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PEOPLE Mit Miss Crémant

CheveuxLa chasse aux poux

b e a u t é

Aïe, ça tiraille !Lactibiane Référence

La référence des microbiotiques.

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bougerFaire du sport quand on est diabétique

soCiétéLes soignants de demain au cœur du CHL

Lactibianne AP 202x267 mai16.indd 2 03/05/2016 17:39

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éditoRedémarrer du bon piedLes premières semaines de la rentrée, c’est la deuxième période de l’année pour les bonnes résolutions.

Pour les écoliers et étudiants, même combat: les cours sont mieux tenus, les titres correctement soulignés. Et nous tous, après les excès (si, si) des vacances, nous faisons le serment ou le voeu de faire attention à notre assiette et de continuer à bouger. En entreprise d’ailleurs, les initiatives contre la sédentarité se multiplient et c’est très bien.

Quant à nous, notre engagement est de vous apporter chaque mois des lectures à la fois distrayantes et instructives. De bons exemples, pour commencer: après Yannick Lieners le mois dernier, notre champion de triathlon, c’est Sarah Ferrari, Miss Crémant 2016 qui - arborant fièrement son débardeur Letz be healthy, nous parle de ses secrets pour être à la fois ravissante et pétillante de santé.

Evidemment vous trouverez dans ce numéro vos rubriques préférées: beauté, bouger, nutrition. De la peau aux cheveux, quelle que soit votre santé personnelle, nous voulons que vous trouviez dans votre magazine des idées pour en faire plus pour votre bien-être.

Au fait... En parlant de bonnes résolutions, n’oubliez pas de liker notre page facebook et de visiter notre site letzbehealthy.lu. Et tant que vous y serez, cliquez sur notre bannière concours. C’est facile et cela peut rapporter des cadeaux sympas.

Dr Eric Mertens

Saviez-vous que vous pouvez retrouver sur notre site letzbehealthy.lu une série de dossiers thématiques en français et en allemand?

Colophon en page 42

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indispensable de Letz be healthy

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URIAGE.COM

URIAGE, L’EAU THERMALE DES ALPES

*Ce soin a été testé sur un groupe de 29 personnes présentant des lésions cutanées superficielles, 2 fois par jour durant 21 jours. Evaluation par le dermatologue.

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016 6 . . . . . . . Actus

Luxembourg Healthcare Summit 2016

8 . . . . . . . Beauté Aïe, ça tiraille !

10 . . . . . A table

12 . . . . . People Miss Crémant, Sarah Ferrari

14 . . . . . Bouger Faire du sport quand on est diabétique

16 . . . . . Focus Alimentation et Cancer

18 . . . . . Phyto La ruche est riche

20 . . . . . Nutrition Le microbiote intestinal

22 . . . . . Bon usage Traitement anticoagulant

24 . . . . . Maladies Jambes lourdes, douloureuses, gonflées…

26 . . . . . Cheveux La chasse aux poux 26 La chute de cheveux 28

30 . . . . . Société Les soignants de demain, au cœur du CHL

34 . . . . . Femmes Zonta International

36 . . . . . Voyages L’Irish Beef, une viande qui «veau» vraiment le détour !

39 . . . . . Letz Play A gagner, Métronome2, de Lorànt Deutsch et

L’Almanach 2017 des Régions de Jean-Pierre Pernaut.

36 . . . . . Agenda

38 . . . . . Cartoon

sommaire

Miss CrémantSarah Ferrari

Wir haben uns mit Frau Sarah Ferrari, der neu-en Miss Crémant 2016,

unterhalten und uns über ihr Leben, die Idee zur Miss Wahl, ihre Ge-

sundheit ihre Zukunft ausgetauscht.

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Alimentation et CancerBeaucoup de recherches ont été effectuées pour détecter s’il y avait une association entre l’alimentation ou l’absorption de certains

nutriments et l’augmentation ou la diminution du risque de cancer… Page 16

Aïe, ça tiraille !Les peaux sèches manquent de souplesse, tiraillent, rougissent en hiver, sont ternes et sans éclat. Ce n’est pas faux, mais elles ont aussi du mérite: mates et fines, les pores resser-rés, elles présentent moins d’imperfections que les peaux grasses. C’est dire s’il faut les chouchouter… Page 8

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ACTUS

Ce 6 octobre a lieu la troisième édition du Luxembourg Healthcare Summit qui vise à ras-sembler les professionnels du secteur de la santé, des soins et des sciences de la vie pour un moment de partage unique, ponctué de conférences d’experts internationaux et locaux. L’évènement récompense également les meilleures pratiques mises à disposition du secteur et les équipes ayant contribué de manière significative à le faire évoluer. Cette nouvelle édition est organisée sous le haut patronage du Ministère de la Santé du Gouvernement du Grand-Duché de Luxembourg.

L u x e m b o u r g H e a l t h c a r e S u m m i t 2 0 1 6

L’expérience P a t i e n t

Le thème de cette année est «l’Expérience patient», un enjeu croissant dans un contexte où la quantité d’outils à disposition du patient ne cesse d’augmenter. Objets connectés, forums médicaux, applications mobiles, site de comparateurs permettent aux patients d’être de plus en plus acteurs de leur santé…

Comment le secteur médical s’adapte-t-il à ces évolu-tions ? Quelles sont les attentes des patients ? Quelle place donner à la relation médecin-patient dans ce contexte ? Quels sont les nouveaux outils mis à la dis-position des professionnels de santé ?

Experts locaux et internationaux débattront de ces ques-tions tout au long de la soirée. Aussi, les organisateurs accueilleront pour l’occasion le Dr Anna Chioti, Directrice des Opérations du LIH, René Pizzaferri, Président de la Patiente Vertriedung et Monique Birkel, Directrice des Soins du Centre Hospitalier de Luxembourg.

Plusieurs intervenants internationaux partageront éga-lement leur point de vue sur le sujet et des exemples

de mises en application. Ainsi, le Dr Alain Livartowski, Responsable du projet e-santé à l’Institut Curie, le Dr Didier Mennecier, Directeur du Centre de Traitement de l’Information Médicale des Armées, le Dr Stéphane Pardoux, Directeur Général du Centre Hospitalier Inter-communal de Créteil et Jean-François Goglin, Respon-sable SI de la FEHAP (Fédération des Etablissements Hospitaliers et d’Aide à le Personne) seront présents pour échanger avec les participants.

Dès 16h, à l’ouverture des portes à l’établissement Na-mur, Madame la ministre de la Santé, Lydia Mutsch pro-noncera le discours d’ouverture.

Le Dr Alain Livartowski ouvrira le cycle de conférences avec sa présentation de l’application «myCurie», une application totalement sécurisée destinée à fournir aux patients pris en charge à l’Institut Curie une informa-tion personnalisée sur différents supports: téléphones mobiles, tablettes ou par le biais d’internet via un navigateur. Monsieur Jean-François Goglin de la FEHAP partagera également sa vision de l’expérience patient

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ACTUS

et ses préconisations et initiatives au quotidien afin de l’optimiser.

Ensuite, c’est le Dr Didier Mennecier, Directeur du Centre de Traitement de l’Information Médicale des Armées qui montera sur scène pour présenter l’application mobile «Dr Mici», celle-ci permettant aux patients atteints de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) de saisir les données de leur état de santé et suivre leur évolution tout en restant connectés avec les profession-nels de leur choix. Finalement, le Dr Anna Chioti parta-gera le point de vue du secteur de la recherche sur le sujet.

Une table ronde clôturera les conférences en abordant le sujet «Le digital au service de l’expérience patient». Au cours de celle-ci, seront représentés le point de vue local de Madame Monique Birkel, Directrice des Soins au Centre Hospitalier de Luxembourg et celui inter-national de M. Stéphane Pardoux, Directeur Général du Centre Hospitalier Intercommunal de Créteil. René Pizzaferri, Président de l’association Patiente Vertrie-dung viendra quant à lui partager le point de vue des patients sur le sujet.

Au programme également de cette soirée, des works-hops et discussions avec différents experts du secteur présents parmi lesquels Deloitte, POST Luxembourg, KPMG et Econocom.

La Cérémonie de remise des Luxembourg Healthcare Awards clôturera cette soirée de Gala en récompen-sant les bonnes pratiques du secteur afin d’encourager l’émulation au sein de la profession et de la faire évoluer.

Les prix décernés seront les suivants:

• Advanced Healthcare Solutions• Award Healthcare Advisory Award • Healthcare Facilities Award• Healthcare Startup of the Year• Outstanding Contribution to the Healthcare sector• Patient Experience Award• Healthcare Research Award

Recherche, start-ups, innovations et conseils seront notamment à l’honneur.

Retrouvez le programme de l’événement et inscrivez-vous sur www.healthcare.lu.* l

*L’inscription est gratuite pour les professionnels de la san-té et des sciences de la vie, chercheurs ou praticiens avec le code LBH689.

Les fournisseurs de produits et de services dans les do-maines de la santé et des sciences de la vie doivent s’ac-quitter de frais d’entrée de 250€HT*

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Pour soigner une peau sèche, on pensera de un, à la protéger du vent, du froid, d’une surexposition au soleil, de l’air conditionné...; de deux, à l’hydrater quotidien-nement; de trois, à traiter le problème au plus tôt pour limiter rides et ridules; de quatre, à ne pas oublier qu’en vieillissant la peau est plus sujette à la sécheresse donc à développer ridules et rides, pensez dès lors à choisir une crème à la texture plus riche, à base notamment d’huiles végétales. De nombreuses gammes de produits vendus en pharmacie aident les peaux sèches à retrouver un certain confort. Petit tour d’horizon.

> Oui aux surgras

N’hésitez surtout pas à troquer votre savon décapant pour un pain surgras enrichi en agent surgraissant (huile végétale, beurre de karité, etc.), qui va aider à restaurer le film hydrolipidique. On en trouve notamment chez La Roche-Posay (Lipikar surgras), Avène (Cold cream pain), Uriage (Crème lavante surgras sans savon), Caudalie (sur-gras à base de fleur de vigne), Bioderma (Atoderm), etc.

Les peaux sèches manquent de souplesse, tiraillent, rougissent en hiver, sont ternes et sans éclat. Ce n’est pas faux, mais elles ont aussi du mérite: mates et fines, les pores resserrés, elles présentent moins d’imperfections que les peaux grasses. C’est dire s’il faut les chouchouter, d’autant qu’avec l’âge, la production de sébum diminue, livrant les peaux sèches, démunies et déshydratées, aux premiers signes du temps…

Servane Calmant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Aïe, ça tiraille !

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Haro sur les bains qui dessèchent la peau ! Sous la douche donc, privilégiez également les crèmes-douche avec un concentré de surgras. C’est notamment le cas chez La Roche-Posay qui, dans la gamme Lipikar, pro-pose une huile lavante et une douche-crème, toutes deux nettoyants doux, sans savon ni paraben, enrichies en concentré surgras à 10% et en niacinamide. Le but ? Aider à relipider la peau dès la douche. On les a testées et on a apprécié de retrouver d’emblée un véritable confort naturel.

Chez Bio Beauté by Nuxe, c’est la douche-crème lavante anti-dessèchement qui nous a séduites par son onctuo-sité et sa double action longue durée 8h: anti-dessèche-ment et anti-tiraillement.

> Oui aux nutribaumes ultra nourrisants

Et notamment à la dernière innovation de la gamme Hydragenist de Lierac: le Nutribaume nourrissant SOS oxygénant repulpant. Il s’adresse aux peaux les plus dénutries, celles qui sont littéralement assoiffées et affa-mées. On l’a testé et le résultat est bluffant: la peau est hydratée dans toutes ses strates, comme ré-oxygénée, fortifiée. Ultra nourrissant, c’est le soin idéal notamment pour affronter l’hiver, en cure intensive ou en masque, pour apaiser la peau et freiner le processus de perte d’eau.

Toujours dans la gamme Lipikar, La Roche-Posay pro-pose un Baume AP+ , à l’aqua posae filiformis, un nouvel actif exclusif, enrichi au beurre de karité à 20%, qui es-pace les pics de sécheresse sévère. On a aimé le confort qu’il apporte à la peau et son absorption rapide qui per-met un usage quotidien.

Bio Beauté by Nuxe cible les peaux très sèches avec son baume haute nutrition anti-tiraillement, sa crème mains et son lait, haute nutrition également. Autant de produits au cold cream naturel: une association unique

d’huile végétale active d’amande douce bio, d’eau de rose bio & de cire d’abeille bio. Idéal pour éviter l’effet «peau de croco» !

> Oui aux crèmes à base d’urée

L’urée rend les cellules épidermiques plus hydrophiles, c’est-à-dire qu’elle fixe les molécules d’eau. On l’aura compris, l’urée est un agent hydratant de premier choix. Marque incontournable sur ce terrain, Eucerin invite à découvrir une gamme de produits ultra complète pour apaiser les peaux qui tiraillent, pour combler les rides, pour réparer les mains très sèches et abimées, etc.

Chez Widmer, on vous recommande Remederm, qui uti-lise également l’urée pour favoriser la rétention d’eau, pour empêcher la formation de micro-organismes, pour atténuer les démangeaisons, hydrater, lisser la peau et lui rendre un aspect velouté. On a testé huile de bain, huile de douche, shampoing, baume lèvres, crème visage, crème nuit, lait corporel, crème fluide, etc. Une gamme de produits hydratants généreuse qui exerce un effet soignant sur la peau sèche. l

Pourquoi elle est sèche ?Parce que la peau est en manque de sébum, une substance lipidique qui lui permet de rester hy-dratée. Une peau sèche est donc également une peau qui a soif.

Sécheresse physiologique ou pathologique ?La première est liée à la nature de votre peau et se soigne au quotidien avec des surgras, des crèmes enrichies aux corps gras, des baumes nourris-sants, etc.; la seconde est considérée comme une maladie de la peau (psoriasis, dermatites ato-piques, ichtyose, etc.) et l’on vous conseille de voir un dermatologue.

Symptômes ?La peau est rêche, terne, elle tire et est inconfor-table. Elle présente parfois des squames et irritations.

C’est pire avec:L’usage excessif de savon, de médicaments, le froid hivernal, une exposition prolongée au soleil, l’alcool. L’âge aussi.

On espère…Apporter du confort à la peau et normaliser les peaux sèches jeunes pour retarder les signes de l’âge sur les peaux sèches matures.

Pour 4 personnes

• 280 g de spaghetti• 200 g de tempeh• Tahina• 1 gousse d’ail• 1 citron• Curcuma• Sauce soja• Huile d’olive• Sel• Poivre

Préparation

Taillez le tempeh en très fines lamelles. Coupez ensuite la moitié en petits dés. Versez le tout dans un saladier et ajoutez 2 à 3 c. à s. de sauce soja. Mélangez et laissez reposer 30 minutes.

Dans une grande poêle, faites revenir la gousse d’ail cou-pée en deux dans un peu d’huile d’olive. Jetez l’ail, ajou-tez le tempeh et faites-le dorer à feu vif 3-4 minutes en mélangeant. Poivrez légèrement. Lancez la cuisson des spaghetti.

Dans un bol, mélangez 2 à 3 c. à s. de tahina, 1 c. à c. de jus de citron, 1/2 c. à c. de curcuma, une pincée de sel

et de poivre et 7 à 8 c. à s. d’eau de cuisson des pâtes jusqu’à obtenir une crème homogène.

Prélevez une demi-louche d’eau de cuisson des pâtes et réservez. Egouttez 3 minutes avant la fin du temps de cuisson. Versez les pâtes dans la poêle, ajoutez le tem-peh et l’eau de cuisson. Faites chauffer le tout à feu vif en mélangeant bien. Ajoutez enfin la crème et mélangez. Rectifiez l’assaisonnement si nécessaire.

Note: Excellente source de protéines végétales, le tem-peh est originaire de l’île de Java en Indonésie. Il est fabriqué à base de fèves de soja fermentées et ense-mencées avec un champignon (Rhizopus oligosporus). Riche en fer et en protéines, le tempeh est aussi une grande source de vitamine B, calcium, acides gras essen-tiels et fibres. l

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Carbonara vegan a u t e m p e h

Calories: ± 375 Kcal

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Miss Crémant Sarah Ferrari

Wir haben uns mit Frau Sarah Ferrari, der neuen Miss Crémant 2016, unterhalten und uns über ihr Leben, die Idee zur Miss Wahl, ihre Gesundheit ihre Zukunft aus-getauscht.

Frau Ferrari, danke, dass Sie sich für dieses In-terview Zeit genommen haben. Würden Sie sich unseren Lesern kurz vorstellen, bitte?

Guten Tag, gerne. Mein Name ist Sarah Ferrari. Ich bin 20 Jahre alt, fast 21, und ich wohne im schönen Minett in Sanem. Ich studiere seit einem Jahr in Straßburg „Éco-nomie et Gestioun“. Unter der Woche wohne ich auch dort in meiner kleinen gemütlichen Einzimmerwohnung, komme aber fast jedes Wochenende wieder nach Hause um in der besten Disco in Luxemburg-Stadt als Barmaid zu arbeiten. Später möchte ich gerne im Bankenwesen arbeiten. Ich interessiere und informiere mich auch jetzt schon viel über die verschiedenen Bereiche, die die Ban-ken anbieten.

Wie kam die Idee zustande sich bei der Miss Crémant 2016 Wahl mitzumachen?

Die Idee an sich kam von einer meiner Freundinnen, die in Remich wohnt. Sie hat mich angespornt mitzumachen. Sie sagte mir, es wäre immer eine super Stimmung an dem Abend. Und natürlich hat mich der gute Crémant, den wir den ganzen Abend zu trinken bekamen, auch überzeugt. Schlussendlich habe ich mich dann ange-meldet, weil ich auch zusätzlich einmal bei einer solchen Miss Wahl mitmachen und Spaß haben wollte.

Was hat sich für Sie verändert seit Sie Miss Crémant 2016 sind?

Eigentlich gar nicht so viel. Ich werde nur manchmal auf der Straße erkannt und dann lächeln mich die Leute nett an. Ich genieße das und es freut mich auch immer sehr.

Machen Sie Sport? Wie halten Sie sich fit? Achten Sie auf Ihre Gesundheit?

Ich treibe gerne und viel Sport. Ich mache viel Cardiot-raining, aber auch viel Krafttraining mit Kettlebells, Han-teln und Medizinball. Ich habe ein eigenes Trainingspro-gramm, das ich 3 Mal die Woche regelmäßig mache. Ich finde, dass Sport treiben wirklich sehr wichtig ist um sich gut und fit zu fühlen. Deshalb bin ich hier sehr diszipli-niert und streng mit mir selbst. Ich achte auch sehr auf meine Gesundheit und hier macht der Sport einen gro-ßen Teil aus.

Achten Sie auf Ihre Ernährung?

Ja, ich achte ebenfalls sehr auf meine Ernährung. Dies ist ganz wichtig um sich gesund und fit zu fühlen. Ich esse sehr gerne Gemüse und Obst. Es gibt fast keine Gemüsesorte, die ich nicht mag. Ich koche auch größ-tenteils selbst, damit auch alles frisch und vitaminreich zubereitet wird. Natürlich nasche ich auch gerne, aber ich versuche dies immer in kleinen Mengen zu tun. Am Liebsten esse und koche ich Chinesisch, weil man hier viel mit Gemüse wie Brokkoli, Bohnen und gutem Hähn-chenfleisch arbeitet.

Eigentlich gar nicht so viel. Ich werde nur manchmal auf der Straße erkannt und dann lächeln mich die Leute nett an. Ich genieße

das und es freut mich auch immer sehr.

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Haben Sie ein Geheimrezept, etwas Besonderes das Sie für Ihre Gesundheit tun, oder ein Beauty- oder Körperpflegegeheimtip?

Ich mache oft Peelings für meine Haut, im Gesicht und am ganzen Körper. Dann mache ich auch noch Gesichts-masken und creme meine Haut ein, damit Sie immer gut mit Feuchtigkeit versorgt ist. Gesunde Ernährung hilft natürlich auch sehr dabei ein schönes Hautbild zu erhalten.

Wenn Sie zaubern könnten, was würden Sie tun um die Gesundheit der Menschen zu verbessern?

Hmm… das ist eine gute Frage! Ich würde jedem einen eigenen, individuellen auf sich eingestellten Personal Coach an die Seite zaubern, der einem zeigt, wie man sich richtig und gesund ernährt, und der einen immer motiviert Sport zu treiben. So würde man dann immer an die eigene Gesundheit erinnert.

Sind Sie Ihrer Meinung nach ein guter «Patient»: Befolgen Sie den Rat und die Empfehlungen Ihres Arztes oder Apothekers?

Ja, meiner Meinung nach bin ich ein sehr braver und gu-ter Patient. Meine Gesundheit ist mir sehr wichtig. Des-

halb wird gemacht was der Arzt sagt! Er weiß am besten was gut für mich ist und darauf höre ich dann auch.

Vielen Dank für dieses Gespräch und Letz be healthy wünscht Ihnen weiterhin alles Gute und viel Erfolg. l

Tania HoffmannAdvanced Certified NeuroLanguage Coach™Formatrice de Luxembourgeois agréée & certifiéeTraductrice & Auteurewww.letz-learn.lu

Ich finde, dass Sport treiben wirklich sehr wichtig ist um sich gut und

fit zu fühlen. Deshalb bin ich hier sehr diszipliniert und streng mit mir

selbst. Ich achte auch sehr auf meine Gesundheit und hier macht der Sport

einen großen Teil aus.

Ich würde jedem einen eigenen, individuellen auf sich eingestellten

Personal Coach an die Seite zaubern, der einem zeigt, wie man sich richtig und gesund ernährt, und der einen

immer motiviert Sport zu treiben. So würde man dann immer an die eigene

Gesundheit erinnert.

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Autosurveillance

En tant que diabétique, il est important de programmer votre activité physique. Il convient aussi de surveiller votre glycémie et de réduire vos doses d’insuline avant de pratiquer un sport. Idéalement, votre glycémie de-vrait se situer en 120 et 180mg/dl.

Après l’injection d’insuline, attendez au moins 2h avant de pratiquer une activité physique. De plus, faites at-tention aux sports qui augmentent votre adrénaline.

L’adrénaline aura pour effet de libérer le glucose au ni-veau du foie et de provoquer une hyperglycémie.

N’oubliez pas d’adapter votre apport en glucides avant et après le sport et de boire suffisamment. Pendant le sport, mesurez régulièrement votre glycémie et, si possible, tenez à jour un carnet. En effet, certains facteurs modifient le métabolisme du glucose durant l’ef-fort physique: la durée et l’intensité de l’effort, le type de traitement insulinique, la glycémie au début de l’effort…

N’oubliez pas d’emporter avec vous une trousse de se-cours (glucomètre, dextrose, glucagon…).

Lors d’un effort physique, notre corps a besoin d’énergie. Pour couvrir ce besoin énergétique, notre organisme puisera essentiellement les calories nécessaires au niveau des glucides. Le risque d’hypoglycémie guette donc chaque diabé-tique, et en particulier le diabétique de type 1, dont le foie n’augmente pas la libération du glucose lors d’un effort physique.

Céline Buldgen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

quand on est diabétique

Chez le diabétique de type 1, il est recommandé de réduire l’injection

d’insuline basale de 10 à 15%.

Faire du sport

Vous êtes atteint d’une rétinopathie diabétique ?

Evitez les sports martiaux !

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boUger

• Si votre glycémie est inférieure à 120 mg/dl, il faudrait manger environ 12 g de glucides avant de faire une activité physique. Ce qui correspond à une tranche de pain, une demi-banane ou 20 g de fruits secs.

• Si votre glycémie se situe entre 120 mg/dl et 180 mg/dl, il faudrait manger 6 g de glucides.

• Si votre glycémie est supérieure à 180 mg/dl: il faudrait ne pas manger avant de faire un sport et contrôler l’absence d’acétone dans les urines.

Quel sport choisir ?

Si vous souhaitez débuter une activité physique, discu-tez-en d’abord avec votre diabétologue. Il vous conseil-lera très certainement de commencer par augmenter votre activité de base de la vie quotidienne et de rajou-ter la pratique d’un sport 2 fois par semaine durant au moins 30 minutes. Idéalement, 150 minutes d’exercices modérés par semaine sont nécessaires pour avoir des bénéfices à long terme sur votre santé.

Diabète de type 1 (insulino-dépendance): Le diabétique de type 1 pourrait faire une hypoglycémie qui surviendrait encore 48h après l’activité physique. C’est pourquoi, il devrait privilégier:• les sports d’endurance (cyclisme, jogging, marche sou-

tenue…) aux sports à forte intensité et de courte durée. • les sports collectifs.

A déconseiller absolument: la boxe (traumatisme ocu-laire), l’alpinisme, la plongée sous-marine, la voile, le parachutisme, le kayak et le deltaplane.

Diabète de type 2 (insulino-résistance):La natation est le sport idéal pour les personnes qui sont en surpoids et qui ont des problèmes d’articulations. Pour ces personnes, le jogging n’est pas conseillé, il est plutôt préfé-rable de s’adonner au nordic-walking ou à la marche à pied. Si vous êtes en surpoids et que vous avez des problèmes vasculaires ou des problèmes d’articulations, privilégiez le cyclisme (excepté si vous avez des problèmes au genou).

La meilleure stratégie

Associer des exercices de renforcement musculaire à des exercices d’endurance (jogging, vélo de course…) auront des effets bénéfiques sur:• le métabolisme du glucose et le contrôle du diabète, • la diminution des risques cardiovasculaires (hyperten-

sion, cholestérolémie…), • la perte de poids, • la capacité physique générale et la qualité de vie.

Les dix commandements du sportif diabétique

1. Faire un bilan médical avant de démarrer un sport et refaire ce bilan régulièrement.

2. L’entraînement doit être progressif et régulier. 3. La glycémie doit être contrôlée fréquemment: avant,

pendant, et après les exercices prolongés.4. Absorber des glucides toutes les heures, voire toutes

les demi-heures.5. Boire souvent, avant même de ressentir la soif.6. Choisir un bon équipement, en particulier les chaus-

sures. 7. Prendre particulièrement soin de ses pieds: les laver

et les sécher soigneusement, éviter les macérations, traiter immédiatement toute plaie, même minime.

8. Ne pas dépasser ses limites: s’arrêter en cas d’essouf-flement ou si la fréquence dépasse (220 – âge en an-nées) x 75 %.

9. Toujours prévenir les autres pratiquants et accompa-gnateurs que l’on est diabétique et qu’en cas de modi-fication subite du comportement, une hypoglycémie est probable et le resucrage est urgent. En cas de ma-laises (sueurs, palpitations, tremblements, fringales, troubles de la vue…), arrêter l’effort et prendre 15 g de glucides (3 morceaux de sucre ou une boisson su-crée) et, si nécessaire, compléter avec des fruits secs, des gâteaux secs, faciles à transporter et à garder.

10. Apprendre à adapter son traitement en fonction de l’entraînement et des efforts prévus. l

Sources:- Conférence «Diabète et sport» organisée par la Clinique du

Diabète des Hôpitaux Robert Schuman le 6 juin 2016.- http://www.chups.jussieu.fr/polys/dus/dusmedecinedusport/

dunutrisport/diabeteetsport05/diabetetesport05.pdf

Une alimentation équilibrée augmente de 15% votre performance physique et

de 139% votre capacité mentale.

Les séances de musculation ne conviennent pas aux diabétiques qui ont une maladie

de la rétine ou des reins, des troubles veineux et une hypertension artérielle. Les

efforts physiques violents sont en effet responsables de poussées hypertensives qui

aggravent ces affections.

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Des études en laboratoires sur des cellules cancéreuses ou des études réalisées chez l’animal ont apporté la preuve que certaines substances peuvent être carcino-gènes tandis que d’autres ont une activité anti-cancer. Mais à quelques exceptions près, les études menées chez l’homme n’ont pas clairement démontré que cer-tains nutriments pouvaient provoquer ou protéger du cancer. Néanmoins, les scientifiques ont étudié des additifs, des nutriments et d’autres composants de l’ali-mentation pour leur possible association avec un risque augmenté de cancer.

L’alcool: Bien que le vin rouge a été suspecté de réduire le risque de cancer, il n’y a pour l’instant aucune preuve scientifique de cette association. Par contre, on sait que l’absorption importante et régulière d’alcool augmente le risque de cancer de la bouche, du pharynx, du larynx, de l’œsophage, du foie, du sein, du colon et du rectum. Les antioxydants: Comme la vitamine A, la vitamine E, le sélénium etc. …sont connus pour bloquer les radicaux libres qui peuvent endommager nos cellules. Les études en laboratoires et sur les animaux ont montré que la consommation d’antioxydants pouvait aider à préve-nir les dommages provoqués par les radicaux libres. Les études effectuées chez l’homme n’ont pas montré les mêmes résultats et certaines ont même montré un accroissement du risque notamment chez les fumeurs. Les édulcorants artificiels: Les études menées aux Etats-Unis sur la saccharine, l’aspartame, le cesulfame, le potassium, le sucralose, le neotame et le cyclamate n’ont pas démontré une association claire entre ces mo-lécules et un risque accru de cancer. Le calcium: Des études ont démontré que des apports supérieurs de calcium étaient associés à un risque dimi-nué de cancer colorectal mais d’autres recherches ont

suggéré qu’un apport accru de calcium pouvait augmen-ter le risque du cancer de la prostate. La viande grillée: Lorsqu’on utilise des cuissons à haute température, les muscles du bœuf, porc, poisson, poulet produisent des composés chimiques appelés HCAs et PAHs. Ces molécules peuvent provoquer le cancer chez l’animal. Dés études épidémiologiques ont montré que ce risque était augmenté chez l’homme pour le cancer de la prostate, du pancréas et le cancer colorectal. Les légumes crucifères: Les différentes sortes de choux contiennent des substances connues sous le nom de glucosinolates, qui se décomposent en plusieurs com-posés qui sont à l’étude pour les effets anticancéreux possibles. Certaines études ont montré une diminution du risque du cancer du colon, de la prostate et du cancer du poumon chez la femme.La vitamine D: Des études épidémiologiques ont mon-tré que des taux sanguins élevés de vitamine D étaient associés à une diminution du risque de cancer colorectal. La vitamine D continue à être étudiée dans des études randomisées afin de corroborer ou non les résultats des études épidémiologiques. L’ail: Quelques études cliniques ont montré un effet bénéfique d’une supplémentation en ail sur le risque du cancer de l’estomac. L’OMS recommande une dose jour-nalière de 2 à 5g d’ail frais par jour pour un adulte.

Il est difficile de prouver que l’alimentation a un rôle bénéfique ou non dans la prévention du cancer car il est quasi-impossible de la dissocier d’autres facteurs comme l’environnement, l’hérédité ou encore les com-portements individuels (exposition au soleil, cigarette etc..). Le seul conseil à donner est de manger sainement et de manière variée. lRéf: http://www.cancer.gov/about-cancer/causes-prevention/risk/diet

Beaucoup de recherches ont été effectuées pour détecter s’il y avait une association entre l’alimentation ou l’absorption de certains nutri-ments et l’augmentation ou la diminution du risque de cancer.

S. Anderling . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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Alimentation et

Cancer

Combien de femmes enceintes savent que la santé de leurs jambes est capitale ?

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Les produits de compression sont des dispositifs médicaux (directive 93/42 CE) fabriqués par SIGVARIS. Ils sont destinés au traitement de la maladie veineuse. Pour le bon usage, il convient d’enfi ler les bas dès le réveil et au lever, sur une peau propre et sèche. Les conditions et les durées de port des collants de compression médicale sont à demander à votre médecin. Indications : varices de plus de 3 mm (stade C2), après chirurgie ou sclérothérapie des varices de plus de 3 mm, pendant 4 à 6 semaines, grossesse et 6 semaines après l'accouchement (6 mois après une césarienne), en superposition pour atteindre des pressions supérieures. Contre-indications : artériopathie oblitérante, insuffi sance cardiaque décompensée, dermatose suintante ou eczématisée, intolérance aux matières utilisées. Ce dispositif est un produit de santé réglementé qui porte, au titre de cette réglementation, le marquage CE. Lisez attentivement la notice d’utilisation. Demandez conseil à votre médecin ou votre pharmacien. Juillet 2016. © Copyright by SIGVARIS, Saint-Just Saint-Rambert. SIGVARIS and its products are registered trademarks of SIGVARIS, St Gallen/Switzerland, in many countries worldwide.

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Celle-ci est nichée au cœur de notre cerveau, dans une région appelée hypothalamus. Cette partie de notre cer-veau régule des fonctions importantes de notre orga-nisme comme la faim, la soif, le système veille/sommeil, la température corporelle et intervient également dans le comportement sexuel et l’humeur.

Un rythme de 24 heures

Toutes ces fonctions biologiques sont bloquées sur un rythme de 24 heures appelé rythme circadien. Les exemples de cette activité cyclique sont nombreux: grâce à notre horloge interne, l’hormone du sommeil (la méla-tonine) est sécrétée au début de la nuit, le sommeil est plus profond vers deux heures du matin; la température corporelle varie: moins élevée le matin, elle augmente en fin de journée; l’activité intestinale diminue pendant la nuit; l’éveil est maximal du milieu de matinée jusqu’en fin d’après-midi et notre mémoire se consolide pendant le sommeil nocturne. Telle une montre qui se synchronise avec l’horloge atomique, notre horloge interne se resyn-chronise en permanence afin de garder son rythme de 24 heures et elle le fait avec la lumière.

La lumière est perçue par la rétine et les signaux sont transmis au cerveau qui adapte son horloge. Il est pos-sible que la baisse de luminosité crée un décalage dans notre rythme circadien et qu’il ne soit plus en phase avec les conditions d’ensoleillement et l’alternance jour/nuit. Cela entraînerait une perturbation de la sécrétion de mé-latonine et donc des troubles du sommeil ainsi que des modifications de concentrations de sérotonine qui régule l’humeur. C’est ce qui expliquerait un état de fatigue per-sistant et chez certaines personnes un état dépressif. Notre organisme étant fatigué, il est donc plus facile-ment attaqué par les microbes avec son lot de rhumes, sinusites, rhinites, grippes, etc.

Que faire?

Tout d’abord, garder de bonnes habitudes de sommeil, passer le plus de temps possible à l’extérieur et y faire une activité physique modérée (marche, vélo) et éviter que cette fatigue ne devienne chronique. Sur ce dernier point, la gelée royale peut être d’un grand secours. Fabri-quée par les abeilles ouvrières pour nourrir leur reine, c’est une substance nutritive qui contient des protéines,

La fatigue automnale est bien connue et nous en sommes tous victimes à des degrés divers. Il n’est pas rare quand arrive l’automne de se sentir moins actif, plus fatigué et un peu ronchon. La science n’a pas encore clairement identifié les causes de ce blues d’octobre mais il est probable que ce soit lié à une baisse de la luminosité qui influence notre horloge interne.

B. de Cetti . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

La ruche est riche

Activité planifiée par le Ministère des Sports - Automne 2016:04.11.16: Journée nationale du Sport du 3e âge «FIT50PLUS» - Campus Geesseknäppchen, Luxembourg MerlOrganisé en partenariat par le Ministère des Sports, le Ministère de la Famille, de l’Intégra-tion et à la Grande Région et le COSL

Sternenkindergrab Carré des angesEttelbruck était la seule ville du Luxembourg, siège d’une maternité, qui ne disposait pas encore d’un endroit spécifique sur son cimetière pour inhumer les enfants décédés au courant de la grossesse ou peu après la naissance. Grâce à l’intervention d’ Eidel Aerm, de l’Initiativ Liewensufank et bien sûr du per-sonnel de la maternité, l’administration communale de la Ville d’Ettelbruck a pris conscience de ce manque et a maintenant aménagé un carré des anges.

Les parents endeuillés ont ainsi un endroit spé-cifique dédié à ces tout-petits et peuvent venir s’y recueillir, témoigner leur émotion, leur dou-leur et leur espoir. En même temps ils peuvent y déposer une fleur ou un petit jouet. l

Source: Initiativ Liewensufank a.s.b.l.

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des lipides, des glucides, des vitamines B et des facteurs antibiotiques. C’est un véritable stimulant de l’organisme employé depuis des siècles dans la médecine tradition-nelle chinoise pour son effet sur le système immunitaire.

Connue depuis les Egyptiens

Une autre substance de la ruche, la propolis peut renfor-cer l’activité de la gelée royale. La propolis est un matériau recueilli par les abeilles à partir de certains végétaux. Cette résine végétale est utilisée par les abeilles comme mortier et anti-infectieux pour assainir la ruche. Elle contient des flavonoïdes, des acides caféiques, féruliques et benzoïques de la vanilline, des huiles essentielles, des vitamines et des minéraux (notamment silice, zinc et fer). Ses capacités anti-infectieuses et cicatrisantes sont connues depuis les Egyptiens et en font un allié de poids dans la lutte contre les infections et maladies à transmission virale, telles que le rhume, la grippe et les maux de gorge. Si vous manquez de tonus cet automne, pensez donc à Maya l’abeille ! l

Notre horloge interne se resynchronise en permanence afin de garder son rythme de 24 heures

et elle le fait avec la lumière.

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NUTriTioN

Toutes ces bactéries ont évidemment un matériel gé-nétique (génome). L’ensemble de ce matériel appelé métagénome est 150 fois plus important que le génome humain. On considère de plus en plus le microbiote intestinal comme un organe à part entière, capable d’interagir avec son hôte humain dans une relation de mutualisme, c’est-à-dire une coopération impliquant un avantage pour chacun. L’hôte fournit la nourriture et en échange, ce «nouvel» organe prend en charge des fonc-tions que nous n’avons pas eu besoin de développer nous-mêmes.

On peut les grouper en quatre catégories:

1) une fonction digestive avec la capacité de trai-ter des éléments autrement indigestes de notre

alimentation, comme la cellulose des végétaux et également la fabrication de vitamines comme la vita mine K, la biotine (vitamine B8) et les folates (vitamine B9).

2) une fonction physiologique: il contribue au main-tien de l’intégrité de la muqueuse intestinale et de son étanchéité. La muqueuse agit comme un filtre à café

Le microbiote intestinal humain est ce que l’on appelait autrefois la flore intestinale humaine. Le microbiote est composé de 100.000 milliards de bactéries, ce chiffre est cent fois supérieur au nombre de cellules du corps humain.

B. de Cetti . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

On considère de plus en plus le microbiote intestinal comme un organe à part entière, capable

d’interagir avec son hôte humain dans une relation de mutualisme.

Le microbiote i n t e s t i n a l

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qui permet l’assimilation des nutriments et micronu-triments dans le sang. En cas de dysfonctionnements (dysbiose), elle perd son étanchéité, perturbant ainsi les échanges en laissant passer des éléments inop-portuns qui peuvent avoir un retentissement sur la santé.

3) une fonction immunitaire: il exerce un rôle primor-dial sur les défenses de l’organisme, principalement par un effet barrière empêchant l’implantation et la multiplication des germes indésirables.

4) une fonction énergétique: il intervient dans des processus de récupération d’énergie. Certaines fibres alimentaires non digestibles peuvent être fer-mentées par certaines bactéries qui les transforment en molécules absorbables par la muqueuse de notre intestin.

Les chercheurs ont démontré que chaque individu avait un microbiote spécifique, différent de son voisin, compa-rable à une empreinte digitale. Chaque adulte héberge entre 160 à 200 espèces différentes dans ses selles. Un tiers sont communes à tous, deux tiers sont propres à chacun.

La composition dépend de quatre facteurs: 1) les facteurs génétiques: le profil du microbiote in-

testinal d’un frère ou d’une soeur est plus proche que celui de votre voisin

2) les facteurs alimentaires: il existe un lien entre la richesse en bactéries de type bactéroidetes et une ali-mentation grasse et carnée par exemple.

3) les facteurs géographiques: le lieu de naissance

peut influencer le microbiote intestinal. Chez les nourrissons européens de 6 semaines, on observe une prédominance des bactéroidetes chez les bébés

d’Europe du Sud et une prédominance des bifidobac-téries chez les bébés d’Europe du Nord.

4) l’âge: certaines bactéries sont par exemple deux fois plus présentes chez l’homme sain adulte que chez le nourrisson.

Tout l’enjeu de la recherche actuelle sur le microbiote est de pouvoir dépister les microbiotes à risque, qui pré-disposeraient à certaines maladies. On sait, en effet que tout déséquilibre du microbiote ou dysbiose peut être associé à différentes pathologies.

Les facteurs de déséquilibre les plus connus sont le stress, la prise d’antibiotiques, une alimentation désé-quilibrée et la césarienne. Le nourrisson né par césa-rienne n’a pas l’opportunité d’ingérer les bactéries pré-sentes dans le vagin de sa mère comme le fait celui qui vient par les voies naturelles. Ces bactéries ont ensuite un effet protecteur sur le système immunitaire du bébé, et créent aussi un terrain favorable pour la colonisation à long terme de son propre tube digestif par des bacté-ries utiles à son métabolisme.

La liste des pathologies liées à une dysbiose est longue: diarrhées infectieuses ou post-antibiotiques, intestin irritable ou colopathie (ballonnements, troubles du tran-sit, douleurs abdominales), allergies, fibromyalgie, syn-drome de fatigue chronique, obésité, diabète, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) comme la maladie de Crohn ou la recto-colite hémorragique.

Au vu de cette liste non-exhaustive, on comprend que la recherche bat son plein pour trouver des facteurs qui pourraient influencer le fonctionnement du microbiote. Certains probiotiques, bactéries vivantes, existent déjà sous forme de complément alimentaire et permettent de restaurer les propriétés du microbiote intestinal. Ils contribuent aussi à empêcher la prolifération de germes indésirables. l

Tout l’enjeu de la recherche actuelle sur le microbiote est de

pouvoir dépister les microbiotes à risque, qui prédisposeraient

à certaines maladies.

Certains probiotiques, bactéries vivantes, existent déjà sous forme

de complément alimentaire et permettent de restaurer les

propriétés du microbiote intestinal.

NUTriTioN

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boN USAge

Lorsque nous nous coupons, la plaie saigne. Normale-ment, le saignement cesse rapidement, grâce à l’activa-tion d’un mécanisme, celui de la coagulation du sang, qui arrête l’hémorragie.Dans certains cas, cependant, la coagulation du sang n’est pas souhaitable, par exemple lorsque des caillots se forment dans les veines ou les artères, et empêchent la circulation du sang: embolie, thrombose, AVC (Accident Vasculaire Cérébral), infarctus du myocarde peuvent en découler. Lorsque cette situation se produit ou risque de surve-nir, il existe un traitement: les anticoagulants, des médi-caments qui bloquent le mécanisme de la coagulation. Leur efficacité a cependant un revers: ils augmentent le risque de saignement et d’hémorragie. L’objectif consiste donc à conserver, en permanence, un dosage adapté. Ceci nécessite une collaboration étroite entre le médecin et le patient.

Quand le médecin prescrit-il un anticoagulant?

Les anticoagulants peuvent être prescrits, par exemple, lors d’une thrombose veineuse profonde, d’une embolie pulmonaire, d’une fibrillation auriculaire, après la pose d’une prothèse de valve artificielle dans le coeur ou pour contrer les effets de certains troubles du sang

d’origine génétique.Par ailleurs, certaines situations médicales augmentent les risques de thrombose ou d’embolie, par exemple certaines interventions chirurgicales, ou en cas d’immo-bilisation par un plâtre. Les anticoagulants peuvent alors être prescrits préventivement.

L’exemple de la fibrillation auriculaire

La fibrillation auriculaire est le plus fréquent des troubles du rythme cardiaque. Il s’agit d’un dérèglement de la contraction des oreillettes (les «antichambres» du cœur), qui se contractent alors de façon désordonnée. Une complication majeure de cette situation est le fait que le sang risque de stagner et de former des cail-lots, qui peuvent ensuite être éjectés dans les artères, y compris celles du cerveau, et provoquer un accident vasculaire cérébral. C’est pourquoi, en présence d’une fibrillation auriculaire, le médecin peut prescrire des anticoagulants. l

Traitement anticoagulant: l’importance de respecter

les consignes

De nombreuses personnes sont amenées à prendre, tous les jours, un médicament anticoagulant. Les raisons sont diverses, mais dans tous les cas il est essentiel de bien comprendre le traitement, et de suivre les recommandations du médecin.

Dr R. Dehesbaye . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

La fibrillation auriculaire est le plus fréquent des troubles

du rythme cardiaque.

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boN USAge

Conseils importants si vous prenez un anticoagulant

• Demandez un avis (au médecin ou au pharmacien) avant de prendre tout nouveau (autre) médica-ment ou complément alimentaire. L’aspirine, par exemple, accroît le risque d’hémorragie.

• Avant tout acte médical ou chirurgical, y compris dentaire, informez les professionnels de la santé de la prise d’anticoagulants.

• Signalez tout saignement anormal, même peu abondant: nez, gencives, hématomes, sang dans des crachats, les vomissements, les urines, les selles, ou tout saignement particulièrement long après une blessure, malgré les soins.

• Evitez les activités (sportives notamment) à risque

de chutes ou de blessures.• Portez sur vous, en permanence, une carte men-

tionnant la prise d’un médicament anticoagulant.

Bon à savoir • Le médicament anticoagulant doit être pris à heure

régulière. Respectez toujours les recommanda-tions de votre médecin en cas d’oubli.

• En cas de saignement abondant, il est recommandé de comprimer immédiatement et constamment la plaie avec un pansement et d’appeler les secours (112).

• Un essoufflement anormal, une pâleur, une fatigue inhabituelle, un mal de tête sévère ou tout autre malaise, peuvent être des signes de saignements internes. Consultez votre médecin sans tarder. l

Les antivitamine K sont des médicaments anciens. Ils nécessitent des prises de sang régulières pour mesurer le niveau d’anticoagulation et ajuster la dose du médi-cament. La prise d’un nouveau médicament (pour une autre maladie) risque aussi de modifier l’action de l’anti-coagulant, de même que certains aliments: alcool, lé-gumes verts riches en vitamine K, certains fruits ou jus de fruits (pamplemouse, cranberry), ail, gingseng, milleper-tuis, etc. Les habitudes alimentaires doivent donc être régulières, et tout changement d’alimentation nécessite un contrôle par prise de sang. Enfin, la consommation de cannabis peut aussi modifier l’effet du médicament.

Les nouveaux anticoagulants sont utilisés depuis quelques années. Ils ont le grand avantage de ne plus nécessiter de prise de sang régulières. Le médecin dé-termine simplement la dose en fonction de l’indication. Ils ne nécessitent pas non plus de régime alimentaire particulier. Enfin, ils connaissent moins d’interactions médicamenteuses, même si certains médicaments peuvent augmenter ou diminuer leur effet. Il reste donc recommandé de ne pas prendre d’autre médicament, sans interroger son médecin ou son pharmacien.

Surtout faire confiance à son traitement

Saviez-vous qu’un des principaux soucis avec les anti-coagulants est... le mauvais suivi du traitement par les patients? Ainsi, une étude récente menée à la célèbre Mayo Clinic des Etats-Unis, sur près de 65.000 patients qui devaient prendre un anticoagulant oral en raison d’une fibrillation auriculaire, a montré que seuls 4 pa-tients sur 10 prenaient correctement leur traitement après un an. Les résultats sont un peu meilleurs dans le cas des nouveaux anticoagulants, plus confortables, mais ils tournent toujours autour de 5 patients sur dix. En d’autres termes: un patient sur deux ne prend pas correctement son traitement.

La peur du saignement?

Ce non-respect du traitement concerne hélas de nom-breux médicaments au long cours, pour des raisons diverses: lassitude, mauvaise compréhension de l’impor-tance du traitement, etc. Certains patients ont aussi une grande peur des saignements. Pourtant, il faut savoir que des procédures médicales précises sont définies pour contrôler ces saignements. Enfin, pour l’un des nouveaux anticoagulants, il existe depuis peu un «anti-dote» spécifique, qui permet d’arrêter très rapidement l’anticoagulation en cas d’urgence. Une avancée de plus de la recherche, rassurante en cas de doute. l

Les anciens et les nouveauxIl existe deux catégories d’anticoagulants oraux: les «antivitamine K», et les... «nouveaux anticoa-gulants».

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mALAdieS

L’insuffisance veineuse chronique (IVC) est une maladie qui touche environ une personne sur trois, particulière-ment les femmes.

Pas une fatalité…

Il est essentiel de traiter l’insuffisance veineuse dès l’apparition des premiers symptômes afin de freiner son évolution et d’ainsi éviter les complications à long terme. En effet, passé un certain stade, l’insuffisance veineuse devient irréversible et donc chronique. Si elle n’est pas traitée, elle pourrait mener à de graves complications, telles que les thromboses veineuses pouvant engendrer des embolies pulmonaires qui représentent un risque vital.

Pourquoi la maladie veineuse se manifeste…

Qu’elle soit d’origine héréditaire et/ou acquise (suite à une hygiène de vie non appropriée), elle est toujours la conséquence d’une dilatation des veines entraînant un dysfonctionnement des valvules (ou vice versa). Ces val-vules ont une fonction de «clapets anti-retour», permet-tant au sang d’être renvoyé seulement dans la direction du cœur. Or, lorsque ce rôle n’est plus correctement as-suré, le sang stagne au niveau des membres inférieurs et augmente la pression à l’intérieur de la veine provo-quant ainsi sa dilatation.

Comment la maladie se manifeste…

Au début de la maladie, la nuit suffit à soulager totale-ment les symptômes et à ramener l’équilibre. Peu à peu, ces gestes simples ne suffisent plus et la progression de la maladie est si insidieuse que l’équilibre se rompt et une aide externe devient alors indispensable.Les symptômes les plus fréquents de la maladie vei-neuse sont:• une sensation de lourdeur dans les jambes, surtout en

fin de journée, apaisée par la surélévation des pieds ou par la marche (début de la maladie),

• un gonflement des jambes, particulièrement au niveau des chevilles et des mollets,

L’insuffisance veineuse n’est pas une fatalité mais peut être fatale…

B. de Cetti . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Jambes lourdes, douloureuses, gonflées, picotements… ?

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mALAdieS

• démangeaisons, picotements et fourmillements,• des crampes musculaires,• l’apparition de taches rouges, petits vaisseaux rouges

(télangiectasies), varices (veines tortueuses et dilatées),• mauvaise coloration de la peau (couleur rouille),• ulcères veineux• ...

Pour confirmer la présence d’une insuffisance chronique, il convient de consulter votre médecin généraliste qui vous adressera soit à un kiné pour une prise en charge du traitement physique et l’élaboration d’un programme de gymnastique médicale spécifique à l’insuffisance vei-neuse, soit à un médecin spécialiste pour procéder à des examens complémentaires en vue de valider le diagnos-tic et d’évaluer l’étendue de la maladie.

Le traitement…

Pour être efficace, le traitement doit être pluridiscipli-naire. Ainsi, il peut être chirurgical, pharmacologique mais aussi et surtout physique et composé de 3 piliers:

Les bas de compression médicaleLe port de bas de compression permet de réduire la dila-tation des veines, améliore le retour veineux et diminue le volume de la jambe (effet anti-œdème). La compres-sion élastique est indiquée dans tous les stades de la ma-ladie veineuse chronique. Ces bas existent en différents modèles (bas jarret, bas cuisses, collant) et types (coloris, textures…). Le choix de la classe de compression (pres-sion exercée à la cheville) revient au spécialiste (médecin, kiné…) en fonction de la sévérité de la maladie.Certaines gammes disposent de bas de classe 1 fran-çaise, exerçant moins de pression, plus supportable et plus facile à enfiler que la classe 1 allemande, tout en conservant les propriétés de la compression médicale, au contraire des simples bas de soutien. Grâce aux in-novations technologiques, il est à présent possible de prendre soin de ses jambes tout en passant incognito.Dans certains cas, des bandes de compression vont être

préférées à un bas, par exemple, en cas d’ulcère veineux ou chez la personne âgée car la pose de la bande est plus aisée que d’enfiler des bas à pression élevée. Cependant, la pose d’une bande nécessite un apprentissage qui peut être facilité par les repères de pression imprimés sur cer-taines bandes.

Bouger plus…L’activité sportive est une précieuse alliée pour stimuler le retour veineux. A contrario, la sédentarité est une véri-table ennemie. La marche et la course seront toujours bénéfiques si elles sont bien exécutées (attaque par le talon et déroulement du pied…). Les activités physiques qui impliquent un blocage de la respiration ne sont pas conseillées, au contraire des sports d’eau, tels que la gym aquatique et aquabiking. Il est préférable de pra-tiquer régulièrement une activité physique plutôt que faire de longues séances hebdomadaires.Quelques exercices basiques à réaliser au quotidien:

Et enfin, une bonne hygiène de vieQuelques gestes simples peuvent suffire à combattre l’apparition de la maladie veineuse. l

Article rédigé grâce à l’interview du Dr Joseph Harfouche, docteur en kinésithérapie (Edith Cavell, CHIREC Bruxelles)

En conclusion, peu importe le stade de la maladie vei-neuse, celle-ci peut dans tous les cas être traitée, mais plus tôt on agit, meilleurs seront le résultat et la qualité de vie.

Au quotidien...• Terminer son bain avec une douche tiède sur les jambes• Sécher les jambes après la douche, du pied en remon-

tant sur le mollet• La surélévation des jambes la journée si possible, et

des pieds du lit la nuit (10-15 cm) pour autant que la position reste confortable

• La lutte contre la surcharge pondérale• Eviter les stations debout et statiques prolongées

dans la mesure du possible• Eviter l’exposition prolongée à des sources de chaleur

(exposition solaire, sauna, hammam…)• Limiter le port de talons hauts et de mi-bas (non mé-

dicaux) à élastiques trop serrés car ils ralentissent le retour veineux

• Eviter le croisement prolongé des jambes

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CheveUx

Votre enfant a des poux ? Pas de panique, des solutions existent pour s’en débar-rasser !

Céline Buldgen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Des hôtes indésirables

Le pou de tête mesure entre 2 et 3 mm et vit toute l’année. Son espérance de vie est de seulement un mois. En dehors de son milieu naturel, le pou meurt en 2 jours au maximum. Les femelles pondent entre 7 à 10 œufs par jour (lentes) qui éclosent au bout de 7 à 10 jours et survivent 6 jours hors de leur milieu naturel.

En s’agrippant par ses pattes à nos cheveux, le pou de tête se nourrit du sang de notre cuir chevelu provo-quant ainsi de fortes démangeaisons. Mais que l’on se rassure : le pou de tête n’est pas dangereux en soi. Il ne transmet aucune maladie à l’être humain et ne pro-voque aucun effet nocif sur la santé. Mais sachez que le grattage peut entraîner un risque d’infection.

Les poux ne sautent pas, ils se transmettent donc uniquement par contact direct ou par échange de linge (bonnet, écharpe, casquette, draps, taie d’oreil-ler et autres) ou d’objets personnels (peigne, brosse, barrette et autres). Adultes et enfants peuvent être contaminés par les poux même si souvent, ce sont les enfants qui en souffrent le plus en raison des contacts rapprochés, notamment en milieu scolaire. Dans les

pays industrialisés, entre 1 à 3% des enfants de 6 à 12 ans seraient concernés.

Repérage visuel des poux

L’inspection visuelle des poux dans les cheveux est l’un des moyens de repérage efficaces. Mais ce qui fonc-tionne encore mieux, c’est d’effectuer un brossage des cheveux humides avec un peigne spécial pour ensuite passer le peigne sur un papier ou un linge blanc. La couleur des poux peut varier du gris clair au brun se-lon qu’ils soient gorgés ou non de sang.

Les lentes, de couleur blanchâtre, sont plus difficiles à reconnaître et peuvent être confondues avec des pelli-cules. Mais à la différence de celles-ci, les lentes ne se détachent pas au moindre toucher. Notons que seules les lentes éloignées de moins de 6 millimètres du cuir chevelu sont vivantes et signent la présence de poux vivants.

Tout le monde peut attraper des poux. Leur présence n’est en rien liée

à un manque d’hygiène.

La chasse aux poux

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CheveUx

Si votre enfant a des poux

Il est tout d’abord important de prévenir l’enseignant et le responsable de la structure d’accueil de votre enfant (maison relais, crèche…). Ils avertiront les autres parents de la présence de poux dans l’école ou la structure d’accueil.

Traitez ensuite votre enfant et les autres membres de la famille. Pour se débarrasser des poux, il existe plusieurs méthodes qui ont prouvé leur efficacité:1. La plus naturelle: le peignage manuel. La tech-

nique est simple: passez un peigne spécial pour les poux, mèche par mèche, sur des cheveux mouillés, dans les deux sens. A chaque passage, n’oubliez pas d’essuyer l’instrument sur un linge ou du papier. Cette technique nécessite du temps, de la minutie et de la patience: elle doit être renouvelée de préférence tous les jours, pendant 3 à 4 semaines. En effet, seule une parfaite rigueur garantit d’atteindre l’objectif «poux et lentes zéro»…

2. Un traitement médicamenteux (lotions anti-poux). Attention: les produits anti-poux tuent difficilement les lentes. Pour cette raison, il faut absolument répé-ter le traitement après une semaine environ pour les éliminer. Veillez à bien suivre le mode d’emploi du produit anti-poux et à respecter impérativement le temps d’application. A noter que certaines lotions an-ti-poux entraînent parfois une légère irritation du cuir chevelu ou une sensation de brûlure, mais rarement une réaction allergique.

Enfin, n’oubliez pas de laver les bonnets, les écharpes, les peluches, oreillers et les draps à 60°C. Si vous n’avez pas la possibilité de faire un lavage, enfermez les objets dans un sac en plastique ou mettez-les au congélateur pendant quelques jours. l

Sources: - http://www.mongeneraliste.be- http://www.sante.public.lu

Aucun traitement ne prévient

l’apparition de poux.

Traitement anti-poux: vérifiez bien son efficacité24 heures après l’application du produit anti-poux, contrôlez l’effet du traitement. Si vous trouvez encore des poux vivants, soit:• le mode d’emploi pour appliquer le produit

n’a pas été respecté: dans ce cas, répétez le traitement;

• les poux sont résistants au produit appliqué: dans ce cas, consultez votre médecin ou phar-macien.

En cas de difficulté, contactez l’équipe de la santé scolaire de votre enfant.

Demandez conseil à votre pharmacien

• les insecticides, à base de malathion ou de perméthrine, s’attaquent au système central nerveux des poux. Il est préférable de limiter l’usage des insecticides en raison de leur toxi-cité potentielle aiguë et/ou chronique. En outre, les poux ont appris à devenir résistants aux in-secticides.

• les produits à base de diméticone recouvrent les poux et les asphyxient. La diméticone peut être considérée actuellement comme le pro-duit de premier choix pour lutter contre les poux. Elle est efficace et a peu d’effets indési-rables connus.

Deux types de lotions anti-poux:

Les très jeunes enfants, les personnes qui souffrent d’asthme et les femmes

enceintes doivent de préférence utiliser la méthode du peignage manuel.

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Les cheveux se renouvellent continuellement, et il est tout à fait normal d’en perdre chaque jour. La chute est plus marquée au printemps et en automne. La chute de cheveux devient un problème lorsqu’on en perd plus d’une centaine par jour.

Alopécie androgénétique

La forme la plus fréquente de chute de cheveux est l’alo-pécie androgénétique: cela signifie que la cause de cette forme de chute de cheveux est à la fois hormonale et gé-nétique. Cette forme est plus fréquente chez l’homme, vers 50 ans, 1 homme sur 2 y est confronté. L’alopécie androgénétique se manifeste en premier lieu au niveau du front et des tempes. Chez les femmes, il y a moins de cheveux au sommet du crâne, et ils deviennent plus fins.

Divers facteurs

Bien que la prédisposition génétique joue un rôle impor-tant dans l’alopécie, d’autres facteurs peuvent également favoriser ou aggraver cette forme de chute de cheveux:• Les tractions mécaniques sur les cheveux: brossages

énergiques, coiffures serrées…• Le tabagisme provoque un vieillissement prématu-

ré des cheveux. Au-delà de 20 cigarettes par jour, le risque d’alopécie est doublé.

• Le stress stimule la production d’adrénaline, une hor-mone qui augmente la vigilance et donne plus d’éner-gie. Toutefois, en trop grandes quantités, elle s’avère néfaste et a une influence délétère sur le cuir chevelu

et la croissance des cheveux. Le stress peut également être la cause de mauvaises habitudes alimentaires, ce qui entraîne une carence en nutriments essentiels. Une carence en fer peut provoquer une chute de cheveux.

La vitamine B6 contribue à la synthèse normale de cys-téine, un acide aminé soufré non essentiel. La cystéine est étroitement apparentée à la cystine, un constituant de la kératine, une protéine importante pour les che-veux et les ongles. Le zinc contribue à la santé des cheveux et des ongles et aide à protéger les cellules du stress oxydatif.• En cas de cancer, la radiothérapie favorise la chute de

cheveux. La perte de cheveux dépend de la localisation des rayons. L’exemple le plus évident est le traitement d’une tumeur cérébrale. Suite à l’irradiation du cuir chevelu, le risque de perte de cheveux est très élevé, mais les sourcils, la moustache ou la barbe ne sont pas affectés. Après le traitement par radiothérapie, les che-veux repoussent la plupart du temps, mais cela peut prendre plusieurs mois.

La chimiothérapie agit de l’intérieur, et détruit tant les cellules cancéreuses que les cellules saines. Les cellules à division rapide responsables de la croissance des che-veux sont les plus sensibles à la chimiothérapie. La sévé-rité de la perte de cheveux dépend des médicaments utilisés. Dès que le traitement prend fin, et que le corps a la capacité de récupérer, les cheveux commencent éga-lement à repousser. Toutefois, leur texture et leur cou-leur peuvent changer.

• Enfin, certains médicaments peuvent provoquer une chute de cheveux modérée. Il est donc conseillé de consulter la notice et de chercher éventuellement une alternative avec votre médecin et/ou votre pharmacien. l

La chute de cheveux

La chute de cheveux est souvent une source d’inquiétude. Elle touche plus souvent les hommes, mais certaines femmes peuvent également en être affectées. La chute de cheveux peut être provoquée par divers facteurs; une prise en charge précoce est essentielle pour la traiter efficacement.

Pharmacien Katleen Plettinx . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

CheveUx

Il est tout à fait normal d’en perdre chaque jour.

Source: Belgique

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SoCiéTé

On l’oublie parfois, mais parmi les missions d’un hôpi-tal public comme le Centre Hospitalier de Luxembourg, figure la formation. Objectif avoué: assurer une relève de qualité et les meilleurs soins.

V. Giarmana, Dr E. Mertens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Vous les rencontrez parfois à l’hôpital. Attentifs, la vo-cation dans les yeux et l’ardeur d’apprendre se lisant sur le visage. En 2015, plus de 150 étudiants en facul-té de médecine sont venus faire un stage pratique au CHL. Des futurs médecins en provenance essentielle-ment d’Allemagne, d’Autriche et de Belgique. Quant aux médecins en voie de spécialisation, ils étaient 107 au cours de la même année. Un nombre élevé, que le CHL doit à la reconnaissance d’un nombre important de maîtres de stages -les médecins «se-niors» qui encadrent les médecins en spécialisation, et

aux relations privilégiées établies avec les universités. Un enjeu important pour les jeunes médecins luxem-bourgeois, mais aussi pour attirer au Grand-Duché les meilleurs praticiens.

Jeunes générations

Pour le Dr Catherine Boisanté, directeur médical du CHL, cet accueil dès les premières années (parfois même dès le lycée), est le devoir d’un hôpital public, «non seulement par rapport aux jeunes générations qui ont besoin de notre expérience et nos compétences, mais aussi par rapport aux patients, pour lesquels il s‘agit d’as-surer une relève de qualité».

Monique Birkel, directrice des soins: «Ces jeunes qui viennent apprendre auprès de nous sont

ceux qui nous remplaceront demain. Leur transmettre dès aujourd’hui l’importance de l’attention aux patients et le

goût du travail bien fait, c’est fondamental.»’

Les soignants d e d e m a i n , au cœur du CHL

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SoCiéTé

Le saviez-vous?Cette immersion démarre très tôt: 27 lycéens ont eu l’opportunité de venir «une semaine en entre-prise» au CHL en 2015. Sans compter 329 lycéens du Grand-Duché de Luxembourg qui ont participé aux journées découvertes des professions de santé, organisées en après-midi au CHL.

Stagiaires en soins

Mais il n’y a pas que les médecins, loin s’en faut. Qui dit mé-decine de qualité dit multidisciplinarité. Ainsi, au CHL se for-ment également des stagiaires en soins dans des métiers très variés mais ô combien importants: infirmiers généra-listes, infirmiers spécialisés, sages femmes, kinésithéra-peutes, diététiciens, ergothérapeutes, assistants sociaux...Une mission à laquelle Monique Birkel, directrice des soins, accorde la plus haute importance: «Notre hôpital a toujours été un terrain de stage pour les élèves du Lycée Technique des Professions de Santé de Luxembourg, nous avons d’ailleurs une convention qui lie nos deux établisse-ments. Mais nous recevons aussi des stagiaires formés dans les pays limitrophes du Grand-Duché.» l

Recherche médicaleAutre axe essentiel, qui n’est pas sans lien avec l’enseignement: la recherche. Pour le Dr Marc Schlesser, directeur médical adjoint du CHL, investir dans la recherche, c’est se donner les moyens d’assurer aux patients la meilleure prise en charge, les meilleurs traitements et les techniques à la pointe du progrès médical.

Le fait est éminemment symbolique: le directeur médical adjoint du CHL est en charge de l’enseigne-ment médical et de la recherche. C’est dire à la fois le lien entre les deux dimensions, et leur importance pour un hôpital. Avec en point de mire l’accès aux soins de pointe pour les patients.

Dr Marc Schlesser: «Nous encourageons nos médecins à participer à des projets de recherche, au Luxembourg avec d’autres institutions comme le Luxembourg Insti-tute of Health, l’Université ou encore l’Integrated Biobank Luxembourg, mais aussi au sein de projets multicen-

Histoire d’une vocationMélanie Kirsch, étudiante en médecine à l’UCL (Université Catholique de Louvain), a effectué au CHL ses stages de médecine interne, gynécologie et pédiatrie.

Après le lycée, je voulais un jour faire de la recherche et diriger mon propre laboratoire. Lorsque j’en ai par-lé autour de moi, on m’a conseillé de faire des études de médecine, en me disant que c’était la meilleure voie pour arriver à la recherche. Aujourd’hui, après toutes ces années, je sais que c’est la médecine qui m’intéresse, et je suis vraiment contente de mon choix. Je crois que je voudrais me spécialiser en chirurgie pédiatrique, mais j’ai encore le temps de décider.

Je suis Luxembourgeoise, j’aime mon pays le Luxem-bourg et je voulais pouvoir revenir faire une partie de mon internat ici. J’aime bien le CHL aussi, c’est un hôpital très «familial», plus petit que les grands hôpitaux belges où on se sent parfois un peu perdu.

Mon expérience la plus marquante au CHL jusqu’à pré-sent, je dirai que ce sont les quelques semaines passées en hémato-cancérologie. C’est un service difficile, psy-chologiquement c’est dur, mais l’équipe est formidable. Les médecins m’ont beaucoup encadrée, ils m’ont donné beaucoup d’explications, j’ai toujours pu poser toutes les questions que je souhaitais. J’ai beaucoup appris. l

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Témoignage: une dernière chanceMr D est patient au CHL. Il souffre d’un cancer des poumons, identifié il y a trois ans. Une forme de cancer très rare, dont le diagnostic précis a nécessité plusieurs mois.

Dans les premiers mois, nous avons essayé la chimio-thérapie mais les résultats n’étaient pas concluants. Mon cancérologue m’a proposé alors de participer à une recherche médicale et de rentrer dans un protocole d’études, c’est-à-dire de prendre un médicament non encore commercialisé. Les effets secondaires étaient très forts, j’avais des maux d’estomac, j’étais très fatigué, et le traitement a cessé d’agir après plusieurs cycles. Au bout d’une année, mon médecin m’a proposé un autre traite-ment, toujours en phase d’étude.

Je prends ce traitement depuis un an et demi, les effets négatifs sont moins importants, même s’il y en a tou-jours un peu, et ça fonctionne bien. Je mène une vie «normale», je fais du sport, de la course à pied et du vélo, je vais plutôt bien, il paraît même que la maladie régresse. C’est bien sûr contraignant, je dois prendre 8 cachets par jour, qui me sont fournis directement par le CHL, toutes les 4 semaines. Toutes les 6 semaines, je fais un IRM et un body scan, examens prévus dans

le protocole, et mon médecin surveille de très près les évolutions de la maladie. Il m’a dit dernièrement qu’il n’aurait jamais imaginé que je puisse aller aussi bien, qu’il n’en espérait pas tant et que si j’étais venu le voir il y a 6 ans, il n’aurait rien pu faire pour moi. Je me souviens d’ailleurs que l’une des premières fois où je l’ai vu, il m’a souhaité «bonne chance».

Pour moi, entrer dans un protocole de recherche, c’était effectivement un peu une dernière chance. Quand on est dans ma situation, quand la maladie vous touche, on met du temps à comprendre, à accepter. Puis on se raccroche à toutes les possibilités pour aller mieux. J’ai même regardé quels traitements existaient dans d’autres pays, mais pour l’instant, je ne vois pas la nécessité d’al-ler essayer autre chose. Le traitement que je suis, c’est pour la vie, en tout cas, aussi longtemps qu’il porte des résultats et que le laboratoire en dispose.

Ce matin, j’ai couru. J’ai fait 7 kilomètres. l

SoCiéTé

triques européens. Le partage d’expériences et de techniques ne peut qu’ouvrir de nouveaux horizons à nos médecins. Pour nos patients, la participation du CHL à des études cli-niques signifie un accès à des médicaments non encore sur le marché, qui peuvent faire une différence dans leur traite-ment.»

Mission accomplie

Ce crédo affirmé, de combien de projets parlons-nous? Le chiffre est impressionnant: une centaine d’études et de projets sont en cours au CHL. Pour le corps médical, cela signifie près de 250 publications, près de 200 présen-tations à des conférences ou congrès au Grand-Duché ou à l’étranger. Un intérêt académique? Pas seulement, car ce sont quelque 2300 patients qui, grâce à des pro-jets et études en cours, ont pu bénéficier des meilleures avancées, et ce dans les domaines les plus divers: mala-dies infectieuses, orthopédie, hémato-oncologie, neuro-chirurgie, cardiologie et anesthésie-réanimation, neuro-logie, endocrinologie pédiatrique et pneumologie. l

Dr Marc Schlesser, directeur médical adjoint du CHL: «Pour nos patients, la participation du CHL à des études

cliniques signifie un accès à des médicaments non encore sur le marché.»

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BAS DECOMPRESSION

MÉDICALE

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Structure et missions

Zonta International est une organisation mondiale de service, interprofessionnelle, apolitique et non confes-sionnelle qui poursuit les objectifs suivants:

• promouvoir l’indépendance économique des femmes (système de micro-crédits),

• encourager les actions visant à améliorer leur santé et leur éducation,

• sensibiliser l’opinion publique à toute forme de vio-lence envers elles (mutilations génitales féminines, vio-lences conjugales…),

• soutenir des services et projets réclamant l’égalité des chances pour les femmes de par le monde,

• décerner des bourses et des prix à des jeunes femmes pour les encourager à poursuivre leurs études ou for-mation professionnelle.

Ses membres sont en majorité des femmes qui exercent des responsabilités dans l’administration, le commerce, l’industrie, les professions libérales. Et c’est bénévole-ment et en toute amitié qu’elles coopèrent pour amélio-rer les conditions de vie des femmes et défendre leurs droits.

Bon à savoir:• Zonta International est présent dans 66 pays

avec 32 districts. • Le District 27 regroupe 73 clubs avec plus de 1.800

membres répartis dans 6 pays (belgique, france, Allemagne, pologne, Ukraine et Luxembourg).

• Le Luxembourg compte 4 Zonta clubs: Eisleck, esch-sur-Alzette, Luxembourg et Luxembourg multiculturel.

Offrir un meilleur avenir aux femmes

- La bourse «Amelia Erheat Fellowship» Créé en 1938 en l’honneur d’Amelia Earhart, cette bourse de 10.000 $ est décernée chaque année à 35 femmes de talent qui suivent des études en sciences/doctorat liés à l’aérospatiale ou l’ingénierie dans le monde entier.

Zonta International, une association qui défend les droits de la femme

Depuis sa fondation en 1919 à Buffalo (Etats-Unis), Zonta International se mobilise pour améliorer la situation légale, professionnelle, politique et économique des femmes à travers le monde. Son origine, on la doit à la célèbre aviatrice Amelia Earhart, qui fut la première femme à traverser l’Atlantique en avion.

Céline Buldgen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

«L’éducation est incontestablement l’une des clés pour mettre fin à la pauvreté des

femmes dans le monde.» Danielle Becker-Bauer

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- Le prix «Women in Business Scholarship»L’égalité des sexes n’est pas encore une réalité dans le management et les conseils d’administration des entreprises à travers le monde. Pour encourager les femmes à poursuivre des études et des carrières dans les affaires, Zonta International a donc établi les «Jane M. Klausman Women in Scholarship d’affaires». Douze bourses d’études internationales de 7.000 $ ainsi que des bourses de 1.000 $ sont décernées chaque année au sein de 32 districts.

- Le prix «Young Women in Public Affairs» Il existe encore de nombreux obstacles quant à la partici-pation et la parité des femmes dans la représentation poli-tique à travers le monde. Estimant que les femmes doivent avoir une participation égale dans le processus de prise de décision, Zonta International a établi le prix «Young Wo-men in Public Affairs» en 1990. Ce prix reconnaît les jeunes femmes (16-19 ans) qui démontrent des compétences supérieures en leadership et un engagement envers le service public et les causes civiques, et les encourage à poursuivre leur participation à la vie publique et politique.

Le Zonta Club d’Esch-sur-Alzette fête ses 20 ans

Créé en 1996, le Zonta Club d’Esch-sur-Alzette compte actuellement 25 membres qui se réunissent tous les 1er mardis du mois. Ses projets reposent notamment sur la collecte de fonds via l’organisation annuelle d’un marché de Noël ou de soirées de bienfaisance. Les dons récoltés sont ensuite reversés à des œuvres caritatives telles que par exemple:• le Foyer Sud (Esch-sur-Alzette) qui accueille des femmes

qui ont subi des violences domestiques, et qui, pour la

plupart, se retrouvent sans logement,• l’association Aide au Développement de la Santé (ADS),

fondée par le Dr Richard Schneider, cardiologue au CHEM, qui a pour mission de soigner les enfants at-teints d’une maladie cardiaque dans les pays en voie de développement,

• l’asbl «La Main Tendue» qui se rend dans les familles où l’enfant présente des signes de violence, et joue un rôle de médiateur entre la famille, les éducateurs et les instituteurs,

• l’asbl «Les Amis de l’Inde» qui va à la rencontre des femmes dans les régions les plus pauvres du pays. Son but: instruire ces femmes en leur délivrant des ensei-gnements sur les gestes simples de la vie, les soins médicaux, les principes d’hygiène de base ou encore sur la prise en charge d’un nouveau-né.

• l’association «Toutes à l’école» au Cambodge fondée par la journaliste Tina Kieffer. La création d’un orphe-linat et d’une école a permis à de nombreuses petites filles issues de familles les plus démunies d’avoir accès à une scolarisation de haut niveau.

«Le 15 octobre prochain, nous célébrerons les 20 ans de la remise de Charte du Zonta Club d’Esch-sur-Alzette. Une soirée d’anniversaire sera organisée à la salle des fêtes du Domaine Thermal à Mondorf. La récolte de fonds sera ensuite reversée intégralement au Foyer Sud.», pré-cise Danielle Becker-Bauer, présidente du Zonta Club d’Esch-sur-Alzette. «J’invite chaque personne intéressée à devenir Zontienne à se mettre en relation avec l’une de nos membres.», ajoute-t-elle. l

Sources:- D’après l’interview de Danielle Becker-Bauer, Présidente du Zon-

ta Club d’Esch-sur-Alzette- http://www.zonta-area01-27.org - http://www.zonta.org

«Des qualités indispensables pour être Zontienne: ouverture d’esprit, disponibilité,

sociabilité et serviabilité.» Danielle Becker-Bauer

«Les Zonta Club Réunis du Luxembourg sont représentés au Conseil National des Femmes du Luxembourg qui regroupe 12 associations (partis politiques, services clubs, Femmes en

détresse asbl…).» Danielle Becker-Bauer

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L’Irish Beef, une viande qui «veau» vraiment le détour !

L’Irlande ? 80 % de pâturages d’un vert éclatant ! «Ici, il pleut deux fois par jours», ironise notre guide. Tant mieux pour les 6,8 millions de bœufs qui broutent de l’herbe grasse en jouissant d’une vie paisible au grand air. Stress ? Never ! C’est pourquoi le bœuf irlandais est devenu l’un des produits phares des tables étoilées. Reportage gourmand.

Servane Calmant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Une fois n’est pas coutume, Letz Be Healthy était l’invité d’un voyage gastronomique et non point strictement touristique, tant il est vrai que les produits agroalimen-taires irlandais ont réussi à façonner l’identité même de l’Irlande à l’étranger !

Le pays est d’ailleurs le deuxième producteur européen de tourteaux et langoustines, et un tout gros pourvoyeur de saumon labellisé bio. Impossible de taire la Guinness (véritable monument national), le whisky ou encore le

bien nommé Irish coffee. Et tout qui a goûté au fameux brown bread (à base de beurre, sucre et miel) ou au tradi-tional barm brack (un pain-cake fourré aux raisins secs et écorces d’agrumes confites) en a développé une réelle addiction, probablement incurable, my dear. Plus incon-tournable encore: le bœuf irlandais. Il est partout. Dans le pré. Dans l’assiette. Avec environ 6 millions de têtes (dont 600 000 Irish Angus), l’Irlande possède le sixième cheptel bovin européen, derrière la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Italie et l’Espagne.

Comment être sûr de la qualité de ma viande ?bord bia a créé un logo apposé sur les produits agroalimentaires irlandais qui représente une «Charte Assu-rance Qualité». Sur le terrain, des agents de bord bia contrôlent les fermes partenaires tous les 18 mois ! Ce code de bonnes conduites et pratiques certifie l’origine et la traçabilité des animaux, les méthodes naturelles d’alimentation, le bien-être de l’animal durant le transport (pour éviter tout stress qui altère la qualité de la viande), la production et la transformation de la viande.

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Le fameux Baileys, mariage de crème fraîche irlan-daise, de whiskey et d’essences aromatiques de vanille et de cacao.Les fromages artisanaux locaux: chacun de ces fromages est unique à son producteur et marqué par l’histoire de la ferme qui le produit. Goûtez au Cashel Blue à pâte persillée, au Crozier blue au lait de brebis, aux Porter Chedder au whiskey et à la bière ou encore au Dubliner, de type Cheddar.

L’Irlande, c’est aussi…Pourquoi c’est si bon ?

C’est Bernadette, représentante de Bord Bia, organisme parapublic en charge de la promotion des produits ali-mentaires irlandais à travers le monde, qui sera notre guide. Direction ABP Food Group, grand groupe alimen-taire qui travaille avec quelque 35 000 agriculteurs prin-cipalement à la tête de petites exploitations familiales, et découpe, mature, transforme et conditionne la viande irlandaise. La visite, impressionnante est également édifiante et répond à notre principale question: pourquoi le bœuf irlandais est-il si goûtu et tendre ? La qualité du bœuf passe par la qualité des prairies. C’est d’autant plus vrai qu’en Irlande, la zone principale d’élevage se trouve au centre du pays, un paysage relati-vement plat qui repose sur la plus grande étendue conti-nue de calcaire d’Europe. Le fort contenu de calcium le rend parfait pour le broutage. On soulignera ensuite la nature même du bœuf irlandais: de petit gabarit, il est renommé pour sa résistance aux conditions climatiques rigoureuses, ce qui lui permet d’être nourri naturelle-ment à l’herbe pratiquement toute l’année. Le climat pluvieux joue évidemment un rôle prépondérant: c’est parce qu’il pleut souvent (toujours ?), qu’il fait vert, eh oui ! Aussi le bœuf irlandais peut-il paître en paix 9 mois sur 12 (au minimum) avant de rentrer à l’étable, et d’être nourri avec de l’herbe séchée parfois agrémentée de betterave. On ose poser la question qui tue: «n’est-on point tenté d’ajouter à leur nourriture d’hiver un chouia de farine animale ?» «Never ! Sacrilège !». Regardez-les ces bovins: nourris à l’herbe garnie de trèfles riches en nutriments, dans leur habitat naturel, ils donnent l’im-pression de folâtrer, légers. Toujours en mouvement, la bête (le plus souvent élevée dans des exploitations familiales avec une faible densité d’occupation) voit sa graisse se répartir de manière équilibrée dans la chair

- c’est d’ailleurs ce «persillage» qui donne du goût à une viande particulièrement riche en oméga 3, en vitamine A, en acides linoléiques conjugués et en acides gras insatu-rés en raison même du mode d’élevage à l’herbe.

L’Ultra tender

C’est un vrai secret de fabrication qui fait la différence entre le bœuf d’ailleurs et le fameux label Ultra Tender, que l’on doit à une technique bien particulière: les car-casses de viande sont suspendues par la hanche pour allonger les muscles et de ce fait l’attendrir. La viande est ensuite maturée sur l’os pendant un nombre de jours qui varient en fonction de la demande précise du client – la grande distribution, le petit boucher ou encore, les nombreux restos étoilés. Bon appétit. l

Dans mon assiette ?Principalement du bœuf Hereford irlandais ou de l’Irish Angus. Pour faire court: le Hereford a une robe brun rouge et une tête blanche. Dans l’assiette, il présente un aspect persillé naturel. L’Irish Angus: une robe uni-forme qui peut être rouge sombre ou noire et il n’a pas de cornes. Dans l’assiette, une texture soyeuse.

Le lexiqueRib Steak et Rib Eye: bifteck de côte et faux-filet (le bifteck de côte désossé), traversés de gras, ultra tendres.T-bone: c’est de l’aloyau ainsi nommé pour son os en forme de T.Strip Loin: contre-filet, ultra savoureux.Tenderloin: filet mignon, sans gras ni nerfs.Short ribs: plat de côtes.

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Irritabilité Echelle de sensi-bilité en photo Submergeons

PossessifVoyageraient Chien terrier Exclamation

Commune basque

Strontium Ville portugaise Conviendrait Saison

Famille de primates

Encyclopediste

Arthropode

Ruminais

Influence de la gravité

Famille de musi-ciens allemands

Bismuth Commune Corse

A la mode AstatePossède

Exprime le dégoût

Forte chaleur en SuissePalmiers

australiens

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Solutions dans le prochain numéro

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Solutions du n°10 septembre

Zinc Z Couvre-chef rouge F Transforma en

goutelettes Z

Z NDans

E N Dépasserions ECommune de Somme

Ancien président des

girondins

Commune de Somme Y Z E U XExclamation

B E Z Commune des Landes B C

Casque H E A U M E

ZSans effet

N U L Article DAssemblée générale

Bupreste allongé A G R I L EPolir

E G R I S E RAuteur de

«la tête des autres»

Cour des comptes européenne E C A IYtterbium

A Y M EEchelle de modélisme ferroviaire H O

Belgique B E En matière de E N

Z Coupas R A S A S

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LEtZ pLay

Gagnez des exemplaires de L’Almanach 2017 des Régions, de Jean-Pierre Pernaut. Merci aux éditions Michel Lafon.

Les différentes thématiques de cet almanach s’articulent toujours autour de la chronique phare de Jean-Pierre Pernaut, «La rubrique du 13 heures» sur TF1, qui vous fait découvrir un village, une ville ou un site méritant que l’on s’y attarde.

Pour cette édition 2017, nombreuses sont les nouvelles venues: «D’île en île», ou une autre façon de parcourir la France au fil de l’eau; «Le chiffre du jour» donne des informations chiffrées en tous genres très étonnantes; «Comme on dit chez nous» met en lumière le patois, l’argot ou les expressions typiques de nos régions; «Folklore» zoome sur les costumes, danses et autres chants traditionnels; «Promenons- nous dans les bois» propose de jolies excursions dans nos forêts ; enfin, vous pourrez jouer et répondre aux questions insolites de la rubrique «Un jour, une image». l

Participez aux concours Letz be healthy!

Pour participer, rendez-vous sur letzbehealthy.lu et cliquez sur la bannière Concours. Les gagnants seront tirés au sort et pourront retirer leur cadeau dans leur pharmacie.

Gagnez des exemplaires de Métronome2 Paris intime au fil de ses rues de Lorànt Deutsch. Merci aux éditions Michel Lafon.

Cette fois-ci, ce ne sont pas les stations de métro qui nous guident, mais les grandes et petites voies qui ont fait Paris, avenues, boulevards et rues où nous allons vagabonder au fil de nos rencontres; une maison, un monument, un événement, un fait divers.

François Villon dans une échauffourée rue Saint-Jacques avant d’être banni, la tête de Richelieu volée à la Sor-bonne en 1793 pour n’y revenir qu’en 1866 après un périple ahurissant, les extravagances du jeune Voltaire rue Saint-Denis, la première automobile du monde péta-radant rue de la Roquette, la naissance de la mode rue de la Paix: laissez-vous entraîner par cette effervescence. Des mots surgissent, un peu partout, dont vous trouve-rez ici l’origine parisienne: «guillemets», «argot», «égout», «mégoter»… Après le succès de Métronome et d’Hexagone, Lorànt Deutsch revient à Paris et nous livre l’histoire intime de ses rues. Un Paris intime, celui des bouquetières et des rémouleurs, des poètes et des chiffonniers, celui des arti-sans et des innovateurs, des marlous et des rapins. C’est le Paris des habitants de la cité gallo-romaine, puis de la ville franque, plus tard de la capitale orgueilleuse et bien-tôt de la mégapole tentaculaire. Le Paris du peuple, de tous ceux qui ont fait sa magie et son âme. l

Solutions du n°10 septembre

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Ateliers de psycho-oncologie pour les patients et les familles

Salle de conférence au 1er étage du site CHL Maternité

Vendredi 7 octobre (13h30-15h30) Ateliers de relaxation, de stabilisation émotionnelle

Mardi 25 octobre (13h30-15h30) L’activité physique (ex: le sport) est importante, pourquoi et comment la mettre en place ?

www.hopitauxschuman.lu

HôPITAL KIRCHBERG Groupe de parole autour du diabète de type 1

Lundi 3 octobre (16h00-18h00)

Hôpital Kirchberg, niveau-1 salle U 202 (à côté de la cantine)

Groupe de parole pour l’entourage de personnes souffrant d’une maladie psychiatrique

Jeudi 20 octobre (19h00-20h30)

Hôpital Kirchberg, niveau-1 salle U 202 (à côté de la cantine)

Journée mondiale de la vue

22 octobre 2016 Hôpital Kirchberg La Journée Mondiale de la Vue cible la cécité et la malvoyance et tient à sensi-biliser la population quant aux besoinsspécifiques liés à ces maladies.Au programme: stands d’information, démonstrations et conférences pu-bliques.Pour plus d’information: www.hkb.lu, rubrique «Evénements»

ZITHAKLINIK

Journée mondiale de l’arthrite

12 octobre 2016 - après-midiZithaKlinik - Cafétéria ChimangaConférences publiques avec les in-terventions de:• Dr Rafak Triki et Dr Nathalie Klem-

mer, medecins spécialistes en rhu-matologie

• M Eric Altmann, diététicien• Madame Léa Schaeffer ergothéra-

peutePour plus d’informations:www.zithaklinik.lu, rubrique «Evéne-ments»

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Nouveautés:

Yin-Yoga – Dehnen, Entspannen, Loslassen

Montags, von 19.00 bis 20.00 UhrSprache: luxemburgischInfo: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

Die Kraft des Atems

Montags, von 14.30 bis 15.30 UhrSprache: luxemburgischInfo: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

Rückenyoga

Dienstags, von 18.30 bis 19.30 UhrSprache: luxemburgischInfo: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

Mindful eating

6 séances de 90 mn. en groupe: mardi de 17.30 à 18.30 Langue: luxembourgeoiseInscription: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

Fitness 60+

Donnerstags, von 14.30 bis 15.30 Uhr Sprache: luxemburgisch/deutschInfo: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

Qi Gong

Mittwochs, von 18.00 bis 19.00 Uhr (luxemburgisch) - Mercredi, de 19.15 bis 20.15 Uhr (en français) Inscription: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

Yoga- bewusster leben lernen

Mittwochs, von 9.15 bis 10.15 Uhr und von 10.30 bis 11.30 UhrSprache: luxemburgischInfo: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

Zumba-Gold

Montags, von 10.30 bis 11.30 Uhr Sprache: luxemburgisch/FrançaisInfo: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

Offres psychologiques:

Gesunder Schlaf

Donnerstags, von 12.00 bis 13.00 Uhr (6 Wochen)Sprache: luxemburgischInfo: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

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Dienstags, von 12.00 bis 13.00 Uhr (6 Wochen)Sprache: luxemburgischInfo: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

Meditation (6 Sitzungen)

Dienstags von 12.00 bis 13.00 Uhr und von 17.00 bis 18.00 Uhr Sprache: deutschInfo: 2888-6363 pia.michels@hopitauxschuman.lu

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Tél.: +352 40 144 22 33 13, rue Michel RodangeL-2430 Luxemburg-Stadt

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Sie erhalten von einer zertifizier-ten und erfahrenen Windelberate-rin Informationen zu den Vorteilen von Stoffwindeln für Ihr Baby, den eventuellen Nachteilen, den finanzi-ellen, praktischen und ökologischen Aspekten und einen ersten Einblick in die praktischen Aspekte der ver-schiedenen Wickelsysteme. www.liewensufank.lu

Großer Second Hand Verkauf Grande vente seconde main

Samstag den 22.10.2016 von 14:30-17:30 bei der Initiative Liewensu-fank in Itzig // Samedi le 22.10.2016 de 14:30-17:30 chez nous à Itzig

Sehr gut erhaltener Kleidung für Schwangere, Babys und Kleinkinder // vêtements pour futures mamans, bébés et pour enfants de 0 à 4 answww.liewensufank.lu

Luxembourg Healthcare Summit 2016Rethinking the healthcare ecosystem

6 octobre Etablissement Namur300 professionnels/des conférences thématiques uniques/Healthtech startups/8 awards

2e Journée de la Recherche Médicale

26 Octobre 2016 de 9h à 18h Centre Hospitalier de Luxembourg Info: tania.zamboni@lih.lu - www.jrm.lu

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AgeNdA

Zithaaktiv – Centre de la mémoire et de la mobilité

AUTRES

www.liewensufank.lu

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CArTooN

Rédacteur en chefDr Eric Mertensdrmertens@connexims.lu

Secrétaire de rédactionFrançoise Moitrouxfmoitroux@connexims.lu

Directrice artistiqueNathalie Ruykensnruykens@connexims.lu

PhotographiesLuc Deflorenne - www.lucphoto.luFotolia - www.fotolia.com

Ont collaboré à ce numéroS. Anderling, C. Buldgen, S. Calmant, R. Dehesbaye, B. de Cetti, Samuel

Avec l’aimable participation deV. Giarmana, T. Hoffmann, E. Krebs, K. Plettinx

Production et impressionSacha Design s.à.r.l.contact@sacha.lu

Letz be healthy est imprimé sur du papier certifié issu de la gestion responsable des forêts.

Connexims s.a.Société anonyme au capital de 160.000€25 rue de Waltzing, L-8478 Eischen

R.C.S. Luxembourg B194012Autor. d’établissement N°10055526/0

Business managerPascale LeblonTél. +352 691 229 922pleblon@connexims.lu

Administrateur-déléguéDr Eric MertensTél. +352 27 86 01 87drmertens@connexims.lu

Les articles, photos, dessins et autres illustrations de la partie rédactionnelle de Letz be healthy ne comportent pas de publicité. Les mentions d’entreprises ou de produits figurent à titre documentaire. Les articles, photos et dessins ainsi que les opinions et les publicités sont publiés sous la seule responsabilité des auteurs ou annonceurs. Tous droits de traduction, d’adaptation et de reproduction, par quelque procédé que ce soit, sont réservés pour tous pays.

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Infos

Pharmacie de gardeSavez-vous que vous pouvez trouver les pharmacies de garde sur le site du Syndicat des Pharmaciens luxembourgeoiswww.pharmacie.lu

Vous pouvez retrouver Letz be healthy:- dans votre pharmacie- dans un nombre croissant de salles d’attente (CHL, Hôpitaux Robert

Schuman…)… et en lecture dans la salle d’attente de votre médecin

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Dans nos prochains numéros:

DOSSiER SEniORS

Beauté:Spécial Soins des lèvres

People: Andy Schleck

Animaux:La zoonose

Société: Lancement de l’étude Microbiome de l’IBBL

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