BULLETIN de l’U.D.A.P.E.L. 35 N° 4 – novembre - décembre 2001

LES NOUVEAUX PRESIDENTS

Rennes 1

Laurent Rousseau au collège St Hélier Valérie Delacroix à l’école Ste Croix à Chateaugiron

Rennes 2 Brigitte Leblond au collège St Gabriel Patricia Bornais Reulat au lycée St Martin Florence Cabanis à l’école St Joseph Ste Anne de Pacé Pascal Millot à l’école Sainte Marie de Gévezé

Rennes 3 Agnès Pleuvier de la Pontais au lycée le Roscoat Marie Pierre Raffegeau au lycée Jeanne d’Arc Sylvie Dersel au lycée St Etienne à Cesson Sévigné Vincent Charvet à l’école Raoul Follereau de Betton

Rennes 4 Sylvie Jouaux à l’école Notre Dame de Bourg des Comptes Corinne CHAMBRY à l’école St Joseph de Rennes M Massot au collège St Joseph de Guignen Guy Archambeau à l’école la Providence de Bruz

Pays de Saint Malo Diane Dubareul à l’école Ste Thérèse de St Père

Corinne Trincart à l’école St Jean de Dinard Dominque Frin au collège Ste Marie de Dinard Pascal Totel à l’école du Petit Choisy à St Malo Jocelyne Broux à l’école St Pierre à Pleurtuit Jean-Pierre Ganon au lycée Institution Saint Malo la Providence Patrick Soudan à l’école Amélie Fristel de St Malo

Pays de Vitré Marie France Bobille au collège St Joseph de Chateaubourg

Jean Pierre Pipard à l’école privée de St Didier Stéphane Bouvier à l’école St Aignan de Vergeal Marcel Angenard à l’école privée de Val d’Izé Françoise Guiheneuf à l’école Ste Marie de Servon sur Vilaine

Pays de Fougères Christian Touzard au RPI St Thérèse et Notre Dame

Danie Duval au collège Jeanne d’Arc de Fougères Martine Ethevenet au Lycée Notre Dame des Marais de Fourgères Patrick Ebalard à l’école de Ste Anne

Lors de la réunion de rentrée du secteur, nous avons eu le plaisir d’accueillir de nouveaux administrateurs d’APEL d’établissement. A l’issue du tour de table, il apparaît que les parents sont de plus en plus préoccupés par les problèmes immobiliers.

Les nouveaux présidents Dominique Nicolas au RPI Marcillé Robert de Visseiche

Patricia Cesbron au Collège St Joseph de Janzé Isabelle Cadorel à l’école St Catherine de Sienne à Tresboeuf Stéphane Choquet à l’école St Joseph de Retiers Chantal Croize à l’école Ste Thérèse de Boistrudan Marie Odile Gaigeot au collège St Joseph de Martigné Ferchaud Erwan Billet à l’ecole St Joseph de Piré sur Seiche

Ecole Sainte Marie de Boisgervilly. Grâce à la mobilisation de toute la

communauté éducative de l’école

Sainte Marie et l’aide financière de l’UNAPEL les élèves ont pu apprécier les nouveaux sanitaires

Les nouveaux présidents Alice Guinard à l’école St Joseph d’Irodouer Jacky SAGET à l’école Notre Dame de Montfort sur Meu René Marque à l’école privée de Landujan Mme Lemaitre à l’école privée de Romillé Roland Hercouet à Jeanne d’Arc de Bréal sous Montfort Guy Tribodet à l’école Sainte Marie de Boisgervilly

Cap sur la Moldavie pour des lycéens du Lycée Marcel Callo à Redon Il y a un an, deux professeurs du lycée Marcel Callo lançaient un défi à 15 élèves de terminale : remettre en état 3 ambulances pour les donner à la faculté de médecine de Chisinau. Un an plus tard, après 7000 km, 6 pays traversés , mission accomplie : les ambulances, chargées de matériel médical, couveuse, vêtements et jouets, sont livrées. Cette équipe n’est pas prête d’oublier les Roumains et Moldaves qui malgré leur désarroi devant l’avenir, leur ont ouvert leurs portes et leurs cœurs, ainsi que les enfants pieds nus sur le bord des routes, leur lançant des rires.

Les nouveaux présidents

Miche Lesage à l’école Ste Anne de la Noé Blanche Marie Laure Pondard à l’école St Joseph à Bains sur Oust Marie Christine Digue au RPI d’Ercé en Lamé et du Teillay Antoine Dutrieux au Collège St Joseph de Pipriac Josette Lefray au collège Le Cleu St Joseph de Redon Catherine Jouaux à l’école St Michel de Pléchatel

VOS SECTEURS « Mieux répondre aux besoins des personnes et des structures » est le voeu exprimé par Monsieur Pannetier dans l’éditorial de notre bulletin. C’est aussi le nôtre et voilà encore un objectif bien commun à l’enseignement catholique et à l’association de Parents de notre département ! En effet , l’UDAPEL à travers ses 11 secteurs représentés par les administrateurs a trois objectifs essentiels : 1. représenter tous les parents, 2. informer et former les équipes APEL, 3. apporter un service aux jeunes et à

leurs familles. Concrétiser ce souhait est possible avec la collaboration de chacun à travers un dynamisme et une réelle représentation de toutes les équipes APEL aux secteurs. Cette synergie engendrera naturellement des propositions et nous continuerons ainsi à être partenaires de l’éducation de nos enfants en étant force de propositions. Les parents de l’Enseignement Catholique ont toujours été porteurs d’idées nouvelles entendues et reprises par les instances de l’Éducation Nationale. L’ambition d’exprimer puis de répondre aux besoins des familles nécessite la pleine connaissance de leurs attentes. Le secteur -véritable lieu d’échanges- en est la terre nourricière. L’UDAPEL va donc consacrer cette année à organiser ses secteurs pour qu’ils soient au plus près de la vie des APEL de chaque communauté éducative. Votre participation, vos réflexions et vos critiques sont les bienvenues pour nous permettre de cheminer.

Jeanne Marie GUIFFANT

PAYS DE LA ROCHE AUX FEES

PAYS DE BROCELIANDE

PAYS DE REDON

Il est l6h30. Félix Boulé vient de raccompagner' les 9 enfants à leur taxi respectif. Il me reçoit dans sa classe. L'endroit. est chaleureux, niché sous les combles d'un bâtiment fraîchement rénové. LA : Félix Boulé, vous êtes professeur spécialisé de l'UPI, vous pouvez nous en en donner une définition et nous expliquez son fonctionnement ? FB : Commençons par l'abréviation UPI qui signifie Unité Pédagogique d'Intégration. C'est une classe regroupant un maximum de 10 élèves et qui a pour objectif de scolariser dans un collège disons"ordinaire" des jeunes de 11 à 16 ans ayant un handicap mental. Il s'agit de jeunes qui peuvent bien sur s'intégrer dans un milieu dit "non protégé", à la différence de structures d'accueil spécialisé comme les IM ou IMP* où l'enfant est pris en charge a 100%. Ici, les enfants ont une vie sociale et un rythme scolaire différent, plus à même de les faire progresser. LA : Comment sont nées les UPI ? C'est une suite logique de l'histoire de "l'Intégration" en France, mot qui a commencé à prendre tout son sens dans les années 80. C'est aussi une volonté parentale de poursuivre cette intégration au-delà du primaire ou ils existent des CLIS qui, elles, ont démarré début des années 90. LA : Y-a t-il beaucoup de demandes pour ces classes ? Enormément. Il y a en Ile et Vilaine 2 classes UPI, celle de St Hélier et une autre au collège public de Cleunay. Une troisième classe devrait s'ouvrir au collège de la T.A à la rentrée prochaine. Cela fait 30 places attribuées sur dossier par la CCSD*, une commission qui regroupe, sous la présidence de l'Education Nationale, des professeurs, des éducateurs, des psychologues et des parents. Chaque dossier est révisé tous les ans. LA : Et pourquoi St Hélier ? Le collège St Hélier a répondu à un appel d'offres lancé par la DDEC* et a ouvert ses portes à la rentrée 2000. LA : c'est seulement la deuxième

année. Cela se passe bien ? Les parents s'accordent pour dire que les jeunes progressent, ils sont heureux. Ils acquièrent du langage, ils savent tous lire. Ils sont dans une logique de progrès. cette forme d'intégration est pour les enfants en même temps stimulant et même temps angoissant, parce qu'en grandissant, ils ressentent de plus en plus le fossé qui les séparent des autres enfants. Mais leur autonomie grandit. Au self par exemple, les progrès sont énormes. Au début je les accompagnais tous les midis, et maintenant, je n'assure qu'un rôle de surveillance. Leur rythme scolaire est aussi calqué sur les autres élèves du collège, et chaque enfant suit des cours avec une des classes de 6ème . Il y a un véritable volontariat de la part des professeurs de la part des professeurs. LA : Comment êtes-vous devenu professeur d'UPI ? En 1981, j'étais instituteur en primaire dans une classe d'adaptation " Jeunes en difficulté provisoire" à St Armel, et en 1990 professeur d'une CLIS à l'école Ste Marie à Rennes. Quelques trente années plus tard, me voici ici. Le poste que j'occupe aujourd'hui à St Hélier c'est fait à la demande des parents, c'est aussi une confiance réciproque qui s'est créée entre eux et moi depuis 5 ou 6 ans... propos recueillis par Laurent Rousseau, Président APEL St Hélier

*Lexique CLIS : Classe d’Intégration Scolaire IME : Institut Médico Educatif IMP : Institut Médico Pédagogique CCSD : Commission de Circonscription du Second Degré DDEC : Direction Diocésaine de l’Enseignement Catholique

LES MIDIS DES PARENTS

Sanctions ou punitions, pour quoi faire ? mardi 18 décembre 2001 de 12h à 14h

19 bis place Ste Anne à Rennes Inscriptions au 02.99.79.75.27

LES SOIREES DES PARENTS

Etre parents à Noël Mardi 11 décembre de 20h30 à 22h30

19bis place St Anne à Rennes Inscriptions au 02.99.79.75.27

Dates à retenir Réunions de secteur

St Malo et Dol : 5 mars 2002 Brocéliande 5 mars 2002

Vitré et la Roche aux Fées 21 mars 2002

íííííí Pour contacter les correspondants de secteur :

Rennes 1 Michel Bruchet

02.99.31.30.32

Rennes 2 Loïc Hirel 02.99.64.58.88

Rennes 3 Françoise du Teilleul

02.99.83.32.30

Rennes 4 Gwenolé Boléis

02.99.42.36.27

Brocéliande Gervais Pinel 02.99.09.05.58

Redon Didier Carette

02.99.71.47.61

Vitré Bruno Léonardi

02.99.74.64.47

La Roche aux Fées

Michel Restif 02.99.43.62.39

Fougères René Larcher 02.99.97.81.36

ST Malo Yves Thual 02.99.58.61.59

La Baie et du Romantisme

Denis Fontaine

02.99.73.23.77

UDAPEL 35 45, rue de Brest

CS 34210 35042 RENNES CEDEX (( 02.99.33.75.13 ** 02.99.33.24.58

e-mail : udapel-35@wanadoo.fr

Copies recommandées pour diffusion.

Message à l’intention de Mesdames et Messieurs les Présidents : Merci de : PHOTOCOPIER le bulletin « Horizons » pour le remettre à votre Chef d’établissement et à votre équipe APEL, DIFFUSER les invitations aux manifestations dans un premier temps à vos équipes A.P.E.L puis à tous vos Parents par affichage dans l’école C’est ainsi que vous représenterez toutes les familles et développerez l’esprit associatif.

Comment redonner du sens aux fêtes chrétiennes dans notre calendrier ?

LE TEMPS DE L’AVENT LE TEMPS DE L’ATTENTE

Un calendrier rythmé !

Les chrétiens fêtent chaque année un grand événement : la résurrection de Jésus à Pâques. Mais il existe d’autres fêtes qui permettent de rappeler les grands moments de la vie de Jésus.

Noël, le 25 décembre célèbre la naissance de Jésus, c’est le Fils de Dieu qui se fait homme. Les chrétiens préparent cette fête pendant quatre semaines : c’est l’Avent

On écrit Avent mais pourquoi pas avant ? Deux homonymes ayant en effet une seule lettre de différence. Mais ces deux mots n’ont pas la même origine. v Le mot Avent vient du latin «

adventus » qui signifie venue. Ce participe passé est issu du verbe latin« advenire » qui a donné en français advenir arriver, survenir.

v Le mot avant vient du latin « ab ante » avant, devant.

Ce temps de l’Avent permet

aux chrétiens d’attendre la venue du Christ, la venue de Dieu fait homme que l’on fête à Noël.

Pour les chrétiens, l’année liturgique commence le premier dimanche de l’Avent, cette année le 2 décembre pour se terminer lors de la fête du Christ Roi en novembre.

Pourquoi ce temps ?

Nous passons une bonne partie de notre vie à attendre. Attendre le train pour travailler ou pour aller voir un ami, attendre le jour après la nuit pour le malade, attendre des nouvelles d’un enfant, d’un parent qui est loin, attendre une naissance, un anniversaire…

L’attente peut paraître longue, difficile ; on s’impatiente. Il est certes plus facile d’attendre quand on connaît l’échéance et notre désir grandit au fur et à mesure que l’évènement arrive. Nous nous préparons pour ce moment là.

Ce temps liturgique que nous propose l’Eglise permet de nous préparer à accueillir celui que les prophètes annonçaient depuis longtemps. A Noël, Dieu se fait homme, Dieu se fait l’un d’entre nous pour vivre notre vie. Les textes de la liturgie nous invitent à nous préparer et à marcher vers la lumière :

« Venez famille de Jacob, marchons vers la lumière du Seigneur » 1ère lecture du livre d’Isaïe ( 2,5) du premier dimanche de l’Avent.

Que pouvons-nous faire en famille ?

Tout le monde se prépare : la ville s’illumine de guirlandes, de sapins ainsi que les magasins.

Profitons de ce temps pour retrouver le sens de cette préparation matérielle et spirituelle.

-La couronne de l’Avent : Dans le Nord

principalement il est d’usage de confectionner pour l’Avent des couronnes de branches de pin avec quatre bougies qui sont allumées progressivement chaque dimanche de l’Avent. Ces bougies, dit-on, symbolisent les grandes étapes du salut (la vie avec Dieu, le don de la terre, l’alliance et l’annonce par les prophètes d’un règne de paix et de justice).

-le calendrier de l’Avent : Pour attendre Noël

autrement nous pouvons confectionner un calendrier de l’Avent. jour après jour, semaine après semaine nous cheminons avec la Parole de Dieu. (le dossier Arc-en-Ciel N°9 « La Promesse » et les revues comme Pomme d’Api, Pomme d’Api soleil ou Grain de Soleil en proposent )

Voici des façons de prendre du temps en famille pour se préparer à Noël et pour écouter la Parole de Dieu et prier. Il en existe bien d’autres alors bonne préparation !

Appuyé sur la crèche

Quelqu'un me raconta un jour une anecdote à propos de la crèche de Noël que montait chaque année sa famille Chaque année on ressortait du placard les décorations de Noël ainsi que tous les personnages en plâtre de la nativité. Cette

année là l'un des bergers avait été endommagé par son long séjour en boîte. Sa jambe était cassée et, par malheur, il fallait que ce soit le berger préféré du petit garçon. Vous savez, c'est le berger qui porte un agneau sur ses épaules... Il en faut au moins un dans toutes les crèches qui se respectent. Le petit garçon était bien triste. Il lui était impossible de recoller la jambe cassée du berger qui ne pouvait pas tenir sur une seule jambe. Que faire? Le petit garçon n'en avait pas vu un pareil au magasin. Sa mère, qui avait l'esprit pratique et une plus longue expérience que son fils, lui dit alors: «Essaie d'appuyer ton berger sur le berceau du petit Jésus, peut-être qu'il pourra ainsi tenir.» Le jeune garçon essaya et revint en courant vers sa mère en disant:

«Maman, cela marche, mon berger tient bien!» La maman ajouta alors: «Tu vois, pour nous c'est pareil, on ne tient bien que si on s'appuie sur Jésus.»

Pierre Lafond

Sites à visiter : www.granby.net www.joyeux-noel.com