BUREAUX - Rue Saint-konie, à-

mg.. de voix.Défauts: Arueiea:

JOUIt%A.LDF TOULOESETmUIoaee Bore T uloraae

ABONNEMENTSUN AN. .. 40 tr. UN AN. 190 tr.six mois. ., ont S'XM015 ReSBg9MOIU, i4 000le'1M11M. 440'

0fr: 50AnnoneR , s'la l1gne111SEATIONS R5CLAMLS, id. 0 ,50

FAITS Doutes, id. ..... f 5dA la RoMété 6éaérsle deq'Anaohwe

LES ANNONCESSONT REÇUES Chee on. Bavas , L.Mte et

8, Pca.vn va La Balles, PARIS.

Toulouse, 18 AvrilDépéehee télégraphlgnes

(ssavica svimus ras ,Lsoance suvua).'

Saotander, 14avril.Les forts tentée pour ...,.a, do.

Curies 4 accepter un mauenio r ont pas

réussi. 1'. nouvelles reçues

d'

au agent,rubrérisle important disent que lad

mloo de Cabrera a échoué.Les recrutes et les alphonsisles se

fortile.l sur l'ArgotLes carlistes envoient amsvent des obus

daru Oteiea.Le chef carliste polo, passant h SanIsoler,

a dit que les olAciers carlisteéta mer disposés i faire la pais, mais queles soldats i y opposaient.Lu navigation do Nerviuu est réla-

bEc.Madrid, 15 avril.

Ln garnison & Amoral. a tué 11 rer-listes à Sau.Gielos Itapita (Gitotogne)et mi a luis 300 autres on déroute.

Un aide de camp de Ilnrregaray l'estIMéseuté à l'induits à Madrid.

Ruine, 14 avril.On dément la nouvelle, donnée par

des journaux étrangers, que, le,gouver-meut italien ait refusé d'accepter

Rama comme siège de l'entrevue primt-tlvem eot projetée mitre Victor-Emma-muet et l'empereur Guillaume.

7.2n, 15 avril.d:empreeor est revenu hier s de

wn e:cu i.r à Beukovata et b Obro-vazzo où il a été chaleureusement ac-cueilli par la population morlaque'accourue des environs eo armes et por-tant le costume eati...1.

L'empereur est parti matin pour,et Rebeelse, -

New-York 1 avril.La législature de la Louisiane -'est

réunis hier.Les conservateurs ont assisté à la

séance, eunl'ormémeiit au compromisqui avait été accepté à l'avance.

Berlin, 15 avril.Le bruit de la retraite prochaine duMiliaire

de la guerre, général Bamecke,ait aujourd'hui ires.accrédité.

Munich, 14 avril.le conseil d'Est a adopté le projet

de ,fei relatif' à l'achat de la ligne ferréede PTst.

Aujourd'hui, à la fi. de la dernièreséance de la Chambre des députée, leprésidert e porté nu virai au rai Louis,

exprimant le souhait que sous erègne la Bavière prospère comme memnlove eign rr, x de l'empire d'Allemagd ..C'est vendredi qu'aura lieu la clôture dela session.

I d' l 14 avril.Le prises impérial al d'Allemagne et la

Ils pe uae ont quitté laspruic ce malin.ils de

Garde.Journée de demain an

lucde Garde, Ilsarriveronl vendredi AVérone.

Iteifn, 14 avril.Le jugement

diatribunal dons l'af-

faire des femmes socialistes vient d'êtrerendu.

asauxrun ou JOURNAL ux TOULOUSR

Du 1g Avril 1875.

N. il;

LES. TROIS

X.

- serre -- Qpe voulez.vous dire ? demanda

le rentier d'une voix hésitante.-Je veux dire ce que vous ne pou-

vez ignorer : que votre 011e n'aime pasplus mon frère que moi mais que, de-pair ..gtemps déjà, elle aime mo. ne-veu, Loto( de mon frère.

- J'ai en effet entendu parler deces, dit le rentier.

e volte savez, et voue poursuivezencore votre projet de donner votre fillerenon frère. 0.11 père dies-vous donc,monsieur Jourue.. ?- Je suis un père sage, monsieur

Saurain.- Ob 1 oui, bien sage, lit le mède.

cin avec ironie. Dites plutôt que, dans

are tête habituée à calculer, le boa-Immr de votre fille ne compte pourrien.

La vérité était dire b entenlre. M.Juneseuo la supporta sa.a wurniller.

HEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIV.RES DESefiIAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS

Dép rte: Ar véea

fondu (d 013I1f6 Moto (d M) 3(413(Ag a), 3 45MM{ 6 30 Mati.

Mats (expr.), il Soir 1 45loir, 1 et Sair, 3 35

6 -28 Sol, (0 40

'Ligne de Cette.

.. I Dépu

Les pnmyiers du poste de Capitule sesont rendus m toute bat, Ils ,dit n tiatre, av e p. i.! f i l.pas i b. de s-.

té I a 1tant pur si. labbé hier lit r,. i ol'errmilia N AI II 1

1 .l M1 ê' upa'npremi

Nrrn v lu

o

I i

d:. M. RI rc"'Ile Â.one

des preuves grand courage et 'filadévunemmst admirable.

Les déghts omit pan grives La Ur-carne, le petit'calier et environ qoatee métras de toiture ont été blutés.

et Cnorrége (Uomnuque ), de Luchon; rait pi, politique dans sa séance d'bier, par plusieurs départements à la fois : I taire I Mais si la droite serait pas en- du Reichstag, et il a craint de pr.eo-t S .artère (Bene{ i) 1 4 L .t l"il x qui tnaonç t q cette I Vive la République I ... L pays plié rayé M. Donneiier à la Inhume, ou gner en Bavière des répugnances ieein-un

1

C,, braves gens, joig i I'. sOit t , iga garais dPlrit veinent les lits quais donc la eépugaao 1 té o moteur de la gauche se serait levé, sans cibles. Aussi ae conteste i-d d'non luie x ae Salsa" réas i r, b sit r L I tés cintre M. tl tffet, [événement a précédents pour des était q .t t un doute, pour de d.r au go pr se une qui rad vira I Eglise a I étatai ,

I s deux victimes. liai les incertitudes politiques dans un peesgnei e t1 fr rnation 1e la .amant des détails p réuu

s r.1 l

de matière gouvernable . iras{e t ' na Ie de la l'ezpressio des loris tes allemads.antique il ve s mI Igus pas qu'Il, onlht eu l'existenen M le vice résident de IlsM-u S terme moi d dil c,y p...,..ire quetons noua e:

iéil,u ès .,.il re.ovr 1 plage de ees sens,0 pu regagner portion b pied et qu'elle

sera quitte pour quelques contusionssas gravité.

Nous sommes heureux d'avoir pu pu-blier les noms de ces hommes coueugenadont le dévoue aient est digne des plus

I. grands éloges. (L'avenir de Luchon).

.., Foix, 17 avril.

Le n miné G..., Agé de 16 uns, con - Les déclarations . parvenues su mrnis-luisait site jardinière. attelée d'un che ire de l'agriculture et dit commerceval, dans Ii rue du Musée, à une allure pour le concours régies .1 agricole de

précipitée,; il a renversé deux Illlos Fois, se déromposen[ cmu:nn il suit:qui, dans leur [lots, ont eu, l'une In Taureaux, Sfclavicule de l'ép,:ile gauche fenestrée, Vaches oa Lisais-, 23G

1a selon de de fartes con0isinns h luBéliers ou lots, de brebis, 82

hanuh. droite et au bras. Procés-verbal Verrats on truies, 58144a été dressé contre C,i

Animana de basse lune,-

454Instruments,Lol d p doits, 170

n le ilEae Cea gnemeuts, yne nous avoue-o- puisés b boume .1.1 il'. donnent l'assu-propraminé de+rnoreiuux qui savonlrxécu- rance que notre cooroors de 1875, au

lés aujourd'hui, 18 aeril, de 3 heures Point de vue de son importance, n aura1j2 d 4 heures 1/2, an Grand.Rond. e a envier aux concours peicédents.

t. Pas redoublé (F, Le au.). cin

Par décision le M11. le ministre de

2. Lee 01 guenols, fantaisie (bieyérlagricnlOure en date du 13 avril 1875,

béer).la suhve.lion allnuF,e a ellémenl à ti-

5. Les Lra ana de Villas', fantaisietee d'enr:.uragement à 1 epèes eb'va-

9 lien a été élevée, cette nné., da 5 b

4.axera). 4,000 fianes.. Ï. .ocre de e.nnrlle, fantaisie cette somme, a lsgn. lIe viendra

1'jeu.

(Mené). tercelle

d OW s I Iget5. Fanal, vals,. (Gain 1). ,lépwrt. t e t d b é ranis

d jif b f 877 'l .tausMualq¢a des-l'és,ote d'arelll 1 P tin 'In

1 1 t .st, i pl L 't déca 1 d et li s de_

rogramme des raores yu d2,1160 l' 1 s bord, l l t t t de

Pa&..urd'huu, tri , fe5 é .i serina,

f I. I département.net

112d bheurea1i2, as,radlewvp,. Isa-P la s.tpon-liches, à

Fo¢, Pamins, Al, Sainht Gi-

L'Af lainé, pis redoublé (Meyer- rose, las 18, 19, 21 et 24A,i procain.1 e1). ( geais).

2.:1/ gu t d'Anjou , atermoie(Neym,eer). M le colonel Pelletier maire de ta

3, Ni lamais, es toujours, valse (Le ville LÎ AICh, commandeur'de la légion

4 L., Ilugûmota, septuor (Meyerbeer).5. Le, Dragons de Vllars (Maillart).

OBSERVATIONS MITE0R0LOGIQOE$

rune a l'nasnavuTOlax

d'honneur, s succombé jeudi soi, è unecourte maladie. M. Pelletier avait étéappelé, il y a motos de deux ans, auxfonctions de maire.

Pau, 16 avril.

Leu journaux annoncent que M. le lieu.De. ¶6 -- 17 avril 1876 {ruera.gèlerai belge baron Çhazal, coma_ mandantla 2 circoaeceiptinn militaire et

assena, : 494 -, I la résidence royale, qui était dans lemidi de la France dopais quelque temps,

BBd

7s ..1M a.

9a m.fOs m.

beau. NE insensi.id. OSE faible.1d. id.

id. SSE a. fort.uue: id.p

15'147'54

iss.1743,1)}f6',4J id. fd.

TkermomdEr. emtigradi tMaximum du Iii,.,.... } 1710!dinim.

'lela nuit suivant. -f- 3'G

Rosée dans la matinée du 17,

Filent Aes observations méleornloglque finir.par il n.nem - Stotfue à l'e',,,. i mado 1, 0,100,Alla,. Ahitude : LIS-.

Du 17 avril.7herm. centigr, masim. d'hier : 418°4

id. mi.. de la nuit: t.4 2nmaes. )tendres. tuer an vils. ta.IL

h. m. 0-,749 5 beau. SESE as. fort.midi. 0-,740 0 id. faible.

Le baromètre roelinun de baisser; ilest sne variable.

Le temps est assez chaud et trés brun,l'air pur, fer[ vent pendara la nuit.

'fempértnre à midi, 171, 5,

S

Dans la soirée de dimanche 4 avril,tuntà.coup unla bruitsest répandu gti

grave accident venait d'avoir lieu surla roule de Ssinl.Avenlin à Lndmn,Nous av.ns couru aux informations etvoici les renseignements que nous avonspu

"',eullir. Nous garantissons leur

exactitude,A deux kilométras de la ville, au lieu

dit Boveersés (verseras) de Paysan, 1.

.die côtoie nul précipice dangereux.Cependant elle est séparée de l'abtated'abord par nu Plan incliné d'une dt-vaine de métrer, hérissé de quelques ar-bres Cl oh les chèvres seules peuventas is,. uer impu ément.

(le, dimanche 4 avril, deux étrangersqui out pris Il Luchon leurs quartiersd'hiver, M. et A1"' S.., de Paris, se pro-m.nalent pédestrement da.s ces para.Ê- lie aesient poussé leur excursionjusqquà. l'endroit que .nus vemon. dedéeéire

La curiosité les avait poussés jusqu'aubord du gel

d'a.Ils se dispos.tant a

regagner la chaussée, lorsque le ter-rain venant k céder sous les pied. de lapauvre dame, elle tomba la tête enav.nt etdévala la pente. M. S... ne per-dit pas non eaug froid. Se leiseant us.sel après elle, il réussit h Ihtteindee età lui saisir le pied au moment où elleallait tomber dans le vide. Malheureu-sement, il fut e ttralsé à son tour et,.ans un arbre dont le bra.Phage (agréaDieu) le sauva, n'en était de l'.. et del'autre.

Cependant tee forces de M. S... Wé.pulsaient Ses cris de détresse

attieè.

iré.leva

1

colin les passants. Le sieur Sesuc,400, parvint non sans peine, en

sse re

tenant aux branches des arbres Jusqu'àM1'° S..., Trieuse au bord du précipicepue la main déjà défaillante de sonmari. O.

sussait que trop ce qui serait

advenu sous l'arrivée de nouveaux sau-veteurs : Crevais (Gabriel), brigadiercantonnier p Dufaur (Antoine), serrurier,

rumici.kr4T

au ,.sen.vos,

e partir pour xe es.vent

146 77400,8

5,11747bG 5

14° 39.6

{}

G°

744,0

Chazal habitait le beau châteauM.d'Uzos, prés Fa., gdil possédé depuis

11 est parti lundi.

(Mémoriel die Pyré.4ea).

Le dés PJréaéee ..ne. ce 1.Mémorielmort de M. La réploue, ancien mure dePau, ancien député et sénateur sousl'Empire.

Une mort extraordinaire a jeté l'émoidans la commune d'llheu, arrondisse.

e t de Bagué es-de ligoere : en je..ne domestique de vingt ans a été truu-

ée le 7, vers cinq heures du mhalinf-,dans ou lune à pain quelle

avait

caufé cette nuit pour faire cuire le pain du

ménage, Elle en a été retirée carboni-sée, par trois propriétaires de la com.amer.

Quoiliejeune fille soit elle-méme

pro lefois

ur, la abusé estprécipitée duescependant probable, et l'enquête fuiteimmédiatement par l'juge de paix ducanto. attribue cette mort à un suivi.de. cette personne parlait depuis quel-gnes temps d'une sainte qui s'était pré-cipitée, ci- in four. Ou n comprendguère néamnoins ce qui a pu la porterà l'imiter.

L'elfe{ produit par cet événement dansla communs et quelques villages voi-sins est très rand. Le parquet de Ba-Oloras g:puits' s'est transporté sur les taospour informer. (P- nouvellet).

Bordeaux, 46 avril.La nuit dernière, uae rapture imper.

lame a été, faite par trois sergents de

'lle, qui étaient de patrouille à LaBastide. Ayant rencontré, vers unebeure du malin, sur la place du Pont,n individu trai...t un brouette

chargée dan colis déguisé sous unecouverture de sparterie, ila out arrêté

cet femme et examiné avec soin lecolis. C'était une cage de poulets, et

il.

os

cette cage un coffre-fort.

Les agents, devinant ce qu'ils avaient

.faire à na malfaiteur an so.t eau.pressés de le conduire au poste, on on atrouvé sur lui un

gilet eL sa chemise, etne revolver à six coupa, cierge. Cetindividu a décliné son nom, sacilesatio-

nahté d'Espagnol et son domi, rueBrevets. Il a prétendu avoir reçu cinq

francs de trois i uounus pour porter le

colle. à la place des Capucin.Ce coller enait d'être volé à un

marchand de bois de l'avenue de Pa -ria; il .'avait pas encore heureusementété forci, car il contenait 4,000 fr. e.r, argent et billets de banque, et 7,000

7e. ervir.. de valeurs. Lee vrille et une]anlerne sent restés sur le théâtre durime. Le soi-disant portefaix a été

écroué au dépôt de sûreté. 0. croit qu'ilfait partie d'une bande de voleurs des

plus dangereux. L'Luquéil continue.(Courier de la Gironde).

VERSAILLES-PARIS4torreaposdancs parliculiéra

Parie, 16 avril.Entre ceux qui prétendaient que la

commission de permanence ne parle.

esrd a tint en rearaé une seule dents. oblect oaPeut 1 'l'a

b"ai

.i ..tons é B I que est eugag e. C.tt, i t é-t il I

éef

t manration importante, c'est celle rel'bt vo publiceu 1 ministère qui se dit rée C itence est t e pl' bl P t jq b c . } I p q 'onan, éireiios partielles. Il nanti lier la blicain., ét a-t il

irand et ber 1 p',ét il] 1 t Allé, 1 I qui

question comme ePaveréel,q i b la ren , Ne point luire déirelmns partielles rmioyn dans u e dél h de Berlin mit 1 b . d p r et destrée de l'Assemblée, et d'ici là le gou- et déterminer l'époque pi ochai ne des qui nous est arrivée hier après la évécués a I saut. nistra Lion laigae, vole.

comme je l'avais tuujon re élections générales a ,....q... xn une séance. Celte ""eh' résnmail n° dra ou n veau projet ordun ont le si-prévn, ne convoquera qan les électeurs veule fois le plus grand nombre p,issihla article do la Noeddeulsche Aligemcine quels{re dis biens des Ordres religieux etdes départements oii le délai de six mois d'électeurs, toiles sen t, écrit le .CIX Sid- T,e(lang, d'après lequel le gouveroe- des congrégations. S'il faut en croiretouehch son terme. C'est donc chose clé, les deus vle.s politiques entre les, ment allemand, en présence des n' des dépù:hes d'origine allemande, Iraentendue. quelles ou pouvait rhoisir. La première . lerprétations rimées de la presse vents seront fermés dans six mois et

Tout est au calme et à la paix dans était interdite an gouvernement a . belge, a rait jugé utile de ne pas lesuécoles ecclésiastiques dans deux ans.lu colonnes des journaux alleman lu, u[ l'autorixation presse de l'Assemblée

t ;persisterduns son nteelsou de clore Oa la touchera que dons certains ras

cependant lés lettres qui antres[ de il n'avait donc pus b hésiter ; il devais . les discussions, mois au contraire de aux Orlrrs hinputt11cri l

dons laitsBerlin continuent . n'ma mettre P. adopter la seconde, Il.le ver.président continuer à échanger seslvnes avec le aux Ordres religieux seront rende, susgilde 'noble la situation, M. de Cou- de conseil en a jugé autrement. Les bol v cebinetde Bruxelles. Peut-étre le mi- donateurs. Enfin, les e,l,. rus 6géa autau{-Biron, qui est rentré birr acte b naptelistes seront seuls è la t'éliciter. s . sistre des affaires étrangères

avait-il stades seront entretenus aux frais deson poule,na pu jusgiiici que cooftr. Le Journal des Débala eL les amies co naissance da cette dépéche; peu{- l'Etat.mer la note pacifique comme expression journaux du matin, continuent à coin. s être était-il averti de l'arrivée d'une pour accomplir cette réformed e qui lui a été dit dans le mon ie monter l'incident crossa.belge nouvelle N.te; peut.élee enfin, l'ayant lAllemugne a besoin, aimai que le ce-officiel ; en réalité, diverses mesures ou[ La Presse n'est pas satisfaite de la . déjàeeçue, cru devoir se réserver marque la Post, de l'enthousiasme etété prises en Allemagne, dans ces are' réponse de M. Buffet à la question qui délai pour l'examiner à loisir.. du dévouemerl absolu de la aatioa etniera temps et se poursuivent ennuie, lui était posée au sein de la commission L'Iadépendanee belge es[ n adver- du Parlement. Elle cherche à s'en tissu.qui laissent supposer que la gou de permanence relativement a x élco- -sabre, politique de M. d'Aspenctont- er par tuas les moyens, et surtout pur

trimant allemand a, tout a moisa, tiens partielles. s En réalité, dit.elle, Lynden aussi n'aeons.not, d autre la menace mienssanle d'un curalit eure-cru à la posaihitité de ,,ertuines com Ni. 1¢ v e-président du conseil, tonjuues desseinen reproduisant ses réflexions péon. De là. sans duale les articles de laplicalions. indécis,ctoujours hésitant, s craint, cet. sur le silence du ministre des affaires crase allemande. ProduieouLils leur

Le voyage que le Cz:ir doit faire à te fois recoin, de prendre une altitude étrangérea, que de ..aile, l'impeessioa abat 7 Nous l'ignorons, mais leur pie.Berlin le 10 du mois prouhaio est géué- nette ; .'osant pas avoir nue .politique b produite an Belgique par l'article de la enter résultat est d'irriter profondémentrarement considéré corniue uu incident lui, il luis paru tout simple do vouli- Norddeutaehe Allgemeine Zeitung. L'In- les };lacs les mieux disposée envers I'AI-heureus po I un mtien. de bi, paix. tuer celle de ses p édé er$. bl dp ndunw discute .longuement cet ar- 11, EU e : . Si 11'on continue ulula} hfisonnagD'une pat il .mble certain que l'en

hofluet oublie seulement une abuse, t t I et elle fart remarquer, e. passant, Berlin, dit le Nouueuu Fresdemslalt

pelé or C II e il veut passe déga que depuis lu chute de ses prédéce bien l'exemple de 1. France, dont de Vienne, à préparer l'Europe à use,guerre, il ne faudra point alors s'égel de l'alltaure, de t872 et d'autre p t s u , la république est devenue le gou les jsournaux allemands ne perdent

de

que la R s qui est le pivot de cette verne.ment légal du pays. , m ne occasion de se servir, a été , tonner si les ay epaLhies de tous lesallia'tv1 'aère comme incomp Le Journal de Paris trouve que 1.c.- mal choisi da ,rte earcunstance. a On vevtrrs se détachentsneçessiveme.tdeLibre aval on, guerre d'agression tai dente du gouverne est dans cette rie- . demande, d t lie, si an g mvernemen" , l'Allem g Si l'empire allemavd netee la Crant,æ constance est très correcte, attendu que .' fiançais gaulcosque pin meltraft .lit p. p .ter la liberté des Etats

Al rotons qn

'au ce moment le gourer.Il

question soulevée par ht. Rameau u . clergé voisin une cru paganie en fa étravg is, rl s.ra trop naturel quatrot russe émet uo emprunt à Paris été rése ée par l'Assemblée qui a seule, orne de M. le comte Ae bord v i 1'Iwrrope considère compte erreurs les

nequ me9h de la traaeher. s des attaques contre 1 Itép bl que. affaires de ceux qui seront menacés.et q a`ou loi a d.ené dans cette mer nosronce toutes lus facilités dont il aval[

coLa PaErve eaprime la même opinion . 11 nous semble ode. R.1 } s 1 pis (Journal des Débat,.)

besoin, Lors}un le comte Schouwalo0 L'Uni a ço.,lot de ce qui s'set passé .copal se se gêne, guère p témou-'était rendu à laurés à la fie de l'année hier au sein de la eo,missioa de per. .gare de ses sympathies légdtmistn -lamais. depu is longtemps, une pu.

dernière je vous ai, je crois, amie manence, que les hostilités sont coin- . et de es antipathies à l'égard de la raille abondance d'argent ne s'était voiequ'il avait réglé rat même tous tes dé mencêes. .Au retour d 1 A s mblée, dit s Itépulll}que ; mais la Répu bloque Il le à la Monnaie de Paris et I 1 ut d'orrails de cette affaire. elle, nous verrons comm t le contrat < bon se.e de ne pas s'inquüter es y sua également en qua Dté siiffi juntee unef b ed igaer e lire,rs contre pour p ermettre e oC'est aujourd'hui que le parlement belge signé le 25 février, sera déchue par les < attaques dirigées du dehoa entend. les explications du ggob venue- coalisés. Pour le momevt, nous anus s le principe actuel du gouvernement ringtaute de millions ea pièces de 20 le.

mmsar la communication de hi. taraude bar o.s àr.anen.lie. les positions oc- . de la Frauve.. DA aujourd'uui, on peut dire que le

de Perponcher.Quantà la question dicta. capées, sana rechercher qui l'emportera Ou le voit, l'incident prussn.belge métal enlevé par le paiement del'in.malique; elle ne sera résolue que lorsque dass cane lutte ; mais ht. Buffet s'est n'est pas encore terminé, et les dérla- demnité de guerre cal à peu prés coml'instruction nouvelle, e ramée contre ourlé à use chimère, et cette chimère rations optimistes de M. Disraeli dont plétemest rentré en France.Duchesse, aura abouti. Si cette foie, a des ailes qui réservent à M. le vice. pas c.nvmncn nos oisiss des senti. Les modifications annoncées danss lecomme précédemme.t, 1. magistrature président du Louait le ..IL d'un a... mania amicaux de l'Aile aga . Elles haut personnel de la Monnaie sontrend une ordonnance de non'lieu, je ne val tars.. n'ont même pas convaincu les Anglais! jourd'hui fficiellemeat co.flrmées. M.crois pas que l'Allemagne s'en montre L'Ordre soutient que les républicains Le &torninp PaIl nous annonce que lord Marcotte de Quisiéres, directeur actuelires.satisfaite et hésite h eap imer son ne sont pas aiueSres ,lorsqu'ils diurne- Ilussell renouvellera lundi, à la Cham est mi à la retraite, Sou remplaçantsentiment ; si, e. revanche, Duchesse dent la dissolution. bru des Lords, l'interpellation de M , est M. Ruau, actuellement sou -diree.est poursuivi et surtout condamné, i . ils essOyaeo.t, dit-il, de reculer Owen-Leavis à la Cbambre des Comm.- talc. Euhn, M. Cotte, chef de sbare aupeu que ce soit, M. de Bismarck se dé- les étrennas tant qu'ils pourront, com mes; il demandera à lord Derby ai le m i fera des limaces, remplace M.clavera désintéressé. me ils les ;ont .calés en 1848, comme gouvernement croit que la c.,,eep... Ruau h la sous-direction.

Pour la première fois, depuis la cols. ils les ont reculés en 1870, mas ilsce.

dénce échangée entra l'Allemagne et la - Nous avons annoncé la plainte e.rria d' ministère u t2 ers les parent , iur mieux eo sauter ; ilsça Belgique est défimtivemeul terminée, et diffamation Portés ar M. Phili t,' à

radicaux s'exprimera aevec

une

e certaine sauteront, il s sauteront infailliblement,si

cette correspondance lui ,.aspiré rai d'un articlec.le publié dans leB.Jlavdhémence sur

M.Buffet Cela tient, je et ce seront lOsélecteurs qui leur four- de. craintes sérieuses pour le

.maintienris

asaneierar

numéro du 1 avril, 51.crois, moins au fond des choses qu'à la .iront les violon. . draie paix européenne. La réponse de philippart a assigné en palier navire.

abIe vice- Le Pays déclare que la situation acla .elle ru der as elle sevivacité aren lord Derb vert douteuse rot duP tiomielle: 1 M. Viusonneau9 Y ,R!térable. et dit lui tardeei a cru devoir re ous- ruelle est listai M'A. U taisait etrésident de rats 1 9 calqué. sur celles de Il arnP usditloumsl ; 2° M. Gustave AP Se-

er ceciM.

d i,iny-Unns délacées du d'en sorti r. amont-L .dan. Les bruits de uer- rodaicélèbre M. de hlnh . hf. Buffet a donné .Nous lavons lieu à avare, dit-il

dAspr y g tant du Pranpais po r avoir cep ty perdre, re quines couru cesjours ci tombent peu dans ce journal}'article ns Bulleine-

de sol tempérament dans cet ineide.t, dans les élections éventuelles, t nous à peu, les s les se s l' qui ont parcoe- manier; 51 les tracp eue de ces jour-flammècheset au dieu da Lent le , il a Pet-. prise toujours la

certitude

d'p êtreaen,

rt r dans tous les anus l'horizon politique x. L'affaire a être cotée hier de-mondevérisé en gnelgaos

more

e

a

sol 15poierre.

présentés d'une fanonpiplus eu apport s'éteignent sans avoir mis le feu nulle vaut la fo= Chambre a.....timme,11e,

il,rLa l'épubliq Française

est

t ira peu ce .ver notre force rarméot{aussiq

nuedans

lo pays. part, et la presse allemande a beau présidée par Ni. Halera Desprin :matin l'écho de

lla manvaiae humeur de Le Temps aurait désiré ne lancer encore que la esfimées peur as- Le tribunal a donné défaut ,autre

M. denaby, mais Al. rl'Andi ffre4Pasgnfer ire déclaration que celle qu'a faite e r d'enireteair la crainte dh'aban tiares. MM. Allard et Choix, et a nomes l'al.a mi

11,

Ou avec heanconp de dextérité à M. Ruffet. Ce n'est cepentlanl pas à hl. die prochaiv,oa eommance3 s ituer à taira à'lei.zaiue sur la demande dral'Incrdcui et son intervention a été gé. Buffet se 1, mais e au cabinet tout a.- es pio.is rncesasaotes dort les ré- avocats des autres parties.éralement considérée comme très-ha fier, dit il, que devront respectueuse.

solutions

nspuepacifiques de l'purope on[ hen-

bile. ont s'adresser les sentiments de sur- rem m ut prêve.. les mauvais e0ets. -'""'----Les attaques se multiplient dans le prise et de regret que cette résolution Peut-élea le gouvernement prussien

parti bonapartiste coutre Ni. Bouher, ne manquera pas e provoquer dans le che,clin-t-il surtout, dans sa campagnemais on me dit que ces attaques ne public libéral.. contre les petits ELots, nu moyen d'ope-sout pas approuvées à CI, islehurst, oh L. Die. Public trouve quo M. Buffet ce à l'intérieur unedivreaien habile etn les croit suggérées par les relrain.s a perde m une belle occasion d'acgné- de prévenir les résistances que ses sou-

de peine, Napoléon il est fort posai. rie de la gloire à peu de frais.. Eh veaux projets de lois ecclésiastiques ris-hIe que les polémiques engagées par le bleu !son,. s'écris-t-11, on a voulu faire quant de reseuntrac, même chez sesGaulnix se poursuivent assez longtemps, de la politique malsaine, de la point. amis les plus dévoués. 'l'art qu'on a'estquelque effort qu'on ail fait jusqu'ici que à .mitre-seus, à cnntre-temps, à bor.éo des memmea spécules, les Peu.boue les arrêter. contre'epiniun. On se met eu guerre, tentations ont été faibles; mais il .'agit

Lu levée de l'interdiction qui pesait quand ou pouvait être en paix avec le a ijarrd'hui de reverser la Co,tiOUionsur l'emploi dit rengage secret dans les principe du gouvernement qu'on repré- ¢IIe-méme ! La Kreuz Zeitung avouetrseumissioos télégraphiques eet canai. serte, avec la force des choses qu'en qu'elle s'a jamais épeo.vé inc grandedévie généralement eommn a. nonvean irait appelé à enivre. A. lieu Ae se tendresse pour les , abstractions, . pourymptome de paix et lo préliminaire de laisser porter pa' le flot ans événements tout en quo. appelle < droits fonda-

la cessation prochaine de l'état de n préfère s scter impoli tde , mentaux etprincipes nstitaion.els,ssiège, niaises tempêtes dans un verre d'eau, lormulre vagues, générales, vaporeuses,

!fier, à l'hôtel Dagrati.n, en Flou- sauf à ter adresser des quai ego pué. qui sont susceptibles de mille interpré-peur du 79° anniversaire de M. Thiers, vils. muons.. Cependant, ajoute-telle, lesil y a eu grand Mure. Plusieurs mem- Suivant le Prançniv, il est permis s libéraux ne craignent ils pas, en o-bers du corps diplomatique sont allés de croire que eaux qui se plaignent en aient l'abrogation des [rois articles,-remettre leurs cartes chez M.Thiers, ce monmsnt le plus haut de ce que les , d'affaiblir a ingnliérement le pouvoir

M. Albert Rognt annonce dans le Phyk électeurs ne soient pus convoqués dans , de la Constitution tau, entière, qu'ilsqu'il a mnyf, ses timoin.s à M. Mag- quatorze départements sont,

su fond, avaient Jusqu'ici l'habitude de c

giolo, à la aille d'un article publié,hier, très-satisfaits que la laits électorale ,aérer comme une sorte d'arche saloir,par l'Union. nait pas lieu sur toua ces points. Leurs , et n'ont-ils pas peur d'ouvrir ainsi de

Les amis de M. Gambette assurent plaintes et les interpellations sdressées , leurs propres mains la voie à d'au-qu'il a renoncé à son prrojet de voyage hier à hL Bulfrt dont qu'un but, ail-i4 . ires suppressions ultérieures , quidans le Midi et qu'il e quittera pua c'est de donner le change à l'opinion s p.urrpient leur être beaucoup molesParis avant la rentrée de l'Assemblée. publique et de faire croire a. pays que r aréables 1 a

On annonce que h1. Emile Ollivier les amis de MM. Rames. et Lacet n'ont .9 11111 go n'a rien de surprenant determine en ce moment nn ouvrage ftdi- rien à redouter des verdicts électoraux. Il

prat d'an jatrual ultra-conservateur,

talé: Discours sur les Révolutions. La tactique est d'une valeur médiocre, mais la Cminische Zeitung exprime les

La RLpullique jranpaisa critique mi.vemeatle langage Leau hier par M. Buf-fet devant la commission de parme

ce et conclut eu disant que le Ili-nistre de l'intérieur subit la responsa-bilitê qu'il a encourue ea ne sachmrtpas e. votre obéir par s s aga Le.

Le Canstilulion..1 se borne b faire ees.sortir la modération relative de la gau-che de la commission à la séanted'hier .

L'Opinion nationale constate l'impur.{senne des déclarations ministérielles fali-tes assaut la commission.

L'N.'nbnemeay trouve que M. Buffet,dans la politique qu'il exposée hierdevant la commission de permaaeaee,s'éloigne de la ligne de cnsdmie qu'ilavait tracée dans sa déclaration lue àla Cbambre-

Le Rappel comprend qim "+h1. Lacetet hameau aient dit que la réponse duministre de l'intérieur su sujet des 11,1lions partielles ne les avait pas sadsfnjtet ajoute qu'elle nn satisfera pas da-vantage le paya. . Le pays comprenait'que les ministères Précéderas ne Basent

et elle ne trompera vrisemhlablement m@mes craintes au nnm du parti libéral.que ceux qui paraissent éprouver la be- s On nese dissimule pas, dit-eliq cesoin d'être trompés.. : qu'il y a de grave à toucher si souvent

Nous continueras à assister en specta-

teurs impartiaux, si non désintéressés,

a.s nuinhrenx incidents que I. politi-que religieuse et interaatmnale de M.de Bismarck provoque en Allemagne etce Europe. Le rôle de juges ne nousconviendrait pas. Nous suivons avec at

tentinq les événements qui se produi-

sent, nous en notons les développe.ruts, nous rapport.n ainsi sc upu-

lensement que possible les apprécia-tions des journaux étrangers; ...sn'appeécicos pas nous-mémes : ce se.rait, de notre part, une imprudence euLime maladresse.

Les déclarations de M. d'AspremontLynden à la Chambre des Représentantsbelges n'ont pas complètement rassuré

'lins. - Il ...quoi, demande l'In.le,ddpendanee belge, le ministre a-t-il foi

subitement le débat? 11 notait pas

P"',dit-on ;

'et Pu

possible ? Voilà

quinze jours an moi, que la presseeuropéenne ne s'occupe par d'autrechose que de la Note allemande, et M.d'A,premoud-Lynden ne s'est pas si-

. et d'une manière aussi radicale à une< loi fondamentale qui devait, pour une. longue période de temps, former 1.. base immeuble de la vie publique ets la protection des libertés individuelles. entre l'nnmipoteern de g, ,.verne-s monte ehangeants et de majoritées béai.. ointes. Toutefois, od se rend 'compte, dans toutes les fractions du Qparti. libéral, et jusque dans le groupe pro.geessis[e, de la nécessité de prendre

n considération le c actdre graven. de la ailnatiou. + Malgré sonsissune oiflcies, la Post crie-m@me estobligée de rernnnaltro qan la seppres-sien des articles Il,, 16 et 10 de IS Cons-titntior. cet aIl -mie de salut publicque peut seul justifier un danger es-

"Pli""":. L'abus qui a été Paît de

. 1. liberté par cens auxquels on l'avaits laissée, dit-elle sesaurait être toléré, plus longtemps. .

Le gouvernement prussien a besoin desurexciter vivement le sentiment nationalpuer venir à bout de sa grande entre-prise. Sa première intention avait été,paraît-il, de généraliser son projet, d'asétendre Ira dispositions à toute l'Alle-magne; mais il lui serait fallu être sûr

les élections qu'une à une. Il ne pon-,ait pas être agréable à des ministères

royalistes de se faire crier aux oreilles I tendu à une interpellation parlemeu-

Mort de deux Aéronautes-

Ou lit dans les journaux du 1G avrilHier, la pureté

estraurdinaien du ciel

s'est maintenue pendant toute I. duréede la jrural, et mdme pendant la nuit.A peine pendant quelques instamte lalune a-t'elle été environnée d'un petit

cercle loré; mais matin la votrecéleste était teinte d'an bleue laiteux,

indice -tain de la présence d'unequantité de vapeur d'eau fart ..table ,quoique des Images définis n'aievt pointt'ait lier apparition. La densité de cette

vapeur s'est manifestée d'une façon bien

s hle pendant nue ascension avèrd-tée à douze heures mains vingt-cinq àl'usine de la Vill'Ita. lion minutes aprèsl'instant du làebez.tout , l'aérostat leZénith, qui est cependant d'us diamètrede dix-huit mètres, avait tout à faitdisparu dans cette brume céleste, -

L'aérostat sembluiteffectuer son ascen-sion avec une vitesse de 3 mètres à laaeeoodei tria vitesse hoeizont.l. duveat qu le poussait émail environ de 4mètres. 0. voit daim que I. vlaia l d'suobjet aussi volumineux qua ce globeéclairé fortement par les rayons saisi.res, était devenue impossible à une distance linéaire ne dépassant point 2,500mètres , tant l'atmosphère était peudiaphane.

Le Zénilh a dérivé dans la directionN.-N.-E., atuée avoir légèrement mutiné

d'abord vers Format, puis vers l'est. Dansla limite précédent,, le mouvement gé-néral de l'air parait identique à celuide la ouche en contact avee le set,mais il est à présumer

qu'ilen sera

autrement dans les régions supérieures.Tout noua porte à croire que les aéro-nautes rencontreront le courant contrai-re, que nous attendons inutilement à lasurface de la terre

La société de .aeigation adrieane areçu aujourd'hui la dépêche suivante :

Le Blanc (Indre), 16 avril12 h. 08, soir.

A Manieur le préeident la la Soaiél51de ..... ien ahirnnq 95, rus La-

lotte, Palis.. Avons déga sé, à une heure, l'sltilu-

de de 8,000 métras et smmmes tombésdans un état d'anéantissement complet,

. Soleil lnés.cbaud.le me suis réveillé eu moment et

j'ai vit que ballon descendait, que Crocé

jetait aspirateur; Puis, je me suis éva-

noui encore,et

â trois heures ai ou-vert les yeux b 6,000 métrés.

s Sivel et Crocé avaient la figure

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

unira, la bouche pleine de sang. Ilsétaient morts.

a Descente a en lieu à 1 heures, h Ci-

uli (Inde. )a. Suppose que dans deuxièmeIs'Ist ai.. osons atteint encore altitudeconsidérable.

Signé : C..asrnn Tlssnrvmsu. .

On lit à Ce suj..t lion le Tonpe :

s

.1 tue, du dép. Armenttl dede l'Indre u e de Ciron la dé-pêche saimot .', m

u

:ont la mortda doux dcs aéra cules qui hier étaient,parsis utsfns de are à 1-1 de l'érostatle ZdnitA

. I balloe qui est parti de Parisjeudi, à midi mi.i ns 25 nivales, empnr-mntM Sivel;,aé,.rnar:iuln, Geoeé-Spiuelliet GUILIO '('issandice, s'est élevé à 8,000mètres de hauteur. Mais les deux com-pagnons lie NI. Casson Tissand ier ontété asphyxiés avant tror heure. I.a des-cente tu ballon n'a pu s'effectuer qu'àqua tee heures, h 2 ki loin ètres de Ciron(Indre), dans une des fermes de M. Ua-bigné, r tien. lequel ont été dérasée lesdeux cadavres. Je re once h vons dé-peindre le déiespniede M. Tissandierde la perte de ses deux compagnons devoyage, j.

3L. bettes Jpieelli, ingénieur, n'était

pua renora. Aga rho trame ami. M. Sien,, années. Ce'etnit s

a ant exécnté ten

ter e.iirai scansion

anus biqupllen ils onttrouvé nant!ri préma torée, mais gln-

eure.Jamais jusqu'à c° jans, q uoique. la

rningielié-

d- la navigation a ne soitaléja tangua, 0e u :rit r à 1611ocer lannrt de deus ta même'etnstrnplredépois l'incendie du ballonac Pilaire.

M. Sivcl laisse une tille en bas tige.

C'est navrant, c'est épouvantable !..

Nous s a iocs hier que trois intré-.die cet.1 TissasnLsMàl. Stvedes aavV

étaient Panis toit ballonPourdélier

t t'' ans hère irrespirable etmlnser ti vide qui s -bru ces

arint Ues antres mu e ; nousess-

périons qù ilsira é

tt

rudemes

nt safre et.auto , .: do n =elles découvertes. .

1lélus ! drus d'estrti enx sont morts.I1.. .,col, Ni. Ttrt'le lier, R pu

art r

t

sotit iride. eslicet, 11useni' , oa rr-tre-srns qui défient les préuisians hn-rnaieos, nrémr

lorngo'elle',

sont appuyéesde e tirades.

14 C :..:lier, le plus faible de tem-pé t les trois voyageus, blond,p t fél traverse des régions mue-t Iles presque impunément, et à demimort, retombe à terre avec le ballon,pour nnus dire, qli il y a des Ifmi tes fn-frsnrhissables il l'homme que nul nepett pénétrer les noires ténèbresRveluplioi I. terre et la couche d'oie

qui l'enveloppe ;que, quelles que soientver lion', n u genreuses appli-

cuti°ns de l'industrie à m scence, il est.enlimite qu'il nous est fmposeibte e

Oseohir ; qu'enfla il y a des mysiérdes

delà nal.tre gant nones eu devons passoulever le ruile Sous peine de mort.

Fois repunt orbena films, ayant bmnia laye11. Croeè Spinnili, trouvé mort dans

Ilnacelle avec M. Sivel, était Joint Jeu-

'l é arisait des articles trés-ni,estiméa ; s ncm était acquis à 10

ad lrer( d e toits, Nous l'avons I vufaisait

ntriant monter en ballon grec une casquet-te élégante sons 1-quelle flottait unm0uch or blanc ; sa 080es raytennaute,éclairée par une intvlligeoeevfve et l'in..nuc.i:mce particulière vus jeunes gens,exprimait eu nous quittant le plaisirqû il anrel, quelques lie ores après oascension, à nous donner dus ride aa hardie traversée; on eût dit unvoyageur prenant nu billet d'aller et re-tour et partant pour la campagne. Sontempérament était de

fer

etCamait

pagnurésisté, ainsi que se don.de r.ryrgo,à une première ascenmon.

M. Sivel, plus robuste e rare, marinintrépide, avait plusieurs foie fait letour de monde; mais trouvant la mermonotoue,versé dans les questions .1ieu-titiques, limitait à résoudre 1m s profilé-

, cherchant l'inconnu, il s'était toutà fait consacré aux voyages aérien'. Il

était indispensable. Cétait le pilote.

Nul ne savait mieux que lui, a. m..cet

du danger, jouer avec la mort, attacherles cordages de ballon, grimpeejusqu'àla soupape ; eaux l'avons vu hier, ocre.sa figée aide, énergique, donner ticsordres, nL'cro.lie, les ballonnets de

Es,oxygène; il méfait le commandement à1. plaisanterie.

- A. commandement de larguer,s IAchere¢ tout' criait-i1 Nus

génie

qui tenaient le ballon.Et comme le vent semblait être plus

fort que ceux Guise pendaient h la na-celle dans laquelle il se trouva il sond'organiser lev préparatifs- Ne Iache¢ pas, sneriatf ! vous ne

voulez pas tue laisser partir tout seul.

Er tout le monde riait.11 secoua m8 ire po brase homme qui,

croyant bien faire, sons prétexte detenir nos corde pour empêche, le bal-lon de s'envoler,

s'yétait accroché et

devenait une cause d'embarras.- Un homme bien courageux, que

M. 't i, disaient les femmes.Nous l'avoue dit, t'est à 11 heures 26

minutes que le ballon pari il ; nousS serré la inain ans voyngerir. ;

irint le monde leur Stnhailitl n bel

enl anisvuyage ; ils étaient,

titi veld oleiîpar-e- NC vousu sentez vans pas plus de

pulsations d ça:nr a la minuta qued'habPlude ce voyuni que le ballon ne segon(c p00 assez v t,, disait en Iront,

n quart d'heure atout la r oeién , Ni.Spinelli a M. Tissandiee..., et ce mêmebalinv qui à sua gré, !te e gonflait pas

pi iemrnt rL Ici fafsa i buttes leenr,tdevoir, tu l'empoeitut trop hart

rrGl,nr bru'pieanrnt le muioetnentci,po=te toujours 1...

nfi t, un ynsrt-d'heure aptes lunedépart, deus d'entre eux moue: ans,8e sont ils élavés trop rapidement dansl'air? Pooriaot, le ballon, comme c slourds oiseaux qui prennent leur vol,sembla u moment indécis et s'élevaCRIfeutresol

' Iii inter elfaut sesM. Crocé-S mnuls,

""',,art sa 'I'q ait,i Nt e a lt e,

udisait

it.1

aureer voir;

r; h( SU m) toutcn-

tier à son affaire, suspendu aux cordagesIn tête passée dans fit partie inférieuredu ballon, veillait à l'embarcation ; meadmirait la banne humeur de l'un etl'audace de l'autre. Il y .voit même eu

naidont qui avait excité la bonnehttmenr de tort

Un

monde ; nn desvoyageurs, au moment il fi le balloe allaRPartir, avait laissé ses chaussons fourrésyu'un monsieur complaisant s'empressade loi rapporter, etc. criait: - Voschassons ' vos rhsnesons !.:.

il t'ai probable que l'asphyxie a étéamenée non par la rapidité avec laquel-le ils sot franchi l'espace, mana par l'aiei respirable dans lequel ils se sont trou-vés immédiatement puisque le balle.s'est élevé à 8,005 mètres

Maintenant qüesbil arrivé P M. Tis-snndier a-t-fl pu envrir la ...pape 7Noua ne le savons. Une dépêche que

us àVins

ta 0t ne nous donnepas de edétails,

Le balla., à quatre heures, était trou-ve dans les vignes des environs de Ciron(Indre); un des fumiers de M. P. Au-beigné recueillit les m

a

Ihmareux; o.ndire,prodigua des

se

à M.

Tissu

es finqui vivait encore ules deuxen"rent déposés sur de la paille dans uns

grange ; ils y sont peut dire encoLe public se souvlerrdra de leurs noms

car ils sont morts vi limes de lascience I ' (La Libert4.)

CHRONIQUE DE LA QUINZAINEOR a

REVUE DES DEUX-MONDES

14 avril 1875.

La ...,aise fortune nus a fait undevoir national de lu sagesse, et, si laFrance pouvait l'oubliernn seul instant,Elle n'aurait qu'à regarder outour d'elle,à écouter les bruits du murde. La Fran-

n vérité, aurait bien perdu l'esprittredilio..et quelle a la réputation d'a-voir, et elle aurait acquis bien peu dece bon sens aiguisé que donne le mal-heur, Si elle ne se sentait observée et

parfaitement surveillée. Ses moindresactions, ses m.nvements les plus imper-ceptibles, ses pensées, son silrsoe, es

qu'elle ue sait pus, tort est interprété,

assez souvent déollaré, et de temps àautre il souffle en Europe un certain

vente qui va soulever une poussière denouvelles et ae polémiques agitatricesdont nous ('arisons les frais. C'est eu

ezpérienoe qui via rien de nouveau,s la connaissons ; elle recommence

périodiquement snetoufans approchesde l'été.

Qua signiflédi l,as ces bruits qui ansont réveillée depuis quelques jour, et

ont repris une sorte d'importance mo-mentanée P D y a sans doute dans toutcala de singulières exagérations, des

décltainements d'outrecuidance et d'hu-meur sonpçonnense, des arriérés de

bain

R,

rme uomble dose de eeilepss-

on de commérage qui jouene

certsiarôle dans la politique du tempe, peut-être aussi d'autres calculs, des spécula-tinns Toudées sur une inquiétude habi-lement excitée. C'est la sensation dujoue dans une situation qui, par elle-môme, prête aisément à tontes les con-jectures, à toutes les interprétationspassionnées, et en défnitive; pore nnusqui sommes appelés à tirer la moralitéle tout, le plus Clair est qu'il n'y a nià s'amrmee de ces agftatians ertifirfel-les, ni à â endormir. La Pentue n'a paspour In moment de politigne pies sûreque de garder son sang-feula, de lais-

r,

passer tons les bruits

sansles dé-

daigner et sans les prendre trop an sé-

rieux, en restant tout simplement fidèleà cette sagesse qui est puer elle unenécessité, qu'elle est obligéo de prati-

quer d'abord dans ses affaires fntéeieu-

es pour mieux la pratiquer ensuitedans ses relations avec le monde.

C'rat là l'important, le point primoe-dixl "lie

la France; 'est d'une inspl-Calio. pressmde, irrésistible, de criesagesse nécessaire qu'est née la transac-Ilnn.lura rallié une majorité à laégal.-

ci.,, pouvoirs publics, qui apréparé la voie au premier cabinet de

l'organisation coustiutionneilo. Alitées'oil passé par toutes les être ces,

estations cettesubi tontes les coolsée tee seules'est réali donscrusée s

onditiont possibles. Aujourd'hui lésé

anee,t test, les résistances o t étéine,les controverses sont ets,

, les institutions sontdéfinien

es etOsées; Ce

goouveernementa été créé, il

sa raison d'être, son chefS se. ton.

violable, xnn ministère. La suie cetouverte, il ne reste qu'à la suivre esportant dans l'application dn régime

aa l'esprit qui a présidé an temoi,

labor eux des lois constfbrtionuelles,un esprit de libérale modération et de

concilia on supérieure .dans un intérêt

national.

Que les parti. vaincus, pour se faireillusion à eux. mêmes, Continuent à br0-Ier leur poudre inutile après le combat,

net que, n'ayant P. empériser l'rrgai-sation d'un gouvernement défini, fis

s'escriment eu polémiques Ifseunes

porte démontrer que l'article le plusimportant de la Constitution est celui

qm permet de la révlaer au de la sup-primer, c'est un jeu assez puéril qui

e conduit à rien. Il eu résulterait qu'anlieu d'en flair avec l'incertitude, ou'aurait faitque la perpétuer et l'sggra-r, qû ea créant OR se serait réservé le

droit de 1es mrltre sues cesse en doutesous prétexte d'éclairer nl. le président

de la Itépubligce, qni, seul jusqu'en

1880, peut Proposer la révision. Ces

polémiques de fanmfaie sont l'amuse-eet do jour, la dernière ressource des

légitimistes et des bonapartistes encoremal remis de leur défaite. C'est unemanière de passer les vacances parlemenmire.,Pendant ce temps, le pays, qui est

un peu

m.Jus

subtil et quia d'autrestravaux à poursuivre, laisse voir un ce,-lui. soulagement ; il ne demande pu'.feux que de croire à la durée, à refo-

acfté du régime qu'on font de lui

donner. Les conseils généraux, qui se

Sont rdemi, tout uenécrancert, sa sontfaits dans quelques département. les

itions tranquillesorganes de ces lieet confiantes.

ut a nsTout Sest pris , le mieux

du monde aveo quelques réserves despréfets contre l'invasion de la politiquedues les conseils Incitez. L'Assembléenationale dispersée médite sur le congédont elle jouit, et (ut sera peut-être ledernier avant la dissolution. M. JulesSi... profite des vacances po or allerprononcer des harangues à Montpellier,peêohunt la modération à ses amis, lesIlattact au même instant par des ricri-mfnatious contre le 24 msi, et oubliant

que, si PI, Thiers est tombé ce jour-19, Salvelat(Elisabetb), épouse Moutagoé,celui qui était ministre de l'instruction

pnbllgne a veille y o été pwr quelque63 ans, au pont des Demoiselles.

Baud.. (Jacques), rue St-Aubin, 18.Voici encore eue éclatant témoig:mge

de l'elfleacibt do Phosphate de Perdechose parRit dfaoonrs peu mesuré so- Pnntous (Jean-Dominique), faubu g pour ladocteur és-sciencesLovesIre l'Assemblée. M.tabiau, 24,

,,guérison des pales couleurs, dcs

N'importe, NI. Jules Simon prêche la d'ealomac, et de loutes Ies maltudiesmudé.tiou, dont il comprend la né- issmncnt duayant pour chose l'appmlvn

et tcet le monde la prôehe avec Béziers, le 16 avril 4875.'

sang, Comme toujours il v eut des mé-Ici, à Paris comme dans les provinces Ici, dans la semaine, il s'est fait t decins les plus haut placés :ui déjà l'on voit poindre, à travers la Fr. 62 et le cours ce disponible. Sa forme liq.ido lui donne un .,an-paix profonde du pays, ua vague mou- Pial en août, 64 fr. loge immense sur la Pilule; il esi pourvement de candidaüire pour le Sénat,un préliminaire indistinct des élections

laitiers. Quoi encore P M. le présidentde la république, faussant compagnie àVersailles, passe son congé à Paris, et

an lieu de si

b,

ite à la lecture desjuornaua qui s'épuisent à l'éclairer sur

le chapitre de la révision, il reçoit sucérémonie la Toison d'or que le roid'Espagne loi s récemment envoyée,Encore un peu lit. Thiers, en sa qualitéde hevalier de la Toison d'or, était dela réunion ; il y a eu a. moins à cette

asion entre M. le maréchal de Mur-Piahon et son illustee prédéCessenr unéchange de témoignages de courtoisieque le pays ne peut quesanetiorner eteoc'arageruen dési`p t eeuir

quiSmr cheminet honoré, ce.. qui o,ljones

t'aitsi pour être ses

guidesgont t

Le ministère enfin prend, lui aussi,ses vacances, quoiqu'il date à peine

d'un mois, M. Defaure arrive de la Charente-mférfeure, M. de nfenus était hierà Sains.Etienne, M. Léon Say va faire

nue excursion dans le midi, M. le ducde Decaaes part peur la Gironde, etchemin faisant, entre deus voyages auentre deux conseils, le m nistère coor-

donne, rajuste aa olitique, qui boit purse dégager peu à

ppeu de toutes les obs-

ccrilés.Est-ce l'influence des vacances ! est-ce

l'effet d'un naturelnu

peu compliqué PLe ,ministère, à vrai dire, prend son

. 11 ne se dévoileet P nel-ar des Procisnl de ravi t q

Par

de rés

temps

que gla ion

quefon astni emrn , ils nl réfléchit

beaucoup visiblement,il

tient à ne rienhasarder.

re des vacances PEst_

Est-ce l'f u nl'effet d'on aturel un peu c

Fugué P Le ministère, à vrai dire, prend

son temps. Il en se dévoile que pardegrés et par d'a procédés de révéa-

lion gnelquemi3 visse inattendus. Il

énéehit beaucoup visiblement, il tientà mi r il. hasarder, et il semble pinspréoccupé de combiner ses actes et e

paroles que de mener vivement les affai-res. Il marche néanmoins, cela est cer-tain, et depuis le jour oies M le vice-président du conseil a parlé devantl'Assemblée la déclaration prudente etcalculée qm a inauguré l'existence du

mrniutèee, les manifestations en sont

succédé, précisant u développant lesparoles de M. Bolet. La première de

Rifestatiovs a été la circulaire

ces

adressée par M. Dumure vus procureurs-géRiraua, une circulaire qui, à ce qu'il

parait, a eu son histoire inlme. Quandles grandes discussions sont suspen-

dues, on s'attache aux anecdotes, et

c'est ainsi que, selonciun bruit répandu

par la malignité, la rculaire de M. legarde des sceaux aurait failli être une

affaire grave 1

Une affaira vraiment, à quel propos?Est-ce que l'accord entre deux hommespublier chargés da fouloir a pu jamaislame à la question de savoir Si l'ex de-vait dira a le gouvernement républi-nai. + au lieu de e la réuni, que, >dans quels termes M. le garde dessceaux pouvait toucher k la loi ... lecolportage eu à la loi sur la presse ? Aqui ferat-on croire qu'il ail puy avoirl'ombre d'une crise ou d'un dissenti-ment hcelte occasion, qu ïi ait falluemployer le télégraphe pour modfperles

espeessfons d'an document déjà

partide la Chancellerie? Ce s ont les

r eues on les ennemis du ministère quiut dit cela, qui ont brodé sur des in-

discrétions, proflm.t d'un certain délaientre l'expéditi.. de la dépêche et lapublication au Journal Officiel.

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les d éta pp t. J

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de ta Cota de Oint i ri ,ale n 2, de Toulouse a pot du plan parcellaire Et laPar ces motifs : p é

da s la c le de Sailli- p LI t n a ec atficli,ss; Le TnLuual prononce l'os. DU' HOTEGRANIT le niL GALINS

Pana 1 I 1 ue le t, Vu le éro do Journal,I p p ton, pour ovine d'uti- Avec toutle mobilier leil,

rel d ni le c II r I equét p é .niée lvürnal de Tou(onse, du de 1 té publique Iég dement tons- ganiissaut, situé à Dagnèees-par N le Procureur de la lié. décemLre mil.huitcent aoixau talée, des immeubles ou par-Ide-LUChoo, dans une position

Aodienre puhiiqua du dix mure' il ue : te-quatorze; celles indiquées dans l'arrèté eaeeptinnoelle, en face da lacmil huit ernt s¢cs¢n[e quinze. Vu l'ai rèté préfectoral en date V'n le procès.verbal d'en- prefectui al ans.énoncé et duos et des gmnconces Vue splen-

du vingt-quatre fé 1 l quéte clos le once décenih 1 tall indicatif dsé le aide.Présents: NVI. L. de Liane, Luit cent sm:ant. q mil-huit cent soixante-qn gt t I 1 ] tient . àlise. àpeix soix,mtemille fr.

président; Meyne, luge; Vi Vu le pl in p. et tmze; t q t p Iingé- S'adresser, po ii les lenset-gn:ny J ige d"nstrn I r F fat indmalif des parcelles Vu l'avis de la comrnissi r .,di..ire de I erondis- gnement M' I si Bouédellr I d. 1 lill, e ii-rrais à ccuper dans la nstituée confpnnémeol à l', de V Ilel he, lequel p ueual t' t.. eL L Ebliy C,,-,,, gr ff+ cota mune de Saint-F61ix pour Dcle huit de la loi du trois comprend le propriétaires ci-

.Sicol t Dt t s a

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dem353 .idemidmn..

344 idem.143 id

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l'inel (1 al) cnllivalri i; a1 Saint l'i.hx, mell.,PIi,r1 (I-) e enxiv,teni, a S,intFél x

remilicatiou de la ro de dé.- un Etude de M' PP.11!SSé, avoué( t. 1. le n' 2, de Toulo V I loi du irais moi mil-,hSuint Coi deus.

à S é . dans le elle d . l t l q te r l -il.t Fêli pr p .li pou d l VENTE SUR LICITATION

V I t f t u' a ds lité J l l q . L ét angers admis, à l'au-N I Fél f l d O , I l or r i nie des criées du Tubu-lé h 'I I t t a d I République ses ld civil de Saint Caudens,i,- ellll,,i

CONTENANCES

n sl 11.1

cul1hr'. 0.020. ,. Il ., B. ,, c.3737IUgaud ((eorgeu;, oulDVa Leur, àale.

héritiers, t Saint.FélixFraissr. (Paul), gendre de Guéraud, à Saint.FélinFraissr (Pool), gendre de Gu6raud, i Saint l'ehxS Llav II (Macho), J N' a Su t l'élis

312 ld D. 1 (filtra t) ü S t l él358 id Il S. (l'Ib tl à l

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9 1

3 42 1 '1I111 S411 . fl t, 02

3 87 62S,x id m 1 s l'y (M c) e,m Sa t IAIiS504 id f1A 1 J.. I lé 1 s

UI idem, DAUI les lé t sglu A20 rI_ D9 J leu hé t s

251.E N DAin J I hérll'e u_l d I7 L s (J I.) à Saint.sE.

2 dem U'Anl j , les héritier,2H5 n uA,n) 1 he u.

d- xu (It. Fu ) 1 as tPrés1i id Il. S (C"Ib. t) 5 tI I

1 . AI x ) t l t Suit, t lI211 if x tl

((Lie Fel ) l Soit Félix

I élis2J7 U It d (Lt Fél ) ,1 +-lié d. D. B (f lU. t) à S f a FOIS- 01 id I 0 (AI. ) f ér à 9 t F610 kilos. (Bl )hs t Samt l élis2J 1 et o0euzUner,-Lano

SID et 320 idem. l:azieuz (Buruard), eharron àsaint- Félix

318 idem. Il... Il (Jean), menuisier à Saint.Félix318 idem. R°rrel(Pieren), maço° h Saint-F61ix318 idem. Rorent (Jean), menuisier à Salut-Félix317 idem. Froisse (Paul ,gendre Guéraud, à Saint-Félix31G idem. Fraise (Pangendre sain-Feh.31G idem. Catala (Aoséphine), à Saint-Félin515 idem. Eieaf',e (Clément), àSuivi.Félin

3111 idem. Itulland (hilaire), à Saiut-Félix550 idem. Ayrimu (Caroline), épouse Panthes, à Puylaurens527 idem. Ayrimu (Caroline), épouse Punthes) à Puylaaeens32S idem. Catala (Augustin), àSaint-Félix526 id n, Calai (A gustiu), a Saint I .lis

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