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DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE Étude de cas – Conduite de la mission – Planification – Corrigé DPAI Étude de cas - Planification Corrigé(1 h) 1/4 Objectif d’audit 1 Le service des ventes réalise-t-il périodiquement des enquêtes clients, des développements sur de nouveaux clients, et des prévisions des ventes à court et moyens termes ? Procédures d’audit : 1. Examen des modalités de développement des prévisions. 2. Déterminer si le service des ventes suit en continu les prévisions des ventes et s’il les revoie lorsque l’environnement évolue. 3. Déterminer si le service des ventes collabore efficacement avec le service de recherche et développement. 4. Déterminer les étapes de préparation du marché à l’entrée de nouveaux produits. Corrigé - Objectif d’audit 1 Enquêtes Clients, Développement Clients, Prévisions a. Il pourrait y avoir une étape d’évaluation des prévisions : (1) l’environnement économique, (2) le contexte politique, et (3) la concurrence. b. Déterminer comment le service des ventes exploite les prévisions pour définir son potentiel de ventes. c. S’assurer que le service des ventes sollicite les clients pour déterminer leurs besoins. d. S’assurer qu’il existe une analyse sur l’impact des nouveaux produits sur les produits qui continuent à être vendus. Objectif d’audit 2 Les ventes réalisées sont-elles comparées périodiquement aux prévisions de ventes, et les résultats et écarts sont-ils analysés rapidement ? Procédures d’audit : 1. S’assurer que des analyses sont rapidement et correctement élaborées par ligne produit, vendeur, client, … 2. Vérifier que les analyses des ventes sont communiquées aux directions concernées pour action. 3. Évaluer la précision des prévisions de ventes en comparant les ventes réalisées aux prévisions et les analyser de nouveau. 4. Obtenir les tendances de ventes par ligne produit sur les trois dernières années et examiner les ventes en diminution. Corrigé - Objectif d’audit 2 Comparaison rapide des prévisions par rapport aux résultats a. La deuxième et la troisième procédures d’audit devraient être réalisées de façon à fournir une analyse par produit, vendeur, ligne produit, et client. b. La quatrième procédure d’audit liée aux baisses des ventes devrait inclure la détermination des causes de ces baisses ou l’identification du fait que le service des ventes a, ou non, tenté d’en identifier les causes.

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Étude de cas – Conduite de la mission – Planification – Corrigé

DPAI Étude de cas - Planification Corrigé(1 h) 1/4

Objectif d’audit 1 Le service des ventes réalise-t-il périodiquement des enquêtes clients, des développements sur de nouveaux clients, et des prévisions des ventes à court et moyens termes ? Procédures d’audit :

1. Examen des modalités de développement des prévisions. 2. Déterminer si le service des ventes suit en continu les prévisions des ventes et s’il

les revoie lorsque l’environnement évolue. 3. Déterminer si le service des ventes collabore efficacement avec le service de

recherche et développement. 4. Déterminer les étapes de préparation du marché à l’entrée de nouveaux produits.

Corrigé - Objectif d’audit 1 Enquêtes Clients, Développement Clients, Prévisions

a. Il pourrait y avoir une étape d’évaluation des prévisions : (1) l’environnement économique, (2) le contexte politique, et (3) la concurrence.

b. Déterminer comment le service des ventes exploite les prévisions pour définir son potentiel de ventes.

c. S’assurer que le service des ventes sollicite les clients pour déterminer leurs besoins.

d. S’assurer qu’il existe une analyse sur l’impact des nouveaux produits sur les produits qui continuent à être vendus.

Objectif d’audit 2 Les ventes réalisées sont-elles comparées périodiquement aux prévisions de ventes, et les résultats et écarts sont-ils analysés rapidement ? Procédures d’audit :

1. S’assurer que des analyses sont rapidement et correctement élaborées par ligne produit, vendeur, client, …

2. Vérifier que les analyses des ventes sont communiquées aux directions concernées pour action.

3. Évaluer la précision des prévisions de ventes en comparant les ventes réalisées aux prévisions et les analyser de nouveau.

4. Obtenir les tendances de ventes par ligne produit sur les trois dernières années et examiner les ventes en diminution.

Corrigé - Objectif d’audit 2 Comparaison rapide des prévisions par rapport aux résultats

a. La deuxième et la troisième procédures d’audit devraient être réalisées de façon à fournir une analyse par produit, vendeur, ligne produit, et client.

b. La quatrième procédure d’audit liée aux baisses des ventes devrait inclure la détermination des causes de ces baisses ou l’identification du fait que le service des ventes a, ou non, tenté d’en identifier les causes.

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DPAI Étude de cas - Planification Corrigé(1 h) 2/4

Objectif d’audit 3 Le personnel des ventes, est-il recruté avec soin et soumis à une formation périodique ainsi qu’à une supervision régulière ? Procédures d’audit :

1. Déterminer si des techniques spécifiques de recrutement et de sélection sont utilisées.

2. Déterminer si les chefs des ventes assurent une supervision continue. 3. S’assurer qu’un programme de formation à l’attention de tout le personnel du

service des ventes existe. 4. Examiner et évaluer les informations communiquées au personnel des ventes afin

qu’il se familiarise avec les produits et les outils qui les accompagnent dans le processus de vente.

Corrigé - Objectif d’audit 3 Recrutement, Formation et Supervision des équipes.

a. Pas de commentaire complémentaire sur ce thème. La remontée d’informations par exception est acceptable même s’il est préférable d’indiquer formellement l’absence d’incidents.

Objectif d’audit 4 La force de vente fait-elle l’objet d’un contrôle efficace de ses dépenses et de son temps de travail ? Procédures d’audit :

1. Examiner les délais de diffusion, l’adéquation et la pertinence des rapports d’activités utilisés par les vendeurs sur le terrain et l’usage qui est fait par l’encadrement des informations obtenues.

2. S’assurer que les rapports d’activité des vendeurs s’appuient sur les résultats des contacts pris avec des clients.

3. Examiner les rapports de dépenses pour voir si les dépenses des vendeurs sont contrôlés efficacement par l’encadrement.

Corrigé - Objectif d’audit 4 Maîtrise de la force de vente

a. Une étape d’audit pourrait être ajoutée pour déterminer l’usage fait des rapports de la force de vente pour informer l’encadrement sur la typologie des ventes. On pourrait s’attendre à trouver d’autres informations du type : (1) les réclamations clients, (2) les ruptures de stock, (3) les activités de la concurrence, et (4) d’éventuelles suggestions des clients telles que des modifications des produits, de nouveaux produits, la qualité de service, les méthodes de ventes.

b. Une autre étape d’audit pourrait être ajoutée sur la détermination de l’efficacité des actions prises suite à l’examen des rapports de ventes.

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DPAI Étude de cas - Planification Corrigé(1 h) 3/4

Objectif d’audit 5 Les produits de l’entreprise sont-ils distribués efficacement et au moindre coût, et remplissent-ils les besoins du marché ? Procédures d’audit :

1. Vérifier les méthodes utilisées pour distribuer les produits comme le conditionnement, les entrepôts, les stocks en consignation …

2. Déterminer si des études sont réalisées périodiquement afin d’évaluer le niveau de profitabilité des circuits de distribution.

Corrigé - Objectif d’audit 5 Modalités de distribution des produits

a. Ube étape d’audit devrait être ajoutée afin d’examiner l’adéquation de l’élaboration du mode de conditionnement.

b. La première étape d’audit relative aux différentes méthodes de distribution devrait inclure des éléments liés à l’efficacité et à l’efficience (les considérations liées à la profitabilité et aux coûts sont présentes dans la seconde étape d’audit).

Objectif d’audit 6 L’entreprise a-t-elle établi des procédures à l’attention des distributeurs et des agents pour leur communiquer des informations rapides sur les nouveaux produits ? Procédures d’audit :

1. Vérifier les moyens par lesquels le service des ventes tient régulièrement informés les partenaires externes des modifications de produit.

Corrigé - Objectif d’audit 6 Communication d’informations sur les nouveaux produits

a. Pas de commentaire.

Objectif d’audit 7 Le service des ventes reçoit-il suffisamment rapidement des informations exactes sur le service client, et assure-t-il la coordination des éventuelles actions correctives au sein de l’entreprise ? Procédures d’audit :

1. Déterminer si des informations sur les réclamations clients, les retards de livraisons, les annulations de vente et les retours de marchandises sont disponibles.

2. Déterminer si le service des ventes est tenu informé des problèmes du service clients à partir de rapports mentionnant les retours de marchandises, les retards de livraisons, les réclamations clients.

3. Vérifier l’exactitude des informations reçues.

Corrigé - Objectif d’audit 7

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DPAI Étude de cas - Planification Corrigé(1 h) 4/4

Réception rapide d’information en provenance du service clients et mise en place d’actions correctives.

a. Une étape d’audit relative à la détermination des causes des réclamations clients, des retours de marchandises, des retards de livraisons … pourrait être ajoutée.

b. Une étape d’audit relative à la détermination de l’adéquation et du délai de mise en œuvre des actions correctives pourrait être ajoutée.

Objectif d’audit 8 Les coûts commerciaux sont-ils maîtrisés et communiqués à la direction ?. Procédures d’audit :

1. Elaborer un tableau sur les tendances des coûts du service des ventes sur trois ans par type de dépenses.

Corrigé - Objectif d’audit 8 Maîtrise des coûts commerciaux

a. La procédure d’audit concerne seulement l’élaboration d’un tableau. Elle ne fournit pas d’éléments sur les moyens de contrôle.

Objectif d’audit 9 La qualité et la quantité des actions publicitaires (brochures, annonces télévisées, affiches …) est-elle périodiquement et efficacement contrôlée ? Procédures d’audit :

1. Examiner les contrats des agences de publicité avec les factures. 2. S’assurer que les soumissions d’offres des agences de publicité sont sécurisées. 3. Déterminer si la quantité de supports publicitaires commandés s’appuie sur des

besoins définis par les forces de vente sur le terrain ou sur une expérience passée. 4. Examiner le nombre de programmations TV et radio. Rechercher les parutions

dans les journaux ou magazines appropriés. 5. Evaluer si l’agence de publicité sélectionnée est compétente pour réaliser la

mission qui lui est confiée. 6. Evaluer si l’action publicitaire a atteint les clients potentiels. 7. Déterminer si les brochures et les descriptions techniques sont conçues de façon à

ce que les clients comprennent aisément les avantages des nouveaux produits.

Corrigé - Objectif d’audit 9 Maîtrise de la qualité de la publicité

a. Une étape d’audit relative à la détermination de l’efficacité des différentes méthodes publicitaires pourrait être ajoutée.

b. Une étape d’audit relative aux contrôles des différentes méthodes publicitaires pourrait être ajoutée.

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QUESTIONS 1-25: CHOIX MULTIPLE

Choisissez la seule réponse qui, selon vous, complète le mieux la phrase ou répond le mieux à la question posée. REPONDRE AUX QUESTIONS SUIVANTES :

I. Preuve d’audit et techniques associées

1. Une information est considérée comme concluante quand elle est : a. Issue d’un entretien b. Objective c. Fiable d. Liée aux objectifs de l’audit.

2. Parmi les affirmations suivantes, laquelle ne peut pas être associée au caractère suffisant

d’une preuve? a. Une information issue d’un entretien corroborée par une preuve documentaire b. Une information issue d’un échantillon statistique c. Une information issue de la totalité de la population à tester d. Une information liée aux objectifs d’audit. En effet, cette affirmation est

associée au caractère pertinent d’une preuve d’audit

3. Quel critère de qualité est rempli par une photographie a. Suffisante b. Concluante. En effet, une photographie fournit une information fiable c. Pertinente d. Utile

4. Pour décider que les achats enregistrés sont valides, laquelle des preuves suivantes peut

être considérée comme la plus concluante a. Une copie d’un bon de commande envoyé aux fournisseurs b. Un mémo rédigé par le directeur du département des achats déclarant qu’un autre

employé a vérifié la réception de la marchandise c. Des enregistrements des comptes fournisseurs afférents aux règlements des

fournisseurs d. Le document de réception, la facture.

5. Un auditeur a déterminé l’objectif d’audit suivant : vérifier que les taches de saisie et de

validation des données saisies, sont correctement séparées. L’auditeur vérifie le listing des habilitations informatiques et constate que les agents en charge de la validation peuvent aussi saisir les données qu’ils valident . Le résultat de cette vérification constitue une preuve :

a. Pertinente, suffisante et concluante b. Pertinente, suffisante mais non concluante c. Pertinente mais non suffisante et non concluante d. Ni pertinente, ni suffisante et ni concluante

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6. Un auditeur s’est fixé comme objectif d’audit de s’assurer que l’inventaire est réalisé chaque soir à la fermeture du magasin. Laquelle des techniques suivantes répondra le mieux à cet objectif :

a. Un contrôle des documents b. Des observations c. Une enquête d. Une revue analytique

7. Un auditeur s’est fixé comme objectif d’audit de déterminer si l’objectif en termes de

croissance et de répartition du chiffre d’affaires a été atteint. Laquelle des techniques suivantes répondra le mieux à cet objectif :

a. Un contrôle des documents b. Des observations c. Une enquête d. Une revue analytique

8. Quelle technique d’audit apportera la meilleure preuve de l’existence d’une fraude au niveau

des achats? a. L’observation physique des marchandises achetées b. Une revue analytique des demandes d’achats et des factures

correspondantes. En effet elle mettra en évidence les différents fournisseurs et la part respective de chacun dans les achats de l’organisation

c. Des entretiens avec l’encadrement du service achat d. Un examen du solde des comptes fournisseurs figurant dans le grand livre ou dans

les journaux auxiliaires

9. Lequel des documents suivants apportera la preuve la plus convaincante en ce qui concerne la livraison effective d’une marchandise achetée ?

a. Le bon de commande de la marchandise b. La facture adressée par le fournisseur c. Le bon de réception de la marchandise d. Une confirmation écrite du fournisseur attestant que la marchandise en question a

effectivement été expédiée

10. La preuve la plus convaincante pour s’assurer que la politique de contrôle interne de l’activité auditée a bien été comprise :

a. Des entretiens auprès du management b. L’examen des procédures c. Un examen physique des actifs détenus par l’activité d. La documentation préparée à l’extérieur

II. Dossier d’audit et supervision

11. Parmi les taches suivantes, l’une d’entre elles n’est pas une tache de supervision des

missions d’audit. Laquelle ? Vérifier que a. Les objectifs d’audit sont atteints, b. La qualité est assurée c. Le développement professionnel des auditeurs est assuré d. Les contrôles mis en place sont efficaces. Cf. norme 2340

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12. La supervision du dossier d’audit est de la responsabilité : a. Du Conseil b. De la Direction Générale c. Du Responsable d’audit interne. d. De l’Audit externe

13. Parmi les affirmations suivantes, laquelle n’est pas une finalité du dossier d’audit?

a. Justifier le rapport d’audit b. Etre systématiquement transmis aux auditeurs externes c. Permettre d’être plus efficace en cas de missions récurrentes d. Former les auditeurs débutants

14. La communication du dossier d’audit aux parties extérieures est le plus souvent de la

responsabilité : a. Du Conseil b. De la Direction Générale. Cf. norme 2330.A1 c. Du Responsable d’audit interne d. De l’Audit externe

15. Les procédures concernant la protection et la conservation des dossiers d’audit doivent être

cohérentes avec : a. Les orientations définies par l'organisation uniquement b. Toute exigence réglementaire c. Les orientations définies par l'organisation et avec toute exigence réglementaire. Cf.

norme 2330.A2 d. Les orientations définies par les auditeurs externes

16. Dans un dossier d’audit, l’auditeur a listé les objectifs d’audit suivants. Lequel n’est en fait

qu’un objectif de contrôle interne ? a. S’assurer de la correcte séparation des taches de facturation et de comptabilisation b. Vérifier la pertinence de la procédure des achats c. Réaliser mensuellement l’inventaire physique des stocks. En effet, la formulation et

la périodicité de l’objectif traduisent sa qualité de contrôle interne d. Identifier des situations de conflits d’intérêt chez les acheteurs

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Utilisez les informations suivantes pour répondre aux questions 19 et 20.

Les informations suivantes ont été recueillies à l’occasion de la revue d’un dossier d’audit

1. Les achats dépassant 10 000 € doivent être approuvés par le responsable des achats

2. Le service ne dispose pas d’un budget pour embaucher du personnel temporaire

3. Une part importante des marchandises achetées n’a pas transité dans l’entreprise

4. Pendant les vacances d’été, l’agent comptable réalise des taches de contrôle en l’absence de son collègue contrôleur

5. La part variable de la rémunération des acheteurs n’intègre pas les achats approuvés par le responsable des achats

6. L’agent comptable ne doit pas réaliser de taches de contrôle

7. Les opérations comptables sont toutes correctes

8. Le contrôle des dossiers d’achats révèle que 20 % des achats dépassant 10 000 € ne sont pas approuvés par le responsable des achats

17. Quels sont les numéros qui illustrent le mieux un critère de contrôle dans un constat ?

a. 1, 6 b. 2, 5 c. 3, 7 d. 4, 8

18. Quels sont les numéros qui illustrent le mieux un fait dans un constat ? a. 1, 6 b. 2, 5 c. 3, 7 d. 4, 8

19. Quels sont les numéros qui illustrent le mieux une cause dans un constat ? a. 1, 6 b. 2, 5 c. 3, 7 d. 4, 8

20. Quels sont les numéros qui illustrent le mieux une conséquence dans un constat ?

a. 1, 6 b. 2, 5 c. 3, 7 d. 4, 8

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III. Les outils de l’auditeur

21. On a besoin pour estimer le taux d’erreur dans une population de 20000 dossiers de prêts, d’un échantillon 200 dossiers. L’auditeur choisit au hasard un nombre entre 1 et 100 pour sélectionner le 1er dossier de son échantillon puis sélectionne le 100e dossier à partir de ce 1er dossier choisi et ainsi de suite. Parmi les propositions suivantes laquelle est vraie ?

a. Cette méthode d’échantillonnage n’est pas statistiquement valable. b. S’il n’existe aucun biais dans la population des dossiers à estimer, cet échantillon

est statistiquement valable. En effet il s’agit d’un tirage systématique. c. L’échantillon extrait n’est pas aléatoire. d. Aucune des propositions ci-dessus n’est vraie.

22. L’écart type mesure :

a. La dispersion d’une population par rapport à sa moyenne. b. Le degré de confiance dans un échantillon. c. L’asymétrie d’une population. d. La précision d’un résultat issu d’un échantillonnage.

23. Lequel des éléments n’a pas d’impact sur la précision d’un résultat issu d’un échantillon

extrait dans le cadre d’un sondage pour évaluer un taux d’erreur dans une population ? a. La taille de l’échantillon. b. Le degré de confiance. c. L’écart type de la population. d. Le taux d’erreur attendu.

24. Dans le cas d’un échantillonnage pour estimation de valeur, la précision du résultat :

a. Ne dépend pas de la dispersion d’une population par rapport à sa moyenne. b. Prend en compte l’écart type d’un échantillon exploratoire. c. N’est pas liée à l’asymétrie d’une population. d. Mesure le degré de confiance de l’auditeur.

25. Lequel des éléments suivants n’a jamais d’impact sur le niveau de confiance dans un

résultat issu d’un échantillon extrait d’une population dès lors que l’échantillon est inférieur à 10 % à la population ?

a. La taille de la population. b. L’écart type de la population. c. Le taux d’erreur attendu.

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Étude de cas – Conduite de la mission – Restitution –Sujet

DPAI Étude de cas - Restitution (1 h) 1/5

Première partie : Etude de cas L’Association ProxiVie propose une gamme de services aux familles résidant dans la région Midi Pyrénées. Elle est née du rapprochement intervenu il y a deux ans entre deux associations régionales qui géraient :

- des prestations d’assistance : o à des personnes en difficulté (hébergement de courte durée, bourse

alimentaire,…) o aux personnes âgées dans le cadre de leur maintien à domicile (courses,

ménage, compagnie, formalités,…) - des activités d’animation au profit des jeunes enfants, et dans le cadre de différents

centres socioculturels. Sous l’impulsion des organismes pourvoyeurs de fonds (collectivités locales, organismes de sécurité sociale,…), l’Association a engagé à sa création un plan de mise en place d’un véritable dispositif de contrôle interne. Elle a nommé il y a 3 mois un auditeur interne, dont la première mission a consisté à évaluer l’avancement de ce projet, et la qualité du contrôle interne de l’Association. L’auditeur interne, qui se trouve être un de vos ami, a terminé cette première mission et a formalisé ses conclusions sous forme d’une note de synthèse. Il sollicite votre aide pour établir, à partir de ce document, les feuilles de constat qui constitueront le corps de son rapport détaillé. Convaincu du bien fondé de la devise de l’IIA et de l’IFACI « Le progrès par le partage », vous acceptez… Travail à faire : Vous réorganiserez les éléments de la note de synthèse en feuilles de constat (2 minimum et 5 maximum): 1. Celles–ci décriront pour chaque dysfonctionnement constaté :

- les faits relevés par l’auditeur, - l’analyse de leurs causes, - les conséquences potentielles ou avérées de ces dysfonctionnements, - les recommandations de l’auditeur.

2. Vous formulerez pour chaque feuille de constat, les recommandations qui vous paraissent pertinentes.

Page 11: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Étude de cas – Conduite de la mission – Restitution –Sujet

DPAI Étude de cas - Restitution (1 h) 2/5

Note de synthèse établie par l’auditeur

Il n’y a pas de réel suivi de l’activité des services. Il existe des tableaux de bord mis en

place ponctuellement, mais ils sont souvent incomplets, et ne font pas l’objet d’échanges avec les autres services concernés par les processus mis sous surveillance.

Des objectifs ont été fixés pour les principaux processus. Près d’un collaborateur sur

quatre ne connaît pas les indicateurs associés à ces objectifs pour l’activité dont ils ont la charge.

L’absence d’exploitation régulière et de communication des résultats des suivis

d’activité existants prive l’Association d’une appréciation de la qualité des méthodes, de la mise en évidence des nécessaires actions correctives.

Il n’y a pas de personne clairement identifiée pour réaliser le suivi d’activité sur les

principaux processus. Les indicateurs fixés pour le suivi de la réalisation des objectifs ne sont pas perçus comme une aide à l’amélioration de la qualité.

Il n’y pas d’instance permettant aux différents responsables de services de coordonner

leurs actions. L’Association est imprégnée d’une « culture de l’oral » qui ne favorise pas la

formalisation du suivi des activités. La Direction ne dispose pas d’indicateurs permettant de mesurer le bon

fonctionnement des processus et la qualité des services délivrés à ses clients, et de corriger d’éventuels dysfonctionnements par un plan d’action approprié.

Il n’y a pas d’appropriation réelle du plan d’action « contrôle interne » : celui-ci n’est

pas toujours bien compris et n’est pas vécu comme étant l’affaire de tous. La communication relative au contrôle interne est irrégulière et peu mobilisatrice. Il n’y

a pas de valorisation des actions menées ni de sensibilisation aux enjeux de la démarche.

La taille de l’Association et les contraintes d’effectifs pour faire face à une demande

toujours croissante amènent naturellement les collaborateurs à répondre en priorité aux besoins opérationnels, et à délaisser les tâches de contrôle ou de formalisation.

La démarche de contrôle interne, ses concepts de base et ses outils principaux ne

sont pas encore intégrés. Les collaborateurs ne voient pas vraiment ce que l’on attend d’eux, ni la valeur ajoutée du projet.

Page 12: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Étude de cas – Conduite de la mission – Restitution –Sujet

DPAI Étude de cas - Restitution (1 h) 3/5

Un tiers des personnes interrogées manifestent un refus d’adhésion à la démarche qu’ils estiment être une perte de temps. Près de la moitié des personnes interviewées craignent de voir leurs pratiques actuelles remises en cause. Une personne rencontrée sur cinq juge le plan de contrôle interne trop ambitieux et impossible à gérer, actualiser et contrôler.

La formalisation des délégations et habilitations informatiques a constitué une des

toutes premières étapes du plan de contrôle interne. En revanche, leur gestion n’est pas totalement assurée.

20% des collaborateurs nouveaux ou ayant changé de poste n’ont pas de délégations

à jour. Les mots de passe d’accès à l’outil informatique utilisé par le service prestations

personnes âgées apparaissent sur un document affiché dans le local Archives. En outre, plusieurs collaborateurs laissent leur mot de passe à disposition de leurs collègues.

Les habilitations de personnel ayant changé de poste ou ayant quitté l’Association

n’ont pas été retirées. On note un manque de sensibilisation réel aux principes essentiels de la sécurité

informatique. L’absence de sécurisation efficace des accès informatiques et de mise à jour des

habilitations entraîne un risque de fraude. Les membres du personnel se connaissent bien et travaillent en confiance. Ceci est

particulièrement vrai pour ceux qui appartenaient à la même entité avant la fusion. Dès lors, ils ne perçoivent pas l’importance de la formalisation des habilitations, ni les risques liés à leur non mise à jour.

L’importance d’une formalisation des délégations n’est généralement pas perçue par

les membres du personnel, ni par certains responsables de service. La formalisation des principales procédures est inachevée. Les procédures qui ont été formalisées sont incomplètes : elles décrivent les modes

opératoires de manière très administrative sans les relier aux risques de l’activité concernée, ni aux indicateurs mis en place.

La procédure des procédures créée au lancement du projet est incomplète et

formaliste. En outre, elle n’a pas fait l’objet d’une communication/ formation auprès du personnel, qui la trouve lourde et peu adaptée.

Les membres du personnel connaissent généralement bien leur travail. Ils ne

perçoivent pas l’intérêt de formaliser leurs pratiques professionnelles. Certains craignent même que cela les dépossède de leur savoir-faire.

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DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Étude de cas – Conduite de la mission – Restitution –Sujet

DPAI Étude de cas - Restitution (1 h) 4/5

Le rôle des correspondants procédures est ambigu. Certains collaborateurs estiment

que la formalisation des procédures incombe à ces correspondants, et qu’ils n’ont donc pas à s’y impliquer personnellement.*

Les imprimés utilisés dans le cadre des différentes activités ne sont pas clairement

normalisés et gérés. Il n’y a pas de « catalogue » des imprimés supports à utiliser, ni de procédure relative à la création et le suivi de ces imprimés.

Six types d’imprimés avec des codes couleurs différents ont pu être recensés pour le

traitement des prestations d’assistance à domicile des personnes âgées. L’usage de la photocopie se multiplie, ce qui complique le suivi en cas de classement par code couleur.

Il y a risque d’erreur ou de perte de temps lors du traitement et du suivi des dossiers

du fait des différents formats d’imprimés supports, d’une mauvaise utilisation des codes couleurs, ou de l’usage de photocopies.

Les habitudes prises avant la fusion dans les organismes d’origine n’ont pas toujours

été remises en cause. La réticence à la normalisation des documents supports est d’autant plus importantes que les personnes connaissent bien leur travail et ne perçoivent pas la nécessité de modifier leurs pratiques quotidiennes.

La documentation externe et interne n’est pas suffisamment structurée. Les notes internes d’instructions ne font pas l’objet d’une validation formelle. Elles ne

sont pas hiérarchisées (par date, numéro, …, ni centralisées dans une base commune ou dans un point unique: chaque service, et parfois chaque personne, détient sa propre documentation.

Certains textes réglementaires sont diffusés sans note d’accompagnement ni

commentaires. Il n’y a pas de moyen de contrôle de la bonne réception des dispositions légales ou

réglementaires nouvelles, ni de leur compréhension. Il n’existe pas de personne ou de service désignée pour la centralisation et la gestion

de la documentation interne et externe. Les instructions nouvelles contenues dans les documents techniques internes ou

réglementaires ne sont pas toujours connues et appliquées. Il y a des risques de non respect de nouvelles réglementations, et donc de sanction

pour l’Association. Le traitement des opérations peut être erroné du fait de la méconnaissance des

instructions applicables.

Page 14: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Étude de cas – Conduite de la mission – Restitution –Sujet

DPAI Étude de cas - Restitution (1 h) 5/5

Deuxième partie : Questionnaire 1 . Selon les Normes Professionnelles de l’Audit Interne, les rapports d’audit doivent être diffusés (1 point):

a. Uniquement à la Direction générale.

b. Uniquement à la Direction générale et au Comité d’Audit.

c. Uniquement aux audités qui devront mettre en œuvre des actions correctives.

d. Aux personnes de l’organisation à même de garantir que les résultats de l’audit recevront l’attention nécessaire.

2 . Les Modalités Pratiques d’Application des Normes Professionnelles préconisent que les auditeurs débattent leurs conclusions et recommandations avec les responsables appropriés : (1 point)

a. Avant d’émettre leur rapport définitif. b. Lors de la réunion de clôture. c. Lors de la présentation des plans d’action par les audités. d. Lors de la remise du rapport d’audit.

3. Selon les Normes Professionnelles de l’Audit Interne, « sauf indication contraire de la loi, de la réglementation ou des statuts, le responsable de l’audit doit accomplir les tâches suivantes avant de diffuser les résultats à des destinataires ne faisant pas partie de l’organisation :(1 point)

a. Evaluer les risques potentiels pour l’organisation. b. Consulter la Direction générale et / ou, selon les cas, un conseil juridique. c. Maîtriser la diffusion en imposant des restrictions quant à l’utilisation des résultats. d. Les trois tâches ci-dessus.

4. La communication sur les résultats de la mission d’audit doit obligatoirement inclure (cocher la case OUI ou NON): (2 points)

Oui Non

Les objectifs et le champ de la mission X

Les conclusions de l’audit X

Les recommandations de l’auditeur X

Les plans d’action des audités X

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LES NORMES CORRIGE DE L’EXERCICE 1 La charte d’audit définit les missions et les responsabilités de l’audit interne. Elle autorise l’accès aux documents, aux personnes et aux biens physiques, nécessaire à la bonne réalisation des missions. Elle définit le rôle et le champ de l’audit interne. A ce titre elle contribue à la bonne réalisation des missions, plus particulièrement en ce qui concerne l’identification des clients de la mission. Elle facilite l’accès aux documents nécessaires à l’enquête préliminaire. Elle légitimise les auditeurs et facilite ainsi la conduite de la réunion d’ouverture et la validation des constats. CORRIGE DE L’EXERCICE 2

o Norme 1120 « Les auditeurs internes doivent avoir une attitude impartiale et dépourvue de préjugés, et éviter les conflits d’intérêts. » Norme 1130 –A1 « Les auditeurs internes doivent s'abstenir d'auditer des opérations particulières dont ils ont été auparavant responsables. L'objectivité d'un auditeur est présumée altérée lorsqu'il réalise une mission d'assurance pour une activité dont il a eu la responsabilité au cours de l'année précédente. »

o Les auditeurs internes ne doivent pas subordonner leur propre jugement en matière

d’audit à celui d’autres personnes. Les auditeur internes ne doivent pas se trouver placés dans des situations où ils se sentiraient incapables de porter des jugements professionnels objectifs. Aucun conflit d’intérêt ou aucune influence ne doivent être susceptibles d’altérer cette indépendance.

o Les bénéfices apportés par Mr Leonard tiennent à sa bonne connaissance du site et

de son environnement.

Page 16: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire à Choix Multiples – Le Contrôle Interne

DPAI QCM_CI Corrigé (30 mn) 1/4

1. Selon le COSO I, le contrôle interne est un processus qui vise à donner une assurance raisonnable que les objectifs de l’organisation seront atteints. Lequel des objectifs suivants ne fait pas partie de ceux énumérés par le COSO I comme cibles du contrôle interne ?

a. La qualité de l’information. b. Le respect des lois et règlements. c. La qualité des orientations stratégiques. d. L’efficacité des opérations.

2 . La qualité du contrôle interne est avant tout conditionnée par : a. La réalisation d’une cartographie des risques. b. Un grand nombre de contrôles préventifs. c. La formalisation systématique des procédures. d. L’intégrité et l’éthique des dirigeants.

3 . Une des limites de l’efficacité du contrôle interne réside dans : a. Les changements qui interviennent dans les activités ou l’organisation de l’entreprise. b. L’ampleur des risques auxquels l’entreprise est exposée. c. La fixation d’objectifs trop ambitieux par le management d. La possibilité de collusion entre deux ou plusieurs personnes pour déjouer les

règles et les contrôles en place.

4 . Un contrôle qui vise à réduire la probabilité de survenance d’un risque est appelé : a. Contrôle directif. b. Contrôle détectif. c. Contrôle préventif. d. Contrôle a posteriori.

5 . Le contrôle de la séquence numérique des factures de ventes émises est un contrôle : a. De validité. b. D’exhaustivité. c. D’évaluation. d. D’exactitude.

Page 17: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire à Choix Multiples – Le Contrôle Interne

DPAI QCM_CI Corrigé (30 mn) 2/4

6 . On peut distinguer plusieurs catégories de tâches ou de fonctions :

I. L’autorisation ou l’exécution des opérations.

II. II. L’enregistrement comptable.

III. III. Le paiement des opérations ou détention des moyens de paiement.

IV. L’archivage des pièces justificatives.

V. Le contrôle.

Le principe de séparation des tâches exige que soient confiées à des personnes différentes les tâches :

a. I et III uniquement. b. I, II et III uniquement. c. II,III et IV uniquement. d. I, II, III et V.

7. Le risque est la probabilité qu’un événement affecte la réalisation des objectifs de l’entreprise. Le contrôle interne est un dispositif de maîtrise :

a. De l’ensemble des risques auxquels l’entreprise est confrontée, à l’exception des risques stratégiques.

b. Des seuls risques d’origine interne. c. Des risques ayant des conséquences sur l’information comptable et financière publiée. d. Des conséquences des seuls risques externes.

8 . Lors de l’évaluation de la qualité du contrôle interne, le programme de travail des auditeurs internes doit obligatoirement comporter les étapes ou travaux suivants : I. Mettre en place une cartographie des risques. II. Ré-exécuter systématiquement les contrôles pour vérifier leur efficacité. III. Examiner les procédures existantes et évaluer leur pertinence. IV. Réaliser des tests de conformité. VI. Décrire les processus et activités et mettre en évidence leurs objectifs et les risques associés.

a. I,II. b. I,III c. III, IV,V. d. I, II, III, IV et V.

9 . La production d’un état informatique recensant les opérations de ventes du mois écoulé conclues à des conditions atypiques (prix, délais de paiement) :

a. N’est pas vraiment une activité de contrôle. b. Constitue un contrôle préventif. c. Permet un contrôle de détection a posteriori. d. Relève du pilotage du contrôle interne.

10 . Quel est le meilleur critère de pertinence d’un contrôle parmi les suivants :

a. Il répond à une obligation légale ou réglementaire. b. Il permet de réduire l’impact financier des risques liés à l’activité. c. Il coûte le moins cher possible. d. Il permet de ramener un risque significatif à un niveau jugé acceptable.

Page 18: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire à Choix Multiples – Le Contrôle Interne

DPAI QCM_CI Corrigé (30 mn) 3/4

11 . Le rôle de l’audit interne au regard du contrôle interne couvre les éléments suivants (cocher la case OUI ou NON):

Oui Non

Participer à la mise en place du contrôle interne, notamment à la formalisation de procédures

X

Animer des sessions de formations pour le personnel X

Evaluer l’efficacité du contrôle interne X

Donner des conseils sur les procédures avant leur mise en application X

Contribuer au pilotage du contrôle interne X

Recommander la mise en place de normes de contrôle X

12 . La qualité du contrôle interne peut être appréciée au regard de nombreux critères, tels que (cocher la case OUI ou NON):

Oui Non

La bonne adéquation, entre le risque et le(s) contrôle(s) mis en place pour le maîtriser

X

La permanence du fonctionnement des procédures et des contrôles X

L’importance du nombre de contrôles déployés pour faire face à l’ensemble des risques auxquels l’entreprise est confrontée

X

Le rapport coût/utilité des contrôles X

L’absence de détection d’anomalies par les contrôles en place X

L’appropriation du contrôle interne par les opérationnels X

13 . Quels arguments opposeriez-vous au jugement suivant souvent porté à l’encontre du contrôle interne ? (5 lignes maximum) « Le contrôle interne, c’est lourd à mettre en place et coûteux pour l’entreprise » Eléments de réponse : - lourdeur : la conception doit prendre en compte le rapport coût utilité du contrôle, l’intégration aux processus et aux pratiques des opérationnels, l’implication de ces derniers à la mise en place des contrôles- coût pour l’entreprise : c’est une réalité mais il est à comparer aux conséquences potentielles des risques. En outre, il doit être optimisé par une « traque » des sur-contrôles.

Page 19: Audit Test

LA COMPTABILITE

CORRIGE CORRIGE EXERCICE 1

Impact Actes de gestion Sur le compte de

résultat Sur le bilan

Aucun impact

Expression des besoins

X

Déclenchement de la commande

X

Réception des biens commandés

X

Enregistrement des achats

X X

Paiement des factures

X

CORRIGE EXERCICE 2

CORRIGE EXERCICE 3

o Le total général des soldes débiteurs n’est pas égal à celui des soldes créditeurs. o La différence entre les totaux débiteurs et totaux créditeurs du bilan n’est pas égale à

celle des totaux du compte de résultat.

Dettes fournisseurs Dettes à court terme Provision pour risques et charges Capitaux permanents Emprunt obligataire Dettes à long et moyen termes Stock Actif circulant à court terme Réserve légale Capitaux propres Matériel et outillage Actif immobilisé

Page 20: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire à Choix Multiples – Les Systèmes d’Information

DPAI QCM_SI (30 mn)Corrigé 1/4

CORRIGE : 1 . L’affectation des coûts, de la charge de travail et du personnel à chacune des étapes du développement logiciel relève :

a. Des spécifications. b. De la métrologie. c. De la méthodologie de développement. d. De l’allocation des ressources.

2 . Le processus qui vise à identifier et éliminer les erreurs et anomalies du code d’un programme se nomme :

a. Le contrôle de virus. b. Le déboguage. c. L’audit qualité. d. La maintenance.

3 . Un programme qui semble licite mais contient du code caché qui peut altérer le fonctionnement d’un système informatique se nomme :

a. Un virus. b. Un cheval de Troie. c. Une bombe logique. d. Un ver logiciel.

4 . Les techniques mises en œuvre dans le cadre de la sécurité informatique ne seront pas efficaces sans :

a. Des mises à jour quotidiennes. b. Des tests fréquents. c. Des sauvegardes. d. Des règles et directives organisationnelles.

5 . La raison la plus courante de l’échec des systèmes d’information à satisfaire les besoins des organisations est liée à :

a. Des données de mauvaise qualité. b. Des utilisateurs mal formés. c. Des erreurs de programmation. d. Une capacité de stockage insuffisante.

6 . L’un des principaux facteurs de coûts de maintenance élevés provient: a. De changements organisationnels. b. De nouveaux matériels. c. De pannes logicielles. d. D’une formation inadaptée.

Page 21: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire à Choix Multiples – Les Systèmes d’Information

DPAI QCM_SI (30 mn)Corrigé 2/4

7 . Dans un environnement informatisé, les infrastructures liées aux Technologies de l’Information et de la Communication doivent fournir :

a. Une formation aux utilisateurs. b. Une disponibilité de service continue sur l’ensemble des plateformes. c. La supervision du personnel dédié au contrôle. d. Des fibres optiques.

8 . La documentation d’une application informatique qui décrit chacune des étapes de conception et les relations entre les différentes étapes se nomme :

a. Le dossier de spécifications générales. b. Le cahier des charges. c. Le guide méthodologique. d. L’étude de faisabilité.

9 . Un système de signature via un certificat numérique nécessite la présence : a. D’un pare-feu. b. De contrôles applicatifs. c. D’un tiers de confiance. d. D’un antivirus.

10 . Les méthodes traditionnelles de développement logiciel sont: a. Plus coûteuses. b. Orientées Traitement. c. Moins faciles à maîtriser. d. Orientées objet.

11 . Les contrôles en environnement informatisé sont divisés en contrôles généraux et contrôles applicatifs ; lequel des contrôles suivants fait partie des contrôles généraux ?

a. La sécurité physique. b. La distribution appropriée des états de sortie. c. Les contrôles de cohérence des informations saisies. d. Les contrôles visant à s’assurer de l’exhaustivité des pièces justificatives.

12 . Le COBIT est un référentiel de contrôle lié aux Systèmes d’Information. Les objectifs assignés aux Systèmes d’Information par ce référentiel porte, notamment, sur la qualité des données. Lequel des critères suivants ne fait pas partie des critères identifiés par le COBIT ?

a. L’intégrité. b. La conformité. c. La non répudiation. d. L’efficience.

13 . Dans le cadre de leur activité, les auditeurs peuvent être conduits à utiliser des outils informatiques d’audit. Le type d’outil informatique qui propose des fonctionnalités de sélection, de tri, de recherche, de calculs et d’impression est à classer parmi :

a. Les utilitaires. b. Les outils d’audit généraux. c. Les outils d’audit intégrés. d. Les systèmes experts.

Page 22: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire à Choix Multiples – Les Systèmes d’Information

DPAI QCM_SI (30 mn)Corrigé 3/4

14 . Le niveau de risques des systèmes informatiques inclut : I. Les risques liés à la disponibilité du système du fait de son incapacité à fonctionner. II. Les risques liés à la sécurité du système du fait d’accès non autorisés aux données et aux traitements. III. Les risques liés à l’intégrité du système du fait de traitements incomplets, inexacts, retardataires ou non autorisés. IV. Les risques liés à la maintenabilité du système du fait d’une incapacité à le mettre à jour, si nécessaire, en continuant d’assurer sa disponibilité, sa sécurité et son intégrité. V. Les risques liés à la complétude, l’intégrité, la confidentialité, l’exactitude des données ainsi qu’à leur caractère privé et opportun.

a. IV, V uniquement. b. I, II, III uniquement. c. I, II, III, IV, V. d. I, II, III, IV uniquement.

15 . Les auditeurs internes doivent posséder une bonne connaissance : I. Des principaux risques et contrôles liés aux technologies de l’information. II. Des techniques d’audit informatisées susceptibles d’être mises en œuvre dans le cadre des travaux qui leur sont confiés.

a. Aucune des propositions. b. I uniquement. c. II uniquement. d. I, II.

16 . Les auditeurs internes peuvent être conduits à évaluer le niveau de maîtrise par leur organisation d’un dispositif de commerce électronique. Les objectifs d’audit d’une mission portant sur le commerce électronique peuvent inclure les points suivants : I. L’efficacité du processus d’authentification des clients. II. La disponibilité et la fiabilité du système de sécurité. III. L’adéquation des systèmes et des procédures de contrôle des certificats de clés publiques (utilisation de techniques cryptographiques à clé publique). IV. L’adéquation des processus de continuité d’opération y compris en ce qui concerne la reprise des opérations.

a. I, II, III, IV. b. II, IV uniquement. c. I uniquement. d. I, II, IV uniquement.

17 . Garantir la continuité des opérations d’une organisation après un sinistre nécessite la mise en œuvre de nombreux processus. Les auditeurs internes ont un rôle important à jouer juste après la survenance d’un sinistre. L’audit interne doit : I. Identifier les domaines dans lesquels les contrôles internes et les mesures d’atténuation des risques doivent être améliorés. II. Formuler des recommandations en vue d’améliorer le plan de continuité des opérations de l’entité. III. Apporter un soutien durant les opérations de reprise.

a. I, II uniquement. b. II uniquement. c. III uniquement. d. I, II, III.

Page 23: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire à Choix Multiples – Les Systèmes d’Information

DPAI QCM_SI (30 mn)Corrigé 4/4

18 . La redondance des données se produit lorsque : a. Les programmes qui accèdent aux données sont modifiés. b. Plusieurs utilisateurs saisissent des informations. c. Les champs de différents et nombreux fichiers contiennent la même information. d. Les requêtes ne sont pas correctement rédigées.

19 . Un dictionnaire de données : a. Permet de créer des états. b. Est utilisé conjointement avec les langages de 3ème et de 4ème génération. c. Présentent les données telles qu’elles sont vues par les utilisateurs. d. Stocke des informations sur les données et leurs caractéristiques.

20 . Le caractère ouvert d’Internet engendre des difficultés pour les organisations. Ces difficultés relèvent :

a. De la protection contre les intrusions externes. b. De la concurrence internationale. c. Du choix du système d’exploitation à utiliser pour les applications de commerce

électronique. d. Des éventuelles incompréhensions entre acheteur et vendeur

Page 24: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire – La Communication Orale

DPAI QCM _ Communication Orale (30 mn) 1/4

Consigne : Dans les quatre tableaux suivants cochez la case OUI ou la case NON pour chacune des propositions. 1 . La valeur ajoutée de l’audit interne tient en particulier aux éléments suivants :

Oui Non

Son objectivité et son impartialité X

Sa méthodologie rigoureuse X

Son reporting à la Direction générale sur le degré de maîtrise des opérations X

Son expertise des différents métiers de l’entreprise X

Sa implication directe dans la mise en oeuvre des plans d’action et la mise en place de dispositifs de contrôle interne

X

Sa disponibilité pour réaliser un accompagnement personnalisé de l’audité X 2 . Les aptitudes comportementales les plus utiles à l’auditeur sont les suivantes :

Oui Non

La capacité d’écoute X

L’impartialité X

L’esprit de décision pour la mise en œuvre des recommandations X

La capacité de négociation X

La combativité X

L’esprit d’équipe X

N° identifiant

Page 25: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire – La Communication Orale

DPAI QCM _ Communication Orale (30 mn) 2/4

3 . Les objectifs généraux des entretiens d’audit sont multiples. Il s’agit notamment de :

Oui Non

Recueillir ou vérifier de l’information X

Expliquer et promouvoir le rôle de l’audit. X

Evaluer la motivation des collaborateurs X

Expliquer de manière détaillée la méthodologie d’audit aux audités X

Faire coopérer, obtenir l’adhésion. X

Apporter des conseils personnalisés à l’audité. X

4 . Les objectifs de la réunion d’ouverture ou de lancement de la mission sont multiples. Il s’agit notamment de (cocher la case OUI ou NON) :

Oui Non

Donner des informations sur le rôle de l’audit interne X

Donner des informations sur le contexte et les objectifs de la mission X

Expliquer de manière détaillée la méthodologie et les outils de l’auditeur X

Présenter l’équipe X

Etablir le planning complet des rendez-vous individuels X

Installer une relation de confiance avec les audités X

5 . Citez trois des actions à réaliser pour préparer un entretien d’audit :

Réponses possibles : - recueil d’informations sur la structure auditée, - recueil d’informations sur la personne rencontrée - prise de RV - choix des modalités de la rencontre (lieu, durée, présence d’une autre

personne,…) - définition des objectifs de l’entretien - préparation du guide d’entretien, et du questionnaire support

Page 26: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire – La Communication Orale

DPAI QCM _ Communication Orale (30 mn) 3/4

6 . Consigne : Voici des propositions de phrases prononcées par un auditeur lors d’un entretien avec un audité. Pour chaque couple de phrases, cochez celle dont la formulation vous paraît la plus appropriée.

I.

Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas là pour vous juger.

Rassurez-vous ! En tant qu’auditeur, mon objectif est d’analyser et de comprendre les processus, et non d’évaluer les personnes.

X

II.

Selon vous, quelles sont les raisons qui expliquent l’absence de formalisation des procédures ?

X

Il est très étonnant que vous n’ayez pas de manuel des procédures.

III.

Vous réalisez souvent ce contrôle ?

A quelle fréquence réalisez-vous ce contrôle : tous les jours, toutes les semaines,… ? X

IV.

Si je comprends bien, cette activité vous occupe en moyenne trois demi-journées par semaine ?

X

Apparemment, cette activité consomme une bonne partie de votre temps.

V.

Je comprends votre point de vue mais j’ai une perception différente de la situation. X

Non ! Ce n’est pas comme cela qu’il faut analyser les choses.

VI.

Pourriez-vous m’expliquer les objectifs de votre activité, et aussi ce qui peut vous gêner leur réalisation ?

X

Je souhaiterais que vous me présentiez le référentiel de contrôle interne de votre activité.

Page 27: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

Questionnaire – La Communication Orale

DPAI QCM _ Communication Orale (30 mn) 4/4

Consigne : Choisissez la réponse qui, selon vous, complète le mieux la phrase ou répond le mieux à la question posée. 7 . Le guide d’entretien est (une seule réponse):

a. La liste exhaustive des questions à poser au cours de l’entretien.

b. La liste des thèmes à traiter et les points à aborder pour chacun d’eux. c. Une preuve d’audit à faire figurer dans le dossier d’audit.

d. Des conseils pratiques sur la conduite des entretiens.

8 . Les questions fermées sont à privilégier pour (plusieurs réponses possibles):

a. Recentrer l’entretien avec un audité bavard. b. Obtenir des données précises rapidement. c. Installer la confiance avec les audités.

d. Prendre connaissance de manière approfondie du domaine à auditer.

9. Pour réussir une négociation, le plus important est de (plusieurs réponses possibles)

a. Se donner une fourchette d’objectifs plutôt qu’une seule position à défendre. b. Savoir argumenter pour convaincre l’audité.

c. Savoir écouter les objectifs et arguments de l’audité. d. Savoir défendre sa position quoiqu’il arrive.

Page 28: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

La Communication Ecrite

DPAIQCM_Com Ecrite(30 mn) corrigé

Partie I. La lettre de mission (10 points): Enoncé : La Direction Générale d’une entreprise souhaite que l’Audit Interne évalue la fiabilité et l’efficacité du processus de traitement du courrier. Le projet de lettre de mission ci-après a été établi. Vous procéderez à son analyse critique sur le fond et la forme : - points forts - points faibles ou éléments manquants et propositions d’amélioration

Projet de lettre de mission

Paris, le 24 janvier 2006 L’audit interne est mandaté pour réaliser l’audit du processus de traitement du courrier au Siège afin d’en améliorer la qualité. L’objectif de la mission est d’évaluer la fiabilité des procédures et des circuits, et l’efficacité des processus Courrier. Il conviendra d’identifier et d’évaluer les risques de dysfonctionnements et de faire des recommandations pour renforcer leur maîtrise. Pour réaliser cette mission, les auditeurs prendront connaissance des réglementations applicables et des procédures existantes. Ce recueil d’information leur permettra tout d’abord d’appréhender l’environnement de la mission, puis d’analyser l’adéquation et l’efficacité des pratiques, et enfin de mesurer les écarts entre le fonctionnement théorique des processus et les actions quotidiennes. La mission donnera lieu à la rédaction d’un rapport qui prendra position sur la qualité du traitement du courrier, et sur le caractère adéquat des procédures et leur bonne application. Les auditeurs prendront rendez-vous avec les différentes personnes intervenant dans les processus concernés, qui leur communiqueront tous documents et informations utiles à leur mission. La mission se déroulera du 6 février au 3 mars 2006.

Le Directeur général

Page 29: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

La Communication Ecrite

DPAIQCM_Com Ecrite(30 mn) corrigé

Partie I. La lettre de mission Eléments de corrigé : Points forts : - mandat signé par la DG - objectifs de la mission - dates de l’intervention - autorisation d’accès aux personnes et informations utiles à la mission

Points faibles – éléments manquants : - précision sur le périmètre insuffisante - pas d’annonce de la composition de l’équipe d’audit - description inutilement détaillée de la démarche de l’auditeur - pas de précision sur le contexte et l’enjeu de la mission - pas d’évocation des recommandations à formuler dans le rapport d’audit - forme peu structurée

Partie II. Questionnaire : 1 . La première étape pour la rédaction d’un écrit de qualité est :

a. La rédaction de l’introduction.

b. L’analyse des attentes du lecteur et des objectifs du rédacteur. c. La définition du message à faire passer.

d. L’élaboration du plan du document.

2 . Quels sont les 4 éléments qui doivent apparaître dans une feuille de constat : Réponses :

- La description factuelle des dysfonctionnements, - Les causes de ces dysfonctionnements, - Leurs conséquences, - Les recommandations de l’auditeur.

Page 30: Audit Test

DIPLÔME PROFESSIONNEL DE L’AUDIT INTERNE

La Communication Ecrite

DPAIQCM_Com Ecrite(30 mn) corrigé

3 . Une recommandation d’audit est pertinente avant tout si :

a. Elle vise à éliminer ou réduire les conséquences du dysfonctionnement constaté.

b. Elle comporte les modalités détaillées de sa mise en œuvre.

c. Elle vise à supprimer les causes du dysfonctionnement. d. Elle donne satisfaction aux audités.

4 . La synthèse du rapport d’audit est :

a. Un récapitulatif des dysfonctionnements relevés.

b. Un document reprenant les points les plus significatifs du rapport. c. La liste des recommandations proposées par l’auditeur.

d. Une courte description du déroulement de la mission.

5 . Le style rédactionnel attendu d’un auditeur est avant tout :

a. Objectif. b. Littéraire.

c. Clair. d. Constructif.

6 . Un rapport d’audit de qualité doit contenir les éléments suivants (cocher la case OUI ou NON):

Oui Non

Un sommaire X

Les objectifs et le champ de la mission X

La description détaillée du fonctionnement du service audité X

Les points forts relevés X

Les preuves d’audit X

Les constats et les recommandations X

Une synthèse X

L’opinion globale de l’auditeur X