Bilan Forum santé-version corrigé 30 nov. 2007extranet.santemonteregie.qc.ca/depot/document/2998/bilan... · 2007-11-30 · la santé et des services sociaux en matière de planification

Bilan du Forum santé-éducation-emploi

tenu le 12 octobre 2007

à Saint-Jean-sur-Richelieu

Préparé par Hélène Fortin, Emploi-Québec

En collaboration avec Laëticia Charlet, ASSSM Martine Lesage, ASSSM

Soutien administratif Véronique Jacques, MELS

Le 30 novembre 2007

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Table des matières

Remerciements ......................................................................................................................... 1

1. Objectifs et clientèle visée ................................................................................................ 2

1.1 Objectifs ................................................................................................................... 2

1.2 Clientèle visée......................................................................................................... 2

2. Comité organisateur......................................................................................................... 3

3. Allocution d’ouverture de M. Smaïl Bouikni, directeur général à la Direction du développement de la formation professionnelle et technique au ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport .................................................................................. 4

4. Conférences présentées en avant-midi ........................................................................... 5

5. Synthèse des ateliers : enjeux et engagements ............................................................... 6

5.1 Volet 1 ATTRACTION........................................................................................ 6 5.1.1 Enjeu no 1 La promotion et la valorisation.................................................... 6 5.1.2 Enjeu no 2 Le recrutement :............................................................................. 7 5.1.3 Enjeu no 3 L’organisation de la formation ....................................................... 8

5.2 Volet 2 INTÉGRATION ..................................................................................... 9 5.2.1 Enjeu no 4 L’intégration sous deux angles ....................................................... 9

5.3 Volet 3 RÉTENTION ........................................................................................ 11 5.3.1 Enjeu no 5 La diplomation et la fidélisation..................................................... 11 5.3.2 Enjeu no 6 Le développement des compétences............................................. 12

6. Allocution de clôture de M. Luc Boileau, président-directeur général à l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie......................................................... 14

7. Conclusion des animateurs de la journée, M. Jacques Wilkins et Mme Catherine Melillo.............................................................................................................................. 15

Annexes.......................................................................................................................... 18

Synthèse de l’évaluation du Forum santé-éducation-emploi ............................................... 18

Sigles et acronymes des réseaux de la santé, de l’éducation et d’Emploi-Québec.............. 29

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Remerciements Après plusieurs mois consacrés à l’organisation du premier Forum santé-éducation-emploi

montérégien, qui s’est tenu le 12 octobre dernier, nous tenons à remercier les organisateurs

pour leur précieuse collaboration lors des préparatifs reliés à cet événement, ainsi que les 206

participants qui ont permis que cette journée soit un réel succès.

Nous venons de franchir un premier pas vers une véritable démarche régionale concertée entre

les réseaux de la santé, de l’éducation et de l’emploi. Souhaitons-nous que ce travail d’équipe

soit au cœur de nos actions afin qu’elles portent fruit, connaissent des retombées positives et

suscitent de nouvelles initiatives témoignant du dynamisme de nos réseaux respectifs en

matière de concertation.

Recevez nos remerciements les plus sincères.

Le comité organisateur

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1. Objectifs et clientèle visée

1.1 Objectifs 1.1.1. Favoriser le maillage entre les acteurs de la santé et des services sociaux, de

l’éducation et de l’emploi. 1.1.2. Favoriser une lecture et une compréhension commune des enjeux du réseau de

la santé et des services sociaux en matière de planification et de développement de la main-d’œuvre.

1.1.3. Favoriser une lecture et une compréhension commune des enjeux du réseau de l’éducation en matière de formation professionnelle et technique.

1.1.4. Trouver des pistes de solutions et explorer des avenues possibles de collaboration.

1.1.5. Consolider une dynamique sous-régionale.

1.2 Clientèle visée Milieu de l’éducation La Direction régionale du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport Les directions générales des commissions scolaires Les présidents des commissions scolaires Les directions de l’éducation des adultes et de la formation professionnelle Les directions des centres de formation professionnelle Les directions des ressources éducatives Les directions générales des cégeps Les directions des études des cégeps Les directions de la formation continue Les représentants du milieu universitaire Milieu de la santé et des services sociaux

Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Les directrices générales et les directeurs généraux Les directrices et directeurs de ressources humaines Les directrices et directeurs de soins infirmiers Les responsables locaux de la planification de la main-d’œuvre et de la dotation Les responsables de la planification des stages

Milieu de l’emploi

La Direction régionale d’Emploi-Québec Les directeurs de centres locaux d’emploi (CLE) Les professionnels responsables des mesures de formation (MFOR) Autres Les représentants des trois conférences régionales des élus Les membres du comité de coordination régional des stages

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2. Comité organisateur M. Philippe Benoit Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Mme Laëticia Charlet Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie M. Francis Culée Direction régionale, ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport Mme Christine Daniel Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Mme Caroline Dion Direction régionale, ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport M. Marcel Éloquin Collège Édouard-Montpetit Mme Sylvie Favreau Commission scolaire du Val-des-Cerfs, Centre régional intégré de formation Mme Hélène Fortin Direction régionale, Emploi-Québec Mme Julie Gélinas CSSS du Haut-Richelieu–Rouville Mme Sylvie A. Girard CSSS Jardins-Roussillon Mme Flavie Langlois-Caron Direction régionale, ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport M. Guy Laperrière Collège de Valleyfield Mme Martine Lesage Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Mme Linda Moisan Université de Sherbrooke Mme Pauline Plourde CSSS Pierre-Boucher M. Pierre Sainte-Marie École professionnelle de Saint-Hyacinthe Mme Gabrielle Tourigny Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie M. André Tremblay Hôpital Charles LeMoyne

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3. Allocution d’ouverture de M. Smaïl Bouikni, directeur général à la Direction du développement de la formation professionnelle et technique au ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport

Assurer une main-d’œuvre en quantité et en qualité pour faire face au vieillissement

compte tenu des répercussions sur l’évolution des dépenses en santé ; Tendance lourde sur le marché du travail à la suite des nombreux départs à la retraite

en 1996 et d’autres départs à prévoir également ; Depuis trois ans, augmentation des effectifs en santé, en plus des remplacements à la

suite des départs pour la retraite; Le partenariat, mot d’ordre du comité des sages : emploi-éducation-santé-immigration.

Quatre chantiers :

1. Attraction et rétention (ex. : campagne promotionnelle…)

2. Nouvelles pratiques professionnelles (formation continue)

3. Adéquation formation-emploi : s’assurer que l’offre répond en nombre suffisant et en

qualité, RAC (Reconnaissance des acquis), poursuivre la formation, augmenter les

capacités d’accueil, ajouter 19 autorisations de programmes au Québec en santé, de

nouveaux programmes (ex : soins préhospitaliers), tableau de bord formation-emploi

développé en Montérégie.

4. Apport de nouvelle main-d’œuvre : augmenter le nombre d’immigrants, comme le

suggère la stratégie gouvernementale pour accroître les effectifs; faciliter l’insertion et la

reconnaissance des diplômes et des formations; l’Office des professions travaille

notamment avec le Collège des médecins et l’Ordre des infirmiers et infirmières du

Québec pour délivrer plus rapidement des permis de pratique aux immigrants.

Nous atteindrons mieux et plus vite nos objectifs par la concertation. Cela s’inscrit dans le

plan de rapprochement lancé en juin 2006 par le ministre de l’Éducation, du Loisir et du

Sport.

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4. Conférences présentées en avant-midi

La version complète des conférences est disponible sur le site de l’ASSSM : www.rrsss16.gouv.qc.ca sous la rubrique Agenda (dans le menu du haut)/Événements passés. Portrait régional de la main-d’œuvre en santé et services sociaux : M. Philippe Benoit, directeur de la planification et du développement de la main-d’œuvre, Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie Enjeux en matière d’éducation et de formation : des défis importants à relever : Mme Caroline Dion, responsable de la formation professionnelle et technique, Direction régionale de la Montérégie, ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport Le projet Partenariat régional d’intégration de la main-d’œuvre en santé (PRIMOS) : Le projet PRIMOS, subventionné conjointement par le ministère de la Santé et des Services sociaux et par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, est novateur au Québec. Échelonné sur cinq ans, ce projet repose sur un cadre de référence articulé autour de l’attraction, de l’intégration et de la rétention du personnel de soins. Projet de formation conciliation travail-études pour les préposés aux bénéficiaires : La commission scolaire de Saint-Hyacinthe propose un programme de formation et de travail intégré pour les préposés aux bénéficiaires sous le mode combiné travail-études. Projet de partenariat entre le CSSS Jardins-Roussillon et le cégep André-Laurendeau : Depuis 2003, le partenariat établi entre le CSSS Jardins-Roussillons et le cCégep André-Laurendeau témoigne de la volonté d’intégration des étudiants en milieu professionnel en leur offrant la possibilité de suivre leurs cours d’infirmiers à l’intérieur de l’hôpital. Un outil qui voit grand ! (outil informatisé de coordination des stages) : Face à la nécessité d’améliorer la coordination des stages, un intervenant du milieu de la santé fera part des avantages reliés à l’utilisation d’un outil informatisé pour le placement des étudiants.

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5. Synthèse des ateliers : enjeux et engagements

Un constat général : nos réseaux ne communiquent pas assez entre eux et ce forum visait justement à rapprocher les acteurs concernés par le problème de la disponibilité de la main-d’œuvre et les pénuries anticipées au cours des prochaines années. Cette rencontre a donc permis le rapprochement entre les trois réseaux et la mise en commun de solutions.

5.1 Volet 1 ATTRACTION

5.1.1 Enjeu no 1 La promotion et la valorisation -des carrières en santé -des programmes de formation offerts dans le secteur de la santé et des services sociaux

Stratégies déjà en place : • Campagne nationale de valorisation « Tout pour réussir.com » (les programmes en

santé comptent parmi les 110 métiers les plus en demande inscrits sur le site); • Semaine de l’infirmière; • Démarche régionale de valorisation de la formation professionnelle. Pour certains

comités, le public cible vise les parents, tous programmes confondus; • Élève d’un jour. Visite dans les écoles primaires et secondaires pour présenter les

programmes en santé; • Programme Jeunes explorateurs d’un jour; • Portes ouvertes. Capsules midi. Présentation sous forme de clinique (clinique de

tension artérielle, clinique prévention des infections, etc.); • Séance d’information en partenariat avec le secteur de la santé pour le recrutement de

nouvelles clientèles; • Publicité et promotion des carrières de la santé conjointe; • Activités de reconnaissance; • Clients d’Emploi-Québec dirigés vers les programmes reliés aux professions qui

offrent de bonnes perspectives d’emploi.

Atelier 1 : Animateur : André Byette, CS Marie-Victorin Rapporteur : Serge Brasset, collège Édouard-Montpetit Secrétaire : Janie Verreault, Hôpital Charles LeMoyne

Stratégies partenariales à mettre en place ou engagements : • Sensibiliser les jeunes dès le secondaire au sujet des emplois en santé; • Mieux connaître les jeunes pour mieux les attirer. Revoir les programmes d’études

afin de permettre aux jeunes de travailler en même temps qu’ils étudient. Les programmes pourraient être d’une durée de 12 mois et à temps partiel;

• Explorer davantage la conciliation travail-études. S’inspirer de l’expérience du CSSS Richelieu-Yamaska;

• Accélérer le processus de reconnaissance des acquis; • Offrir plus de programmes qui permettent des passerelles d’un ordre d’enseignement à

l’autre; • Valoriser les formations à l’intérieur de nos réseaux en produisant une cartographie

des programmes disponibles et produire une cartographie des stages sur le territoire;

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• Revaloriser la profession d’infirmière en racontant de belles histoires (témoignages). Mettre l’accent sur la qualité des soins et le plaisir. Publiciser davantage le site « Tout pour réussir ». Utiliser des témoignages crédibles (Web, campagne de promotion, ordres professionnels). Orienter davantage les jeunes en leur présentant les professions du secteur de la santé. Poursuivre la campagne publicitaire nationale;

• Associer les jeunes au projet en les faisant participer. Cibler les garçons; • Lors des campagnes de promotion, sensibiliser les parents et les professeurs pour

favoriser la discussion parents-enfants et parents-professeurs autour des perspectives d’avenir dans le secteur de la santé;

• Faire connaître les clientèles vulnérables (personnes âgées, handicapées, avec une déficience intellectuelle ou physique) afin de détruire les tabous et de donner aux gens l’envie de travailler auprès de ces personnes;

• Avoir une approche particulière auprès des garçons qui sont peu présents dans les emplois en santé;

• Contrecarrer l’effet négatif des médias sur le réseau. Peut-on utiliser les patients et les faire parler au sujet de la qualité du service et des soins qu’ils ont reçus?;

• Inciter les services des communications des établissements à s’allier les journalistes; • Publiciser davantage les centres de formation professionnelle auprès des parents; • S’associer avec les ordres professionnels pour mieux comprendre les abandons en

cours de formation; • Créer des occasions pour mieux se connaître (santé-éducation-emploi). À titre

d’exemple, le réseau ne connaît pas bien le potentiel du marché de l’emploi, c’est-à-dire la façon dont le marché de l’emploi pourrait nous être favorable.

5.1.2 Enjeu no 2 Le recrutement : -des enseignants dans les programmes de santé -du personnel en établissement de santé

Stratégies déjà en place : • Prise de contact directe avec les établissements de santé du territoire pour recruter le

personnel enseignant; • Recrutement international tel que le Salon des infirmières à Paris; • Stratégies de recrutement innovantes mettant en avant la thématique Notre relève, on

en prend soin. Atelier 2 : Animateur : Lise Montagne, CSSS La Pommeraie

Rapporteur : Sylvain Lambert, cégep de Granby–Haute-Yamaska Secrétaire : Marie Côté, CSSS La Pommeraie

Stratégies partenariales à mettre en place ou engagements : • Agir davantage en partenariat avec les trois réseaux pour atténuer les problèmes de

recrutement des enseignants et être plus efficace; • Permettre l’acquisition des habiletés pédagogiques; • Mettre au point une promotion locale, régionale et nationale : développer une image et

une vision mobilisatrice d’un métier d’avenir; • Mettre en place des stratégies de marketing de la profession bien en amont de

l’inscription dans les programmes et engager les conseillers d’orientation dans cette démarche. Ces stratégies devraient mettre en avant la réalité de la profession pour limiter le « choc de la réalité » vécu par de jeunes infirmières au moment de leur intégration en milieu professionnel. Par exemple, privilégier l’organisation de soirées

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d’information sur les programmes, intervenir dans les classes pour rejoindre les jeunes et les sensibiliser tôt aux préalables;

• Faire la promotion auprès d’autres publics cibles tels que les garçons et les immigrants;

• Reprendre des initiatives telles que le programme Jeunes explorateurs d’un jour, en revoyant certaines modalités telles que la possibilité d’effectuer un stage sur plusieurs jours;

• Favoriser l’alternance travail-études : étudier et avoir une rémunération en s’inspirant du modèle existant, cela devient très intéressant avec l’idée de préembauche. Stratégies à développer ensemble pour les stages : décloisonner, sortir de nos structures habituelles comme le travail de soir et de nuit;

• Revoir le modèle d’enseignement et de recrutement des enseignants : poste mixte praticien-enseignant (prendre soin de faire participer les syndicats);

• Mettre en commun nos chiffres sur la planification de la main-d’œuvre et explorer diverses façons de partager nos ressources;

• Explorer la possibilité de faire appel à des personnes retraitées. Il existe un programme, mais il est difficile d’identifier ces personnes;

• Créer des milieux qui répondent aux aspirations des gens de façon à les attirer en emploi : changer les façons d’enseigner et l’organisation du travail;

• Poursuivre le travail de réflexion de la table actuelle en y ajoutant de nouveaux partenaires (syndicat et associations, etc.) et élargir le mandat en ajoutant les enjeux qui nous rejoignent;

• Associer les syndicats à nos démarches.

5.1.3 Enjeu no 3 L’organisation de la formation -dans le contenu des programmes -dans les modalités d’enseignement

Stratégies déjà en place : • Projet PRIMOS; • Projet de la commission scolaire de la Capitale et du CSSS Richelieu-Yamaska avec la

CS de Saint-Hyacinthe : programme de formation de préposés aux bénéficiaires en conciliation travail-études;

• Partage des ressources dans la mise en œuvre de programmes de formation.

Atelier 3 : Animateur : René Patry, Direction régionale, Emploi-Québec Rapporteur : Guy Laperière, collége de Valleyfield Secrétaire : Stéphanie Thibert, CSSS Jardins-Roussillon

Stratégies partenariales à mettre en place ou engagements : • Harmoniser les critères d’embauche avec les diplômes obtenus par les étudiants. Ex. :

les CSSS exigent un secondaire 5 pour occuper le poste de préposés aux bénéficiaires alors qu’un finissant au programme assistance aux bénéficiaires en établissement de santé détient un secondaire 3 et un diplôme d’études professionnelles (DEP). Les CSSS s’engagent à reconnaître un diplôme plutôt qu’un secondaire 5; en aucun cas les critères d’expertise ne doivent être revus à la baisse malgré la pénurie, particulièrement la question du savoir-être;

• Demander à la ministre de régler le litige impliquant l’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) concernant la reconnaissance de l’ensemble DEP-DEC en soins infirmiers;

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• Demander à la ministre de permettre de modifier la grille de formation sur quatre ans en soins infirmiers (diplôme d’études collégiales);

• Faciliter les congés partiels des infirmières intéressées à enseigner; • Étendre à tous les parcours de formation le projet « Saint-Hyacinthe », qui inspire

beaucoup. Sur le territoire de concertation, certaines modalités particulières sont à prendre en considération, telles que le bilinguisme. On s’engage à constituer un groupe de travail sur la question;

• Offrir une formation en soins infirmiers pour les détenteurs du DEC préuniversitaire. Les étudiants ont un parcours réduit où seuls les cours en formation professionnelle doivent être suivis (18-24 mois);

• Déplacer les autorisations de programmes vers les territoires où ces autorisations sont absentes (déplacer les lieux de formation);

• Rencontrer les conseillers en orientation (CO) et les conseillers en information scolaire et professionnelle (CISEP) régulièrement pour faire connaître les besoins de main-d’œuvre;

• S’engager (Emploi-Québec, les collèges et les CS) à rencontrer le ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles (MICC) afin de faciliter les conditions d’intégration des immigrants;

• Les CSSS et les centres de réadaptation s’engagent à faciliter les demandes de stagiaires (plutôt que de considérer ces demandes comme un surplus);

• Offrir une formation accélérée à ceux qui ont déjà un DEC; • Revoir les grilles de cheminement de cours sur cinq ans au collégial avec travail

pendant les DEC; • Assurer la concertation entre les établissements scolaires pour faciliter les prêts de

cartes (autorisations d’offrir les programmes).

5.2 Volet 2 INTÉGRATION

5.2.1 Enjeu no 4 L’intégration sous deux angles -en stage (optimiser la coordination des places de stages entre les milieux) -en emploi (développer un engagement durable auprès de son organisation)

Stratégies déjà en place : • Comité de coordination des stages (régional, local); • Mentorat; • Journées d’accueil pour les externes; • Manuel d'accueil pour les nouveaux employés; • Programme d'intégration adapté à la complexité du poste (programme individualisé); • Activités de reconnaissance envers l'engagement des personnes qui encadrent les

stagiaires. Atelier 4 Animateur : Martine Rioux, CSSS de Sorel-Tracy

Rapporteur : Fabienne Desroches, Cégep de Sorel-Tracy Secrétaire : Normand Skrell, CSSS de Sorel-Tracy

Stratégies partenariales à mettre en place ou engagements : Constats généraux des membres de l’atelier : • Les jeunes (génération Y) n’ont pas les mêmes attentes que leurs prédécesseurs sur le

marché du travail. Il faut rechercher la qualité de vie tant au travail qu’en dehors du travail;

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• La faible « diplomation » inquiète l’ensemble des intervenants; • Le savoir-être est à la base d’une majorité d’emplois du secteur de la santé; • L’approche « Saint-Hyacinthe » semble intéressante pour plusieurs, mais nécessiterait

une adaptation. Que fait-on des gens qui ne sont pas retenus à la première vague?; • Sur le territoire de Sorel-Tracy, on a la chance d’avoir la présence de tous les acteurs :

éducation (centre de formation professionnelle, CS, cégep, campus universitaire) emploi (centre local d’emploi, groupes communautaires, etc.) et santé (CSSS, Centre montérégien de réadaptation, groupes communautaires).

Constat des acteurs pour le secteur de l’éducation : • Mieux cibler le profil des candidats des différents programmes; • Effectuer la sélection des candidats en partenariat avec les employeurs; • Établir des horaires plus flexibles, entre autres pour permettre des activités de type

travail-études; • Offrir plus de soutien psychosocial, professionnel et financier aux élèves et mettre en

place des mécanismes d’alerte aux décrocheurs; • Offrir aux élèves des situations réelles de travail, notamment par des stages plus hâtifs

dans le programme de formation; • Établir des passerelles entre les programmes. Par exemple, un étudiant abandonne ses

études collégiales en nursing. Que peut-on reconnaître pour l’obtention d’un DEP donnant accès à un emploi d’infirmière auxiliaire, de préposé aux bénéficiaires ou d’auxiliaire familiale et sociale?;

• Améliorer les contacts avec les ordres professionnels pour s’assurer que les examens des ordres professionnels tiennent bien compte des niveaux de scolarité. Par exemple pour l’OIIQ, l’examen des infirmières techniciennes devrait être axé plus sur les aspects techniques alors que celui des infirmières cliniciennes devrait tenir compte d’aspects de gestion et des particularités des « emplois universitaires »;

• Raccrocher les adultes, les gens des communautés culturelles (nouveaux immigrants en particulier);

• Améliorer la disponibilité de places de stages, en particulier en psychiatrie; • Améliorer l’encadrement.

Constat des acteurs pour le secteur de l’emploi : • Augmenter le nombre de recommandations en emploi; • Augmenter le financement des places des stages et le nombre de groupes; • Améliorer les partenariats avec les entreprises; • Participer aux publicités du type « employeur de choix » afin que les emplois du

secteur de la santé soient plus attirants (faire connaître les bons coups); • Faciliter de meilleurs maillages avec les entreprises; • Être intégrés dans les approches de formation continue.

Constat des acteurs pour le secteur de la santé : • Être associés à la sélection des candidats aux études dans les différents secteurs.

L’approche « Saint-Hyacinthe » semble prometteuse; • Tenir compte des capacités et des structures d’accueil des établissements. Au cours

des dernières années, on s’est beaucoup préoccupé de l’accueil clinique des infirmières. Au cours des prochaines années, faire de même pour les infirmières auxiliaires, les préposés aux bénéficiaires et les autres secteurs d’emploi;

• Tenir compte des valeurs des nouvelles générations dans l’organisation des stages, dans l’organisation du travail, dans les structures des postes et dans la mise en place

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des conditions de travail. Être plus souples pour tenir compte des besoins des différentes générations. Entre autres, prévoir des garanties de travail tant à temps plein qu’à temps partiel;

• Se questionner sur l’adéquation entre les exigences de recrutement (secondaire 5) et celles des programmes de formation (DEP et secondaire 3);

• Continuer à travailler avec les représentants syndicaux pour adapter les contrats de travail au marché du travail;

• Contrecarrer l’image négative que projettent certains médias du réseau et des emplois de la santé. Promouvoir les aspects positifs;

• Partager avec les partenaires les informations sur les besoins de main-d’œuvre; • Maintenir une collaboration avec le monde de l’éducation pour faciliter la

disponibilité de formateurs et d’enseignants; • Revoir l’organisation du travail pour bénéficier au maximum des possibilités que nous

donne la Loi modifiant le Code des professions et d’autres dispositions législatives dans le domaine de la santé (Loi 90) (répartitions de tâches entre les titres d’emploi);

• Tenir compte des besoins de sécurité de certains travailleurs (qui peuvent vivre sans garantie ou avec un 4 jours par quinzaine);

• Augmenter la rémunération des stages pour favoriser la conciliation travail-études. LA GRANDE QUESTION : LA SUITE! QUI L’ASSURE?

5.3 Volet 3 RÉTENTION

5.3.1 Enjeu no 5 La diplomation et la fidélisation

- amener plus d’élèves inscrits à persévérer et à obtenir leur diplôme - maintenir en emploi la main-d’œuvre

Stratégies déjà en place : • Garantie d’emploi au moment de l’embauche; • Soutien entre pairs (rôle des infirmières bachelières); • Projet PRIMOS; • Mécanismes de soutien à l’élève; • Consolidation des postes; • Entrevues de départ; • Plans de réussite; • Plans de carrière.

Atelier 5 Animateur : Gaston Vachon, CS de Saint-Hyacinthe

Rapporteur : Roger Sylvestre, Cégep de Saint-Hyacinthe Secrétaire : Jean-Pierre Ratelle, CSSS Richelieu-Yamaska

Stratégies partenariales à mettre en place ou engagements : • Offrir davantage de formation en alternance travail-études puisque le taux de réussite

est plus élevé et offrir des stages rémunérés; • Intégrer les étudiants dès le début de leurs études dans un emploi relié à la santé ainsi

que dans leurs emplois d’été; • Changer l’image de la profession et en faire la promotion (au moyen d’une série

télévisée qui mettrait de l’avant le milieu de la santé et un emploi garanti); • Tenir compte des valeurs de la génération Y pour les attirer, mais également les

maintenir dans le secteur; • Sensibiliser les jeunes du secondaire aux réalités du marché du travail;

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• Faciliter le passage au DEP des décrocheurs du collégial; • S’engager à devenir un employeur de choix; • Intégrer davantage le système de la santé et celui de l’éducation, notamment sur les

modalités de libération des infirmières pour aller enseigner. Actuellement, une infirmière qui part enseigner ne libère pas son poste. Le milieu de l’éducation investit donc sur du personnel qui ne va pas rester enseignant puisqu’il va retourner dans son milieu d’origine, ce qui favorise une certaine « culture du roulement ». Regarder la possibilité du partage des coûts par le réseau et non par un établissement;

• Faciliter la reconnaissance des acquis, le prolongement de carrière et la formation adaptée;

• Faire de l’exploration professionnelle dès la première année du secondaire et la promotion des professions dans les médias;

• Garder les étudiants inscrits en santé jusqu’à l’obtention du diplôme : trouver des mécanismes pour faire cheminer l’étudiant malgré les échecs.

5.3.2 Enjeu no 6 Le développement des compétences

-actualisation et développement des compétences en milieu de travail -formation continue

Stratégies déjà en place : • Programme d’analyse des besoins en formation; • Congés pour poursuite d’études; • Programme de conciliation travail-études; • Programme de formation continue développé par les établissements de santé. Atelier 6 Animateur : Carole Meilleur, CSSS Haut-Richelieu-Rouville

Rapporteur : Chantal Denis, Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu Secrétaire : Guy Bouffard, CSSS Haut-Richelieu-Rouville

Stratégies partenariales à mettre en place ou engagements : • Faire une analyse conjointe des besoins de formation : CS, cégep, milieu de

la santé, Emploi-Québec; • Prendre en compte les besoins de ressources dans les réseaux non

institutionnels et privés; • Développer les compétences et établir un partenariat avec les instances locales,

notamment les ressources non institutionnelles (RNI) : évaluer les possibilités de s’associer les intervenants du milieu de l’éducation et d’Emploi-Québec lorsqu’il s’agit de former un nouveau travailleur;

• Associer les intervenants de l’éducation aux activités de formation interne et partager la philosophie sous-jacente à cette approche afin d’intégrer cette dimension dans la formation de la relève;

• Faire le lien entre certains modules de formation et l’expertise professionnelle en vue de partager des ressources;

• S’associer avec les cégeps et les universités pour la formation à l’interne, avec la participation de chargés de cours du CSSS;

• Accompagnement (coaching) : voir à ce que des retraités (infirmières et préposés) accompagnent les jeunes;

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• Partager les besoins mentionnés dans les plans de développement des ressources humaines en fonction de la planification des activités et de l’intégration de certains éléments dans les plans de formation de la relève;

• Accroître la flexibilité de la formation continue (jour, soir, fin de semaine), de façon à ce que ce soit intéressant pour la relève;

• Offrir de nouveau la formation permettant de passer d’infirmière auxiliaire à infirmière;

• Explorer de nouveaux moyens de formation : libération difficile des effectifs et poursuite des études ardue dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, obligeant le recours fréquent à des heures supplémentaires (exploiter davantage la formation « en ligne » (Internet, cédérom) au rythme de la disponibilité des participants, travailler en fonction d’une poursuite de la formation, faciliter les congés à temps partiel;

• Sortir de nos pantoufles (revoir nos façons de procéder); • Mettre en place un canal de communication entre les partenaires; • Évaluer les possibilités de former la relève dans certains secteurs spécialisés (ex. :

formation au bloc opératoire dont la durée actuelle est d’environ six mois) en optant pour le mode de formation continue donnant droit à une reconnaissance des crédits par le milieu de l’éducation;

• Offrir une formation continue pour les RNI ainsi que les organismes communautaires et privés, évaluer les possibilités d’un financement par Emploi-Québec;

• Intégrer le volet publicité pour cibler la relève dans le réseau de la santé en utilisant le témoignage de jeunes qui ont réalisé leur rêve pour valoriser le milieu. Projet innovation : Va au bout de ton rêve!

• Analyser les besoins de formation en y intégrant les besoins dans les RNI; • Établir un partenariat lors des stages avec les infirmières du milieu; • Chercher des moyens pour garder les étudiants en fonction et récupérer les

décrocheurs compte tenu de la baisse de clientèle étudiante chez les jeunes; • Revoir l’exigence d’embauche des CSSS quant au diplôme de secondaire 5 par rapport

au secondaire 3 plus diplôme d’études professionnelles. Atelier 7 Animateur : Philippe Benoit, ASSSM

Rapporteur : Francis Culée, Direction régionale, MELS Secrétaire : Hélène Fortin, Direction régionale, Emploi-Québec

Cet atelier est composé de représentants (organismes en santé, MELS et Emploi-Québec) ayant une portée régionale, notamment en réadaptation physique, en déficience intellectuelle et en toxicomanie.

Les discussions ont porté sur les difficultés de recrutement dues à la croissance des services ainsi que sur les besoins de formation au niveau technique pour soutenir les professionnelles aux prises avec des pénuries de main-d’œuvre (ex. : ergothérapeutes et physiothérapeutes). Stratégies partenariales à mettre en place ou engagements : • Étudier la possibilité d’offrir dans les cégeps de la région une formation en

langage (450 heures) pour les techniciens en éducation spécialisée afin qu’ils aident les orthophonistes;

• Intégrer dans la formation en éducation spécialisée un volet sur la déficience intellectuelle et l’autisme. Il y aurait des places disponibles pour des stagiaires en éducation spécialisée;

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• Regarder la possibilité d’offrir une formation pour les techniciens en réadaptation physique, notamment en neurosensoriel. Présentement, la formation est donnée selon une approche biomédicale et physiologique alors qu’il faut travailler davantage sur le plan multidisciplinaire. Les postes sont difficiles à pourvoir pour les ergothérapeutes et physiothérapeutes, il faut donc trouver du soutien auprès des techniciens;

• Regarder la possibilité de mettre en place une formation courte pour les préposés aux bénéficiaires afin de répondre aux besoins de main-d’œuvre dans les services en déficience intellectuelle, puisque les personnes ne sont pas nécessairement embauchées avec le DEP. Les programmes de préposés aux bénéficiaires et d’auxiliaires familiales et sociales auprès des personnes à domicile sont en cours de révision. Les contenus seront mieux adaptés à la santé mentale et à la déficience intellectuelle. De plus, les compétences portant sur l’éthique sont bonifiées. Il y a une volonté de laisser les clients dans leur milieu et de les aider;

• Faciliter la recherche de psychologues détenant des compétences en neuropsychologie;

• Expérimenter les meilleures pratiques à tous les niveaux; • Faire l’arrimage avec des clients d’Emploi-Québec sans emploi et les

emplois disponibles. Inviter les établissements à afficher leurs postes vacants sur le site de placement en ligne d’Emploi-Québec. Un lien automatisé s’affiche entre les personnes en recherche d’emploi et les postes vacants.

6. Allocution de clôture de M. Luc Boileau, président-directeur général à l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie

L’importance du problème • Pénurie actuelle importante... • ...et en croissance • Conséquences

Croissance des heures supplémentaires Recours plus fréquent à des agences de personnel Ruptures de services actuelles et anticipées Épuisement du personnel Image défavorable du secteur Attraction fragilisée par le secteur

Objectifs de la journée • Connaître les enjeux des secteurs de la santé et de l’éducation face aux pénuries; • Présenter des projets novateurs de partenariat entre les milieux de la santé, de

l’éducation et de l’emploi; • Repérer des actions concrètes de partenariat dans chacun des territoires de

concertation; • Formaliser des mécanismes de concertation-collaboration entre les partenaires dans

chacun des territoires.

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Démarche actuelle • Surveillance annuelle de l’équilibre entre la demande et l’offre de main-d’œuvre • Promotion du secteur de la santé et des services sociaux • Amélioration des taux de fidélisation

Climat de travail Stabilisation des équipes Consolidation des postes Horaire de travail Conciliation travail-famille

• Utilisation optimale des compétences • Consolidation de la concertation avec l’éducation et l’emploi Succès • Programme de formation de préposé aux bénéficiaires (PAB) en alternance travail-

études entre le CSSS Richelieu-Yamaska, Emploi-Québec et le secteur de l’éducation • Centre de formation intégré au CSSS Jardins-Roussillon • Mécanismes de coordination des stages (régional et locaux) • Portrait partagé de la demande et de l’offre de main-d’œuvre Message • Un partenariat essentiel à consolider dans chacun des territoires et sur le plan régional • Fonds à l’innovation de 300 000 $ en provenance des trois réseaux

7. Conclusion des animateurs de la journée, M. Jacques Wilkins et Mme Catherine Melillo

Jacques Wilkins, Communications Wilkins inc. « Je ne sais comment l’expliquer, mais ce matin, en écoutant les conférenciers et observant les gens dans la salle, il m’est venu à l’idée de résumer mes observations selon la comptine La Souris verte racontée aux enfants il y a de nombreuses années. Ne cherchons pas à savoir pourquoi cette comptine, retenons plutôt son rythme. Dix - Le programme de cette journée comptait dix activités. Neuf - Dans les sens de nouveau, de renouveler les actions à conduire pour atténuer la pénurie de main-d’œuvre et d’imaginer de nouvelles actions. Huit - Nous venons de passer huit heures de discussions intensives ensemble, sur ce sujet, ce qui n’est pas rien comme mobilisation dans la région de la Montérégie. Sept - Sept conférenciers ont présenté des projets novateurs pour tenter de corriger cette pénurie de main-d’œuvre. Six - Toute la problématique du dossier a été concentrée autour de six enjeux regroupés autour d’autant de thèmes d’ateliers : la promotion et la valorisation, le recrutement, l’organisation de la formation dans les établissements de formation, l’intégration en

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emploi et en stage, la diplomation et la fidélisation et, finalement, le développement des compétences. Cinq - Les responsables du Partenariat régional d’intégration de la main-d’œuvre en santé (PRIMOS) ont présenté une carte conceptuelle qui regroupe cinq grandes catégories de préoccupations : la diplomation, la persistance, le recrutement, l’embauche et la favorisation des compétences. Quatre - Notre premier conférencier a indiqué les quatre chantiers mis en place par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport dans ce dossier, à savoir l’attraction et la rétention, les pratiques professionnelles, l’adéquation formation-emploi et l’apport diversifié, c’est-à-dire l’apport des immigrants. Trois - Nous avons compris que l’engagement et la complicité de trois grands réseaux, l’éducation, la santé et l’emploi, sont nécessaires et essentiels à la réussite des actions pour contrer cette pénurie de main-d’œuvre et qu’il est tout aussi nécessaire et essentiel que leurs actions combinées se déploient, de façon concertée et complémentaire, aux trois niveaux de décision, national, régional et local. Deux - De tous nos échanges, il se dégage deux grandes préoccupations : attirer de nouvelles personnes dans ces fonctions et les garder. Aussi, au bout du compte, tous les efforts viennent en soutien et sont centrés autour d’une relation à deux qui prend forme et se développe avec les années, à savoir la relation employé-employeur. Un - Finalement, de cette journée studieuse, il faut retenir une idée, un empressement, un engagement, celui de se revoir le plus près possible de l’action pour mettre en commun nos efforts afin de corriger, ou à tout le moins d’atténuer, la pénurie de main-d’œuvre dans les établissements de santé.

Nous avons une obligation, travailler ensemble, et nous devons avoir une unicité de pensée et d’action. Catherine Melillo a brossé un tableau-synthèse de cette journée fertile en idées et en engagements, son rôle étant d’écouter les présentations, de visiter les ateliers, d’observer les intervenants, d’entendre les idées et de saisir le pouls des échanges. Ce qu’il faut retenir de cette journée, c’est la volonté de chacun de changer les choses et d’aller de l’avant avec des actions novatrices. Pour faire une analogie avec le film La Guerre des étoiles, au cours de l’avant-midi, on a vu davantage le « côté obscur » du problème :

• statistiques alarmantes, • pénurie de main-d’œuvre, • écarts à combler quasi infranchissables, • essoufflement des ressources, • image sombre du milieu,

• désertion de la profession, • manque de relève, • besoins grandissants, • etc.

Un portrait noir, certes, mais réaliste. Nous connaissons exactement la situation actuelle et nous sommes en mesure d’appréhender la suite si rien n’est fait. Il faut savoir d’où l’on part pour savoir où l’on va; l’heure est venue de regarder en avant, de faire des gestes

2

concrets et créatifs et de voir le côté de « la force » qui émane de la concertation des milieux de la santé, de l’éducation et de l’emploi. Déjà, au cours de l’avant-midi, on a vu poindre des projets porteurs de succès. C’est le cas, par exemple, du projet estrien Partenariat régional d’intégration de la main-d’œuvre en santé (PRIMOS) et du projet de formation conciliation travail-études de Saint-Hyacinthe. Cette journée s’inscrivant dans la volonté de projeter une image positive du secteur de la santé, on a choisi de mettre en relief des mots-clés, des mots prononcés par les principaux acteurs et les décideurs au cours des présentations, en atelier, puis en séance plénière. Ainsi, on a entendu parler :

• de renouvellement; • de rapprochement, d’arrimage et de

maillage; • de flexibilité et d’ouverture; • de consolidation des liens et d’association; • de partenariat, qui se transforme en

véritable concertation et qui donne naissance à des engagements;

• de valorisation du secteur;

• de sensibilisation; • d’innovation dans les formules; • de développement et de

renouveau; • de partage et d’éveil aux besoins

de chacun.

Certains ont manifesté l’intention de sortir du cadre, de « sortir de nos vieilles pantoufles ». Cette intention doit inévitablement passer par la connaissance des emplois, des employeurs, des actions gagnantes. L’information doit circuler rapidement. Il y a urgence d’agir.

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Annexes Synthèse de l’évaluation du Forum santé-éducation-emploi1 Organisation générale Le Forum santé-éducation-emploi du 12 octobre dernier fut un succès. Sur environ 230 invitations, 206 personnes se sont présentées (90 %). C’est le secteur de l’éducation qui a obtenu une plus grande représentativité avec environ 45 % des participants. Le secteur de la santé et des services sociaux suit avec près de 30 % des participants et celui de l’emploi avec près de 15 %. Sur les 111 participants qui ont rempli le formulaire d’évaluation (54 % des personnes inscrites), 99 % des gens ont répondu que leur perception globale de la journée fut très satisfaisante (50,0 %) et assez satisfaisante (49,1 %). En général, les participants ont apprécié le déroulement du forum. À cet effet, 83,8 % des répondants ont donné la mention assez satisfaisant (57,1 %) et très satisfaisant (26,7 %). Les objectifs de la journée étaient clairs et ont été atteints. Les commentaires écrits soulignent toutefois que la salle était trop petite compte tenu du nombre de participants, ce qui a nui au confort. De plus, plusieurs mentionnent avoir trouvé le programme trop chargé pour la journée. Plusieurs répondants disent avoir apprécié cette belle initiative. Les commentaires écrits témoignent de leur désir que se reproduise une journée semblable dans un avenir rapproché. Plus de 91 % des participants sont prêts à s’engager dans des mécanismes d’action concertée entre les réseaux. Les conférences Les conférences ont dans l’ensemble été très appréciées, même si quelques différences se font sentir quant à la pertinence et à l’intérêt de certaines initiatives. Le programme de formation en conciliation travail-études proposé par la commission scolaire de Saint-Hyacinthe a été l’initiative la plus appréciée. En effet, environ 72 % des gens étaient tout à fait en accord avec la pertinence et l’intérêt du programme. L’atelier de concertation Au sujet du déroulement de l’atelier, 85,4 % des gens ont répondu l’avoir trouvé assez satisfaisant et très satisfaisant. Sa pertinence a été jugée très satisfaisante à 64,4 %. À la question « L’atelier m’a vraiment permis d’échanger avec mes partenaires », les participants ont répondu à 87,9 % être tout à fait en accord (50,5 %) et plutôt en accord (37,4 %). À la question « L’atelier m’a vraiment permis d’identifier des pistes de solution à envisager avec mes partenaires », les participants ont répondu à 83,4 % être tout à fait en accord (46,1 %) et plutôt en accord (37,3 %).

1. Rédigé par Martine Lesage, ASSSM. Les calculs ont été faits sur la base des pourcentages valides.

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Transcription des commentaires

SECTEUR COMMENTAIRES

Éducation Le forum aurait été plus productif s’il s’était tenu sur une journée et demie.

Faire un forum annuel afin de bien suivre les enjeux et l’évolution des diplômes et des effectifs.

Bon point de départ. Le reste vous appartient.

Très stimulant, partage enrichissant.

Assurer un suivi à cette journée.

Comment intégrer à nos discussions les instances syndicales ?

Réorganisation du travail en santé, c’est obligatoire. Où sont les syndicats ???

La salle pour le grand groupe était trop petite.

Il serait souhaitable de mettre beaucoup d’accent sur la rétention des employés du milieu de la santé. Ce type de journée devrait se répéter pour contrer la pénurie.

Salles froides au début, salles trop petites.

BRAVO ! Excellente initiative.

Journée un peu trop chargée. Suggestion : étendre le forum sur 2 jours.

Beaucoup de « matière ». Très belle journée. Très intéressante.

Quelle belle journée enrichissante ! Il doit absolument y avoir une suite à court terme. S.V.P.

BRAVO !

Il ne devrait pas y avoir d’atelier de 54 personnes.

Logistique trop lourde, salle trop petite, perte de temps à placer les tables et les chaises. Coin pour pause très coincé.

Le grand mérite de la journée est de nous faire réaliser que nous travaillons trop en silos et qu’il faut se parler davantage et travailler ensemble pour solutionner le problème.

Je suis très satisfaite de la journée. Je pense que c’était la première fois que l’éducation et la santé se parlaient. J’en suis très fière. Je regrette que la sous-ministre n’ait pas assisté à cette rencontre.

Merci beaucoup.

À l’avenir, il faut prévoir une salle adaptée au nombre de participants. Réduire le temps ou le nombre des interventions pour respecter l’horaire.

Notre atelier (no 2) a dévié vers les programmes et la promotion et n’a pas bien cerné le problème, ni dégagé des pistes d’action qui étaient reliées aux sujets mentionnés. Par contre, beaux échanges et belles pistes relatives aux programmes et à la promotion.

Merci !

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Bravo !

Salle trop petite. Atelier 1 : décevant.

Dans l’ensemble, la journée est très pertinente. Démontre l’intérêt à mieux se connaître et à se parler.

Pas assez de gens des milieux scolaires provenant du secteur jeunes, car la promotion commence à ce niveau.

Continuer d’inviter et de faire participer les décideurs (d.g.).

Trop de présentations. Devrait respecter l’ordre du jour en terme de temps.

Emploi Bien organisé et pertinent. À suivre.

J’aurais souhaité une meilleure concertation entre la santé, l’éducation et Emploi-Québec. J’ai eu l’impression de ne pas me sentir toujours concernée.

Trop de personnes par atelier, cela ne favorise pas les échanges.

J’aurais souhaité entendre davantage de témoignages de réussites en Montérégie compte tenu de l’étendue du territoire. Il y a sûrement des innovations qui méritent d’être partagées.

Déroulement en avant-midi un peu rapide. Journée très importante et prometteuse. Félicitations.

Manquent :

Les élus, puisqu’il doit y avoir des décisions politiques;

Les syndicats et les ordres professionnels;

Les représentants des usagers du réseau de la santé.

Comment faire différemment pour répondre à un besoin urgent ?

Ça devrait être un slogan auquel tous adhèrent.

Très belle initiative. Merci.

Échanges très intéressants.

Santé Lieu physique inadéquat – Table ronde pas confortable.

Nous étions tassés !

AM trop chargé, pas de contrôle sur le temps.

Excellente conclusion. Bravo !

Local pour les plénières beaucoup trop petit.

Espace trop restreint.

Très belle, très belle initiative.

Cette activité devrait être annuelle car elle permet de comprendre les problèmes de chacun des secteurs et de prendre connaissance des bons coups.

La salle était trop petite.

Merci au comité organisateur.

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Intéressant dans le fait de bien saisir l’ampleur. Toutefois, dans la réalité, il ne sera pas possible de vraiment faire croître l’embauche s’il n’y a pas d’augmentation des salaires, si les syndicats ne se concertent pas.

NB. Ne pas oublier que la population vieillit. Il ne faut pas oublier de s’assurer de faire la promotion de la santé afin de réduire l’utilisation de nos milieux. Vieillir en santé.

Salle trop petite, froide et chargée. Bonne animation. Horaire très comprimé.

Activité stimulante et enrichissante !

Il aurait été intéressant d’avoir des questions claires lors de l’atelier afin de guider la discussion et de favoriser l’émergence de solutions actualisables RAPIDEMENT !

Merci !

Félicitations pour cette belle initiative. Il faut continuer de se concerter.

Bravo !

Temps beaucoup trop court alloué pour les présentations.

Espace trop restreint pour le nombre de participants, à la fois pour les plénières et pour les ateliers.

Le contenu était extrêmement riche, mais trop dense pour une seule journée !

Bravo tout de même pour le contenu.

Seul bémol : j’aurais aimé que ça commence à l’heure, à 9 h, de cette façon les participants auraient senti moins de pression dans leurs présentations.

Point positif : super de regrouper tous ces intervenants et je souhaite qu’on se revoie dans un avenir rapproché sur l’évolution des projets.

Bonne journée à condition qu’on s’engage à poursuivre.

Salle trop petite.

Merci. Mais le lieu devrait être changé. Je pense que nous devons refaire l’exercice.

Beau dynamisme dans la salle. La richesse est à venir !

Conférence régionale des élus

Très intéressant pour un CRE, car cela permet de connaître notre milieu. Serait intéressant de faire des colloques pour les élus, les personnes qui ont du pouvoir mais qui ne connaissent pas ou ne maîtrisent pas la problématique.

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Tableau des fréquences pour chaque question

Organisation générale Q1.1 Accueil et inscription

Fréquence Pour cent Pourcentage

valide Pourcentage

cumulé 2 peu satisfaisant 1 0,9 0,9 0,93 assez satisfaisant 26 23,4 23,4 24,34 très satisfaisant 84 75,7 75,7 100,0

Valide

Total 111 100,0 100,0 Moyenne : 3,75 (111 réponses) Q1.2 Repas et pauses santé


valide Pourcentage


Valide

Total 108 97,3 100,0 Manquante 9 nsp/pr 3 2,7 Total 111 100,0 Moyenne : 3,41 (108 réponses) Q1.3 Lieu de l'événement


valide Pourcentage

cumulé 1 pas du tout satisfaisant 7 6,3 6,4 6,42 peu satisfaisant 20 18,0 18,3 24,83 assez satisfaisant 35 31,5 32,1 56,94 très satisfaisant 47 42,3 43,1 100,0

Valide

Total 109 98,2 100,0 Manquante 9 nsp/pr 2 1,8 Total 111 100,0 Moyenne : 3,12 (109 réponses) Q1.4 Documents remis (pochette du participant)


valide Pourcentage

cumulé 3 assez satisfaisant 21 18,9 18,9 18,94 très satisfaisant 90 81,1 81,1 100,0Valide Total 111 100,0 100,0

Moyenne : 3,81 (111 réponses)

23

Q1.5 Animation


valide Pourcentage


Valide

Total 106 95,5 100,0 Manquante 9 nsp/pr 5 4,5 Total 111 100,0 Moyenne : 3,66 (106 réponses) Q1.6 Atelier (pertinence)


valide Pourcentage


Valide

Total 104 93,7 100,0 Manquante 9 nsp/pr 7 6,3 Total 111 100,0 Moyenne : 3,60 (104 réponses) Q1.7 Atelier (déroulement)


valide Pourcentage


Valide

Total 103 92,8 100,0 Manquante 9 nsp/pr 8 7,2 Total 111 100,0 Moyenne : 3,28 (103 réponses)

Q1.8 Déroulement de la journée (rythme, durée des présentations)


valide Pourcentage

cumulé 1 pas du tout satisfaisant 2 1,8 1,9 1,92 peu satisfaisant 15 13,5 14,3 16,23 assez satisfaisant 60 54,1 57,1 73,34 très satisfaisant 28 25,2 26,7 100,0

Valide


24

Allocution d’ouverture Q2 La présentation a bien mis en perspective les enjeux importants qui allaient être discutés dans la journée


valide Pourcentage

cumulé 2 peu en accord 4 3,6 3,7 3,73 plutôt en accord 53 47,7 49,5 53,34 tout à fait en accord 50 45,0 46,7 100,0

Valide


La planification de la main-d’œuvre en matière de santé et de services sociaux : enjeux

Q3.1 La présentation de M. Benoit a réussi à me sensibiliser à la précarité de la situation en matière de main-d'œuvre


valide Pourcentage


Valide

Total 109 98,2 100,0 Manquante 9 nsp/pr 2 1,8 Total 111 100,0 Moyenne : 3,59 (109 réponses) Q3.2 La présentation de Mme Dion a réussi à me sensibiliser aux enjeux du milieu de l'éducation relativement à l'offre de formation


valide Pourcentage


Valide

Total 107 96,4 100,0 Manquante 9 nsp/pr 4 3,6 Total 111 100,0 Moyenne : 3,61 (107 réponses) Q3.3 Les présentations de M. Benoit et de Mme Dion étaient intéressantes


valide Pourcentage


Valide


25

Des initiatives intéressantes de collaboration intersectorielle : des projets novateurs

Q4.1 Projet PRIMOS : la présentation était pertinente


valide Pourcentage


Valide

Total 109 98,2 100,0 Manquante 9 nsp/pr 2 1,8 Total 111 100,0 Moyenne : 3,37 (109 réponses) Q4.2 Projet PRIMOS: le projet est intéressant


valide Pourcentage


Valide


Q4.3 Programme de formation en conciliation travail-études : la présentation était pertinente


valide Pourcentage


Valide

Total 110 99,1 100,0 Manquante 9 nsp/pr 1 0,9 Total 111 100,0 Moyenne : 3,71 (110 réponses) Q4.4 Programme de formation en conciliation travail-études: le projet est intéressant


valide Pourcentage

cumulé 3 plutôt en accord 30 27,0 27,5 27,54 tout à fait en accord 79 71,2 72,5 100,0Valide Total 109 98,2 100,0

Manquante 9 nsp/pr 2 1,8 Total 111 100,0 Moyenne : 3,72 (109 réponses)

26

Q4.5 Projet d'intégration d'étudiants en milieu professionnel : la présentation était pertinente


valide Pourcentage

cumulé 1 pas du tout en accord 1 0,9 0,9 0,92 peu en accord 3 2,7 2,8 3,73 plutôt en accord 52 46,8 48,1 51,94 tout à fait en accord 52 46,8 48,1 100,0

Valide

Total 108 97,3 100,0 Manquante 9 nsp/pr 3 2,7 Total 111 100,0 Moyenne : 3,43 (108 réponses) Q4.6 Projet d'intégration d'étudiants en milieu professionnel : le projet est intéressant


valide Pourcentage


Valide

Total 106 95,5 100,0 Manquante 9 nsp/pr 5 4,5 Total 111 100,0 Moyenne : 3,45 (106 réponses) Q4.7 Outil informatisé pour le placement des étudiants2 : la présentation était pertinente


valide Pourcentage


Valide

Total 106 95,5 100,0 Manquante 9 nsp/pr 5 4,5 Total 111 100,0 Moyenne : 2,97 (106 réponses) Q4.8 Outil informatisé pour le placement des étudiants2 : le projet est intéressant


valide Pourcentage


Valide


2. Le placement des étudiants dans cette question fait référence à la coordination des stages.

27

Q5.1 L'atelier de concertation : l'atelier m'a vraiment permis d'échanger avec mes partenaires


valide Pourcentage


Valide

Total 107 96,4 100,0 Manquante 9 nsp/pr 4 3,6 Total 111 100,0 Moyenne : 3,36 (107 réponses) Q5.2 L'atelier de concertation : l'atelier m'a vraiment permis d’identifier des pistes de solutions à envisager avec mes partenaires


valide Pourcentage


Valide


Perception globale de la journée Q6.1 Les objectifs de la journée étaient clairs


valide Pourcentage


Valide

Total 106 95,5 100,0 Manquante 9 nsp/pr 5 4,5 Total 111 100,0 Moyenne : 3,57 (106 réponses) Q6.2 Les objectifs de la journée ont été atteints


valide Pourcentage


Valide


28

Q6.3 De façon générale, quel est votre niveau de satisfaction ?


valide Pourcentage


Valide


Prospection Q7 Prospection : Suis-je prêt à m'engager dans des mécanismes d'action concertée entre les réseaux ?


valide Pourcentage

cumulé 1 non 1 0,9 1,0 1,02 oui 96 86,5 91,4 92,43 je ne sais pas 8 7,2 7,6 100,0

Valide


Secteurs représentés par les répondants


valide Pourcentage

cumulé 8 7,2 7,2 7,2CRE Longueuil 2 1,8 1,8 9,0DI et TED (déficience intellectuelle et troubles envahissants du développement)

1 0,9 0,9 9,9

Éducation 50 45,0 45,0 55,0Éducation-Santé 1 0,9 0,9 55,9Emploi 16 14,4 14,4 70,3Santé 32 28,8 28,8 99,1Saint-Jean-sur-Richelieu 1 0,9 0,9 100,0

Valide

Total 111 100,0 100,0

29

Sigles et acronymes des réseaux de la santé, de l’éducation et d’Emploi-Québec Santé et services sociaux ASSSM : Agence de santé et de services sociaux de la Montérégie CIR : Commission infirmière régionale CSSS : Centre de santé et de services sociaux ETC : Équivalent temps complet GMF : Groupe de médecine de famille MSSS : Ministère de la Santé et des Services sociaux PAB : Préposés aux bénéficiaires PMO : Planification de la main-d’œuvre RLS : Réseaux locaux de santé et de services sociaux RUIS : Réseaux universitaires intégrés de santé

RNI: Ressource non institutionnelle

Emploi-Québec CLE : Centre local d’emploi CNP : Classification nationale des professions MELS : Ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale MFOR : Mesure de formation financée pour les clients d’Emploi-Québec dans une

formation à temps plein SCIAN : Système de classification des industries de l’Amérique du Nord

Éducation, loisir et sport ABES : Assistance aux bénéficiaires en établissement de santé (le diplôme permet

d’accéder au titre de préposé aux bénéficiaires) AFS : Assistance familiale et sociale aux personnes à domicile (le diplôme permet

d’accéder au titre d’auxiliaire familiale et sociale)

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ASP : Attestation de spécialisation professionnelle CCRFPT : Comité de concertation régionale en formation professionnelle et technique CFP : Centre de formation professionnelle CISEP : Conseillers en information scolaire et professionnelle CO : Conseillers en orientation CS : Commission scolaire DEC : Diplôme d’études collégiales DEP : Diplôme d’études professionnelles EFP : École de formation professionnelle FII : Formation infirmière intégrée (le diplôme permet d’accéder au titre

d’infirmière bachelière par une formation passerelle entre le DEC/BAC) FP : Formation professionnelle FT : Formation technique ITA : Institut de technologie agroalimentaire MELS : Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport SASI : Santé, assistance et soins infirmiers (le diplôme permet d’accéder au titre

d’infirmière auxiliaire) TEIOM : Table d’éducation interordres de la Montérégie Autre CRE : Conférence régionale des élus