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L’agglomération rouennaise illumine son patrimoine naturel et industriel L’agglomération rouennaise illumine son patrimoine naturel et industriel DARNÉTAL L’école d’architecture MONT-SAINT-AIGNAN La Maison de l’Université ZÉNITH Mahler fait un malheur ÉCONOMIE Accuellir les entreprises DARNÉTAL L’école d’architecture MONT-SAINT-AIGNAN La Maison de l’Université ZÉNITH Mahler fait un malheur ÉCONOMIE Accuellir les entreprises L’agglomération rouennaise illumine son patrimoine naturel et industriel TEOR, LISOR DU NEUF DANS LE TRANSPORT L’agglomération rouennaise illumine son patrimoine naturel et industriel DARNÉTAL L’école d’architecture MONT-SAINT-AIGNAN La Maison de l’Université ZÉNITH Mahler fait un malheur ÉCONOMIE Accuellir les entreprises DARNÉTAL L’école d’architecture MONT-SAINT-AIGNAN La Maison de l’Université ZÉNITH Mahler fait un malheur ÉCONOMIE Accuellir les entreprises MENSUEL DE L’AGGLOMÉRATION ROUEN NORMANDIE NUMÉRO 00 / MAI 2002

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Accuellir les entreprises La Maison de l’Université La Maison de l’Université La Maison de l’Université La Maison de l’Université L’école d’architecture L’école d’architecture L’école d’architecture L’école d’architecture MONT-SAINT-AIGNAN MONT-SAINT-AIGNAN MONT-SAINT-AIGNAN MONT-SAINT-AIGNAN ÉCONOMIE ÉCONOMIE ÉCONOMIE ÉCONOMIE DARNÉTAL DARNÉTAL DARNÉTAL DARNÉTAL ZÉNITH ZÉNITH ZÉNITH ZÉNITH

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L’agglomération rouennaise illumine

son patrimoine naturel et industriel

L’agglomération rouennaise illumine

son patrimoine naturel et industriel

DARNÉTALL’école d’architectureMONT-SAINT-AIGNANLa Maison de l’UniversitéZÉNITHMahler fait un malheurÉCONOMIEAccuellirles entreprises

DARNÉTALL’école d’architectureMONT-SAINT-AIGNANLa Maison de l’UniversitéZÉNITHMahler fait un malheurÉCONOMIEAccuellirles entreprises

L’agglomération rouennaise illumine

son patrimoine naturel et industriel

TEOR, LISOR DU NEUF DANS LE TRANSPORT

L’agglomération rouennaise illumine

son patrimoine naturel et industriel

DARNÉTALL’école d’architectureMONT-SAINT-AIGNANLa Maison de l’UniversitéZÉNITHMahler fait un malheurÉCONOMIEAccuellirles entreprises

DARNÉTALL’école d’architectureMONT-SAINT-AIGNANLa Maison de l’UniversitéZÉNITHMahler fait un malheurÉCONOMIEAccuellirles entreprises

MENSUEL DE L’AGGLOMÉRATION ROUEN NORMANDIENUMÉRO 00 / MAI 2002

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Si l’inauguration du pont n’est pas prévu avant 2005, les habitants n’ont pas perdu une minute pour apporter leurs contribu-tions au nom que celui-ci pourrait adopter. Plus de 250 réponses sont parve-nues à la Communauté d’Agglomération. Sans vouloir opérer de classe-ment tant les propositions sont diversifiées, imagina-tives et originales, on re-tiendra ici* quelques-uns des noms les plus fréquem-ment cités. L’auteur de Madame Bovary, natif de Rouen, Gustave Flaubert

recueille naturellement de nombreux suffrages, tout comme Victor Hugo dont la présence à Villequier justi-fierait le choix. Le Duc de Normandie, ex chef de guerre norvégien Rollon, ne manque évidemment pas de partisans. Il en va de même pour l’aventurier intrépide du Mississipi que fut le Rouennais Cavelier de la Salle. L’anti-conformiste et inventeur de l’art mo-derne Marcel Duchamp ne pouvait naturellement pas manquer à l’appel. Quant aux frères Verrazano, qui partirent de Rouen pour

découvrir New-York, ils ont aussi leur ardents défen-seurs. Sur le plan sportif, Jacques Anquetil et David Douillet tiennent le haut du pavé. Dans la sphère poli-tique Jean Lecanuet et François Mitterrand de-meurent présents dans de nombreux esprits. Reste les symboles martimes et flu-v i aux ou synonyme d’union. Le pont des Bate-liers ou le pont de l’Armada suscitent ainsi de nom-breuses recommandations tout comme le Pont de L’Europe. A moins que le Pont Pidou ne parvienne à faire l’unanimité, le choix final par les collectivités qui financent l’ouvrage sera nécessairement compliqué. * Retrouvez la totalité des propositions et leur argumentaire sur le site de la Communauté : www.agglo-rouennaise.fr

URBANISME. Quel nom pour le 6e pont ?Voici quelques mois, la Communauté de l’agglo mération rouen naise lançait un appel à propositions concernant le nom que pourrait adopter le 6e pont. Les habitants n’ont pas manqué d’imagination.

Une légende de la photo en

quelques lignes

ABONNEZ-VOUS À LA NEWSLETTER DE LA CARL’actualité de l’Agglomé ration rouennaise vous intéresse. Vous dé-sirez être tenu informé des projets de la Communauté. Rien de plus simple. Il suffit de vous abonnez gratuitement à la newsletter electronique “E-CAR”. Vous recevrez chaque mois par e-mail l’es-sentiel de l’information intercommunale. Il suffit pour cela de nous adressez un mail à l’adresse suivante : [email protected] ou de vous rendre sur le site www.agglo-rouennaise.fr.

L’INVENTAIRE DU SPORT EN 176 PAGESEnvie de pratiquer la musculation ou la natation synchronisée, d’endosser les habits de cavaliers ou ceux d’escrimeur, de tenir une raquette de ping-pong ou de squash, de maîtriser l’art subtile du nihon tai jitsu ou du kyudo ou de devenir un adepte du free style ou du bicross ? Et pourquoi pas tout simplement améliorer la silhouette de votre corps par un peu de gymnastique ou de stretching ? Tous ces sports et quelques cen-taines d’autres sont présents dans le premier

Guide des sports de l’agglomération rouennaise. Réalisé par la Communauté d’Agglomération, celui-ci est consultable dans cha-cune mairies du territoire intercommunal et vous renseignera uti-lement sur tous les clubs et associations sportives qui vous inté-ressent.

Signataire, en janvier der-nier, de la charte visant à mettre en œuvre une poli-tique d’insertion à l’occasion des marchés publics, la Com-munauté d’Agglomération permet à des personnes en situation de précarité de re-trouver le chemin de l’em-ploi. Le principe est simple. Lors du choix des entreprises candidates à la réalisation d’un chantier d’aggloméra-tion suite à un appel d’offres, la Communauté choisit en priorité les entreprises qui s’engagent à promouvoir l’embauche de personnes touchées par le chômage de

longue durée ou traversant une situation sociale déli-cate. Ce partenariat exem-plaire avec les entreprises de bâtiments et de travaux publics permet ainsi chaque année à plusieurs centaines de personnes de retrouver une vie normale.

86% DES FRANÇAIS PLÉBISCITENT L’INTERCOMMUNALITÉ“C’est la fin de l’esprit de clocher” titrait récemment le quoti-dien Libération (22/1/02) à propos du sondage commandé par la DATAR (Délégation à l’aménagement du territoire et à l’ac-tion régionale) concernant de l’opinion des Français sur la coo-pération intercommunale. Et pour cause, plus de 2 Français sur 3 estiment que les communes ont intérêt à se regrouper car il est plus efficace de traiter en commun certains problèmes. 79% attendent une amélioration des transports en commun et des services publics, 72% un dynamisme culturel plus impor-tant, 70% un véritable développement économique. Seuls 12% des Français redoutent une perte d’autonomie de leur com-mune.

le chiffre qui parle

EXEMPLE À SUIVRE. La Communauté favorise l’insertion des personnes en difficulté

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Longtemps critiquée par son manque d’animations et d’ouverture sur l’extérieur, l’Université de Rouen peut aujourd’hui respirer. La Mai-son de l’Université, ouverte en mars dernier, est l’équipe-ment idéal pour donnder du souffle et de l’énergie au campus rouennais. Véritable vitrine de la vie étudiante,

l ieu de rencontre et d’échange, ouverte aux ar-tistes comme aux cher-cheurs, aux associations comme aux habitants, elle dispose notamment d’un espace forum, d’une salle de spectacle de 300 places, d’une salle de conférence de 200 places, de 8 salles infor-matiques, de 13 salles réser-

vées aux associations étu-diantes et de très nombreux services. La Maison de l’Uni-versité a nécessité un bud-get de près de 10 millions d’euros. Elle est reliée direc-tement au centre-ville rouennais par la ligne T1 de TEOR.

À DECOUVRIR. La Maison de l’Université donne des ailes à la vie étudiante

Maison de l’Universitérue Lavoisier76130 Mont-Saint-AignanLigne T1 - arrêt Lavoisier

L’intercommunalité a franchi une nouvelle étape. A l’occa-sion du Conseil réuni le 25 mars, les 34 communes de l’Agglomération rouennaise ont approuvé le lancement d’études sans précédent concernant le développe-ment ou la création de zones d’activités écono-miques d’intérêt commu-nautaire. Plus de 200 hec-tares répartis sur 17 communes sont concernés. « Notre objectif, déclare le Président la Communauté François Zimeray, est de ren-forcer l’attractivité de notre agglomération qui manque cruellement de surfaces à offrir aux entreprises. » Di-versification de l’offre, réé-quilibrage géographique, respect de l’environnement animeront ce développe-ment économique qui dis-

aggloMag Magazine de la Communauté de l’Agglomération Rouennaise

14, bis avenue Pasteur - Norwich House BP 589 - 76006 Rouen CedexTel : 02 32 76 44 30 / Fax : 02 35 71 25 95 E-mail : [email protected]

Directeur de la publication : Claude Avisse / Rédactrice en chef : Anne Questel / Rédaction : Vincent Lalire, Helene Di Nocera, Stephanie Gerbi, Olivier Ratieuville / Conception graphique : l’Atelier de communication / Mise en page : Stephanie Marc / Impression : onsaitpasencore / Crédit photo : Bruno Maurey ; CAR / Tirage : 200.000 ex / Dépôt légal : septembre 2002 / ISNN 1269-3855 / Tous droits de reproduction réservés

Madame, Monsieur

Parce que l’agglomération rouennaise se trans-forme, évolue et se rapproche de ses conci-toyens, le magazine de la Communauté adopte une nouvelle mise en page, un nouveau contenu et un nouveau rythme de parution. Désormais mensuel, il vous informera plus régulièrement sur l’avenir et les grands projets de notre agglomération. Plus clair, plus pédagogique, il vous permettra de mieux appréhender les véritables enjeux de l’intercommunalité. Plus vivant enfin, ce nouveau magazine vous fera découvrir les richesses des 34 communes qui composent son territoire. Environnement, transport, développement économique, culture, sport, urbanisme : tout ces domaines si déterminants pour la qualité de vie de cha-cun seront naturellement abordés. Mais ce magazine est également le vôtre. Nous vous invitons à nous communiquer toutes les infor-mations susceptibles de l’enrichir et de le rendre toujours plus attractif.

Je vous souhaite une excellente lecture.

François Zimeray Président de la Communauté

de l’Agglomération Rouennaise

tingue deux types de sites. D’une part les grands sites de développement : les quartiers Seine-Ouest, la Plaine de la Ronce/Copla-nord, la Briqueterie de Ois-sel, la Vallée des 12 rivières (Aubette-Robec), le Val d’Eauplet/ Lescure, et enfin le Linoleum (Notre-Dame de Bondeville). D’autre part les sites de reconversion : le parc Biosciences à Mont-Saint-Aignan, la Caserne

Tallendier à Petit-Quevilly. Les études engagées ont pour but de définir les péri-mètres pertinents à l’inté-rieur de chaque zone et de définir le type d’activités (généraliste ou spécialisé) susceptibles de répondre au mieux aux besoins des en-treprises.

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le mot du président

ÉCONOMIE. 34 communes unies pour attirer les entreprises

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BERNARD JEANNEMAIRE DE RONCHEROLLES-SUR-LE-VIVIER

Pour quelles raisons votre com-mune a-t-elle décidé d’adhérer à la Communauté de l’Agglomé-ration Rouennaise ?

Aujourd’hui, il paraît évident que les communes ont intérêt à se re-grouper pour offrir à leur popula-tion des services qu’elle ne peuvent pas accomplir seule. Pour les transports en commun comme pour la collecte des déchets ou encore l’assainissement, l’échelle

de l’agglomération est la plus pertinente et la plus efficace. La commune ne perd pas en autonomie mais gagne au contraire en responsabilité. Elle participe au sein de la Communauté à des déci-sions majeures pour l’avenir des 34 communes. De plus la Commu-nauté d’Agglomération apporte une véritable aide aux petites com-munes, par exemple pour la rénovation de certaines voiries ou le financement d’équipements publics.

Pouvez-vous nous présenter votre commune en quelques mots ?

Roncherolles-sur-le-Vivier se situe à une dizaine de kilomètres au nord-ouest de Rouen. La commune compte aujourd’hui un peu plus de 1.000 habitants et s’étend sur 533 hectares. Elle domine un petit ruisseau “le Vivier”, modeste affluent du Robec, qui se jette dans la Seine. Comme tous les villages, Roncherolle a son église dédiée à la Sainte Trinité qui abrite un panneau du début du XVIIe siècle représentant Saint-Etienne-de-Muret. Face à elle, se trouve un monument construit en 1989, qui représente des ronces qui se solidarisent pour brandir le bonnet phrygien, em-blême de la République. A proximité du centre, le manoir de Bimare, reconstruit au XVIII°, abrite encore quelques cellules des moines de l’Abbaye de Saint-Ouen, anciens seigneurs de la paroisse. A l’est, un château, bâti à la même époque, a été pendant deux siècles la propriété des Le Painturier de Guillerville.

ROUEN & OISSEL.

Des gares plus sûres et plus accueillantes pour les voyageursInaugurée en 1928, inscrite à l’inventaire des monu-ments historiques en 1975, figurant au 18e rang des gares française les plus fré-quentées (près de 42.000 voyageurs quotidien) la gare SNCF de Rouen va faire l’objet de travaux de moder-nisation conséquents par la SNCF. Objectif : rendre celle-ci plus accueillante et plus

fonctionnelle. Neuf millions d’euros seront ainsi consa-crés à la création d’une nou-velle galerie est-ouest, à la mise en valeur de l’entrée par la rue Verte, à l’installa-tion de nouvelles boutiques dans la salle d’échange, à la création de nouvelles zones d’attentes confortables et chauffées. Bref,plus qu’un lifting, une véritable cure de

jeunesse dont l’achève-ment est prévu pour l’Ar-mada 2003. Outre la gare de Rouen, la SNCF investira également dans des travaux de modernisation et de sé-curisation de gare de Oissel : système de vidéo-sur-veillance, clôture...

CONTRAT D’AGGLOMERATIONUn contrat d’avenir pour ledéveloppement de la MétropoleDans un peu plus d’un an, la Communauté de l’Agglomé-ration Rouennaise signera avec l’Etat et la Région Haute-Normandie un contrat d’ag-glomération. Ce document fixera les projets d’intérêt commu-nautaire les plus déterminants pour l’avenir de notre agglomération auxquels l’Etat et la Région sont susceptibles d’apporter leur concours financiers. Sous l’impulsion de Fran-çois Zimeray, un comité de pilotage et des groupes de travail thématiques se sont constitués. Ils réunissent les représentants des communes ainsi que les principaux acteurs économiques, sociaux et culturels présents sur le territoire intercommunal. Ils ont pour mission de définir les priorités de notre agglomé-ration en matière de développement économique et de cohé-sion sociale, d’aménagement et d’urbanisme, de transport et de logement.

LA COLLECTE DES SERINGUES USAGÉES En collaboration avec l’Ordre des pharmaciens, la Commu-nauté de l’Agglomération Rouennaise organise une col-lecte spécifique des seringues usagées auprès des particu-liers. En conformité avec le dé-cret de 1997 relatif à l’élimina-tion des déchets d’activités de soins à risques infectieux ou assimilés, tous les habitants sont invités à rapporter les se-ringues, aiguilles et lancettes auprès de leurs pharmaciens. Une boîte spécifique de couleur jaune est à leur disposition. Un geste simple et hygiénique qui participe à la santé publique.

FRANQUEVILLE SAINT-PIERRE. Le mémorial du franc poursuit son cheminSi l’euro est aujourd’hui dans toutes les poches, le franc n’a pas encore quitté tous les esprits. Particulièrement à Franqueville-Saint-Pierre où pourrait s’ériger un mémorial célébrant l’ancienne mon-naie en cours de 1360 à 2002. L’association à l’origine du projet a retenu Franqueville, qui signifie ville franche, c’est à dire exempte de certains impôts. Le projet prévoit l’édi-fication d’un monument en

forme de cône, orné de trois ailes bleu, blanc rouge, au milieu duquel serait sus-pendu une pièce de 1 franc de 4 mètres de diamètre. Celle-ci serait éclairée la nuit par des lasers. Cette initiative purement privée fait l’objet d’une souscription nationale. Le budget est estimé à 2,3 millions... d’euros.

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questions directes

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les déchetteriesPour préserver l’environnement et faciliter le recy-clage des déchets, la Communauté d’Agglomération met à la disposition des habitants des déchetteries. Lieu gardienné et clos, les déchetteries sont spé-cialement aménagées pour que les particuliers puissent déposer leurs déchets en toute sécurité. Le dépôt est gratuit Les déchetteries sont ouvertes au particulier résidant dans l’une des 34 communes de la Communauté, sur présentation d’un justifica-tif de domicile (quittance EDF...)

QUELS SONT LES DECHETS ACCEPTES ?

LISOR. Le sud-ouest de l’agglomération à vol d’oiseau Prouvant que le territoire de l’agglomération rouennaise ne se résume pas à ses quatre points cardinaux, la nouvelle ligne LISOR permet désormais de relier rapidement les communes situées au sud-ouest de l’Agglomération.

Arrivés au terminus du métro Georges Braque à Grand-Quevilly, les habi-tants de Petit-Couronne, Grand-Couronne, Mouli-neaux ou la Bouille peuvent désormais poursuivre leur itinéraire l’esprit tranquille. Au rythme 67 rotations quo-tidiennes, contre 42 aupara-vant, LISOR réduit considé-rab lement l e temps d’attente des voyageurs. Le réaménagement de la voirie sur la quasi-totalité du par-cours, la création d’un site propre exclusivement ré-servé aux véhicules LISOR sous la sud III, permet de gagner de précieuses mi-nutes lors du parcours. Confort enfin : les stations bénéficient de quais réhaus-

sés, de bancs et de bandes podotactiles pour les non-voyants. «Cette nouvelle ligne sud-ouest rapide est le témoignage d’une agglo-mération solidaire et dyna-mique qui s’attache à amé-liorer la vie quotidienne des habitants des grandes et des petites communes.» décla-rait François Zimeray, prési-dent de la Communauté de

l’Agglomération Rouen-naise. Un investissement conséquent de 11 millions d’Euros, financés par la Communauté d’Aggloméra-tion avec le concours de L’Europe, l’Etat, la Région et le Département aura été nécessaire.

Attendue depuis une ving-taine d’années, la liaison rapide Mont-Saint-Aignan/ Rouen est devenue une réa-lité depuis le 29 mars 2002. La mise en service de la ligne T1 du réseau TEOR permet en effet aux habi-tants de la commune uni-versitaire de rejoindre le centre-ville de Rouen (sta-tion Théâtre des Arts) en

moins de 15 minutes. Une prouesse rendue possible par la création d’un site propre sur la quasi-totalité du parcours. Comme les lignes T2 et T3 (ayant déjà accueilli plus de 3,5 millions de voyageurs), la ligne T1 bénéficie de tous les avan-tages de TEOR : stations modernes et accueillantes, quais rehaussés, bornes

d’information, billetteries automatiques. En atten-dant l’achèvement total de la ligne (qui a terme reliera Mont-Saint-Aignan à Biho-rel, en passant par le centre-ville de Rouen), la TCAR propose sur le tracé Mont-Saint-Aignan/CHU une fré-quence de véhicules toutes les 6 minutes en heures de pointe et toutes 10 minutes en heures creuses. De quoi con vaincre les nombreux étudiants du campus de Mont-Saint-Aignan à venir profiter des terrasses du centre-ville Rouennais dès que soleil pointe le bout de son nez.

TRANSPORTS. La ligne T1 relie Rouen à Mont-Saint-Aignan en un temps record !

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Une légende

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la communauté

• les gravats inertes : les tuiles, la terre, les agglos

• les encombrants : canapés, meubles, literie, l’électroménager et le plâtre

• les déchets verts : tontes et tailles de jardin

• la ferraille : tous les métaux

• le bois : planches, poutres, palettes

• les pneus

• les textiles

• les déchets toxiques : batteries, piles, huiles de vidange, aérosols pleins, peinture, solvants, produits phytosanitaires, liquide de refroidissement, amiante, colle.

• les cartons d’emballage

• le verre

• le plastique

• les journaux-magazines

DÉCHETTERIE DE GRAND-COURONNEAllée Côte Mutel Lundi 10h-12h et 14h-18hMardi, mercredi et samedi 9h-12h et 14h-18h / Vendredi 9h-12h

DÉCHETTERIE DE DÉVILLE-LÈS-ROUENImpasse Barbet Lundi 10h-12h et 14h-18hMardi, mercredi et samedi 9h-12h et 14h-18h / Jeudi 9h-12h

DÉCHETTERIE DE DARNÉTALSente de la Ravine Lundi 10h-12h et 14h-18hMercredi, jeudi et samedi 9h-12h et 14h-18h / Vendredi 14h-18h

DÉCHETTERIE DE BOIS-GUILLAUME2001, rue Herbeuse Mardi 10h-12h et 14h-18h Mercredi, jeudi et samedi 9h-12h et 14h-18h / Vendredi 9h-12h

DÉCHETTERIE DE ROUENQuai du Pré aux LoupsOuverte 7j/7 de 8h à 19h (fermeture : les 25 déc., 1er janvier, lundi de Pâques, 1er mai, 14 juillet, 15 août et 11 novembre.)

DÉCHETTERIE DE MAROMMECôte de la Valette Ouverte 7j/7 de 8h-18h

DÉCHETTERIE DE SAINT-ÉTIENNE-DU-ROUVRAYRue de SeineLundi 14h-18h Mercredi, jeudi et samedi 9h-12h et 14h-18h / Vendredi 14h-18h

Attention, la déchetterie de Saint-Étienne-du-Rouvray sera fermée pour travaux au cours de l’année 2002. Actuellement, la déchetterie n’accepte pas les déchets toxiques.

LES DÉCHETTERIES SONT FERMÉES tous les jours fériés (sauf celle de Rouen)

TOUT SAVOIR SUR LA COLLECTE DES DÉCHETS :

N°VERT 0800 021 021 DE 8H30 À 17H00 DU LUNDI AU VENDREDI

OU SE TROUVENT-ELLES ?

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P onts, falaises, i m m e u b l e s , g r u e s , s i l o s , usines... le patri-

moine naturel et indus-triel de l’agglomération rouennaise est riche et contrasté. Expression du présent ou témoignage du passé, i l donne à notre environnement son identité et sa véritable personnalité. Si la lu-mière naturelle donne chaque jour à celui-ci l’occasion de renaître et de se fondre dans la glo-balité du paysage, ce patrimoine exceptionnel disparaît avec la nuit. Celle-ci engloutit inéluc-tablement notre décor dans l ’obscurité et la pénombre. Pourquoi ne pas saisir cette opportu-nité diurne pour mettre en relief quel ques-uns des sites les plus emblé-matiques de notre his-toire naturelle ou indus-trielle ? C ’est à cette question que le “Plan lumière” de la Commu-nauté de l’Aggloméra-

tion Rouen naise apporte son éclairage. Et de belle façon! Il n’est pas ques-tion en effet dans celui-ci de vouloir braquer des centaines de projecteurs sur l’ensemble des ponts, falaises, grues et autres immeubles qui compose notre territoire. Il s’agit au contraire de compo-ser un tableau, sculpter une œuvre, opérer une mise en scène en sélec-tionnant quelques sites spécifiques et de propo-ser pour chacun d’eux une mise en lumière to-talement adaptée à leur identité. Celle-ci devra mettre en évidence les caractéristiques (formes et volumes singuliers), les atouts, les contrastes ou les potent ie ls de chaque é léments du décor. Pour réaliser cette performance et lui don-ner une parfaite cohé-rence, à la fois géogra-phique et artistique, la Communauté a fait appel à un architecte spécialisé dans cette mise en lu-

mière. A charge pour ce dernier de proposer un projet qui participe à l’identité de l’aggloméra-tion en sélectionnant les sites à illuminer et en définissant l’éclairage le mieux adapté. C’est tout naturellement la Seine qui servira de fil conduc-teur à ce plan lumière. Le fleuve longe en effet plus de 15 communes sur les 34 que comptent l’ag-

glomération rouennaise. Il donne à admirer tout au long de son parcours des éléments naturels ou industriels les plus ca-ractéristiques de notre territoire. Au terme de l’étude préliminaire, la Communauté investira près de 250.000 euros par an sur 3 ans pour faire en sorte que nos nuits soient aussi belles que nos jours.

A la différence de l’éclairage public, à dominante jaune, ont l’utilité est fonctionnelle, la mise en lumi

L’agglomération rouennaise illumine son patrimoine naturel et industrielL’agglomération rouennaise est magnifique de jour, pourquoi ne le serait-elle pas davantage la nuit tombée ? C’est tout l’objectif du “plan lumière” que la Communauté de l’Agglomération Rouennaise s’apprête à lancer.

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C’est tout naturellement la Seine qui servira de fil conducteur

à ce plan lumière.

Le fil “bleu” d’Ariane A la différence de l’éclairage public, à dominante jaune, dont l’utilité est fonctionnelle, la mise en lumière vise un objectif artistique et symbolique. Le choix des sites comme celui de la teinte dominante sont donc primor-diaux. L’idée retenue par l’aggloméra-tion rouennaise est de créer un fil bleu pour mettre en relation le cadre natu-rel, l’activité économique et la pré-sence humaine qui longe la Seine. Ainsi la mise en lumière des ponts et notamment des tabliers - aujourd’hui plongés dans l’obscurité la nuit venue - permettra de souligner les liens qui existent entre les deux rives du fleuve. Tes tubes fluorescents fixés sous les corniches et petits projecteurs à fais-ceau orientés dans le sens des arrêtes pourront donner une nouvelle exis-

tence aux ouvrages. Les nombreux silos situés en bord de Seine offrent également des supports potentiels très intéressants. Constitués de cylindres accolés les uns aux autres, ils permet-tront à l’éclairage de jouer sur l’effet répétition en exploitant la verticalité, les creux et les arrondis des éléments. La mise en lumière des falaises enfin pourra valoriser le cadre naturel de l’agglomération. Ainsi l’éclairage sub-til des crêtes et les grands pans de craie donneront tout leur relief à ce cadre naturel. Dans sa globalité, le plan lu-mière s’attache à l’aspect dynamique du jalonnement lumineux mais aussi à l’approche et à la durée des percep-tions. Les différents sites illuminés devront être visibles de différents en-droits.

UNE LUMIÈRE PAS SI ARTIFICIELLELa Tour Effeil à Paris, la Cathédrale Notre-Dame à Rouen... les monuments historiques en France et à l’étranger bénéficient depuis de nombreuses années du savoir-faire des architectes et des concepteurs lumière. Le patrimoine naturel ou industriel fait désor-mais lui aussi l’objet de toutes les attentions. La lu-mière artificielle permet à la population de se réap-proprier ce que la lumière naturelle a rendu banal et finalement peu visible de jour. Lumière de fond ou de contre-jour, éclairage indirect ou de projection : les spécialistes disposent d’une panoplie complète pour révéler un détail, épouser une forme, supprimer une ombre, créer un relief. Ils domptent la nuit pour en tirer le meilleur. Preuve du succès : les circuits tou-ristiques de nuit attirent de plus en plus d’amateurs. Les cartes postales de sites illuminés sont parmi les plus vendues. La fée électricité est certes coûteuse, mais elle participe aussi de façon lumineuse à la vie sociale, économique et touristique d’une ville ou d’une métropole.

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Les champignonnières de Juanito

DIEPPEDALLE. Ici, on est prié de se laver les pieds avant d’entrer. Au seuil de la grotte, le bassin de désinfection est un passage obligé pour tout ce qui vient de l’extérieur : véhicules de manutention, cueilleurs ou visiteurs.

MoulineauxLa Bouille Gran

Couro

VAL-DELA-HAYE

CANTE

Juanito Martin, le maître des lieux ouvre le che-min et pointe sa torche sur les gros ballots de fumier de cheval, sagement ordonnés : « pour grandir, le champignon a besoin du noir complet, 100% d’humidité et une hygiène irréprochable » commente-t-il et il arrache d’un coup sec un beau pied, ferme et gorgé d’eau, à sa douce obscurité. Au pays des vaches et des vertes prairies, les champignonnières de Dieppedalle sont plutôt une curiosité. Installées dans d’anciennes carrières puis abandonnées pendant 50 ans, elles ont repris du service grâce à Juanito Martin. L’idée du champignon a germé... dans sa tête il y a 17 ans : « J’avais une petite entreprise dans le bâtiment et j’ai décidé d’acquérir un terrain pour stocker mes matériaux ». Sur le terrain en question, l’acte d’achat mentionne bien une “cave sous roche” de 6000 m2 mais Juanito n’en sait pas plus « J’ai acheté une champignonnière sans le savoir » af-firme-t-il catégorique. Heureusement le hasard fait parfois bien les choses : « J’ai toujours été fasciné par le mystère des beaux champignons et j’avais envie de changer de métier ». Après un voyage initiatique en Maine-et-Loire, au pays du champignon, il se lance donc dans des essais de culture adaptée au climat normand. Finalement il retient sept variétés : le champignon de Paris, le blond d’Anjou, le gros à farcir, le pied bleu et trois variétés de pleurottes. Aujourd’hui, 50 à 80 kg de champignons sortent chaque jour de son antre et chaque dimanche, il accueille les visi-teurs pour leur fait partager sa passion. On peut même repartir le panier plein pour la semaine... et prévoir enfin une sortie champignons qui ne tournera pas au fiasco !Les champignonnières de Dieppedalle Cavée de Dieppedalle - rue HardelTel/fax. 02.35.36.61.82. Visites en semaine sur rv. Ouvert au public le dimanche de 15h à 18h. Fermé en déc, janv et août.

BALADES AU CŒUR DE L’AGGLOMÉRATION : DE RIVIÈRES EN MONUMENTS, CURIOSITÉS ET LIEUX INSOLITES… DÉCOUVREZ MILLE ET UNE SURPRISES, ETC…

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LE MONUMENT

VAL-DE-LA-HAYE

LA COLONNE NAPOLÉON

Si les Rouennais ont Jeanne d’Arc, le Val-de-la-Haye a Napoléon. A la sortie du vil-lage en direction de Sahurs, une colonne surmontée de l’aigle impérial commémore le retour des cendres de Napoléon, de Sainte-Hélène à Paris sur la frégate Belle-Poule. Une embarcation certes prestigieuse mais un peu encombrante pour pas-ser sous les ponts parisiens. De la Bel le-Poule, les cendres ont donc dû être transférées sur la Dorade, un modèle en dessous, précisé-ment.... au Val-de-la-Haye. Une maquette installée dans la mairie met en scène l’événement de 1840 qui désormais fait la fierté du village.

Accroché dans le hall d’entrée, un petit histo-rique rappelle comment ce lexovien de 17 ans a grimpé quatre à quatre les échelons de la maison Huet, fabricant de bre-telles à Darnétal. De contremaître à directeur 5 ans plus tard : il finit par racheter l’entreprise dé-sormais connue sous le nom d’entreprise Fro-mage, spécialisée dans les bretelles, ceintures, jarre-tières, tissus et autres bandes élastiques. Et c’est en 1878 qu’il construit cette usine ultra moderne qui lui vaut un sacrifice

d’un million de francs or, soit la moitié du chiffre d’affaire de l’entreprise. Malheureusement, l’ave-nir des bretelles n’est pas celui du pantalon et à la veille de son centenaire, l’usine doit fermer défini-tivement ses portes. De-puis , le grand vaisseau de briques qui s’étire le le long de la rue des Petites Eaux du Robec, après avoir subi une cure de rajeunissement, est oc-cupé pour partie par l’an-nexe des Archives Dépar-tementales, et pour l’autre partie par l’Ecole d’Archi-tecture de Normandie. On

peut accéder librement au parc mais l’intérieur ne se visite en principe qu’au moment des journées du patrimoine. A défaut, on peut toujours y glisser un œil à l’occasion d’une des nombreuses expositions publiques organisées dans l’aile est par l’école, sur le thème de l’architecture. Si tout a été refait à l’inté-rieur, certains éléments rappellent encore sa voca-

tion industrielle anté-rieure : les poteaux en fonte, le double escalier central (qui n’est pas d’origine !), le marquage des niveaux ; Enfin, petit détail qui a son impor-tance : le balcon visible de l’extérieur signale tou-jours la présence du bu-reau du directeur ! L’Ecole d’Architecture de Normandie 27, rue Lucien Fromage BP 04 / 76161 Darnétal cedex Tel : 02.32 83.42.00

SAINT-ETIENNE-DU-ROUVRAY.

Le rond-point vraiment vache !Un jour ou l’autre, vous avez sûrement fait partie des 25 000 voitures qui traversent quotidiennement le rond-point aux vaches. On doit cette idée à l’ancien maire de Rouen, Jean Lecanuet, qui avait ima-giné reconstituer à cet endroit un véri-table clos normand, ouvrant les portes de l’agglomération. Malheureusement de-puis, les pommiers vivotent dans l’air sa-

turé de mo-noxyde de carbonne. Quant aux vaches, vic-times de nom-breux vanda-lismes et canulars, n’es-sayez plus de leur tirer la queue : elles sont désormais ren-

VALLEE DU CAILLY.

Au fil de la rivière “ On l’appelait la petite vallée de Manchester “. Président de l’association Sylveison qui

travaille sur l’histoire du canton de Notre-Dame-de-Bondeville, Alain Alexandre est un

passionné de la vallée du Cailly. Une vallée qui pourtant n’a rien de bucolique même si

Cailly -nom du village où la rivière prend sa source- voulait dire autrefois “cresson”. Ber-

ceau d’une intense activité industrielle, le Cailly qui circule sur 25 km est vite devenu le

symbole du travail du coton. Un circuit du patrimoine industriel qui part de Deville-les-

Rouen nous emmène ainsi découvrir les derniers vestiges de cette époque et visiter

quelques-uns des hauts-lieux : le pont roulant du “ Moulin à Plomb “ de Déville, témoi-

gnage d’une importante activité métallurgique, le roue Tifine à Maromme, l’une des der-

nières roues à eau de la vallée, qui

alimentait une ancienne filature de

coton , la cheminée d’usine Gres-

land et surtout la Corderie Valois

qui abrite un musée départemental

: une priorité à inscrire sur votre

programme de visite.

Pour organiser une visite guidée : Rens. Alain Alexandre, Association Sylveison / 11, impasse du

vert pré / 76770 Le Houlme

Malaunay

Houppeville

Bois-Guillaume

Fontaine-ss-Préaux

St-Martindu VivierBihorel

Bonsecours

Amfreville-la-Mivoie

FranquevilleSt-Pierre

Le Mesnil-Esnard

Belbeuf

Sottevillelès-Rouen

Petit-Quevilly

Grand-Quevilly

Petit-Couronne

Oisselnd-onne

St-Léger-du Bourg-Denis

St-Jacquessur-Darnétal

St-AubinEpinay

ROUEN

Mt-StAignan

Notre-Dame de Bondeville

IsneauvilleLe Houlme

Déville-lès-Rouen

DARNÉTAL

MAROMME

ELEU

ST-ETIENNEDU ROUVRAY

DARNETAL.

De la bretelle à l’architectureDe l’ancienne usine de bretelles à Darnétal, il ne reste plus grand chose à dire vrai : trois bobines de fil et deux catalogues d’échantillon. Maigre trésor pour ce site qui a abrité jusqu’à 1200 ouvriers et au siècle dernier, rayonnait dans la France entière grâce au nom de Lucien Fromage.

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Comme souvent, dans les aventures artis-tiques, tout a commencé par la réunion d’une bande de copains passionnés de musique brésilienne et africaine. Mais très vite, le désir de faire partager cette passion au plus grand nombre s’est imposé. Les onze musiciens- danseurs-chanteurs-per-cussionnistes des formations “Sewago”, “Dongilila” et “Songoé” ont donc décidé de se structurer dans le but de donner des cours, créer des ateliers, imaginer des spectacles. L’association compte au-

jourd’hui environ 150 adhérents (de 8 à 73 ans) venus de toute l’agglomération rouennaise pour apprendre à jouer du djembé, du balafons, du doum-doum, des calebasses, des kariyan ou bien danser la salsa, la rumba ou le samba-reggae. De fait, il n’est pas rare de croiser la joyeuse et “bruyante” troupe colorée “Samb’arts” au détour de fêtes, de carnavals ou de spectacles de rues.

MUSIQUE

Les zigotos d’Agogô141, rue des Martyrs de la Résistance - 76150 Maromme. Tél : 02 32 82 02 32 / e.mail : [email protected]

TCAR Concours photoRens. TCAR : 02 35 52 52 52.

Jusqu’au 15 octobre 2002, la TCAR organise la 2e édition de son concours photographique dont le thème retenu est cette année : “la modernité des transports en com-mun dans notre ville”. Tous les amateurs peuvent en-voyer un tirage (30x40) avant le 15 octobre à la TCAR. Les 20 meilleurs clichés seront exposés à l’Espace Mé-trobus. Les auteurs des trois plus belles photos rece-vront un abonnement sur le réseau des transports en commun de l’agglomération rouennaise ainsi qu’un bon d’achat d’une valeur de 100 euros à dépenser au rayon photo de la FNAC, partenaire du concours.

Jusque dans le milieu des années 30, pour la Saint-Romain se déroulait à Rouen un étrange rituel culinaro-gastronomique. Un monument dédié à Gargantua avait été dressé par le statuaire richard Dufour et les amateurs de bonne chère célébraient la “fête du ventre “, vaste invitation à la ri-paille.... Depuis l’année dernière, cette mani-festation revient au goût du jour à l’initiative de l’association Rouen Conquérant. Panta-gruels confirmés ou simples amateurs de bonnes choses pourront hanter la place du vieux marché, la place de la pucelle et la rue Rollon, interdite à la circulation pour l’occa-sion, le samedi 20 octobre de 8 H à 19 H pour venir à la rencontre des producteurs normands mais aussi d’autre régions.Cette année, un invité de choix puisque c’est le Languedoc-Roussillon et ses producteurs

GASTRONOMIE

La fête du VentreSamedi 20 octobre de 8h à 19h

PUBLICATION Petit normand deviendra grandPetit à Petit 7, cap Darnétal - 11 rue aux Juifs

76152 Darnétal - Tél : 02 35 08 22 15

Grâce à ce trimestriel abondamment illus-tré, les enfants de 7 à 14 ans peuvent partir à l’aventure de la Normandie, à travers des histoires, des contes, des portraits, des bandes-dessinées et de nombreux jeux. Qui étaient les Gaulois ? Comment trans-former une boîte à camembert en boîte à

secrets ? Quels sont les oiseaux que l’on croise au-dessus des falaises normandes ? Voici quelques-unes des questions présentes au sommaire du 1er numéro, dans lequel on re-trouve également l’adaptation BD d’une nouvelle de Guy de Maupassant, et plein d’autres surprises.

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Comme souvent, dans les aventures artistiques, tout a com-mencé par la réunion d’une bande de copains passionnés de musique brésilienne et africaine. Mais très vite, le désir de faire partager cette passion au plus grand nombre s’est imposé. Les onze musiciens- danseurs-chanteurs-percussionnistes des for-mations “Sewago”, “Dongilila” et “Songoé” ont donc décidé de se structurer dans le but de donner des cours, créer des ateliers, imaginer des spectacles. L’association compte aujourd’hui envi-ron 150 adhérents (de 8 à 73 ans) venus de toute l’aggloméra-tion rouennaise pour apprendre à jouer du djembé, du balafons, du doum-doum, des calebasses, des kariyan ou bien danser la salsa, la rumba ou le samba-reggae.

PUCES ROUENNAISES D’AUTOMNE Parc des Expositions, 13 et 15 septembre de 10h à 21h

Chaque année, le rendez-vous attire la foule. Et les visiteurs repartent rare-ment les mains vides, sans pour autant se rui-ner... enfin pour certains. Le principe est simple. Il

suffit d’arpenter les allées des puces rouennaises pour découvrir l’objet, le meuble ou la babiole de ses rêves et décro-cher ainsi un petit bout de bonheur.

AMICALE LAÏQUEComité d’Organisation du Centenaire de l’Amicale Laïque - 319, route de Dieppe - 76250 Déville-Lès-Rouen. Tel : 02 35 60 37 26

A l’occasion de son cente-naire qu’elle fêtera le 17 janvier 2004, l’Amicale Laïque de Déville lance un avis de recherche afin de rassembler un maximum de documents relatifs aux

activités passées de l’association. Si vous avez notamment conservé des souvenirs (photos, bulletins, affichettes) de la Fête des ombrelles ou encore du Groupe des éclaireurs Maufrais et pourquoi des diffé-rentes sections sportives (tir, de volley, ou de danse...) : n’hésitez pas à contacter l’Amicale.

L’HISTOIRE DE L’ALLAITEMENT Musée Flaubert et d’histoire de la Médecine - 51 rue de Lecat - Rouen - Tel : 02.35.15.59.95

Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine qui fêtait son centenaire en 2001 propose depuis la rentrée des “pauses-musées” sur l’heure du déjeuner. Il s’agit de

conférences d’une durée de 45 minutes environ à 12H30 et 14H30 sur des thèmes liés à la santé.

BROCANTEParc des Expositions, 13 et 15 septembre de 10h à 21h

Chaque année, le rendez-vous attire la foule. Et les visiteurs repartent rare-ment les mains vides, sans pour autant se rui-ner... enfin pour certains. Le principe est simple. Il

suffit d’arpenter les allées des puces rouennaises pour découvrir l’objet, le meuble ou la babiole de ses rêves et dé-crocher ainsi un petit bout de bonheur.

LIRE

Festival du livre de jeunesseLes 30 novembre, 1er et 2 décembre, quai jean Moulin - Infos : 02.35.70.37.38

Le festival du livre de jeunesse est né en 1983 à l’initiative de l’Association des Amis de la Renaissance et de l’Union CGT de Rouen pour lutter contre l’illettrisme. Depuis son succès ne s’est jamais démenti, prenant un peu plus d ‘importance d’année en année. Plus de 23 000 visiteurs l’an denier et près de 90 % des éditeurs, soit près de 70 000 ouvrages présen-tés et 4200 m2 d’exposition consacrés au monde du livre. Cette année, le festival aura lieu les 30 novembre, 1er et 2 décembre, quai jean Moulin. Les débats, expositions et spec-tacles s’articuleront autour du thème “vous avez dit égalité ?”. Un thème qui permettra de mettre l’accent sur les tout petits éditeurs et qui ne manquera pas d’intéresser tous les publics.

HISTOIRE

À toute vapeurLe chemin de fer dans l’agglomération rouennaise de 1843 à aujourd’hui. De Michel Croguennec.

Lorsque le 3 mai 1843, le duc de Nemours et l’Archevêque de Rouen inaugurent la première ligne Paris-Rouen, la foule est en liesse. A cette date, 3h50 sont nécessaires pour relier les gares Saint-Lazare et Saint-Sever. Rapidement les municipa-lités voisines comprennent les bénéfices à tirer de l’implanta-tion de dessertes ferroviaires sur leur territoire. « La possession d’une gare devient dès lors un enjeu politique et chaque commune veut la sienne à son nom » écrit Michel Croquennec, docteur en histoire, auteur du fascicule. Oissel sera la première à posséder sa gare, suivie après 1847 (et l’extension de liaisons vers le Havre, Amiens ou Orléans) des villes de Maromme, Malaunay, Darnétal... et Sotteville-les-Rouen, Avec la dispari-tion de la traction à vapeur dans les années 1960 et l’arrivée des locomotives diesel-électriques, le chemin de fer perd un peu de sa magie et de l’inspiration qu’il suscita chez de grands auteurs, notamment chez Zola qui écrivait en 1890 dans la Bête Humaine « La Lison, sifflante et fumante, traversa Sotte-ville à toute vapeur, ne s’arrêta qu’à Rouen, d’où elle repartit calmée un peu, montant avec plus de lenteur la rampe qui va jusqu’à Malaunay ».

SALON

Festival de Bande-dessinéesAgogô Percussions 141, rue des Martyrs de la Résistance - 76150 Maromme. Tél : 02 32 82 02 32 / e.mail : [email protected]

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TROIS PLUS UN Centre culturel Le Rive Gauche, 271 rue de Paris. Entrée libre du mardi au samedi

de 14H30 à 18H30.L’union des arts plastiques de Saint-Étienne du Rou-vray expose du 7 mai au 7 juin les œuvres de trois de ses membres ; Christine Granier, Marie-Odile Hillion et Bernard Vincent ainsi que celles d’une qua-

trième artiste, Petra Albrecht, invitée pour l’occasion.

VIVEZ L’ÉTÉ DE SCÈNES EN SEINE Hôtel de Région / 25 boulevard Gambetta - 76000 Rouen / 02 35 52 56 82

A l’initiative de la Région Haute-Normandie, ce programme d’animations invite Haut-Normands et touristes à redécouvrir le fleuve à travers des spec-tacles variés : le théâtre, la musique, les contes, les

chansons ou encore la danse. Du Pont de Normandie à Vernon en passant par Ju-mièges, découvrez les méandres de la Seine et rencontrer les comédiens, dan-seurs, chanteurs et conteurs qui illumine-ront votre été.

L’HONNEUR DE DIEU Du 26 avril au 7 juin. Cathédrale Notre-Dame Tous les jours de 9H à 18H.

La cathédrale de Rouen accueille une exposition intitulée “L’honneur de Dieu” et consacrée au père Pierre-Joseph de Clo-rivière, jésuite du XVIIIe

siècle né à Saint-Malo. Il s’agit d’un par-cours figuratif sur la vie et l’œuvre de l’homme au travers de prises de vues d’une photographe autodidacte, Chantal Rey-nier, fille du Cœur de Marie, la congréga-tion fondée par le père de Clorivière en pleine période révolutionnaire.

CIRQUEDu 10 au 17 septembre - Rens : 02 35 85 85 85

Pour la quinzième année consécutive, le festival des arts du cirque accueil-lera grands et petits, che-min de la poudrière, près du Zénith à Grand-Que-villy. Au programme tous

les spectacles traditionnels mais aussi une trentaine d’ateliers ouverts aux plus jeunes afin de leur permettre de mieux appré-hender les arts du cirque et qui sait ... de créer des vocations !

De la rencontre”entre Jean-Luc Lagarce et la Compagnie Métro Mouvance est né “ le projet “ Lagarce. Entre théâtre, lectures et danse, Métro Mouvance joue les textes de cet auteur contemporain décédé en 1995 mais propose aussi un panorama plus complet de l’auteur à travers différentes initiatives : rencontres et ateliers thématiques, stages de formation, ateliers de recherches... Des rencontres propo-sées dans différents lieux dont certains insolites ; halls de gare, bistrots, friches ou couloirs de façon à rapprocher “lieu et formule”. La compagnie se produira donc dans différentes villes et dans différents lieux. A Rouen, une série de ren-contres aura lieu à la Chapelle Saint-Louis en janvier et en février. Au programme, 3 spectacles ; “J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne”, “Histoires d’amour” et “Les règles du savoir vivre dans la société moderne” du 11 janvier au 2 février et des lectures, le 27 février à l’Université de Rouen Du luxe et de l’impuissance “ et “ Histoire d’amour (repérages) “ et Histoire d’amour (derniers chapitres)

THÉÂTRE

Les nuits de QuadrilleDébut des festivités le 5 octobre à Mont Saint Aignan. Rens : 02.35.88.74.44 ; www.cie-quadrille.com.

Depuis 6 ans, la compagnie Quadrille a élu domicile à Mont-Saint-Aignan. Mais programmation de la compa-gnie ne s’arrête cependant pas aux limites de la ville. Elle s’est même considérablement élargi cette année pour se transporter à Dieppe, Yvetot et Forges-les-eaux. Cette année, les nuits de Quadrille accueillent Virginie Lemoine pour la soirée d’ouverture ainsi que Pascal Legitimus, invité d’honneur l’an dernier et qui interprètera “une demande en mariage” de Tchékhov. Egalement au programme “l’ex-femme de ma vie” de Josiane Balasko à Mont Saint Aignan, centre culturel Marc Sangnier les 5,6 et 7 octobre à 20H45, Saint- Martin du Vivier les 11,12,13 et 14 octobre salle du vivier Saint Martin à 20H45. et Franqueville-Saint-Pierre le 19 octobre à l’espace Bourvil à 20H45.

THÉÂTRE

Artiste à domicilePremières Thatchades du 7 au 11 janvier. Contact : 02 35 74 18 70

A l’initiative du centre d’art et d’essai de Mont-Saint-Aignan, une expérience insolite et inédite est proposée aux habitants de l’agglomération rouennaise. Il s’agit pour ces derniers de partager un moment privilégié avec des artistes, comédiens chanteurs, n’importe où et à n’importe quel moment (petit-déjeuner, déjeuner, goûter, apéro et dîner) mais justement pas au théâtre. L’es-sentiel est que ce soit convivial. A votre de-mande, Christian Mazzuchini, Alain Cesco-Resia et Pascal Vincent seront présents pour accueillir vos invités et vous raconter des histoires avec leur bel accent méridional. Il s’agit donc d’une échange auquel vous-même et vos convives participerez en lais-sant libre cours, également à vos talents de conteur et d’orateur.

DANSE

J’attendais que la pluie vienne PROJET LAGARCE Du 25 au 29 avril. Rens. 02 35 88 98 98

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CLASSIQUE

Gustav Mahler enchante le Zénith141, rue des Martyrs de la Résistance - 76150 Maromme. Tél : 02 32 82 02 32 / e.mail : [email protected]

Le pari était audacieux. Pour la pre-mière fois de son histoire, la plus grande scène artistique de l’agglomé-ration rouennaise accueillait, le di-manche 24 mars, une grande œuvre du répertoire classique. Répondant mas-sivement à l’invitation, le public s’est plongé avec plaisir dans “La Résurrec-tion” signée du compositeur autrichien Gustav Mahler. Sous la conduite du chef d’orchestre Oswald Sallaberger, 240 musiciens, chœurs et solistes ont interprété les cinq mouvements de cette œuvre monumentale. Le tableau était imposant.Durant 90 minutes, les cuivres et les cordes ont donné toute leur dimension à ce témoignage de la

vulnérabilité humaine voulu par Ma-hler. Les voix gracieuses de Nathalie Stutzmann (mezzo soprano) et Inge-borg Herzog (soprano), soutenues par les plus talentueux ensembles vocaux régionaux ont véritablement “trans-porté” le public. Les applaudissements nourris ont permis aux artistes d’inter-préter une seconde fois le sublime final de la symphonie, chef d’œuvre de gra-vité et de puissance contenue. La réus-site de ce premier rendez-vous prouve combien le Zénith est une salle ouverte à tous les publics et à toutes les formes de spectacles. L’expérience a toutes les chances d’être renouvelée. EXPO

Maisons de vacances du 5 juillet au 5 septembre. Galerie photo du Pôle Image Haute-Normandie, 15 rue de la Chaîne, 76000 Rouen.. Renseignements : 02 35 89 36 96

Bord de mer et littoral, très présents dans notre région, offrent une grande diversité de villégiatures et d’amé-nagements et ouvrent ainsi à de larges champs d’expé-riences, de réflexions et de rêveries. C’est dans cet esprit que Götz Diergarten, jeune photographe allemand amené par sa famille à résider régulièrement en Nor-mandie, a immortalisé à Ravenoville (50), non loin d’Utah Beach. Dans l’objectif de l’artiste s’immoorta-lisent les exemples d’une architecture balnéaire, mo-deste et populaire aperçue tout au long du littoral normand: les cabines de plages, en jouant sur l’ambi-guïté de leurs statuts : cabines, cabanons, maisons ou résidences secondaires.

THÉÂTRE

Yvonne princesse de BourgogneDu 25 juin au 3 juillet à 21h, Musée de la Cérémique , rens : 02 35 88 99 88

L’histoire se passe en Pologne mais c’est dans la cour du musée de la céramique à Rouen que la Compagnie Catherine Delattres vous la racontera. Un cadre enchanteur pour une pièce que l’auteur a voulu comme un conte de fée avec roi, reine, prince, cour-tisans et princesse à marier mais qui n’est pas un conte de fée. Ils ne se marièrent pas et n’eurent pas beaucoup d’enfants.”Yvonne, princesse de Bour-gogne” de l’écrivain polonais Witold Gombrowicz est tout sauf un roman à l’eau de rose. C’est une pièce insolente.

LIVRES

Les Trésors à la PageBibliothèque François Villon - Tel : 02.35.71.28.82 ( Réservation indispensable.)

Après s’être attaqué à un monument de la vie culturelle rouennaise au travers de deux siècles d’histoire du Théâtre des Arts en Avril et après nous avoir fait goûter aux distrac-tions de rois en mai, la bibliothèque Villon nous propose un sujet plus estival pour ses rencontres “Trésors à la page” de Juin et nous invite à un voyage le long de la côte nor-mande. Cette promenade s’intitule “ Des calogues aux casinos “ et propose un panorama de la côte normande, ses villages de pêcheurs, ses estivants et ses attrayantes stations balnéaires d’hier et ... d’avant-hier..... Un avant-goût de vacances ....

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va savoirVIVEZ L’ÉTÉ A l’initiative de la Région Haute-Normandie, ce programme d’animations invite Haut-Normands et touristes à redécouvrir le fleuve à travers des spectacles variés : le théâtre, la musique, les contes, les chansons ou encore la danse. Du Pont de Normandie à Vernon en passant par Jumièges, découvrez les méandres de la Seine et rencontrer les comédiens, danseurs, chanteurs et conteurs qui illumineront votre été.

TROIS PLUS UN L’union des arts plastiques de Saint-Étienne du Rou-vray expose du 7 mai au 7 juin les œuvres de trois de ses membres ; Christine Granier, Marie-Odile Hillion et Bernard Vincent ainsi que celles d’une quatrième artiste, Petra Albrecht, invi-tée pour l’occasion.

TROIS PLUS UN L’union des arts plastiques de Saint-Étienne du Rou-vray expose du 7 mai au 7 juin les œuvres de trois de ses membres ; Christine Granier, Marie-Odile Hillion et Bernard Vincent ainsi que celles d’une quatrième artiste, Petra Albrecht, invi-tée pour l’occasion.

Bien préparer sa rentrée...Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, tenter décrocher une bourse, essayer de trouver un petit job... Trois acteurs de l’agglomération rouennaise particulièrement impliqués dans cette rentrée 2002 apportent leur conseil...

métropôle

Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’ag-glomération rouennaise suiv i dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job... Trois acteurs de l’agglomération rouennaise particulière-

ment impliqués dans cette rentrée 2002 apportent leur conseil...Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques se-maines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu,

ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job... Trois acteurs de l’agglomération rouennaise particulièrement impliqués dans cette rentrée 2002 apportent leur conseil... Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job...

Centre régional d’informations jeunesse 84, rue Beauvoisine 76000 Rouen /tel : 02 35 71 66 12

JEAN-LUC NAHEL PRÉSIDENT DE L’UNIVERSITÉ DE ROUEN

“Le Centre régional des œuvres universi-taires et scolaires est naturellement à pied d’œuvre pour cette rentrée. Si les dossiers d’attribution de bourses et de logements sur critères sociaux sont pour la plupart déjà instruits, le Crous reste naturellement à disposition de tous les étudiants pour leur permettre d’aborder cette nouvelle année dans les meilleures

conditions matérielles et psychologiques. Chaque année, le Centre attribue plus de 30 millions d’euros d’aides sociales. Les disposi-tifs tels que le Fond de solidarité universitaire ou les Allocations

d’études permettent notamment de répondre à certaines situa-tions d’urgence. Tout au long de l’année, le Crous reste un centre de ressources précieux pour trouver un logement ou un petit job (environ 4.000/an) ou rencontrer des assistants sociaux qui orienteront les étudiants dans leurs démarches. N’oublions pas la restauration. Le Crous gère dans l’agglomération rouennaise 5 restaurants universitaires et 4 brasseries ou cafétéria. En matière logement, la nouveauté 2002 réside dans l’ouverture de 95 nou-veaux logements “Les Jardins Saint-Paul” situés à proximité di-recte de la fac de médecine.

CROUS DE HAUTE-NORMANDIE 3, rue d’Herbouville 76000 Rouentel : 02 32 08 50 01 / www.crous-rouen.fr

ISABELLE LEPICARD DIRECTRICE DU CROUS

Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’ag-glomération rouennaise suiv i dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job... Trois acteurs de l’agglomération rouennaise particulière-

ment impliqués dans cette rentrée 2002 apportent leur conseil...Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques se-

maines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job... Trois acteurs de l’agglomération rouennaise particulièrement impliqués dans cette rentrée 2002 apportent leur conseil... Le mois de septembre sonne l’heure de la rentrée pour les 20.000 lycéens de l’agglomération rouennaise suivi dans quelques semaines de près de 25.000 étudiants. Si certains ont tout prévu, ils seront encore nombreux à chercher un logement, décrocher une bourse, tenter de trouver un petit job...

Centre régional d’informations jeunesse 84, rue Beauvoisine 76000 Rouen /tel : 02 35 71 66 12

STÉPHANE CLÉMENCEAU DIRECTEUR DU CENTRE RÉGIONAL D’INFORMATION JEUNESSE

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Est-ce l’envie de toucher les

nuages ou le désir de quitter le

plancher des vaches qui mo-

tivent chaque année les étu-

diants du campus à rejoindre le

Baron Perché ? Il faut simple-

ment avoir l’envie d’apprendre

et d’échanger avec les autres “

témoigne l’animateur de la Com-

pagnie. Pas d’éléphants, de

tigres ou de tartes à la crème au

Baron Perché. Le cirque contem-

porain préfère l’humain à l’ani-

mal, l’émotion au loufoque... la

découverte de soi à l’exploit. De

fait, il n’est pas question ici de

former des artistes profession-

nels mais d’utiliser les arts du

cirque comme un outil pédago-

gique original. L’association a

créé un atelier du cirque à Mont-

Saint-Aignan qui ouvre chaque

semaines ses portes aux 11/16

ans. Les étudiants prennent éga-

lement régulièrement leur valise

pour aller à la rencontre des sco-

laires, de personnes handicapées

ou en difficulté dans l’agglomé-

ration rouennaise. “ Les disci-

plines enseignées permettent

aux jeunes élèves de canaliser

leur énergie, de connaître et de

maîtriser leur corps, de dévelop-

per leur concentration et leur

motricité “ poursuit Yohann.

Généralement, le travail en

groupe débute par une séance

d’échauffement suivie de portées

acrobatiques puis d’ateliers plus

spécifiques. Au choix, les élèves

amateurs pourront tester leur

équilibre sur une boule, des

échasses, ou un rouleau améri-

cain ou encore apprendre à jon-

gler, marcher sur un fil ou réali-

ser une pyramide humaine. “ Les

enfants découvrent les bases de

ces disciplines et les notions de

sécurité. Ils développent ainsi

leur personnalité et leur sens de

la responsabilité. “ En faisant

partager ainsi la passion du

cirque mais aussi son histoire et

ses différents styles, le Baron

Perché forme aussi le public de

demain. Tous les deux mois, son

fanzine “Cirkulation” recense

touts les spectacles du nouveau

cirque en Haute-Normandie.

Mais, à l’heure où s’achève en

France l’année du cirque, le

Baron Perché a un rêve ! Celui

de posséder un lieu permanent

dans l’agglomération pour déve-

lopper durablement ses activi-

tés... et rester longtemps encore

au sommet des arbres comme le

héros de Calvino. Celui de pos-

séder un lieu permanent dans

l’agglomération pour développer

durablement ses activités....

LE BARON PERCHÉ 67, rue Jules Massenet / 76000 Rouen Tel : 02 35 60 57 68 [email protected]

Ils menacent toujours de tomber... mais gardent finalement leur équilibre. Suspendus à un fil, juchés sur un tonneau, accrochés à des échasses ou assis sur un monocycle, les élèves de la COMPAGNIE DU BARON PERCHÉ découvrent avec passion les arts du cirque...

ENTRETERREET CIEL

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