: "Nous regardons si la personne a les aptitudes requises pour l' ense ignement • Nous nous attardons par exemple à la qualité de son français, à ses valeurs en tant qu'éducateur ou éducatrice, à ses connaissances sur l'apprentis- sage et l'évaluation." En sciences comptables, il ex Lste un besoin concret de per- sonnel qualifié. "Beaucoup de di- plômés viennent travailler dans les bureaux de vérification comp- table, d'une part parce que les stages dans un cabinet de compta- bles sont obligatoires, mais aussi à caUBe de la diversité du travail et des hauts standards à respec- ter. C'est un véritable milieu de formation. Mais il ya ensuite un fort taux de roulement, au bénéfi- ce des entreprises privées. La demande est forte: on veut des spéc Lal istes quaI i fiés. " Monsieur Lelièvre admet que, présentement, beaucoup de candi- dats-es font application pour tra- vailler dans les écoles. Que faut-il faire pour obtenir un emploi? "La meilleure façon, c'est d'entrer en contact avec les directeurs d'école, se faire con- naître, démontrer son intérêt, son dynamisme. Il faut commencer par faire de la suppléance, lors de congés temporaires du personnel enseignant. Lorsque des postes réguliers sont ouverts, on privi- lég ie ceux et celles qu'on can- nait. ]' inv ite aussi les candi- dats-es bien se préparer pour l'entrevt:.Je." 1 1970. C'est donc par blocs qu'ils vont quitter leur emploi, vers l'an 2000 à 2005." Les commissions scolaires qui couvrent le terr i toire s'étendant de Rivière-du-Loup aux Iles-de-la- Madeleine ont d'ailleurs commandé U1e étude qui analysera les be- soins en personnel enseignant dans la région. Cette étude sera dépo- sée d'ici le 30 jui ' prochain. NlPlllll U M. Camille Leblanc, comptable 'chez Samson Bélair, aJ bureau de Il nrMU\VJIi!Ii1C+l u rm e Rimouski, voit de très bonnes IrIN \7L!iLNIY 1 illlEi perspectives d'emploi pour les di- plômés-es universitaires en scien- ces comptables et en gestion in- formatisée. "Dans un contexte économique de croissance, comme actuellement, il Y a de la place pour les diplÔmés-es. Par contre, une récession aurait un impact né- qat if." Éducation Dans le domaine de l'éducation, le directeur de la Commission sco- laire la Neigette, M. Jean-Fran- çois Lelièvre, se montre optimis- te. "Il faudra d'ici deux ans commencer à renouveler notre per- sonne1 ense ignant La diminut ion de la clientèle étudiante semble terminée: nous prévoyons une sta- bilité. Par contre, la moyenne d'âge du personnel enseignant aug- mente. Il faudra ouvrir des pos- tes dès les prochaines années, pour remplacer ceux et celles qui quittent l'enseignement." M. Lelièvre prévoit même "un manque de main-d'oeuvre majeur" en éducation, tant au niveau primaire que secondaire, d'ici 10 à 15 ans. "Beaucoup d'enseignants actuels ont été embauchés entre 1965 et Néanmoins, nous avons demandé à quelques administrateurs, bien placés dans différents secteurs sociaux et économiques, de regar- der dans leur boule de cristal et de nous dévoiler les tendances qu'ils observent, dans leur domai- ne respectif. Une façon comme une autre de sonder le terrain du mon- de du travail. Quest ion di ff icile à répondre! Cela dépend du contexte économi- que, du domaine de spécialisation, des attentes et des dynamismes individuels, etc. Mystère! Les possibilités d'emplois sont-elles bonnes pour les diplô- més-es universitaires dans l'Est- du-Québec, pour les trois prochai- nes années?

Administration NlPlllll U u

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HEBDOMADAIRE DE LUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI

1ge année, numéro 24 Lundi, 14 mars 1988

Mode d'emplois

Administration

(suite à la page 2)

Selon monsieur Leblanc, lesent repreneurs dans les PME d ' au-

Le directeur affirme que laCommission scolaire est exigeantesur le choix de ses ensei­gnants-es: "Nous regardons si lapersonne a les aptitudes requisespour l' ense ignement • Nous nousattardons par exemple à la qualitéde son français, à ses valeurs entant qu'éducateur ou éducatrice, àses connaissances sur l'apprentis­sage et l'évaluation."

En sciences comptables, ilexLste un besoin concret de per­sonnel qualifié. "Beaucoup de di­plômés viennent travailler dansles bureaux de vérification comp­table, d'une part parce que lesstages dans un cabinet de compta­bles sont obligatoires, mais aussià caUBe de la diversité du travailet des hauts standards à respec­ter. C'est un véritable milieu deformation. Mais il y a ensuite unfort taux de roulement, au bénéfi­ce des entreprises privées. Lademande est forte: on veut desspéc Lal istes quaI i fiés. "

Monsieur Lelièvre admet que,présentement, beaucoup de candi­dats-es font application pour tra­vailler dans les écoles. Quefaut-il faire pour obtenir unemploi? "La meilleure façon,c'est d'entrer en contact avec lesdirecteurs d'école, se faire con­naître, démontrer son intérêt, sondynamisme. Il faut commencer parfaire de la suppléance, lors decongés temporaires du personnelenseignant. Lorsque des postesréguliers sont ouverts, on privi­lég ie ceux et celles qu'on can­nait. ]' inv ite aussi les candi­dats-es là bien se préparer pourl'entrevt:.Je."

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1970. C'est donc par blocs qu'ilsvont quitter leur emploi, versl'an 2000 à 2005."

Les commissions scolaires quicouvrent le terr i toire s'étendantde Rivière-du-Loup aux Iles-de-la­Madeleine ont d'ailleurs commandéU1e étude qui analysera les be­soins en personnel enseignant dansla région. Cette étude sera dépo­sée d'ici le 30 jui ' prochain.

NlPlllll U M. Camille Leblanc, comptable'chez Samson Bélair, aJ bureau de

IlnrMU\VJIi!Ii1C+l urme Rimouski, voit de très bonnesIrIN \7L!iLNIY 1 illlEi perspectives d'emploi pour les di-

plômés-es universitaires en scien­ces comptables et en gestion in­formatisée. "Dans un contexteéconomique de croissance, commeactuellement, il Y a de la placepour les diplÔmés-es. Par contre,une récession aurait un impact né­qat if."

Éducation

Dans le domaine de l'éducation,le directeur de la Commission sco­laire la Neigette, M. Jean-Fran­çois Lelièvre, se montre optimis­te. "Il faudra d'ici deux anscommencer à renouveler notre per­sonne1 enseignant • La diminut ionde la clientèle étudiante sembleterminée: nous prévoyons une sta­bilité. Par contre, la moyenned'âge du personnel enseignant aug­mente. Il faudra ouvrir des pos­tes dès les prochaines années,pour remplacer ceux et celles quiquittent l'enseignement."

M. Lelièvre prévoit même "unmanque de main-d'oeuvre majeur" enéducation, tant au niveau primaireque secondaire, d'ici 10 à 15 ans."Beaucoup d'enseignants actuelsont été embauchés entre 1965 et

Néanmoins, nous avons demandé àquelques administrateurs, bienplacés dans différents secteurssociaux et économiques, de regar­der dans leur boule de cristal etde nous dévoiler les tendancesqu'ils observent, dans leur domai­ne respectif. Une façon comme uneautre de sonder le terrain du mon­de du travail.

Quest ion diff icile à répondre!Cela dépend du contexte économi­que, du domaine de spécialisation,des attentes et des dynamismesindividuels, etc. Mystère!

Les possibilités d'emploissont-elles bonnes pour les diplô­més-es universitaires dans l'Est­du-Québec, pour les trois prochai­nes années?

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(suite de la page 1)

jourd'hui sentent qu'ils sontobligés d'embaucher des diplômésuniversitaires pour être à la hau­teur. "Nous vivons dans un mondede compétition, de performance, despécialisation, de regroupementsd'entreprises. Le domaine des af­faires est plus complexe qu'autre­fois. Les entreprises cherchentde bons gestionnaires, avec unebonne formation universitaire etde l'expérience dans le travail."

Un autre champ qui prend del'envergure depuis quelques annéesdans le domaine des affaires,c'est la gestion informatisée."Il y a des ouvertures pour ceuxet celles qui ont lI1e bonne con­naissance dans la gestion informa-tisée. Les entreprises se sontéquipées. De plus en plus de pro­fessionnels ont un ordinateur surleur bureau et chacun est confron­té à des applications constantesde l'informatique dans son tra­vail. Les comptables ont comprisla situation: plusieurs ont déci­dé de suivre du perfectionnementdans ce domaine."

Santé

Mentionnons d'abord que l' UQARoffre un programme de baccalauréaten sciences de la santé (nursing).Beaucoup d'infirmières et d'infir­miers déjà employés par le Centrehospitalier régional de Rimouski,suivent des cours de perfectionne­ment li l'UQAR. A la Direction des·r essour ces humaines de ce Centrehospitalier, on affirme qu'on em­bauche surtout des infirmiers etinfirmières occasionnels, ces an­nées-ci: 43 en 1985-1986, 17 l'andernier, près d'une quarantaine en1987-1988. On a ouvert aussiquelques postes réguliers, la plu­part li temps partiel.

Diplôme d'études collégiales entechniques infirmières ou bacca­lauréat en sciences de la santé?"Pour ce qui est des postes d' in­firmières et d'infirmiers, nousn'avons pas de préférence entre unDEC et un bacc , li l'embauche",affirme une représentante.

Pour ce qui est de la pénuried'infirmiers et d'infirmières donton a entendu parler au Québec,

Mode d'emplois

elle serait surtout vécue dans lesgrands centres. A Rimouski, leroulement d'infirmiers et d'infir­mières est régulier. "On a lemonde qu' il faut. Mais il estpossible d'appliquer, pour êtresur la liste de rappel."

Au Centre hospitalier rimous­kois, les secteurs de spécialisa­tion en pénurie sont la physiothé­rapie, l'ergothérapie ainsi quel'audiologie et l'orthophonie.

Sciences religieuses

Monsieur Jean-Guy Nadeau estvicaire général pour le Diocèse ·deRimouski, qui s'étend de Cacouna àCap-Chat, y compris les deux Val­lées (Témiscouata et Matapédia).Il évalue ici les besoins "ap­proximatifs" en persoonel dans ledomaine de la pastorale.

"D'abord, dans le secteur de lapastorale paroissiale et de lapastorale scolaire au primaire,nous prévoyons l'ouverture de 20 à30 postes d'ici cinq ans, surtout 'du côté scolaire. La Loi 107, quis'en vient, permettra de mieuxdévelopper ce secteur. Ce sontles paroisses qui embaucheront lepersonnel; malheureusement, ellesne peuvent se permettre de donnerde gros salaires."

P~ur ce qui est de la pastoralescolaire au secondaire, où plusd'une vingtaine de personnes sontemployées par la Commission sco­laire actuellement, il y aura sim­plement un taux de roulement nor­mal. Même chose pour les postesd'enseignement en sciences reli­gieuses. Quant à la pastoralehospitalière, dans les foyers depersonnes âgées, monsieur Nadeauprévoit l'ouverture de deux postesd'ici cinq ans.

"Le nouveau certificat .en pas­torale que l '~AR prévoit ' offrirnous aidera li préparer les reli­gieux et les laics aux questionsde pastorale."

Le vicaire général signaleaussi le départ prévisible d'unevingtaine de prêtres du diocèse

dans les prochaines années, enraison du vieillissement. Un pro­blème auquel il faudra trouver dessolutions de remplacement.

Lettres

Comme dans les sciences humai­nes en général, il est difficile,dans le domaine des lettres, detrouver des secteurs d'embauchebien ident ifLés , Nous avons de­mandé le point de vue d'une li­braire' de Rimouski, madame HélèneChassé.

"Un diplÔme en lettres offreune formation générale et une bon­ne connaissance de la langue. Situ as f ait des let tres , si tu espassionné et polyvalent, il: y a del'emploi. Souvent, ce sont desemplois de contractuels, dans ledomaine des communications OlJ dela rédaction, par exemple. Cer­tains doivent aller vers Québec· etMontréal. Par contre, du côté del'enseignement, il y a peu dechances."

Les diplÔmés-es en lettres aug­mentent leurs chances d'emploi,estime madame Chassé, s'ils ontune compétence en gestion et Lneexpérience des relations avec lepublic.

Et dans les librairies? "J'aimoi-même déjà embauché ~uelques

diplômés ou étudiants en lettres.Je pense que travailler dans unelibrairie' représente un emploipassionnant. Mais les salairessont peu invitants pour les diplÔ­més. Les libraires ont une faiblemarge de manoeuvre et les bas sa­lairês causent un roulement depersonnel élevé."

Sciences pureset océanographie

Conseiller en personnel àl' Institut Maurice-Lamontag~e, deMont-Joli, monsieur Gilles Laçhan­ce voit des ouvertures intéress~n~~ . ... .

tes chez lui pour les étudiants-eslJliversitaires qui se destinent lila recherche.

(suite à la page 3) __0

(suite de la page 2)

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Mode d'emplois

Au Service de plocernent de l'UQAR

Petits et grands emplois

"D'ici trois fW1S, dit-il, nousprévoyons combler une vingtaine depostes dans le domaine de la re­cherche. Il nous faudra donc deschercheurs possédant un doctorat,avec des spécialisations principa­lement en biologie, mais aussi enphysique et en chimie. Nous au­rons également besoin de quelquestechniciens, avec un DEC, et dequelques biologistes, avec un bac­calauréat."

Il poursuit: "Nous voulonsaussi mettre sur pied une divisionde l'informatique. Une dizaine depostes pourraient être ouverts,considérant le haut taux de roule­ment dans le domaine de l'informa­tique. Les diplÔmés-es du bacca-lauréat en mathématiques-informa­tique de l' ~AR ont, en partant,une formation souhaitable pour legenre de travail qJi devra êtrefait par cet te nouvelle divis ion,so i t la gest ion de' données."

Monsieur Lachance prévient tou­tefois que les postes qui ouvri­ront à l'Institut fédéral doiventd'abord être offerts aux employésactuels de Pêches et Océans Cana­da. Dans un deux ième temps,l' Inst itut consul te le Répertoired'emplois de la Commission de lafonction publique, un organismefédéral qui a son bureau ~ Québec.Enfin, au besoin, on procède à unappel public dans les journaux.

Que faut-il faire pour avoir leplus de chances possibles de tra­vailler un jour à l' IML? "S' ins­crire le plus tôt possible ~ laCommission de la fonction publi­que, autant ceux qui ont un diplÔ­me que ceux qui sont sur le pointde finir leurs études. Des formu­laires sont disponibles dans lesbureaux de tous les ministèresfédéraux."

Sciences humaines

Géographie, histoire, sociolo­gie, développement régional:quelles sont les possibilitésd'emplois dans ces domaines deformation? Le directeur du Con­seil régional de développement,monsieur Robert Gagné, croit queles organismes régionaux, en nom-

bre croissant, peuvent susciterdes ouvertures pour les diplÔ­més-es dans ces domaines.

"Je pense ici aux commissariatsindustriels, aux Conseils de pro­motion économique, aux SociétésCLE pour le développement des col­lectivités, aux Conseils régionaux(loisirs, culture, environnement),aux MRC, etc. Tous ces organismesfont appel à des employés-es quiont une bonne connaissance del'entité régionale et des problé­matiques de développement. Ilsont besoin de personnel ayant deshabiletés à analyser une situa­t ion, à animer des groupes, et àcomprendre les interventions qu'il

"Administrateur, commis-compta­ble, gérant, inspecteur-vérifica­teur, spécialiste en informatique,agent de market ing" : ce sont làquelques-uns des principaux em­plois à temps complet qui sontofferts aux étudiants-es finis­sants , par l' ent remise du Serv icede placement de l' UQAQ, au local[-105.

Cél ine Bédard, qui s'occupe dece 5erv ice , constate tl-Je les em­plois reliés au domaine de l'admi­nistration et de la gestion infor­matisée sont beaucoup plus nom­breux que dans les autres champsde format ion.

Par contre, pour -ce qui est desemplois d'été et des emplois occa­sionnels, la variété des offresest plus considérable. De moni­teur dans une colonie de vacancesà traducteur, des postes de rem­placement d'employés réguliers du­rant un congé jusqu'au travailsaisonnier en milieu forestier ouagricole, il s'agit de choisirselon ses goûts et aptitudes.

Les gouvernements du Québec etdu Canada ont mis en branle diversprogrammes d'emplois pour les étu­diants-es. Québec s'occupe notam­ment de Placement-Québec (placerdes étudiants-es dans les entre-

faut mener aux différents paliersgouvernementaux. Il est importantaussi d'être familier avec lesdonnées économiques. Le d ipLômeuniversitaire est devenu une exi­gence de base pour de tels em­plo i.s , "

Monsieur Gagné présume enfinque la Politique sur le développe­ment régional, que veut déposer leqouvernement du Québec au coursdes prochains mois, devrait fairenaître des possibilités nouvellesd'emplois pour ceux et celles quiont une bonne connaissance desquestions régionales.

pr Laes ) et tchanges interprov in­ciaux (possibilité d'un travailrémurléré en Ontario ou dans cer­taines provinces de l'Ouest). Ot­tawa est pour sa part responsabledu Programme dt emploi axé sur lacarrIère et de Agents de placementpour l'été.

LE~S services publics ne sontpas restés inactifs: Via Rail,Hydro-Québec ou les hôp i.taux of­frent des possibilités d'emploispour l'été. Hydro-Québec a d'ail­leurs un programme spécial et va­rié de stages pour les universi­t aires •

Les banques, les magasins dt a­limentation, les firmes privées,les entreprises agricoles et fo­restières sollicitent égalementdes têtes et des bras dt étu­diants-es pour la période estiva­le.

Renseignez-vous auprès de Céli­ne Bédard, à 724-1533.

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Photocopieurs Revue Urgences

Les sept photocopieurs instal­lés à différents endroits del'Universi té ont été changés cesdernières semaines, par des modè­les plus récents et de qualitésupérieure. Cette nouvelle a étéconfirmée par le directeur du Ser­vice des terrains et bâtiments del'UQAR, M. Jean-Marie Duret.

La compagnie les ÉquipementsDionne inc., dépositaire des appa­reils de marque Savin, continued'offrir le service.

Outre le photocopieur de l' im­primerie, le plus performant desphotocopieurs est situé au 0-000,soit la première porte à gauche dumagasin. Les autres photocopieurssont installés à la bibliothèque(2), au C-IOO, au C-300, au 0-100et au E-200.

Monsieur Duret invite les usa­gers à utiliser le plus possibleles services de l'imprimerie del'Université pour les travaux qui

[En bref _

le C.l.S.C. de l'Estuaire estprésentement en période de recru­tement de "fallilles de répit".Actuellement, les parents naturels~i ont un enfant ou lI"l adultehandicapé vivent fréquemment unépuisement dO à la responsabilitéquotidienne qu'ils doivent assu·mer. Ces parents ont peu de pos­sibilités de se libérer pour que1­ques heures ou quelques jours; ilsont besoin de périodes de repospour récupérer leurs énergies,tant physique qu'émotionnelle. leservice de répit peut venir enaide aux parents et permettre éga­lement à la personne handicapéed'avoir d'autres con~acts humains,de développer une meilleure auto­nomie et de faire de nouveauxapprentissages. Enfin, la familled'accueil peut pour de brèves pé­riodes, enrichir son vécu humainet avoir la satisfaction de rendreservice à quelqu'un. lkle alloca­tion est versée li la famille derépit. Toute personne désireusede devenir "famille de répit" estinvitée à assister à une soiréed'information qui aura lieu le

ont le moindremEnt d'envergure, entermes de quantité. "A l'imprime­rie, le délai est de un à troisjours au maximum, en dehors despériodes de pointe, soit septembreet janvier, là où la demande pourles notes de cours est forte.Avec une certaine planification,les usagers pourraient utiliserplus régulièrement le service del'imprimerie. Les budgets desunités administratives s'en res­sentiraient de façon avantageu­se."

Selon monsieur Duret, une pho­tocopie faite par l'imprimerie re­vient à environ 3 cents l'unité.Elle coOtera environ 5 cents surle photocopieur rapide (au 0-000)et environ 9 cents sur les autresphotocopieurs.

Soyons sensibles à cette écono­mie potentielle. Adressez-vous aucomptoir du magasin, au sous-solde l'aile D, pour plus de dé­tails.

lundi 14 mars à 19 h au C.l.S.C.de l'Estuaire, 165, rue des Gou­verneurs, Rimouski. Pour plus derenseignements, communiquez au nu-méro 724-7204.

Un programme de recherche axésur l'interaction atmosphère-océana été établi à la Dalhousie Uni­versity (Nouvelie-Écosse) et rece­vra 2 millions $ en cinq ans duCRSNG et du Service de l' environ­nement atmosphérique.

l'Association des études cana­diennes organise un congrès, du 31mai au 2 juin à Windsor (Ontario),sur le thème de "la pratique desarts au Canada" • Pour plus derenseignements: à Montréal, 282­7784.

Au bureau de l' UQAR à Lévis ,une nouvelle secrétaire, Mme Caro­le Sirois, remplace Mme 'LY"i1eRuest, présentement en congé dematernité.

La revue Urgences vient defaire paraître son 1ge numéro, surle thème suivant: "Le tour dutexte". Préparé par deux profes­seurs de l' UQAR (Renald Bérubé etAndré Gervais), ce numéro présenteun petit glossaire de plus de 70termes qui contiennent la racine"texte": tels que intertexte, qé­notexte, métatextuel, textanalyseou contexture. Une quarantained'auteurs-es sont cités. La pu­blication comprend aussi destextes de Bernard Andrès, GhislainBourque, Vianney Gallant, MichelGay, André Vanasse et Jean-PierreVidal, ains i CJJe le discours deréception à l'Académie canadienne­française de Madeleine Gagnon. Ony retrouve aussi CJ.,Jelques criti­ques de livres récents. En venteli 6 $, dans les librairies.

PastoraleUne Invi t at ion spéciale : l'é­

quipe de la Pastorale invite lapopulat ion étudiante (maximum 20personnes) à venir assister commeconvives à la Dernière Scène. Cerepas mémorial aura lieu le jeudi24 mars, de 18 h li 21 h , au Salondu personnel.

Si vous avez le goOt d' y pren­dre part, passez au E-106 pour ylaisser votre nom. Vous avezjusqu'au 21 mars pour vous inscri­re. L~entrée est gratuite.

On vous attend.

Fraternellement vôtre,L'équipe de la PastoraleOOAR

Semainede la déficience intellectuelle

L~ Comit~ d~~ eomptabt~ ag~~~ du B~-$t- LauA~nt-G~p~i~

Û Côt~-No~d a Ilem..w, .t~ 24 6é.vJUeJl deJlni~ , u.n~ bOUMe. de.500 $ à u.n~ itudiant.e. de. l'UQAR qui ~nv~age. de. de.v~nJJr..

eomptabltL a.g~é,~e.. SM.,fa photo, no~ voy OM fu bOUM-ièJl~,

Mme. PalLtintL S~O~, ~n eompagnie. de. M. RW Bu.a.nge.Jt (àgauche,), c'omptable. ag~é,é. a Mctta.ntL et: p~~-id~nt dû Comdi~é,g-iorza..t d~ c'ompta.b.t~ ag~~~, e.,t M. G-iU~ Che.vaiieJl,pJt~ide,nt. de. l' O~~~ d~ eomptabl~ a9~~û dU Qué.6e.c'. M.ChtLvaiieJl Ua..it de. pa-6~ag~ a R-imou.,6u à c,u.te, oeca.si.on.,poUJt ~~ dtL ta pllo6~~-ion dtL c'omptab.f.~ ;ag~é,~ tLt poUJt~-igyta1.~ qUtL t~ po~~ibilUu d' tLmp.ioi soni: impoJLtant~

daM ce domaintL.

'La Semaine de la déficienceintellectuelle se déroule du 14au 21 mars 1988, sous le thèmesuivant: "Je prends ma place".

Deux activités se dérouleronten particulier à l'Atrium del'Université du Québec à Rimouski.D'abord, les lundi 14 et mardi 15mars, de Il h à 14 h: il y auraun kiosque de renseignements etune exposition de travaux d'artsréalisés par des jeunes de laVilla de l'Essor vivant avec unedéficience intellectuelle.

Le jeudi 17 mars, de 12 h à13 h, on pourra assister à unmidi-impro en rapport avec la Se­maine de la déficience intellec­tuelle. La Ligue d' improv isat ionétudiante de Rimouski participeraà cette activité.

Les étudiants-es de premièreannée du Module d'adaptation sco­laire et sociale de l'UQAR organi­sent ces activités et invitenttoute la populat ion à y partici­per .

r---=-sConté rences-----:.__

Le Dr Raymond van Coillie,d'Env ironnement Canada, sera à lasalle de conférence du Laboratoireoceanologique de Rimouski le mer­credi 16 mars, à 15 h 15, pourprésenter une conférence intitu­lée: "~valuation écotoxicologiquereliée aux dragages en lieu ma­rin". L'activité est organiséepar le Laboratoire océanologiquede Rimouski. Bienvenue à tous.

•M. Michel Harvey, étudiant au

doctorat 'i en océanographi.e del' UQJ!\R, '!tpr és ent er a , le jeudi 17mars à 15 h 15, une conférence auLabor at.o âr e océanologique de Ri­mouski, sur le thème suivant:"Étude de la variabilité spatio­temporelle de l'allocation d'éner­gie chez Macoma balthica dansl'estuaire du Saint-Laurent ",. 11s'agit de la présentation de sonprojet de ..~hèse de doctorat •

•Invité par le Module des scien­

ces religieuses de l'UQAR, mon­sieur Richard Guimond, professeurà l'Ifilstitut de pastorale et col­laborateur de l'émission "Messesur le monde" à Radio-Canada, don­nait une conférence à Rimouski,jeudi. dernier, sur "la pratiquepastorale depuis Vatican II: bi­lan et perspectives".

Les, tolentsU:Q~AR"O'Keefe1988

C'est à voir: l'événementspectacle de l'année 1988.

Le mercredi 16 mars 1988 àl' Atrium ~ 21 h 45. Venez voirnos t al.ente de chez nous! (Musi­que ,-chansons , imitations ••• ).

Placem~nt-Québec

Un représentant de Placement­Québec sera à votre disposition, àJ'T:Œrrum de l'UQAR, le jeudi 17mars, à compter de 10 h, pour ren­se.iqnements et inscr ipt ion.

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UQAR: femmes, travail et études

Quelques distorsions

La répartition des femmes et des hommes dans les catégories d'emploi àl'UQAR (secteur administratif • 1987)

A premi~re vue, la répartitiondes hommes et des femmes à l'UQAR,tant dans l'emploi q.Je dans lesétudes, ne semble pas si dramati­que! Les femmes sont pré~entes

pour 52,9~ des emplois dans lepersonnel administratif, 24,3~

chez les professeurs-es et 57~

chez les étudiants-es à temps com­plet.

Cependant, une observation plusattentive des statistiques indiquedes distorsions importantes selonles catégor ies d'emplois ou selonle domaine d'études.

Des employées de l'UQAR qui ontorganisé une activité de discus­sion dans le cadre de la Journéedes femmes, le 8 mars dernier, ontdévoilé des données sur la placedes femmes à l'Université. Lesstatistiques datent de 1987.

Proportions

phie. Leur présence est importan­te (de 67 à 80~) en lettres, enéducation et en sciences religieu­ses.

Ces données font ressortirquelques commentaires. MoniqueDumais, professeure à l'UQAR, ex­plique: "On se rend compte qu'ily a encore beaucoup de travail àfaire pour avoir un équilibre.Dans le monde du travail, les hom­mes sont encouragés plus que lesfemmes à viser les échelons supé­rieurs. Les femmes ne pensent pastoujours en fonction d'une carri~­

re; les contraintes familialesrendent la situation difficile.Et dans les études universitaires,

il existe encore des ghettos: çaprend encore beaucoup d'audacechez une femme pour se lancer dansun secteur d'hommes".

Acc~s à l'égalité

Le comité d'accès à l'égalitéde l'UQAR, qui regroupe des repré­sentants-es des syndicats et del'employeur, a préparé une demandede subvention au minist~re del'tducation supérieure et de laScience, subvention qui permet­trait d'analyser plus en détailsla situat ion à l' UQAR et de faci­liter pour les femmes l'accès auxemplois.

Ainsi, seulement 7,7~ des pos­tes de cadres administratifs etIl,5~ des postes de métiers etservices sont occupés par des fem­mes à l' 00AR , alors que dans lepersonnel de bureau, 92,9~ despostes sont comblés par des fem­mes.

Chez les professeurs-es régu­liers, les départements de scien­ces de l'éducation et de biologie­sciences de la santé ont un per­sonnel féminin à plus de 40~. Parcontre, les départements d' écono­mie et de gestion, de sciencesreligieuses, d'océanographie et demaths-informatique sont "mâles" àplus de 85~.

Pour les étudiants-es à tempscomplet, la situation varie énor­mément : par exemple, on compteBl~ d'étudiantes en sciences del ' éducat ion , 45~ en économie etgestion, et un peu plus de 30~ enmaths-informatique et en océano­graphie.

Aux études de mattrise et dedoctorat, les femmes représentent4490 des admissions. Cette fois,elles sont sous-représentées (de22 à 29~) dans des domaines commel'économie et la gestion, le déve­loppement régional et l'océanogra-

Catégorie d'emploi Hommes Femmes Total

Nb % Nb 0/0 Nb %

Cadres 24 92.3 2 7.7 26 100Professionnels 20 71.4 8 28.6 28 100Métiers-Services 23 88.5 3 11.5 26 100

Bureau 5 7.1 65 92.9 70 100

Technique 10 41.7 14 58.3 24 100

Total 82 47.1 92 52.9 174 100

Source: Fichier du Service du personnel -UQAR.

Répartition des professeurs-es par départementet selon le sexe

Hommes Femmes Total

Nb % Nb % Nb

Econ. et Gestion 31 86.1 5 13.9 36

Education 21 58.3 15 41.7 36

Sc. Humaines 17 77.3 5 22.7 22

Sc. Religieuses 8 88.9 i 11.1 9

Math. -Informatique 8 100.0 . . 8

Océanographie 16 88.9 2 11.1 18

Lettres 5 71.4 2 28.6 7

Bio. -se. santé 9 56.2 7 43.8 16

TarAL 115 75.7 37 24.3 152

Note: Ce tableau tient compte des professeurs-es réguliers-ères el des chercheurs-es sous octroi en place au 31mai 1987.

(suite à la page 7)

7

LES PRIX HYUNDAISONT DÉJÀ RÉDUITS

AU PWS BAS,MAIS NOTRE GARANTIE 88

S'ÉTENDAU MAXIMUM.

[En bref _Deux dip Lômés de l 'UQAR en

océanographie, Bernard Tessier etAndré Reid, font partie d'une nou~

velle entreprise en génie maritimeimplantée récemment à Rimouski,Genmar Masa inc. L'entreprise

s'intéresse à tout ce qui touchela conception et la surveillancedes travaux en génie maritime,l'hydrographie, l'environnementmarin , la modélisation mathémati­que assistée par ordinateur, etc.

Le ministère de l'Enseignementsupérieur et de la Science a auto-risé le Cégep de Rimouski à dis­penser dès l'an prochain, dans lecadre de l'éducation des adultes,les cours conduisant aux "Attesta­tions d'études collégiales" dansles programmes de scaphandrier etde scaphandr ier inspecteur. Unecorde de plus al violon de lavocation maritime de la régionrimCluskoise!

•(suite de la page 6)

Quelques distorsions

La répartition des hommes et des femmes

inscrits-es dans les différents programmes

à l'UQAR à temps complet

HIVER 87

Comparaisonde la garantie Hyundai 1988 avec la conwrrenœ

Total Total

Hommes Femmes

Economieet Gestion 284 55% 230 45%

Education 86 19% 359 81%

Sc. Humaines 76 61% 48 39%

Sc. Religieuses 6 29% 15 71%

Math-Informatique 24 69% Il 31%

Océanographie 45 68% 21 32%

Lettres 10 28% 26 72%

Bio-Sc. santé ~ 45% ...&l ~

TOTAL 596 790 1386

Pourcen tage 43% 57% 100%

Source: Fichier du régistrairc

Nb %Nb %

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Corrosion 1 an 1an:NID 1an

de surtaœ (20000 km) (20000 km) (20000 km)

Perforation par 5 ans 6 ans 6 ans 5 ansla rouille (sans limite) J. (l60000 km) (160000 km) (sans limite)

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8

Directeur de la BlbllothèqueM. Gaston Dumont a été nommé au

poste de directeur de la Biblio­thèque de l' UQAR. Agé de 42 ans,monsieur Dumont possède un bacca­lauréat ès arts (histoire) del'Université Laval et un baccalau­réat en bibliothéconomie, del'Université d'Ottawa.

De 1984 à 1987, monsieur Dumontétait directeur par intérim duService de l'informatique del'UQAR. Auparavant, il a travail­lé à la Bibliothèque , de 1970 jus­qu'en 1984, d'abord comme catalo­gueur-classificateur puis, pendanthuit ans, comme directeur des ser­vices techniques. Il siège égale­ment à différents comités internesde l'Université.

Mentionnons d'autre part queGaston Dumont est membre fondateurdu Club d'astronomie de l'UQAR,dont il a été président pendantquatre ans. Il occupe aussi cetteannée le poste de président duClub Richelieu de Pointe-au-Père.

Projets

Comme nouveau directeur de laBibliothèque, monsieur Dumont veut

[En bret. -----I

Le Centre de formation à lacoopération interculturelle duQuébec offrira prochainement, auCégep de Rimouski, deux cours deson programme de formation, soit:tducation au développement (débu­tant le 25 mars) et Introduction àla coopération internationale (dé­butant le 9 avr il ) • Ces cours de45 heures chacun (trois fins desemaine intensives) visent à fami­liariser les participants-es audéveloppement des pays non occi­dentaux et à donner une vue d' en­semble du contexte de la coopéra­tion internat Lonal e , Les profes­seurs invités sont ~e Suzie Le­blanc, diplômée de l'Université ·'ëf'Ot'tawa, et M. Bruno Jean, pro-

mettre l'accent sur certains dos­siers particuliers:

aller chercher du financementspécial pour l'achat de docu-

fesseur en dévelâppement rég ionalà l'UQAR. Pour inscription (35 $,avant le 20 mars) ou renseigne-ments: 723-7333.

•Le vice-recteur à l'administra­

tion et aux finances, M. BertrandMaheux, a manifesté son intentionde solliciter un renouvellement demandat à ce poste . Son premiermandat se terminera en octobreprochain. En vertu de la procédu­re interne, un camité a donc étémis sur pied pour définir "la for­me et les modalités de consulta­tion à faire sur l'opportunitéd'ouvrir le concours" pour le pos­te de vice-recteur à l'administra­tion et aux finances. Le comitéest composé de M. Jean Lebel (ad­ministrateur délégué), M. JeanCharron (ét udiant ) , M. Florent

mentat ion, af in de contrerl'effet négatif des coupuressérieuses que vivent les bi­bliothèques universitaires;

harmoniser l'informatisationcomplète de toutes les fonc­tions de la Bibliothèque;

offrir un support technique auxdifférents centres de documen­tation mis sur pied par lesgroupes de recherche et établisà l'intérieur de l'UQAR;

intégrer le personnel des deuxnouveaux services qui serontreliés à la Bibl iothèque: di­dacthèque et audiovidéothèque;

procéder à l' évaluat ion descollections, particulièrementde périodiques, qui prennent70% du budget d'acquisition;

enfin, élaborer une politiqued'élagage des documents nonutilisés depuis plusieurs an­nées, un problème qui commenceà être cr i tique après 19 ansd'existence de la collection.

Morin (représentant socio-économi­que), Mme France Ruest (professeu­re), M. Jean-Marie Duret (direc­teur de serv ice) et M. BertrandLepage (secrétaire). Le comitédoit déposer son rapport avant le15 avril.

•La Memorial University (Terre­

Neuve) a été dotée d'une nouvellechaire de recherche industrielled' océanologie de la pêche. Ellejouira de subvent ions du Conseilde recherches en sciences naturel­les et en génie, de Fishery Pro­ducts International Ltd et deNational Sea Products Ltd, quiatteindront près de 1,2 million $en cinq ans.

UQAR-informationhebdomadaire de l'Université du Québec à Rimouski

300, av. des Urs ulines , Rimouski, G5L 3Al

Publié par le Service de l'information - Local D-402.5 - Tél.: 724-1426

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Rédaction: Mario Bélanger Direction: Jean-Pierre Forget Secrétariat: Monique April Montage: Richard Fournier Impression: Service de l'imprimerie