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COMMUNIQUÉ DE PRESSE - 23 JANVIER 2018 Après les poules pondeuses, les poulets de chair débarquent chez les particuliers. On connaissait la tendance des poules pondeuses pour produire ses œufs frais, voici le poulet fermier « 100% maison ». Misant sur l’essor de l’autoproduction et constatant l’envolée de la consommation de volaille en France (1) , la « start-up des basses-cours » Farmili s’est associée avec un éleveur auvergnat pour expédier chez les particuliers dans toute la France des poulets fermier Label à élever soi- même. Conditions requises pour réussir son petit élevage : disposer d’un poulailler avec parcours de promenade extérieur d’environ 10 m 2 par poulet. Autre condition souhaitée - c’est le message de Farmili : prendre soin des animaux. Premières expéditions à partir du mois de mars Vendus à 2,90 l’unité, les poussins de 4 jours seront livrés à domicile par 6 minimum. Compter 29,90 de frais de port pour qu’une douzaine de poussins parvienne à bon port. Pour garantir leur bonne croissance, Farmili proposera un kit poussin complet comprenant tout le nécessaire à commencer par l’aliment 100% bio made in France. Quant aux précieux conseils, ils seront disponibles sur le guide en ligne gratuit et le blog de Farmili. « Dans les élevages industriels l’abattage intervient vers 40 jours. Pour qu’un poulet prenne toute sa saveur tout en vivant dignement, nous préconisons un abattage à partir de 80 jours, idéalement 90 à 120 jours » Ghislain Journé – Fondateur de Farmili (1) Source : « La consommation de viande rebondit » - La France Agricole, 28 mars 2017. Farmili lance les premiers poulets livrés à domicile 1/3

C A Après les poules pondeuses, les poulets de chair ... · consommation de volaille en France (1), ... leur bonne croissance, Farmili proposera un kit poussin complet ... ils seront

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE - 23 JANVIER 2018

Après les poules pondeuses, les poulets de chairdébarquent chez les particuliers.On connaissait la tendance des poules pondeuses pour produire ses œufs frais, voici le poulet fermier « 100% maison ».

Misant sur l’essor de l’autoproduction et constatant l’envolée de la consommation de volaille en France(1), la « start-up des basses-cours » Farmili s’est associée avec un éleveur auvergnat pour expédier chez les particuliers dans toute la France des poulets fermier Label à élever soi-même. Conditions requises pour réussir son petit élevage : disposer d’un poulailler avec parcours de promenade extérieur d’environ 10 m2 par poulet. Autre condition souhaitée - c’est le message de Farmili : prendre soin des animaux.

Premières expéditions à partir du mois de mars

Vendus à 2,90 € l’unité, les poussins de 4 jours seront livrés à domicile par 6 minimum. Compter 29,90 € de frais de port pour qu’une douzaine de poussins parvienne à bon port. Pour garantir leur bonne croissance, Farmili proposera un kit poussin complet comprenant tout le nécessaire à commencer par l’aliment 100% bio made in France. Quant aux précieux conseils, ils seront disponibles sur le guide en ligne gratuit et le blog de Farmili.

« Dans les élevages industriels l’abattage intervient vers 40 jours. Pour qu’un poulet prenne toute sa saveur tout en vivant dignement, nous préconisons un abattage à partir de 80 jours, idéalement 90 à 120 jours » Ghislain Journé – Fondateur de Farmili

(1) Source : « La consommation de viande rebondit » - La France Agricole, 28 mars 2017.

Farmili lance les premierspoulets livrés à domicile

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La délicate question du sacrifice…

C’est la grande question. Si autrefois il était courant de tordre le cou à la poule en prévision du rôti dominical, force est de constater qu’aujourd’hui la pratique s’est largement professionnalisée et bien qu’en régions des structures locales existent – fermes avec abattoir intégré, bouchers ou petits abattoirs – en zones urbaines la question demeure. Une certitude : il est vivement conseillé d’apprendre le geste auprès d’un éleveur aguerri avant d’entreprendre le sacrifice d’un poulet.

« Depuis quelques années, en parallèle des éleveurs professionnels, nous avons un nombre croissant de demandes en provenance de particuliers qui adoptent des poules. On ne parle pas ici de paysans mais bien de familles vivant en zones péri-urbaines. On constate chez eux un réel engouement pour l’autosuffisance alimentaire, au-delà des oeufs. »

Céline Croissant, gérante de l’établissement Les Volailles de la Bruyère Blanche dans le Finistère, propose une pres-tation comprenant l’abattage et la préparation des volailles pour 2,30 € par poulet.Les particuliers lui confient leurs poules et les récu-pèrent prêtes à cuire.

Il n’en demeure pas moins que la philosophie propre à l’autopro-duction implique qu’on maîtrise la destinée de son poulet de la naissance au trépas. Les nouveaux adeptes l’ont bien compris et beaucoup pratiquent eux-mêmes le sacrifice. En diffusant les conseils de professionnels, Farmili vise à éclairer la pratique afin de concilier autosuffisance alimentaire et respect du vivant.

Dans les petits abattoirs ouverts aux particuliers, on peut déposer son poulet et le récupérer plumé et préparé. Ces structures pratiquent l’électronarcose, un procédé électrique qui permet d’étourdir l’animal avant de l’abattre.

Après l’omelette, le rôti.Sur les 50 millions de poules pondeuses élevées en France, on estime que 4% sont élevées par des particuliers, soit environ 2 millions de crêtes. Un marché de niche qui connaît une croissance annuelle supérieure à 10%. En revanche sur les 100 millions de poulets de chair élevés dans l’hexagone, aucun chiffre n’existe à ce jour sur le nombre de volailles élevées chez les particuliers. Mais une chose est sûre : ils sont de plus en plus nombreux à s’y intéresser.

Peut-on consommer ses propres poules ?(2)

Selon Poulespondeuses.com - le blog de référence des amateurs d’oeufs maison, la question revient fréquemment. Dans une récente enquête menée auprès des lecteurs, 60% des sondés se déclaraient prêts à élever leurs poulets de chair. Un phénomène qui s’inscrit dans la tendance de l’autoproduction, avec à la clé une volonté de mieux maîtriser son alimentation tout en veillant aux conditions d’élevage des animaux.

(2) Sondage réalisé le 30 octobre 2017 auprès de la communauté PoulesPondeuses.com via la page Facebook du blog.

La bloggeuse américaine Andrea, à l’origine de FrugallySustainable.com résume les raisons qui l’ont convaincue, avec d’autres, d’élever ses propres poulets. Un retour aux sources qui connaît un véritable engouement aux Etats-Unis où de nombreux péri-urbains expérimentent une nouvelle agriculture de proximité :

J’aime les poulets et je me préoccupe de leur bien-être. Si ce n’était pas le cas je continuerais à acheter dans le commerce des volailles élevées dans des conditions souvent inacceptables ;

Produire une alimentation saine, sans toxines, hormones ou antibiotiques, avoir le contrôle sur l’alimentation des poulets me permet de garantir à ma famille une alimentation saine ;

Réaliser des économies, en comparaison avec un poulet de qualité équivalente vendu dans le commerce (bio / plein air en l’occurrence) ;

Vivre en autosuffisance et acquérir les réflexes d’une consommation responsable ;

Repenser les modes de production de notre alimentation, à l’échelle de la famille pour commencer.

« I love my chickens and yes, I eat them ! »« J’aime mes poulets et oui, je les mange ! »

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Farmili assure également l’expédition de poules pondeuses, de lapins et de ruches peuplées à domicile.

Depuis le printemps 2017, Farmili livre ses ruches peuplées en direct du Vercors.

À proposFarmili, « la start-up des basses-cours ».Lancée en 2014, Farmili ambitionne de devenir la nouvelle marque emblématique du jardin – un jardin centré sur l’autoproduction et la préservation de la biodiversité. Le crédo de la start-up : « les 15 millions de jardins français sont autant de petits laboratoires où chacun peut changer le monde à son échelle ». En parallèle des commandes de particuliers sur le site, la jeune pousse répond à des demandes croissantes en provenance des collectivités, des établissements d’accueil ou plus récemment de parcs zoologiques dans le cadre de projets de mini-fermes.

À partir de février, Farmili rejoint Station F à Paris pour développer son concept original d’enseigne digitale.

Farmiliwww.farmili.comBlog L’Echo de la basse-cour : www.farmili.com/blog

Contact presseGhislain JournéTél. : 01 75 84 87 67E-mail : [email protected] HD disponibles sur demande.

Poule rousse

Lapin argentéanglais crème

Poule grise cendrée

Lapin nain bélier

Poule blanche herminée

Lapin fauvede Bourgogne

Poule noire cuivrée

Lapin extra naingris garenne

15 €

59,90 € 54,90 € 49,90 € 69,90 €

490 €

15 € 15 € 15 €

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