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C’est ce qui ressort de la lecture du

rapport d’activité du comité culturel,

lors de son assemblée générale an-

nuelle, tenue le 10 décembre. Si l’on posait la question : que pensez-vous dela culture à Saint-Hippolyte ? les chances seraientgrandes de se faire répondre que le cannabis(marijuana, chanvre indien, pot) y prend sesaises.

La vie culturelle à Saint-Hippolyte

Bien sûr, il y a une vie culturelle à Saint-Hippo-lyte : la populaire activité annuelle de finance-ment « Vins et fromages » à l’Auberge du lacMorency, où la culture est surtout d’ordre bac-térien, fait salle comble, le succès de la confé-rence de M. Guy Thibault sur les ponts couverts,les expositions mensuelles à la Maison de la cul-

ture et l’exposition Montagne-Art, parviennentquelque peu à redorer notre image.En contrepartie, un volet moins glorieux s’im-pose : les ateliers proposés par le comité ainsique les activités prévues pour les « Journées dela culture » ont dû être annulés… faute d’ins-criptions. Il semble que pour la majorité, la vieculturelle se déroule entre un écran (TV, ordi,console de jeux) et nous.

Sondage à venirDevant cet état de fait, le comité culturel, sousla présidence de Francine Walker, compte effec-tuer une démarche qui prendra probablementla forme d’un sondage, afin de connaître les in-térêts des Hippolytois dans le domaine culturel. De grâce, le moment venu, secouez vos neurones,et répondez « présent » à l’appel de ces béné-voles qui s’échinent à vous faire plaisir. Votre par-ticipation est leur salaire!

Montagne-Art se souvientL’occasion est d’autant plus belle que, cette an-née, l’accent sera mis sur le 25e anniversaire del’exposition Montagne-Art sous le thème : Mon-tagne-Art se souvient. Alors qu’au cours des an-nées passées les artistes intéressés devaient

soumettre leur candidature, cette année, le co-mité a procédé par « invitation » auprès des ar-tistes ayant été mis à l’honneur au cours des ex-positions antérieures.Une quinzaine d’entre eux se sont rencontréspour un remue-méninges, le 13 décembre, lorsd’un brunch à l’Auberge du lac Morency, afin demettre sur pied des activités pour souligner di-gnement les 25 ans de Montagne-Art.Certainement, la participation d’Hippolytois à cecomité constituerait un atout pour que les acti-vités proposées reflèteent vraiment notre iden-tité culturelle propre.

Le comité culturel et vousAfin de montrer que la culture vous tient àcœur et encourager ceux qui oeuvrent à la pro-mouvoir à Saint-Hippolyte, vous pouvez contri-buer aux efforts du Comité culturel en remplis-sant et expédiant le formulaire d’adhésion quise trouve à la page 21. Bien sûr, une seconde éta-pe pourrait s’ensuivre, car des renforts et de nou-velles idées sont toujours les bienvenus. Au plaisir de vous y rencontrer…

Marie-Andrée RACINE

Monique GuayDéputée de Rivière-du-Nord

223, rue Saint-Georges, bureau 200Saint-Jérôme, Québec J7Z 5A1Téléphone: 450 565-0061Télécopieur: 450 565-0118

Incultes, les Hippolytois ?

DENISE MARCOUX

Le 12 décembre avait lieu une distri-

bution gratuite de jouets au pavillon

Roger-Cabana. Tous les parents qui le

désiraient pouvaient choisir les jouets

à offrir à leurs enfants pour Noël.

La cueillette de jouets a été un franc succès, maisles parents n’étaient pas au rendez-vous en cebeau samedi de décembre. Il a fallu profiter duNoël des jeunes qui se déroulait le lendemainpour écouler la marchandise. Les enfants ont pu

alors choisir les jouets qu’ils désiraient et tousles jouets, en majorité de très bonne qualité, ontété donnés. Beaucoup de personnes ont fait decette distribution un succès : CIME-FM, lespompiers de Saint-Hippolyte, le Club optimiste,l’école des Hauteurs, La joyeuse équipée, lerestaurant Primo qui a fourni la pizza aux bé-névoles et finalement, les enseignants, les parentset les enfants qui en ont profité. L’organisatricede l’activité, Suzy Touchette, qui gère une gar-derie en milieu familial au lac Maillé, répéteral’expérience l’an prochain.Michel Noël, Roxanne Touchette, Robert Bois, Suzy Touchette, Gabrielle Brin Si-

gouin, Mathieu Lalonde, Nathalie Dubois Paradis, Laurie-Ann Ratelle. PHOTO NICOLE CHAUVIN

Distribution gratuite de jouets

Francine Walker, présidente du Comitéculturel. HOTO NICOLE CHAUVIN


Comité de citoyens

Une autre année qui s’est terminée àhaute vitesse. Espérons que la nouvel-le nous amènera du bonheur et sur-tout, la santé ! Voici la définition determes souvent employés lorsqu’onparle d’Internet.

WWW : de l’anglais « World WideWeb », il est à l’origine du développement d’In-ternet dans le grand public. C’est un service In-ternet d’accès aux ressources du réseau à par-tir de liens hypertextes, des pointeurs sur lesquelsil suffit de cliquer pour se connecter en toute sim-plicité sur d’autres serveurs ou pour accéder àune information spécifique. Attention! Internetne se limite pas qu’au web. Internet est avant toutun réseau mondial proposant une multitude deservices dont le web.

Navigateur : c’est un programme uti-lisé pour explorer le web. Les Québécois disentvolontiers fureteur ou butineur. Il existe plusieursnavigateurs à part « Internet Explorer ». Pourma part, j’aime beaucoup « Firefox de Mo-zilla ». Il est gratuit et utilise beaucoup moinsde ressources (on pourrait dire moins de puis-sance) de votre ordinateur. Google a aussi un na-

vigateur gratuit, « Google Chrome ». Mes amisme disent qu’il est très « hot ».

Moteur de recherche : c’est une gi-

gantesque base de données sur le web que vouspouvez interroger à partir de mots-clés. Google,Yahoo et MSN sont des exemples de moteurs derecherche. BrightPlanet estime que le réseaumondial contient près de 550 milliards depages, dont seulement 16 % sont prises encompte par les moteurs de recherche clas-siques. Ce nombre impressionnant s’explique-rait par les immenses bases de données univer-sitaires et scientifiques, très peu visitées. Lacroissance du web serait de 7 millions de pages

par jour.Html : une page html, c’est ce qu’on

voit à l’écran lorsqu’on va sur Internet. Les lettrescorrespondent aux mots anglais : « Hyper TextMark-up Language ». C’est le langage de des-cription des pages web. Il est composé d’unesuite de signes ASCII, dans laquelle sont inclusesles commandes spéciales concernant le forma-tage des pages, la police de caractères et les mul-timédia.

Http : est employé dans les adressesde sites web. De l’anglais « Hyper Text Trans-fer Protocol ». C’est un protocole utilisé pourtransporter des pages HTML du WWW. L’accèsaux services web se fait en donnant une adres-se de type http://www.dicofr.com/cgi-bin/n.pl/di-cofr/definition**L’adresse http utilisée dans mon exemple est unexcellent site web français où trouver les réponsesà vos questions informatiques et internet.

Https : se différencie par l’ajout d’un« s » à la fin. Le « s » représente la version sé-curisée (encryptée) du protocole HTTP. Concer-nant les commandes en ligne, certains diront :« J’ai peur de me faire avoir! On me dit que sil’adresse comporte un ‘s’ (https) ça veut nor-malement dire que ce site et sécurisé. » Soyezquand même vigilants, car il y a toutes sortes d’at-trapes sur le web.

Danny DriscollPour tout commentaire concernant cet article ousuggestions : [email protected]

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Plusieurs citoyens de lamunicipalité jouissent de-puis un peu plus d’un an,peut-être moins pour cer-

tains, d’un accès Internet, rapide et àprix abordable, par le fournisseurBell Canada. Toutefois, il existe enco-re un bon nombre de citoyens qui nebénéficient pas de cet avantage. C’estpourquoi un comité de citoyens a été formé.

Le comité est heureux d’apprendre que l’Inter-net haute vitesse sera une des priorités du nou-veau conseil municipal. En effet, à l’assemblée

publique du 7 décembre dernier, le conseillerDagenais, attitré à ce dossier, a expliqué que ladirectrice générale et lui-même avaient déjà euune rencontre avec des responsables du mêmedossier à la MRC d’Argenteuil.Le conseiller Dagenais a accepté de rencontrerle comité de citoyens et de travailler de concertavec eux, ce qui se fera en janvier, puisque lemois de décembre est consacré à la confectiondu budget.Espérons que l’on verra se concrétiser l’objec-tif de rendre l’Internet haute vitesse accessibleà tous les citoyens de Saint-Hippolyte, à un prixabordable, et ce très prochainement! C’est doncun dossier à suivre…

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PRÉSIDENTE

Denise Marcoux 450 563-5848

COORDONNATRICE

Nicole Chauvin 450 563-1975

DISTRIBUTION

José Cassagnol

PETITES ANNONCES

Nicole Chauvin 450 563-1975

IMPRESSION : Hebdo-Litho

Dépôt légal Bibliothèque nationale du Québec, 2e trimestre 1983

Le Sentier reçoit l’appui du ministère de laCulture et des Communications du Québec.

Ce journal communautaire est une réalisationd’une équipe de touche-à-tout en constante évolution.Nous n’avons d’autre but que d’améliorer la qualité de vie à Saint-Hippolyte.

Ainsi, administration, rédaction, correction, choixdes textes et photographies de ce numéro duSentier sont l’oeuvre de Pierrette Asselin,

Martine Bertrand, Jocelyne Annereau

Cassagnol, Michèle Châteauvert, Nicole

Chauvin, André Cherrier, Joane Clark, Diane

Couët, Jacques A. Dufour, Jean-Pierre Fabien,

Thérèse Labrosse, Martine Laval, Denise

Marcoux, Colette Noël, Danielle Paquette,

Isabelle Poulin, Carolane Ouellette-

Robichaud, Marie-Andrée Racine

Nathalie Vigneaul, Audrey Tawel -Thibert et

José Cassagnol.

Les textes du bulletin municipal situés au centredu journal et les textes identifiés par le logo deSaint-Hippolyte sont sous l’entière responsabilitéde la Municipalité.

To our English citizens, your commentsand texts are welcome.

Toute reproduction d’annonces publicitairesparaisssant dans Le Sentier et réalisées par lesconcepteurs publicitaires de ce journal est formel-lement interdite, que ce soit d’une façon intégra-le, partielle ou déguisée.

DES NOUVELLES DE VOUS

Vous souhaitez nous faire part d’une nouvelle,d’un sujet d’article, d’un événementà venir ou à couvrir ? Nous attendons votreappel au 450 563-1975

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Les photos qui paraissent dans le journalsont en vente au coût de 10 $ l’unité, ellessont disponibles en format JPG.

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Le Sentier est à la recherche de personnesbénévoles pour participer à la rédaction.Pour plus de détails, svp joindre NicoleChauvin 450 563-1975 ou Michèle Châteauvert450 563-4104.Vos représentantes publicitaires

Jocelyne Annereau Cassagnol450 431-2002

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Terminologie Internet

Sur Le Sentier de la haute vitesseMARTINE BERTRAND – [email protected]


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Me Alain de Haerne LL. L. DDN

Notaire et conseiller juridiqueNotary and Title Attorney

980, chemin des HauteursSaint-Hippolyte (QC) J8A 1L2

Denise MARCOUX

Les oreilles du journal

PHOTO KARINE ROSSIGNOL

Il se passe des choses intéressantes

aux assemblées publiques du conseil

municipal. Certaines attirent l’atten-

tion, d’autres passent inaperçues.

La prière en début d’assembléeAvez-vous remarqué qu’on n’a pas fait la priè-re au début de l’assemblée, comme c’était le casauparavant? Voilà une initiative de notre nouveaumaire qui mérite d’être soulignée. En effet, laCommission des droits de la personne a déjà re-commandé à certaines municipalités de cesserde réciter la prière avant l’assemblée du conseil,puisqu’« il y a une nécessité de séparer la reli-gion et l’État et les membres d’un conseil mu-nicipal sont des représentants de l’État ». Un représentant de l’État ne peut donc imposerun rituel de nature religieuse dans l’exercice deses fonctions. Si un tel rituel était imposé à unepersonne qui ne partage pas ces croyances,« cette personne pourrait établir qu’elle estvictime de discrimination fondée sur la religion »,écrit la Commission, dans une lettre ouverte pa-

rue en janvier 2009. Et cette personne pourraits’adresser au Tribunal des droits de la person-ne pour obtenir gain de cause. C’est ce mêmetribunal qui, en 2006, avait ordonné à la Villede Laval de cesser la prière avant les séances duconseil municipal. Si l’on y tient vraiment, la Commission desdroits de la personne suggère de remplacer laprière par une minute de silence, comme on lefait à l’Assemblée nationale depuis plus de 30ans, ce qui respecterait les droits de chacun.

La lumière des caméras

Un citoyen, muni d’une caméra, a appris, on sedemande comment, que le maire Laroche avaitl’intention d’interdire de filmer les assembléespubliques. Cela lui apparaît indigne d’un élu res-pectueux de la démocratie, de la liberté depresse et du droit du public à l’information. C’estun manque de transparence démocratique, dit-il. Il demande donc au maire de permettre auxmédias et aux citoyens de tourner les images deleur choix lors des assemblées publiques.

Le maire Laroche n’est, en principe, pas contrel’idée de filmer, si c’est pour informer les gens,mais il veut savoir ce qu’on va faire avec cesimages. Loin de lui l’idée d’interdire la salle auxjournalistes et à leurs caméras. Mais qu’un ci-toyen désire tourner des images sans autorisa-tion préalable lui pose problème.Les municipalités ont tout à fait le droit d’inter-dire de filmer et de photographier à l’intérieurdu lieu où se tiennent les séances du conseil mu-nicipal. Les municipalités de Mille-Isles, Brows-burg-Chatham, Beloeil et Brossard, entre autres,ont des règlements en ce sens. Certaines permet-tent toutefois l’utilisation d’un appareil d’enre-gistrement mécanique ou électronique de lavoix. La Municipalité de Saint-Hippolyte ne pourrait-elle pas procéder elle-même à l’enregistrementdes séances du conseil? Elle pourrait utiliser sonsite Web, comme le fait notre voisine, la Muni-cipalité de Saint-Calixte, pour que les citoyenspuissent suivre l’audio des assemblées en direct.

Le maire, la prière et les camérasLa période de

questionsDENISE MARCOUX

- Une citoyenne a fait un long réquisi-toire sur la nécessité de protéger lesmarécages.

- Un citoyen a demandé à qui apparte-nait l’entreprise qui a obtenu le contratde services professionnels pour laconception graphique et le montage dubulletin municipal. Le maire répondque Doc intelligence stratégique estsituée à Mascouche et est gérée par LucThériault. Rappelons que ce contrat in-clut également la rédaction des textes.On peut donc espérer que dorénavantle bulletin municipal donnera la paro-le aux citoyens en y rapportant la pé-riode de questions.

- Un autre fait remarquer que « leschiffres n’étaient pas si pires » puisquele budget fait état d’un surplus impor-tant. Ses propos ont été toutefois jugésinappropriés lorsqu’il a brandi une pu-blicité électorale, parue en octobre der-nier, pour demander ce qu’il advien-drait des ordures.

- Une personne demande le rembour-sement des frais supplémentaires queles aînés doivent payer pour s’inscri-re à des activités qui se donnent auQuartier 50+ à Saint-Jérôme. La Mu-nicipalité ne donnera pas suite à cet-te demande dans l’immédiat, répondla conseillère Lachaîne, parce qu’ellea une politique de soutien aux orga-nismes et non aux individus. La poli-tique familiale, à venir prochaine-ment, devrait tenir compte de cettedemande des aînés.

- Autres sujets abordés : Internet hautevitesse, surveillance policière sur la rueDesjardins, ouverture officielle du pa-villon du parc Connelly, renaissance duComité de citoyens du lac Maillé, letemps que ça prend pour obtenir uneréponse à une lettre transmise à la Municipalité.

Encore une fois cette année, les béné-

voles du traditionnel HO! HO! HO! du

club Optimiste ont été choyés par da-

me nature qui a bien voulue offrir

une ambiance pour le moins enneigée

à toutes les familles qui se sont dé-

placées pour l’événement.

Comme à l’habitude, les enfants pouvaient s’endonner à cœur joie dans les jeux gonflables avantde se rendre en traîneau dans la forêt ,voir le Pè-re Noël qui les attendait dans sa cabane. Un feude joie permettait aux enfants de se réchaufferen attendant impatiemment le retour du traîneau

pour se rendre au centre com-munautaire, s’amuser avecleurs magnifiques cadeaux tantattendus.

Une fois arrivé, sur place dansune ambiance festive, les béné-voles du club Optimiste offraientchocolat chaud et café pendantque les enfants jouaient avecleurs nouveaux jouets. La seu-

le ombre au tableau de cette journée, l’événe-ment étant de plus en plus populaire et lenombre de jeunes familles ne cessant d’augmen-ter dans notre municipalité, il n’y a pas eu as-sez de cadeaux pour les bébés. Heureusementqu’à cet âge, ils n’ont pas trop conscience de ceque représente le Père Noël. Par chance, les bé-névoles ont pu offrir aux bébés les jouets non-distribués lors de la collecte organisée par Suzy Touchette.

L’édition 2009 des HO ! HO! HO! du Club Optimiste, victime de son succès

Isabelle POULIN

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Récemment, j’ai rencontré au IGA de

Saint-Hippolyte, messieurs Serge Du-

puis et Jean-Paul Lacombe qui, dans

le cadre de la guignolée, ramassaient

des denrées non périssables et des

dons en argent. M. Lacombe, le prési-

dent du Comptoir alimentaire me di-

sait que durant trois jours de récolte

de denrées non périssables et de dons

en argent, la population avait contri-

bué généreusement et de bon coeur.

Une quinzaine de bénévoles par-ticipaient à cet événement quise perpétue encore cette an-née. Grâce aux dons re-cueillis, environ centpaniers de denréesont été distribuésaux gens dans lebesoin, le 18 dé-cembre au Pa-villon Roger-Ca-bana.Outre les Hippolytois,les donateurs du coinfurent nombreux: ledéputé Cousineau, lamunicipalité de Saint-Hip-polyte, diverses compagnies dont Moisson Lau-rentides, le dépanneur Rona et Sables LG.

Vincent Lemay-Thivierge, porte-parole

J’ ai aussi rencontré Vincent Lemay-Thivierge, lechanteur du groupe musical bien de chez nousLes Belvédères, le porte-parole de la guignolée,cette année. C’est la première année qu’il s’im-plique pour cette organisation, après avoir étéapproché par Moisson Laurentides, organismequi redistribue les denrées dans la région et ladirection de la polyvalente de Saint-Jérôme.C’est ainsi que le 10 décembre, Vincent s’est pro-mené toute la journée dans diverses gares,

entreprises, marchés d’alimentation, tous despoints de récolte de la guignolée et que le 16 dé-cembre, il a présenté, avec sa bande Les Belvé-dères, un spectacle dans la grande cafétéria dela Polyvalente, histoire d’encourager et de sen-sibiliser les jeunes à faire des dons de denréespour la guignolée.

Je souhaite que la guignolée, organisme qui ai-de les familles défavorisées, année après année,se poursuive et bravo à Vincent pour son impli-cation en tant que porte-parole de cet événementhumanitaire annuel. Merci à la populationd’avoir été si généreuse!

Audrey TAWEL THIBERT

La guignolée du Comptoir alimentaire

infirmière en soins de pieds infirmière en soins privés

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(ancienne clinique médicale)

Hommage aux organisateurs

de la guignoléeDENISE MARCOUX

Les débuts de la guignolée à Saint-Hippo-

lyte remontent aux années quatre-vingt-

dix. C’est en 1992 que Lucille et Jean-Paul

Lacombe organisent la première guigno-

lée, sous l’égide du Club de l’âge d’Or et

avec la participation de Michel Fortin et

Louis Hattin, de la maison L’Ancestrale et

de Murielle Saucier, du Club optimiste. En

1995, ces trois organismes confient l’or-

ganisation de la guignolée à Laurent de la

Durantaye. Puis, Raymond Philion assu-

me entièrement cette responsabilité pen-

dant une dizaine d’années, soit de 1998

à 2007. Depuis, c’est Jean-Paul Lacombe

et Lucille qui ont organisé la guignolée.

Lucille n’est plus, mais Jean-Paul continue

cette activité. La guignolée permet de re-

cueillir des denrées et des dons afin que

le Comptoir alimentaire de Saint-Hippo-

lyte puisse venir en aide aux gens dans le

besoin qui vivent près de chez-nous.

ISABELLE POULIN

À la Maison de la culture,

le 10 décembre, avait lieu le second

atelier de création offert par le

Service des loisirs de la municipalité.

Après avoir écouté attentivement l’histoire d’Arc-en-ciel, l’animatrice, les enfants se sont mis à la

tâche et ont fabriqué une carte de Noël person-nalisée en 3D.

L’atelier d’une durée de 1 h 30, est offert au coûtde 12 $. Deux autres ateliers proposés par le Ser-vice des loisirs dans la programmation d’hiver,sont à venir. L’atelier de la Saint-Valentin et ce-lui de Pâques qui, j’en suis certaine, sauront ravir vos enfants.

L’ATELIER DE CRÉATION DE LA MUNICIPALITÉ

Des cartes de Noël en 3D

Serge Dupuis et Jean-Paul Lacombe. PHOTO AUDREY TAWEL THIBERT

PHOTO

ISAB

ELLE

POULIN

L’animatrice Arc-en-ciel et Anne-Marie-Braün ont animé l’atelier.

L’automobile et l’hiver

Quelques conseils pour jouir de l’hiver en toute quiétudeL’utilisation d’un chauffe-moteur est de moins enmoins populaire et je crois que c’est une erreur,car il n’y a que des avantages à utiliser un chauf-fe-moteur. En plus d’assurer un excellent démar-rage le matin, il augmente le confort, en accélé-rant le réchauffement du moteur et en réduisantde beaucoup l’usure, tout en diminuant la pollu-tion émise par les gaz d’échappement. Brancher ou utiliser une minuterie pour permettrele fonctionnement deux heures avant le départ maxi-misera le fonctionnement du chauffe-moteur et ce-la ne vous coûtera que quelques sous par jour enélectricité. Le démarreur à distance pollueet coûte cherUtiliser un démarreur à distance est plus facile: onpèse sur un bouton et c’est fait. Je pourrais essayerde vous convaincre d’utiliser un chauffe-moteur plu-tôt qu’un démarreur à distance, en faisant un ges-te pour la planète et en touchant en vous la cordeenvironnementale, mais pensez plutôt à vos proches.En plus de polluer, un démarreur à distance cou-te cher en essence, entre un et deux litres d’essen-ce par jour. Un chauffe-moteur économise l’essen-ce, prolonge la vie utile du moteur, diminue l’effortsubi par la batterie et le démarreur et par le faitmême diminue les visites au garage.Une voiture n’est que métal et plastiquePas besoin d’attendre qu’il fasse -20o on peut uti-liser un chauffe-moteur, faites-le dès que la tem-pérature descend sous zéro. Il est faux de croireque si l’on branche notre voiture avec un chauf-fe-moteur, dorénavant celle-ci devra être toujoursbranchée pour bien démarrer. Une voiture n’est quemétal et plastique, elle n’a pas de sentiment, pasd’émotion et elle ne prend pas de faux pli, elle dé-marrera, branchée ou pas. Un chauffe-moteur est plus économiqueTandis qu’un chauffe-moteur vous coûtera ap-proximativement 130 $ à l’installation — et il sepaiera de lui-même dès la première année d’uti-lisation — un démarreur à distance vous coûtera300 $ et plus, avec un coût d’utilisation élevé. À partle confort accru de l’utilisateur, il n’y pas d’avan-tage à utiliser un démarreur à distance.Certaines villes ont règlementé le temps de fonc-tionnement d’une auto au ralenti à trois minutes;l’utilisation d’un démarreur à distance est donc inutile et il y a fort à parier que nos municipalitésvont suivre la tendance dans un avenir rapproché.

Yvon Lanthier

Yvon Lanthier peut être entendu à la radio(CKAC), le samedi, entre 9 h et 10 h, à l’émis-sion « Prendre la route ».

www.sentierdesaffaires.com

Le Passant ayant fini de passer, voiremême de trépasser, une aventureusepetite famille n’a pas craint deprendre la relève en ouvrant, finjuillet, au cœur du village, un petitresto fort sympathique : le St-Hip.

L’ endroit se veut différent des autres restaurantsde notre patelin. Et il l’est. Les propriétaires ontconsidéré, avec raison, qu’il y avait place cheznous pour un concept de restauration plus éla-borée, bien que sans prétention. L’ambiance yest chaleureuse, la cuisine variée, relevée et…santé! En effet, le menu du midi propose de troisà quatre choix, dont un de poisson, un de vian-de, un de pâtes, une attention toute particuliè-re étant mise sur la fraîcheur des ingrédients.

Depuis peu, des paninis sont au menu. Le chefpropriétaire se plaît même, à l’occasion, à sur-prendre ses clients en proposant des metsd’ailleurs, histoire de titiller les papilles des ama-teurs de cuisine inédite. D’ici peu, un permis d’alcool permettra d’agré-

menter votre repas d’un verre de vin ou de biè-re (… ou deux!). Petits-déjeuners et dînersOuvert tous les jours pour les petits-déjeunerset les dîners, l’établissement ferme pour le mo-ment vers 14 h. Les propriétaires projettent

toutefois d’ouvrir pour le souper, probable-ment sur réservation. La formule reste encoreà déterminer. Ils fourmillent de projets dont, entreautres, repas thématiques, aménagement inté-rieur et extérieur, etc.

Qui s’y frotte s’y pique Donald, Chantal et Blandine sont touchés du bonaccueil reçu des gens d’ici qui constituent ma-joritairement leur clientèle. Déjà, plusieurs fi-gures leur sont familières. Ils apprécient laconfiance témoignée par les dîneurs qui n’hé-sitent pas à exprimer leurs commentaires au chef(Don) par la fenêtre du passe-plat qui a, de cefait, acquis une fonction inusitée : celle d’outilde communication!Qui s’y frotte s’y pique dit-on. Ainsi en est-il duSt-Hip : l’essayer, c’est attraper la piqûre etvouloir y revenir.


Bruno Laroche, notre nouveau maire,

est loin d’être un inconnu pour la po-

pulation puisqu’il siège depuis 1997

au Conseil de ville. Mais derrière le

conseiller, le maire, qui est l’homme?

Présent, chaleureux, exubérantSouriant, sympathique, Bruno Laroche se révè-le d’emblée comme très sociable. « J’aime lesgens, j’ai toujours été très près des gens. Toutle monde m’appelle Bruno. » Chaleureux, le re-gard vif, alerte, il apparaît enpleine forme malgré l’intensitéde sa campagne électorale et lanouvelle charge qui lui incom-be.

« La famille c’est essentiel »

Willie Laroche, son grand-pères’est établi à Saint- Hippolyte en 1939 et son pè-re en1964. Bruno est donc devenu hippolytoisà l’âge de 2 ans. Beaucoup de membres de saparenté demeurent ici.Père de 3 enfants de 11, 13 et 16ans, 2 garçonset 1 fille, Bruno en est très fier et il les adore.Séparé, il vit une nouvelle relation. Visiblement,c’est un homme heureux et épanoui.« Les valeurs familiales c’est important ». Très

proche de sa grand-mère, iladore ses parents. Lorsqu’ilévoque sa relation très privilégiéeavec sa mère, on sent l’émotion,l’intensité de cet amour filial in-conditionnel. « Ma mère est trèsempathique, elle me comprendavant même que je lui parle. »

Curieux et éclectique« J’aime la nature, les sports, la musique, la lec-ture, les jeux de stratégie, le cinéma ... » Ama-teur de pêche, vous pouvez le croiser aussibien sur un terrain de golf qu’en vélo, en ran-donnée pédestre ou sur une pente de ski. Il pra-tique d’ailleurs le ski alpin et la planche à nei-ge. Bien entendu, il adore les sports d’équipe et

d’ailleurs, c’est lui qui a initié, il y a 10 ans, lafameuse partie avec l’équipe des bénévoles duCentre récréatif du lac Connelly.Quant à la lecture, les deux premières guerresmondiales le captivent tout particulièrement. Lavoix d’Édith Piaf l’émeut au même titre que cel-le de Pavarotti, mais le rock l’enchante tout aus-si bien.

Profession? AnalysteAnalyste des indicateurs de performances pourTranscontinental, il a dirigé sa propre entrepri-se Cactus, en copropriété. Actuellement, il tra-vaille comme directeur des comptes chez Dom-co à Blainville. Il est certain que son expertiseprofessionnelle va lui servir grandement dansl’analyse des problématiques municipales.

« J’aime surtout le travail »Le travail lui procure l’épanouissement et « lasatisfaction du devoir accompli».Évidemment,dans sa nouvelle fonction, les dé-fis reliés à la tâche de maire s’avèrent très sti-mulants. « Le fait qu’avec mon équipe nous ayonsfait beaucoup de porte à porte nous a permis dediscuter avec les gens et de prendre connaissan-ce de leurs préoccupations et problématiques».Il éprouve une grande fierté et se sent honoréde représenter la population.

Une grande oreille et des lunettes roses

Son écoute est remarquable et cette qualité se-ra très appréciable dans son rôle de maire. Ai-mant trouver des solutions, il n’hésite pas à ren-contrer les gens concernés avec les directeursde service. Bien sûr il y a un prix à payer : çademande beaucoup de temps. « Parfois je suisimpatient, je voudrais pouvoir tout régler, et ilm’arrive de déborder, d’avoir de la difficulté àgérer mon temps. Mais je suis prudent et je vaisfaire attention à ne pas dépasser les bornes, àsurveiller ma santé. »« On me reproche parfois de porter des lunettesroses parce que je trouve toujours des bons cô-tés et que je fais spontanément confiance aux per-sonnes » Serait-il naïf? Point du tout! C’est unhomme optimiste mais attentif, qui donne sachance aux autres mais qui demeure vigilant etqu’on ne trompe pas. « J’ai aussi un tempéra-ment ferme ».Faisons comme lui, donnons sa chance à ce cou-reur énergique et à son équipe!

Bonjour monsieur le Maire! Non, bonjour Bruno!

Blandine Zapico, Luc-Olivier Hébert, Donald Lepage et Chantal Marquer.PHOTO NICOLE CHAUVIN

Jocelyne Annereau CASSAGNOL

La voix d’ÉdithPiaf l’émeut aumême titre quecelle de Pavarotti

mais le rock l’enchante toutaussi bien.

Le St-Hip : cuisine santé au cœur du village


Tout comme il y a 4 ans, nous vous proposons de découvrir nos nouveaux élus, sous d’autres angles que celui de la politiquemunicipale. Nous commençons ce mois-ci avec le maire et nous poursuivrons avec la conseillère et les conseillers

à raison d’une personne par mois.

Bruno Laroche en compagnie de l’athlète Marc-Antoine Desnoyers lors de la victoirede l'équipe de hockey junior, nous reconnaissons Gilles Beauregard, Yves Dagenais

et le père de Marc-Antoine.


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Les refuges Les refuges pour animaux sont très importants pourmoi. Je m’explique. Il y a plusieurs chiens, chats et pe-tits rongeurs qui se retrouvent dans des refuges. Pour-quoi? Car ils sont mal traités, les gens les abandonnentparce qu’ils sont allergiques ou autres raisons. Cespauvres petites bêtes attendent une famille chaleureu-se qui en prendra soin et qui leur donnera pleind’amour. Si vous voulez aller chercher un de ces petitsanimaux, voici une adresse : LerepairedeSasha.org

Annabelle Goyer (5e) qui adore les animaux.

Les renards rouxDe tous les frères sauvages du chien, le plus communest le renard roux. Son territoire est vaste. On en trou-

ve souvent enAmérique duNord, en Euro-pe, en Asie et enAfr ique duNord. Il a éga-lement été in-troduit en Aus-tralie. On peutsouvent enapercevoir surdes rochers,

proches de leurmère. Le renard roux se terre généralement dans un ter-rier qu’il creuse dans un talus. C’est dans les terriers qu’auprintemps les petits naissent. La portée compte quatreà neuf renardeaux. Ils sont tellement mignons.

Samantha Parent-Heins (6e)

Le chien beagleNous allons vous raconter comme il est amusantd’avoir un chien beagle. Sa taille est de 33 à 40 cm, sonpoids de 8 à 14 kg. Son poil est ras, sa robe peut êtreunie blanche, bicolore blanche et sable, ou tricoloreblanche, noire et brune. Sa tête est fine et carrée, sesyeux sont marron et cerclés de pois. Ses oreilles sonttombantes, longues, à l’extrémité arrondie. Sa queueest longue et blanche. Finalement, son caractère est ami-cal et attachant, ce qui en fait un très bon chien pours’amuser en toute confiance. Adrianne en avait un, maiselle l’a donné, car la petite chienne avait des pro-blèmes de santé.

Maggy McDonald et Adrianne Meilleur (6e)

L’ é cureuil noirAvec son magnifique pelage noir, vous remarquerez trèsvite ce petit rongeur tout doux. Depuis plus d’un an,derrière l’école des Hauteurs, nous profitons d’unepiste de randonnée : le raquetier. L’hiver passé, j’y suis

allée avec mon groupe d’éducation physique et j’ai croi-sé plusieurs écureuils noirs. J’aime beaucoup ce mam-mifère et j’espère en voir encore souvent, surtoutqu’on peut en voir chaque jour donc toutes les saisons.Il mange l’écorce des arbres et c’est un très gentilanimal. Je vous souhaite à tous d’en rencontrer un.

Mélodie Rivière-Labrosse (4e)

Petit poème pour mon chien

Avant, j’avais un chien beagle : Tania. C’était MONchien. Je l’ai eu pendant plus de trois ans, maisje l’ai vendu à une jeune dame. Si je pouvais luilire un poème, ce serait :Mon beau chien-chaud, mon hot dog pleind’eau, ma petite mine d’or, mon petit trésor.Le petit gourmand, mon chien agaçant, le beautalent, tu seras toujours attachant avec tesbeaux compliments.Le chien poli, reste dans ton abri, mon meilleurami. Tu es très gentil.Je t’aime Tania!

Adrianne Meilleur (6e)

Les chiens-saucissesJe vais vous parler d’une race très particulière dechien. Cette race amusante s’appelle tec-kel ou chien-saucisse. Ce chien aucorps allongé, aux longuesoreilles, aux pattescourtes et au mignonpetit nez a unebelle per-sonnalité.I l voit ennoir et blanc etson odorat est très développé.Il y a plusieurs sortes de poils et plusieurs couleurs : lepoil ras, court, long et les couleurs sont : brun, noir etfeu. Le chiot devient long de bonne heure. La mère al-laite jusqu’à six semaines. Ce chien est importé d’Eu-rope. À l’époque, il servait à chasser le blaireau, car c’estune race très courageuse. Ce qui conclut mon texte.

Jessica Huneault (6e)

Le Salon du livreToutes les 5e années et moi-même sommes allées auSalon du Livre de Montréal. C’était extrêmement le fun!Nous avons assisté à une représentation de M. Alain M.Bergeron qui parlait de ses livres « Savais-tu? ». Son illus-trateur aussi y était. Il faisait tirer des dessins qu’il fai-sait sur place. C’était vraiment amusant.

Annabelle Goyer (5e)

J’ai aimé cette expérience. Nous avons rencontré pleind’auteurs intéressants et nous avons pris de leur do-cumentation. Nous avons eu la possibilité d’acheter deslivres. Nous n’avons eu que trois heures pour visiter lesalon, mais j’ai rencontré mon auteur préféré Alain, M.Bergeron.

Pierrick Plouffe (5e)

Les p’tites plumesMARTINE LAVAL, COORDONNATRICE

Les DébrouillardsNous, les 4e années, sommes allées à un atelierdes Débrouillards. Nous avons fait trois expé-riences de chimie. Il y a une expérience que j’aiaimée particulièrement. Ça prend : une bouteille d’eau vide, du bicarbo-nate de soude, du vinaigre et un ballon. La recette : vous mettez trois cuillerées de bicar-bonate de soude dans le fond de la bouteille. En-suite, vous étirez le ballon et vous y mettez le vi-naigre. Vous mettez le ballon sur le bord de labouteille le plus rapidement possible et le ballonva gonfler.C’est très amusant.

Cassandre Drouin-Lauzon et Liliane Beauséjour (4e)

À l’arrière : Marie-Claude, Dorothée, Megan, Cassandre, Maggy, Jessica, Pierrick, Gabrielle, Adrianne, Alex, à l’avant : Sarah Ève, Mélodie, Liliane, Éloïse, Aimélie, Annabelle, les absentes : Kim, Samantha, Marie-Pier.

PHOTO MARTINE LAVAL

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Bulletin d’information de Saint-Hippolyte Janvier 2010

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ne nouvelle année s’amorce avec un nou-veau Conseil munici-

pal, un nouveau Maire, de nouvelles orienta-tions, de nouvelles priorités budgétaires (qui seront déposées le 27 janvier prochain) et pour marquer cette nouvelle ère de change-ment à Saint-Hippolyte, le bulletin L’action municipale fait peau neuve. Nouvelle mise en page, nouvelles couleurs, nouvelle équipe de production, mais surtout, au cœur de cette production, notre ferme engagement de mieux vous informer afin de favoriser votre

participation à la vie démocratique de notre communauté. d’ailleurs, dans le même ordre d’idée, le site internet sera amélioré et mis à jour dès février. durant le dernier mois, nous avons rencon-tré les directeurs de services ainsi que les employés-es de la Ville pour leur transmettre nos orientations et nos priorités. tous se sont dits heureux d’avoir des orientations claires afin de baliser leur travail. Le mot d’ordre : que les citoyens soient au cœur de nos ac-tions et qu’ils aient les services auxquels ils sont en droit de s’attendre. tous ensembles

dans le respect des personnes, profitons de cette nouvelle année qui commence pour faire de Saint-Hippolyte une communauté où il fait bon vivre et où la règle est : la qualité de vie avant tout! en terminant, les membres du Conseil se joi-gnent à moi pour vous souhaiter une année 2010 remplie de joie, de santé et de bonheur. Bonne et heureuse année!Bonne lecture!

Bruno Laroche, Maire

À la suite de notre première assemblée mu-nicipale, les membres du Conseil ont amorcé une réflexion sur le nouvel engouement pour l’utilisation des caméras (pour des fins pri-vées) lors des séances du Conseil. Notre ana-lyse s’est faite dans la lancée de notre volonté plus générale d’implanter des moyens pour améliorer la circulation de l’information. rappelons qu’à la première assemblée, il devait y avoir 3 caméras en action pour des fins (privées) que l’on ignore, au sens où les cameramans n’étaient pas des journalistes.

Lors de la dernière réunion, pour justifier ces enregistrements, un intervenant a fait valoir des principes que nous partageons tous et qui orientent notre action politique à savoir la transparence, la proximité, et l’intégrité.

aussi, pour éviter tout malentendu et surtout

une utilisation politique bassement partisane des enregistrements, le Conseil proposera qu’un enregistrement intégral, un seul, soit fait à chaque séance et placé sur le site in-ternet de la ville. ainsi, tous les citoyens et citoyennes de Saint-Hippolyte pourront avoir accès à ces enregistrements. À moins de per-missions spéciales, aucun autre enregistre-ment ne sera autorisé.

inscriptions aux activités

C’est le moment ou jamais de se remettre en forme, de faire de belles rencontres, de créer des œuvres d’art ou encore de se dé-couvrir de nouvelles aptitudes! inscrivez-vous sans plus tarder avant le 5 janvier pendant les heures régulières à l’Hôtel de Ville.

Bibliothèque

toute l’équipe de la bibliothèque vous sou-haite ses meilleurs vœux en cette nouvelle année : santé, bonheur et beaucoup de belles lectures! Le mois de janvier est une période de résolutions. offrez-vous le plus beau des cadeaux : du temps pour lire! Grâce à la bibliothèque, goûtez aux plaisirs de la lecture pour aussi peu que 5 $ par année (gratuit pour les 0-17 ans). Cette escale vous permettra de voyager d’un uni-vers à l’autre!

Heures d’ouvertureMardi 13h à 19hMercredi 9h à 19hJeudi 13h à 21hVendredi 13h à 21hSamedi 9h à 14h

information : 450.224.4137871, chemin des Hauteurswww.reseaubibliolaurentides.qc.ca

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Action’L municipALe

discours du maire sur la situation financière de la municipalité

La séance régulière du conseil munici-pal aura lieu le lundi, 11 janvier 2010, à 19 h 30, à l’église paroissiale

La municipalité de Saint-Hippolyte offre des services de proximité. C’est donc à votre contact et grâce à vos suggestions que nous pouvons répondre adéquatement à vos besoins afin que la qualité de vie soit la signature de notre communauté. après tout, vous nous avez élus pour ça!

• Hôtel de ville 450.563.2505 #231

Lors de la séance du 11 janvier, le Conseil entend proposer l’adoption d’un règlement autorisant la circulation des véhicules hors route sur certaines portions des chemins pu-blics suivants :

• Chemin du lac Connelly, entre le chemin Kilkenny et la 116e avenue, pour une distance de 1100 mètres

• Chemin du roi, entre le chemin de la Carrière et le chemin de Kilkenny pour une distance de 4 200 mètres

• Chemin Kilkenny, depuis l’intersection du chemin du roi jusqu’au chemin du lac Connelly,pour une distance de 2 200 mètres

• Chemin des Hauteurs, depuis l’adresse civique 2504 jusqu’au 2241 pour une distance 1 500 mètres

Conseil municipal

Contactez-nous

Circulation des véhicules hors route

info & plaintes : Vtt

info & plaintes : motoneige

Budget 2010

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L’adoption du budget 2010 se fera lors de l’assemblée spéciale du 27 janvier 2010, également à 19 h 30 à l’église paroissiale.

Le nouveau conseil municipal a déposé, tel que la loi le prescrit, la situation financière de la Ville au 31 décembre 2008 et une estimation de la situation financière au 30 septembre de l’année 2009, ainsi que les salaires des élus en 2009.

SITUATION FINANCIÈRE AU 31 DÉCEMBRE 2008Conformément à la Loi, j’ai le plaisir de vous présenter les résultats de l’année financière pour l’exercice se terminant le 31 décembre 2008. Le 12 février dernier, la firme de vé-rificateurs reid et associés inc. déposait les états financiers consolidés de la Municipa-lité. Ces états financiers consolidés compren-nent les résultats des organismes contrôlés par la Municipalité, soit la régie intermu-nicipale de police de la rivière-du-Nord et de la régie intermunicipale du Parc régio-nal de la rivière-du-Nord en pourcentage de la participation de la Municipalité. Les états financiers démontraient un surplus d’exercice consolidé pour l’année 2008 de 289 379 $ dont 287 773 $ pour la Muni-cipalité, ce qui établit le surplus accumulé consolidé à 849 459 $, dont 842 769 $ pour la Municipalité. Selon nos vérificateurs, ces états financiers représentent fidèlement la situation financière de la municipalité au 31 décembre 2008 ainsi que les résultats des opérations pour l’exercice terminé à cette date, selon les principes comptables généra-lement reconnus en comptabilité municipale au québec. Pour ce qui est de la dette à long terme consolidée, celle-ci totalisait, à la fin de l’exercice, un montant de 8 103 335 $ et de 7 298 307 $ pour la dette non consolidée qui est remboursable par la Municipalité. La communauté possède un fonds de roulement de 250 000 $ et le capital engagé de ce fonds au 31 décembre 2008 était de 103 041 $.

SITUATION FINANCIÈRE ESTIMATIVE AU 30 SEPTEMBRE 2009Les revenus enregistrés au 30 septembre 2009 étaient de 9 569 285 $ et les dépenses à la même date étaient de 7 170 785 $ pour un budget total de 9 026 174 $.

PROGRAMME TRIENNAL D’IMMOBILISA-TIONS 2010-2011-2012Les orientations générales du prochain pro-gramme triennal d’immobilisations 2010-2011-2012 vous seront soumises à l’assem-blée extraordinaire sur le budget qui est fixée au 27 janvier 2010.

RÉMUNÉRATION DES ÉLUS – en 2009Je vous informe que le salaire des conseillers municipaux s’élève à 8 631 $ plus une allo-cation de dépenses de 4 316 $ ainsi qu’une

rémunération additionnelle de 102 $ par mois pour les différents comités reconnus par la Municipa-lité. Le salaire annuel du maire est, quant à lui, de 26 257 $, et dispose d’une allocation de

dépenses de 13 128 $ en prove-nance de la Municipalité et d’une rémunération annuelle de 10 498 $ plus une allocation de dépenses de 5 249 $ en provenance de la M.r.C. de la rivière-du-Nord. Les délégués à la régie intermunicipale de police de la rivière-du-Nord reçoivent une rémunération de 357 $ par mois.

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denis LemaySécurité publique450.563.2505 #[email protected]

donald riendeauService de l’urbanisme450.563.2505 #[email protected]

Gilles BeauregardFinance & administration, Communication & Culture450.563.2505 #[email protected]

Yves dagenaistravaux Publics450.563.2505 #[email protected]

Chantal LachaineServices communautaires Loisirs450.563.2505 #[email protected]

Philippe royenvironnement450.563.2505 #[email protected]

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• Hôtel de ville 450.563.2505 #231• Club de motoneiges Laurentien

450.563.5050

• 116e avenue, entre le chemin du lac Connelly et le 83, 116e avenue, pour une distance de 300 mètres.

Concours 1001 bonhommes de neigeParticipez en grand nombre à ce concours loufoque qui met à profit vos talents de sculp-teur sur neige. en équipe, personnifiez votre bonhomme de neige. Saisissez cette occasion de passer du temps de qualité avec la famille ou les amis. Plaisir garanti!

VOICI COMMENT PARTICIPER :

1. Être résident de Saint-Hippolyte.2. Façonner en équipe (2 membres et plus) une sculpture de neige.3. Faire parvenir 1 photo* de l’œuvre et de ses créateurs avant le 25 janvier : par courriel ou par la poste. 4. remplir dûment le formulaire d’inscrip-tion, aussi disponible à la bibliothèque municipale, à l’Hôtel de Ville et sur le site internet de la municipalité.Un tirage au sort déterminera les gagnants lors du Festival d’hiver de Saint-Hippolyte le 7 février pro-chain. Courez la chance de gagner de magnifiques prix!

*Votre photo peut être utilisée à des fins de promotion par la Municipalité.

Festival d’hiver

informations

Le 7 février de 11 h à 15 hParc roger-Cabana2060, chemin des Hauteurs*annulé en cas de pluieaccès au site avec le port du macaron 2 $Gratuit pour les 0-3 ans

PartiCiPezJusqu’au 25 janvier

Gilles BeauregardFinance & administration, Communication & Culture450.563.2505 #[email protected]

Yves dagenaistravaux Publics450.563.2505 #[email protected]

Philippe royenvironnement450.563.2505 #[email protected]

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disco des jeunes Vendredi, 8 janvier à 19h Pavillon roger-Cabana(7-14 ans)Prochaine disco : 12 févrierCoût : 5 $

animationprix de présence&

Viens avec tous tes amis !

Plaisir garanti !

anne-Marie BraünCoordonnatrice des loisirs et de la culture2253, ch. des HauteursSaint-Hippolyte (québec) J8a [email protected] # 238

3

L’hiver approche à grands pas. Bientôt, la neige embellira notre décor, ce qui fera le bonheur de tous les enfants! quoi de plus magique pour eux que de jouer dans la neige? Bien sûr, il nous faudra être vigilants et plus attentifs aux dangers que dame Nature nous réserve. Les accumulations de neige sont bien attrayantes pour se creuser un igloo, mais elles sont également extrêmement dan-gereuses!

POURQUOI DEVRAIT-ON PRIVILÉGIER UNE FORTERESSE À UN IGLOO?La forteresse est beaucoup plus sécuritaire que l’igloo; il ne faut jamais oublier que le toit de l’igloo peut s’effondrer à tout moment et ainsi coincer notre enfant à l’intérieur, tandis que la forteresse est à ciel ouvert et comporte moins de risque. Celle-ci est tout aussi amusante et elle nous permet de tou-jours les avoir à l’oeil. Cependant, on doit éviter de la faire trop près des endroits à risques. de plus, nous devons garder en mé-

moire les dangers que comporte le fait de glisser dans la rue afin d’éviter d’être happé par un chauffeur de chasse-neige ou un automobiliste.

VOICI QUELQUES DIRECTIVES POUR ÉVI-TER UN INCIDENT MALHEUREUX• interdire aux enfants en bas âge de jouer

dehors seuls. il est important de super-viser les jeunes de moins de huit ans et de les aider à choisir une aire de jeux sé-curitaire;

• S’assurer qu’ils s’amusent loin des routes, des clôtures et des cours d’eau;

• retirer tous les cordons de leurs vête-ments afin d’éviter les étranglements et favoriser l’utilisation d’un col au lieu d’un foulard;

• éviter de lancer des balles de neige bien tassée pouvant contenir une roche ou un morceau de glace.

en appliquant ces directives, on réduira à coup sûr les asphyxies, les blessures graves ainsi que les cas d’hypothermie. Nous termi-nons en vous souhaitant de passer un très bel hiver avec vos petits trésors et surtout, soyez toujours prudents!

igloo ou fort?

4

La Municipalité de Saint-Hippolyte est à la recherche de candidatures pour des postes de pompiers(ères) à temps partiel.

FONCTION SOMMAIRE :Sous l’autorité des officiers du Service de sé-curité incendie, le pompier est appelé à lut-ter contre les incendies notamment par des opérations de sauvetages et de protection des biens. aussi, il est appelé à participer à l’ins-pection et à l’entretien de la caserne ainsi que des équipements utilisés en cas d’incendie et au cours de diverses interventions d’urgence. Le pompier doit également participer à des séances d’entraînement.

PROFIL RECHERCHÉ :La Municipalité compte embaucher des candidats(es) possédant, d’excellentes capa-cités physiques, des aptitudes à travailler en équipe, un très bon jugement et à intervenir en situation d’urgence. ils ou elles doivent démontrer un sens des responsabilités, de communication, faire preuve d’éthique pro-fessionnelle et d’une grande facilité d’ap-prentissage.

CONDITIONS D’EMBAUCHE :• Posséder un diplôme d’études secondaires et une formation de pompier i ou de niveau 1

ou s’engager à suivre ces formations selon les modalités et les délais prévus par le service.• Posséder un permis de conduire classe 4a.• Faire preuve d’une grande disponibilité.• Être âgé d’au moins dix-huit (18) ans.• de préférence, être en mesure, à partir de son domicile, de se rendre

en automobile en 10 minutes ou moins à la caserne des pompiers située au 2056 chemin des Hauteurs, tout en respectant la signa-lisation et les limites de vitesse.

• Habiter le territoire de la Municipalité de Saint-Hippolyte.• détenir une autorisation de votre employeur, vous permettant de

quitter le travail en tout temps lors de situations d’urgence.

Municipalité de Saint-Hippolyte, Service de sécurité incendie * 2253, chemin des Hauteurs, Saint-Hippolyte, québec, J8a 1a1 6 450.563.1483 8 [email protected]

Pompier(ère) à temps partiel

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Les personnes intéressées doivent faire parvenir leur

curriculum vitae avant 16h30, le 22 janvier

Numéros d’immeuble

Les numéros d’immeuble apposés sur chaque propriété sont d’une importance capitale. ils sont utiles pour les premiers répondants afin de repérer l’endroit où il y a une urgence pour les services de sécurité incendie, de police ou pour les paramédi-caux.Le service Sécurité incendie demande à chaque propriétaire de s’assurer que l’im-meuble où il habite possède un numéro. il en va de la sécurité de tous. des vérifica-tions seront faites à ce sujet par le service Sécurité incendie.

Sur le territoire de la Municipalité de Saint-Hippolyte, il existe une réglementation concernant les numéros d’immeuble. Un propriétaire qui contrevient au règlement 798-98 « Numérotation des immeubles » est passible d’une amende de 50 $.

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Promotion d’un nouvel officier

La Municipalité a procédé à la nomination de M. danny Houle à titre de lieutenant au sein du service Sécurité incendie. M. Houle est employé par la Municipalité à titre de pompier depuis l’été 2005.Le lieutenant est responsable de la gestion des interventions, de la gestion des pé-riodes d’entretien ainsi que de la gestion des périodes d’entraînement.La direction du service Sécurité incendie souhaite bonne chance à M. Houle dans l’exercice de ses nouvelles fonctions.

Graduationafin de compléter le programme de for-mation, chaque pompier doit suivre 275 heures de formation. trois pompiers du service Sécurité incendie de Saint-Hippo-lyte ont terminé avec succès ce programme de formation, qui s’est échelonné sur une période de 18 mois dispensé le soir et les fins de semaine. ils ont reçu leur certifi-cation le 10 décembre 2009 des mains du directeur général de l’école nationale des pompiers du québec, M. Michel richer. Les pompiers sont :

• M. Stéphane Saillant• M. éric durocher• M. Jean-Luc Pilotte

La direction du service Sécurité incendie félicite ces pompiers pour leur persévé-rance à compléter ce programme de for-mation.

quelques trucs pour éviter le cambriolage de votre résidence

au québec, une maison ou un appartement est visité par les voleurs environ toutes les quatre minutes et, dans la majorité des cas, deux à trois minutes leur suffisent pour s’y introduire. aussi, ce n’est qu’une fois sur trois qu’un voleur doit forcer une porte pour commettre son méfait.

VOICI LES PRÉCAUTIONS À PRENDRE :

• Munissez vos portes de serrures sécuritaires et verrouillez-les;• Verrouillez toutes les fenêtres, incluant celles du sous- sol, avant de quitter la maison;• dégagez toutes les portes et fenêtres de tout ce qui mettrait le voleur à l’abri des regards;• évitez de garder d’importantes sommes d’argent à la maison et rangez vos bijoux dans des endroits inhabituels;• Protégez vos portes et fenêtres à glissière en installant des chevilles de sécurité dans les rainures;• installez des grillages métalliques fixes au moyen de vis à sens unique pour protéger les fenêtres du sous-sol;• installez un judas sur votre porte plutôt qu’un verrou à chaîne; cela vous permettra de vérifier de façon sécuritaire l’identité de celui qui frappe.

Ces quelques moyens simples vous protégeront contre les visites désagréables. Les voleurs n’attendent qu’une occasion, ne la leur donnez surtout pas!

BONNE ANNÉE de la part des commerçants

Ainés des HauteursClub de l’Âge d’or

Gabriel Durand , président450 563-4955

16, chemin du lac Bertrand450 530-7181

C.G. Mobile (1997) inc. Club OptimisteSaint-Hippolyte

Jocelyne Morin, présidente

450 224-2351

800,ch.des HauteursSaint-Hippolyte

450 224-7642

780, ch. des Hauteurs, Saint-Hippolyte

450 224-2956

L'Association des Résidents

du Lac Écho / des 14 Îles

A.R.L.E.Q.C.P. 343

Saint-Hippolyte,Qc J8A 3P6

450 224-4338 514 224-2401

6, Marcel, Saint-Hippolytewww.Optilog.com/SERGE GINGRAS

450 563-3225

Raymond Proulx, président450 563-5685

Lise Rioux450 563-9998

Cynthia, Josée et Sonia944, chemin des Hauteurs

450 224-1857

Maillé, St-Pierre & LarocquePharmacien ALIMENTATION ST-ONGE

972, chemin des HauteursSaint-Hippolyte450 224-5179

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Dre France LafontaineDr Vincent Giguère

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Et cette année, quoi de neuf sur les pistes?

A Les pistes de raquettes ont été modifiées demanière à ce qu’elles arrivent et finissent aumême point, ce qui allonge les pistes R1 etR2 d’environ 200 mètres. Le départ se trou-ve maintenant à droite, près de la clôture dufond du terrain de baseball. Les pistes de skisont à gauche.

B Des correctifs mineurs ont été apportés à lapiste 1 et à la piste 2, tandis que la piste 8 aété élargie pour permettre l’apprentissage dupas de patin par l’école de ski de fond.

C Un centre d’entraînement pour le ski de fondavec une descente de 15 mètres de largeura aussi vu le jour.

D La piste 18 est maintenant complète et signa-lée du lac du Pin rouge au lac en Coeur. Lespoints d’entrée se prennent sur la 525e ave-nue, entre la 526e et la 530e avenue, du cô-té est de la rue ou encore sur le chemin duClub, près du chemin du lac du Pin rouge.Vous aimerez cette piste qui n’a guère de dif-ficultés majeures et qui permet une belleboucle si l’on revient par la piste 16.

E La piste 16 a subi un contournement com-plet étant donné la perte d’un importantdroit de passage. Le lac des Sables n’est plusaccessible et on le contourne par le sud surune distance de 2,42 km. Les points d’entréesont restés les mêmes. Par contre, on peutmaintenant la prendre en allant sur le boutde la 520e avenue. Le contournement offreplus de côtes et surtout une belle descente(montée) de toute beauté. On est toujours enattente des panneaux de signalisation aumoment d’écrire ces lignes.Cette piste se trouve complètement sur desterrains privés et il faut respecter les proprié-taires qui ne veulent pas de véhicules moto-risés sur leur terrain.

F Une section de la piste 13, celle qui fait l’axenord-sud, porte maintenant le numéro 19. Ce-ci est dû au fait que les 3 bretelles, qui ontété ajoutées à cette piste, portaient à confu-sion. Cette piste va maintenant de la 13 à la16 en croisant la 15 et reste d’un niveau lé-gèrement difficile avec son beau «pitch», cequi permet de dire qu’une vraie sortie de skisans une bonne « fouille » n’est pas une sor-tie.

Ça recommence!Tous les samedis de janvier, soit les9, 16, 23 et 30, il y aura des sortiesen raquettes dans la municipalité. Ilfaut se rendre au pavillon Roger-Ca-bana pour 9 h. Les sorties sont de trois

heures au maximum et sont adaptées aux gensqui se présentent.De plus, le vendredi 29 janvier, à 19 h, aura lieunotre première sortie en raquettes, sous la plei-ne lune. Le départ se fait du pavillon Roger-Ca-bana. Au retour, un bol de soupe chaude atten-dra les braves qui auront eu le courage deconnaître une autre facette de ce sport.Pour de plus amples informations, appelez André au 450 563-3335

Le Club plein air Saint-Hippolyte fait le point sur les pistes deraquettes et de ski de fond. On verra sur la carte jointe

où se situent ces pistes.

Carolane Ouellette-Robichaud termi-

ne de belle façon sa première moitié

de saison d’escrime. Lors du deuxième

tournoi des jeunes du Québec, qui se

déroulait à Longueuil, la jeune athlè-

te de 13 ans a remporté une médaille

d’or à l’épée, dans la catégorie des

moins de 15 ans, alors qu’elle affron-

tait 23 participantes. Elle a terminé

en première position après avoir ga-

gné neuf matchs sur neuf durant

le « pool » et, lors du tableau d’élimi-

nation, elle a également remporté

tous ses matchs, ce qui l’a menée sur

la première marche du podium.

Rappelons que lors du premier tournoi, qui s’estdéroulé à Repentigny le 14 novembre, Carola-ne a également remporté une médaille d’or àl’épée, dans la catégorie des moins de 15 ans.Elle participait à ce tournoi avec 23 autresépéistes.

D’excellents résultats dansd’autres compétitionsLa jeune athlète a également obtenu d’excellentsrésultats dans d’autres compétitions. Elle s’est

classée 8e dans la catégorie des moins de 15 ans,lors du Super Youth Circuit, à Rochester, dansl’État de New York. Lors du premier tournoi ca-det, pour les moins de 17 ans, qui se déroulait

le 22 novembre à Saint-Jean-sur-Richelieu, el-le s’est classé 5e, ce qui représente un bon ré-sultat étant donné la différence d’âge entre elle

et certaines adver-saires. Et lors de sapremière participa-tion au North Ame-rican Cup, qui sedéroulait à KansasCity au début dumois de novembre,

Carolane a pu affronter de nouvelles escri-meuses. Elle a ainsi vécu pour la première foisune compétition de cette envergure mettant enduel pas moins de 98 épéistes. L’expérience luisera certainement bénéfique pour les prochainescompétitions. D’excellentes notes à l’écoleUn mois de novembre très chargé pour la jeu-ne escrimeuse qui a participé à six compétitionsen cinq semaines. On pourrait croire que s’ab-senter aussi souvent nuirait à ses études. Maisnon! Carolane a réussi ses examens de fin d’éta-pe avec une moyenne générale de 92 %.

Gaétan Robichaud

Alimentation St-Onge inc.

972, chemin des HauteursSaint-Hippolyte

Yves St-Onge Propriétaire

450 224-5179


En tant qu’inconditionnelle de FredPellerin, sitôt entendue la grandenouvelle de la parution de son CD(ben oui : à Tout le monde en par-le!)… il me l’a fallu, coûte que coûte(mais pas trop cher, tout de même…).

Qu’y ai-je trouvé?Un méli-mélo de poésie, de tendresse, d’émo-tions, de belle musicalité, le tout interprété avecsensibilité et un accent du terroir incontournablequi contribue grandement au charme du person-nage. Outre les compositions de Fred Pellerin, on y re-trouve du Vigneault, du Leclerc, une des belleschansons popularisées par Serge Reggiani (ellesl’étaient toutes, belles!), un classique de la mu-sique country : Mille après mille, et même unecréation de Marc Gélinas et Gilles Richer, fort élo-quente.Une belle surprise aussi : la poésie de David Por-

telance. Merci Fred de nous la faire dé-couvrir.En somme, l’ami Fred s’est fait plaisir,puis tente maintenant de propager lacontagion des émotions suscitées. Pourcontrer la grippe A, il y a dorénavant lagrippe Fred. De celle-là, on en redeman-de.Le titre Silence est très approprié car,pour apprécier ce disque, non seule-ment faut-il éliminer tout bruit ambiant, mais ilfaut aussi savoir s’arrêter. Poésie oblige!

À qui s’adresse ce disque hors catégorie?

Avant tout, aux mordus de Fred Pellerin, dirais-je.Car, qui trouve le temps d’interrompre toute ac-tivité pour prêter l’oreille à de la poésie de nosjours?Peut-être, à la rigueur, pourrait-on l’écouter dansl’auto, lors d’un long trajet ou emprisonnésdans la circulation. Histoire de nous aider à nousévader. En fait, je défie quiconque s’arrêtera pourécouter ce CD, bien installé dans son cocon, quelqu’il fût, de ne pas vibrer à cette poésie, à cet-te musique. C’est l’âme même du Québec qu’ony chante. Nulle part ailleurs, on ne trouvera cet

amalgame de mots et de sons,reflets d’une culture en voie d’extinction devoix.

Culte avoué à moitié pardonnéQu’est-ce donc qui m’incite à vouer à notre Fredun quasi-culte qui ne se dément pas avec letemps? Même une visite plutôt décevante, l’étédernier, dans son patelin de Saint-Élie de Cax-ton (la magie n’était pas au rendez-vous cejour-là!), n’a pas entamé mon ardeur. Sans doute sa capacité à nous faire rêver, à nousémerveiller? À mes yeux (et mes oreilles), il estcomme une oasis dans le désert de notre mon-de dénaturé.

Note de l’auteur : Excusez l’emploi

abusif des (), mais, faut ce qu’il faut!


Deux médailles d’or pour Carolane

Au 2e tournoi des jeunes du Québec qui se déroulait è Longueuil : médaille d'or:Carolane Ouellette-Robichaud, médaille d'argent : Andrée-Anne Paquet

et médaille de bronze: Auralie Blanchette et Mélodie Larose.

Carolane

a participé

à six compétitions

en cinq semaines.

Dre France LafontaineDre Annick GirouardDr Vincent Giguère

Guy Dragon, denturologiste780, chemin des Hauteurs bureau 202

Saint-Hippolyte450 224-8241

Les Violons du Roy et Benoît Loiselle à

Carnegie Hall

JOCELYNE ANNEREAU CASSAGNOL

Benoît Loiselle, violoncelliste émérite desViolons du Roy, joue, depuis plusieurs an-nées, dans cet orchestre dont la réputationn’est plus à faire en Amérique du nord. Ber-nard Labadie a célébré ses 25 ans à la têtedes Violons du Roy en présentant le Mes-sie de Haendel et l’Oratorio de Noël de Bach au prestigieux Carnegie Hall de NewYork, puis au Walt Disney Concert Hall deLos Angeles, à la mi-décembre. Accompa-gné de solistes de renommée mondiale etdu choeur la Chapelle de Québec, l’or-chestre présentait pour la 50e fois cetteœuvre majeure de Haendel.Après le concert donné à l’église Saint-Jean-Baptiste à Montréal, Benoît Loiselle,deux jours avant son départ pour NewYork, se disait fatigué mais heureux aprèsune telle prestation, de même que saconjointe Véronique, violoniste dans cemême orchestre, La perspective de jouer àCarnegie hall les ravissaient bien sûr et onles sentaient très stimulés de se produire àLos Angeles. On imagine aisément l’émotion et la fiertéde Claudette Domingue, mère de Benoît.

Silence : Fred chante…


Fin novembre, mes frères et soeurs etmoi-même organisons une grande fêtepour les 80 ans de notre mère.Lorsque la famille est réunie, du pluspetit au plus grand, nous comptonsplus de trente personnes. À celas’ajoutent quelques amis très intimesqui ont toujours fait partie de nosvies. Rassembler tout ce beau mondeest un exercice acrobatique de hautevoltige!

Le scénario

Afin de l’attirer dans nos filets et de la réserverjuste pour nous (car elle a beau avoir son âge,elle est toujours sur la trotte et l’on ne sait ja-mais quant elle décide de partir), nous l’invitonsà manger dans un restaurant fort sympathique,un samedi après-midi, un mois avant la date réel-le de son anniversaire. Nous lui disons quenous ne serons que nous sept, parents et enfants,nos enfants et petits-enfants étant pris dansleurs multiples occupations familiales.

Mon frère , leur voisin, les invite à prendre l’apé-ro chez lui et leur recommande de passer parle garage, l’entrée de son immeuble étant en ré-paration (pure invention bien sûr). Ne se dou-tant de rien, les parents s’exécutent et se retrou-vent au même niveau que la salle dans laquellenous sommes tous à attendre la fêtée. Au signal(vive les cellulaires), nous commençons à en-tonner ma chère Mamie, c’est à ton tour, dete laisser parler d’amour question qu’on ne lafasse pas sursauter en lui criant « Surprise! ».Elle a 80 ans après tout, et autant son coeur estbien accroché, l’émotion pourrait tout de mê-me être forte. Maman ne se doutant de rien, puisque son an-

niversaire est le 29 décembre, l’étonnement etl’émotion sur son visage valaient tous les effortsrassemblés pour la réussite de cette belle fête.Tous émus et elle, en pleurs, nous l’assoyonsconfortablement, lui offrons le champagne, etchacun de ses six arrière-petits-enfants lui offredes fleurs. Compliments, récitations, chansonspréparés pour l’événement se déballent. Mamère est aux oiseaux!

Les Mariachis Puis, vient le temps de déguster l’appétissant buf-fet composé de plats concoctés par chacun denous, pour cette célébration. Nous allons d’unesurprise à l’autre en lui offrant des chansons denotre jeunesse, remaniées pour l’occasion, dugenre Gaston y a le téléthon qui son ouLa complainte du phoque en Alaska . On rit,

on danse, on s’amuse comme dans le bon vieuxtemps pendant que le diaporama de sa vie dé-file sur grand écran. Sur le coup de 16 h, sombrero sur la tête, toutde blanc vêtus, trompette et guitare en main, en-trent les cinq Mariachis qu’elle désirait tantcomme cadeau de ses 80 ans, en souvenir d’uneoccasion tant appréciée.Lorsqu’ils sont entrés dans la salle en chantant,les yeux de ma mère ont brillé d’un tel éclat,qu’un feu d’artifice eut été bien terne à côté. Cet-te femme venait de rajeunir d’un quart de siècle.Elle était, bien sûr, la Reine de toutes les séré-nades, de toutes les danses et ce fut un grand mo-ment de bonheur pour tous, à chanter et dan-ser avec elle. La fête s’est terminée par la dégustation du gâ-teau d’anniversaire que ma nièce artiste-pâtis-sière avait créé pour elle. Un gâteau-livre , pourl’amoureuse de la littérature et de la culturequ’est Marie-José, notre maman, notre mamie,notre arrière-grand-mère. Et pendant qu’elle fai-sait le voeu d’être encore bien en santé pour fê-ter ses 90 ans avec nous tous, nous faisions levoeu secret de célébrer son centenaire. Heureux80 ans maman!

Martine LAVAL

LA VOIX DES GRANDS-PARENTS

Marie-José lors de son 80e anniversairePHOTO ARIANE CÔTÉ

Une mamie olé ! olé !

Christiane Raymond, L.L.L. D.D.N.

Notaire et conseillère juridique2282, chemin des Hauteurs

Saint-Hippolyte

Téléphone : 450 563-5000Télécopieur : 450 563-5713Courriel : [email protected]

Monique GuayDéputée de Rivière-du-Nord

223, rue Saint-GeorgesBureau 200

Saint-Jérôme, QuébecJ7Z 5A1

Téléphone : 450 565-0061Télécopieur : 450 565-0118Courriel : [email protected]

www.moniqueguay.qc.ca

Le dimanche 6 décembre, au Centreéducatif et communautaire des Hau-teurs (dojo de Saint-Hippolyte), se dé-roulait une compétition amicale, Lacoupe des Laurentides, attirant plu-sieurs participants venus de diffé-rents dojo des Laurentides.Grâce à une superbe performance de nos jeuneskaratékas, le club de karaté Saint-Hippolyte aremporté La coupe des Laurentides pour unedeuxième année consécutive. Plusieurs de nosjeunes karatékas en étaient à leur première ex-périence qui, pour la plupart, leur a permis derécolter une médaille, pour les katas (formes)ainsi que pour les kumités (combats).Le déroulement de la journée, qui a débuté parune présentation des dojos, suivi d’un mot dumaire de Saint-Hippolyte, puis d’une démons-tration de kata et finalement de la compétitionelle-même, fut très apprécié des spectateurs. Leclub de karaté Saint-Hippolyte a su impression-

ner les autres dojos et, de ce fait, a constitué undéfi à relever pour les autres dojos, augmen-tant ainsi le plaisir de la compétition.Félicitations à nos jeunes karatékas du Club dekaraté Saint-Hippolyte, pour leur belle perfor-mance et leur persévérance dans l’effort.

Michel Petit

Le club de karaté Saint-Hippolyte a suimpressionner les autres dojos.

PHOTO RICHARD LEBLANC

« La coupe des Laurentides » dekaraté reste à Saint-Hippolyte

Le maintien à domicile d’une per-sonne en perte d’autonomie de-mande parfois à ce qu’un prochesoit disponible pour pallier auxdifficultés de la vie quotidienne.Appelée « proche aidante », cettepersonne s’investit avec cœur etbeaucoup d’énergie auprès d’unepersonne chère dont l’état de santénécessite des soins et de l’assis-tance.

Face à ce rôle exigeant sur les plans phy-siques et psychologiques, il est essentiel quedes services de soutien et d’entraide soientmis en place afin de favoriser un sain équi-libre chez les proches aidants. C’est dans cet-te optique et en réponse aux recommanda-tions formulées par la clientèle que l’équipedu soutien à domicile du CSSS de Saint-Jé-rôme a développé deux services : le Grou-pe de soutien et le Café-échange.

Le Groupe de soutienLe Groupe de soutien est animé par uneintervenante sociale. Le programme estconçu de façon à apporter des informationsconcrètes sur les ressources disponibles etles représentations légales, tout en abordantdes thématiques comme l’épuisement, la cul-pabilité, l’affirmation, etc. Chaque groupe

se réunit hebdomadairement pendant neufsemaines. Les rencontres ont lieu de jourou de soir dans les locaux du CLSC situé au1000, Labelle à Saint-Jérôme. La sessiond’hiver débutera le lundi 25 janvier 2010 de13 h 30 à 16 h et se terminera le 22 mars2010.

le Café-échangeDe son côté, le Café-échange prend la for-me de rencontres mensuelles informellesentre proches aidants. Des conférencesthématiques sont également au programme.Ce service se tient une fois par mois dansles locaux prêtés par Grands-Parents Ten-dresse, lesquels sont situés au 374, rue La-violette à Saint-Jérôme. Le prochain café-échange aura lieu le 18 janvier de 13 h 30à 16 h et portera sur les déficits nutrition-nels chez les personnes en perte d’autono-mie.

Ces activités sont gratuites et accueillent toutproche aidant résidant sur le territoire dela MRC Rivière-du-Nord ou du nord de laMRC Mirabel. Pour obtenir plus d’informa-tion ou pour s’inscrire, il suffit de contac-ter le personnel du soutien à domicile duCLSC en appelant au (450) 432-2777. Pourle Groupe de soutien, composez le poste6230. Pour le Café-échange, il suffit de lais-ser un message sur la boîte vocale 6366. Hâ-tez-vous de vous inscrire!

Du soutien et de l’entraidepour les proches aidants


Chef à domicile avec Daniel St-Pierre

Au plaisir de vous servir !450 275.3084

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Une maison privée à partir de 1963Il est facile de retracer les propriétaires de cet-te maison à partir de 1963, quand « les com-missaires d’école de la paroisse de Saint-Hippo-lyte vendent à Aurore Péladeau, ménagère,domiciliée à Saint-Hippolyte, le lot numérotrois dans le premier rang du Canton Wexford,

mesurant cent cinquante pieds de largeur surcent dix pieds de profondeur, avec la vieille mai-son d’école de l’arrondissement no 5 qui y estérigée. » En 1979, Madame Péladeau vend sesbiens « avec la maison dessus érigée », à LucienMartin, opérateur, domicilié à Montréal. Celui-

ci vend ensuite sa propriété à Madame Gingras,en 2004. En 1983, cette ancienne maison d’école n’avaitsubi aucune rénovation, à l’exception du toit detôle et des fenêtres qui ont été remplacées parM. Martin. Elle était même peinte en gris com-me toutes les écoles de rang. La propriétaire ac-tuelle a complètement rénové la maison tout en

conservant les murs de planches d’ori-gine à l’intérieur.Une maison d’école pendant un demi-siècle

L’acte de vente à Mme Péladeau men-tionne que la Commission scolaire a été« en possession paisible, publique etnon interrompue à titre de propriétai-re depuis au-delà de cinquante (50)ans » de cet immeuble, acquis « en ver-tu de bons titres, qu’ils ne s’obligent pasà fournir ». Et pour cause! Il fautconsulter les procès-verbaux des réunionsdes commissaires d’école pour savoir qui avendu le terrain à la commission scolaire et pour-quoi il n’y a pas de contrat notarié. En effet, le14 septembre 1914, le secrétai-re de la Commission scolaire deSaint-Hippolyte, Joseph Gohier,a acheté le terrain, sur lequell’école no 5 est construite, deJean-Baptiste Boucher. Le contratest signé, mais n’est pas enregis-tré devant notaire. Malgré des résolutions votéesen 1915 et 1932, aucun contrat n’est enregis-tré. Selon le registre foncier, Jean-Baptiste Bou-cher, lui, aurait acheté le terrain d’Hubert Maillé,en 1909.Une maison aux origines incertaines

En consultant les différents actes de vente, on ap-prend que des lots de terre dans le premier rang

du Canton Wexford, à Saint-Hippolyte, ont été ac-quis, en 1869, par billets de location du gouver-nement du Québec, par Phidime Morin, un cul-

tivateur de Sainte-Adèle. En1883, ces lots appartiennent àHubert Maillé avec « une mai-son et autres bâtisses dessusconstruites », et sont vendus àDamase Goyer, marié à Alphon-sine Maillé. Ce dernier les vend

à Eusèbe Huot en 1897. Et en 1909, HubertMaillé redevient propriétaire de ces lots.Si la maison acquise par Mme Gingras est bienla même que celle qui apparaît dans l’acte devente de 1883, elle est donc plus que centenai-re! Mais si l’école a été construite par la Com-mission scolaire de la paroisse de Saint-Hippo-lyte en 1914, cette maison aura 100 ans dans cinqans seulement.

DENISE MARCOUX

La famille Richer vivait tout près de

l’école de l’arrondissement no 5. Lau-

rent, Marielle et Juliette Richer, qui

ont dans les 70 ans, ont accepté de

partager quelques souvenirs. Ils ont

fréquenté cette école dans les années

1940.Des enfants provenant degrosses familles« Nous habitions en haut de la côte à Jean-Bap-tiste », raconte Laurent. « L’hiver, on descendaità l’école en traîne sauvage. Ici, il n’y avait quedes champs et des animaux. À tous les cinq ar-pents, il y avait des colons avec de grosses fa-milles. Les enfants du lac en Cœur, du lac du Pen-du, du lac du Pin rouge, du chemin du mont

Rolland venaientà cette école. Il yavait des Lamou-reux, des

Jacques, des Huot, des Légaré, des Richer, desGoyer, des Brousseau, des Foisy et bien d’autres ».« Nous étions plus de trente enfants dans la mê-me classe », de dire Marielle. « La maîtresse étaittrès sévère. Elle se servait d’une grosse règle pournous réprimander. Il n’y avait pas beaucoup decongés, on était à l’école de 9 h à 16 h. Les gar-çons et les filles étaient séparés dans la classeet dans la cour de récréation. Lorsqu’il pleuvait,on jouait dans la shed à bois. Des fois, après

l’école, la maîtresse gardait un garçon pour ren-trer le bois. On récitait le mois de Marie devantla croix en avant de l’école. On marchait au ca-téchisme jusqu’au village pour se préparer ànotre profession de foi, c’était à deux milles del’école et ça durait toute une semaine ».L’école oui, mais le travail d’abord

Laurent n’a fréquenté l’école qu’un an et demi.Son père l’a retiré de l’école pour conduire uneteam de chevaux au chantier : « Les famillesavaient tellement besoin des enfants dans ce

temps-là », dit-il. Juliette est bien d’accord et c’estpour cela qu’elle n’a pas vraiment apprécié le

temps qu’elle a passé à l’école : « J’ai trouvé çatrès difficile. J’ai pleuré souvent. On travaillaitbeaucoup à la maison, car notre mère étaittoujours enceinte! On n’avait pas le temps de fai-re nos devoirs. On ne pouvait pas non plusjouer dehors comme on l’aurait souhaité. Mê-me la maîtresse surveillait ce que l’on faisait aprèsl’école! » Juliette est allée à l’école jusqu’à la sep-tième année, Marielle, jusqu’à la cinquième.« C’est mon père qui fournissait le bois dechauffage à l’école », explique Laurent. « L’eauprovenait de la source à Henri Gohier. Les la-trines étaient derrière l’école, deux portes pourles filles et deux portes pour les garçons. Le lo-gement de la maîtresse était juste à côté de la sal-le de classe. La classe ressemblait beaucoup àla photo que vous me montrez, avec le tableaunoir, le pupitre de la maîtresse sur la tribune,les rangées de bancs, etc. ».Selon lui, il n’y avait aucun bâtiment sur ce ter-rain avant la construction de l’école : « les co-lons ont fait des bis (corvées) pour construirel’école, le lot appartenait aux Goyer ».

C’était mon école!

Les enfants de René Richer et Gilberte Gosselin sont tous allées à l’école de l’arron-dissement no 5. Dans l’ordre habituel : Marielle, les jumeaux, Gilles et Réjeanne,Jocelyne, Laurent, Juliette, Irénée, Gérard, Aurélien. Jacinthe et Lucie ne sont pas

sur la photo. En arrière, la mère et le père.

Denise MARCOUX

En 2004, Micheline Gingras achète une maison,une ancienne école de rang,sur le boulevard des Hauteurs,au croisement du cheminMont-Rolland. Elle décide defaire des recherches dans leRegistre foncier pour retracer l’histoire de cettemaison qui existerait, selonelle, depuis une centaine d’années.

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Une classe typique d’une école de rang. Celle-ci se trouve à Autray, en Abitibi. Elle fait par-tie du patrimoine et on lui a donné une secon-de vie en la transformant en musée.

Micheline Gingras. PHOTO NICOLE CHAUVIN

Le 14 septembre 1914,le secrétaire de la

Commission scolaire deSaint-Hippolyte, Joseph

Gohier, a acheté le terrain.

Sa maison, une ancienne école de rang

« Nous étions plus de trenteenfants dans la même classe »


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Faune et flore hippolytoises

« Pour quiconque fréquente les forêts

de l’Est, cette petite bête est un hôte

charmant ».

-A.W.F. BanfieldNovembre fut ensoleillé comme jamais. Ce n’estqu’en décembre que la neige s’est installéepour de bon. En regardant l’épais manteau deneige qui recouvre le sol de la forêt, nous pour-rions nous imaginer sans peine que la faune estabsente lorsque survient la saison froide. Or, laréalité est bien différente des apparences. Voyonsde plus près comment s’adaptent les mammifèresà l’approche de l’hiver.

Fuir, s’adapter ou hibernerCertains mammifères, les baleines et les caribous,migrent durant l’automne. D’autres demeurentactifs tout l’hiver. On les nomme hivernants. Pourd’autres mammifères, la fuite et le fait de demeu-rer actifs ne sont pas des options envisageables.Ces mammifères se terrent pen-dant l’hiver et réduisent au maxi-mum leurs activités. C’est ce quenous appelons communémentl’hibernation. En fait, rares sontles vrais hibernants qui ne se ré-veillent à peu près pas de l’hiver.Toutefois, la souris sauteuse des bois défie lesrègles. C’est une vraie hibernante de nos forêts.Regardons d’un peu plus près son histoire na-turelle.Une gerboise sauvageLa souris sauteuse des bois est un rongeur dela famille des Dipodidés qui regroupe égalementles gerboises. Les souris sauteuses prennentsouvent l’attitude des kangourous lorsqu’elless’appuient sur leurs pattes arrière et se serventalors de leurs pattes avant pour tenir leur nour-riture.Des bonds impressionnantsLa longueur totale de la souris sauteuse des boisoscille autour de 23 cm. De cette dimension, ilfaut compter près de 15 cm pour la queue seu-

lement! La souris sauteuse des boisfréquente les forêts d’arbresfeuillus ou de conifères àproximité des cours d’eau.Ces animaux sont grégaireset semblent vivre en colonies.

Ce qui im-pressionnechez ce ron-geur, c’est sacapacité àbondir touten se dépla-

çant. Ce petit mammifère peut effectuer desbonds de 2,8 à 3,7 mètres. De plus, il nage avecaisance et peut grimper aux arbustes. Il est ac-tif surtout la nuit.Un régime variéLa souris sauteuse des bois se nourrit énormé-ment à la fin de l’été afin d’accumuler lesgraisses nécessaires qui l’aideront à hiberner sansheurt. Elle affectionne particulièrement leschampignons souterrains comme l’Endogone ettout ce qui est d’origine végétale (feuilles, racines,graines et fruits de plusieurs espèces). Ces ron-geurs peuvent aussi consommer des larves et desnymphes de plusieurs sortes d’insectes.Dormir pelotonnée tout l’hiverPendant l’été, les terriers creusés par la souris

sauteuse desbois me-s u r e n tprès d’unmètre delongueursur 5 cmde dia-

mètre. I lssont situés à

environ 10 cmsous la surface

du sol. Toutefois, nous avons peu de don-nées sur le refuge hibernal de la souris sauteu-se des bois, puisqu’il n’est presque jamais dé-couvert. Les adultes commencent l’hibernationavant les jeunes, dès le début d’octobre. Ces ani-maux hibernent enroulés sur eux-mêmes etdorment profondément du mois d’octobre à lapremière semaine de mai. Durant cette pério-de de léthargie, les fonctions vitales sont vrai-ment au ralenti. Après s’être pelotonnés si long-temps, le réveil se fera sans surprise.Contrairement aux marmottes qui se réveillenten mars, les souris sauteuses n’auront pas à vivrede leurs réserves de graisse au réveil, la nour-riture à l’extérieur du terrier étant déjà foison-nante. La forêt verdira et la souris sauteuse desbois en profitera…

La souris sauteuse des bois ou celle qui dort d’un sommeil profond

Jean-Pierre QuesnelN O T A I R EService à domicile disponible

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Jean-Pierre FABIEN

Ce petit mammifèrepeut effectuer

des bonds de 2,8 à 3,7 mètres.


2259, chemin des Hauteurs

Le but premier de la carte de membre du Comité culturel consiste à regrouper des amis etdes adeptes des arts pour encourager la continuité de l’intérêt dans ce domaine, susciter lacroissance de la fierté culturelle de la communauté.La contribution pour l’obtention de la carte de membre permet de soutenir la Maison de laculture de Saint-Hippolyte où se tiennent des expositions mensuelles d’artistes peintres et

sculpteurs locaux. En devenant membre, vous contribuez à l’exposition multidisciplinaire Montagne-Art présentant une vingtained’artistes chaque automne et à la possibilité d’organiser diverses activités complémentaires d’intérêt général. En plus de votre soutien aux arts et à la culture, vous profitez des avantages suivants avec votre carte de membre :

• Un rabais sur la vente des billets des activités de 2010• Un rabais sur les ateliers artistiques,• L’accès gratuit aux expositions du Musée d’art contemporain des Laurentides .Pour vous procurer votre carte de membre, veuillez composer le 450 563.2505 poste 248 ou communiquer par courriel :[email protected] ou complétez et postez ce coupon accompagné de votre chèque à :COMITÉ CULTUREL DE SAINT-HIPPOLYTE INC.2253, CHEMIN DES HAUTEURS SAINT-HIPPOLYTE, QC J8A 1A1.

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du 1er janvier au 31 décembre 2010 :

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Le Comité culturel de Saint-Hippolyte inc.,organisme à but non lucratif, a pour mission dediffuser la passion pour la sphère culturelledans la communauté hippolytoise, par la misesur pied d’événements culturels rassembleurs.

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Devenez membre du Comité culturel !

www.culture-saint-hippolyte.org

PROGRAMMATION 2010

12 au 21 février Renée Dion, «Flâneries sylvestres»

peintre aquarelliste(voir publicité dans la page)

12 au 21 mars Sylvie Leblanc,«Mouvance libre»

acrylique et techniques mixtes

27 mars Dégustation vins et fromagesAUBERGE DU LAC MORENCY

9 au 18 avrilCéline Brossard, peintre mixte média

21 au 30 mai Denise et Peter Mayer, photographie digitale artistique

Le dimanche 13 décembre se réunis-

saient plusieurs des artistes «invités

d’honneur » des 24 expositions

Montagne-Art. Dans une ambiance

chaleureuse, ils ont échangé des

souvenirs, des bons moments de leur

Montagne-Art.Soulignons qu’en fait d’événement culturel d’en-vergure, l’exposition Montagne-Art est pionniè-re dans la région des Laurentides! En prépara-tion du 25e Montagne-Art, les artistes présentsnous ont fait part de leur vision respective,amour, émotion, création … À l’unisson, ils of-friront leur passion à travers leur medium de pré-dilection : peinture, musique, sculpture, etautres.

Pour ces créateurs, être libre et authentique estessentiel afin de partager avec les gens la flam-me qui les anime.Montagne-Art nous a été décrit comme un mo-ment de pur plaisir où les visiteurs, petits etgrands, ont l’occasion de partager avec l’artis-te le bonheur de créer. Montagne-Art est notreforce, notre identité et notre fierté. Les gens deSaint-Hippolyte s’en souviennent!

Francine Walker

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HEURES D’OUVERTURE

VENDREDI 18 H À 20 H

SAMEDI et DIMANCHE 12 H À 17 H

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www.culture-saint-hippolyte.org

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Rencontre historique à l’Auberge

du lac Morency

Les artistes Roch Lanthier, Ginette Robitaille, Anne Bisson, Diane Labrosse,Dominique Robert, Guy Lalonde, Andrée

Girouard-Loulou, Alexis Gervais et Ginette Bertrand. PHOTO NICOLE CHAUVIN

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Culturellement vôtre!EXPOSITIONS MENSUELLES

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Mordus de laMordus de lascience

NATHALIE VIGNEAULT

IMAGE : WIKIPÉDIA.ORG

Des scientifiques italiens ont réussi à recréer en laboratoire une molécule essen-tielle à la vie apparue sur terre : l’ARN (acide ribonucléique).L’ARN est une molécule contenue dans nos cellules. El-le sert à fabriquer d’autres substances nécessaires à leurbon fonctionne-ment. Elles permet-tent à nos cellulesde manger, de semultiplier, de vivrequoi!Pour fabriquer cetARN, les scienti-fiques ont mé-langé des nu-cléotides*dans del ’ e a uchaude,entre 40et 90 degrésC e l s i u s .C’est latempératu-re de l’eau àcette époque sur notre planète. Résultat : lesmolécules se sont assemblées d’elles-mêmespour former de l’ARN. En prouvant que l’ARNse forme tout seul, les scientifiques sont sur unebonne piste pour expliquer l’apparition de la viesur terre. Toutefois, la molécule créée en labora-

toire est beaucoup plus courte que celle de notrecorps. Il a probablement fallu beaucoup plus de

temps pour que de vrais ARN se forment il y a desmilliards d’années!

*nucléotides : grosses molécules, les « briques » de l’ARN. Cesbriques s’assemblent dans un ordre bien précis pour former lesrenseignements nécessaires au fonctionnement de nos cellules.

Il y a 250 millions d’années,une grande extinction d’espècesanimales est survenue. Trois sur

quatre des espèces vivant sur la terreferme ont disparu. Toutefois, certaines d’entre elles ont

survécu et c’est le cas de Kombuisia antarctica, une sorte dereptile herbivore de la famille des anomodontes.

Ce dernier a trouvé refuge en Antarctique, endroit où les scientifiques ont trouvé sonfossile. À ce moment, l’Antarctique était différent d’aujourd’hui, car il n’était pas cou-vert de glace pendant toute l’année.À cause des énormes bouleversements climatiques de l’époque, le Kombuisia a été forcéde trouver refuge à un endroit plus froid et plus humide. Le déménagement forcé du Kom-buisia s’est échelonné sur plusieurs centaines d’années. Selon les scientifiques, sa petite taille(celle d’un chat) lui a été favorable. Étant petit, il avait moins besoin de nourriture, cer-tainement rare à ce moment. Les scientifiques croient aussi qu’il aurait développé la ca-pacité de ralentir son métabolisme et peut-être même d’hiberner.La découverte de ce fossile prouve que les continents en formaient un seul à cette époque.On l’appelle la Pangée. La preuve : il a trouvé des fossiles d’espèces presqu’identiquesau Kombuisia, mais en Afrique! Ainsi, pour déménager de l’Afrique à l’Antarctique,l’animal n’avait pas d’océan à traverser.

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fiançailles bénies par l’abbé Maurice

Bélanger, Nicole Boucher a dit « OUI »

à Laurent Laberge, le 1er juillet der-

nier, à la chapelle Saint-Albert Le

Grand du lac Connelly.

C’est dans la joie que parents et amis ont par lasuite fêté l’événement à l’Auberge du lac Moren-cy, par une des plus belles journées orageusesde l’été.

Nicole a pris une décision réfléchie!

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149 900 $

(8185288) - Laissez-vous séduire par cette magni-fique propriété sise sur 3 acres de ter., en face du lacÉcho!Vuepanoramique!Décor int.recherché et cha-leureux.Garage.À 3min.de tous les services.

OFFREZ-VOUS CETTECHALEUREUSE CAMPAGNARDE

334 900 $

77´ BORD LAC ÉCHO

MAGNIFIQUE SITE -BORD LAC DE L’ACHIGAN

(8123674) - Une des plus belles propriétés aubord du lac de lÁchigan. Terrain de 43 596 p.c.,plat avec 183´ de plage de sable. Vue panorami-que.Majestueux pins.Garage double. 1 395 000 $

BORD LACDE L‘ACHIGAN

(8217585) - Magnifique résidence au bord du lacde lÁchigan. Superbe vue! 6 chambres à cou-cher. Grands espaces. Garage simple.

599 000 $

VIVRE DANS LATRANQUILLITÉ

(8197238) - Plain-pied situé sur une rue cul-de-sac.2 chambres + boudoir. SAL/CUI/SAM à aire ouver-te avec foyer de bois au salon. S-sol de servicesoufflé à lúréthane. 134 000 $

VUE SUR LE LACDE L’ACHIGAN

(8218864) - Cottage avec 3 chambres à coucher àl´étage.Espaces à aire ouverte.Comb. lente au salon.Véranda 3 saisons face au lac.

279 000 $

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(8152757) - Profitez dúne plage de 48´ en façade.Plain-pied avec large fenestration (vue panora-mique) et grand balcon. 3 CAC.Garage.

HABITEZ AU BORDDU LAC CONNELLY

300 000 $

(8249950) - Plain-pied (2006), terrain de 53 160p.c.3 CAC,sous-sol pleine grandeur.Secteur rési-dentiel paisible. Occupation immédiate.

SAINT-HIPPOLYTE -SECT. LAC PIN ROUGE

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(8249201) -Pratiquezvosactivitésnautiquespréfé-rées! Accostez votre embarcation en face de chez-vous, sur la riv. Pashby (not.) et naviguez jusqu'aulac de l’Achigan (nav.).

ACCÈS DIRECT AULAC DE L’ACHIGAN

174 900 $

Très beaux grands terrains, zonés fermette.Nouveau secteur! Rue déjà complétée. 80 000 $chacun + TPS/TVQ

RÉALISEZ VOTRE RÊVE!

80 000 $ ch. + TPS/TVQ

(8258089) - 85´ de plage au bord de léau avecmagnifique vue! Orientation sud-ouest. 3 CAC.Comb. lente.Terrain plat! Profitez à lánnée de ce trèsbeau site!

BORD LAC CONNELLY

289 000 $

(8254919) - Accès au lac à lÁnguille. Beau plain-pied familial. 3 chambres à coucher au rez-de-chaussée, 2 s. de bains. Garage. Parc à 2 pas.

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SAINT-HIPPOLYTE

(8227340) - Propriété avec magnifique vue sur léauet les montagnes. Terrain très privé. 2 foyers. Inter-génération. Garage adj. double. Piscine.

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Agent immobilier affilié bur. : 450 431-1515 cell. : 514 ...CHALET À LOUER EMPLACEMENT DE CHOIX Accès à la plage du lac de l’Achigan à moins de 5 min. de marche. Charmante propriété