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AMBIENTI E SPECIE ENVIRONNEMENTS ET SPECIES

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60 AMBIENTI E SPECIE

BOSCHI

Le aree boscate sono ampiamente rappresentate nel Parco del Beigua. Esse occupano quasi il 70% della superfi cie complessiva, e comprendono 7 tipologie incluse nell’alle-gato I della direttiva Habitat, delle quali due, le foreste alluvionali di Alnus glutinosae Fraxinus excelsior ed i boschi pannonici di Quercus pubescens, risultano di interesse prioritario.

Oltre a specie quali il Lupo e la maggior parte dei Chirotteri, sono strettamente legate agli ambienti forestali anche il Cerambice della quercia (Cerambyx cerdo; all. II/IV) ed il Cervo volante (Lucanus cervus; all II), entrambi inclusi negli allegati della Direttiva Habitat.

Per ciò che riguarda gli Uccelli più comuni, si è potuto osservare come nel Beigua Colombaccio, Cuculo, Scricciolo, Pettirosso, Merlo, Tordo bottaccio, Capinera, Codi-bugnolo, Cinciarella, Cinciallegra, Cincia bigia, Picchio muratore, Rampichino comune, Ghiandaia, Gazza e Fringuello siano maggiormente legati ai boschi di latifoglie; men-tre Fiorrancino, Cincia dal ciuffo, Cincia mora, Zigolo muciatto preferiscano i boschi di conifere (lo Zigolo muciatto è molto frequente anche negli ambienti rocciosi). Altre

Tipi di habitat di interesse comunitario (DH all. I)Faggeti del Luzulo-Fagetum

Faggeti acidofi li atlantici con sottobosco di Ilex e a volte di Taxus (Quercion robori-petraeae o Ilici-Fagenion)

Foreste alluvionali di Alnus glutinosa e Fraxinus excelsior (Alno-Padion, Alnion incanae, Salicion albae) *

Boschi pannonici di Quercus pubescens *

Boschi di Castanea sativa

Foreste di Quercus ilex e Quercus rotundifolia

Pinete mediterranee di pini mesogeni endemici

LES BOIS

Typologies d’habitat d’intérêt communautaire (DH ann. I) Hêtraie de Luzulo-Fagetum Hêtraies acidophiles atlantiques avec sous bois d’ Ilex et certaines fois de Taxus (Quercion robori-petraeae ou Ilici-Fagenion)Forêts alluviales de Alnus glutinosa et Fraxinus excelsior (Alno-Padion, Alnion incanae, Salicion albae) *Les bois pannoniques de Quercus pubescens *Les bois de Castanea sativa Forêts de Quercus ilex et Quercus rotundifolia Pinèdes méditerranées de pins mésogéens endemiques

Les aires forestières sont amplement représentées dans le Parco del Beigua. Ils occupent environ le 70% de la surface globale, et comprennent 7 typologies incluses dans l’Annexe I de la Directive Habitat, dont deux, les forêts alluviales d’Alnus glutinosa et Fraxinus excelsior et les bois pannoniques de Quercus pubescens, résultent à intérêt prioritaire. En plus aux espèces comme le Loup et la plus partie des Chiroptères, sont strictement liées aux milieux forestières même le Grand Capricorne (Cerambyx cerdo; ann. II/IV) et le Lucane cerf-volant (Lucanus cervus; all II), tout les deux incluses dans les annexes de la Directive Habitat. En ce qui concerne les oiseaux les plus communs, on a pu observer comme dans le Beigua le Pigeon Ramier, le Coucou gris, le Troglodyte Mignon, le Rouge Gorge, le Merle noire, le Grive musicienne, la Fauvette à tête noire, le Mésange a longue queue, la Mésange charbonnière, la Mésange bleue, la Mésange nonnette, la Sittelle torchepot, le Grimpeau des jardins, la Geai de chênes, la Pie Bavarde et le Pinson des arbres soient plus fortement liés aux bois de feuilles ; par contre le Roitelet à triple bandeau, Mésange hup Mésange noire, le Bruant fou préfèrent les bois de conifères (le Bruant fou est assez fréquent même dans les environnements rocheux). Autres (Tourterelle des bois, le pic vert, le Pouillot de Bonelli, le Pouillot véloce, Bouvreuil pivoine et Bruant Zizi) sont favorisés par la présence des conifères, mais aussi par les mosaiques agraires, les bruyères et les arbustes. Les espèces de plus grand intérêt pour l’aire (Bondrée apivore, Autour des palombes, Pic noir et Mésange huppée) sont ci-dessous traitées en détail.

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(Tortora selvatica, Picchio verde, Luì bianco, Luì piccolo, Ciuffolotto, Zigolo nero) sono favorite dalla presenza di conifere, ma pure di mosaici agrari, brughiere e cespuglieti. Le specie di maggiore interesse per l’area (Falco pecchiaiolo, Astore, Picchio nero e Cincia dal ciuffo) vengono di seguito trattate in dettaglio.

Cervo volante

Faggeta presso Veirera

Cerambice della quercia Pineta presso il M. Pavaglione

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Migratore trans-sahariano il Falco pec-chiaiolo è ampiamente distribuito in Eu-ropa. La popolazione italiana è stimata tra le 600 e le 1.000 coppie regolarmente distribuite lungo l’arco alpino e negli Ap-pennini settentrionali, mentre più a Sud la presenza si fa meno costante e manca del tutto dalle isole. In Liguria è un nidifi cante molto comune nei più vari ambienti fore-stali, mentre per la caccia utilizza spesso zone aperte.

La Liguria, ed il Parco del Beigua in particolare, è interessata da importanti fl ussi migratori della specie, che in prima-vera transita tardivamente, ed è fra gli ulti-mi rapaci migratori a raggiungere i luoghi di nidifi cazione.

Tra le peculiarità del Falco pecchiaiolo vi è la dieta, che comprende soprattutto insetti. In particolare per lo svezzamento dei pulcini sono attivamente ricercati gli alveari di Imenotteri come vespe e bombi, le cui larve e pupe sono particolarmente nutrienti, che vengono dissotterrati e tra-sportati al nido. In alternativa vengono predati soprattutto ramarri e batraci o, in tarda estate, cavallette e mantidi religiose.

Il Falco pecchiaiolo è inoltre l’unico ra-pace europeo nella cui dieta sia presente della frutta, infatti, gli adulti da poco giun-

ti nei quartieri di riproduzione si nutrono spesso di ciliegie.

Per segnalare il territorio, i maschi di Falco pecchiaiolo compiono “voli a festo-ne”, una pratica condivisa da vari rapaci, ma in questo caso si arricchisce di un’ul-teriore esibizione, infatti, giunti al culmine della parabola ascendente viene eseguito una sorta di “applauso” sbattendo le ali te-nute tese sopra il dorso.

A parte i voli territoriali, che interessano una vasta porzione dell’area di nidifi cazio-ne, l’individuazione dei siti riproduttivi è alquanto diffi coltosa per le abitudini schi-ve, soprattutto nei pressi del nido, di que-sta specie.

Nel Parco del Beigua, tra “probabili” e “possibili”, sono stati individuati 24-25 territori di Falco pecchiaiolo, con una den-sità di 7,2 cp/100 Km2, in linea con i valori medi italiani.

FALCO PECCHIAIOLOPernis apivorus

DU all. I LC*

BONDRÉE APIVORE Pernis apivorus

Migrateur trans-saharien, la Bondrée apivore est largement distribuée en Europe. La population italienne est estimée être entre les 600 et les 1.000 couples régulièrement distribuées au long de l’arc alpin et des Apennines du nord, pendant que plus à sud sa présence se fait moins constante et manque du tout dans les îles. En Ligurie il est un nidifiant assez commune dans les plusieurs milieux forestières, alors que pour la chasse il utilise souvent des zones ouvertes. La Ligurie, notamment entre le Parco del Beigua, est intéressée par des importants fluxes migratoires de l’espèce, qui en printemps passe tardivement, et est entre les derniers oiseaux de proie migrateurs à arriver à des lieux de nidification. Entre les peculiarités de la Bondrée apivore on trouve la diète, qui comprend surtout des insectes. Notamment pour le sevrage des petits sont activement cherchés les ruches des hyménoptères comme les guêpes et les bourdons, dont les larves et pupes sont particulièrement nourrissantes, qui sont déterrées et transportées au nid. En alternative sont chassées surtout les lézards et les amphibiens ou, en tarde été, les sauterelles et les mantes religieuses. La Bondrée apivore est le seul oiseau de chasse européen dont la diète comprend même des fruits ; en effet, les adultes à peine arrivés auprès les quartiers de reproduction se nourrissent souvent de cerises. Pour marquer le territoire, les mâles de Bondrée apivore effectuent des « vols à feston », une pratique partagée par plusieurs oiseaux de proie, mais en ce cas enrichie par une ultérieure exhibition, en effet, arrivés à la pointe de la parabole ascendante, une sorte de applaudissement est effectuée en battent les ailes tenues tendues sur le dos. A l’exclusion des vols territoriaux, qui interessent une vaste partie de l’aire de nidification, l’individuation des sites de reproduction est assez difficile à la cause des habitudes réservées, notamment près du nid, de cette espèce. Dans le Parco del Beigua, entre les « probables » et les « possibles », ont été individuées 24-25 territoires de Bondrée apivore, avec une densité de 7,2 cp/100 Km2, en ligne avec les valeurs moyennes de l’Italie.

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Robusto rapace tipico di ambienti fo-restali, benché sia spesso attivo anche in ambienti aperti per le attività di caccia. L’Astore è diffuso in tutta l’Europa, buona parte dell’Asia settentrionale e del Nord-America. In Italia l’Astore è nidifi cante, migratore regolare e svernante, con una popolazione stimata in 500-800 coppie. Ha una distribuzione uniforme nelle aree alpine e prealpine, mentre sugli Appennini, dove pure si spinge a sud fi no in Calabria, la presenza è frammentaria e limitata alla fascia montana della faggeta ed ai tratti di bosco maturo di collina; presente in Sar-degna con la sottospecie arrigonii, manca in Sicilia.

La coppia costruisce nidi voluminosi scegliendo alberi spesso di una certa im-portanza. Sull’Appennino ligure preferisce decisamente le conifere (considerando 18 nidi conosciuti: 15 sono costruiti su rap-presentanti del Genere Pinus, 1 su Larice, 1 su Farnia, 1 su Faggio). Attorno al nido il maschio è molto vocifero e tiene in allerta la femmina e/o i pulli allorché si avvicini un potenziale predatore (strategia applica-ta anche con l’uomo).

La deposizione avviene in maggio e l’involo dei giovani ricade spesso a fi ne giugno, periodo in cui è più facile accor-

gersi della presenza per i loro acuti richia-mi.

Se pur di dimensioni non maggiori della Poiana, l’Astore suole cacciare prede più grosse e più veloci, come numerose specie di uccelli, tra i quali in Liguria prede tipi-che sono i Galliformi e i picchi, mentre tra i Mammiferi è particolarmente predato lo Scoiattolo.

Nel Parco del Beigua l’Astore trova abbondanza di ambienti idonei alla nidifi -cazione grazie ad abbondanti superfi ci de-stinate a pineta dai massicci interventi di forestazione iniziati fra le due guerre mon-diali. Il carattere aperto di queste forma-zioni boschive, spesso colpite da incendi o patologie, fornisce anche un habitat parti-colarmente idoneo alla caccia.

Le coppie censite sono 8-10, con una densità di 2,5 cp/100 Km2, che risulta leg-germente inferiore a quanto noto per altre realtà italiane.

ASTOREAccipiter gentilis

LC

AUTOUR DES PALOMBES Accipiter gentilis

Il est un robuste oiseau de chasse typique des milieux forestières, bien qu’il soit actif aussi dans le contexte des environnements plus ouverts pour l’activité de la chasse. L’Autour des palombes est diffusé dans toute l’Europe, bonne partie de l’Asie du nord et de l’Amérique du nord. En Italie, l’Autour des palombes est nidifiant, migrateur régulier et hivernant, avec une population estimée en 500-800 couples. Il montre une distribution uniforme dans les aires alpines et préalpines, par contre sur les Apennines, dont il arrive à sud jusqu’à la Calabria, sa présence n’est pas constante et est limitée à la partie montageuse des hêtraies et des parties des bois mature de la colline ; il est présent aussi dans la Sardaigne, avec la sous espèce arrigonii, et manque en Sicile. La couple construit des nids volumineux en choisissant des arbres souvent d’une certaine importance. Sur l’Apennine ligure la couple préfère souvent les conifères (en considérant 18 nids connus : 15 sont construits sur des exemplaires du genre Pinus, 1 sur le mélèze, 1 sur la chêne d’Europe et 1 sur l’hêtre). Autour du nid le mâle est assez chantant et tient d’alerte la femme et/ou les petites lorsque un potentiel oiseau de chasse arrive proche du nid (une strategie qui est valide aussi pour l’homme). La déposition arrive en mai, et décollage des jeunes arrive souvent à fin de juin, la période dont il est plus facile s’apercevoir de leur présence à la cause des ses avis aigus. Bien que de dimensions non plus grandes que ces de la buse, l’Autour des palombes veut chasser des proies plus grandes et plus vites, comme les plusieurs espèces d’oiseaux, dont en Ligurie sont proies typiques les oiseaux de la famille des coqs, les pics et entre les mammifères, proie preferée est le écureuil. Dans le Parco del Beigua l’Autour des palombes trouve abondance de milieux aptes à la nidification, grâce aux abondantes surfaces destinées à pinède, aux massives interventions de plantation forestière commencées entre les deux guerres mondiales. Le caractère ouvert de ces formations forestières, souvent sujettes à des incendies ou pathologies, fournit un habitat particulièrement apte à la chasse. Les couples recensées sont 8-10, avec une densité de 2,5 cp/100 Km2, qui est légèrement plus basse de ce qui est connu pour des autres réalités italiennes.

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Il Picchio nero è specie emblema dell’ambiente forestale ed ha un’ampia diffusione in Eurasia; la sottospecie nominale è infatti presente dal Nord della Spagna al Giappone. In Italia è sedentaria e nidifi cante sulle Alpi, scarsa e localizzata con stazioni relitte sull’Appennino; dagli anni ’80 si è però assistito ad un’espansione territoriale verso aree prealpine e collinari. Nel Parco del Beigua la prima nidifi cazione accertata risale al 2006, ed attualmente è presente nella quasi totalità degli ambienti idonei, con almeno una decina di coppie distribuite prevalentemente sul versante padano. In settori particolarmente vocati, si è riscontrata una distanza media tra i nidi pari a 1.950 metri, ma nel complesso

PICCHIO NERODryocopus martius

la distanza media tra i territori è di circa 3.300 metri, con una densità di 4,2 cp/100 Km2, valore ancora nettamente inferiore a quanto noto per l’areale alpino italiano della specie.

Tutti i siti riproduttivi noti sono caratterizzati dalla presenza di Faggi con fusto molto alto, che inizia a ramifi carsi solo a diversi metri dal suolo. Tali alberi, nei quali il Picchio nero scava il nido (spesso nel legno verde), non sono necessariamente inseriti all’interno di estese faggete, ma possono anche trovarsi isolati, talvolta pure nella zona dei querceti termofi li del versante mediterraneo.

I nidi abbandonati dal Picchio nero sono poi occupati da numerose altre specie; al momento, per l’area di studio, possiamo riportare: Allocco (5 casi), Picchio muratore (3 casi), Ghiro (1 caso).

Si è inoltre osservato che, se il Faggio è selezionato per la costruzione del nido, le pinete sono assiduamente frequentate per l’alimentazione. Alcune coppie in periodo riproduttivo compiono più volte al giorno notevoli spostamenti, facendo la spola tra il nido e questi habitat ricchi di legno morto nel quale prosperano le formiche del genere Camponotus di cui, in aggiunta alle larve di Coleotteri xilofagi, si nutrono.

DU all. I LC

PIC NOIR Dryocopus martius

Le Pic noir est une espèce emblème de l’environnement forestière et a une ample diffusion en Eurasie ; la sous espèce nominale est en effet présente à partir du Nord de l’Espagne au Japon. En Italie se montre sédentaire et nidifiante sur les Alpes, rare et localisée avec des stations relictes sur l’Apennine ; à partir des années ’80, on a assisté à une expansion territoriale vers les aires préalpines et collinaires. Dans le Parco del Beigua, la première nidification vérifiée arrive en 2006, et aujourd’hui est présent dans la quasi totalité des milieux à lui aptes, avec au moins une dizaine de couples distribuées pour la plus partie sur le versant padan. En secteurs particulièrement aptes, on a observé une distance moyenne entre les nids de 1.950 mètres, mais dans l’ensemble la distance moyenne entre les territoires est environ 3.300 mètres, avec une densité de 4,2 cp/100 Km2, une valeur encore fortement moindre de ce qui vaut pour l’aire alpine italienne de l’espèce. Toutes les sites de reproduction connus sont caractérisés par la présence d’Hêtres avec le fût très haut, qui commence se ramifier seulement à plusieurs mètres du sol. Ces arbres, dont le Pic noir creuse le nid (souvent dans le bois vert) ne sont pas nécessairement introduits à l’intérieur d’hêtraies étendues, mais peuvent aussi se retrouver isolés, quelque fois même dans la zone des chênaies thermophiles du versant de la Méditerranée. Les nids abandonnés du Pic noir sont puis occupés par plusieurs autres espèces ; en ce moment, pour l’aire d’étude, on retrouve : la Chouette hulotte (5 cas), la Sittelle torchepot (3 cas), le Loir (1 cas).On a en outre observé que, si l’Hêtre est sélectionné pour la construction du nid, les pinèdes sont assidûment fréquentées pour la nourriture. Certaines couples dans la période reproductive effectuent plusieurs fois par jour des significatifs déplacements, en faisant la navette entre le nid et ces habitats riches de bois mort dont prospèrent les fourmis du genre Camponotus dont, en ajoute aux larves des Coléoptères xylophages, elles se nourrissent.

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Distribuita dalla Penisola iberica alla Russia, è presente anche nella Fennoscandia centro-meridionale, in Scozia e nell’area balcanica. In Italia è principalmente legata all’arco alpino, anche se ad oriente scende fi no al Carso e ad occidente colonizza parte dell’Appennino ligure. Solitamente è specie sedentaria.

Specie abitualmente legata alla presenza di conifere, la Cincia dal ciuffo è distribuita nel Parco del Beigua dai 200 ai 1.200 metri s.l.m., con una prevalenza nelle quote comprese tra i 400 ed i 900 metri s.l.m. (ma, eccezionalmente, arriva a nidifi care anche nei parchi urbani di Arenzano, praticamente a livello del mare), ed è stata contattata principalmente in boschi di conifere (56,9%) e misti (36,2%), le tipologie ambientali che preferisce e frequenta con densità elevate (Boschi di conifere: 8,80 coppie/10 punti d’ascolto; boschi misti 5,87 coppie/10 punti d’ascolto).

Aree rocciose

Mosaici agrari

Brughiere e cespuglieti

Macchia mediterranea

Boschi di conifere

Boschi misti

Praterie

-1 0 1

Boschi di latifoglie

Boschi di conifere

P f bi t li

-1 0 1

Preferenze ambientali

19,69

5,778,42

14,77 14,42

12,2911,9111,03

0

5

10

15

20

25

2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012

Andamento annuo della densità

Ind/

Km

q

Densità complessiva

La sua densità nell’area di studio risulta essere di 12,29 ind./Km2 (CV = 0,138), e si possono stimare da 150 a 300 coppie nidifi canti. Dal confronto con altre realtà europee ed italiane, tale densità si pone su un piano di tutto rispetto (0,1-48 cp/Km2; Nicosia et al. 2009; Stastny e Bejcek 2004). Inoltre il valore di 1,39 coppie/10 PC riscontrato per il Beigua è nettamente superiore alla media italiana relativa alle aree alpina settentrionale (0,59 coppie/10 PC), mediterranea e peninsulare (0,03 coppie/10 PC) e continentale (<0,01 coppie/10 PC).

CINCIA DAL CIUFFOParus cristatus

LC*

MESANGE HUPPEE Parus cristatus

Distribuée à partir de la péninsule ibérique à la Russie, est présente aussi entre la Fennoscandie centro-méridionale, en Scotie et dans l’aire des Balkans. En Italie est principalement liée à l’arc alpin, bien que à orient elle descende jusqu’au Carso, et à occident colonise partie de l’Apennine Ligure. Typiquement se montre comme une espèce sedentaire. Espèce habituellement liée à la présence de conifères, la Mésange huppée est distribuée dans le Parco del Beigua entre 200 et 1.200 mètres d’altitude, avec une prévalence dans 400 et 900 mètres (mais, exceptionnellement, arrive à nidifier même dans les parcs urbains d’Arenzano, substantiellement à niveau de la mer) et a été contactée principalement dans les bois de conifères (56,9%) et mixtes (36,2%), les typologies de milieu qu’elle préfère et fréquente avec des densités hautes (Les bois de conifères: 8,80 couples/10 points d’écoute ; les bois mixtes 5,87 couples/10 points d’ecoute).

Sa densité résulte être 12,29 ind./Km2 (CV = 0,138), et on peut estimer entre 150 à 300 couples nidifiantes. Selon la comparaison avec des autres réalités européennes et italiennes, cette densité se place à un niveau de tout respect (0,1-48 cp/Km2; Nicosia et al. 2009; Stastny et Bejcek 2004). En outre, la valeur 1,39 couples/10 points d’écoute trouvée pour le Beigua résulte beaucoup plus haute de la moyenne italienne en ce qui concerne les aires alpines du nord (0,59 couples/10 points d’écoute; Fornasari et al. 2010), méditerranéenne et péninsulaire (0,03 couples/10 points d’écoute; Fornasari et al. 2002) et continentale (<0,01 couples/10 points d’écoute; Fornasari et al. 2002).

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AREE APERTE

In questa ampia categoria sono stati riuniti habitat ‘aperti’, caratterizzati sostanzial-mente da zone a prato-pascolo (che, semplifi cando, possiamo defi nire ‘praterie’), asso-ciazioni erbacee, arbusteti ed affi oramenti o pareti rocciose, talora misti fra loro e diffi cili da separare dal punto di vista ecologico, e le cui situazioni ecotonali sono preferite da molte specie.

Questi ambienti sono diffusi in circa il 30% della Parco del Beigua, con una maggior superfi cie occupata da praterie (ca 14%) ed arbusteti (ca 12%) rispetto alle aree roc-ciose o con vegetazione rada (ca 4%). Vi troviamo diverse specie di piante (Gladioluspalustris, all. II; Spiranthes aestivalis, all. IV) e di insetti (Saga pedo, all. IV; Zerynthiapolyxena, all. IV; Euphydryas (aurinia) provincialis, all. II; Euplagia quadripunctaria,all. II e specie prioritaria) incluse negli allegati della Direttiva Habitat.

Per quanto riguarda le specie di farfalle contemplate dalla Direttiva Habitat, con le indagini condotte nel corso del 2012, si è riscontrata una discreta distribuzione di Euphydryas (aurinia) provincialis, mentre Zerynthia polyxena risulta decisamente più lo-calizzata; Euplagia quadripunctaria, seppure non abbondante, è stata comunque trovata in numerose località che ne ampliano considerevolmente l’areale precedentemente noto. I risultati delle attività di censimento hanno reso possibile calcolare delle preliminari sti-me di densità: Zerynthia polyxena 3,8 ovature/ettaro, Euphydryas (aurinia) provincialis16,5 ind./ettaro (censite in aree campione; Balletto et al. 1977; Arillo & Mariotti 2006),

ZONES OUVERTES

En cette grande catégorie ont été réunis les habitats « ouverts », caractérisés substantiellement par des zones à prairie ou pâturage (qui, en simplifiant on peut définir « prairies »), associations herbeuses, arbrisseaux et affleurements ou parois rocheuses, quelque fois mixés entre eux et difficiles à séparer au point de vue écologique, dont les situations écotonales sont préférées par plusieurs espèces. Ces environnements sont diffusés environ en 30% du Parco del Beigua, avec la plus grande surface étant occupée par les prairies (env. 14%) et arbrisseaux (env. 12%) par rapport aux aires rocheuses avec une végétation rade (env. 4%). On trouve plusieurs espèces de plantes (Gladiolus palustris,ann. II; Spiranthes aestivalis, ann. IV) et insectes (Saga pedo, ann. IV; Zerynthia polyxena, ann. IV; Euphydryas (aurinia) provincialis, ann. II; Euplagia quadripunctaria, ann. II et espèces prioritaire) incluses dans les annexes de la Directive Habitat. En ce qui concerne les espèces de papillons contemplées par la Directive Habitat, au moyen des enquêtes effectuées au cours du 2012, on a trouvé une discrète distribution de Euphydryas (aurinia) provincialis, alors que la Zerynthia polyxena est bien plus localisée; l’Euplagia quadripunctaria, bien que non abondante, a été toutefois trouvée en plusieurs localités qui amplifient considérablement l’aire précédemment connue. Les resultats de l’activité de recension on permis le calcul des estimations préliminaires de densité : Zerynthia polyxena 3,8 œufs/hectare, Euphydryas (aurinia) provincialis 16,5 ind./hectare (recensés dans les aires échantillonnées; Balletto et al. 1977; Arillo & Mariotti 2006), Euplagia quadripunctaria 0,19 ind./hectare (recension au moyen de transepts avec détection de la distance; Balletto et al. 1977; Arillo & Mariotti 2006; Buckland et al. 2001).

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Euplagia quadripunctaria 0,19 ind./ettaro (censimento mediante transetti con rileva-mento della distanza; Balletto et al. 1977; Arillo & Mariotti 2006; Buckland et al. 2001).

Nella categoria rientrano inoltre gli habitat preferiti dalla quasi totalità dei Rettili, da alcuni Chirotteri (Pipistrello di Savi e Molosso di Cestoni) e da numerose specie di Uc-celli (Pernice rossa, Biancone, Aquila reale, Falco pellegrino, Succiacapre, Gufo reale, Tottavilla, Calandro, Codirossone, Magnanina comune, Ortolano) di particolare interesse per il Beigua.

Dal punto di vista ornitologico, nel Parco del Beigua le specie più comuni che trovia-mo in questi ambienti (soprattutto se caratterizzati da ampie aree di praterie inframmez-zate da aree rocciose e cespugli) sono Biancone, Gheppio, Allodola, Calandro, Prispolo-ne, Codirosso spazzacamino, Saltimpalo, Codirossone, Sterpazzola e Corvo imperiale.

Va inoltre riportato che la Calandrella (DU all. I; SPEC 2; Lista Rossa italiana: EN) non è stata oggetto di osservazioni negli ultimi sette anni indagati. Le uniche segnala-zioni della specie sono riferibili ad una probabile nidifi cazione nel 1999 sulle pendici sud-orientali del M. Sciguelo (ripetuto avvistamento di un maschio in parata ed osserva-zione della coppia tra metà giugno e metà luglio), ed all’avvistamento di un individuo il 16/6/2005 nei pressi di Alpicella.

A livello nazionale pare di assistere, anche in conseguenza all’abbandono delle attività agricole nelle aree svantaggiate come quelle alpine ed appenniniche, ad un generalizzato stato di crisi del sistema riconducibile alle praterie montane; un indicatore calcolato per valutare il probabile anda-mento delle specie di uccelli, legate a questo ambiente, presenta infatti una marcata tendenza alla diminuzione (Rossi 2012). Nel Beigua osserviamo invece come le popolazioni di uccelli legate a questi ambienti, abbiano al momento una tendenza ancora non certa dal punto di vista statistico, ma tendente all’incremento moderato o, quantomeno, alla stabilità; data la limitata serie temporale non possiamo ancora parlare di veri e propri ‘andamenti’ delle popolazioni monitorate, ma questa situazione, nel contesto generale, appare decisamente incoraggiante.

Gladiolus palustris Euplagia quadripunctaria

Dans la catégorie entrent en outre les habitats préférés par la quasi-totalité des reptiles, des certains chiroptères (Chauve-souris de Savi et Molosse de Cestoni) et plusieurs espèces d’oiseaux (Perdrix rouge, Circaète Jean-le-Blanc , Aigle royal, Faucon pélerin, Engoulevent d’Europe, Hibou grand-duc, Alouette lulu, Pipit rousseline, Monticole merle-de-roche, Fauvette pitchou, Bruant ortolan) qui possèdent un particulier intérêt pour le Beigua. Au point de vue ornithologique, dans le Parco del Beigua, les espèces plus communes qui se trouvent dans ces milieux (surtout si caractérisés par des amples aires à prairie divisées par des aires rocheuses et des arbustes) sont le Circaète Jean-le-Blanc, Crécerelle, Alouette des champs, Pipit rousseline, Pipit des champs, Rouge-queue noir, Traquet Pâtre, Monticole merle-de-roche, Fauvette grisette et le Grand corbeau. Il faut en outre rappeler que l’Alouette calandrelle (DU ann. I; SPEC 2; Liste Rouge Italienne: EN) n’a pas été objet d’observations dans les dernières sept années considerées. Les uniques rapports de l’espèce sont référables à une probable nidification en 1999 sur les pentes sud orientales du Mont Sciguelo (repetu rapport d’un mâle en parade et observation de la couple entre mi-juin et mi-juillet), et un rapport de découverte d’un individu le 16/6/2005 auprès Alpicella.

A niveau nationale, il paraît d’assister, aussi pour l’abandonnement des activités agricoles des aires désavantagées comme les aires alpines et de l’apennine, à un généralisé état de crise du système reconductible aux prairies de montagne ; un indicateur calculé pour évaluer le probable trend des espèces d’oiseaux liées à cet environnement, présente en effet une marquée tendance à la diminution (Rossi 2012). Dans le Beigua on observe au contraire comme les populations des oiseaux liées à ces environnements, aient en ce moment une tendance encore plutôt incertaine au point de vue statistique, mais qui tend à l’incrément modéré ou, au moins, à la stabilité ; à la cause de la limitée série temporale, on ne peut pas encore parler d’effectives « tendances » des populations migratoires, mais cette situation, dans le contexte général, apparaît bien encourageante.

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68 AMBIENTI E SPECIE

LE PRATERIE

Negli ambienti di prateria troviamo ben 8 tipologie incluse nell’allegato I della direttiva Habitat, tra le quali due risultano di interesse prioritario le formazioni erbose a Nardus, ricche di specie, su substrato siliceo delle zone montane e delle zone submonta-ne dell’Europa continentale e, se con notevoli fi oriture di orchidee, le For-mazioni erbose secche seminaturali e facies coperte da cespugli su substrato calcareo.

Tipi di habitat di interesse comunitario (DH all. I)Formazioni erbose calaminari dei Violetalia calaminariae

Formazioni erbose calcicole alpine e subalpine

Formazioni erbose secche seminaturali e facies coperte da cespugli su substrato calcareo (Festuco –Brometalia) (* notevole fi oritura di orchidee)

Formazioni erbose a Nardus, ricche di specie, su substrato siliceo delle zone montane (e delle zone submontane dell’Europa continentale) *

Praterie con Molinia su terreni calcarei, torbosi o argilloso-limosi (Molinion caeruleae)

Praterie umide mediterranee con piante erbacee alte del Molinio-Holoschoenion

Bordure planiziali, montane e alpine di megaforbie idrofi lePraterie montane da fi eno

LES PRAIRIES

Typologies d’habitat d’intérêt communautaire (DH ann. I) Formations herbeuses à calcaire de Violetalia calaminariae Formations herbeuses calcicoles alpines et subalpines Formations herbeuses sèches semi naturelles et facies couvertes par des arbustes sur un substrat de calcaire (Festuco –Brometalia) (* grande fleurage d’orchidées) Formations herbeuses à Nardus, riches d’espèces, sur un substrat de silicium des zones montagneuses (et des zones sub montagneuses de l’Europe continentale) *Prairies avec des Molinia sur terrains calcaires, tourbeux ou argileux - limoneux (Molinion caeruleae)Prairies humides méditerranéennes avec des plantes herbacées hautes du Molinio-Holoschoenion Bordures des plaines, montagnes et alpines de megaphorbies hydrophiles Prairies montagneuses à foin.

Dans les milieux de prairie on trouve bien 8 typologies incluses dansl’Annexe I de la Directive Habitat, dont résultent d’intérêt prioritaire, les formations herbeuses à Nardus, riches d’espèces, sur un substrat de silicium des zones montagneuses et sub-montagneuses de l’Europe continentale et, si ayant beaucoup de fleurages d’orchidées, les formations herbeuses sèches semi naturelles et des facies couvertes par des arbustes sur un substrat de calcaire.

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69

La Pernice rossa è originaria nell’Europa sud-occidentale; attualmente introdotta in diverse isole atlantiche, nelle Baleari ed in Gran Bretagna. In Italia è sedentaria e nidifi cante sull’Appennino settentrionale e nell’Arcipelago Toscano; introdotta e parzialmente acclimatata in varie altre aree. La popolazione nazionale è stimata in 1.500-2.000 covate, con fl uttuazioni locali e tendenza al decremento.

Di questa specie, che frequenta ambienti diversifi cati, preferendo quelli ben esposti, con vegetazione spontanea cespugliosa ed erbacea alternata a coltivi, boschetti sparsi e colture arboree, si sono avute, negli anni di indagine, notevoli fl uttuazioni del numero di osservazioni. Nel Parco del Beigua si possono stimare 5-15 coppie nidifi canti, localizzate prevalentemente nei settori che godono di tutela legale. Particolarmente interessante è poi la presenza di individui territoriali nell’area del Pian della Badia,

situazione caratterizzata da estesi mosaici agrari.

L’andamento della popolazione indagata risulterebbe tendente all’incremento moderato (variazione media annua = 16,27%; P = 0,021). La sua densità, di 0,19 ind./Km2 (CV = 0,321), appare decisamente inferiore a quanto riscontrato in altre realtà italiane (0,22-24,2 cp/Km2;Arcamone & Sposimo 2002; Brangi et al. 2003; Ferri 1985; Tellini Florenzano et al. 1997; Spanò 2010).Oltre alle attività di censimento descritte nei metodi, dal 2010 l’Ente Parco ha intrapreso un progetto di censimento utilizzando la metodica del transetto con cane da ferma. I risultati preliminari ottenuti in periodo post-riproduttivo (in media 2,7 giovani/cp) indicano valori prossimi ai limiti inferiori di successo riproduttivo riportati per l’Italia (2,5-5,1 giovani/cp).

PERNICE ROSSAAlectoris rufa

Aree rocciose

Mosaici agrari

Praterie

Brughiere e cespuglieti

Macchia mediterranea

Boschi di latifoglie

Boschi di conifere

Boschi misti

-1 0 1

g

Preferenze ambientali

0,18

0,080,10

0,34

0,28

0,190,21

0,15

0,0

0,1

0,2

0,3

0,4

2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012

Andamento annuo della densità

Ind/

Km

q

Densità complessiva

DD*

PERDRIX ROUGE Alectoris rufa

La Perdrix rouge est originaire de l’Europe sud occidentale ; aujourd’hui introduite en plusieurs îles de l’atlantique, dans les Baléares et en Grande-Bretagne. En Italie elle est sédentaire et nidifiante sur l’Apennine du nord et l’Archipel Toscane ; introduite et partiellement acclimatée en plusieurs autres aires. La population nationale est estimée en 1.500-2.000 couvées, avec des fluctuations locales et une tendance au décrément. Cette espèce, qui fréquente des environnements diversifiés, en préférant ceux bien exposés, avec une végétation spontanée d’arbustes et herbes cultivées, petit bois et cultures d’arbres, a eu, pendant les années d’enquête, plusieurs fluctuations du nombre d’observations. Dans le Parco del Beigua, on peut estimer 5-15 couples nidifiantes, localisées pour la plus partie dans les secteurs qui ont une protection légale. Particulièrement intéressante est aussi la présence d’individus territoriales dans l’aire de Pian della Badia, une situation caractérisée par des mosaïques agraires étendues.

L’évolution de la population sous enquête résulterait tendante à l’incrément modéré (avec une variation moyenne annuelle du 16,27%; P = 0,021). Sa densité, 0,19 ind./Km2 (CV = 0,321), apparaît décisivement moindre a ce qui vérifié dans des autres réalités italiennes (0,22-24,2 cp/Km2; Arcamone & Sposimo 2002; Brangi et al. 2003; Ferri 1985; Tellini Florenzano et al. 1997; Spanò 2010). En outre aux activités de recensement décrites par les méthodes, à partir de 2010 l’Organisme du Parc a commencé un projet de recension en utilisant la technique du transept avec les chiens d’arrêt. Les résultats préliminaires obtenus dans la période après la reproduction (moyenne 2,7 jeunes/cp) indiquent les valeurs proches aux limites inférieures de succès de reproduction identifiées pour l’Italie (2,5-5,1 jeunes/cp).

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70 AMBIENTI E SPECIE

Grande rapace migratore, in periodo ri-produttivo è diffuso negli ambienti idonei dalla Penisola iberica all’Asia centrale fi no all’India (dove è stanziale) con ampie aree biogeografi che evitate, mentre l’areale di svernamento è a sud del Sahara, nell’Africa centro-orientale. In Italia nidifi ca in molte regioni, prevalentemete su Alpi, Prealpi e Appennini, ma in maniera decisamente di-scontinua; la sua popolazione è stimata in 6-700 coppie (Baghino et al. 2009).

Nidifi ca in ambienti boschivi, general-mente, di tipo mediterraneo, sub-medi-terraneo o termofi lo, ma con possibili ec-cezioni. La sua presenza è però vincolata alla vicinanza di congrue superfi ci aperte (prati, pascoli, cespuglieti radi, garighe, brughiere, macereti, aree calanchive, pine-te degradate da incendi, ecc) per la ricerca delle prede. Il Biancone ha infatti, un regi-me alimentare estremamente specializzato, ed essendo i serpenti la sua fonte primaria di sostentamento, la loro presenza sul ter-ritorio, che può essere assicurata dall’ab-bondanza di situazioni ecotonali, appare quindi fondamentale.

In diversa misura, tutte le specie di serpenti sono predate, vipere comprese, prediligendo i colubridi di grosse dimen-sioni, tra i quali il Biacco è in assoluto il più cacciato. Capita pure che, in mancanza d’altro, ripieghi su prede più piccole, come

i ramarri e, soprattutto con clima avverso può approfi ttare di altri sauri come l’Or-bettino (attivo con clima piovoso), di anfi -bi e pure di piccoli mammiferi.

In Appennino ligure, su un totale di 41 nidi osservati, gli alberi prescelti per la costruzione sono sempre pini, in massima parte Pinastro (Pinus pinaster). Le coppie sono monogame e dopo la costruzione del nido, che avviene già dai primi giorni del loro arrivo, in marzo, la femmina depone un solo uovo. Lo svezzamento del pullo dura tutta l’estate e i genitori intraprendo-no la migrazione di ritorno prima dei gio-vani, che affrontano da soli il lungo viag-gio verso l’Africa.

Nel Parco del Beigua sono presenti 13-15 coppie, con una dimensione media dei territori di circa 24 Km2 ed una densità pari a 4,2 cp/100 Km2; valori che evidenziano, nel contesto italiano (Baghino et al. 2009), l’elevata vocazione dell’area.

BIANCONECircaetus gallicus

DU all. I VU2

CIRCAÈTE JEAN-LE-BLANCCircaetus gallicus

Un grand oiseau de chasse migratoire, dans la période de reproduction est diffusé dans les milieux à lui aptes de la péninsule Ibérique, à l’Asie centrale jsuqu’à l’Inde (où il est sédentaire) avec des grandes aires biogéographiques qui sont évitées, alors que l’aire d’hivernage est au sud du Sahara, dans l’Afrique centrale et orientale. En Italie il nidifie en plusieurs régions, pour la plus partie sur les Alpes, Préalpes et Apennines, mais en manière beaucoup discontinue ; sa population est estimée en 6-700 couples (Baghino et al. 2009). Il nidifie en environnements forestières, généralement, de type méditerranée, sub-méditerranée ou thermophile, mais avec des possibles exceptions. Sa présence est toutefois liée à la proximité de surfaces ouvertes suffisantes (prairies, pâtures, arbustes rades, garrigues, bruyère, pierriers, aires de mauvaises terres, pinèdes dégradées par des incendies, etc) pour la recherche des proies. Le Circaète Jean-le-Blanc montre un régime alimentaire extrêmement spécialisé, et en étant les serpents sa fonte primaire de soutien alimentaire, leur présence sur le territoire, qui peut être assurée par l’abondance de situations écotonales, apparaît donc fondamentale. Toutes espèces de serpents sont chasses en mesure variée, vipères incluses, en préférant les colubridés de grande taille, entre lesquels le couleuvre verte et jaune est le plus chassé. Quelque fois arrive que, en manque d’autre nourriture, il replie sur des proies plus petites, comme les lézards et, surtout, en un contexte du climat défavorable, peut profiter d’autres saures comme l’orvet commun (actif des climats pluiex) d’amphibiens et même de petits mammifères. Dans l’Apennine ligure, sur un total de 41 nids observés, les arbres sélectionnés pour la construction sont toujours des pins, en partie maximale pins maritimes (Pinus pinaster). Les couples sont monogames et seulement après la construction du nid, qui arrive entre les premières journées de leur arrive, en mars, la femme dépose un single œuf. Le servage du petit dure pour toute l’été et les parents commencent la migration de retour avant les jeunes, qui s’impliquent touts seuls le long voyage de retour vers l’Afrique. Dans le Parco del Beigua sont présents 13-15 couples, avec une taille moyenne des territoires de recherche d’environ 24 km carrés et une densité de 4,2 cp/100 Km2; ces sont des valeur qui montrent dans le contexte italien (Baghino et al. 2009), l’haute vocation de l’aire.

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SUCCIACAPRECaprimulgus europaeus

Migratore trans-sahariano diffuso di-scontinuamente nell’Europa centro-occi-dentale, meno frammentato in Russia, a nord si limita alle isole britanniche ed alle regioni più meridionali della Fennoscan-dia. In Italia è presente in tutte le Regioni, e la popolazione nidifi cante è stimata in circa 10-30.000 coppie.

Nel Parco del Beigua possono essere sti-mate 60-80 coppie nidifi canti, la cui distri-buzione e densità evidenzia una preferenza per le aree più mediterranee o poste a quote più basse, piuttosto che per le situazioni di crinale. Gli ambienti presenti nei territori monitorati sono rappresentati per il 60,7% da boschi (principalmente Castagno, Pino nero, Pino marittimo e Faggio) ed alterna-ti ad aree aperte quali praterie continue e discontinue (12,6%), arbusteti (17,5%), ambienti rupestri con vegetazione rada (5,5%) e coltivi (2,9%), queste ultime uti-lizzate come ambienti di foraggiamento preferenziali (Sierro et al. 2001).

al

a

Prater e

Aree

Zone

d l fog e

d

- 101

Preferenze ambientali

0,41

0,94 0,88

1,15

0,98 0,95 0,900,85

0,0

0,2

0,4

0,6

0,8

1,0

1,2

1,4

2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012

Andamento annuo della densità

Copp

ie/K

mq

Densità complessiva

Complessivamente, nei sette anni indagati, sono stati censiti 275 territori, con una distanza media tra questi di 737 metri ed una densità di 0,85 territori/Km2, che si colloca tra i valori medio-bassi della realtà italiana (0,67-4 territori/Km2; Aluigi et al. 2011; Bonazzi et al. 2002; Consani e Tellini Florenzano 2001; Toffoli et al. 2004). L’andamento della popolazione evidenzia una tendenza all’incremento moderato (variazione media annua = 6,75%; P = 0,0022).

DU all. I LC2

ENGOULEVENT D’EUROPE Caprimulgus europaeus

Migrateur trans-saharien diffusé de façon discontinue dans l’Europe centrale et occidentale, moins fragmenté en Russie, à nord se limite aux îles britanniques et aux régions plus méridionales de la Fennoscandie. En Italie il est présent en toutes les Regions, et sa population nidifiante est estimée environ à 10-30.000 couples. Dans le Parco del Beigua peuvent être estimées 60-80 couples nidifiantes, dont la distribution et densité montre une préférence pour les aires plus méditerranéennes ou placées à une hauteur plus basse, plutôt que pour les situations de crête. Les environnements présents dans les territoires contrôlés sont représentés pour 60,7% par des bois (principalement Chataigner, Pin noir, Pin maritime et Hêtre) et alternés à zones ouvertes comme les prairies continues et discontinues (12,6%), arbrisseaux (17,5%), milieux rupestres avec rare végétation (5,5%) et milieux cultivés (2,9%), ces derniers utilisés comme les environnements de nourriture préférentiels (Sierro et al.2001).

Dans l’ensemble, pendant les sept années sous enquête, on a recensé 275 territoires, avec une distance moyenne entre eux de 737 mètres et une densité de 0,85 territoires /Km2, qui se met entre les valeurs moyennes-baisses de la réalité italienne (0,67-4 territoires/Kmq; Aluigi et al. 2011; Bonazzi et al. 2002; Consani et Tellini Florenzano 2001; Toffoli et al. 2004). L’évolution de la population montre une tendance à l’increment modéré (variation moyenne annuelle = 6,75%; P = 0,0022).

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72 AMBIENTI E SPECIE

Specie distribuita principalmente in Europa, dove è presente in tutta la parte continentale, regioni meridionali di Gran Bretagna e Fennoscandia, isole maggiori del Mediterraneo. Le popolazioni più set-tentrionali sono migratrici e svernano nella porzione meridionale dell’areale. In Italia nidifi ca primariamente lungo la dorsale appenninica e sulle isole maggiori, mentre presenta un areale fortemente discontinuo e ridotto a Nord della Pianura Padana. La popolazione nazionale è stimata in 20-40.000 coppie.

I risultati ottenuti nel Parco del Beigua confermano le preferenze ambientali di questa specie per situazioni ecotonali ca-ratterizzate da brughiere e cespuglieti, pra-terie e margini di aree boscate con terreni in pendenza (Sposimo & Tellini 1988; Tel-lini Florenzano 1996). L’elevata eteroge-neità ambientale necessaria alla Tottavilla ha come conseguenza, nelle aree da lei abitate, la contemporanea presenza di una comunità ornitica piuttosto ricca (Toffoli et al. 2003), il che la rende un ottimo indi-

catore di biodiversità dell’avifauna in am-bienti appenninici (Rubolini et al. 2003).

Aree rocciose

Mosaici agrari

Brughiere e cespuglieti

Macchia mediterranea

Boschi di conifere

Boschi misti

Praterie

-1 0 1

Boschi di latifoglie

Preferenze ambientali

1,01

0,35

0,86

0,37

0,63

0,570,580,65

0,0

0,2

0,4

0,6

0,8

1,0

1,2

2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012

Andamento annuo della densità

Ind/

Km

q

Densità complessiva

La densità della Tottavilla è risultata essere pari a 0,63 ind./Km2 (CV = 0,268); valore che, nel confronto con altre realtà italiane, si colloca a livelli medio-bassi (0,3-5 coppie/Km2; Bocca e Maffei 1997; Fasano et al. 2007; Toffoli et al. 2003). Complessivamente si può stimare la presenza di 10-30 coppie nidifi canti.

TOTTAVILLA Lullula arborea

DU all. I LC2C

. Gal

asso

C. G

alas

so

ALOUETTE LULU Lullula arborea

Espèce distribuée principalement en Europe, où elle est présente dans toute la partie continentale, les régions méridionales et en Grande-Bretagne et Fennoscandie, îles majeures de la Méditerranée. Les populations les plus à nord sont migratrices et hivernent dans la portion méridionale de l’aire. En Italie elle nidifie primairement au long de la dorsale des Apennines et sur les îles majeures, et présente une aire de présence fortement discontinue et réduite à nord de la Pianura Padana. La population nationale est estimée en 20-40.000 couples. Les résultats obtenus dans le Parco del Beigua confirment les préférences des environnements de cet espèce pour les situations écotonales caractérisées par des bruyères et les aires à arbustes, prairies et les limites d’aires forestières avec de terrains en pente (Sposimo & Tellini 1988; Tellini Florenzano 1996). L’haute hétérogénéité des milieux nécessaires à l’Alouette lulu montre comme conséquence la contemporaine présence dans les aires urbanisées d’une communauté ornithologique plutôt riche (Toffoli et al. 2003), qui est ce qu’il rends un bon indicateur de biodiversité de la faune d’oiseaux dans les milieux de l’Apennine (Rubolini et al. 2003).

La densité de l’Alouette lulu a résulté être 0,63 ind./Km2 (CV = 0,268); une valeur qui, par rapport à des autres réalités italiennes, se place à niveau moyen-bas (0,3-5 couples/Km2; Bocca et Maffei 1997; Fasano etal. 2007; Toffoli et al. 2003). Dans l’ensemble on peut estimer présence de 10-30 couples nidifiantes.

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73

Il Calandro è essenzialmente migratore; pur svernando localmente nel Mediterra-neo orientale, ha la sua principale area di svernamento a Sud del Sahara. Le popola-zioni numericamente più importanti sono legate all’area mediterranea ed alla Russia europea sud-orientale. In Italia è migratore regolare, nidifi cante con buoni numeri nel-le regioni centro-meridionali ed in Sarde-gna, più raro nell’Italia settentrionale. La popolazione nazionale, che appare stabile, è stimata tra le 15.000 e le 40.000 coppie.

Specie tipica di zone a prato-pascolo, anche aride, interrotte da affi oramenti roc-ciosi, è stato osservato nel Parco del Bei-gua quasi esclusivamente nelle situazioni sommitali di prateria che, insieme alle aree rocciose, rappresentano i suoi ambienti preferiti. È infatti facile vederlo lungo il tracciato dell’Alta Via dei Monti Liguri dove, insieme ad Allodola e Prispolone, è tra le specie più frequenti.

Aree rocciose

Mosaici agrari

Praterie

Brughiere e cespuglieti

Macchia mediterranea

Boschi di latifoglie

Boschi di conifere

Boschi misti

-1 0 1

osc d at og e

Preferenze ambientali

3,86

5,996,79 6,83 6,81

8,92

6,44

5,85

0

2

4

6

8

10

2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012Andamento annuo della densità

Ind/

Km

q

Densità complessiva

La valutazione del materiale disponibile fa ritenere che, precedentemente, nell’area del Beigua la specie fosse stata sottostimata; attualmente, nei settori interessati dai rilevamenti standardizzati, sono state contattate, a seconda degli anni, 21-28 coppie che, considerando una densità di 6,44 ind./Km2 (CV = 0,125), porterebbero a stimare complessivamente 40-60 coppie nidifi canti. La densità ottenuta nel presente studio si colloca tra i valori medi riportati in letteratura (Stastny e Bejcek 2004; Aa. Vv. 2004), mentre decisamente elevato è il numero di coppie rilevato durante i punti d’ascolto (1,09 cp/10 PC) se confrontato con la media nazionale relativa alle aree continentale e mediterranea-peninsulare (rispettivamente 0,04 e 0,12 cp/10 PC).

CALANDROAnthus campestris

DU all. I LC3

PIPIT ROUSSELINE Anthus campestris

Le Pipit rousseline est essentiellement migrateur ; bien que hivernant localement dans la Méditerranée orientale, sa principale aire d’hivernage est à Sud du Sahara. Les populations numériquement plus importantes sont liées à l’aire méditerranéenne et à la Russie européenne sud orientale. En Italie il est un migrateur irrégulier, nidifiant avec des bons nombres dans les régions centrales et méridionales et en Sardaigne, plus rare dans l’Italie du nord. La population nationale, qui apparaît stable, est estimée entre le 15.000 et 40.000 couples. Espèce typique des zones à prairie ou pâture, même arides ou divisées par des effleurements rocheux, il a été observé dans le Parco del Beigua quasi exclusivement dans les milieux des hauteurs des prairies qui, ensemble aux aires rocheuses, représentent ses environnements préférés. Il est en effet facile de lui voir au long du parcours de l’Alta Via des Monti Liguri où, avec l’Alouette des champs et Pipit des arbres, est parmi les espèces les plus fréquentes.

L’évaluation du matériel disponible fait retenir que, en précédence, dans l’aire du Beigua l’espèce était sous estimée ; aujourd’hui, dans les secteurs intéressés par les détections standardisées, on a contacté, selon les années, 21-28 couples qui, en considération d’une densité de 6,44 ind./ Km2 (CV = 0,125), emmèneront à une estimation totale de 40-60 couples nidifiantes. La densité obtenue par le présent étude se met entre les valeurs moyennes identifiées en littérature (Stastny et Bejcek 2004; Aa. Vv. 2004), alors que le nombre de couples identifiées par les points d’écoute est à considérer très haut (1,09 cp/10 PC), si rapporté à la moyenne nationale relative aux aires continentale et méditerranée et péninsulaire (respectivement 0,04 et 0,12 cp/10 PC).

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74 AMBIENTI E SPECIE

L’areale riproduttivo dell’Ortolano ri-cade in un’ampia varietà di ambienti entro le isoterme di luglio di 15-30°C. Nidifi ca in tutti i Paesi europei, ad eccezione del Regno Unito e del Belgio, nel Caucaso ed alcune aree dell’Algeria. È assente da gran parte dell’Europa occidentale costie-ra e dalle grandi isole del Mediterraneo, eccetto Creta. Migratore a lunga distanza, l’Ortolano sverna principalmente nell’A-frica sub-sahariana, nella fascia tra i 5-10° di latitudine Nord, con modesti contingenti presenti anche in Arabia meridionale.

Nel corso degli anni ‘70-’90, le popo-lazioni europee di Ortolano hanno subito signifi cativi cali demografi ci, dai quali non si sono più riprese e che in molti paesi ri-sultano ancora in atto. Anche in Italia per l’Ortolano si è verifi cata una restrizione dell’areale riproduttivo, ed attualmente la tendenza della popolazione risulta avere andamento non certo. A livello nazionale è distribuito in modo irregolare nelle regioni settentrionali e centrali fi no alla Campania ed al Molise, mentre più a Sud è sporadica-mente presente sui rilievi ed assente dalle isole.

Nel parco del Beigua l’Ortolano nidifi ca attualmente in maniera occasionale, prefe-

rendo comunque le situazioni di prateria. Stante la scarsità del campione, i risultati ottenuti non consentono un adeguato con-fronto con altre realtà.

Aree rocciose

Mosaici agrari

Brughiere e cespuglieti

Macchia mediterranea

Boschi di conifere

Boschi misti

Praterie

-1 0 1

Boschi di latifoglie

Preferenze ambientaliPreferenze ambientali

ORTOLANOEmberiza hortulana

DU all. I DD2

C. G

alas

so

BRUANT ORTOLAN Emberiza hortulana

L’aire de reproduction du Bruant ortolan couvre une grande variété de milieux entre les isothermes de juillet de 15-30°C. Il nidifie entre tous les Pays Européens, à l’exception du Royaume Uni et la Belgique, dans le Caucase et en certaines aires de l’Algérie. Il est absent dans grand partie de l’Europe occidentale costière et entre les grandes îles de la Méditerranée, sauf Crète. Migrateur à longue distance, le Bruant ortolan hiverne principalement dans l’Afrique sub-saharienne, dans le secteur entre 5 et 10° latitude Nord, avec des réduits contingents présents même en Arabie méridionale. Au cours des années ‘70-’90, les populations européennes de Bruant ortolan ont subi des réductions démographiques significatives, dont on a plus eu un rehaussement et qui en plusieurs pays résultent encore effectives. Même en Italie, pour le Bruant ortolan s’est vérifiée une restriction de l’aire de reproduction, et aujourd’hui la tendance de la population est avec une évolution non certaine. A niveau nationale, il est distribué en façon irrégulière dans les régions du nord et centrales jusqu’à la Campanie et au Molise, alors que plus à sud il est sporadiquement présent sur les hauteurs et absent sur les îles. Dans le Parco del Beigua le Bruant ortolan nidifie aujourd’hui en manière occasionnelle, en préférant toutefois les situations de prairie. Vue la pénurie de l’échantillon, les résultats obtenus ne permettent pas un adéquat rapport à des autres réalités.

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Tipi di habitat di interesse comunitario (DH all. I)Lande secche europee

Formazioni a Juniperus communis su lande o prati calcicoliDehesas con Quercus spp. sempreverde

GLI ARBUSTETI

Tra gli arbusteti troviamo tre tipologie in-cluse nell’allegato I della direttiva Habitat.

In questi ambienti è poi presente una co-munità ornitica ricca e diversifi cata. Nelle aree caratterizzate dalla presenza di Mac-chia mediterranea le specie più tipiche sono Magnanina comune, Sterpazzolina di Mol-toni ed Occhiocotto (foto a fi anco).

LES ARBRISSEAUX

Typologies d’habitat d’intérêt communautaire (DH ann. I) Landes sèches européennes Formations à Juniperus communis sur des landes ou prairies calcicoles Dehesas avec Quercus spp. sempervivens

Parmi les arbrisseaux on trouve trois typologies incluses dans l’Annexe I de la Directive Habitat. En ces milieux est puis présente une communauté d’oiseaux assez riche et diversifiée. Dans les aires caractérisées par la présence de la maquis méditerranée les espèces plus typiques sont la Fauvette pitchou, la Fauvette passerinrette de Moltoni et la Fauvette mélanocéphale.

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76 AMBIENTI E SPECIE

La Magnanina comune è distribuita sul-le coste del Mediterraneo occidentale, in Spagna, Francia occidentale e nord-occi-dentale sino al Sud della Gran Bretagna. In Italia è parzialmente sedentaria e nidi-fi cante nelle regioni peninsulari ed insu-lari, con una distribuzione generalmente frammentata e prevalentemente costiera; la tendenza della popolazione è alla dimi-nuzione moderata.

Nel Parco del Beigua si possono stimare circa 60-80 coppie nidifi canti; preferisce gli ambienti di macchia mediterranea, in particolare se dominata dall’Erica arborea, a quote tra 200 e 900 metri s.l.m.. Tra le densità riproduttive ed invernali si riscon-trano notevoli differenze, da mettersi pro-babilmente in relazione ad elevata morta-lità e/o allo spostamento di una parte dei soggetti verso la costa in risposta a situa-zioni climatiche sfavorevoli, quali inverni nevosi o rigidi, cui la specie risulta essere particolarmente sensibile (Shirihai 2001; Brichetti & Fracasso 2010).

Aree rocciose

Mosaici agrari

Brughiere e cespuglieti

Macchia mediterranea

Boschi di conifere

Boschi misti

Praterie

-1 0 1

Boschi di latifoglie

Preferenze ambientaliPreferenze ambientali

47,21

25,68

53,0147,53

55,3565,98

40,6742,22

0

10

20

30

40

50

60

70

2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012

Andamento annuo della densità

Ind/

Km

q

Densità complessiva

La densità riproduttiva è risultata essere pari a 47,21 ind./Km2 (CV = 0,092); tenendo conto che ci si trova ai margini dell’areale distributivo, e della frammentazione dell’ambiente idoneo, tale valore è da ritenersi buono, vengono infatti riportate densità consuete di 20-60 cp/Km2, e valori estremi di 1,3-210 cp/Km2

(Shirihai et al. 2001). Durante il periodo invernale la densità risulta invece pari a 9,12 ind./Km2 (CV = 0,145), ed una tendenza della popolazione svernante alla diminuzione moderata (variazione media annua = -31,09%; P = 0,0117).

MAGNANINA COMUNESylvia undata

DU all. I VU2

FAUVETTE PITCHOU Sylvia undata

La Fauvette pitchou est distribuée sur les côtes de la Méditerranée occidentale, en Espagne, France occidentale et nord occidentale jusqu’à Sud de la Grande-Bretagne. En Italie est partiellement sédentaire, et nidifie dans les régions péninsulaires et insulaires, avec une distribution généralement fragmentée et substantiellement costière ; la tendance de la population est vers une modérée diminution. Dans le Parco del Beigua on peut trouver environ 60-80 couples nidifiantes; elle préfère les milieux à maquis méditerranée, notamment si dominés par la Bruyère en arbre, à des hauteurs entre 200 et 900 mètres s/m. Entre les densités de reproduction et hivernales on trouve des substantielles différences, qu’il faudrait mettre en relation avec l’haute mortalité et/ou le déplacement d’une partie des sujets vers la côte en réponse à des situations climatiques défavorables, comme des hivers neigeux ou rigides, dont l’espèce résulte être particulièrement sensible (Shirihai 2001; Brichetti & Fracasso 2010).

La densité reproductive est 47,21 ind./Km2 (CV = 0,092); en comptant qui on se retrouve aux confins de l’aire de distribution, et de sa fragmentation de l’environnement à lui apte, cette valeur est à retenir bonne, parce que les densités typiques sont 20-60 cp/Km2, avec des valeurs extrêmes entre 1,3-210 cp/Km2 (Shirihai et al. 2001). Pendant la période hivernale la densité est 9,12 ind./Km2 (CV = 0,145), et une tendance de la population hivernante est d’une modérée diminution (variation moyenne annuelle = -31,09%; P = 0,0117).

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GLI AMBIENTI ROCCIOSI

Tipi di habitat di interesse comunitario (DH all. I)Formazioni erbose calcicole rupicole o basofi le dell’Alysso-Sedion albi *Ghiaioni del Mediterraneo occidentale e termofi li

Pareti rocciose calcaree con vegetazione casmofi tica

Pareti rocciose silicee con vegetazione casmofi ticaRocce silicee con vegetazione pioniera del Sedo-Scleranthiono del Sedo albi Veronicion dilleniiGrotte non ancora sfruttate a livello turistico

Nelle aree caratterizzate da rocce nude, falesie, rupi, affi oramenti, con o senza vege-tazione rada, troviamo 6 tipologie incluse nell’allegato I della direttiva Habitat, delle quali le formazioni erbose calcicole rupicole o basofi le dell’Alysso-Sedion albi risultano di interesse prioritario. Grotte, fessure e cavità di varia natura sono il rifugio diurno del Rinolofo maggiore (DH all. II/IV); e sulle pareti rocciose nidifi cano Aquila reale, Falco pellegrino, e Gufo reale (tutte incluse nell’all. I della Direttiva Uccelli). Unitamente alle praterie questo è anche l’habitat d’elezione per il Codirossone. Tra le specie più comuni vi troviamo poi la Rondine montana, legata per la nidifi cazione a pareti rocciose, ponti e viadotti.

LES ENVIRONNEMENTS ROCHEUX

Typologies d’habitat d’intérêt communautaire (DH ann. I) Formations herbeuses, calcicoles, des rochers ou basophiles de l’Alysso-Sedion albi *Pentes pierreuses de la Méditerranée occidentale et thermophiles Parois rocheuses calcaires avec végétation chasmophytique Parois rocheuses siliceuses avec végétation chasmophytique Rochers siliceux avec végétation pionnière du Sedo-Scleranthion ou de Sedo albi Veronicion dillenii Grottes ne pas encore exploitées à niveau touristique

Dans les aires caractérisées par des nues roches, falaises, rochers, effleurements, avec ou sans végétation rade, on trouve 6 typologies incluses dans l’Annexe I de la Directive Habitat, dont les formations herbeuses, calcicoles, des rochers ou basophiles de l’Alysso-Sedion albi sont d’intérêt prioritaire. Grottes, fissures et cavités de nature diverse sont le refuge diurne du Grand rhinolophe fer à cheval (DH ann. II/IV); et sur les parois rocheuses nidifient Aigle royal, Faucon pélerin, et Hibou grand-duc (incluses dans l’annexe I de la Directive Oiseaux). Ensemble aux prairies celui-ci est aussi l’habitat d’élection pour le Monticole merle-de-roche. Entre les espèces les plus communes on retrouve aussi l’Hirondelle des rochers liée en ce qui concerne la nidification aux parois rocheuses, ponts et viaducs.

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78 AMBIENTI E SPECIE

Predatrice eclettica, l’Aquila reale ha vasti areali di nidifi cazione nell’emisfero boreale, dove frequenta ambienti molto diversifi cati. In Italia è sedentaria e nidifi cante, presente sulle Alpi, sugli Appennini, in Sicilia e Sardegna, con una popolazione stimata in 476-541 coppie che, dagli anni ’80, tende all’incremento ed alla ricolonizzazione di zone storicamente occupate. Nel nostro Paese nidifi ca quasi esclusivamente su parete, con pochi casi di nidi su albero verifi catasi quasi esclusivamente nel comparto alpino. In Liguria attualmente sono presenti almeno 16 coppie.

La situazione nel Parco del Beigua è ben conosciuta. La prima coppia si insediò a metà degli anni ’80, cambiando poi per tre volte il sito riproduttivo; quello scelto alla fi ne degli anni ’90 è stato successivamente utilizzato fi no al 2012, con un numero di deposizioni ed un successo riproduttivo ben al di sopra della media. La seconda coppia è comparsa ad oltre vent’anni dalla precedente, insediandosi nel primo sito utilizzato dalla coppia ‘storica’ alla fi ne degli anni ’80, ed ‘usurpandole’, di fatto una notevole porzione di territorio.

Durante le osservazioni effettuate per il monitoraggio della nidifi cazione (riguardanti soprattutto la ‘prima’ coppia),

è stato possibile riconoscere molte delle prede portate al nido; tra queste prevalgono i giovani di Capriolo, seguiti da Lepre, Volpe, cuccioli di Cinghiale e Fasianidi; eccezionalmente Ghiro e Scoiattolo; in un unico caso Airone cenerino.

Oltre alle due coppie già nidifi canti all’interno dei confi ni del Parco Naturale, se ne sono riscontrate altre due che, pur nidifi cando in settori prossimali, con una certa regolarità vengono osservate in caccia nell’area del Beigua. A queste si aggiunge una possibile quinta coppia, apparsa recentemente ed attualmente in fase di accertamento. Nel complesso è comunque possibile stimare una densità pari a 0,5 cp/100 Km2.

AQUILA REALEAquila chrysaetos

G. C

arra

ra

DU all. I NT3

AIGLE ROYAL Aquila chrysaetos

Prédatrice éclectique, l’Aigle royal a des vastes aires de nidification dans l’hémisphère boréale, dont il fréquente des environnements très diversifiés. En Italie il est sédentaire et nidifiant, présent sur les Alpes, sur les Apennines, en Sicile et Sardaigne avec une population estimée de 476-541 couples qui, à partir des années ’80, tend à l’incrément et à la nouvelle colonisation des zones historiquement occupées. Dans notre Pays il nidifie quasi exclusivement sur les parois, en peux cas dans nids sur arbre et en ce cas quasi exclusivement dans le milieu alpin. En Ligurie, aujourd’hui sont présentes au moins 16 couples. La situation du Parco del Beigua est bien connue. La première couple s’installait environ a mi-années ’80, en changeant puis trois fois le site reproductive ; celui choisi à la fin des années ’90 a été successivement utilisé jusqu’au 2012, avec un nombre de dépositions et un succès reproductif bien plus haut de la moyenne. La deuxième couple est apparue après plus de vingt années de la précédente, en s’installant dans le premier site utilisé par la couple historique à fin des années ’80, et en usurpant une partie du territoire. Pendant les observations effectuées pour le monitorage de la nidification (concernant surtout la « première » couple), il était possible reconnaître plusieurs des proies emmenées au nid ; entre eux pour la plus partie il y a des jeunes de Chevreuil, suivis par les Lèvres, le Renards, les petits de Sanglier et les espèces de Faisan ; exceptionnellement le Loir et le écureuil; en un single case un Héron Cendré. Ensemble aux autres deux couples déjà nidifiantes dans les confins du Parc Naturel, on a trouvé deux autres couples qui, bien que nidifient auprès des secteurs proximales, avec une certaine régularité sont observées en chasse dans l’aire du Beigua. A celles-ci s’adjointe une possible cinquième couple, apparue récemment et aujourd’hui en phase de vérification. Dans l’ensemble est toutefois possible estimer une densité de 0,5 cp/100 Km2.

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Il Falco pellegrino è un rapace ornito-fago particolarmente eclettico ed a distri-buzione cosmopolita. Le popolazioni euro-pee mostrano oggi una tendenza generale positiva, e la specie è ormai considerata sicura. Il comportamento migratorio è am-piamente variabile, con le popolazioni più settentrionali che si spostano su lunga di-stanza, e quelle progressivamente più me-ridionali residenti o solo dispersive.

Anche in Italia la specie è ampiamen-te diffusa, con notevoli densità in aree di particolare ricchezza ornitologica. La sti-ma nazionale è di 700-800 coppie nidifi -canti, distribuite nelle più diverse tipologie ambientali; di recente ha colonizzato con successo anche contesti urbani.

I siti di nidifi cazione sono abitualmente rappresentati da falesie rocciose, sia in am-bito costiero sia nelle valli interne; ma an-che manufatti di antica e nuova concezione (castelli, palazzi, torri) vengono sfruttati dalla specie, ed oggi l’uomo è talvolta in-tervenuto apponendo nidi artifi ciali in am-bienti urbani per favorirne l’insediamento.

Il Falco pellegrino cattura al volo le sue prede, e tra quelle più frequenti si annove-rano il Piccione torraiolo, lo Storno, i ron-doni, il Colombaccio, e una vasta gamma di altre specie che durante l’allevamento della prole sono spesso attinte da stormi

in migrazione. Con la colonizzazione di nuovi siti si creano spesso situazioni con-fl ittuali con altre specie, in particolare nei confronti del Corvo imperiale, mentre nei confronti del Gheppio esercita frequente-mente azione predatoria; a sua volta può però soccombere per l’arrivo del Gufo re-ale.

Nel 2003 un censimento condotto sull’Appennino ligure (compreso il ver-sante piemontese) accertava la presenza di 14 coppie e portava a stimarne 28. Nello stesso periodo, pur essendo occasional-mente presente, il Falco pellegrino non aveva ancora ricolonizzato il Parco del Beigua. Attualmente la situazione è radi-calmente cambiata, con l’accertamento di 7 coppie ed altre due possibili. Si può quindi stimare una densità pari a 2 cp/100 Km2, che risulta sostanzialmente analoga a quelle riscontrate in altre aree italiane.

FALCO PELLEGRINOFalco peregrinus

DU all. I LC

FAUCON PÉLERIN Falco peregrinus

Le Faucon pèlerin est un oiseau de chasse ornithophage assez éclectique à distribution cosmopolite. Ses populations européennes montrent aujourd’hui une tendance en général positive, et l’espèce est désormais considérée sûre. Le comportement migratoire est amplement variable, et les populations du nord se déplacent sur des longues distance, autant que les plus méridionales sont résidentes ou seulement dispersives. Même en Italie l’espèce est largement diffusée, avec des significatives densités dans les aires de importante richesse ornithologique. L’estimation nationale est 700-800 couples nidifiantes, distribuées dans les plus diverses typologies d’environnement ; en temps récent, il a colonisé efficacement même les contextes urbains. Les sites de nidification sont habituellement représentés par les falaises rocheuses, soit du contexte côtier soit dans les vallées internes ; mais même les œuvres d’ancienne ou nouvelle conceptions (châteaux, palais, tours) sont exploitées par l’espèce, et aujourd’hui l’homme est intervenu en introduisant des nids artificiels dans les milieux urbains pour en favoriser l’installation. Le Faucon pélerin chasse au vol ses proies, dont on retrouve le Pigeon domestique, l’Éturneau sansonnet, les Martinets noirs, le Pigeon ramier, et une vaste gamme d’autres espèces qui pendant l’élevage des petits sont souvent puisées par les vols en migration. Avec la colonisation des nouveaux sites on crée des situations conflictuelles avec des autres espèces, notamment avec le Grand corbeau, tandis que au rapport de la Crécerelle il exerce fréquemment une action prédatoire ; à sa fois il peut succomber pour l’arrive de l’Hibou grand-duc. En 2003 dans le contexte d’une recension effectuée sur l’Apennine Ligure (inclus le versant du Piedmont) on confirmait une présence de 14 couples et on n’estimait 28. Dans la même période, bien que occasionnellement présent, le Faucon pèlerin n’avait encore recolonisé le Parco del Beigua. Aujourd’hui la situation est radicalement changée, avec la confirmation de 7 couples plus deux autres possibles. On peut donc estimer une densité de 2 cp/100 Km2, qui résulte substantiellement analogue à ces qui ont été retrouvées dans les autres aires italiennes.

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80 AMBIENTI E SPECIE

Specie paleartica, storicamente ben dif-fusa in tutta l’Eurasia fi no a circa 65° di latitudine Nord, nel corso della seconda metà del XX secolo il Gufo reale è via via scomparso da buona parte della Scandina-via, della Francia e dell’Europa centrale. Oggigiorno presenta un areale distributi-vo discontinuo e sostanzialmente limitato alle regioni circum-mediterranee e nord-orientali. In Italia è nidifi cante sedentario e migratore irregolare. L’areale riproduttivo è assai frammentato e limitato ai rilievi al-pini ed appenninici della penisola, ad alti-tudini normalmente comprese tra i 400 e i 1.500 metri s.l.m.. Risulta estinto in Sicilia ed è assente dalla Sardegna. Nel comples-so si stima la popolazione italiana in 250-340 coppie.

Il Gufo reale è il più grande rapace not-turno italiano. Nelle catene trofi che si inse-risce al livello dei superpredatori, essendo in grado di predare altri rapaci notturni, ma anche diurni quali Gheppio e Falco pelle-grino, nonché mammiferi carnivori fi no alle dimensioni di un gatto. Lo spettro ali-mentare del Gufo reale è comunque mol-to vario da un’area geografi ca all’altra; in Liguria la dieta comprende principalmen-te ratti, Riccio e Ghiro; in alcune località

compaiono poi spesso piccioni torraioli e gabbiani.

Per la nidifi cazione, nell’Europa meri-dionale, sono selezionate quasi esclusiva-mente le zone rocciose con falesie verticali di varia grandezza; dimostrandosi però più adattabile di altre specie legate alle rupi, e quindi capace di riprodursi su piccole pa-reti. Queste devono però essere provviste di cavità adatte alla cova, con fondo di ter-riccio, detrito roccioso fi ne o sabbia dove scavare una minima concavità atta ad ospi-tare le uova.

Nel Parco del Beigua sono attualmente presenti 2 coppie certe ed almeno 3 pro-babili. Al momento si può quindi stimare una densità di 1,9 cp/100 Km2; valore che si colloca tra quelli medio-bassi della real-tà italiana.

GUFO REALEBubo bubo

R. M

alac

rida

DU all. I NT3

HIBOU GRAND-DUC Bubo bubo

Espèce paléarctique, historiquement bien diffusée en toute l’Europe et l’Eurasie jusqu’à environ 65° de latitude nord, au cours de la deuxième moitié du XX siècle, l’ Hibou grand-duc est au fur et à mesure disparu de la Scandinave, de la France et de l’Europe Centrale. Aujourd’hui il présente une aire de distribution discontinue et substantiellement limitée aux régions circum- méditerranéennes et nord orientales. En Italie il est nidifiant sédentaire et un migrateur irrégulier. L’aire de reproduction est plutôt fragmentée et limitée aux massifs alpins et des apennines de la péninsule, à des hauteurs normalement comprises entre 400 et 1.500 mètres s/m. Résulte éteint en Sicile et absent de la Sardaigne. Dans l’ensemble on estime que la population italienne comprend 250-340 couples. L’Hibou grand-duc est le plus grand oiseau de chasse nocturne italien. Dans les chaînes trophiques s’introduit à niveau des superprédateurs, en étant capable de chasser des autres oiseaux de proie nocturnes, mais même diurnes comme la Crécerelle et le Faucon pèlerin, et aussi des mammifères carnassiers jusqu’à la taille du chat. Le spectre de nourriture de l’Hibou grand-duc est toutefois assez varié selon les plusieurs aires géographiques ; en Ligurie la diète comprend principalement des rats, le Hérisson et le Loir ; en certaines localités apparaissent souvent des pigeons et des mouettes. Pour la nidification, dans l’Europe méridionale, ils ont sélectionné quasi exclusivement des falaises verticales de varie taille ; il se montre toutefois plus adaptable d’autres espèces liées aux rochers, et donc capable de se reproduire sur des petites parois. Celles-ci doivent toutefois avoir des cavités aptes à la chatte, avec un fond de terre, sédiment rocheux fin ou sable où on puisse creuser une concavité minimale apte à héberger les œufs. Dans le Parco del Beigua, sont aujourd’hui présentes 2 couples certaines et au moins trois probables. À ce moment on peut estimer une densité de 1,9 cp/100 Km2; la valeur se place entre celles moyennes ou basses de la réalité italienne.

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Specie legata agli ambienti rupestri montani e collinari, il Codirossone è distri-buito in un vasto ma frammentato areale riproduttivo che comprende il bacino del Mediterraneo, l’Est europeo e l’Asia cen-trale. La sua distribuzione in Italia coincide ampiamente con quella dei principali rilie-vi montuosi peninsulari ed insulari. Attual-mente le popolazioni italiane, migratrici e nidifi canti, sono caratterizzate da andamen-ti non certi.

Il Codirossone nidifi ca in ambienti acci-dentati, secchi, aperti e soleggiati, caratte-rizzati da pascoli e radure erbose cosparse da massi, cespugli ed alberi radi, e nel Parco del Beigua, dove sono presenti 10-15 cop-pie, la specie preferisce proprio gli ambienti caratterizzati dalla presenza di rocce nude, posti ad una quota compresa tra i 600 ed i 1.200 metri s.l.m.. Attualmente per la popo-lazione in esame si evidenzierebbe una ten-

denza all’incremento moderato (variazione media annua = 12,47%; P = 0,0016).

Aree rocciose

Mosaici agrari

Brughiere e cespuglieti

Macchia mediterranea

Boschi di conifere

Boschi misti

Praterie

-1 0 1

Boschi di latifoglie

Preferenze ambientaliPreferenze ambientali

0,40

0,84 0,87

0,67

0,60

0,500,470,44

0,0

0,2

0,4

0,6

0,8

1,0

2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012

Andamento annuo della densità

Ind/

Km

q

Densità complessiva

La densità è pari a 0,60 ind./Km2 (CV = 0,182), e risulta sostanzialmente analoga ai valori minimi noti per aree prossimali (0,2-2,7 cp/ Km2; Bionda & Bordignon 2006; Brichetti e Fasola 1990; Cova 1965; Mingozzi et al. 1988). Analizzando i materiali disponibili per l’area di studio, va inoltre tenuto conto del contributo di Baghino et al. (2006), nel quale, mediante mappaggio dei territori eseguito durante le stagioni riproduttive degli anni 2004-2006 nella zona del Monte Dente (tra le più vocate nel contesto del Beigua), si riporta una densità della specie di 3,07 maschi/Km2. Una nuova analisi dei medesimi dati, adottando il metodo della “Nearest-Neighbour-Distance”, evidenzia una densità di 0,68 territori/Km2 (distanza media tra i territori = 822 metri, ds = 217, n = 7), valore decisamente compatibile con quanto riscontrato mediante il metodo Distance Sampling.

CODIROSSONEMonticola saxatilis

VU3

MONTICOLE DE ROCHE Monticola saxatilis

Espèce liée aux environnements rocheux des montagnes et des collines, le Monticole de roche est distribué dans une vaste mais fragmentée aire reproductive qui comprend le bassin de la Méditerranée, l’Est Europe et l’Asie centrale. Sa distribution en Italie coïncide amplement à celle des principaux reliefs péninsulaires et insulaires. Aujourd’hui les populations italiennes, migratrices et nidifiantes, sont caractérisées par évolutions non certaines. Le Monticole merle-de-roche nidifie dans les contextes accidentels, secs, ouverts et ensoleillés, caractérisés par des pâtures et clairières herbeuses ayant des rochers, des arbustes et arbres rades, et dans le Parco del Beigua, où sont présentes 10-15 couples, l’espèce préfère exactement les milieux caractérisés par la présence de roches nues, placés à une hauteur comprise entre 600 et 1.200 mètres s/m. Aujourd’hui pour la population sous examen on évidence une tendance à l’incrément modéré (variation moyenne annuelle = 12,47%; P = 0,0016).

La densité est 0,60 ind./Km2 (CV = 0,182), et résulte substantiellement analogue aux valeur minimales connues pour les aires proximales (0,2-2,7 cp/ Km2; Bionda & Bordignon 2006; Brichetti et Fasola 1990; Cova 1965; Mingozzi et al. 1988). En vérifiant les renseignements disponibles pour l’aire d’étude, il faut aussi tenir compte de la contribution de Baghino et al. (2006), dont, avec une mappage des territoires effectuée pendant les saisons reproductives des années 2004-2006, dans la zone de Monte Dente (entre les plus aptes dans le contexte du Beigua), se retrouve une densité de l’espèce de 3,07 mâles/Km2. Une nouvelle analyse des memes renseignements, en adoptant la méthode “Nearest-Neighbour-Distance”, montre une densité de 0,68 territoires/Km2 (distance moyenne entre les territoires = 822 mètres, ds = 217, n = 7), une valeur compatible avec ce qui a été identifié avec la méthode Distance Sampling.

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82 AMBIENTI E SPECIE

I RETTILI

I Rettili vengono generalmente associati ad ambienti aperti e soleg-giati, ed anche nel Parco del Beigua, tra le 14 specie censite [a], solo le tre natrici, ed in particolare la Natrice tassellata e la Natrice viperina, sono legate ad ambienti acquatici. Le spe-cie più diffuse risultano essere la Lucertola muraiola e la Natrice dal collare, seguite da Vipera comune, Luscengola comune e Biacco [a].

Questo gruppo è ampiamente interessato dalla Direttiva Habitat, ed infatti ben sei delle specie con-siderate sono incluse nell’allegato IV (Ramarro occidentale, Lucertola muraiola, Biacco, Colubro liscio, Saettone comune e Natrice tassel-lata); anche se sembra eccessiva la tutela attribuita a specie antropofi le comunissime come la Lucertola mu-raiola o il Biacco.

Nel complesso, la tutela degli am-bienti naturali (soprattutto i mosaici agrari e gli habitat fluviali e perifl u-viali) e la protezione delle specie rare sono suffi cienti a conservare adeguatamente queste specie.

Per approfondimenti bibliografi ci: Arillo & Mariotti (2006), Sindaco et al. (2003, 2006)

Luscengola comune Saettone comune

Colubro

Gecocomune

Colubrolacertino

Tarentola mauritanica

Malpolonmonspessulanus

Saettone

Colubro di Riccioli

Natricetassellata

Colubroliscio

Coronella girondica

Natrix tessellata

Coronella austriaca

Natrice

Orbettino

Ramarro occidntale

Saettonecomune

Anguis fragilis

Lacerta bilineata

Elaphe longissima

Vi

Luscengolacomune

Biacco

Natriceviperina

Chalcides chalcides

Hierophis viridiflavus

Natrix maura

Lucertolamuraiola

Natrice dal collare

Viperacomune

Podarcis muralis

Natrix natrix

Vipera aspis

muraiola

0,0% 1,0% 2,0% 3,0% 4,0%

Distribuzione (%)

[a]

LES REPTILES

Les reptiles sont souvent associés aux milieux ouverts et ensoleillés, et dans le Parco del Beigua, parmi les 14 espèces recensées [a], seulement les trois Couleuvres, et notamment la Couleuvre tessellée et la Coleuvre vipérine, sont liées aux milieux aquatiques. Les espèces plus diffuses sont le Lézard des murailles, et la Coleuvre à collier, suivies par la Vipère commune et la Luscengola commune et la Couleuvre verte et jaune [a]. Ce groupe est amplement intéressé par la Directive Habitat, et en effet bien six des espèces sont considérées dans l’Annexe IV (Lézard à deux bandes, Lézard des murailles, Couleuvre verte et jaune, Coronelle lisse, Couleuvre d’Esculape et Couleuvre tessellée); mais se ressemble excessive la protection attribuée aux espèces anthropophiles très communes comme le Lézard des murailles ou le Couleuvre verte et jaune. Dans l’ensemble la protection des milieux naturels (surtout les mosaïques agraires et les habitats fluviales et périfluviales) et la protection des espèces rares sont suffisantes à conserver correctement ces espèces. Pour renseignements bibliographiques : Arillo & Mariotti (2006), Sindaco et al. (2003, 2006).

Tarentola mauritanica Tarente du midi Anguis fragilis Orvet fragile Lacerta bilineata Lézard vert occidental Podarcis muralis Lézard des murailles Chalcides chalcides Luscengola commune Hierophis viridiflavus Couleuvre verte et jaune Coronella austriaca Coronelle lisse Coronella girondica Coronelle girondine Elaphe longissima Couleuvre d'Esculape Malpolon monspessulanus Couleuvre de Montpellier Natrix maura Couleuvre vipérine Natrix natrix Couleuvre à collier Natrix tessellata Couleuvre tessellée Vipera aspis Vipére commune

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Tipi di habitat di interesse comunitario (DH all. I)Acque oligomesotrofe calcaree con vegetazione bentica di Chara spp.

Laghi eutrofi ci naturali con vegetazione del tipo Magnopotamion o HydrocharitionFiumi delle pianure e montani con vegetazione del Ranunculion fl uitantise Callitricho-BatrachionTorbiere di transizione e instabili

Depressioni su substrati torbosi del Rhynchosporion

Torbiere basse alcaline

CORSI D’ACQUA E ZONE UMIDE

Tra le varie tipologie di ambienti acquatici presenti nell’area 6 sono incluse nell’alle-gato I della Direttiva Habitat; gli allegati II e/o IV della sessa direttiva tutelano inoltre varie specie animali legati a questi ambienti, ed in particolare tra i crostacei il Gambero di fi ume (Austropotamobius pallipes); le libellule Oxygastra curtisi (all. II/IV) ed Ophio-gomphus cecilia (all. II/IV); varie specie di pesci (Barbo canino, Barbo comune, Lasca, Vairone, Cobite comune, Trota macrostigma, Scazzone, tutte incluse nell’all. II); gli anfi -bi Tritone crestato italiano (all. II/IV), Raganella mediterranea (all. IV) e Rana dalmatina (all. IV); la Natrice tassellata (all. IV); il Vespertilio di Daubenton (all. IV). L’allegato V della Direttiva Habitat pone poi l’attenzione sui possibili risvolti gestionali connessi al prelievo dello Sfagno (Sphagnum spp.), Briofi ta tipico delle torbiere.

Per ciò che riguarda gli uccelli sono di particolare interesse il Martin pescatore (DU all. I; SPEC 3; Lista Rossa italiana: LC), estremamente raro nel Parco del Beigua, ed il Merlo acquaiolo. Tra le specie più comuni è tipica dei corsi d’acqua la Ballerina gialla.

COURSES D’EAU ET ZONES HUMIDES

Entre les plusieurs typologies de milieu aquatique présentes dans l’aire, 6 sont incluses dans l’Annexe I de la Directive Habitat; les annexes II et/ou IV de la même directive protègent en outre plusieurs espèces animales liées à ces environnements, notamment parmi l’écrevisse commune (Austropotamobius pallipes); les libellules Oxygastra curtisi (ann. II/IV) ed Ophiogomphus cecilia (ann. II/IV); plusieurs espèces de Poissons (Barbeau Méridional, Barbeau commune, la Nase de l’Europe du sud, le Blageon, la Loche de rivière, la Truite de l’Atlantique, le Chabot de rivière, toutes incluses dans l’annexe II); les amphibiens Triton crêté italien (ann. II/IV), la Rainette de la méditerranée (ann. IV) et la Grenouille Agile (ann. IV); la Couleuvre tessellée (ann. IV); le Vespertillon de Daubenton (ann. IV). L’Annexe V de la Directive Habitat pose sa attention sur les potentielles implications de gestion liées au prélèvement du Sphaigne (Sphagnum spp.), Bryophyte typique des Tourbières. En ce qui concerne les oiseaux, sont de particulier intérêt le Martin Pêcheur (DU ann. I; SPEC 3; Liste Rouge Italienne: LC), extrêmement rare dans le Parco del Beigua, et le Cincle plongeur. Entre les espèces plus communes se retrouve dans les courses d’eau, la Bergeronnette des ruisseaux.

Typologies d’habitat d’intérêt communautaire (DH ann. I) Eaux oligo-mesotrophes calcaires avec végétation benthique de Chara spp. Lacs eutrophiques naturels avec végétation du type Magnopotamion ou Hydrocharition Fleuves des plaines et montagnes avec végétation de Ranunculion fluitantis et Callitricho-Batrachion Tourbières de transition et instables Dépressions sur substrats tourbeux du Rhynchosporion Tourbières baisses et alcalines

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84 AMBIENTI E SPECIE

GLI ODONATI

Gli Odonati, o libellule, nel corso del 2012 sono stati oggetto di un’intensa attivi-tà di ricerca. Ai risultati ottenuti con le in-dagini promosse dall’Ente Parco, si sono poi aggiunti numerosi dati, sia bibliografi ci che provenienti dall’archivio del ‘Progetto Atlante degli Odonati della Regione Ligu-ria’ (coordinatori: D. Ottonello, F. Oneto, R. Sindaco e C. Grieco). Di questi insetti affa-scinanti, strettamente legati agli ambienti ac-quatici, per il Parco del Beigua attualmente sono quindi note ben 42 specie [a], che rap-presentano circa l’80% di quelle conosciute per la Liguria (Ottonello et al. 2010). Di que-ste, nel corso degli ultimi 10 anni, non si è però avuta conferma per Calopteryx xantho-stoma (Galletti et al. 1987), Coenagrion sci-tulum (Capra 1945; Conci & Nielsen 1956) e Sympetrum meridionale (Capra 1945). Lespecie più frequenti risultano essere Calop-teryx virgo, Onychogomphus uncatus, Sym-petrum fonscolombii, Cordulegaster boltoniied Onychogomphus forcipatus [a].

Diverse zone umide, quali la torbiera del Laione o il recente ripristino attuato al Pian della Badia, risultano interessanti ed ospita-no parecchie specie; ma, sia per la tipicità del popolamento che dal punto di vista conser-vazionistico, la maggiore ricchezza è ricon-ducibile ai molti corsi d’acqua, tra i quali spiccano i torrenti Erro, Gargassa e Stura, lungo i quali sono state censite alcune spe-cie di importanza continentale. In particolare è stata confermata la presenza di Oxygastracurtisi (DH all. II/IV) ed Onychogomphus uncatus; inoltre, in ben due siti, si è ritro-vato Ophiogomphus cecilia (DH all. II/IV). Questa specie, nuova per la Regione e le cui località di presenza più prossime si collo-cano nell’alessandrino (Boano et al. 2007), occupa ambienti con ampie lame d’acqua corrente e fondo sabbioso, provvisti di fasce boscate ai margini; habitat, questi, di parti-colare pregio, importanti per la vita di molte altre specie animali.

S fErythromma lindeni

Erythromma viridulumGomphus vulgatissimus

Orthetrum albistylumSympetrum meridionale

Ischnura pumilioEnallagma cyathigerum

Coenagrion scitulumAnax ephippiger

Sympetrum sanguineumCalopteryx xanthostoma

Sympecma fusca

Cordulegaster bidentataCrocothemis erythraeaOphiogomphus cecilia

Orthetrum cancellatumLestes dryas

Lestes sponsaLestes virens

Aeshna cyaneaOxygastra curtisi

Sympetrum striolatumPyrrhosoma nymphula

Ischnura elegansAeshna mixta

Anax parthenopeg

Libellula depressaOrthetrum coerulescens

Platycnemis pennipesOrthetrum brunneum

Lestes viridisCeriagrion tenellum

Coenagrion puellaAeshna cyanea

Cordulegaster boltoniOnychogomphus forcipatus

Boyeria ireneCalopteryx splendens

Calopteryx haemorrhoidalisAnax imperator

Libellula depressa

0,0% 2,0% 4,0%

Calopteryx virgoOnychogomphus uncatusSympetrum fonscolombii

Onychogomphus uncatus

[a]

Distribuzione (%)

LES ODONATES

Les odonates, ou libellules, au cours de 2012 ont été objet d’une intense activité de recherche. Aux résultats obtenus avec les enquêtes effectuées par l’Ente Parco, on a puis ajouté plusieurs renseignements, soit bibliographiques soit provenant de l’archive du ‘Progetto Atlante delle Libellule della Regione Liguria’ (coordinateurs: D. Ottonello, F. Oneto, R. Sindaco et C. Grieco). Ces insectes fascinantes, strictement liés aux milieux aquatiques, pour le Parco del Beigua aujourd’hui sont dont connues 42 espèces [a], qui representent environ le 80% des espèces connues pour la Ligurie (Ottonello et al. 2010). Entre celles-ci, au cours des dernières 10 années, n’a pas eu confirmation pour la Calopteryx xanthostoma (Galletti et al. 1987), Coenagrion scitulum (Capra 1945; Conci & Nielsen 1956) et Sympetrum meridionale (Capra 1945). Les espèces les plus fréquentes sont : Calopteryx virgo, Onychogomphus uncatus, Sympetrum fonscolombii,Cordulegaster boltonii ed Onychogomphus forcipatus [a]. Plusieurs zones humides, comme la Tourbière du Laione ou la récente restauration du Pian della Badia, résultent intéressantes et hébergent plusieurs espèces; mais, soit à la cause de la particularité de la population, soit au point de vue de la conservation, la plus grande richesse est reconductible aux plusieurs courses d’eau, dont émergent les ruisseaux Erro, Gargassa et Stura, au long des quels on a recensé diverses espèces d’importance continentale. Notamment a été confirmé la présence de l’Oxygastra curtisi (DH ann. II/IV) et Onychogomphus uncatus; en plus, même en deux sites, on a retrouvé Ophiogomphus cecilia (DH ann. II/IV). Cette espèce, neuve pour la Région et dont les localités de présence plus proches se placent dans l’aire d’Alessandria (Boano et al. 2007), occupe des milieux ayant amples lames d’eaux courante et un fond de sable, ayant des bandes forestières aux confins; des habitats, ceux-ci, de particulière valence, et importants pour la vie de plusieurs autres espèces animales.

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I PESCI

Nel Parco del Beigua sono attualmente note 12 specie di pesci [a], e tra queste ben 7 sono incluse nell’allegato II della Diret-tiva Habitat (Barbo canino, Barbo comune, Lasca, Vairone, Cobite comune, Trota ma-crostigma, Scazzone). La specie maggior-mente diffusa risulta essere il Vairone, se-guito da Barbo comune e Barbo canino [a].

I pesci d’acqua dolce costituiscono un gruppo zoologico fortemente in declino a livello europeo, come testimoniato an-che da documenti ufficiali del Consiglio d’Europa. Le cause di questa situazione sono molteplici, innanzitutto l’artifi cializ-zazione dei corsi d’acqua, con costruzione di argini, prismate e sponde cementifi cate rettilinee che trasformano i fi umi in cana-li, accompagnata dall’inquinamento delle acque. A questi si sommano poi altri pro-blemi come la costruzione di dighe che im-pediscono la migrazione di alcune specie, nonché l’introduzione di moltissime spe-cie esotiche che entrano in competizione con le specie indigene. La conservazione dei pochi tratti fl uviali ancora in condizio-ni discrete, la riduzione dell’inquinamento e il bando alle introduzioni di ittiofauna esotica nei nostri fi umi sono gli strumenti più utili alla salvaguardia delle specie indigene.

Per approfondimenti bibliografi ci: Arillo & Mariotti (2006), Sindaco et al. (2003), Zerunian (2004).

Vairone, Barbo comune e Barbo canino Vairone

Sanguinerola

Trota macrostigma

Phoxinus phoxinus

Salmo macrostigma

Trota fario

Gobione

Scazzone

Salmo trutta

Gobio gobio

Cottus gobio

Lasca

Cobitecomune

Trota fario

Chondrostoma genei

Cobitis taenia

Salmo trutta

Barbocom ne

Cavedano

Alborella

Barbus plebejus

Leuciscus cephalus

Alburnus alburnus alborella

Vairone

Barbo canino

comune

Leuciscus souffia

Barbus meridionalis

p j

0,0% 2,0% 4,0%

Distribuzione (%)

[a]

L. C

heru

bini

LES POISSONS

Dans le Parco del Beigua sont aujourd’hui connues 12 espèces de Poissons [a], et entre eux bien 7 sont incluses dans l’Annexe II de la Directive Habitat (Barbeau Méridional, Barbeau commun, Nase de l’Europe du Sud, Blageon, Loche de rivière, Truite à grosses taches, Chabot commun). L’espèce plus largement diffusée est le Blageon, suivi par le Barbeau commun et le Barbeau Méridional [a]. Les Poissons d’eau douce constituent un groupe zoologique fortement en déclin à niveau européen, comme témoignent les documents officiels du Conseil de l’Europe. Les causes de cette situation sont les plus variées : à commencer de l’artificialisation des courses d’eau, avec la construction de digues, prismes et berges en béton rectilignes qui transforment les fleuves en canaux, suivie par la pollution des eaux. A ces facteurs se somment puis des autres problèmes comme la construction de digues qui empêchent la migration de certaines espèces, ainsi que l’introduction de plusieurs espèces exotiques qui entrent en compétition contre les espèces indigènes. La conservation des quelques traites fluviales encore en discrètes conditions, la réduction de la pollution et l’interdiction à l’introduction d’espèces de poissons exotiques dans nos fleuves sont les instruments les plus utiles pour la sauvegarde des espèces indigènes.

Pour des renseignements bibliographiques: Arillo & Mariotti (2006), Sindaco et al. (2003), Zerunian (2004).

Alburnus alburnus alborella AbletteBarbus meridionalis Barbeau Méridionale Barbus plebejus Barbeau commun Chondrostoma genei Nase de l’Europe du Sud Gobio gobio GoujonLeuciscus cephalus ChevesneLeuciscus souffia BlageonPhoxinus phoxinus Vairon Cobitis taenia Loche de rivière Salmo macrostigma Truite a grosses taches Salmo trutta Truite fario Cottus gobio Chabot commun

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86 AMBIENTI E SPECIE

GLI ANFIBI

Gli Anfi bi costituiscono forse i Vertebrati più a rischio a causa del loro tipo di riproduzione, che li ren-de vulnerabili sia nella fase acquati-ca sia in quella terrestre; non è quin-di un caso se circa metà delle specie siano inserite negli allegati della Direttiva Habitat; tra le 9 specie ac-certate per il Parco del Beigua [a] il Tritone crestato italiano (all. II/IV), la Raganella mediterranea (all. IV) e la Rana dalmatina (all. IV) sono tutelate da questa direttiva.

Attualmente nel Beigua le specie più diffuse risultano essere la Sala-mandra pezzata, la Rana tempora-ria ed il Rospo comune [a]; mentre il Tritone crestato italiano sarebbe ormai presente in una sola località, ed a fortissimo rischio di estinzione nell’area.

Per questi animali le principali cause di declino, ormai ampiamente riconosciute, sono la generalizzata scomparsa o alterazione per inqui-namento degli ambienti acquatici indispensabili alla riproduzione (in misura minore di quelli terrestri), l’introduzione di specie estranee (non solo esotiche) negli ambienti abitati dagli anfi bi (soprattutto pesci) e, limitatamente a poche specie molto rare, la cattura in natura.

Per approfondimenti bibliografi ci: Arillo & Mariotti (2006), Sindaco et al. (2003, 2006).

Tritone crestato italiano Tritone apenninico

Tritone punteggiato

Tritone crestatoitaliano

Triturus vulgaris meridionalis

Triturus carnifex

Raganella

Ranadalmatina

punteggiatoitaliano

H l idi li

Rana dalmatina

Triturus vulgaris meridionalis

Tritone

Ranaridibonda

gmediterranea

Rana ridibunda

Hyla meridionalis

Rospocomune

Tritoneappenninico

Bufo bufo

Triturus alpestris apuanus

Salamandra pezzata

Ranatemporaria

Salamandra salamandra

Rana temporaria

0,0% 5,0% 10,0%

Distribuzione (%)

[a]

LES AMPHIBIENS

Les Amphibiens constituent peut être les Vertébrés les plus en danger à la cause du leur type de reproduction, que leur rend vulnérables soit dans la phase aquatique soit dans la phase terrestre ; il n’est pas donc une chance si presque une moitié des espèces soient introduites dans les annexes de la Directive Habitat; parmi les 9 espèces vérifiées dans le Parco del Beigua [a] le Triton crêté italien (ann. II/IV), la Rainete méridionale (ann. IV) et la Grenouille agile (ann. IV) sont protegées par cette directive. Aujourd’hui dans le Beigua les espèces les plus diffuses résultent être la salamandre commune, la Grenouille rousse, et le Crapaud commune [a]; le Triton crêté italien ressemblerait présent en une single localité et à très haut danger d’extinction dans l’aire. Pour ces animaux les principales causes du déclin, désormais largement reconnues, sont la généralisée disparition ou altération causées par la pollution des milieux aquatiques indispensables à la reproduction (en moindre mesure de ceux terrestres), l’introduction d’espèces diverses (non seulement exotiques) dans les environnements habités par les amphibiens (surtout poissons) et, limitativement à quelques espèces très rares, la capture en nature.

Salamandra salamandra Salamandre commune Triturus alpestris apuanus Triton alpestre Triturus carnifex Triton crêté italien Triturus vulgaris meridionalis Triton ponctué Bufo bufo Crapaud commun Hyla meridionalis Rainete méridionale Rana dalmatina Grenouille agile Rana ridibunda Grenouille rieuse Rana temporaria Grenouille rousse

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87

1,000,79 0,79 0,71

0,93

0

1

2

2008 2009 2010 2011 2012

Andamento annuo

Indi

ce

Il merlo acquaiolo è una specie stretta-mente legata ai corsi d’acqua, ed è diffusa nella gran parte dell’Europa. Solamente le popolazioni più settentrionali sono migra-trici, altrimenti si tratta di specie essenzial-mente stanziale, i cui individui territoriali sono talvolta costretti a spostarsi durante l’inverno abbassandosi di quota per oc-cupare tratti di torrenti liberi dal ghiaccio o comunque più ricchi di prede. In Italia nidifi ca lungo i principali rilievi della Pe-nisola e diventa localizzato a partire dal centro-Italia, verso il meridione, dove i fattori climatici ne limitano via via la dif-fusione. Lo si trova con maggior frequenza nei rii e nei torrenti tra i 500 e 1.200 metri s.l.m., ma non mancano coppie riprodutti-ve sia nei tratti planiziali di corsi d’acqua pedemontani sia a quote più elevate, con

Nel Parco del Beigua la specie è ben distribuita, occupando la quasi totalità dei corsi d’acqua indagati, con la presenza di 30-44 coppie nidifi canti. In base ai dati disponibili si può inoltre calcolare un indice chilometrico di abbondanza pari a 0,71 individui/Km di corso d’acqua ed una densità di 0,48-0,66 coppie/Km. Tale densità riproduttiva è perfettamente comparabile con quelle riscontrate in aree prossimali: sulle Alpi densità variabili tra 0,3-0,8 coppie/Km sopra i 1.500 metri e 1,0-1,5 coppie a quote attorno ai 400-500 metri; in Valle d’Aosta 1,2 individui/Km (Framarin 1976); nel gruppo del Monte Bianco 0,43 territori/Km sulla Dora Baltea (Ruggieri 2006); in provincia di Novara 0,7 coppie/Km lungo il torrente Sizzone (Bordignon 2004); in Val d’Ossola 0,8 territori/Km in torrenti dell’Alpe Devero (Bionda & Bordignon 2006); in Lombardia occidentale in media 1 coppia/Km (Brichetti & Fasola 1990); in provincia di Parma 1,2-1,5 coppie/Km (Ravasini 1995); sull’Appennino abruzzese 0,33-1,25 coppie/Km.

MERLO ACQUAIOLOCinclus cinclus

LC

casi di nidifi cazione oltre i 2000 metri. In Liguria il Merlo acquaiolo è comune in tut-te le Province, con densità anche elevate soprattutto nelle valli del genovesato.

A causa della spiccata esigenza verso la qualità dell’ambiente in cui vive, e soprat-tutto dell’acqua in cui ricerca attivamente le prede (prevalentemente macroinverte-brati acquatici), il Merlo acquaiolo è rite-nuto un buon indicatore biologico.

CINCLE PLONGEUR Cinclus cinclus

Le Cincle plongeur est une espèce strictement liée aux courses d’eau, et est diffusée dans la plus partie de l’Europe. Seulement les populations les plus au nord sont migratrices, au contraire les autres sont essentiellement sédentaires, dont les individus territoriales sont parfois forcés à se déplacer pendant l’hiver baissant les hauteurs de permanence pour occuper les parties des torrents libres de la glace ou en tout cas plus riches de proies. En Italie nidifie au long des principaux reliefs de la Péninsule et devient localisée à partir du centre Italie, vers le sud, où les facteurs du climat lui limitent au fur et à mesure la diffusion. On lui retrouve avec plus haute fréquence dans les ruisseaux ou torrents entre 500 et 1.200 mètres s/m, mais ne manquent pas des couples reproductives soit dans les parties plaines des courses d’eau proches des montagnes soit à des hauteurs plus hautes, avec des cas de nidification à plus de 2000 mètres. En Ligure le Cincle plongeur est commune pour toutes les Provinces, avec une densité même haute surtout dans les vallées de Gênes. A la cause de sa spécifique exigence vers la qualité du milieu de vie, et surtout de l’eau dont il recherche activement les proies (principalement macro invertébrés aquatiques), le Cincle plongeur est retenu un bon indicateur biologique.

Dans le Parco del Beigua l’espèce est bien distribuée, en occupant la quasi-totalité des courses d’eau sous enquête, avec la présence de 30-44 couples nidifiantes. Selon les renseignements disponibles, on peut aussi calculer un index kilométrique d’abondance de 0,71 individus/Km de course d’eau et une densité de 0,48-0,66 couples/Km. Cette densité de reproduction est parfaitement comparable avec les densités qui ont été retrouvées dans les aires les plus proches : sur les Alpes on a des densités variables entre 0,3-0,8 couples/Km au dessus de 1.500 mètres et 1,0-1,5 couples autour des 400-500 mètres; en Vallée d’Aoste, 1,2 individus/Km (Framarin 1976); dans le groupe du Monte Bianco 0,43 territoires/Km sur la Dora Baltea (Ruggieri 2006); en province de Novara 0,7 couples/Km au long du torrent Sizzone (Bordignon 2004); en Val d’Ossola 0,8 territoires /Km dans les torrents de l’Alpe Devero (Bionda & Bordignon 2006); en Lombardie occidentale en moyenne 1 couple/Km (Brichetti & Fasola 1990); en province de Parma 1,2-1,5 couples/ Km (Ravasini 1995); sur l’Apennine d’Abruzzo 0,33-1,25 couples/Km.

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88 AMBIENTI E SPECIE

Tipi di habitat di interesse comunitario (DH all. I)Praterie magre da fi eno a bassa altitudine (Alopecurus pratensis, Sanguisorba offi cinalis)

Nel Parco del Beigua le aree an-tropizzate ed agricole sono relativa-mente poco rappresentate, ed i coltivi riconducibili sostanzialmente a mo-saici agrari con proporzioni estre-mamente variabili di vegetazione naturale. Tra le aree coltivate vi rien-tra comunque una tipologia inclusa nell’allegato I della Direttiva Habitat: le praterie magre da fi eno a bassa al-titudine, presenti in particolare nella zona del Pian della Badia.

In questi ambienti trovano prefe-renzialmente rifugio, e spesso li uti-lizzano anche per la caccia, diverse specie di Chirotteri inclusi nell’alle-gato IV della Direttiva Habitat (Pi-pistrello ambolimbato, Pipistrello nano, Pipistrello di Savi e Serotino comune).

Tra gli uccelli i mosaici agrari rap-presentano nel Beigua la tipologia ambientale preferita dall’Averla pic-cola (DU all. I) e, per ciò che riguar-da le specie più comuni, da Picchio rosso maggiore, Rondine, Ballerina bianca, Codirosso comune, Cornac-chia grigia, Verzellino e Cardellino.

AREE ANTROPIZZATE E ZONE AGRICOLE

L. C

heru

bini

ZONES ANTHROPIQUES ET ZONES AGRICOLES

Dans le Parco del Beigua les aires anthropiques et agricoles sont relativement peu représentées, et les aires agricoles sont reconductibles substantiellement aux mosaïques agraires avec des proportions extrêmement variables de végétation naturelle. Parmi les aires cultivées on retrouve une typologie incluse dans l’Annexe I de la Directive Habitat: les prairies pauvres à foin à basse altitude, qui sont présentes notamment dans l’aire du Pian della Badia. En ces environnements retrouvent préférentiellement refuge, et souvent utilisent même pour la chasse, plusieurs espèces de Chiroptères incluses dans l’Annexe IV de la Directive Habitat (Chauve-souris de Kuhl, Chauve-souris nain, Chauve-souris de Savi et Sérotine commune). Entre les oiseaux, les mosaïques agraires représentent dans le Beigua une typologie d’environnement préférée par le Pie-grièche écorcheur (DU ann. I) et, en ce qui concerne les espèces plus communes, le Pic épeiche, l’Hirondelle, Bergeronnette grise, Rougequeue à front blanc, Corneille mantelée, Serin cini et Chardonneret.

Typologies d’habitat d’intérêt communautaire (DH ann. I) Prairies pauvres à foin à baisse altitude (Alopecurus pratensis, Sanguisorba officinalis)

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Nidifi ca in quasi tutta l’Europa ad ec-cezione di Spagna meridionale e zone più settentrionali di Gran Bretagna e Scandina-via. Le popolazioni europee hanno subito nel passato signifi cativi cali demografi ci non più pienamente compensati. Migra-tore trans-sahariano, sverna nelle regioni orientali e meridionali africane. È la specie di averla più comune in Italia (stimate 50-120.000 coppie), dove si riscontra un anda-mento tendente alla diminuzione moderata.

Nel Parco del Beigua si può stimare una popolazione di 15-25 coppie, che risulta però presente costantemente ed in discre-to numero solo in prossimità dei toponimi ‘Canellona’ e ‘Case Voltino’(settore sud-occidentale dell’area); tale sito si estende per circa 140 ettari tra i 500 ed i 600 metri s.l.m., ed è caratterizzato da successioni di prato-pascoli alternati a formazioni arbusti-ve con prevalenza di Erica sp. e Rubus sp.

(che occupano complessivamente circa 90 ettari) inframmezzati a boschi misti.

Aree rocciose

Mosaici agrari

Praterie

Brughiere e cespuglieti

Macchia mediterranea

Boschi di latifoglie

Boschi di conifere

Boschi misti

-1 0 1

Preferenze ambientali

0,53

4,323,93

5,26

3,624,08

3,43

2,24

0

1

2

3

4

5

6

2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012

Andamento annuo della densità

Ind/

Km

q

Densità complessiva

Nell’intera area di studio la densità è di 3,43 ind./Km2 (CV = 0,505), mentre per la ‘Canellona’ tale valore sale a 108,98 ind./Km2 (CV = 0,139) e 59,7 coppie/Km2 (Fasano et al. 2009). Le densità rilevate alla ‘Canellona’, pur considerando le ridotte dimensioni dell’area ed il fatto che essa rappresenti con ogni probabilità un habitat ottimale per la specie, risultano mediamente elevate, se confrontate con quanto noto in aree prossime a quella di studio (Liguria: 1,5 individui/Km2, Nicosia et al. 2009; Piemonte: 0,21-170 coppie/Km2, Casale et al. 2007; Valle d’Aosta: 12,9-100 coppie/Km2, Casale & Brambilla 2009; Lombardia: 0,7-18,6 coppie/Km2, Cambi & Micheli 1986, Fornasari et al. 1995, Fornasari & Massa 2000, Brambilla & Casale 2008; Toscana: 0,44-4,4 coppie/Km2).

AVERLA PICCOLALanius collurio

DU all. I VU3

PIE-GRIÈCHE ÉCORCHEUR Lanius collurio

Il nidifie substantiellement en toute l’Europe à l’exception de l’Espagne méridionale et des zones plus à nord de la Grande-Bretagne et de la Scandinavie. Les populations européennes ont subi dans les années passées des significatives réductions démographiques qui n’ont plus été pleinement compensées. Migrateur trans-saharien, hiverne dans les régions orientales et méridionales de l’Afrique. Il est l’espèce de Pie-Grièche la plus commune en Italie (estimation 50- 120.000 couples), où se retrouve une évolution qui tend à la diminution modérée. Dans le Parco del Beigua on peut estimer une population de 15-25 couples, qui résulte toutefois constamment présente et en discrète nombre seulement en proximité des toponymes ‘Canellona’ et ‘Case Voltino’(secteurs sud occidentaux de l’aire); ce site s’étend pour environ 140 hectares entre 500 et 600 mètres s/m, et est caractérisé par de successions des prairies et pâtures alternées par des formations d’arbustes avec prévalence d’ Erica sp. et Rubus sp. (qui occupent en complexe environ 90 hectares) divisés par des bois mixtes.

Dans l’ensemble de l’aire d’étude la densité est 3,43 ind./Km2 (CV = 0,505), alors que pour la ‘Canellona’ cette valeur remonte à 108,98 ind./Km2 (CV = 0,139) et 59,7 couples/Km2 (Fasano et al. 2009). Les densités identifiées pour la ‘Canellona’, bien qu’en considération des réduites tailles de l’aire et le fait qu’elle représente avec toute probabilité un habitat optimal pour l’espèce, résultent en moyenne hautes, si rapportées à ce qui est connu dans des aires proches à cela étudiée (Ligurie: 1,5 individus/Km2, Nicosia et al. 2009; Piemonte: 0,21-170 couples/Km2, Casale et al. 2007; Valle d’Aosta: 12,9-100 couples/Km2, Casale & Brambilla 2009; Lombardia: 0,7-18,6 couples/Km2, Cambi & Micheli 1986, Fornasari et al. 1995, Fornasari & Massa 2000, Brambilla & Casale 2008; Toscana: 0,44-4,4 couples/Km2).

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