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BULLETIN BULLETIN DE LIAISONDE LIAISON N° 12 Avril 2013
Éditeur responsable : R. Vanhamme - [email protected] Rédaction : J-M. Luffin – [email protected] 16 rue des Tanneries, 5580 Rochefort 16 rue du Hableau, 5580 Rochefort
SOMMAIRE :
P. 1 Notre régionale s'agrandit
2 Soyez des nôtres à Libramont
3 L'aube des oiseaux
4 De chouettes visiteuses
5 Chauves-souris en pagaille
7 Devine qui vient manger...
10 Gestion « sécurisante» en Semois
12 Réunion de la Régionale
13 Fiche didactique
15 Le Coin de Suzin
16 Retour du CCR
18 Question sans réponse
19 Insolite - Zoom
La sobriété de l'humanité passe par la légèreté de son effectif. M.Tarrier
«Quand cessera-t-on de penser qu'on peut fabriquer des citoyens de demain en éduquant les enfants avec de simples slogans sans rien modifier à l'environnement pestilentiel dans lequel ils évoluent ? » T. Nasreen.
1 A tous les échos
NOTRE REGIONALE S'AGRANDIT
En Famenne aussi on sait pratiquer l'extension...
...la preuve !
AA fin de faire correspondre les territoires de la Régionale et de la Commission de Gestion « Famenne », l’entité communale de Houyet vient d’être intégrée dans la Régionale Famenne.
Et bienvenue aux « nouveaux » membres
Nous remercions la Régionale « Entre Meuse et Lesse » d’avoir permis cette simplification qui nous associent les membres Natagora du territoire de l’entité communale de Houyet. Il va de soi que ceux-ci recevront dorénavant notre bulletin de liaison ainsi que toutes les informations famennoises. La Régionale « Famenne », tout comme la Commission de gestion, s’étend désormais sur les entités communales de Marche-en-
Famenne, Nassogne, Tellin, Wellin, Rochefort, Beauraing et Houyet.
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A vos marques...
Soyez des nôtres à Libramont
Le 20 avril à LibramontLe 20 avril à Libramont
C'est le « Printemps grandeur nature »
NATAGORA FAMENNE VOUS INVITE SUR SON STAND
Notre stand sera entouré d’un marché de produits de bouche, produits biologiques, village nature, jardins, ateliers de démonstration, construction de nichoirs, aména gement de jardins naturels scolaires, démonstration de semis de prairies fleuries,...
La journée comportera également :
Une conférence « hirondelles »
Présence du « réseau nature »
Vanneries d’extérieur
Set acoustique de Natasha Saint Pierre
Visite de deux parrains : Bruno Coppens et Alain Hubert
L'émission en direct depuis la foire, sur VivaCité
Et enfin le reportage télévisé, qui sera visible sur la UNE (RTBf), le dimanche 21 avril.
Une organisation de Natagora Ardenne centrale, la Ville de Libramont et sa Foire
et la Province de Namur.
TOUS A LIBRAMONT LE 20 AVRILTOUS A LIBRAMONT LE 20 AVRIL !!
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L'AUBE DES OISEAUX
MERCREDI 1er MAI 6h30...
Debout, disciplesDebout, disciples !! !!
etrendez-vous devant
l'entrée « BELGACOM LESSIVE »
Un grand spectacle sonore à deux pas de chez nous
Au retour de la balade, la Régionale Natagora Famenne vous offrira le petit déjeuner (inscription obligatoire auprès de Robert Vanhamme : [email protected]).
(Guides : Jacques Gallez et Thibaut Goret – Life Prairies Bocagères).
Pour tout renseignement : Jacques GALLEZ – [email protected]
Découvrez-nous et nos chants,au moment où nous sommes
les plus actifs !
Profitez-en pour visiter la réserve naturelle de la Basse Wimbe, entre Lessive et Genimont !
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Du tonneau de Diogène
De chouettes visiteuses
La nature est bien présente en ville, à deux pas de chez soi.
Le Département de la Nature et des Forêts (DNF) a équipé les combles de l’Église décannale de Rochefort (centre) d’un nichoir à chouette effraie muni d’une caméra infra-rouge.
Jusqu’ici, cette chouette y occupait un nichoir à choucas des tours, trop exigu, si bien que la reproduction était limitée à deux jeunes par nichée, alors qu’une femelle de chouette effraie pond en général de 4 à 8 œufs. Le remplacement du nichoir s’imposait donc.
Nous avons décidé d'équiper ce nouveau nichoir d’une caméra infra-rouge, de manière à sensibiliser les rochefor- tois et plus particuliè-
rement les écoles toutes proches. L’image est disponible pour tous sur internet (voir les coordonnées ci-dessous).
Pour le moment, le nichoir est encore vide et la caméra nous renvoie l’image du fond du nichoir… vide. Cela n’est pas inquiétant car, en dehors de la période de nidification, la chouette effraie ne passe pas son temps dans son nichoir mais sur une poutre dans une grange ou dans un grenier plus ouvert … Les pontes s’échelonnent généralement de la mi-mars à la mi-août (informations générales sur l’oiseau notamment disponible sur :http://www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/effraie_des_clochers/184042 ouhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Chouette_effraie ).
Espérons que le nichoir soit occupé dès cette année et que chacun puisse profiter des images qui seront diffusées.
Lien : https://eu.mydlink.com/ Login : [email protected] Mot de passe : cheaptchip_jss
Pour pouvoir visualiser les images, le programme Java doit être installé préalablement et les autorisations adéquates données à votre navigateur internet (opération facile sur un PC privé mais parfois difficile ou impossible pour des PC en réseau avec pare-feux, systèmes de sécurité divers etc).
Les personnes qui souhaiteraient être averties, lorsque le nichoir sera occupé, peuvent se manifester par retour courriel. Un détecteur de mouvement nous enverra un message automatique et nous vous ferons suivre l’information. Jean-Sébastien SIEUX, Attaché, Chef de Cantonnement
Tél. : +32 (0) 84 22 05 81 - Gsm : +32 (0) 477 78 13 90
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Chauves-souris en pagaille
Vous avez toujours voulu en savoir plus sur les chauves-souris ?
Fini le temps où on les clouait aux portes, pour attirer la malédiction, parce que, d'aspect inquiétant, surgissant au crépuscule de mystérieuses cavités, les esprits naïfs voyaient en elles une émanation du Malin. A l'instar des cétacés, ces très utiles mammifères ont de quoi nous surprendre, avec leur système de déplacement par écholocation, leur vie sociale nocturne, leur technique de chasse.
Minuscules ou de tailles imposantes on dénombre de par le monde près d'un millier d'espèces de ces animaux étranges et fascinants. S'ils affectionnent les grottes, ils ont également besoin des forêts et d'autres lieux de rassemblement. C'est une bonne raison pour
que, chez Natagora, certains chantiers d'entretien leurs sont spécialement consacrés.
Suite à la déforestation, à la lutte massive contre les insectes, les chauves-souris ont disparu de certaines contrées. C'est pourquoi il faut à la fois lutter contre le déboisement, réduire de manière drastique les insec- ticides et protéger les espaces de vie et de quiétude des chauves-souris. Il importe tout autant de réduire la pollution lumineuse (excès d'éclairage nocturne), de leur ménager des accès aux caves, tunnels et souterrains.
Mais pour en savoir plus et vous investir dans une démarche pédagogique, deux formations vous sont proposées.
Voyez page suivante...
Grmlbl...Chauve, chauve, pfeu... Pas si chauve que ça !
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le fureteur
Devine qui vient manger au jardin...
C'est en février dernier,C'est en février dernier, que Natagora lançait sonque Natagora lançait son opération de comptage deopération de comptage de nos petits amis ailés.nos petits amis ailés.
S'il est évident que tout un chacun ne dispose ni d'un jardin ni du temps requis à la patiente et régulière obser vation des volatiles qui évo luent à proximité de nos habitations, c'est tout de même 164 foyers qui ont participé à l'opération, pour la région famennoise. C'est dire que cette modeste action ne laisse pas totalement indifférent.
Puis, si d'aucuns se contentent de placer quelques boules de graisse et ne s'en préoccupent guère ensuite, d'autres s'évertuent à un nourrissage attentif de plusieurs mois, sans y faillir un seul jour.
L'installation de plusieurs mangeoires ne peut que contribuer au succès des arrivages d'une foule d'oi seaux que l'on n'aurait que peu de chance d'observer, chez soi, si aisément et en si grand nombre.
Au passage, soulignons que peu avant ou après les dates de comptage, le nom bre des visiteurs peut va rier du simple au triple !
Voyons ciaprès les deux ta bleaux de recensement de quelque 49 espèces, pour la Famenne.
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Billet d'humeur
Gestion « sécurisante » en Semois
La sécurité, pour qui, pourquoi, pour combien de
temps ? J-M. Luffin
D'un côté on s'évertue opiniâtrement à protéger, à entre- tenir, subventionner...
...Pendant que de l'autre, sans protocole ni dialogue, au détriment d'accords passés, de sites dument protégés on « sécurise » avec des moyens peu en rapport avec toute la prudence, le soin et la considération que les instances décisionnelles devraient avoir développé vis-à-vis de notre environnement depuis longtemps.
Natagora mise devant le fait accompli...
Quels sont les responsables à tous les niveaux ? Quelles sanctions seront prises, qui fera réparation et de quelle manière ?
Avec l'intervention sur les bois, berges et zones protégées en Semois, dont Natagora a dénoncé sur son site l'ineptie, il ressort que ce plus grand propriétaire terrien de Belgique est, d'une certaine manière, ridiculisé dans ses prétentions à la sauvegarde d'un patrimoine qui est commun. Confrontés à un phénomène d'abus dangereux, nous devons exiger explications et réparations !
Nous sommes membres d'associations aussi pour être entendus et défendus !
Que l'on soit favorable ou non à une gestion régulière, à une intervention programmée sur la nature, que l'on soit simple sympathisant de la cause environnementale, il ressort que face à des cas qui bafouent l'investissement des aides européennes et celui des gestionnaires de réserves naturelles, il est du devoir de chacun(e) des « écologistes dans l'âme » de s'insurger. C'est le moment, en Wallonie, d'affirmer que nos choix environnementaux n'ont aucune parenté avec ceux qui concernent une fraction de la population, fut-elle laborieuse ou non, mais concernent bel et bien l'ensemble de la société, sachant que notre avenir passe obligatoirement par la nature.
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Au nom de la « sécurisation » (prétexte sournois dont on n'a manifestement pas fini d'user) de berges longeant certains endroits de parcours désormais dévolus aux sportifs de plein air, tels que les kayakistes, censés eux-aussi être des « amoureux de la nature », il s'agit surtout (ne nous leurrons pas !) de préserver un apport économique. Et comme toujours, au détriment de l'environnement...
Nous n'ignorons pas ce que la pratique du kayak engendre comme nuisances ; tant dans l'eau (bruit, déchets de toutes espèces,...), que sur les berges (amoncellement peu glorieux de sacs en plastiques,...), sur les routes (le transport incessant des embarcations dans des conditions peu en rapport avec la convivialité et la sécurité routière...), sans parler du dérangement permanent vis-à-vis de la micro-faune et de la flore.
Quoi qu'il en soit, il s'avère qu'entre le sport et la nature, entre la finance et la nature, l'homme choisit toujours la nature comme moyen de parvenir à ses fins lucratives. C'est tellement facile, puisqu'elle ne peut ni se plaindre ni se défendre elle-même. Et c'est bien la plus noble des raisons pour laquelle les écologistes s'en chargent – bénévolement ! - aussi dans l'intérêt de ceux qui s'en moquent éperdument.
Lorsque des arbres et la nature en général indisposent l'homme, n'est-ce pas plutôt l'homme qui dérange ?
Mais encore, que signifie désormais « protéger » un espace naturel commun si l'on peut y perpétrer des dégâts au nom d'une sécurité qui ne concerne qu'une minorité de personnes dont les droits et les « besoins » passent avant celui de l'environnement ? Il est grand temps de revoir, sans sentimentalisme ni traditionalisme blet, l'impact réel et à long terme de certaines de nos activités, fussent-elles « économiques ».
Une fois de plus, il est remarquable que c'est l'intérêt financier (astucieusement escamoté) qui prime dans la relation entre l'humain et son milieu de vie. Faudra-t-il, demain, fermer les gouffres, interdire les parois en montagne, sous prétexte que les citoyens risquent de s'y trouver en péril ? Invariablement, l'aspect économique suffit à faire passer à l'acte n'importe qui, rapidement et avec les plus grands moyens, avant le travail de longue haleine, avant le long et lent investissement d'associations de préservation de l'environnement. C'est tout simplement intolérable et il conviendra de s'en souvenir lors des prochaines élections...
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A vos marques...
Réunion de la Régionale Famennoise
Nous vous donnons rendez-vous
le vendredi 26 avril à 19 heures, au 16 rue des Tanneries à Rochefort
L'objet essentiel de l'ordre du jour concernera les modalités d’organisation de notre marche Adeps du 26 mai à Lomprez.
Nous invitons donc tous ceux qui sont prêts à donner un coup de mains pour la mise en place de cette activité à se manifester.
L’ordre du jour complet vous sera transmis en temps opportuns.
Les sandwiches et boissons seront prévus : PAF 5 euros.
Ah non, décidément, tout compte fait et tout bien réfléchi...
les éoliennes c'est moche.
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FICHE DIDACTIQUE
Réserve naturelle du Coin de Suzin, à Rochefort
Brize intermédiaire Briza media (famille des Poacées
Botanique
Plante vivace de la famille appelée anciennement graminée. Ses rhizomes forment des touffes de tiges feuillées. Hauteur : de 30 à 60 cm.
Le panicule floral est très lâche de forme triangulaire. Les épillets sont pendants et tremblent au vent car ils sont suspendus par des pédoncules très fins. Les épillets sont brillants, ovoïdes et aplatis composés de 4 à 12 fleurs qui s’imbriquent en forme de cœur.
Biotope
La brize intermédiaire pousse dans les pelouses, prairies et dunes de préférence sur des sols non amendés.
Noms populaires (vernaculaires)
Amourette, brize tremblante, tremblotte, tremblette, langue de femme.
Etymologie
Le genre Brize vient du grec brithô qui signifie « je balance ». Ce sont des plantes graciles, les pédoncules filiformes de leurs épillets donnent à ces derniers cette mobilité particulière qui a valu son nom au genre et à la plante ses noms populaires. Ses épillets en forme de coeur lui ont valu le surnom d’amourette.
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Petite histoire
l l semblerait bien que, malgré que cette plante soit très jolie et porte le très joli surnom d’amourette, elle n’ait aucun usage médicinal ou culinaire. Nous n’avons pas trouvé de légende à son sujet. Mais si vous en connaissez une ou un usage particulier, nous vous remercions de nous le communiquer. A défaut de petite histoire, nous vous laissons l’admirer et l’offrir à votre amoureux(se)...
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La réserve naturelle du Coin de Suzin à Rochefort…
un écrin de biodiversité
Nous étions le 8 mai. Nous nous sommes arrêtés le long de la route nationale, et nous pouvions apercevoir au-delà de la haie de grandes taches pourpres dans la prairie. Nous nous sommes engagés dans l’herbe encore rase au milieu d’une prairie étoilée de pourpre. Les orchidées (Orchis bouffon) se comptaient par milliers. Plus exactement, cette fois là, nous en avons compté 14.000...
La réserve naturelle du Coin de Suzin se trouve le long de la route nationale Rochefort-Ciney à la sortie de la Ville de Rochefort.
Elle fait partie de terrains communaux loués par l’asbl Natagora et est très exactement située sur la bordure méridionale de la haute Famenne, sur un substrat schisteux.
Cette réserve constitue le témoin de ce que devaient être les prairies famennoises et leurs bocages jusqu’au milieu du siècle passé. En effet, par bonheur, jusqu'ici ces prairies ont échappé à la banalisation et ce, parce qu’aucun engraissement du sol n’y a été pratiqué.
Grâce à cela, c’est toute la biodiversité famennoise qui y est encore présente avec une diversité d’espèces remarquables, dont cer- taines rares.
Outre les orchidées, nous pouvons citer la présence du colchique, de la succise, de la pie grièche, du rossignol, du papillon machaon, et tant, tant d'autres…
Rens.: le conservateur Robert VanhammeRens.: le conservateur Robert Vanhamme téléphone 0498/100 271 téléphone 0498/100 271 ou ou [email protected]@gmail.com.
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A tous les échos
Retour du Centre Culturel de Rochefort
ABEILLES, SENTINELLES DE NOTRE ENVIRONNEMENT
C'était une manifestation chapeautée par le Centre Culturel des Roches de Rochefort, à laquelle participait la Ré- gionale Natagora Famenne (nous vous l’avions annoncée dans le précédent bulletin de liaison !)
Avec ce projet, le CCR souhaitait sensibiliser la population au rôle des abeilles sauvages dans l’agriculture et l’écologie, dans la perspective de favoriser une réflexion tendant vers une bonne intelligence entre le caractère indispensable de la protection des abeilles mellifères et des abeilles sauvages.
La Régionale Natagora Famenne s’est investie dans ce projet, notamment :
- Le 2 mars, en tenant, dans la grande salle polyvalente du CCR, un stand
impossible à manquer pour un public nombreux (que nous estimons à 500
personnes). Avec mise à disposition du public de la documentation, un jeu
éducatif pour tous les âges sur la nature au jardin et un atelier de fabrication
de nichoirs à abeilles pour les enfants … et les autres.
- La mise en place de la magnifique exposition « Natagora Servais » : douze
panneaux sur la nature au jardin, qui ont eu beaucoup de succès.
- Les 7 et 8 mars, pour proposer à 200 enfants des écoles du Centre et St
Joseph à Rochefort, la fabrication d’abris à abeilles, la découverte du jeu de
« Monsieur Raztout et Monsieur Bestioles »... ou comment accueillir la nature
au jardin, dessins et coloriage d'un insecte, au choix, sur une rondelle de bois.
- Le mercredi après-midi , au sein de l’école des devoirs « La Farandole », pour
animer la construction d’un hôtel à insectes destiné au jardin des enfants.
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Il est très encourageant, pour toutes les personnes soucieuses de l'environne- ment, de constater le suc- cès populaire d’une telle manifestation à laquelle nous avons eu grand plaisir à participer.
Merci à toutes celles et ceux qui nous ont rendu visite !
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Question sans réponse
QUI PEUT NOUS DIRE ?...
...A qui avons-nous affaire ?
n°11 : iI s'agissait du fruit du corossolier – annona muricata
Pour faire parvenir votre réponse : [email protected]
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L'insolite du mois
A voir, à revoir, à lire, à relire... A transmettre, à méditer,...
Sur Google :
De la servitude moderne
Lovemeatender par amour de la viande ?
La Belgique sauvage
A lire :
Ravage, René Barjavel, Folio
Site à découvrir :
www.fermearcenciel.be
