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Au Fait ! « Il ne suffit pas de parler, il convient de parler juste... » William Shakespeare ( Le Songe d'une Nuit d'Été ) Barbizon Village des peintres Mai / juin 2017 Rapport d’activité de la municipalité No 5 - P 1 Sommaire : Budget 2017 Assainissement Rue de Fleury Château d’eau Signalisation Vidéoprotection Une autre source d’information offerte par le Net provient de sites privés qui se posent en juges des exercices budgétaires et délivrent une appréciation notée. Le plus amusant est que les communes les mieux notées sont celles qui ne sont pas endettées, prélèvent les impôts les plus bas, n’investissent jamais, n’entretiennent pas leur voirie, dont les bureaux de la mairie sont ouverts au public le samedi matin à l’exclusion de tout autre jour et … n’ont pas d’école. Bref, une entité municipale bien gérée est une commune qui ne fait rien, où il n’y a apparemment aucun besoin et, à l’évidence, peuplée d’administrés cois et patients. Situation financière Les dernières informations disponibles pour les autres communes du département appartenant à la même strate statistique que Barbizon concernent la gestion 2015. Ce sont des valeurs qui sont comparées à celles du compte administratif de 2016 (dernier budget opéré). Dans les grandes lignes, en regard des communes similaires du département, le poste de charges (frais généraux, salaires, ...) de Barbizon est supérieur de 51 % à la moyenne, dont les frais de personnel qui sont 72 % plus élevés. Les recettes, quant à elles, sont 51 % supérieures. En effet Barbizon, de par sa vocation touristique et culturelle, doit pouvoir compter sur un effectif lui permettant de faire vivre le village : nettoyage, entretien de la voirie, entretien des nombreux bâtiments communaux (voir P.6), organisation des spectacles, des manifestations et des expositions, etc. BUDGET 2017 : Parangonnage La plupart des articles des bulletins municipaux présentant un budget communal font la part belle à ses points saillants. Par contre, généralement l’exécution du budget de l’année écoulée est passée sous silence. C’est le compte administratif qui livre la constatation du résultat de l’exécution du budget. Il y a un réel intérêt à comprendre les écarts éventuels existant entre la prévision et la réalisation. En effet quelle est l’utilité de petits montants de dépenses s’ils ne sont pas fidèlement respectés et quelle gloire peut-on retirer de l’exécution d’un budget où les dépenses sont outrageusement surévaluées et les postes de recettes sous-estimés ? Certes, en comptabilité la règle de prudence doit primer mais sans excès. Internet permet d’aller aisément consulter les sites et les budgets d’autres communes. Il est recommandé et sain de se livrer à cet exercice de « benchmarking » budgétaire. Benchmarking, (référenciation, étalonnage, parangonnage) : technique de marketing ou de gestion de la qualité qui consiste à étudier et analyser les pratiques de gestion, les modes de fonctionnement d’organisations comparables afin de s'en inspirer et d'en tirer le meilleur). Sur les sites officiels, en règle générale les opérations sont décrites avec une certaine latence et toujours telles qu’elles sont reportées par les trésoreries. Émotion fiscale Dans un article récent, consacré à Barbizon, paru dans l’hebdomadaire « République de Seine et Marne » il est mentionné : (que) « ... pour compenser la baisse des dotations il FAUDRA augmenter les impôts locaux de 30 % ... » Il convient, bien sûr, de lire : « ... il FAUDRAIT ... ». Aucun maire, ni son conseil, ne prendrait la décision de hausser les impôts de 5 % par an sur la durée de son mandat. Même si c’est en définitive ces dernières années le but caché de gouvernements qui s’ingénient à faire accroire que les communes qui n’augmentent pas leurs impôts dans la même proportion que l’État diminue ses subventions, sont mal gérées ou offrent trop de services. Or, il est désormais imposé à la commune le financement de services périscolaires, de nouvelles normes de sécurité (milieu scolaire ou bâtiments publics). L’octroi de la moindre subvention ne peut se faire que sous condition d’études préalables coûteuses. Par exemple l’extension du réseau d’assainissement (tout à l’égout) nécessite une révision du schéma de l’assainissement collectif qui coûte environ 100 000 € pour 300 000 € de travaux. L I M I N A I R E : Comme vous avez pu le constater, le rythme de nos publications a sensiblement baissé ces der- nières semaines. La raison est simple et tient aux objectifs que nous nous sommes fixés en matière de grands projets dans la perspective de notre agrégation forcée dans la nouvelle Com- munauté de Communes (CC.) décidée par le préfet de Seine-et-Marne. En définitive ce dernier a utilisé la fameuse procédure du « passez-outre » en regard du rejet, par la majorité des commu- nes concernées, du périmètre proposé. De plus, au dernier moment, la CC. est devenue, d’un coup de baguette magique préfectorale, communauté d’agglomération (CA.). Il nous est apparu urgent, alors qu’il est encore temps, de mettre toute notre énergie et nos moyens à effectuer les travaux dont le village a absolument besoin (rue de Fleury, assainissement communal, château d’eau, ...). Il est évident que ce qui semble prioritaire à un village rural tourné vers le tourisme comme le nôtre ne l’est pas forcément pour d’autres ayant des préoccupations et des visions différentes. Mai 2017, le seuil de la mi-mandat est franchi. Les prochaines éditions de « Au Fait ! » feront le rapprochement entre la somme des promesses électorales et les achèvements de l’actuelle majorité municipale. Nous vous tiendrons au courant de la mise en place de ladite CA., ses élus, ses commissions, son budget. Pour l’heure, celui de Barbizon (quatrième budget annuel du mandat) vient d’être établi. Nous vous invitons à en découvrir les grandes lignes dans ces pages. « Au Fait ! » (Compte-rendu de l’activé municipale) Directeur de la publication : Philippe Douce (maire de Barbizon) Comité éditorial : Charles Petithory (adjoint délégué) Distribution : par les élus Impression : Internet Tirage : 1 000 exemplaires Dépôt légal : à parution Mentions légales

Barbizon ( Le Songe d'une Nuit d'Été ) William Shakespeare ... · Comme vous avez pu le constater, le rythme de nos publications a sensiblement baissé ces der-nières semaines

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Au Fait !

«  Il ne suffit pas de parler,

il convient de parler juste.. .  »

William Shakespeare( Le Songe d'une Nuit d'Été )Barb izon

V i l l a g e d e s p e i n t re s

Mai / juin 2017

Rapport d’activité de la municipalité No 5 - P 1

Sommaire :Budget 2017

Assainissement

Rue de Fleury

Château d’eau

Signalisation

Vidéoprotection

Une autre source d’information offerte par le Net

provient de sites privés qui se posent en juges des

e x e r c i c e s b u d g é t a i r e s e t d é l i v r e n t u n e

appréciation notée. Le plus amusant est que les

communes les mieux notées sont celles qui ne

sont pas endettées, prélèvent les impôts les plus

bas, n’investissent jamais, n’entretiennent pas

leur voirie, dont les bureaux de la mairie sont

ouverts au public le samedi matin à l’exclusion de

tout autre jour et … n’ont pas d’école. Bref, une

entité municipale bien gérée est une commune

qui ne fait rien, où il n’y a apparemment aucun

besoin et, à l’évidence, peuplée d’administrés

cois et patients.

Situation financière

Les dernières informations disponibles pour les

autres communes du département appartenant à

la même strate stat ist ique que Barbizon

concernent la gestion 2015. Ce sont des valeurs

q u i s o n t c o m p a r é e s à c e l l e s d u c o m p t e

administratif de 2016 (dernier budget opéré).

D a n s l e s g r a n d e s l i g n e s , e n r e g a r d d e s

communes similaires du département, le poste

de charges (frais généraux, salaires, ...) de

Barbizon est supérieur de 51 % à la moyenne,

dont les frais de personnel qui sont 72 % plus

élevés. Les recettes, quant à elles, sont 51 %

supérieures. En effet Barbizon, de par sa

vocation touristique et culturelle, doit pouvoir

compter sur un effectif lui permettant de faire

vivre le village : nettoyage, entretien de la voirie,

entretien des nombreux bâtiments communaux

(voir P.6), organisation des spectacles, des

manifestations et des expositions, etc.

BUDGET 2017 :

Parangonnage

La plupart des articles des bulletins municipaux

présentant un budget communal font la part

be l le à se s p o ints sa i l lants . Par contre ,

généralement l’exécution du budget de l’année

écoulée est passée sous silence. C’est le compte

administratif qui livre la constatation du résultat

de l’exécution du budget. Il y a un réel intérêt à

comprendre les écarts éventuels existant entre la

prévision et la réalisation. En effet quelle est

l’utilité de petits montants de dépenses s’ils ne

sont pas fidèlement respectés et quelle gloire

peut-on retirer de l’exécution d’un budget où les

dépenses sont outrageusement surévaluées et

les postes de recettes sous-estimés ? Certes, en

comptabilité la règle de prudence doit primer

mais sans excès.

Internet permet d’aller aisément consulter les

sites et les budgets d’autres communes. Il est

recommandé et sain de se livrer à cet exercice de

« benchmarking » budgétaire.

Benchmarking, (référenciation, étalonnage,

parangonnage) : technique de marketing ou de

gestion de la qualité qui consiste à étudier et

analyser les pratiques de gestion, les modes de

fonctionnement d’organisations comparables

afin de s'en inspirer et d'en tirer le meilleur).

Sur les sites officiels, en règle générale les

opérations sont décrites avec une certaine

latence et toujours telles qu’elles sont reportées

par les trésoreries.

Émotion fiscale

Dans un article récent, consacré à Barbizon, paru dans l’hebdomadaire « République de Seine et Marne » il est mentionné : (que) « ... pour compenser la baisse des dotations il FAUDRA augmenter les impôts locaux de 30 % ... » Il convient, bien sûr, de lire : « ... il FAUDRAIT ... ». Aucun maire, ni son conseil, ne prendrait la décision de hausser les impôts de 5 % par an sur la durée de son mandat. Même si c’est en définitive ces dernières années le but caché de gouvernements qui s’ingénient à faire accroire que les communes qui n’augmentent pas leurs impôts dans la même proportion que l ’État diminue ses subventions, sont mal gérées ou offrent trop de services.

Or, il est désormais imposé à la commune le financement de services périscolaires, de nouvelles normes de sécurité (milieu scolaire ou bâtiments publics). L’octroi de la moindre subvention ne peut se faire que sous condition d’études préalables coûteuses. Par exemple l’extension du réseau d’assainissement (tout à l’égout) nécessite une révision du schéma de l’assainissement collectif qui coûte environ 100 000 € pour 300 000 € de travaux.

L I M I N A I R E :Comme vous avez pu le constater, le rythme de nos publications a sensiblement baissé ces der-nières semaines. La raison est simple et tient aux objectifs que nous nous sommes fixés en matière de grands projets dans la perspective de notre agrégation forcée dans la nouvelle Com-munauté de Communes (CC.) décidée par le préfet de Seine-et-Marne. En définitive ce dernier a utilisé la fameuse procédure du « passez-outre » en regard du rejet, par la majorité des commu-nes concernées, du périmètre proposé. De plus, au dernier moment, la CC. est devenue, d’un coup de baguette magique préfectorale, communauté d’agglomération (CA.). Il nous est apparu urgent, alors qu’il est encore temps, de mettre toute notre énergie et nos moyens à effectuer les travaux dont le village a absolument besoin (rue de Fleury, assainissement communal, château d’eau, ...). Il est évident que ce qui semble prioritaire à un village rural tourné vers le tourisme comme le nôtre ne l’est pas forcément pour d’autres ayant des préoccupations et des visions différentes.

Mai 2017, le seuil de la mi-mandat est franchi. Les prochaines éditions de « Au Fait ! » feront le rapprochement entre la somme des promesses électorales et les achèvements de l’actuelle majorité municipale. Nous vous tiendrons au courant de la mise en place de ladite CA., ses élus, ses commissions, son budget. Pour l’heure, celui de Barbizon (quatrième budget annuel du mandat) vient d’être établi. Nous vous invitons à en découvrir les grandes lignes dans ces pages.

« Au Fait ! »

(Compte-rendu de l’activé municipale)

Directeur de la publication :

Philippe Douce (maire de Barbizon)

Comité éditorial :

Charles Petithory (adjoint délégué)

Distribution : par les élus

Impression : Internet

Tirage : 1 000 exemplaires

Dépôt légal : à parution

Mentions légales

Rapport d’activité de la municipalitéNo 5 - P 2

Au Fait ! Mai / juin 2017

village. La commune reverse à l’État de la TVA ( q u ’ e l l e n e r é c u p è r e d ’ a i l l e u r s q u e t r è s partiellement). Elle paie également des impôts fonciers.

Le budget barbizonnais

L o r s d e l ’ é b a u c h e d u b u d g e t 2 0 1 7 , l a municipalité de Barbizon a décidé, tant qu’elle le pourra, de résister et de ne pas faire le jeu d’un e x é c u t i f q u i s ’ e m p l o i e à d i m i n u e r l e s subventions et les dotations pour contraindre les c o n s e i l s c o m m u n a u x à r e p o r t e r s u r l e s Barbizonnais (contribuables locaux) la charge fiscale et par voie de conséquence, à faire endosser à l’équipe municipale le rôle ingrat d’augmenter les taux d’imposition. En se dégageant financièrement de cette manière dans les petites communes, l’État expose, de facto, le maire comme seul élu « à portée d’engueulades », sera-ce, bientôt, son seul rôle ?

Les recettes du budget barbizonnais sont constituées pour : 53 % du produit des taxes locales, 12 % des droits de mutation (voir plus h a u t ) , 1 5 % d e d o t a t i o n g l o b a l e d e fonctionnement (DGF) et à hauteur de 17 % de produits divers ( locat ions immobil ières , répartition des amendes départementales de police...).

Désengagement de l’État

La santé financière susmentionnée a nécessité un effort de gestion important, car, comme déjà signalé, l’État diminue considérablement la DGF qui a t te ignai t 466 600 € en 2010 contre 286 550 € en 2016 et selon les prévisions ne dépassera pas 232 500 € pour 2017, soit une baisse de 50 % en sept ans. Pour se fixer les idées, la baisse de la DGF en 2017 représente 15,80 % du budget annuel 2017 de Barbizon. (pour assurer l’exactitude des comparaisons, ces chiffres sont exprimés en euros constants valeur actuelle).

N’oublions pas non plus que notre village, considéré par l’État comme aisé, contribue au financement de communes qui le sont moins en étant ponctionné par le FPIC. Cette participation en hausse constante depuis 2011 (année où elle était nulle) s’élève à 89 800 € en 2017 ce qui représente 10 % de ce que rapportent les taxes locales à Barbizon. Ainsi, en 2017, la baisse « du pouvoir d’achat » de notre budget due à ces deux o u k a s e s fi n a n c i e r s d e l ’ É t a t r e p r é s e n t e (uniquement pour l’année 2017) 323 900 € (89 800 € + 234 100 €) en regard de la situation équivalente de 2010. Depuis lors, ces ponctions représentent 1,07 million d’euros qui ne sont pas venus nourrir le budget de la commune, soit en moyenne 152 857 € par an.

S’il fallait compenser ce manque à gagner (le vœu de tous les gouvernements qui se sont succédés depuis 2011), il conviendrait de hausser cette année les impôts locaux de 34 %, puisque les taxes foncières et d’habitation rapportent actuellement 951 000 € l’an. En pratiquant de la s o r t e , l e t a u x p a s s e r a i t à 1 2 % c e q u i curieusement correspond au pourcentage moyen national...

Là n’est pas notre objectif.

La dotation globale de fonctionnement, dont on verra qu’elle a fortement baissé, est néanmoins de 69 % au-dessus de la moyenne. La situation des impôts et taxes est également plus favorable à Barbizon, s’établissant à 41 % au-delà de celle des communes de ladite strate. Pourtant les taux (8,90 % pour la taxe d’habitation) apparaissent parmi les plus faibles du département (38 % inférieur au taux moyen).

Ce paradoxe s ‘explique aisément en considérant la valeur locative (base de calcul de la taxe d’habitation) des propriétés et le nombre annuel de mutations (vente de biens immobiliers). Il convient de savoir que la commune perçoit 1,20 % du montant de chaque cession pratiquée dans le v i l lage . En 2016, cet te manne a représenté 11,60 % de nos recettes.

Conclusion

La commune dégage une capacité d’auto-financement ou CAF (recettes - dépenses) de 270 € par habitant, soit 49 % au-dessus de la CAF m o y e n n e o b s e r v é e d a n s l e s c o m m u n e s similaires du département. La capacité de désendettement global du village (incluant les emprunts souscrits pour la réhabilitation de la rue de Fleury et celle du château d’eau) se calcule en années. Elle s’établit à six ans et un trimestre (6,3 ans). Les analystes s ’accordent pour admettre qu’un endettement communal est dit « normal » quand il n’excède pas huit années.

La situation financière de Barbizon peut-être considérée comme bonne.

Autres considérations

Aujourd’hui, ce qui frappe quand on observe la vie des petites communes, c’est le malaise qui règne autour des finances communales. La crise est due à la baisse de la dotation forfaitaire de l’État et pour certaines à l’augmentation de la contribution que versent les communes dites aisées à celles qui le sont moins. Nous avions dans un précédent « Au Fait ! » abordé le sujet de ce FPIC (Fonds nat ional de péréquat ion intercommunal et communal).

L’État par le biais des derniers gouvernements entend insidieusement faire supporter aux impôts communaux les économies qu’il se targue de réaliser sur le budget de l’État. Rappelons, au passage, que contrairement à ce dernier, une commune ne peut s’endetter pour couvrir ses d é p e n s e s d e f o n c t i o n n e m e n t ( c h a r g e s courantes, salaires, …). L’emprunt ne lui est autorisé que pour construire, investir et développer ses équipements.

Le président Macron a même l’intention de supprimer, pour de nombreux foyers fiscaux, la taxe d’habitation qui est l’une des sources de r e v e n u s s t a b l e s a l i m e n t a n t l e s b u d g e t s municipaux. Certes, il parle de compensation pour les communes ; il est possible de penser, avec une pointe d’humour, qu’il nous baissera moins les dotations de l’État, l’année prochaine.

En théorie, une comptabilité budgétaire n’est pas censée dégager des excédents ; en pratique, une bonne gestion communale le nécessite pour assurer les investissements lourds dans le

Euros courants / euros constants

2016 - Execution budgétaire - recettes

Atténuation de charges : 10 000 20 639

Recettes fonctionnementbudget 2016

Budgetprimitif

Compteadministratif

Dotations-subventions-participations :

Produits services et domaine :

Impôts et taxes :

Autres produits (gestion courante) :

Produits financiers :

: 94 700 93 967

1 273 828 1 299 126

277 342 285 975

54 647 54 772

17 774 17 774

Total recettes defonctionnement :

1 748 291 1 793 342

Produits exceptionnels : 20 000 21 089

Résultats : 305 770 354 308

2016 - Execution budgétaire - dépenses

Charges à caractère général : 473 100 418 056

Dépenses fonctionnementbudget 2016

Budgetprimitif

Compteadministratif

Autre charges (gestion courante) :

Charges de personnel

Atténuation de produits :

Charges financières :

Charges exceptionnelles :

: 655 000 637 522

89 747 89 747

244 394 229 743

27 354 23 254

42 673 40 712

Total dépenses defonctionnement :

1 442 521 1 439 034

2017 - Budget de Barbizon - recettes

Atténuation de charges : 10 00020 639

Recettes fonctionnementbudget 2017

Budgetprimitif

Compteadmin - 2016

Dotations-subventions-participations :

Produits services et domaine :

Impôts et taxes :

Autres produits (gestion courante) :

Produits financiers :

: 107 35093 967

1 251 6001 299 126

239 800285 975

54 80054 772

3 60017 774

Total recettes defonctionnement :

1 687 1501 793 342

Produits exceptionnels : 20 00021 089

Résultats : 340 750 354 308

2017 - Budget de Barbizon - dépenses

Charges à caractère général : 465 500418 056

Dépenses fonctionnementbudget 2017

Budgetprimitif

Compteadmin-2016

Autre charges (gestion courante) :

Charges de personnel

Atténuation de produits :

Charges financières :

Charges exceptionnelles :

: 660 000637 522

90 00089 747

170 000229 743

35 30023 254

15 60040 712

Total dépenses defonctionnement :

1 346 4001 439 034

Rapport d’activité de la municipalité No 5 - P 3

Au Fait !Mai / juin 2017

fonctionnement soient excédentaires.

Budget primitif etcompte administratif

Les finances communales sont retracées essentiellement dans deux documents: le budget primitif et le compte administratif. Le budget primitif prévoit les dépenses et les recettes. Le compte administratif constate et témoigne de l’exécution du budget.Plus clairement, le budget primitif n’est qu’une prévision et le compte administratif reflète sa réalisation.

Les tableaux, ci-contre, de part et d’autre de ces pages, affichent la comparaison entre le budget primitif et la réalité en fin de période. Notons que les écarts majeurs sont généralement dus à des facturations tardives de l’année précédente pour les dépenses et à une sous-évaluation volontaire des recettes difficilement prévisibles comme, par exemple, les droits de mutation. Ces derniers correspondent à la taxe de 1,20 % prélevée sur toute cession ou vente de biens immobiliers réalisée dans le village. Pour illustrer cette incertitude, il avait été estimé, lors de la définition du budget primitif de 2016 que ces droits s’établiraient à 176 000 € sur l’année ; la commune a perçu 205 000 €, soit un gain supérieur de 16,50 % à la prévision. Ce bon résultat traduit une reprise nette du marché de l’immobilier à Barbizon qu’il était difficile d’imaginer il y a encore un an.

Exécution budgétaire

L’exécution du budget 2017 se solde par un excédent de fonctionnement de 354 000 € soit 15 % de mieux que prévu. Rappelons que c’est cet excédent de fonctionnement qui sert à payer une p a r t i e d e l ’ i n v e s t i s s e m e n t . S o u l i g n o n s également que s i les dépenses sont bien maîtrisées, il est logique d’obtenir un excédent de fonctionnement à condition d’avoir respecté la règle de prudence qui consiste à légèrement surestimer chaque dépense et au contraire à ne pas gonfler les recettes. Cette pratique doit être menée avec discernement pour ne pas déboucher sur un prélèvement fiscal sur-dimensionné.

Il convient de dégager une capacité d’auto-financement qui permet d’emprunter sans péril pour réaliser le maximum d’investissements nécessaires à la bonne marche de la commune. Travaux et équipements soumis à l’arbitrage en fonction de la nécessité ou de l’urgence. Toute politique, en la matière est sensible aux aléas et doit s’adapter au cours des années.

EN MAI FAIS CE QU’IL

TE.... PLEUT :

Assainissement pluvial

C’est une certitude géographique, Barbizon est un village qui n’est pas traversé par un fleuve, une rivière, un ruisseau, ni même un ru. Pourtant, malgré l’absence de cours d’eau, ces dernières années la Grande Rue, à de nombreuses reprises, a été inondée.

Subventions

Depuis trois ans, les contrats ruraux et triennaux qui permettaient d’obtenir de fortes subventions ont disparu. Le contrat rural offrait la possibilité d e fi n a n c e r u n e o p é r a t i o n ( p l a f o n n é e à 450 000 €) à hauteur de 80 % sur 3 ans. Quant à lui, le contrat triennal de voirie procédait de la même façon pour la voirie. Pour les communes comme la nôtre, n’existe plus que le FER (Fonds d’Équipement Rural) qui subventionne jusqu’à 50 000 € par an un seul projet (ce qui représente le tiers d’un ex-contrat triennal).

Mais, il devrait (conditionnel) réapparaître le contrat rural (émanant du département) autorisant un financement de 370 000 € sur 3 ans, sans année « blanche ». Il était temps !

Vision municipale

D’autre part, si notre optique était d’obtenir une bonne appréciation des sites de notation, il serait opportun de s’en tenir aux dépenses liées aux simples besoins régaliens, de réduire nos coûts de possession (fermetures des salles munici-pales), supprimer les allocations destinées aux associations, annuler les expositions, les spectacles et concerts, les feux d’artifices, ne plus entretenir les réseaux électriques, arrêter l’enfouissement de lignes électriques, oublier le câblage du village en fibre optique, colmater, à la petite semaine, les trous dans les chaussées, se limiter à l’achat de cahiers pour l’école, ne plus planter de fleurs, … Tout ça nous ne le voulons pas non plus pour Barbizon.

Quitte à passer pour les derniers de la classe, n o u s e n t e n d o n s r e d o n n e r d u l u s t r e , d u dynamisme et un esthétisme urbain à la rue de Fleury - sauver notre château d’eau qui menace ruine - pousser à l’installation de la fibre optique, pour disposer des premiers abonnements des Fournisseurs d’Accès à l’Internet (FAI), début 2018 - poursuivre notre animation culturelle - mettre en œuvre un plan de rénovation de la voirie en continu - garder le rythme annuel d’enfouissement des lignes électriques et de changement des lampes en LED.

Le budget

En réalité l’exercice budgétaire est composé de trois budgets : le budget communal principal et les deux budgets annexes de l ’Eau et de l ’Assainissement. Chacun d ’entre-eux se subdivise en deux sections. L’une est appelée budget de fonctionnement. L’autre se nomme le budget d’investissement. Par exemple, pour le b u d g e t p r i n c i p a l l a p a r t i e c o n s a c r é e a u fonctionnement retrace toutes les dépenses d’activité courante : Les charges de personnel et l e s c h a r g e s d e g e s t i o n . C e l l e l i é e à l’investissement comme son nom l’indique inventorie les dépenses d’équipement qui est qualifié d’immatériel (logiciels, études, ...) ou matériel (routes, bâtiments, ...).

I l f a u t t o u j o u r s g a r d e r à l ’ e s p r i t q u e contrairement à l’État, une commune n’a pas la lat itude d’emprunter pour équil ibrer ses d é p e n s e s d e f o n c t i o n n e m e n t . I l e s t p a r conséquent essentie l que les recettes de

2016 - Execution budgétaire - recettes

Virement de section à section : 677 685 0

Recettes investissementsbudget 2016

Budgetprimitif

Compteadministratif

Dotation, fonds divers et réserve :

Subventions d’investissements :

: 345 716 286 146

146 832 50 133

Emprunts nouveaux : 1 317 488 0

Total recettesd’investissements :

2 487 721 336 279

Résultats : 0 -(80 414)

2016 - Exécution budgetaire - dépenses

Solde d’éxecution (report investis.) :

Immobilisations corporelles :

Emprunt - remboursement du capital :

Immobilisations incorporelles :

Total dépensesd’investissements :

:

133 173

121 905

30 555

977 986

2 487 721

0

Dépenses d’investissementsbudget 2016

Budgetprimitif

Compteadministratif

103 174

0

289 905

416 693

Immobilisations en cours : 1 224 600 23 614

2017 - Budget de barbizon - recettes

Virement de section à section :

Emprunts nouveaux :

Dotation, fonds divers et réserve :

Subventions d’investissements :

:

Résultats :

794 878

384 444

243 558

1 200 000

0

0

Recettes investissementsbudget 2017

Budgetprimitif

Compteadministratif

286 146

50 133

0

Total recettesd’investissements :

2 622 880336 279

-(80 414)

2017 - Budget de barbizon - dépenses

Solde d’éxecution (report investissement) :

Immobilisations corporelles :

Emprunt - remboursement du capital :

Immobilisations incorporelles :

:

213 586

153 500

70 555

1 020 986

0

Dépenses d’investissementsbudget 2017

Budgetprimitif

Compteadministratif

103 174

0

289 905

Total dépensesd’investissements :

2 622 880416 693

Immobilisations en cours : 1 164 25323 614

2010

2011

2012

2013

2014

2015

2016

2017

0 25 50 100 150 200 225175 250 275 300 32512575

15

44

67

89

140

180

234

8

20

44

48

90

90

270

188

133

87

52

15

188 Total ponction annuelle

DGF FPIC15 20

(Montants exprimés en milliers d’euros constants - base 2017)

Manque à gagner en regard de 2010 lié aux ponctions de l’État (DGF et FPIC)

Somme des ponctions de l’État ces 7 dernières années = 1 070

324

Comment est financé l’investissement

Les sources de financement de l’investissementd’une commune ne sont pas nombreuses.

- L’excédent du budget de fonctionnement qui est la différence entre recettes et dépenses de fonctionnement

- Le fonds de réversion de la TVA, c’est à dire une partie (15 %) de la TVA payée par la commune sur les investissements de l’année précédente (rappelons qu’une commune paie 20 % de TVA sur les travaux contrairement à un particulier)

- Le produit de la taxe d’aménagement

- Les subventions éventuelles

- l’emprunt

Rapport d’activité de la municipalitéNo 5 - P 4

Au Fait ! Mai / juin 2017

Ledit cumul a souvent atteint 80 à 120 mm / m² sur le Sud de l'Île-de-France, soit l'équivalent de trois mois de précipitations (118,2 mm / m² à Fontainebleau), ce qui représente des volumes de précipitations relativement exceptionnels car, selon Météo-France, sur ces départements, ils ne sont atteints en moyenne tous les 10 à 50 ans, voire localement, que tous les 100 ans.

Les cours d'eau des régions concernées ont évacué une grande partie des précipitations, provoquant des crues centennales sur le bassin du Loing (4,63 m) atteints à Nemours dans la nuit du 1er au 2 juin, devant les 4,25 m relevés l o r s d e l a m é m o r a b l e c r u e d e 1 9 1 0 . C e débordement des cours d’eau, notamment de la Seine dans le département de Seine-et-Marne et s e s v o i s i n s a c a u s é d e s d o m m a g e s t r è s importants dans les communes de Bagneaux-sous-Loing, Le Châtelet-en-Brie, Moret-sur-L o i n g , S o u p p e s - s u r - L o i n g , N e m o u r s , Montargis, Melun, Saint-Fargeau-Ponthierry et Longjumeau qui figurent parmi les p lus sinistrées.

Situation à Barbizon

Bien entendu Barbizon n’a pas échappé à ces fortes pluies. Elles se sont abattues pendant cinq jours entre le 28 mai et le 1er juin 2016 et ont déversé, sur cinq jours, 75 mm / m² d’eau sur la commune (deuxième plus forte précipitation de c e s 2 0 d e r n i è r e s a n n é e s ) . L a m o y e n n e quotidienne (sur 20 ans) s’établit à 1,81 mm / m² et celle d’un mois de mai complet à 62,8 mm / m². Par conséquent en cinq jours, il a plu beaucoup plus qu’un mois de mai ordinaire.

Dans la journée du 30 mai, à la période de pluie quasi-ininterrompue, s’est ajoutée un grain record (le neuvième en intensité depuis 1997). Il e s t t o m b é e n u n e d o u z a i n e d ’ h e u r e s 37,2 mm / m², soit 76 % d’un mois de mai moyen. Ces quantités sont certes importantes au vu des chiffres, mais ne peuvent prétendre à elles seules un début d’inondation dans la Grande Rue. L‘élément déclenchant est toujours l’intensité (volume d’eau dans un court laps de temps). Vers 5h00, les capteurs installés dans notre dispositif d’évacuation pluviale ont enregistré un pic d’un peu plus de 700 m3 d’eau arrivant dans les bâches pendant une durée d’environ une heure et quart (d’ordinaire, le volume s’établit à environ 180 m3 d’eau sur 24 heures). Pourtant la Grande Rue n’a pas été inondée, alors que localement, la RN 607 a été coupée pendant plusieurs heures à Chailly-en-Bière (au niveau de notre échangeur, ce qui de mémoire de Barbizonnais, n’était jamais arrivé), que Faÿ, Cély-en-Bière et un grand nombre de villages ou hameaux voisins étaient sous les eaux. Dans Barbizon, il y eu des incidents relativement mineurs : la chaussée de la rue de la Belle-Marie (alors en travaux) s’est affaissée, sur plusieurs mètres, de grandes flaques ont légèrement gêné le trafic sur certains axes comme l’avenue Charles de Gaulle, ...

Bien entendu, l’eau collectée a été dirigée vers le champ d’épandage dans l’Ouest lointain du village où elle s’est répartie, sur une large surface. Les terres mirent plusieurs semaines pour ressuyer.

Lors de ces épisodes ponctuels les riverains ont eu la mauvaise surprise de voir leurs caves submergées, l’eau atteindre près d’un mètre au dessus de la chaussée et les voitures en stationnement dégradées par un flux constitué d’un mélange d’eau pluviale et d’eau usée. Ces désagréments ont, bien entendu, fortement marqué les esprits (2005, 2013, 2014).

Ce phénomène était d’autant plus étonnant que la voirie de la Grande Rue a été refaite ; signe qu’apparemment l ’assainissement sous la chaussée n’a pas fait l’objet d’un quelconque contrôle (comme il est pratiqué, aujourd’hui, pour la réhabilitation de la rue de Fleury). Aussi, dès la mi-2014 une série d’études a été menée sur plusieurs mois pour essayer de comprendre le phénomène. Pour faire simple, quatre causes principales ont été décelées et des solutions appropriées adoptées.

La première tenait au fait qu’un grand nombre de canalisations était plus ou moins obstrué par les résidus des travaux de la réfection de la Grande Rue. Un débouchage général a été pratiqué.

La deuxième concernait les pompes des bâches (grands réservoirs tampons destinés au stockage d ’urgence des eaux p luv ia les) qui ne se déclenchaient pas au moment optimal et n’arrivaient plus, par la suite, à résorber la masse d’eau. Leur réglage récent semble, désormais, être adéquat.

La troisième était que la Grande Rue servait de déversoir aux quartiers nord du village. Un plan de création d’une dizaine de puisards et une campagne de curage de ceux qui existaient ont réduit ces écoulements ou ruissellements vers l’artère principale. La commune comptait 65 puisards en 2011, elle est désormais dotée de 87 puisards actifs (+ 34 %), complétés d’avaloirs idoines.

Le quatrième était l ié au non-respect du règlement voulant que l’eau pluviale reste « à la parcelle » de chaque propriété (puisards individuels). Une vérification a été conduite (test à la fumée).

Il ne restait plus, après ces actions, que d’attendre un ou plusieurs épisodes pluvieux importants pour tester l ’efficacité de ces opérations. Notre réseau et les équipements principaux ont reçu des appareils de mesure et d ’ e n r e g i s t r e m e n t d e s t i n é s à v é r i fi e r l a pertinence des solutions mises en œuvre.

Intempéries du 29 mai 2016

Fin mai 2016, une grande partie de la France a été touchée par des précipitations abondantes et concentrées sur quelques jours. Résultat : p l u s i e u r s d é p a r t e m e n t s o n t c o n n u d e s inondations importantes, notamment en région parisienne où l'imperméabilisation croissante aggrave les risques. Ce mois se classe au premier rang des printemps les plus pluvieux en Île-de-France, en Bourgogne, en Picardie et dans le Centre depuis près de 60 ans (période 1959-2016) ! Un excédent supérieur à 70 % et l'équivalent de 3 mois de précipitations en seulement... 4 jours ont été constatés, lors de cet épisode exceptionnel.

Fin mai 2016 - Volumes de précipitations et de flux

Pré

cip

ita

tio

ns

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ml p

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25

20

15

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250

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Samedi28 mai

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3

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60

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1 4

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45

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319

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ml / m

²

12

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ml / m

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ml / m

²

5,8

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²

13

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ml / m

²

dimanche29 mai

lundi30 mai

mardi31 mai

mercredi1er juin

Le volume moyen de pluie quotidienne d’un mois de mai est de 1,87 ml / m²

D’ordinaire le système d’assainissement traite environ 180 m3 par jour.

Il faut plusieurs jours après un fort épisode de pluie pour évacuer l’eau.

2016 Barbizon

Répartition mensuelle moyenne d’un volume théorique de pluie de 1 m3(1 000 litres) sur un an, pour l’ensemble de la commune de Barbizon.

Colonne de droite, pluviométrie réelle (ml / m²) quotidienne,moyenne, selon les mois (source : Météo-France - sur 20 ans).

Quel est le mois le plus pluvieux à Barbizon ?

4

5

6

7

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3

2

1

Barbizon

9

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juin

octobre

novembre

août

septembre

décembre

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juillet

janvier

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février

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84

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93

99

102

75

73

67

69

1,69

1,68

1,64

1,61

1,48

1,77

1,87

1,94

1,47

1,42

1,30

1,41

S Total 1000

M Moyenne 83 1,61

Moyenne Moyenne

litres ml / m² / jour(1997 - 2017)

Travaux réalisés et payés en 2016

rénovation de l’épicerie 46 837,61 €

maintenance du groupe scolaire 11 706,00 €

entretien Espace culturel Jacquet 2 665,13 €

réparations au Mille-Club 1 730,35 €

amélioration éclairage public 96 509,11 €

réhabilitation voirie et parkings 51 225,90 €

créations et curages des puisards 12 578,40 €

installation panneau électronique

acquisition tentes (évènements)

refonte de la téléphonie mairie

15 010,61 €

11 252,00 €

8 426,84 €

réalisation études (rue de Fleury) 23 614,32 €

Voirie Bâtiment Équipementconseil

Rapport d’activité de la municipalité No 5 - P 5

Au Fait !Mai / juin 2017

végétaux, les tableaux de financement, etc. Les riverains, mais aussi tous les Barbizonnais intéressés ont été conviés à la visiter et un cahier de remarques permet à chacun d'y laisser ses observations et ses suggestions.

Réhabiliter et embellir une voie comme la rue de Fleury, ce n'est pas s'attaquer à de simples travaux de voirie. Tout le monde peut aisément constater que les réseaux aériens et leurs supports qui s 'y trouvent , accentuent la dépréciation générale du lieu et ajoutent à sa perte de charme. L'enfouissement des lignes est, bien entendu, indispensable ainsi que le remplacement de l'ensemble des lampadaires qui assurent l'éclairage de cette artère. Le coût de l’enfouissement des réseaux s’établit à cent quatre-vingt-douze mille euros (192 000 €).

Ce serait également un non-sens que d'ignorer, lors de cette entreprise de rénovation, les canalisations souterraines qui, elles-aussi, nécessitent une remise en état. La surprise majeure des premiers travaux d’excavation, fut de trouver des canalisations importantes qui ne figuraient dans aucun document et dont la vocation n’est pas encore clairement établie, si ce n’est que le dispositif auquel elles appartenaient a été abandonné. L’assainissement représente un investissement de deux cent trente neuf mille euros (239 000 €).

Les travaux de voirie en tant que tels (dépavage, r e n f o r c e m e n t d u s o u s - s o l , p a v a g e , aménagement des rives, …) s’élèvent à huit cent quatre-vingt-dix sept mille euros (897 000 €).

Pour décrire à grands traits la physionomie que devrait prendre la rue de Fleury, il convient d'imaginer une chaussée constituée de pavés de grès neufs, éclatés, présentant une surface plane tout comme le sera l’aire de roulement. Cette caractéristique permettra de diminuer le bruit des pneumatiques des véhicules en contact avec ce sol. De chaque côté de la chaussée des trottoirs, des espaces et des murs qui seront « v é g é t a l i s é s » e t d e s e m p l a c e m e n t s d e stationnement matérialisés. Le revêtement desdits trottoirs sera lisse, en dur et les entrées de propriétés ou de garage pavées (réutilisation des matériaux actuels). Cette combinaison d ' e s p a c e d e c i r c u l a t i o n a u t o m o b i l e , d e stationnements et de voies pour les piétons induit la mise en sens unique de cette rue (les rues Révillon et du Couvent, nécessairement incluses dans le dispositif garderont leur circulation à double sens).

Bien que rénovée dans l’esprit du vieux Barbizon, le modernisme discret ne sera pas absent (arrosage automatique de la plupart des zones « végétalisées » et l’utilisation d’un éclairage économique et optimisé utilisant des led.

Le souhait de la municipalité est d'étendre le cœur actif de Barbizon (commerces, restaurants, galeries d'art, …). À brève échéance, cette vision suggère un aménagement du carrefour de la D64 (avenue du général de Gaulle, avenue du 23 août, Grande Rue et rue de Fleury).

Coûts et financements

Le montant total de ce projet est de un million

Pluviométrie barbizonnaise

À ces actions correctives, il a été procédé à une é t u d e s t a t i s t i q u e p o u r c o m p r e n d r e l a p luviométr ie re lat ive à notre commune. Barbizon reçoit en moyenne 3 100 m3 de pluie par an (3,1 millions de litres d’eau).

Vous trouverez en illustration quelques tableaux de synthèse qui donnent une vision inattendue de la pluie sur le village.

Conclusion

Tout comme une hirondelle ne fait pas le printemps, cette heureuse issue n’est, pour le moment, qu’un encouragement qui nous incite à poursuivre les actions engagées depuis 2014. De plus, ce chantier est loin d’avoir coûté les trois millions et demi d’euros estimés par tous les cabinets spécialisés après diverses études menées depuis une dizaine d’années.

RUE DE FLEURY :

Le projet

La rue de Fleury, dans le prolongement vers le couchant de la Grande Rue, allant du CD (avenues Charles de Gaulle et du 23 Août) à la rue du Couvent et plus loin à la station d’épuration.

Sa dernière réfection date des années 1970 (plus de quarante ans quand-même). Pour ses riverains, sa pratique quotidienne confine à une sorte de torture, car son état est inacceptable.

C’est l'une des plus vieilles artères de Barbizon, à ce titre elle est classée monument historique, mais, son état actuel n'est pas digne dudit classement et surtout fort éloigné de l'image générale que souhaite véhiculer Barbizon pour préserver « sa légende ».

Promesse électorale

Fin 2013, dès l'entrée en campagne, pour les dernières municipales, de l'actuelle équipe municipale, promesse fut faite d'y remédier pour donner à Barbizon un embellissement, un cachet que le village mérite en tant que lieu chargé d'Histoire et par extension de commune à vocation touristique. Un tel projet est une aventure complexe (financement dont la chasse aux subventions et la souscription d’un emprunt, conception générale, choix du maître d’œuvre et d e s p r e s t a t a i r e s , s a n s o u b l i e r c e l u i d e s matériaux, des végétaux et des équipements, simulation de trafic, obtention des diverses autorisations administratives, validation par l ’ a r c h i t e c t e d e s M o n u m e n t s d e F r a n c e , information des riverains et des Barbizonnais, ...). À l’époque, le pari fou était de démarrer les travaux en 2017. La gageure a été gagnée, mais de peu, car le premier coup de pioche a été donné juste avant Noël 2016.

Conduite du projet

L’ensemble de cette démarche fait l’objet depuis plusieurs mois d'une exposition permanente en mairie où sont présentés : les plans, les photo-montages, les échantillons de matériaux ou de

Barb izonV i l l a g e d e s p e i n t re s

COMMUNE COUVERTE PAR UN

SYSTÈME DE VIDÉOPROTECTION

articles L.251-1 à L.255-1 et R.251-1 à R.253-4

Mairie : 13, Grande Rue - 77630 BARBIZON - téléphone : 01 60 66 41 92

Code de la Sécurité Intérieure :

Le droit d’accès aux images s’exerce auprès du maire

Vidéoprotection

Depuis plusieurs semaines, caméra après caméra, le système de vidéoprotection du projet « Argos » a été mis progressivement en œuvre. Les derniers réglages furent de prendre en compte le feuillage des arbres qui n’existait pas lors de l’installation des équipements cet hiver.

Le samedi 2 septembre 2017 (11h), salle Marc Jacquet , la municipalité invite les Barbizonnais à découvrir les images provenant des vingt caméras installées dans le village .

Ci-dessus, panneau d’avertissement légal qui a été affiché à chaque entrée de la commune.

Notez que ces journées de forte pluie sont quasiment toutescomprises entre la fin mai et la fin août. Ce sont généralementde violentes précipitations d’orages (phénomène de vague).

Records de précipitation (source : Météo-France - sur 20 ans).

Records de pluie en 24 heures à Barbizon

Barbizon

19 juillet 2011

30 mai 2000

6 juillet 2001

3 juillet 2007

27 août 2015

4 juin 2011

15 août 2010

19 juin 2013

30 mai 2016

20 octobre 2001

7 août 2007

7 juillet 2012

40,3

40,0

39,8

38,4

38,3

41,2

41,6

45,9

37,2

33,4

32,2

33,3

ml / m² / 24h00

4

5

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12

11

Dates

Là encore les journées de fortes pluies sont quasiment toutescomprises entre la fin mai et la fin septembre. Ces épisodes sur

5 jours consécutifs saturent les sols et favorisent les inondations.La date figurant ci-dessus est celle de la journée la plus arrosée.

Records de précipitation (source : Météo-France - sur 20 ans).

Records de pluie sur 5 jours à Barbizon

Barbizon ml / m² / 5JDates

2 juillet 2000

19 juin 2013

16 septembre 2015

7 juillet 2012

15 août 2010

6 juillet 2001

30 mai 2016

19 juillet 2011

12 janvier 2004

19 septembre 2001

4 juin 2011

27 août 2015

56,8

56,5

56,3

56,1

55,3

66,0

75,0

83,0

54,4

53,0

52,1

52,4

4

5

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7

8

3

2

1

9

10

12

11

Rapport d’activité de la municipalitéNo 5 - P 6

Au Fait ! Mai / juin 2017

nombreuses fissures, l’eau potable qui ruisselle et contribue à la dégradation du bâtiment.

Barbizon va perdre dans les mois qui viennent la gestion de « son eau » car de par la loi Notré, la c o m p é t e n c e d o i t ê t r e t r a n s f é r é e à l a communauté d’agglomération du Pays de Fontainebleau. Cette opération est , bien entendu, accompagnée, en contrepartie, par le versement de plus de 200 000 € du budget annuel, annexe de l’Eau (section investissement) prévu pour assurer le service de l’eau dans la commune.

Notre crainte, puisque pendant des années l’entretien de notre château d’eau a été le cadet des soucis des élus de Barbizon, est que le sujet passionne encore moins ou ne constitue pas la priorité des dizaines de milliers d’habitants de ladite communauté d’agglomération ; « loin des yeux, loin du cœur... ».

Procédures et financement

Un appel d’offres a été lancé fin 2016 et un prestataire a été retenu pour mener à bien la réfection complète de l’édifice, 66 ans, après la dernière réhabilitation qui date de l’année 1951. Le coût de l’opération s’établit à 370 000 €. Son financement est assuré par diverses subventions et un emprunt de 300 000 €, souscrit sur 20 ans au taux de 1,32 %.

Cette opération financière représente une con-tribution, pour chaque Barbizonnais, de 1,05 € mensuel, jusqu’au jour du transfert de la compé-tence « Eau » à la communauté d’agglomération qui entraînera, de facto, celui de l’emprunt.

Antennes de téléphonie mobile

Le château d ’eau porte les antennes des différents opérateurs de téléphonie mobile. Depuis des années, la qualité de ce réseau laisse fortement à désirer sur la quasi-totalité du territoire de la commune.

Profitant des travaux, il a été demandé auxdits opérateurs de modifier leurs installations, pour améliorer le service.

ONF (Office National des Forêts)

Le château d’eau, bien de Barbizon, est construit sur une parcelle louée à l’ONF par la commune.

Cet organisme exige ces dernières années que la commune lui reverse une partie des loyers payés à Barbizon par les différents opérateurs pour fixer leurs antennes.

La municipalité a entrepris les démarches nécessaires pour contester ces prétentions, jugées abusives.

trois cent soixante six mille euros (1 366 000 €). Son financement est assuré par l’obtention de subventions et la souscription d’un emprunt.

Cet investissement est à mettre en regard de l’excédent budgétaire de plus de 800 000 € que la rigoureuse gestion de la commune a permis de constituer ces trois dernières années : baisse d r a s t i q u e d u c o û t d e s s e r v i c e s , d e s vidéocommunications, de l’informatique, sans perte de productivité (bien au contraire), strict encadrement des achats et services (exemple : acquisition des illuminations de Noël, …).

La décomposition du mode de financement de l ’opération s ’établit de la façon suivante (grandes masses) : subventions diverses : Parc Naturel Régional du Gâtinais (PNRG), Syndicat départemental de l’Énergie de Seine-et-Marne (SDESM), Fonds d’Équipement Rural (FER) du département de Seine-et-Marne, Agence de l’Eau, … pour 145 000 € (10,61 % du coût du projet). À noter également le versement par notre député, Monsieur Jean-Claude Mignon, de 30 000 € provenant de sa réserve parlementaire. Deux emprunts bancaires fixes (non toxiques) pour un montant total de 1 200 000 € ont été souscrits (voir détail ci-contre). Ce projet de réhabilitation est élaboré dans la perspective de ne pas avoir à reprendre de travaux de réfection complète, au minimum, avant un demi-siècle. C e t e m p r u n t n ’ a q u e p e u d ’ e ff e t s u r l e s générations futures qui, de toute façon, seront l e s p r i n c i p a l e s u t i l i s a t r i c e s d e c e t investissement. Aujourd’hui les taux sont bas et les mensualités pèseront peu sur le budget communal.

Ces travaux seront menés en une seule tranche pour éviter trop de désagréments pour les riverains. Le jalonnement des différentes étapes de ce chantier a été établi en fonction des dates de déclenchement des diverses subventions. Cette optimisation permettra, ainsi à cheval sur deux années (fin 2016 et 2017) de bénéficier du maximum d’aides possibles.

Pour doper la « réaction de l’Administration » et ainsi déclencher rapidement les travaux, rien ne vaut un dossier technique incluant des vues d’anticipation et un plan d’architecte de haute qualité. Aussi nous aimerions remercier l’archi-tecte barbizonnais Marcel Boetas qui, bénévo-lement, nous a apporté son concours et fourni ce plan très détaillé, d’ailleurs, repris dans sa quasi-intégralité par le maître d’œuvre retenu.

Château d’eau :

Rénovation impérative

Il est des dossiers qui auraient dû être traités depuis des lustres. Notre château d’eau est de ceux-ci. Il est vrai qu’il est discret, noyé dans le la forêt au Sud-Est du village. Cet environnement sylvestre cachait la misère de l’édifice. Depuis plusieurs années le béton de la structure se délite et tombe au pied de la tour. Après une inspection générale menée à l’automne 2016, il apparaît que la cuve (volume de 600 m3) elle-même est en grande souffrance, laissant échapper, en de

Comme vous avez sûrement pu le constater, nos c a r r e f o u r s e t c e r t a i n s e n d r o i t s d i t s « stratégiques » ont reçu les panneaux de la nouvelle signalétique du village.

Cet équipement est plus en adéquation avec nos impératifs touristiques. Au fur et à mesure des besoins, les plaques de rue seront, elles-aussi, remplacées (voir ci-dessous).

Signalétique urbaine

Emprunts rue de FleuryLa municipalité vient de souscrire, auprès de la Caisse d’Épargne IDF, trois emprunts pour financer les travaux en cours :

Le premier de 300 000 € destiné à la réfection du château d’eau (voir les détails ci-contre).

I l a é té également levé des crédi ts pour permettre de mener à bien la réhabilitation de la rue de Fleury.

Le second s’élève à 700 000 € d’une durée de 20 ans (taux fixe 1,32 %).

Le troisième d’un montant de 500 000 € souscrit pour 25 ans au taux constant de 1,44 %.

Les vingt premières années le coût men-suel sera de 4,06 € par Barbizonnais et de la vingt-et-unième à la vingt-cinquième année (5 ans) il passera à 1,52 €.

Patrimoine immobilier de la commune

En

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017)

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Exemples : Mairie (G 6) - école (E 4) - château d’eau et antennes (H 5) - pharmacie (F 4) ...