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Les Maires de la Moselle partenaires du programme 112 à l'école mis en place par la 112Academy.

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Page 1: article RL Fédération des Maires 57

Moselle ActualitésSamedi 27 Novembre 2010 57 19

Quelques règles de « Courrier-service »

Seules sont prises en compte dans cette rubrique lesdemandes comportant clairement les nom et adresse del’expéditeur. Il n’est pas donné suite aux questions relevant deconcours ou de travail d’ordre scolaire.

Du mardi au vendredi, nous répondons à vos questions surles thèmes que vous aurez choisis. Le samedi, cette rubriquedevient interactive puisque c’est vous, lecteurs, qui interve-nez en apportant les réponses aux questions posées.

Mme Blanchet de Sierck-les-Bains a reconnu l’avenue de Guise àThionville (demande du 13 novembre). Lors de sa construction en1906, elle portait le nom de Spanierring, puis après la GrandeGuerre, celui d’avenue Georges V.

Les trois maisons apparaissant sur l’image appartenaient proba-blement à la ville. Elles avaient un style identique et se prolon-geaient à l’arrière par de grands jardins. La dernière, qui est la plusbasse, correspondait aux numéros 36 et 38.

Depuis 1919 et jusqu’en 1989, la famille de notre correspondantea toujours habité au numéro 38. Ses parents quittèrent le quartierquand la ville de Thionville décida de raser ces maisons.

Les Archives communales de Thionville précisent que seulesubsiste une maison du même type, située à l’angle de la rue desPyramides et de l’avenue de Guise.

lieux à identifier

D.R.

Seconde chanceChaque mois, nous vous proposons un récapitulatif des

questions restées sans réponses. Voici celles d’octobre.-•-•-•-

Sur la commune de Gandrange se trouve un terrain portantle nom de Bréquette. Que signifie ce nom ? Quelle est sonorigine ? (Question du 16/10/2010)

-•-•-•-Au cours de ses recherches généalogiques, un correspon-

dant a trouvé sur certains documents la mention VES avantle nom d’une commune. Que signifient ces initiales ?(Question du 23/10/2010)

Nous n’avons reçu aucune réponse relative à l’extrait musicalretranscrit ci-dessous. Selon le lecteur à l’origine de la demande(parue le 25 septembre), il pourrait s’agir d’une complainte juive. Ill’avait entendue, jouée par un quintette, lors d’une émissionmusicale télévisée.

Quel est le titre de ce morceau ? Qui l’a composé ?

chanson

Qui était Henri Loritz dont un lycée et une place à Nancyportent le nom ? (Question du 09/10/10)

Henri-Jacob Loritz est né à Toul en 1815. Sorti major de l’EcoleNormale primaire, il créa un cours d’enseignement élémentaire etsupérieur destiné aux jeunes adultes.

En 1844, il ouvrit la première école laïque d’enseignementprofessionnel et technique de France, rue du Tapis-Vert à Nancy.L’établissement déménagea un peu plus tard rue des Jardiniers.

L’enseignement technique fut officialisé en France en 1865,année de la mort de Loritz.

Dans les années 1870, l’établissement nancéien qui traversaitune grave crise financière, fut sauvé grâce à la générosité decentaines de donateurs, parmi lesquels figuraient les plus grandsindustriels de l’époque mais aussi des élus et des artistes.

Restructurée, l’école fut rebaptisée École professionnelle de l’Estet passa sous statut public en 1935. Elle est connue aujourd’huisous le nom de Lycée Henri Loritz.

Ces informations, communiquées par un internaute, émanentessentiellement du site internet : www.nancy-guide.net.

Pionnier

vos réponses

Un correspondant se souvient que lorsqu’il était enfant, sagrand-mère de Talange l’appelait «mofet».Quelle est la signification de ce surnom (question du

06/11/10) ?

Nous remercions les douze lecteurs qui nous ont adressé uneréponse. Pour la majorité d’entre eux, il s’agit d’un terme affectueuxdestiné aux jeunes garçons et signifiant en patois « mon fils »,« mon enfant » ou « mon petit ». Cette expression peut phonétique-ment varier d’un village à l’autre : mo feu ; mon fet ; mo feus ; monfe…

Un lecteur signale l’expression « Mau fat », relevée dans leDictionnaire des Patois romans de la Moselle de Léon Zéliqzon, quise rapproche phonétiquement de « mofet », mais qui possède unsens tout à fait différent : Mal fait ou Péché.

Une autre correspondante pense qu’il s’agit plutôt d’un surnomdérivé de « mouflet ».

Mot d’affection

En 1948, quand l’Amicaledes fonct ionnai res etagents assimilés des servi-

ces publics de Moselle a étécréée, c’était la disette pour toutle monde. « Un certain nombred’enseignants a décidé de veniren aide aux fonctionnaires endifficulté », explique Gérard Sch-neider, président de l’Amicale.

Depuis 1952, l’activité princi-pale de la société, « est de per-mettre à nos membres de fairedes prêts auprès de partenairescommerçants et artisans ». Lemontant maximum des prêtspeut aujourd’hui atteindre2 160 € sur trente-six mois,notamment pour des travaux oudes achats d’appareils électro-ménagers.

« Depuis 1952, 13 804 prêtsont été accordés pour un total de8 691 874,18 € ! », s’est félicitéGérard Schneider, hier soir, lorsde l’assemblée générale del’Amicale au restaurant de laTrésorerie générale, place Saint-Thiébault, à Metz. Cependant,« le nombre de prêts a tendanceà baisser. Il y en a eu une grossecentaine il y a deux ans, seule-ment 84 l’an dernier. Nos adhé-rents subissent sans doute,comme la majorité des Français,la baisse du pouvoir d’achat », acommenté le président. Pourautant, il a été décidé d’aug-menter le montant maximum

des prêts à 2 400 € sur quarantemois.

Réorganisationdes services

La deuxième difficulté, c’est ladiminution du nombre de mem-bres. Ils étaient 24 000 dans lesannées 60. Ils sont six foismoins aujourd’hui.

« Actuellement, les effectifsfondent du fait de la réorganisa-tion des services publics. » Enoutre, « les anciens avaient unesprit très mutualiste. C’est par-fois moins le cas. Certains mem-bres payent leur cotisationannuelle (5 €) lorsqu’ils veulentbénéficier d’un prêt. Après, onne les voit plus », a confié Gérard

Schneider. De même, l’Amicalequi fonctionne grâce à un réseaude correspondants (un paradministration ou par servicepour délivrer les cartes d’adhé-rents ou signer les prêts) a unpeu de mal à renouveler ceréseau.

Il n’en reste pas moins quel’Amicale peut encore compter

sur un vivier de 4 000 membres(Education nationale, SNCF,Amapa, La Poste, France Télé-com essentiellement) et sur desfinances saines.

Le nouveau comitéPrésident d’honneur : André

Damien (Education nationale) ;président : Gérard Schneider (LaPoste et France Telecom) ; vice-présidents : Bernard Coquard(Education nationale), JeanKlein (Police nationale), PascalMieske (SNCF), Didier Bassi(Environnement).

Membres : Alain Hauser (Inté-rieur), Anne Herder (Intérieur-Préfecture), Christiane Hoff-mann (Education nationale),Véronique Linden (Finances),Bernard Pernet (Collectivitésterritoriales), Daniel Schmitt(SNCF)

Secrétaire-trésorier : ChristianJoyeux (chambre de métiers) ;secrétaire-trésorier adjoint :Lucien Scheider (Finances) ;contrôleurs des comptes : Ber-nard Wallraf (Finances) etCamille Hennequi (Finances).

Permanence tous lesmercredis à la brasserieL’ABC, face à la garede Metz, de 16 h à 18 h.Tél. : 03 87 53 54 12ou 06 80 54 89 59.Site : www.amifon.com

ASSOCIATIONS assemblée générale àmetz

« Les fonctionnaires n’ontplus l’esprit mutualiste »Proposer des prêts sans frais aux agents qui veulent faire des travaux ou renouveler leur électroménager, c’estl’activité principale de l’Amicale des fonctionnaires de Moselle. Mais le nombre de membres ne cesse de diminuer.

L’Amicale des fonctionnaires et agents assimilés des services publics de Moselle comptait 24 000membres dans les années 60. Ils sont six fois moins aujourd’hui. Photo Maury GOLINI

De chaleureux applaudissements ont salué jeudi, dans l’espacePierre-Messmer du conseil général, l’élévation au grade d’officier duMérite agricole d’un élu et d’un fonctionnaire.

Le sénateur Philippe Leroy a d’abord honoré Clément Larcher,conseiller général du canton de Bouzonville, infatigable défenseurd’une certaine idée de la vie en milieu rural, qui « réussit mieux quepersonne l’alliance entre nos villes et nos campagnes »…

Promu au même grade, Alain Pailheret dirige le service départemen-tal de l’environnement et de l’aménagement du territoire, après avoirété fonctionnaire d’Etat au ministère de l’Agriculture. Eau, assainisse-ment, remembrement… Ses missions variées l’ont conduit à se faireapprécier des élus locaux comme des responsables professionnels, asouligné le président du conseil général.

CARNET mérite agricole

Clément Larcher (à gauche) et Alain Pailheret, ont été honoréspar le président du conseil général. Photo Maury GOLINI

C. Larcher et A. Pailheretpromus officiers

était prévue à Metz.Autour d’une table, chacun a

pu partager ses attentes maisaussi dresser un état des lieuxde son quotidien. Dont notam-ment, l’un des points obscursde la profession : « Ne pas êtreintégré juridiquement au seindes professionnels de premierrecours alors que les soins ditsde premier recours, relèvent jus-tement de la compétence desinfirmiers. »

En outre, les infirmiers sontde plus en plus souvent amenésà réaliser des actes non réperto-riés dans la nomenclature.

Pour le Sniil, il s’agit donc defaire reconnaître les droits desinfirmiers et de leur donner leurjuste place dans le système desanté. Un objectif qui doitnotamment passer par un chan-gement de cotation pour lesactes isolés, une rémunérationdu suivi médicamenteux, éta-

blir une traçabilité des soins ouencore l’inscription des infir-miers libéraux dans le premierrecours. Des projets qui permet-

tront peut-être à la Sniil d’obte-nir au moins 10 % au niveaunational lors des prochainesélections.

En tout, la région Lorrainecompte 1987 infirmiers libé-raux installés, dont 1 100 ausein de la Moselle.

SANTÉ forbach

Les infirmiers libérauxveulent se faire entendreEn vue des élections aux Unions régionales des professions de la santé (URPS), le Sniil, Syndicat des infirmièreset infirmiers libéraux, a convié ses adhérents afin de réfléchir sur la politique de santé de la Lorraine.

Entre le 9 et le 16 décembreprochain, les infirmières etinf irmiers libéraux de

France procéderont à l’électionde leurs représentations auxUnions régionales des profes-sions de la santé (URPS). Unscrutin important pour lesmembres de cette profession,puisque l’URPS jouera un rôledéterminant dans l’organisa-tion et le choix politique desanté au niveau de chaquerégion. C’est pour cette raisonque le Sniil, Syndicat des infir-mières et infirmiers libéraux, aconvié ses adhérents et sympa-thisants.

Une invitation qui leur a per-mis de réfléchir et de décider dela politique de santé de la Lor-raine. Une douzaine de person-nes ont ainsi assisté à cetteréunion qui se tenait, jeudiaprès-midi, à Forbach. Le soirmême, une seconde rencontre

Commencerou terminerson Bafa ou BAFD

Ajlor, le service de formationde l’association Cocktail Eva-sion, organise des stages pourdevenir animateur de centres devacances durant le mois dedécembre.

Au programme : un stage deformation générale (1re étape duBafa) du 19 au 23 et du 27 au29 décembre à Metz en demi-pension et pension complète ;plusieurs stages d’approfondis-sement (3e étape du Bafa) du 26au 31 décembre à Metz ; unstage de formation généraleBAFD (1re étape du BAFD) du 19au 23 décembre à Metz. Le tarifdébute à 355€.

Renseignements :Cocktail Evasion Ajlor,tél. : 03 87 75 95 95.Site : www.ajlor.com

ENBREF

Tous à vos plumesL’Apac (Association plumes à

connaître) lance son concourslittéraire 2011. Il a pour objet derécompenser des textes écritsen langue française dans lesgenres suivants : poésies toutescatégories et nouvelles. Le sujetest libre. Dans chaque catégo-rie, les deux lauréats serontrécompensés par une édition encent exemplaires d’une pla-quette à leur nom et présentantleurs textes. Les deuxièmesrecevront une édition de pla-quette en 50 exemplaires. Lesauteurs dont les textes aurontété remarqués seront égalementmis à l’honneur. Les prix serontremis courant octobre 2011 àMetz.

Pour recevoir le règlementdétaillé du concours, il suffitd’envoyer une demande accom-pagnée d’une enveloppe tim-brée portant vos noms etadresse à : Geneviève Kormann,Apac, 34, route de Woippy,57050 Metz.

Site :www.semellesdevent.net

Au fil de la ligneMaginot aquatiqueLe guide de la Route de la

ligne Maginot aquatique vientde paraître. Publié par Moselletourisme et financé par le con-seil général, le dépliant bilinguepermet de découvrir la ligneMaginot aquatique et les sitestouristiques qu’elle propose.

Véritable trésor pour les pas-sionnés d’histoire comme pourles familles en recherche d’acti-vités culturelles, la Route de lal igne Maginot s’étend deMacheren à Sarralbe et propose13 grands sites à découvrir aucours d’une promenade (bloc-khaus, musées, étangs, etc.)

Pour recevoir gratuitement labrochure sur la ligne Maginotaquatique : Moselle tourisme,2/4, rue du Pont-Moreau 57003Metz Cedex 1.Tél. : 03 87 21 53 90. Ouvertdu lundi au vendredi, de 9 h à12h30 et de 14 h à 17h30.

Site : www.moselle-tourisme.com

Préventionroutière

La Prévention routière forma-tion organise des stages desensibilisation des conduc-teurs dans le cadre de la loi surle permis à points.

Ces stages, d’une durée dedeux jours, ont pour objectifde faire récupérer des pointsaux conducteurs. Le coût dustage est de 240€. Les pro-chains stages auront lieu les 29et 30 novembre à Metz et les 6et 7 décembre à Thionville.

Contact :La prévention routière,10, avenue Leclerc-de-Hauteclocque57 000 Metz.Tél. : 03 87 66 35 30.

Collectes de sangL’établissement français du

sang organise les collectes ci-dessous :

• Lundi 29 novembre :lycée Robert-Schuman à Metz,de 8 h à 12 h et de 13 h 30 à17 h ; salle polyvalente deCourcelles-sur-Nied, de 16 h à19 h ; espace Loisirs de Bous-bach, de 15 h à 19 h.

• Mardi 30 novembre : LaPoste de Metz (salle de réu-nion du RDC), de 8 h à 12 h ;salle polyvalente d’Enchen-berg, de 15 h à 19 h.

• Mercredi 1er décembre :hôtel de police de Metz (sallede conférence au RDC), de 9 hà 12 h ; centre sociocultureld’Audun-le-Tiche, de 14 h 15à 19 h ; car de prélèvementplace de-Wendel à Stiring-Wendel, de 14 h 30 à 18 h 45.

La fédération des maires deMoselle est la première asso-ciation d’élus française àrejoindre la 112 Academy(European number emergencyassociation) dans le cadre duprogramme pionnier « 112 àl’école ». Les élus mosellansaffirment ainsi leur volonté demettre en œuvre des actionscontribuant à promouvoir le

numéro d’appel d’urgence uni-que, en particulier dans lemonde scolaire et étudiant.

Pour François Grosdidier,président de l’association desmaires : « Notre rôle dans cepartenariat n’est pas d’appor-ter une assistance technique etfinancière, mais de jouer unrôle important en termes dereconnaissance politique. Nous

comptons sur une forte partici-pation des élus au bénéfice decette action d’utilité publique,visant la bonne appropriationet la mémorisation durable, partous les enfants, jeunes, étu-diants, du numéro d’urgenceeuropéen, qui sauve des vies. »

Bien qu’étant en servicedepuis dix-neuf ans, la noto-riété du 112 en Europe est trèsdisparate selon les pays. EnFrance, seulement 22 % descitoyens connaissent le 112,chiffre qui descend à moins de3 % chez les moins de 18 ans.

La 112 Academy proposeune formation précoce des jeu-nes dans le cadre scolaire.Depuis mars 2010, l’associa-tion a posé, en Moselle, lesfondations d’une collaborationrapprochée avec l’Educationnationale, les infirmières etmédecins scolaires, les forma-teurs APS, PSC1, la préfecture,la Sécurité routière, le Samu 57,la Protection civile, l’Automo-bile-club du Luxembourg. Plu-sieurs outils comme la carte« Premiers secours 112 » et desaffiches ont été créées spécia-lement.

SOCIÉTÉ numéro d’urgence

Les maires mosellansroulent pour le 112

François Grosdidier : « Nous comptons sur une forteparticipation des élus au bénéfice de cette action

d’utilité publique. » Photo DR

Le Snilla conviéles infirmierset infirmièreslibérauxà s’exprimeren vuedes électionsaux Unionsrégionalesdes professionsde la santé.Photo RL