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BIBLIOTHEQUE ALPHA Sept Grandes Enigmes Par le Pr. Francis Dessart Président d’honneur d’ALPHA INTERNATIONAL

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Sept Grandes Enigmes

Par le Pr. Francis Dessart Président d’honneur d’ALPHA INTERNATIONAL

Sept Grandes Enigmes de l’Histoire

par le Professeur Francis Dessart

président d’honneur d’Alpha International

Une énigme est une recherche et une aventure. C’est la poursuite d’un objectif parfois difficile, parfois impossible à atteindre. L’histoire et la mythologie sont pleines de récits de cette sorte. Il y a eu Jason en quête de la Toison d’Or. Il y a eu Galaad à la recherche du Graal ; il y a eu les Conquistadores et l’Eldorado ; il y a eu une génération d’explorateurs recherchant les sources du Nil. De telles énigmes peuvent-elles encore exister dans notre monde moderne ? La réponse est évidemment oui. C’est pourquoi nous vous soumettons ci-après 7 des plus grandes énigmes de notre époque. 1. L’ATLANTIDE La recherche de ce continent perdu a commencé avec le philosophe grec Platon. Vers 350 avant Jésus-Christ, Platon, dans ses écrits, parla d’une grande civilisation qui se développa sur un continent appelé Atlantide. Il nous dit que cela se passait bien avant son époque et que ce continent s’était enfoncé dans la mer à la suite d’un gigantesque cataclysme. Seule source d’information, il ne se montre malheureusement pas fort prévis quant à l’emplacement du dit continent. En effet, il se contenta de nous dire qu’il se trouvait quelque part « au-delà des colonnes d’Hercule », ancien nom qui désignait le détroit de Gibraltar.

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Mais, ceci signifie aussi que l’Atlantide –au cas où le continent aurait

existé- se serait trouvé dans l’Atlantique. Aussi, et depuis lors, au cours des siècles, l’Atlantide a été « localisé » en de nombreux endroits : depuis les côtes de l’Espagne, jusqu’à la mer du Nord. On a même avancé que l’Amérique n’était rien d’autre que cette fameuse Atlantide. Le médium américain Edgard Cayce prétendit que l’Atlantide se trouvait prés de l’île de Bimini dans les Bahamas et que le continent immergé referait surface. Et, effectivement, vingt ans après sa prédiction, on a découvert, à l’endroit précis désigné, des ruines et des fondements de construction qui sont attribués à l’Atlantide. Mieux, il est constaté que cette partie de fond marin se soulève graduellement. Or, il est des archéologues professionnels qui traitent de telles déclarations avec le plus profond des mépris. Nous savons cependant ce qu’il convient de penser de ces scientistes obtus, matérialistes et jaloux de surcroît qui ne peuvent admettre que la vérité –ou partie de vérité- ne provienne pas d’eux-mêmes ou de leurs écoles respectives. A l’inverse, nous ne voulons donner crédit ou corroborer les âneries et les illusions infantiles des simples d’esprit ou illuminés de tous genres, faux prophètes ou faux messies ; nous ne désirons non plus croire, ni faire croire, ce qu’une certaine littérature diffuse périodiquement sur le marché à l’attention de ceux qui, à l’affût du mystère et de l’extraordinaire, trop simplistes gobent n’importe quoi de n’importe qui et sont incapables de faire la part des choses.

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Platon

Nous n’avançons donc pas que la prédiction de « Bimini » de Cayce constituait la vérité, mais bien qu’elle contient une partie de cette vérité tant recherchée et surtout… convoitée. Comme preuve nous nous tournerons vers Cayce lui-même :

1- Il n’a jamais affirmé qu’il s’agissait de l’entière vérité, 2- Une seconde déclaration, prise elle tout à fait au sérieux et parlant aussi de

l’Atlantide annonce que sa découverte eut lieu dans la décennie de 1960, dans la mer Egée, non loin de la patrie de Platon. Il s’agirait de l’île de Santorin qui reposait sur une énorme poche souterraine remplie de lave.

A une certaine époque, entre 1480 et 1450 av J.C., il y eut une irruption

volcanique et la poche se vida ce qui provoqua l’engloutissement d’une grande partie de l’île. Il n’en reste plus maintenant que trois parcelles dont la plus grande est celle de Thera.

Au cours des fouilles qui s’effectuèrent dans les années 60, on constata

que Thera avait bien été habitée autrefois par les Minoens qui formaient un peuple hautement civilisé, principalement installé dans l’île de Crète, à environ 100 kilomètres de Santorin.

C’est l’éruption volcanique qui avait chassé les Minoens de Thera et les

ruines –bien conservées- que l’on découvre actuellement, constituent une des plus importantes découvertes archéologiques de notre siècle…

…Ce qui n’empêche pas une petit problème de se poser : la civilisation

découverte sur Santorin n’est ni aussi ancienne, ni aussi importante, ni aussi avancée que le disait Platon. D’où, de nombreux archéologues classiques (ceux qui veulent à tout prix donner des réponses rationnelles et définitives) sont convaincus que c’est l’esprit poétique du philosophe qui a « quelque peu » déformé les faits.

Quelle importance puisque eux déforment bien les dates ! Mais, et heureusement, cette explication ne contente pas tout le monde.

D’autres continuent donc, tout comme depuis des milliers d’années, à rechercher l’Atlantide.

2. L’ARCHE DE NOE

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« Le septième mois, le dix-septième jour du mois, l’Arche s’arrêta sur les

montagnes d’Ararat ». C’est là tout ce que nous dit la Bible sur l’endroit où s’est posée l’Arche de Noé. Aux temps bibliques, le terme Ararat désignait une vaste région englobant des parties des territoires actuels de la Turquie, de l’Iran, de l’Irak et de la Russie. Et, il y a beaucoup de montagnes dans cette région. Cependant, comme une tradition particulière s’attache à l’actuel mont Ararat, c’est sur ce pic, qui majestueusement se dresse à 5.165 mètres d’altitude au-dessus des plaines d’Anatolie, que se sont concentrées les recherches. Nombreux sont les archéologues qui estiment que, même si l’histoire de l’arche est véridique, un bateau de bois n’aurait pu subsister jusqu’à aujourd’hui. Néanmoins, des expéditions au mont Ararat sont régulièrement organisées. Il y a eu d’abord les membres de la Société Biblique Américaine. En ce qui les concerne, arche se dit « ark » en anglais, il furent baptisés les « arkéologues », terme qu’ils adoptèrent. En 1916, une expédition russe crut avoir trouvé les restes de l’arche, mais les rapports étaient si confus qu’ils ne purent être confirmés. Des photographies de l’arche –ou d’autre chose- prises par un américain, survolant le mont Ararat en 1953 à bord d’un hélicoptère, ont fait l’objet de pas mal de spéculations. Beaucoup de personnes prétendent les avoir vues, mais celui qui les prit mourut en 1962 et… on ne retrouva jamais les fameuses photos. On prétend aussi qu’un satellite sur orbite aurait photographié une « anomalie », quelque chose d’étrange, sur le mont Ararat en 1974. Certains croient qu’il pourrait s’agir de l’Arche, mais on n’a pas encore pu le prouver. La « preuve » probablement la plus controversée réside en un morceau de bois pétrifié, découvert en 1955 par Fernand Navarra.

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L’Arche de Noé

Celui-ci était convaincu qu’il s’agissait d’un morceau de l’Arche. Un laboratoire, par la technique de la datation au carbone, détermina que ce bois était vieux de 5.000 ans, donc assez vieux pour provenir de l’Arche. Mais, d’autres laboratoires estimèrent qu’il n’avait guère plus de 1.200 à 1.400 ans. Actuellement, le gouvernement turc décourage les expéditions étrangères au mont Ararat, celui-ci se trouvant au sein d’une région politiquement névralgique. Il ne fait cependant aucun doute que « dès les restrictions levées » les « arkéologues » se remettront en route. 3. LE MONSTRE DU LOCH NESS Une des énigmes les plus chaudes restant, est sans nul doute celle du monstre du Loch Ness. Les légendes, selon lesquelles une énorme bête inconnue vit dans les eaux sombres de ce lac d’Ecosse, existent depuis des siècles. Le monde cependant n’en entendit parler que vers 1930. Et, dès ce moment,…. très bizarrement, il y eut par de nombreux témoins dignes de foi, une série d’observations, plus spectaculaires les unes que les autres, d’un « quelque chose » inconnu. En 1933, un chirurgien de Londres qui passait ses vacances en Ecosse, prit une photo de ce qui semble être un long cou et une petite tête appartenant à une créature inconnue. Depuis lors, les recherches ont eu des hauts et des bas. Les observations se poursuivirent mais il y eut plus aucune photo jusqu’en 1960., lorsqu’on filma brièvement ce qu’on crut être le monstre. Cinq ans plus tard, des experts de la photographie de la Royal Air Force examinèrent le film en question et conclurent qu’il révélait probablement un être vivant qui pouvait avoir jusqu’à 30 mètres de long. Cette déclaration ne manqua pas d’attirer de nombreux curieux vers le Loch Ness et, s’il y eut d’autres photos, rien de concluant n’en sortit. Si le monstre du Loch Ness existe, il est certain qu’il ne pousse que rarement la tête au-dessus de l’eau. Toutes les tentatives pour le photographier sous l’eau ont été réduites à néant par la turbidité du lac.

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Des tentatives d’utilisation de petits sous-marins dans le lac échouèrent également, le sonar donnait des échos étranges et ambigus.

En 1972, une caméra sous-marine perfectionnée prit une photo d’un objet en forme de nageoire. En 1975, on utilisa le meilleur matériel de photographie sous-marine et deux photos importantes furent prises. L’une d’elles montre un gros plan de ce qui pourrait être la tête d’un animal inconnu ; l’autre, ce qui pourrait être la tête, le cou et le corps.

Afin de pouvoir mieux les discerner, ces photos ont été renforcées grâce à un traitement par ordinateur. Le système employé est celui qui est utilisé pour les transmissions photos par de nombreuses sondes spatiales. Les résultats obtenus ont fait renaître l’intérêt pour le monstre du Loch Ness. En effet, des savants aussi respectables que le Dr Alfred W. Compton, biologiste à Harvard, estiment que la photo prouve « à suffisance l’existence d’un grand animal aquatique ». Le Dr. Roy P. Mackal, biologiste, est quant à lui convaincu qu’il existe dans le lac un animal inconnu, probablement un reptile préhistorique. 4. LE YETI Il pourrait exister une ou des créatures que nous avons baptisées « Grand Pied », Abominable Homme des Neiges, Yéti ou Sasquatchor. Mais, quel que soit son nom, grâce à ses caractéristiques, nous pouvons l’identifier.

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Elle est sauvage, velue, très puissante, vit dans des endroits montagneux

ou désertiques et est très proche de l’homme. Les recherches modernes remontent à 1925. Un photographe de l’expédition royale de photographie géographique dans l’Himalaya, aperçut dans les montagnes du Sikkim, une silhouette qu’il prit pour un des membres de l’expédition. Vingt six ans plus tard, l’alpiniste britannique Eric Shipton photographia ce qui paraissait être de grandes empreintes d’un pied de singe dans la neige sur les pentes du Menlugtse dans l’Himalaya. De nombreuses observations du genre furent signalées à l’époque.

Représentation du Yéti

En 1969, sir Edmund Hillary, vainqueur de l’Everest, organisa une grande expédition dans l’Himalaya et ce pour tenter de retrouver l’Abominable Homme des Neiges. Mais, Hillary ne trouva rien et rentra persuadé que cette créature n’existait pas. Cependant, des rumeurs relatives à une créature similaire dans les montagnes du nord de la Californie, de l’Etat de Washington et du Canada occidental, circulaient de plus en plus fréquemment. Dans ces régions, cette créature fut plus communément appelée « Grand-Pied », à cause des énormes empreintes de pied quelle laissait.

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En octobre 1967, Roger Patterson et Bob Gimlin, deux chasseurs de monstre, photographièrent ce qu’ils décrivirent comme un bipède velu de plus de deux mètres, parcourant les bois d’une région sauvage au nord-ouest d’Eureka, en Californie. Les savants qui étudièrent le film furent prudents. John Napier, spécialiste des primates de la Smithsonian Institution se contenta de déclarer : « Je n’ai pas pu distinguer la fermeture éclair et je ne le peux toujours pas ! » Qu’il soit équivoque ou non, le film de Patterson et Gimlin a éveillé un intérêt considérable pour « Grand-Pied » qui, en Amérique, est devenu presque aussi célèbre que son cousin asiatique. Actuellement, des histoires concernant des créatures similaires ont été signalées en Floride et dans le Wisconsin. Des expéditions importantes sont toujours organisées en Californie. Si elles n’ont donné jusqu’à présent aucune preuve spectaculaire, les chercheurs sont néanmoins optimistes. 5. OAK ISLAND Oak Island, une petite île de la baie de Mahone, au large de la côte de Nouvelle-écosse, est le site de recherches qui seront probablement les plus décevantes des temps modernes. On raconte qu’un trésor serait caché dans l’île et, depuis 200 ans, des gens prétendent savoir où ce trésor est enterré. Il est cependant si adroitement protégé, que toutes les tentatives en vue de le récupérer ont été vouées à l’échec le plus total.

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Ces recherches commencent en 1795, lorsque Daniel Mc. Ginnis, alors âgé de 16 ans découvre la preuve que quelqu’un a enterré quelque chose dans une clairière de l’île. Son imagination alors s’enflamme à la simple pensée d’un trésor enfoui. Exposant sa découverte à deux amis, il les convainc de retourner sur l’île avec lui. Creusant avec ardeur, les trois comparses trouvent à dix pieds de profondeur, une couche de troncs de chênes. Poursuivant, ils trouvent à 20 pieds une nouvelle couche. A trente pieds, toujours une même couche. De toute évidence, quelqu’un avait enterré quelque chose à cet endroit et s’était même donné beaucoup de mal pour protéger ce qu’il y avait lieu de cacher. Les trois jeunes gens ne purent malheureusement aller plus bas avec leurs pioches et leurs pelles. Il fallut attendre 9 ans pour que Mc. Ginnis pût y retourner avec plus de monde et un meilleur équipement. Cette fois, ils descendirent à plus de 100 pieds et aussi extraordinaire que cela puisse paraître, tous les dix pieds, il y avait une nouvelle plate forme de troncs. Arrivés à cent pieds, la fosse fut inondée. Plus tard, ils découvrirent que la dite fosse était reliée à la mer par deux tunnels souterrains et il fut constaté que, délibérément, elle avait été conçue de façon à être automatiquement inondée si quelqu’un creusait à plus de 100 pieds. Tout ceci n’était que le début d’une longue série d’échecs qui soldèrent les nombreuses tentatives pour percer le secret de ce qu’on appela le « Gouffre à argent ». A quoi se rapporte ce terme ? Au trésor proprement dit ou aux millions de dollars qui ont été déjà dépensés pour le découvrir ? Bien malin qui pourrait répondre ! La seule chose qui est, elle, absolument certaine, est que toutes les expéditions tombent toujours à court d’argent avant d’avoir pu découvrir quelque chose.

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Cependant, en 1897, une foreuse ramena trois petits maillons d’or et un morceau de parchemin. Il en est qui pensent que la foreuse a transpercé le coffre au trésor. Mais depuis lors, le coffre, s’il y en a un, s’est déplacé dans le sol

gorgé d’eau… et les forages qui suivirent ont été, jusqu’à présent, incapables de le localiser. Le plus amusant de cette histoire, c’est que personne n’a la moindre idée de ce qui pourrait se trouver dans ce puits. Certes, il y a des théories, mais elles sont toujours fort nombreuses et vont du trésor du capitaine Kidd aux joyaux de la couronne de France. Actuellement, la chasse au trésor sur Oak Island est aux mains d’un syndicat composé d’hommes d’affaires américains et canadiens. Si donc vous pouvez y aller en touriste, il vous sera par contre strictement interdit de creuser sur toute l’île. Si cela vous intéresse, le ministre du Tourisme de la Nouvelle-écosse organise des voyages avec réduction pour les familles nombreuses et les groupes. 6. LES ANCIENS ASTRONAUTES Des visiteurs d’autres planètes sont-ils venus sur terre dans les temps reculés ? Depuis peu, il est devenu tout à fait courant de répondre « oui » à cette question. Certains ayant étudié d’anciens monuments, en sont arrivés à dire que ces monuments n’avaient pu être bâtis, et ne l’avaient pas été- par des gens en possession des seuls outils primitifs comme on nous l’avait fait croire jusqu’ici. Obligatoirement, ils ont dû recevoir l’aide d’extra-terrestres disposant d’une technologie très avancée. Parmi les plus suggestifs de ces monuments ou constructions, nous trouvons les lignes et les dessins du désert de Nazca sur la côte du Pérou.

Oh, certes, il n’a pas été bien difficile de tracer ces lignes et ces dessins. Ils ont été faits en éliminant tout simplement les roches superficielles afin de dégager le gravier plus fin qui se trouvait au-dessous. Et, étant donné qu’il ne pleut jamais en ces régions, et nous retransposant dans l’esprit des constructeurs, ces lignes et ces dessins pourraient y rester gravés à jamais.

Les savants estiment qu’ils doivent remonter à 1.500 ans environ. Mais,

s’ils sont fascinants, c’est surtout parce que personne ne sait à quoi ils servent et que personne ne comprend pourquoi ils ont été réalisés.

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Les pistes de Nazca

Les lignes ne commencent et ne finissent nulle part. Les dessins sont immenses et ne peuvent être vraiment vus que d’avion. Or, à l’époque, il n’y avait pas d’avions (…c’est du moins ce qu’on enseigne !) Mais alors, s’il n’y avait pas d’avions, pourquoi des gens se seraient-ils amusés à tracer des dessins qu’ils ne pourraient jamais voir ? Les savants orthodoxes prétendent que ces dessins ont été réalisés à l’attention des dieux vivants dans les cieux. Les défenseurs de la théorie des anciens astronautes assurent quant à eux que ces dieux étaient tout simplement des hommes de l’espace et que ces lignes et ces dessins servaient de repères pour l’atterrissage des vaisseaux spatiaux. Ils font remarquer les monuments tels que la Porte du Soleil, à Tianhuanaco, également au Pérou. Cette énorme structure, disent-ils, n’a pu être édifiée par des gens qui ne disposaient pas de cordes et de leviers.

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En Amérique du Sud, et dans d’autres parties du monde, les défenseurs de la théorie des astronautes découvrent des dessins, datant de centaines et de milliers d’années, et qui semblent représenter des gens revêtus de combinaisons spatiales.

Presque tous les pays possèdent des légendes de dieux qui seraient venus du ciel. Et cela n’est pas simplement le résultat d’imaginations primitives, assurent les théoriciens des anciens astronautes. Même si aujourd’hui elles sont émaillées de détails fabuleux, ces légendes sont en fait le compte-rendu réel de l’arrivée de visiteurs de l’espace. De nos jours, on fouille la terre à la recherche de preuves concluantes et irréfutables. 7. UNE VIE INTELLIGENTE DANS L’ESPACE Si vous demandez à une certaine catégorie de savants ce qu’ils pensent de la théorie des anciens astronautes, ils ricaneront.

Il ne nieront pas pour autant la possibilité d’une intelligence dans l’espace. Mieux, ils tentent d’entrer en contact avec d’éventuelles civilisations extra-terrestres. Et ceci constitue la dernière et peut-être la plus passionnante de nos 7 énigmes. La première véritable tentative pour trouver une vie intelligente dans l’espace remonte au projet Ozma en 1960, lorsque le Dr. Frank Drake, directeur de l’observatoire national de radio-astronomie de Green Bank, en Virginie occidentale, fixa son radiotélescope sur deux étoiles. Le but est de tenter de capter ce qui pourrait être des signaux radio intelligents. Le projet dura deux semaines et les résultats furent négatifs. Dix ans plus tard, deux autres projets, plus ambitieux mais similaires, furent lancés : l’un aux Etats-Unis, l’autre en Union Soviétique. Une nouvelle fois les résultats furent négatifs, mais les savants ne se découragent pas. Le 3 mars 1972, « Pionner 10 » fut lancé de Cap Kennedy. Il fut le premier objet de fabrication humaine à quitter notre système solaire.

A bord de la sonde spatiale, se trouve une plaque d’aluminium recouverte d’or avec des dessins représentant un homme et une femme nus, et un certain nombre de diagrammes que les savants estiment pouvoir être compréhensibles pour n’importe quelle civilisation avancée.

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L’astronome Carl Sagan qui conçut le projet, reconnaît cependant que les chances pour qu’un extra-terrestre intelligent puisse découvrir cette sonde minuscule dans l’immensité de l’espace, sont très minces. C’est un peu comme l’histoire de la bouteille à la mer. Les savants estiment par contre que les chances d’un contact radio sont bien meilleures. Sagan a déclaré à ce sujet :

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« C’est un fait étonnant, mais le radiotélescope géant de 300 mètres de diamètre du Centre National d’Astronomie, dirigé par l’Université Cornell à Arecibo, à Porto-Rico, pourrait entrer en communication avec un radiotélescope identique à lui-même, quelque part dans la Voie lactée… Nous pouvons communiquer à des dizaines d’années lumière et dans un espace contenant des centaines de millions d’étoiles.

Le message pourrait être capté dans le cadre d’un projet bien organisé, comme Ozma, ou tout simplement par accident. Et cela pourrait se produire dans cent mille ans ou alors demain. » Les savants sont convaincus que la recherche d’une vie intelligente dans l’espace, sera, un jour, couronnée de succès. Mais, ne s’agit-il pas là d’une flagrante contradiction en regard de leurs premières affirmations ? …Ou alors nous nous trouvons face à une preuve de l’orgueil humain –terrestre- (nous pourrions mais pas les « autres »)… ou, enfin, leurs contradictions ne seraient qu’apparentes et n’existeraient que pour donner le change : ils savent, mais ne veulent rien dire ! C’est face à ces différentes alternatives que nous vous laissons, spécifiant encore que celles-ci sont exactement les mêmes depuis que l’homme fit son apparition sur terre. Elles furent la cause de sa perte et de son ignorance !

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Ce rapport est publié par l’Association ALPHA INTERNATIONAL.

www.parapsychologie.fr

L’Association ALPHA INTERNATIONAL est l’une des plus importantes organisations métaphysiques d’Europe. Nous avons des correspondants dans tous les pays de langue française :

France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Canada, Afrique, Haïti, etc.

L’Association ALPHA INTERNATIONAL s’intéresse exclusivement aux questions métaphysiques et n’exerce aucune activité politique. Elle n’impose à ses membres aucune

croyance. Il n’y a rien dans ses enseignements qui puisse choquer un croyant ou un athée. Ses enseignements sont philosophiques et scientifiques et non religieux.

Sa devise est : « La recherche de la vérité dans la liberté absolue de conscience ».

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