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Cancer du sein : dépistage gratuit pour toutes les femmes à risque REVUE DE PRESSE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ : « LE SYSTÈME DOIT ÊTRE SIMPLIFIÉ ET PLUS SOLIDAIRE » page 3 Jeudi 1 er octobre 2015 N° 4865 agence fédérale d’information mutualiste O ctobre rose est de retour ! Comme chaque année, le mois d’oc- tobre est consacré à la sensi- bilisation au dépistage précoce du cancer du sein, maladie qui cause près de 12 000 décès par an. « Il s’agit évidemment d’un enjeu de santé publique, enjeu qui ne doit pas concerner seu- lement les femmes mais l’en- semble de la société », a déclaré le 29 septembre la ministre de la Santé. ••• Au printemps 2016, toutes les femmes présentant un risque élevé ou très élevé de cancer du sein bénéficieront, quel que soit leur âge, d’une prise en charge à 100 % de leurs examens de dépistage et de suivi, a annoncé le 29 septembre la ministre de la Santé. CENTRES DE SANTÉ : ACCORD PARU AU JO L’accord national qui organise les relations entre les centres de santé et les caisses d’assurance maladie est paru le 30 septembre au Journal officiel. Ce texte a été conclu le 8 juillet entre l’Union nationale des caisses d’assurance maladie (Uncam) et neuf organisations représentatives du secteur, dont la FNMF et la Fédération des mutuelles de France (lire Afim n° 4834 du 15 juillet 2015 ). Il permet notamment d’étendre aux médecins salariés plusieurs rémunérations spécifiques, notamment le forfait de 40 euros pour le suivi d’un patient en affection de longue durée (ALD) ou le forfait médecin traitant de 5 euros. Par ailleurs, cet accord crée un contrat d’accès aux soins dentaires (CASD) limitant le taux de dépassement à 230 % sur les actes prothétiques et orthodontiques. Cliquer ici pour consulter l’intégralité de l’accord es* oumon Autr 49 475 P 11 284 ectum r Côlon- 18 92 du sein 6 10 Cancer 48 763 données 2012. Inca, Source : us oïde yr Th 5 887 tér 303 AS 1 AS C N 1 CE Ut S NO X 10 ANCER S DE C NOUVEAUX 55 000 cutané 4 7 Mélanome 5 747 A 4 615 P A A P PA Z lèvre-bouche-ph A veux système ner pancréa , essie V * LA FEMME CHEZ AR AN t fi i 4 e ynx. air Ov 4 615 har , œsophage x central, estomac , foie rein, , as ynx, lar , c LE CANCER DU SEIN DEMEURE LE PLUS FRÉQUENT CLIQUER SUR L’IMAGE pour en savoir plus sur le dépistage organisé du cancer du sein

C Cancer du sein : dépistage ACCORD PARU gratuit pour toutes …mutuelle-cybele-solidarite.com/wp-content/uploads/2015/10... · 2015-10-02 · du dépistage organisé du cancer du

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Cancer du sein : dépistagegratuit pour toutesles femmes à risque

REVUE DE PRESSE

COMPLÉMENTAIRE SANTÉ :« LE SYSTÈME DOIT ÊTRE SIMPLIFIÉ ET PLUS SOLIDAIRE »‡page 3

Jeudi 1er octobre 2015N° 4865

agence fédérale d’information mutualiste

Octobre rose est deretour ! Comme chaqueannée, le mois d’oc-

tobre est consacré à la sensi-

bilisation au dépistage précocedu cancer du sein, maladie quicause près de 12 000 décès paran. « Il s’agit évidemment d’unenjeu de santé publique, enjeuqui ne doit pas concerner seu-lement les femmes mais l’en-

semble de la société », a dé claréle 29 septembre la ministre dela Santé. •••

Au printemps 2016,toutes les femmesprésentant un risqueélevé ou très élevé de cancer du seinbénéficieront, quel que soit leur âge,d’une prise en chargeà 100 % de leursexamens de dépistageet de suivi, a annoncéle 29 septembre la ministre de la Santé.

CENTRESDE SANTÉ :ACCORD PARUAU JOL’accord national quiorganise les relationsentre les centres de santé et les caissesd’assurance maladieest paru le 30 septembre au Journal officiel. Ce texte a été conclu le 8 juillet entre l’Unionnationale des caissesd’assurance maladie(Uncam) et neuforganisationsreprésentatives dusecteur, dont la FNMFet la Fédération des mutuelles deFrance (lire Afimn° 4834 du 15 juillet2015). Il permetnotamment d’étendreaux médecins salariésplusieursrémunérationsspécifiques,notamment le forfaitde 40 euros pour le suivi d’un patient en affection de longuedurée (ALD) ou le forfait médecin traitant de 5 euros. Par ailleurs, cet accordcrée un contrat d’accèsaux soins dentaires(CASD) limitant le tauxde dépassement à 230 % sur les actesprothétiques etorthodontiques.Cliquer ici pourconsulter l’intégralitéde l’accord

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LE CANCER DU SEIN DEMEURE LE PLUS FRÉQUENT

CLIQUER SUR L’IMAGEpour en savoir plus sur le dépistageorganisé du cancer du sein

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JEUDI 1ER OCTOBRE 2015 • N° 4865 • 2

« Nous ne dirons jamaisassez que lorsqu’il est détecté tôt,le cancer du sein se guérit dansplus 9 cas sur 10. L’efficacité dudépistage organisé est doncabsolument essentielle, a indi-qué Marisol Touraine. L’enjeud’Octo bre rose est de faire passerlargement ce message. C’est aussil’occasion de rappeler que cer-taines femmes sont plus à risqueque d’autres. Elles doivent doncêtre suivies de manière adaptéeet financièrement soutenablespour elles. »

DES EXAMENSPLUS FRÉQUENTSDès le « printemps 2016 », les exa-mens de dépistage et de suivi desfemmes qui présentent un « risqueaggravé » de cancer du sein serontpris en charge à 100 % par l’assu-rance maladie, selon la fréquencejugée nécessaire par le médecin,a annoncé Marisol Touraine. Cettemesure s’appliquera à toutes lesfemmes concernées, quel que soitleur âge.Pour la ministre, il s’agit de corrigerla situation « paradoxale » ac -tuelle : alors que ces femmes demoins de 50 ans sont confrontéesà un risque plus élevé et doiventréaliser des examens plus fré-quents, elles ne sont pas prises en

charge à 100 % en raison de leurexclusion du programme national.Lancé en 2004, le dépistage orga-nisé du cancer du sein permet eneffet aux seules femmes âgées de50 à 74 ans de pouvoir effectuer,tous les deux ans, une mammogra-phie intégralement remboursée parl’assurance maladie, rappelle-t-on.Avec un taux de participation de

52,1 %, ce dispositif national toucheactuellement environ 2,5 millionsde femmes dont le risque est essen-tiellement lié à leur âge.La situation est très différentepour les femmes à risque aggravé.Cette notion concerne toutd’abord les femmes à « risqueélevé », c’est-à-dire celles qui onteu « des antécédents de cancerou de maladies du sein, ou uneradiothérapie à haute dose auniveau du thorax », préciseMarisol Touraine. Leur nombreest estimé à plus de 900 000, soitenviron 10 % de la populationcible du dépistage organisé, éva-lue le ministère.Par ailleurs, le risque aggravéenglobe les 17 000 femmes à« risque très élevé » avant 50 ans,du fait d’antécédents familiaux decancer du sein ou de l’ovaire. Dansleur cas, une consultation d’onco-génétique est indiquée pourrechercher une éventuelle muta-tion génétique du gène BRCA1 ouBRCA2 prédisposant aux cancersdu sein et de l’ovaire.

‡Paula Ferreira

•••

SANTÉ

UNE CONFÉRENCE CITOYENNE ET SCIENTIFIQUEA l’occasion d’Octobre rose, la ministre de la Santé a annoncé le29 septembre le lancement d’une concertation citoyenne et scien-tifique pour réfléchir collectivement aux « marges de progressionde notre politique de dépistage ». « Dix ans après la généralisationdu dépistage organisé du cancer du sein, nous sommes confrontésà de nouveaux défis », a indiqué Marisol Touraine, évoquant lesinégalités d’accès au dépistage national, un taux de participationqui stagne à 52,1 % et des controverses autour du surdiagnostic.Un site dédié www.concertation-depistage.fr est ouvert jusqu’au15 mars 2016 pour recueillir les contributions du grand public.Dans l’optique d’un plan d’action national, un comité d’orientationremettra un rapport à la ministre de la Santé à l’été 2016.Ce rapport, rédigé à l’issue d’une réunion publique nationale declôture, s’appuiera notamment sur les travaux d’une conférencede citoyennes, composée d’environ vingt femmes représentantla diversité des femmes en France. En mars prochain, ces dernièresrendront un avis collectif sur l’évolution du dépistage et leursattentes. Par ailleurs, le comité d’orientation prendra en compteles réflexions d’une conférence de professionnels de santé. Leurspropositions porteront notamment sur l’implication des profes-sionnels de santé dans le dépistage. P. F.

2 000 4 000 6 000 8 000 10 000 12 000

Utérus 3 127

Ovaire 3 140

Poumon 8 623

Sein 11 886 décès par an– 1,5% depuis 2005

Côlon-rectum 8 447

+ 4,6

– 1,1

– 0,6

– 1,3

Source : Inca, données 2012.

MORTALITÉ DES FEMMES : LES CINQ PREMIERS CANCERS EN CAUSE

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JEUDI 1ER OCTOBRE 2015 • N° 4865 • 3

Atrois mois de son entrée envigueur, la généralisation de lacomplémentaire santé à tous les

salariés « n’a pas fini de réserver son lotde surprises », observe L’Argus de l’assu-rance (pages 12 à 16). Pour l’hebdoma-daire, qui consacre tout un dossier à l’ac-cord national interprofessionnel (ANI),cette mise en place s’apparente même àune « course dans la brume », de surcroît« sans GPS ni relais satellites ». Dans un entretien qu’il accorde au

magazine, le président de la MutualitéFrançaise estime lui aussi qu’« il est diffi-cile de mesurer dès à présent les effetsde cette mesure pour les salariés ». Pourl’heure, rapporte Etienne Caniard en s’ap-puyant sur une enquête réalisée parAudirep, 71 % des petites entreprises etmicro-entreprises (TPE) déclarent proposerune couverture santé à leurs collabora-teurs, de même que 85 % des petites etmoyennes entreprises (PME), entreprisesde taille intermédiaire (ETI) et grandesentreprises (GE). « Sans surprise, ce sontd’abord les entreprises de grande taillequi ont anticipé », observe-t-il. Mais, dans le détail, des disparités exis-

tent entre les différents contrats, soulignele président de la Mutualité Française,« certains bénéficiant d’aides fiscales etd’autres non ». Les jeunes en situationprécaires en sont « les premières vic-times », de même que les chômeurs etles personnes âgées. Si les aides fiscaleset sociales représentent 3,5 milliards d’eu-ros, elles sont concentrées sur les contratsliés à l’activité professionnelle, regretteEtienne Caniard.Pour ceux qui en sortent, les retraités

par exemple, « c’est insupportable ». Leurcouverture santé peut représenter jusqu’à10% des revenus disponibles. « C’est par-fois autant que le coût du logement ! »

Le chef de l’Etat, rappelle EtienneCaniard, « a été à l’écoute de ces argu-ments et a donc promis qu’une réflexionsoit “notamment”, j’insiste sur ce mot,menée sur la couverture complémentairedes retraités ». Quels principes doivent guider cette

réflexion sur la couverture santé ?, inter-roge François Limoge. Trois axes doiventêtre privilégiés, estime Etienne Caniard :par simplification, « il faut cesser de mul-tiplier les dispositifs spécifiques sans miseen perspective ». Pour des raisons de jus-tice et d’efficacité, « il faut commencerpar s’occuper de ceux qui ne peuventplus avoir accès à une mutuelle ». Enfin,« arrêtons de réglementer à l’excès, quel’Etat fixe les objectifs et fasse confianceaux acteurs », réclame le président de laFNMF, qui privilégie une « réponsesimple » susceptible de « se substituer àbon nombre de dispositifs existants » etde répondre « au souci exprimé par leprésident de la République de rendre dupouvoir d’achat aux Français » : celle d’uncrédit d’impôt qui apporterait « unecontrepartie universelle aux contraintesd’intérêt général qui doivent s’appliqueraux couvertures complémentaires ». Quid des mesures annoncées dans le

cadre du projet de loi de financementde la Sécurité sociale (PLFSS) pour2016 sur la complémentaire santé desretraités ? Certes, ce texte prévoit, pourla première fois, une baisse de la fiscalitésur les contrats des retraités, mais celle-ci est « insuffisante », pour EtienneCaniard. « Il faudra que cette baisse soitproportionnée à l’effort demandé. » De plus, regrette le président de la

Mutualité, « en créant deux dispositifssupplémentaires d’accès à la complémen-taire (alors qu’il y en a déjà huit), le gou-vernement ajoute de la complexité et de

Complémentaire santé : « Le système doit être simplifié et plus solidaire »

la segmentation alors que le système abesoin d’être simplifié et plus solidaire ».

BUDGET : 16 MILLIARDSD’ÉCONOMIES POUR 2016 Le ministre du Budget, Michel Sapin,

a présenté hier en Conseil des ministresle projet de loi de finances pour 2016.« Dans les grandes lignes, indique LeFigaro (pages 2 à 4), ce texte prévoit uneréduction du déficit à 3,3 % du PIB l’anprochain, avec l’objectif de revenir à2,7 % en 2017. Il entérine également labaisse d’impôts de 2 milliards d’eurospour les Français et la réduction supplé-mentaire de 9 milliards de prélèvementspour les entreprises. Le tout financé parun effort d’économies dans les dépensesde 16 milliards d’euros et reposant surune prévision de croissance de 1,5 %. »Cet objectif de 16 milliards « est plus

ambitieux que les 14,5 milliards program-més jusqu’ici », écrivent Les Echos(pages 2 à 5). Dans le détail, poursuit lequotidien économique, « l’effort seraréparti entre 5,1 milliards pour l’Etat etses opérateurs, 7,4 milliards pour laSécurité sociale et 3,5 milliards pour lescollectivités territoriales ». Les efforts vont notamment se traduire

par une diminution d’un milliard d’eurosdes budgets des ministères, considéréspar Bercy comme les « bons élèves »,note Le Figaro. Côté régimes sociaux,l’assurance maladie devra réaliser 3,4 mil-liards d’euros d’économies, tandis que4 milliards d’économies devront êtreeffectuées sur les allocations familiales,les retraites, ou encore l’Unedic. Enfin,les économies réclamées aux collectivitéslocales vont « se traduire concrètementpar une nouvelle baisse des dotations »,ajoutent Les Echos.

‡Frédéric Lavignette

SOCIAL– « Le gouvernement rogne sur les aides au logement. » Les aides

personnalisées au logement (APL), dont 6,5 millions de ménages béné-ficient aujourd’hui, vont diminuer. Selon le projet de budget 2016présenté hier matin, l’enveloppe qui leur est dédiée va fondre de

185 millions d’euros en 2016, puis de 274 millions en 2017. Pour arriverà cet objectif, trois réformes du mécanisme d’attribution vont êtremises en place : le patrimoine d’un bénéficiaire sera désormais intégrédans le calcul qui sert à déterminer le montant de l’APL (Livret A,résidence secondaire, etc.) ; un loyer plafond sera également

REVUE DE PRESSE

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JEUDI 1ER OCTOBRE 2015 • N° 4865 • 4

instauré ; enfin, les salariés de moins de 25 ans qui viennentde trouver un emploi ne bénéficieront plus d’une dérogation qui leurétait favorable. Le Parisien/Aujourd’hui page 6 et Le Monde page 12.

– « La rentrée mouvementée des étudiants en ostéopathie. » Suiteà une réforme destinée à améliorer la qualité et la sécurité de la for-mation, quatorze écoles d’ostéopathie n’ont pas obtenu le renouvel-lement de leur agrément auprès du ministère de la santé. Le Mondepage 15.

SANTÉ– « Prévenir la cirrhose alcoolique, une priorité. » Une étude pré-

sentée au congrès de l’Association française pour l’étude du foie(Afef), qui se tient en ce moment à Toulouse, montre que même lors-qu’un patient s’arrête de boire, les risques sur sa santé persistent etnotamment celui de développer un cancer du foie. Le Figaro page 11.

– « Cigarette électronique : pas de panique. » Selon le professeurBertrand Dautzenberg, pneumologue à la Pitié-Salpêtrière, à Paris,et ardent défenseur de l’e-cigarette dans le sevrage tabagique, l’en-

Avis du Haut Conseil des finances publiques (HCFP)relatif aux projets de lois de finances et de financement de la sécurité sociale pour l’année 2016 (JORF n° 0227 du 1er octobre texte n° 69). Cliquer ici

1ER OCTOBREConvention nationale de l’Union des employeurs de l’économiesociale et solidaire (Udes), sur le thème : « Nouveaux modèlesde croissance : la place des employeurs de l’économie socialeet solidaire (ESS). »Lieu : Paris.Inscription : cliquer ici

5 OCTOBREColloque de la Mutualité Fonction Publique Limousin sur lethème « La régulation du système de soins : l’affaire de tous ? »Lieu : Limoges.Informations et inscriptions : [email protected]

8 OCTOBREL’Union française pour la santé bucco-dentaire (UFSBD) organise

son XVIe colloque national de santé publique, sur le thème « Ma-ladies chroniques et santé bucco-dentaire, l’éducation thérapeu-tique : pour qui ? Pour quoi ? », en partenariat avec la MutualitéFrançaise.Lieu : Mutualité Française, Paris.Inscription : cliquer ici

8 OCTOBREColloque de la Mutualité Fonction Publique Aquitaine sur lethème : « Les mutuelles de la Fonction publique : Pour notresanté, soignons les solidarités ».Lieu : Bordeaux.Informations et inscriptions : [email protected]

9 OCTOBREAgrume groupe Harmonie organise un colloque sur le thème« Big data, data science, objets connectés : quelles opportunitéspour les mutuelles ? » Les échanges permettront de partager lesapplications pour les mutuelles en matière de connaissance desadhérents et de développement des nouveaux services.Lieu : Maison des Polytechniciens, Paris.Programme et inscription en cliquant ici

9 ET 10 NOVEMBRE16es Rencontres MutRé sur le thème « Frontières de l’assurancemutualiste à l’horizon 2020 ». Lieu : Marseille.Informations et inscriptions

••• quête de la direction générale de la Concurrence, de la Consommationet de la Répression des fraudes (DGCCRF) publiée mardi est « un coupbas du lobby des cigarettiers ». Cette étude conclut en effet que 90 %des liquides sont non conformes et que les e-cigarettes présententde nombreuses anomalies en matière de sécurité. Le Parisien/Au -jourd’hui page 10.

ET AUSSI� La Maif va devenir un actionnaire de référence de la société

Numa, une start-up anciennement appelée Silicon Sentier et considéréecomme un acteur important de l’innovation en France, afin d’anticiperles ruptures technologiques à venir dans l’assurance. Le Monde éco-nomie et entreprise page 5.

� Les virus hivernaux commencent leur attaque saisonnière. LeParisien/Aujourd’hui page 10.

� L’Assemblée nationale examinera lundi en deuxième lecture laproposition de loi sur la fin de vie rejeté par le Sénat en juin dernier.Le Figaro page 9.

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Au Journal officiel

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