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La reconnaissance des mots
L’analyse syntaxique
L’analyse sémantique
Pragmatique
Mots identifiés = entités de l’univers
Les niveaux
Noms au singulier, Adjectifs au singulier, verbes à l’infinitif …
Messages structurés
•L’agencement des mots dans des structures syntaxiques signifie quelque chose dans cet univers •L’interprétation consiste à exprimer cette signification dans un langage utilisable par ordinateur
Autre sens que le « sens littéral »: situation, rapport émetteur/récepteur, …etc.
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La reconnaissance des mots
Utilisation des règles: Former le pluriel: mettre un « s » et gérer les exceptions Former le féminin: mettre un « e » et gérer les exceptions La conjugaison avec les trois groupes … etc.
Le problème
On a la suite de caractères Dire si le verbe es conjugué Si oui, quel est son infinitif Si c’est un adjectif au féminin ou au pluriel Si oui, quelle est sa forme au masculin singulier …etc.
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La reconnaissance des mots
On voit que ce problème n'a pas de solution unique , par ex: • couvent est un nom commun au singulier, et aussi la troisième personne du pluriel du verbe couver au présent de l'indicatif ou du subjonctif ; • forgerons est un nom commun au pluriel, et aussi la première personne du pluriel du verbe forger au futur de l'indicatif ; • peignent est une forme conjuguée des verbes peindre et peigner ; • vis est un nom commun singulier ou pluriel, une forme du verbe vivre (présent ou impératif) et une forme du verbe voir (passé simple) ; on peut multiplier ces exemples à l'infini.
Si au niveau du mot, les solutions sont multiples à celui de la phrase, ordinairement une seule solution se dégage. Très rares sont les phrases qui maintiennent l'ambiguïté, par exemple :
la petite porte le voile Deux solutions co-existent : dans la première, petite est un nom féminin, porte est un verbe, le est un article, voile est un nom masculin. Question: Quelle est la deuxième solution ?
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La reconnaissance des mots
En résumé: La structure de la phrase permet généralement de déterminer la solution Analyse syntaxique Nos connaissances sur la signification des mots Sémantique lexicale Nos connaissances de la situation dans laquelle le message est émis permettent de lever l’ambiguïté Pragmatique
Pour reconnaître un mot, il faut déjà le connaître sous une forme canonique : • singulier pour les noms communs, • masculin singulier pour les adjectifs, • infinitif pour les verbes
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Résolution du problème de reconnaissance
Tableau à double entrées: • En lignes: on mettra les numéros d’états • En colonnes: on mettra les lettres • A l’intersection d’une ligne et d’une colonne, on trouvera le numéro du nouvel état avancée du processus • Une colonne spéciale « final » indique si on peut arrêter le processus dans l’état où on se trouve (ex: en français, les marques de genre et de nombres) • Le processus consiste à lire le mot de droite à gauche
Dans la théorie des langages, on parle d’automates à états finis
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Résolution du problème de reconnaissance
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Résolution du problème de reconnaissance
Actions finales: • Chercher le mot tel quel dans le lexique • Chercher le mot dans le lexique : si c'est un adjectif, émettre l'hypothèse que l'on a rencontré cet adjectif au féminin singulier ; rajouter "er" au mot et le chercher dans le lexique : si c'est un verbe, émettre les hypothèses que l'on a rencontré ce verbe à la première ou à la troisième personne du singulier • Chercher le mot dans le lexique : si c'est un nom, émettre l'hypothèse que l'on a rencontré ce nom au pluriel ; si c'est un adjectif, émettre l'hypothèse que l'on a rencontré cet adjectif au masculin pluriel • Chercher le mot dans le lexique : si c'est un adjectif, émettre l'hypothèse que l'on a rencontré cet adjectif au féminin pluriel ; rajouter "er" au mot et le chercher dans le lexique : si c'est un verbe, émettre l'hypothèse que l'on a rencontré ce verbe à la deuxième personne du singulier • Rajouter "er" au mot et le chercher dans le lexique : si c'est un verbe, émettre l'hypothèse que l'on a rencontré ce verbe à la deuxième personne du pluriel •Rajouter "er" au mot et le chercher dans le lexique : si c'est un verbe, émettre l'hypothèse que l'on a rencontré ce verbe à la première personne du pluriel •Rajouter "er" au mot et le chercher dans le lexique : si c'est un verbe, émettre l'hypothèse que l'on a rencontré ce verbe à la troisième personne du pluriel.
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Résolution du problème de reconnaissance
Exemple : Le texte comporte le mot raisons. • On part de l'état 1 ; la colonne "final" de cet état propose l'action 1, qui consiste à voir si ce mot existe tel quel dans le lexique ; ce n'est pas le cas. • La première lettre du mot, lu de droite à gauche, est la lettre s que l'on retire du mot ; à l'intersection de la ligne 1 et de la colonne s se trouve un 3 ; on passe donc dans l'état 3 avec le mot raison. • La colonne "final" de cet état propose l'action 3, qui consiste à chercher raison dans le lexique : on le trouve et c'est un nom. On émet donc l'hypothèse que l'on a rencontré le mot raison au pluriel. • La lettre suivante du mot (toujours lu de droite à gauche) est n, que l'on retire du mot ; à l'intersection de la ligne 3 et de la colonne n, on lit 7 ; on passe dans l'état 7 avec le mot raiso. • La colonne "final" de cet état est vide. La lettre suivante est o ; à l'intersection de la ligne 7 et de la colonne o, on trouve 10 ; on arrive à l'état 10 avec le mot rais. • La colonne "final" de cet état propose l'action 6, qui consiste à chercher raiser dans le lexique : on ne l'y trouve pas. La lettre suivante est s ; l'intersection de la ligne 10 et de la colonne s est vide. • L'analyse s'arrête. Une seule hypothèse a été émise : on a rencontré le nom raison au pluriel.
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La pragmatique
Dans la vie courante, l'interprétation littérale des énoncés est rarement celle qui convient : • Des énoncés apparemment déclaratifs (je voudrais savoir l'heure) cachent des questions (quelle heure est-il ?) ; • Des questions (avez-vous l'heure ?) en cachent d'autres (toujours quelle heure est-il ?) ; • L'énonciation successive de plusieurs assertions laisse entendre non seulement la vérité de chacune d'elles, mais aussi qu'elles sont reliées par des enchaînements de cause à effet ; • Une éventuelle rupture de ces enchaînements (p.ex. un changement brutal de sujet) a également une signification qui n'apparaît dans l'interprétation littérale d'aucune de ces assertions ; • La négation a un sens différent de celui que lui confère la simple logique (Jean n'est pas venu signifie qu'on pouvait s'attendre à ce qu'il vienne).
Tous ces faits de langue ont été souvent analysés, même si les théories qui en résultent ne sont pas très fortes. Cependant, on peut espérer qu'un dialogue entre agents ne fait usage de ces significations dérivées que dans une marge très étroite.
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Définition du KQML
En KQML (Knowledge Query and Manipulation Language) on suppose que les agents communicants sont implémentés selon différents paradigmes, langages de programmation et selon différentes méthodes et techniques de représentation des connaissances.
Communiquer
Tous les agents considèrent que leurs partenaires de dialogue possèdent une représentation des connaissances
Les connaissances attribuées par chaque agent aux autres agents sont vues en KQML comme une base virtuelle de connaissances - BVC (en anglais Virtual Knowledge Base)
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Les performatives de KQML
Les performatifs de KQML peuvent être classifiés en trois grandes catégories : • Discours : performatifs utilisés pour l'échange d'informations et connaissances (tel, untell, ask-if, ask-one, ask-all, stream-all, deny, insert, delete-one, delete-all, uninsert, undelete, …etc.) • Interconnexion entre les agents: pour faciliter l'obtention des informations et connaissances (broker-one, recommend-one, recruit-one, broker-all, recommend-all, recruit-all, broadcast, register, unregister) • Exception : des performatifs qui modifient le flux des informations et connaissances (sorry, standby, error, ready, next, rest, discard, …etc.)
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Les performatives de KQML
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Les performatives de KQML
Exemple de dialogue KQML : L'agent A1 demande à l'agent A2 le prix de l'imprimante HP-Jet et A2 lui répond.
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Facilitateurs KQML
Les facilitateurs représentent une classe spécifique d'agents qui distribuent des meta-informations sur les autres agents et offrent des services de communication tels que les suivants : • Retransmission et distribution des messages(en anglais : message forwarding and broadcasting); • Découverte des ressources; • Routage basé sur le contenu du message; • Appariement (Accord). Les performatives utilisées d'intérêt pour les facilitateurs sont : dans leurs variantes "P-one" et "P-all"
Performative Signification
Advertise Annoncer
Broker Commerçant
Recruit Recruter
Recommend Recommander
Forward Transférer
Broadcast Diffuser
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Facilitateurs KQML
Les facilitateurs peuvent être des agents intelligents ou simples Exemple 1: Messages échangés entre les agents A et C en utilisant les services du facilitateur B dans le cas de la performative broker
On peut supposer que la performative advertise(ask(P)) a été exécutée par l'Agent C avant que l'Agent A n'ait lancé broker(ask(P)).
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Facilitateurs KQML
D'une façon similaire au cas précédent, on peut représenter le dialogue de 2 agents et un facilitateur pour la performative recruit (à l'aide du facilitateur B )
Dans le cas de la performative recommend le facilitateur B retransmet vers l'agent A une éventuelle performative advertise(ask(P)) reçue antérieurement de la part de l'Agent C. Après la réception du message forward(advertise(ask(P))) émis par le facilitateur B, l'Agent A ouvre un dialogue direct avec l'Agent C.
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Vers une sémantique formelle de KQML
Fournir une sémantique formelle en termes de: • Pré-conditions, • Post-conditions, • Etats d’accomplissement pour chaque performative
Les pré-conditions, les post-conditions, et les états d'accomplissement définissent des états des agents dans un langage décrivant des attitudes mentales (croyances, connaissances, désirs et
intentions) et des descripteurs d'action (pour envoyer et traiter un message).
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Vers une sémantique formelle de KQML
Les pré-conditions: Soit un expéditeur E et un récepteur R, • les pré-conditions (conditions préalables) indiquent les états nécessaires pour qu'un agent envoie une performative, Pre(E), et pour que le récepteur l'accepte et l'exécute avec succès, Pre(R). • Les pré-conditions indiquent seulement ce qui est supposé comme état des interlocuteurs impliqués dans un échange, juste avant que l'acte ne se produise. • L'établissement des pré-conditions pour une performative ne garantit pas son exécution avec succès. • Si les pré-conditions ne sont pas vérifiées, la réponse la plus vraisemblable sera l'une des deux performatives "sorry" ou "error".
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Vers une sémantique formelle de KQML
Les post-conditions: Soit un expéditeur E et un récepteur R, • Les post-conditions décrivent les états de l'expéditeur après l'expression réussie d'une performative (Post(E)), et du récepteur après réception et traitement d'un message (Post(R)). • les post-conditions décrivent les états des interlocuteurs en supposant l'exécution réussie de la primitive de communication.
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Vers une sémantique formelle de KQML
Exemple: Soit le message advertise(A,B,M) par lequel l'agent A informe B, que le message M peut être traité par A s'il en reçoit un. Il faut observer donc que Int(A, Proc(A,M)) représente un acte commissif. La formalisation de la sémantique suit:
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Définition
• L'organisation Foundation for Intelligent Physical Agents (FIPA) a été créée pour l'élaboration des spécifications du langage de communication entre agents FIPA-ACL. • Utilise une syntaxe similaire à KQML. • Le langage s'appuie sur la définition de deux ensembles :
1. Un ensemble d'actes de communication primitifs, auquel s'ajoutent les autres actes de communication pouvant être obtenus par la composition des ces actes de base
2. un ensemble de messages prédéfinis que tous les agents peuvent comprendre
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Actes de communication
FIPA-ACL possède 21 actes communicatifs, exprimés par des performative, qui peuvent être groupés selon leur fonctionnalité de la façon suivante : • Passage d'information : inform*, inform-if (macro act), inform-ref (macro act), confirm*, disconfirm* • Réquisition d'information : query-if, query-ref, subscribe • Négociation : accept-proposal, cfp, propose, reject-proposal • Distribution de tâches (ou exécution d'une action) : request*, request-when, request-whenever, agree, cancel, refuse • Manipulation des erreurs : failure, not-understood
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Structure d’un message
Un message comprend plusieurs éléments qui sont présentés dans le tableau suivant:
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Structure d’un message
Exemple:
On peut observer que le contenu des deux premières catégories des performatives, passage et réquisition d'information exprime en fait une proposition, le contenu de la catégorie 3, une négociation, une action et une proposition, ainsi que la catégorie 4, une distribution de tâches, et certainement une action.
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Sémantique du modèle
SL (Semantic Language): • Langage formel employé pour définir la sémantique des performatives de FIPA-ACL; • Utilise une logique pour exprimer les croyances (B), les désirs (D), les croyances incertaines (U) et les intentions (buts persistants, PG); • Peut représenter des propositions, des objets, et des actions. • Le modèle mental d'un agent est basé sur la représentation de trois attitudes primitives : croyance, incertitude et choix (ou, dans une certaine mesure, but). Elles sont respectivement formalisés par les opérateurs modaux B, U, et C. B_i(p) : "i croit (implicitement ) que p est vrai" U_i(p) : "i pense que p est plutôt vrai que faux " C_i(p) : "i souhaite que p soit vrai. Pour ce faire, l'agent établit un plan d'actions lui permettant d'atteindre le but désiré p" •
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Sémantique du modèle
Propriétés: • L'intention d'un agent de réaliser un but donné se traduit par l'intention que l'un des actes connus par l'agent soit exécuté de telle sorte que son effet rationnel corresponde exactement au but de l'agent. • L'ensemble des pré-conditions de faisabilité pour un acte de communication peut être décomposé en deux sous-ensembles : les pré-conditions de capacité et les pré-conditions du contexte dans lequel se trouve l'agent:
1. Les pré-conditions de capacité caractérisent les capacités intrinsèques d'un agent dans l'exécution d'un acte donné. Par exemple, pour affirmer sincèrement une certaine proposition P, un agent doit croire que P est vraie. 2. Les pré-conditions associées au contexte caractérisent la pertinence de l'acte par rapport au contexte dans lequel il est exécuté. Par exemple, un agent peut faire une promesse tout en croyant que l'action promise est nécessaire pour le destinataire.
• Un agent ayant observé (reçu) un acte de communication doit croire que les conditions préalables de faisabilité sont vraies et que l'agent qui a exécuté l'acte (envoi de message) a l'intention de provoquer l'effet rationnel (effet intentionnel).
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Similitudes
• KQML et FIPA-ACL sont presque identiques en ce qui concerne leurs concepts de base et les principes qu'ils observent. • Les deux langages ont la même syntaxe. C'est-à-dire, un message de KQML et un message de FIPA-ACL sont syntaxiquement identique excepté, naturellement, dans leurs différence sur les noms des primitives de communication. • Les spécifications des langages FIPA-ACL et de KQML n'imposent aucune condition sur le langage de programmation ni sur la plate-forme utilisée pour l'implantation, pour autant que l'implantation soit conforme aux spécifications du langage.
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Différences
• Il n'est pas possible de proposer une traduction systématique entre les performatives de KQML et celles complètement équivalentes de FIPA, ou vice-versa. • Dans le cas de FIPA-ACL, il est nécessaire de doter les agents d'une capacité de compréhension de $SL$ pour traiter correctement un message reçu. • Sémantiquement, les deux langages diffèrent au niveau de ce qui constitue la description de la sémantique :
1. pré-conditions, post-conditions, et conditions d'accomplissement pour KQML 2. pré-conditions de faisabilité et effets rationnels pour FIPA-ACL
• Ils diffèrent également au niveau du choix et des définitions des modalités qu'ils utilisent (le langage employé pour décrire les états des agents).
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KQML & FIPA-ACL
Tout système qui doit utiliser KQML ou FIPA-ACL ou tout autre ACL doit fournir les éléments suivants : 1. Une suite d'APIs qui facilitent la composition, l'envoi et la réception des messages de ACL 2. Une infrastructure des services qui aident la gestion des agents comme l'enregistrement,
l'identification, la recherche d'agents, déclaration des services offerts, etc. 3. Un code pour chaque type de message réservé (acte communicatif ou performative) qui prend en
charge la sémantique des actions relatives à un domaine d'application Idéalement, un programmeur devrait seulement fournir le point 3. Les points 1 et 2 devraient être des composants réutilisables que l'on peut intégrer dans le code de l'application.
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