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info Mensuel Août 2008 No 7 Bulletin d’information de la Chambre de commerce,d’industrie et des services de Genève Dynamiser Genève A peine l’euphorie de l’Euro 2008 était-elle retombée que les Fêtes de Genève ont culminé en un feu d’artifice à la hauteur de l’événe- ment, visible de loin et dont le retentissement est certainement parvenu au-delà de Moscou. Mais il ne suffit pas d’occuper le devant de la scène «au temps chaud», avec de beaux discours et des sym- boles voyants, si originaux soient- ils; encore faut-il s’assurer, en cou- lisses, que la machinerie est bien huilée et fonctionne toute l’année. Pour avancer, Genève doit absolu- ment développer son tourisme, profitable à l’économie en général et créateur d’emplois. Ce déve- loppement passe par l’améliora- tion des conditions cadre, notam- ment par le resserrement des liens entre le politique et l’économie. Avant tout, il est urgent de moderniser l’aéroport, de l’adap- ter à l’augmentation du trafic aérien et de le doter de places de parking supplémentaires. Garantir un accueil de qualité implique aussi de développer la capacité hôtelière, notamment dans la catégorie moyenne, ce qui nécessite un assouplissement de la LDTR. En outre, il y a lieu d’aménager les espaces publics: une rade digne de ce nom, s’ou- vrant sur une ville propre, animée le soir et le week-end et illuminée à Noël – le tout dans un climat de sécurité – ne relève pas du conte fantaisiste, des horaires d’ouver- ture des commerces plus souples non plus. Si Genève parvient ainsi à apporter à son tourisme un vrai ballon d’oxygène, les touristes ne viendront plus chez nous par hasard! François Naef Président de la CCIG Editorial Sommaire Editorial : Dynamiser Genève p. 1 Le PPP: une clé pour le développement de Genève? p. 1-2 Révision de la LAA p. 3 Commerce international p. 4 Info santé avec la Clinique des Grangettes p. 5 Vie politique p. 6 Interview du directeur général de SIG, André Hurter p. 7 Informations diverses - Agenda p. 8 page 3 > page 7 > Explications sur la révision de la LAA Suite à l’adoption de la modification de la loi fédérale sur l’assurance- accidents (LAA) par le Conseil fédé- ral, Edouard Currat, membre de la direction générale de la Suva, explique les enjeux principaux de cette révision pour tous les entrepre- neurs et pour les assurés. Prise en charge personnalisée, per- formance, enthousiasme – le service d’urgences des Grangettes est ouvert à tous, tous les jours, dans un cadre exceptionnel. L’ouverture du marché de l’électricité est imminente. André Hurter, directeur géné- ral des Services industriels de Genève (SIG), explique comment son entreprise se prépare à cette ouverture. page 5 > GENÈVE VAUD NEUCHÂTEL/JURA VALAIS Tél 0848 912 912 Fax 0848 914 914 [email protected] www.devillard.ch Les grands principes Le PPP offre une approche diffé- rente pour financer et gérer des projets d’utilité publique. Comme le relève Pierre Adnet, directeur com- mercial adjoint en charge du déve- loppement chez Losinger: « Le sec- teur public n’achète plus un bien, mais un service.» Celui-ci va de la conception à la maintenance, en passant évidemment par le finance- ment, la construction et l’exploita- tion. En échange, le secteur public paie des annuités financières (loyer, subvention, recettes versées par les utilisateurs, etc.) dès la fin de la construction, lorsque les ouvrages sont totalement réceptionnés.« Le paiement est basé sur la perfor- mance», déclare Bernard Chauvet, directeur de l’agence de Genève de Losinger, au bénéfice d’une grande expérience en matière de PPP en Angleterre. Et d’ajouter: «L’entité publique ne paiera les annuités qu’en fonction du degré de qualité du service offert et de la disponibi- lité de l’ouvrage. » Autre principe: la durée. Un PPP s’inscrit dans le long terme, soit de 25 à 35 ans. Quant aux risques inhérents au projet, ils sont portés par l’entité la plus à même de les contrôler et de les mesurer. Une bonne répartition est donc la clé d’un PPP réussi. A toutes fins utiles, précisons que PPP n’est pas syno- nyme de privatisation. Les pouvoirs publics ne renoncent pas à une tâche ou à la fourniture de presta- tions pour la transférer au privé. Un PPP permet à ces deux secteurs de réaliser ensemble un projet, chacun mettant en jeu ses meilleurs atouts. Cadre juridique Lorsqu’il n’existe pas de base légale particulière pour la tâche à accom- plir, une base légale expresse, voire constitutionnelle, est nécessaire pour un PPP. Quant aux modèles de PPP, trois sont envisageables. D’abord, le modèle contractuel, qui comprend plusieurs variantes comme la gestion, l’exploitation, le bail. Ensuite, la concession: dans ce cadre, le concessionnaire s’engage à fournir, en lieu et place des pouvoirs suite en page 2 > Le partenariat public-privé (PPP) permet à une collectivité publique de confier à une entreprise privée un projet global. L’entreprise a pour mission de conce- voir, financer et réaliser une prestation ou un ouvrage de service public et d’en assurer ensuite la maintenance et la gestion. Le cadre temporel est défini et un paiement, échelonné dans le temps, est effectué par l’entité publique. Le PPP est répandu outre-Atlantique et en Angleterre depuis fort longtemps. Il tend à s’imposer en Europe et fait son apparition en Suisse, où il suscite déjà un intérêt croissant. D’aucuns voient dans cette forme de collaboration public-privé sur le long terme une clé pour Genève: l’Etat pourrait accélérer ses investissements en matière d’équipements publics sans aggraver l’endet- tement déjà lourd du canton. PARTENARIAT PUBLIC-PRIVÉ: Une clé pour le développement économique de Genève ? Siège de la Chambre 4, boulevard du Théâtre - 1204 Genève Adresse postale Case postale 5039 - 1211 Genève 11 Tél. 022 819 91 11 - Fax 022 819 91 00 www.ccig.ch Bernard Chauvet et Pierre Adnet, de l’entreprise Losinger, sont deux fervents partisans du PPP. Info Santé Nouvelles d’entreprise

CCIGinfo no 7 - 2008

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Juillet-Août 2008

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Page 1: CCIGinfo no 7 - 2008

infoMensuel

Août 2008No 7

Bulletin d’information de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève

DynamiserGenèveA peine l’euphorie de l’Euro 2008était-elle retombée que les Fêtesde Genève ont culminé en un feud’artifice à la hauteur de l’événe-ment, visible de loin et dont leretentissement est certainementparvenu au-delà de Moscou. Maisil ne suffit pas d’occuper le devantde la scène «au temps chaud»,avec de beaux discours et des sym-boles voyants, si originaux soient-ils; encore faut-il s’assurer, en cou-lisses, que la machinerie est bienhuilée et fonctionne toute l’année.Pour avancer, Genève doit absolu-ment développer son tourisme,profitable à l’économie en généralet créateur d’emplois. Ce déve-loppement passe par l’améliora-tion des conditions cadre, notam-ment par le resserrement des liensentre le politique et l’économie.Avant tout, il est urgent demoderniser l’aéroport, de l’adap-ter à l’augmentation du traficaérien et de le doter de places deparking supplémentaires.Garantir un accueil de qualitéimplique aussi de développer lacapacité hôtelière, notammentdans la catégorie moyenne, ce quinécessite un assouplissement dela LDTR. En outre, il y a lieud’aménager les espaces publics :une rade digne de ce nom, s’ou-vrant sur une ville propre, animéele soir et le week-end et illuminéeà Noël – le tout dans un climat desécurité – ne relève pas du contefantaisiste, des horaires d’ouver-ture des commerces plus souplesnon plus. Si Genève parvient ainsià apporter à son tourisme un vraiballon d’oxygène, les touristes neviendront plus cheznous par hasard!

François NaefPrésident de la CCIG

Editorial

SommaireEditorial : Dynamiser Genève p. 1

Le PPP: une clé pour le développement de Genève? p. 1 - 2

Révision de la LAA p. 3

Commerce international p. 4

Info santé avec la Clinique des Grangettes p. 5

Vie politique p. 6

Interview du directeur général de SIG, André Hurter p. 7

Informations diverses - Agenda p. 8

page 3 >

page 7 >

Explications surla révision de la LAASuite à l’adoption de la modificationde la loi fédérale sur l’assurance-accidents (LAA) par le Conseil fédé-ral, Edouard Currat, membre de ladirection générale de la Suva,explique les enjeux principaux de

cette révision pour tous les entrepre-neurs et pour les assurés.

Prise en charge personnalisée, per-formance, enthousiasme – le serviced’urgences des Grangettes estouvert à tous, tous les jours, dansun cadre exceptionnel.

L’ouverture du marchéde l’électricité estimminente. AndréHurter, directeur géné-

ral des Services industriels de

Genève (SIG), explique commentson entreprise se prépare à cetteouverture.

page 5 >

GENÈVE VAUD NEUCHÂTEL/JURA VALAISTél 0848 912 912 Fax 0848 914 [email protected] www.devillard.ch

Les grands principesLe PPP offre une approche diffé-rente pour financer et gérer desprojets d’utilité publique. Comme lerelève Pierre Adnet, directeur com-mercial adjoint en charge du déve-loppement chez Losinger: «Le sec-teur public n’achète plus un bien,mais un service.» Celui-ci va de laconception à la maintenance, enpassant évidemment par le finance-ment, la construction et l’exploita-tion. En échange, le secteur publicpaie des annuités financières (loyer,subvention, recettes versées par les

utilisateurs, etc.) dès la fin de laconstruction, lorsque les ouvragessont totalement réceptionnés.«Lepaiement est basé sur la perfor-mance», déclare Bernard Chauvet,directeur de l’agence de Genève deLosinger, au bénéfice d’une grandeexpérience en matière de PPP enAngleterre. Et d’ajouter : «L’entitépublique ne paiera les annuitésqu’en fonction du degré de qualitédu service offert et de la disponibi-lité de l’ouvrage.»Autre principe: la durée. Un PPPs’inscrit dans le long terme, soit de

25 à 35 ans. Quant aux risquesinhérents au projet, ils sont portéspar l’entité la plus à même de lescontrôler et de les mesurer. Unebonne répartition est donc la cléd’un PPP réussi. A toutes fins utiles,précisons que PPP n’est pas syno-nyme de privatisation. Les pouvoirspublics ne renoncent pas à unetâche ou à la fourniture de presta-tions pour la transférer au privé.Un PPP permet à ces deux secteursde réaliser ensemble un projet,chacun mettant en jeu sesmeilleurs atouts.

Cadre juridiqueLorsqu’il n’existe pas de base légaleparticulière pour la tâche à accom-plir, une base légale expresse, voireconstitutionnelle, est nécessairepour un PPP. Quant aux modèles dePPP, trois sont envisageables.D’abord, le modèle contractuel, quicomprend plusieurs variantescomme la gestion, l’exploitation, lebail. Ensuite, la concession: dans cecadre, le concessionnaire s’engage àfournir, en lieu et place des pouvoirs

suite en page 2 >

Le partenariat public-privé (PPP) permet à une collectivité publique de confierà une entreprise privée un projet global. L’entreprise a pour mission de conce-voir, financer et réaliser une prestation ou un ouvrage de service public etd’en assurer ensuite la maintenance et la gestion. Le cadre temporel est définiet un paiement, échelonné dans le temps, est effectué par l’entité publique.Le PPP est répandu outre-Atlantique et en Angleterre depuis fort longtemps.Il tend à s’imposer en Europe et fait son apparition en Suisse, où il suscite déjàun intérêt croissant. D’aucuns voient dans cette forme de collaborationpublic-privé sur le long terme une clé pour Genève: l’Etat pourrait accélérerses investissements en matière d’équipements publics sans aggraver l’endet-tement déjà lourd du canton.

PARTENARIAT PUBLIC-PRIVÉ :

Une clé pour ledéveloppement économique

de Genève?

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Bernard Chauvet et Pierre Adnet, de l’entreprise Losinger, sontdeux fervents partisans du PPP.

Info Santé

Nouvellesd’entreprise

Page 2: CCIGinfo no 7 - 2008

publics, une prestation à un tiers,qui lui versera une redevance afinde financer le projet (voir l’exemplede Cadiom dans l’encadré). Enfin, lemodèle d’entreprise est appliquélorsque le projet est confié à unesociété, dite parfois «de projet», ouà une autre entité de droit privé àlaquelle participent aussi bien lesmandants que les mandataires.Quant à la structure à proprementparler, elle se présente générale-ment comme un ensemble de plu-sieurs contrats ou comme uncontrat mixte global qui a pour

objet des prestations principalesdécoulant de différents types decontrats prévus par la loi.

Les avantagesParmi les avantages du PPP, relevonsnotamment ceux-ci : meilleure maî-trise de la gestion du projet sur l’en-semble de son cycle de vie, gainsd’efficience dans la réalisation, sainerépartition des risques entre publicet privé. Comme le résume très bienJean-Claude Gal, responsable déve-loppements immobiliers chezImplenia: «Dans un PPP, le secteur

info2 No 7 / Août 2008

Partenariat public-privé: Une clé pour le développement économique de Genève? - suite de la page 1 >

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Avez-vous déjà fait l’expé-rience du PPP à l’Etat?Les exemples de partenariatsentre les secteurs privé et publicsont nombreux à Genève,comme l’Arena, le Stade deGenève ou le système HLM, maisl’Etat de Genève n’a pas encorefait l’expérience d’un vrai PPP. LaSuisse en général est dans lamême situation. Il manque enréalité un cadre juridique. Par ail-leurs, le besoin de passer par untel financement de nos infrastruc-

tures ne s’est pas fait sentir, lemodèle de l’investissement publicclassique donnant satisfaction.

Quels sont, à votre avis, lespoints forts du PPP?Il opère un transfert de risque surle partenaire privé, notamment ence qui concerne les coûts et lesdélais. Cela amène un gain d’effi-cience. Par ailleurs, ce type definancement a un effet bénéfiquesur l’endettement de l’Etat. Enfin,en déléguant au privé la tâche deconstruire, l’Etat se concentre surses tâches principales.

Quels sont ses points faibles,les obstacles?Le manque d’expériences de cetype de financement est le princi-pal point faible. Il en découle unecertaine méfiance. C’est la raisonpour laquelle je souhaite menerune opération pilote. L’autre pointfaible est également l’impressionde perte de maîtrise de l’Etat surl’ouvrage. Mais cet inconvénientdoit pouvoir être traité au moyend’un cahier des charges très précis.

La législation devra-t-elle êtremodifiée pour que le PPP puissedéployer toute son efficacité?Probablement. Le cadre juridiqueactuel n’est pas approprié. Dans ledomaine contractuel, pour les pro-

cédures de marché public et en cequi concerne le contrôle démocra-tique, des modifications législa-tives me paraissent nécessaires.

L’économie genevoise et,en particulier, les mentalitéssont-elles prêtes à accueillir cegenre de projets?Pourquoi pas? C’est surtout unequestion économique. Pour savoirsi c’est un système intéressant, ilfaudra accumuler des expé-riences. Ce n’est que là que l’onsaura si ce mode de financementest intéressant.

L’avis d’un conseiller d’Etat

Eliminer lesdéchets touten les valori-sant, voilà ceque permetun projetnovateur.Depuis sep-tembre2002, le pro-

jet Cadiom (pour «chauffage à dis-tance par incinération des orduresménagères») permet à 23 000habitants de la Cité Nouvelled’Onex et du Petit-Lancy de sechauffer grâce aux déchets ména-gers incinérés à l’Usine desCheneviers. L’incinération sert àchauffer l’eau, qui est ensuite dis-

tribuée par 30 km de canalisations,enterrées principalement en zoneagricole. Le raccordement desimmeubles se fait par des sous-stations d’échange de chaleur.Par ailleurs, ce réseau fournit éga-lement de l’électricité à 25 000habitants de Genève.Les avantages sont nombreux:économies de mazout, diminutiondes trajets des camions-citernes,réduction des émissions annuellesde CO2 et d’oxydes d’azote, sim-plification de l’exploitation, opti-misation de l’Usine desCheneviers, diminution duréchauffement du Rhône engen-dré par les rejets thermiques.Le projet Cadiom est l’un des

rares projets d’assainissementmajeurs en Suisse. La sociétémixte Cadiom S.A., qui a étudié,construit et qui exploite les instal-lations de production et de distri-bution, bénéficie d’une conces-sion sur l’ouvrage pour une duréede 30 ans. Elle est propriétaire del’échangeur et responsable de sonentretien, alors que le chauffa-giste habituel s’occupe de lamaintenance de la partie secon-daire. SIG est responsable descompteurs et de la facturation,tandis que le concédant – l’Etatde Genève – surveille et garantitle prix du kWh, qui est ainsi parti-culièrement stable dans le temps.

Sonam Bernhard

Quand le PPP vient au secours de l’environnement

Pour dynamiser Genève, il ne suffitpas de construire des infrastruc-tures publiques. Le rayonnementéconomique de la Cité de Calvinse nourrit aussi de projets culturels,qui ont un impact positif sur sonimage. L’extension du Musée d’artet d’histoire en est un bon exem-ple. Ce magnifique projet, signé

Jean Nouvel, ne pourra toutefoisvoir le jour que si les Autorités de laVille, déjà confrontées à l’urgencedes travaux de rénovation, obtien-nent un appui financier extérieurde 40 millions de francs. C’est dansce but qu’œuvre la Fondation pourl’agrandissement du Musée d’art etd’histoire, qui peut être assimilée à

une «société de projet», puisquesa mission est de trouver les fondsnécessaires auprès de donateursprivés*. Cette fois, le PPP vient ausecours de la culture! PRG

Une autre facette du PPP

Investisseur privé

Architecte

Pouvoirspublics

Entreprisesgénérales

Planification

Construction

Exploitation

Transfert

CYCLE DE VIE

PROCESSUS ET CONTRAT PPP

Source:Etude

debasesurlesPPP

* Pour tout don ou renseignement, vous pouvez appeler le secrétariat de la Fondation au 022 318 87 17.

SCHÉMA CLASSIQUE DU PPP D’ACQUISITION

Jean-Claude Gal,de l’entrepriseImplenia, est égale-ment administrateurde Cadiom S.A.

L’agrandissement du Musée d’art et d’his-toire de Genève pourrait être le fruit d’unPPP réussi.

public assure la pérennité et le privéapporte son dynamisme.»Le PPP offre de réelles opportunitéspour la réalisation de projets d’uti-lité publique et présente des avan-tages financiers indéniables. Sonsuccès est néanmoins subordonné àune volonté forte et affirmée desautorités politiques. D’ailleurs, il y aquelque temps déjà, une mention aété déposée par le radical GabrielBarrillier «pour développer le recoursaux PPP». A quand alors de nou-veaux partenariats pour dynamiserGenève?� Pascale Roch-Gigandet

Page 3: CCIGinfo no 7 - 2008

infoNo 7 / Août 2008 3

Quelles sont les principales modi-fications pour les entreprisesgénérées par la révision de cetteassurance sociale ?EC: La révision comprend deuxvolets. Le premier concerne lesstructures et l’organisation de laSuva : ses organes, ses comptes etses activités accessoires, telles lagestion des deux cliniques de réa-daptation, la gestion des cas pourdes tiers, le développement de pro-duits de sécurité ainsi que la forma-tion et les conseils en matière depromotion de la santé en entreprise.Les entreprises assurées apprécientces services de la Suva considéréscomme «best practice» à suivre.

Et le second volet?EC: Le second volet comprend diversesdispositions techniques que la Suvasalue dans l’ensemble. Il y a toutefoisdes exceptions qui, si elles surviventaux débats parlementaires, auront desconséquences néfastes pour les entre-prises et les assurés. Il s’agit notam-ment de la volonté de diminuer le gainmaximal assuré des salariés et demaintenir l’interdiction aux entre-prises de contracter des assurancescomplémentaires auprès de la Suva.

Concrètement, que signifie cettemesure?EC: Pour le salarié, l’indemnité pertede gain suite à un accident est calcu-lée en référence à un gain maximal

assuré, aujourd’hui de 126 000francs. Baisser cette limite, c’est dété-riorer l’assurance-accidents obliga-toire. D’une part, les salariés serontassurés sur une base moins bonneet, d’autre part, les employeursseront obligés de la compenser avecdes assurances complémentaires.Outre les coûts des primes supplé-mentaires, c’est aussi une surchargeadministrative pour les entreprisesqui en ont déjà assez!

Quelle surcharge administrative?Est-ce un slogan?EC: Posez la question à un patronde PME qui fait ses devis, ses fac-tures et son administration durant leweek-end. Non, ce n’est pas un slo-gan ! Il s’agit très concrètementd’obliger les entreprises à faire faceà deux assureurs qui s’occupent dumême dossier. A titre d’exemple, lespersonnes privées qui ont deuxassureurs-maladie (un pour la baseet un pour les complémentaires)connaissent le chemin de croix quecela peut représenter.

«Le risque? A long terme, desaugmentations de primes!»

Pourquoi n’offrez-vous pas cescomplémentaires aux entreprisessi elles le souhaitent?EC: Effectivement, elles le souhai-tent! En 2007, nous avons interrogé39 547 entreprises à ce propos:

67% d’entre elles désirent un seulet même interlocuteur. Mais visible-ment, l’avis de ces entrepreneurs necompte pas puisque le message duConseil fédéral maintient l’interdic-tion faite à la Suva d’offrir des assu-rances complémentaires avanta-geuses à ses clients. Cet avantageest réservé exclusivement aux assu-reurs LAA privés qui, grâce à cettediminution de la couverture sociale,pourront augmenter leur volumed’affaires et leurs profits.

Qu’entendez-vous par assurancesavantageuses?EC: Rappelons que la Suva est uneentreprise de droit public, non sub-ventionnée et à but non lucratif :chaque bénéfice retourne auxentreprises assurées et à leurs sala-riés. L’étude du Prof. Jaeger del’Université de St-Gall – commandéepar le Conseil fédéral – a clairementdémontré notre efficience: pourchaque franc investi dans la Suva,95 centimes retournent aux clients,alors que chez les assureurs privés, cemontant n’est que de 80 centimes.

Que dire du libre choix, tousles 3 ans, des administrationspubliques (cantons et com-munes)? Craignez-vous ce librechoix, cette concurrence?EC: Absolument pas. Nous assuronsde nombreuses collectivités publiquesqui sont très satisfaites de nos ser-

vices, tant en matière de préventionet d’assurance que de réadaptation –un produit-mix que les assureurs LAAprivés n’offrent pas. Nous craignonstoutefois qu’avec cette impossibilitéd’offrir des assurances complémen-taires, la Suva soit d’office éliminéelors de soumissions car elle ne pourrapas offrir un paquet de prestationsLAA complet. Il y a là une forme deconcurrence déloyale, ou du moinsune distorsion de marché qui finale-ment nuira à tous!

A tous? Vous exagérez!EC: Aucune exagération! Depuis l’in-troduction en 1984 de la LAA, le mar-ché de la Suva, qui assure principale-ment les entreprises du secteursecondaire, n’a cessé de diminuer. Latertiarisation de notre tissu écono-

mique est un fait contre lequel nousne pouvons nous battre. Par contre,nous nous battons pour que nos assu-rés aient une bonne couverture d’as-surance. Nous nous engageons pourque nos entreprises assurées demeu-rent nombreuses et qu’elles bénéfi-cient de suffisamment de services àleur convenance afin que nous nesoyons pas contraints d’augmenter lesprimes, faute de revenus adéquatspour maintenir la solidarité au sein denotre collectif d’assurés. Là, nouscomptons sur l’engagement des par-tenaires sociaux représentés au seinde notre Conseil d’administration.�

Propos recueillis par Henri MathisCommunication d’entreprise, SuvaTél. 026 350 37 80e-mail: [email protected]

SUVA

Révision de la LAA:Que risquent les entreprises?

Edouard Currat, membre de la direction générale de la Suva

Le Conseil fédéral a adopté le 30 mai dernier le message relatif à la modification de la loi fédérale sur l’assurance-accidents (LAA). Edouard Currat, membre de la direction générale de la Suva, nous explique les enjeux principaux decette révision pour les entrepreneurs – de PME en particulier – et pour les assurés.

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Page 4: CCIGinfo no 7 - 2008

info4 No 7 / Août 2008

Commerce international Bank of China s’installeà Genève

En 2009, devenezpartenaire et affichez-vous avec la CCIG

Hommage à Pierre Jaquier

Symposium économique de la FondationSuisse Maroc pour le Développement Durable

Les EAU exigent l’indicationexacte de l’origine

Après plusieurs années de promo-tion de la place financière gene-voise auprès des plus importantsacteurs du domaine en Chine,Genève peut se targuer d’accueillirla première institution financièrechinoise en Suisse ; et pas des moin-dres, puisqu’il s’agit de Bank ofChina. Le géant bancaire va acquérir

30% du capital de Heritage FundManagement, une société spéciali-sée dans la gestion de fonds deplacement asiatiques. Dansquelques mois, sous réserve d’unenouvelle autorisation de laCommission fédérale des banques,la banque entend faire passer saparticipation à 70%.�

La CCIG joue un rôleincontournable dans le cantonde Genève depuis plus de140 ans, grâce à ses actionsen faveur de la liberté du com-merce et de l’industrie ainsiqu’au soutien qu’elle apporteaux entreprises.

Depuis plusieurs années, trois for-mules de partenariat vous permet-tent d’associer votre image à laCCIG, une organisation dynamiquequi jouit d’une crédibilité reconnuedans l’ensemble de la communautééconomique genevoise.

Ensemble pour mieux réussir ; laCCIG vous offre, par ses nom-

Le vendredi 3 octobre 2008 se tien-dra la 3e édition du Symposium éco-nomique de la Fondation SuisseMaroc pour le DéveloppementDurable (FSMD), au Grand HôtelKempinski à Genève. Cet évène-ment présentera les opportunitésd’investissements au Maroc, et plu-sieurs thèmes clés, dont la construc-tion, l’immobilier, l’offshoring et la

sécurité alimentaire, seront abordéspar d’éminents spécialistes maro-cains et suisses.Ce symposium est ouvert à tous lesdécideurs et entrepreneurs suisses etinternationaux qui s’intéressent auxthèmes majeurs de la Fondation, àla découverte du Royaume duMaroc, aux potentiels de sa jeu-nesse, aux possibilités d’investisse-

ments et aux opportunités touris-tiques, et permettra de créer desliens et de mettre en œuvre despartenariats d’affaires.�

Pour plus de renseignements:FSMD - Rue de Genève 1221226 Thônex - Tél. 022 884 14 08 -Fax 088 884 14 [email protected] - www.fsmd.ch

En cas de livraison de marchandisesen provenance de pays de l’Unioneuropéenne, les autorités doua-nières des Emirats arabes unis exi-gent que soient portés sur le certifi-cat d’origine la facture commercialeet tout autre document requis pourle transport des marchandises. Enoutre, alors que jusqu’ici l’indication

«European Community» suffisait,l’origine exacte des produits impor-tés (nom du pays) devra dorénavantêtre précisée. Il est prévu que larègle sera appliquée dans tous lesautres pays membres du Conseil decoopération du Golfe (Bahreïn,Qatar, Koweït, Oman et Arabiesaoudite).�

La Suisse et la Russie ont signédébut juillet un plan d’actionvisant à renforcer leur coopéra-tion économique et commerciale.Ce plan d’action prévoit:• d’institutionnaliser les contacts auniveau ministériel et administratifainsi qu’entre délégations écono-miques du secteur privé ;• d’intensifier l’échange d’informa-tions et la collaboration au niveauadministratif et entre les associa-tions économiques ;

• de donner un cadre à de futuresdiscussions en vue d’accords possi-bles dans le domaine économique(un accord de libre-échange devranotamment être conclu dès que laRussie aura adhéré à l’OMC).

Il inclut également les théma-tiques suivantes:• la promotion des investissementset la protection de la propriétéintellectuelle ;• l’échange d’informations sur la

politique en faveur des petites etmoyennes entreprises et entre lesrégions russes et les services depromotion économique des cantonssuisses ;• la simplification du traitement endouane des marchandises et destransports ;• la simplification des procéduresde certification;• les échanges d’informationsdans les domaines touristique etbancaire.�

Délégué à laPromotion écono-mique, PierreJaquier est décédésubitement débutjuillet lors de ses

vacances, à l’âge de 63 ans.J’ai côtoyé Pierre Jaquier à laPromotion économique, d’abord entant que collègue de 1999 à 2002,puis jusqu’en 2005 alors qu’il étaitdélégué. Durant les quatorze ans qu’ilaura passés au Département del’Economie et de la Santé, Pierre auracertainement été le meilleur vendeurde Genève auprès des entreprisesétrangères. Chaleureux, dévoué,dynamique, énergique, enthousiaste,

entier, franc: les adjectifs pleuventpour qualifier cet amoureux deGenève, qui aura été l’un de ceuxqui ont le plus contribué à la prospé-rité de notre canton aujourd’hui.Comment mieux le décrire que parces quelques anecdotes parmi d’au-tres, qui le caractérisaient tant et lerendaient si attachant, et que safamille, à qui vont nos plus sincèrescondoléances, a souhaité rassembler:– Tout d’abord, il y avait bien sûrl’épellation de son nom au téléphone:« j – a – Q – u – i – e – r , il n’y a pasde C avant le Q ». Neuf fois sur dix, lalettre arrivait le lendemain avec cefameux C inconvenant!– La révérence bien basse à cette jolie

réceptionniste japonaise, confondueavec l’épouse – beaucoup plus âgéeet moins charmante – du CEO d’unemultinationale à Tokyo.– La résonnante injure ultime«Espèce de fonctionnaire!» lancée àtoute personne faisant preuve d’in-compétence et de mauvaise volonté.– Et bien sûr, le fameux lissagede la moustache avant toute rencon-tre importante!Pierre Jaquier exposait les atouts deGenève à nos interlocuteurs étrangersavec une conviction telle que jamaisl’un d’eux n’a osé modérer ses pro-pos. Puissent ces quelques lignes nousservir d’exemple, à nous tous, dansnotre travail quotidien.� Philippe Meyer

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Accords de libre-échange: Suisse-RussieSignature d’un plan d’action économique

breuses activités, son réseau uniqueet ses supports de communication,la possibilité de mieux vous faireconnaître.

Philippe Meyer, responsable du par-tenariat à la CCIG, se tient à votredisposition pour vous présenter lesnombreuses prestations proposéesdans le cadre du partenariat.

Un dossier de présentation estégalement à votre disposition sursimple demande.

Attention, les places sont limitées!

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Page 5: CCIGinfo no 7 - 2008

Sponsors

PartenairesCo-sponsors

infoNo 7 / Août 2008 5

technique très performant géré avecrationalité. Tout aussi importante, lacommunication avec les médecinstraitants et les autres collaborateursde la santé», explique le Dr Huehn.Pour lui, les qualités d’un bon urgen-tiste sont, outre des qualitéshumaines et des connaissances médi-cales de haut niveau, la rigueur, lapolyvalence, la facilité de contact etune bonne dose d’enthousiasme!«L’urgence est une perception indivi-duelle et elle est définie par le patient.Dans notre société, on n’aime plusattendre, on veut vite savoir de quoil’on souffre. C’est pourquoi dansnotre travail de médecins urgentistes,nous avons aussi une mission éduca-tive. Car tout problème de santé n’estpas forcément une urgence.»

La Clinique des Grangettes assureaussi un service de garde pédiatriqueen dehors des heures habituelles detravail. Cette unité, indépendante duservice d’urgences pour les adultes,a été développée en collaborationavec la Société Genevoise dePédiatrie. Les médecins sont à ladisposition de leurs petits patientset de leurs mamans de 18h à 22hpendant la semaine et de 8h à 22hles week-ends et les jours fériés.Les consultations ont lieu sur rendez-vous en appelant le numéro022 305 04 58.� Cécile Aubert

Un service ouvert à tous dansle cadre de verdure unique etexceptionnel d’une clinique pri-vée. Contrairement à ce que biendes gens pensent, les Urgencesdes Grangettes sont ouvertes àtous les adultes au bénéfice d’uneassurance de base.

Active depuis plus de cinq ans,l’équipe du service d’urgences reçoitune cinquantaine de patients par jour,avec des pics d’affluence à 80 «enparticulier pendant les périodes devacances», explique le Dr ChristopheHuehn, médecin responsable du ser-vice avec le Dr Véronique Lambert.La consultation d’urgence desGrangettes est ouverte tous les joursde 7h à 23h. Son équipe médicale estcomposée de spécialistes en médecineinterne et de deux chefs de cliniquedes Hôpitaux Universitaires deGenève: «Cette collaboration avec lesHUG est très bénéfique pour nosdeux institutions», indique leDr Christophe Huehn. Les médecinsurgentistes du service collaborent enpermanence avec un réseau de méde-cins spécialisés en cardiologie, gastro-entérologie, pneumologie, chirurgiedigestive et thoracique, orthopédie,urologie, radiologie, neurologie, gyné-cologie et anesthésiologie. «Nousavons aussi le plaisir de travailler avecune équipe d’infirmières très perfor-mante, qui gère l’accueil et les soinsavec efficacité et professionnalisme».Quels sont les atouts de cette consul-tation? «Nous nous donnons commepremier objectif la prise en chargepersonnalisée des patients selon leurdegré d’urgence et l’établissementrapide d’un diagnostic. Cela estrendu possible grâce à un plateau

Vie de la Chambre Info santé

Accueildes nouveaux membres

Des urgencesouvertes à toute lapopulation adulte

AHQ (SUISSE) SARue de Chantepoulet 12 - 1201 GenèvePrestations de services - www.ahqsons.com

ASSOCIATION RÉALISERue Viguet 8 - 1227 Les AcaciasInsertion socioprofessionnelle par une acti-vité économique - www.realise.ch

ATENA FIDUCIAIRE SAAvenue de Champel 8C - 1206 GenèveActivités fiduciaires, conseils, gestion depatrimoine

AUDIT ET CONSEIL DU LÉMAN(SUISSE) SàrlRue du Rhône 67 - 1207 GenèveCabinet d’expertise comptablewww.ac-leman.com

CENTRE SPORTIF SOUS-MOULINRoute de Sous-Moulin 39 - 1226 ThônexCentre de promotion des activités sportiveswww.cssm.ch

CLEANERGY SàrlAvenue de la Praille 55 - 1227 CarougeInstallations à énergies renouvelableswww.cleanergy.ch

COCKPIT GROUP SuccursaleRue d’Italie 11 - 1204 GenèveConseil en managementwww.cockpit-group.net

DG CONSEILS SARue de Cornavin 1 - 1201 GenèveRecherche et sélection de cadreswww.dgconseils.ch

DUN & BRADSTREET (SUISSE) SARue des Métiers 2 - 1008 PrillyRenseignements sur la solvabilitédes sociétés et des personneswww.dnbswitzerland.ch

ENIGMA PRODUCTION SàrlRue Eugène-Marziano 17A - 1227 AcaciasPublicité et communicationwww.enigmaprod.ch

Monsieur Alain FLUECKIGERIntras AssurancesRue Blavignac 10 - 1227 Carouge

FONDATION INTRAS – Caisse MaladieRue Blavignac 10 - 1227 CarougeAssurance maladie - www.intras.ch

GESTIFOOD SàrlChemin Taverney 21218 Le Grand-SaconnexSociété de restauration

IMS TRANSPORT AND LOGISTICS SàrlRue des Sablières 51217 MeyrinSociété de services et de conseils dans ledomaine des transports maritimes, fluviauxet aériens ; import-export de tous produitswww.ims-suisse.ch

INSTITUT BRIGITTERue des Grottes 26 - 1201 GenèveInstitut de beauté

ITSS SàrlChemin du Pont-du-Centenaire 1091228 Plan-les-OuatesInformatique bancaire - www.itssglobal.com

INTERNATIONAL HOTELS & RESTAU-RANTS ASSOCIATIONRue de Varembé 1-3 - 1202 GenèveAssociation internationale de l’hôtelleriewww.ih-ra.com

LEADING PRACTICE MANAGEMENTSOLUTIONS (LPMS) SàrlCase Postale 43 - 1211 Genève 11Société de conseils financiers, ERP et SCIwww.lpms.ch

MARC MEYNARDI INTERNATIONALRoute de Nanfray 7 - F – 74960 AnnecyFormation pratique aux affaires en Chinewww.m-m-i.info

Monsieur Serge MARTINIntras AsssurancesRue Blavignac 10 - 1227 Carouge

MBS CAPITAL ADVICE SARue de l’Arquebuse 10 - 1204 GenèveConseil en matière de gestion depatrimoines institutionnels ou privéswww.mbscapital.com

MONTRES VILLEMONT SAVia Monnet 8 - 1214 VernierSociété d’horlogerie - www.villemont.ch

NEEF SERVICES SARoute du Nant-d’Avril 70 - 1214 VernierNettoyage industriel, installationsde climatisation - www.neef-services.ch

PATRIZZI AND CO AUCTIONEERS SARue du Rhône 14 - 1204 GenèveVente aux enchèreswww.patrizziauction.com

SCHNEIDER DÉMÉNAGEMENTS SARoute des Jeunes 23 - 1227 CarougeEntreprise de déménagementswww.ms-move.com

SERENITY CAPITAL SAPromenade de Saint-Antoine 161204 GenèveSociété de conseils en matièred’investissementwww.serenity-capital.com

SPEOS CONSEIL Gérard SchochWTC I – Route de l’Aéroport 10CP 768 - 1215 Genève 15Société de conseils en communication

TAG AVIATION SAChemin des Papillons 201215 Genève 15 AéroportAéronautique - www.tagaviation.com

THALENT SARoute de Peney 133 - 1214 VernierSociété de portage salarialwww.thalent.com

AU TIGRE VANILLÉ SàrlRue de Rive 8 - 1204 GenèveTour opérateur - www.vanillatiger.ch

Lors de sa séance du 23 juin dernier, le Conseil de la CCIG a admis les 30 nouveaux membres suivants:

Un cadre de verdure exceptionnel

Page 6: CCIGinfo no 7 - 2008

info6 No 7 / Août 2008

Evénements Vie politique

Les Midis de la Chambresoutien d’un groupe européen, estactive dans tous les domaines de lapropriété intellectuelle : brevets,marques et designs. Ils peuventreprésenter leurs clients directementdevant l’IFPI à Berne, l’OEB àMunich, l’OMPI à Genève et, à tra-vers leurs sociétés sœurs, devantl’OHMI (UE), l’INPI (France), l’UKPOet au Benelux. Ils bénéficient d’unréseau de correspondants locauxdans tous les autres pays.www.williamblanc.ch

CAPITAL SYSTÈMEINVESTISSEMENTSCréée en 2001, Capital SystèmeInvestissements (CSI) est unebanque de financement et d’inves-tissement spécialisée dans les mon-tages d’ingénierie financière trans-frontaliers. Basée à Genève avecune présence à Paris et à Munich,CSI offre des solutions pour lesentreprises de taille moyenne enexpansion rapide ainsi que pourleurs dirigeants et actionnaires.CSI conseille plus spécialement sesclients en fusions-acquisitions, enlevée de fonds en private equity etPIPE (private investment in publicequity), en structuration de produitsfinanciers (asset-backed securities)et en optimisation fiscale.www.capitalsysteme.com

GENÈVE TOURISME & BUREAUDES CONGRÈS est une associationprivée reconnue d’utilité publiquecréée il y a plus de 125 ans par lesmilieux hôteliers genevois. Financéepar les recettes des taxes touris-tiques payées par les hôtes et lesprestataires touristiques, GT&Bcorganise ses activités autour detrois missions statutaires : 1) pro-mouvoir Genève tant pour le tou-risme de loisirs que pour le tou-risme d’affaires ; 2) accroître la

qualité d’accueil des hôtes deGenève et agrémenter leur séjour ;fournir l’information et l’assistancetouristique ; 3) assurer l’organisationd’animations d’intérêt touristique,comme les Fêtes de Genève.www.geneve-tourisme.ch

SGI INGÉNIERIE SA est une sociétéd’ingénieurs-conseils active dans lesdomaines du bâtiment, du géniecivil (ouvrages d’art, travaux souter-rains, infrastructures de transport),de l’hydraulique appliquée (eaupotable, assainissement, traitementdes eaux) et de l’environnement.Fondée en 1898 à Genève, SGIIngénierie SA est aujourd’hui mem-bre du groupe SGI Consulting SA,solidement implanté en Europe eten Afrique. De formation pluridisci-plinaire, les collaborateurs de SGIsont actifs tant sur le marché natio-nal qu’à l’export pour le compte demandataires privés, publics (com-munes, services de l’état, SIG) ouinstitutionnels (bailleurs de fondsinternationaux) susceptibles deconfier à la société aussi bienl’étude de leurs projets d’infrastruc-ture que la supervision de leur réali-sation. www.sgiconsulting.com

FLEX FORCE est une agence de pla-cement de personnel fixe ou tempo-raire. Filiale du groupe internationalde recrutement JuhlerGroup (plusde 100 agences dans 19 pays), elleest présente depuis 1996 à Genève,à proximité de l’aéroport. L’équipede Flex Force est composée dequatre consultants en ressourceshumaines, d’une responsable admi-nistrative et financière et d’une assis-tante en ressources humaines. Sesvaleurs ajoutées? Des serviceshumains et de proximité, un grandsens des valeurs et de la déontologie.www.flexforce.ch

Un programme varié a étéprésenté aux participants duMidi de la Chambre du 18 juindernier.

AON (SUISSE) SA est une société decourtage en assurances spécialiséedans la gestion des risques, dont lesiège est à Zurich. La succursale pourla Suisse romande est implantée àGenève depuis le 1er janvier 1999 etoccupe actuellement 34 personnes.Aon Genève comprend cinq départe-ments distincts: affaires nationales,internationales, privées, prévoyanceprofessionnelle et sinistres. Auniveau international, la société Aon,dont le siège est à Chicago, est pré-sente dans 120 pays (500 bureaux)et emploie environ 37 000 per-sonnes. www.aon.ch

SIG - Entreprise autonome de droitpublic, SIG a pour but principal defournir dans le canton de Genèvel’eau, le gaz, l’électricité et del’énergie thermique, ainsi que detraiter les déchets, d’évacuer et trai-ter les eaux usées et de fournir desprestations et des services enmatière de télécommunications.SIG exerce son activité dans le res-pect de la législation cantonaleapplicable en matière d’énergie etconformément aux principes de laconservation de l’énergie, du déve-loppement prioritaire des énergiesrenouvelables et du respect de l’en-vironnement. www.sig-ge.ch

WILLIAM BLANC & CIE, fondée en1949, est une société implantée àGenève, spécialisée dans le domainede la propriété intellectuelle. WilliamBlanc & Cie fait partie du groupeNOVAGRAAF, présent en Belgique,aux Pays-Bas, en France et enGrande-Bretagne. Son équipe dejuristes et d’ingénieurs, alliée au

Forte de ce constat, et profitant del’ouverture du débat à la sociétécivile, la Chambre s’est engagée,aux côtés d’autres défenseurs desmilieux économiques, à soutenirune liste à l’occasion de cetteélection.

Celle-ci est composée de personna-lités expérimentées et engagées,aux profils variés – notammentmembres de partis politiques ounon –, mais cultivant une mêmevision des substrats indispensables àla restauration de l’harmonie éco-nomique dont notre canton abesoin. Résolument dirigée versl’avenir, elle s’est choisie le nomévocateur de g[e]’avance – ce quien soit constitue déjà tout un pro-gramme dans une ville qui a plébis-cité depuis tant d’années l’immobi-lisme, notamment en termes detransports.� Charles Lassauce

L’établissement de conditionscadre favorables à l’économieet à la prospérité de Genève atoujours conduit l’action de laCCIG. Suite à la volonté expri-mée en février dernier par lesGenevois de réformer leurconstitution, cette missionessentielle sera plus que jamaisd’actualité au cours de cesquatre prochaines annéespour notre Chambre.A ce titre, l’élection des 80citoyens genevois qui aurontla tâche ardue d’échafauderles contours institutionnelsdu canton pour le XXIe siècle,le 19 octobre prochain,revêt une importanceprimordiale.

Il convient de ne pas se voiler laface : la démarche dans laquelleGenève s’est engagée s’apparente àune épreuve de longue haleinecomparable à un marathon. Lesobstacles seront nombreux, avecdes voies pavées d’embûches dog-matiques, des vents idéologiquescontraires, des idées mal ravitailléesen arguments pertinents et un finalà l’issue très aléatoire, le corps élec-toral pouvant décider que l’épreuves’achèvera sans vainqueur, malgréles efforts déployés.

Nul doute que dans ce contexteinédit pour Genève depuis… 1847!il s’agira de s’appuyer sur des élusendurants, innovants et disposantd’un bagage professionnel et actueldes plus fournis, car on ne s’en-gage pas dans une telle épreuvesans de solides références.

Une des annonces de la campagned’affichage g[e]’avance.

g[e]’avance versl’avenir économiquedu canton

Page 7: CCIGinfo no 7 - 2008

infoNo 7 / Août 2008 7

Dans le numéro de mai, nousexpliquions les principes del’ouverture du marché de l’électri-cité et les choix qu’elle entraînera.A Genève, comment SIG perçoit-elle cette ouverture? Commentse prépare-t-elle à affronter laconcurrence? André Hurter,directeur général, répond.

L’ouverture du marché sera-t-ellela réponse à toutes les attentesdes clients professionnels?L’ouverture du marché en Suisse n’estpas celle de l’Europe. Elle offre la par-ticularité de mixer marché régulé etmarché libre durant cinq ans. Leclient peut donc choisir de rester enmarché régulé ou d’entrer dans lemarché ouvert de la concurrence.Aujourd’hui, ses attentes sont claire-

ment identifiées: d’abord la sécuritéde l’approvisionnement, ensuite leniveau des prix. En ce qui concerneles prix, les fournisseurs d’électricitén’auront pas de marge de manœuvredéterminante. Avec les fluctuationsau niveau mondial et la tendance à lahausse en Europe, les prix sont relati-vement alignés. Nous pouvons doncdire qu’il n’y aura pas de véritablebataille sur les prix à court terme.En revanche, c’est sur l’approvisionne-ment que la concurrence va se battre,en travaillant sur les volumes deconsommation, la qualité des produitset les engagements des distributeurs.

Comment SIG entend-elle sepositionner dans ces domaines?Depuis environ 15 ans, SIG s’engageconcrètement dans le développe-ment durable et en a fait le socle surlequel s’appuie sa stratégie. Nousoffrons une gamme de produits élec-triques 100% renouvelables et d’ori-gine certifiée par les labels TÜV SÜDEE01 et naturemade star: la gammeSIG Vitale, lancée en 2002. Nousdéveloppons en parallèle un ensem-ble de services innovants pour aiderles entreprises à maîtriser encoremieux leurs dépenses énergétiqueset leur impact sur l’environnement.

Avec l’ouverture du marché, crai-gnez-vous le départ de plusieursclients vers la concurrence?Nos clients aujourd’hui considèrentSIG comme un partenaire de proxi-mité. Ils apprécient nos conseils enmatière d’énergie, nos compé-tences techniques et jugent commepositif notre engagement dans ledéveloppement durable. Unerécente étude de satisfaction leconfirme. Un point fort de SIG estque nous connaissons nos clients etleurs besoins propres. Noussommes géographiquement près

d’eux, donc prêts à intervenir rapi-dement. Ces aspects devraientpeser dans le choix de quitter ounon le marché régulé.

Mais au-delà de ces considérations,il ne faut pas voir le départ d’unclient comme une trahison vis-à-visde son fournisseur historique. Ilfaut au contraire le voir commeune opportunité pour repenser fon-damentalement notre relation com-merciale avec lui et nous profilerpar une offre plus innovante que laconcurrence. SIG a l’avantage de

Afin de pouvoir appréhender aumieux l’avenir, la CCIG, sou-cieuse de répondre aux attentesde ses parties prenantes, lanceraà la mi-septembre un sondagequi lui permettra d’établir unbilan d’image et de connaître ledegré de satisfaction des utilisa-teurs de ses services.

Les destinataires de la newsletterélectronique, e-ccig, recevront cequestionnaire directement pare-mail. Les sujets traités seront :les missions, les services, les outilsde communication, les événe-ments, les domaines d’action etl’image de la CCIG.

Pour celles et ceux qui ne sontpas abonnés à l’e-ccig et quisouhaiteraient néanmoins fairepart de leur perception de laCCIG, le questionnaire seraégalement disponible sur le sitewww.ccig.ch.

Par avance, la CCIG remercietoutes les personnes qui pren-dront du temps pour l’aider danssa démarche.

Enfin, le Service communicationse tient également à votre dispo-sition pour tout complément d’in-formation sur cette démarche.

PRG

La CCIG veutconnaître l’opinionde ses membres

pouvoir travailler sur le gaz,la chaleur, les déchets, l’eau.Elle peut donc traiter l’ensembledu problème énergétique de sonclient alors que la concurrence nepeut traiter que son électricité. Jevous laisse évaluer l’avantageconcurrentiel.

Un client nous quitte? Travaillons àpréserver la proximité et la relationde confiance construite avec lui aufil des années. C’est un autre atoutvis-à-vis d’une concurrence touteneuve sur le marché.�

Nouvelles d’entreprise

Ouverture du marché del’électricité : quels défis pour SIG?

André Hurter : «Travaillons à préserver laproximité et la relation de confianceconstruite avec le client au fil des années.»

Bien choisir son énergie,c’est mieux préparer l’avenir.

Une énergie propre à chacun.

Dans le cadre de l’ouverture du marché del’électricité, SIG - votre partenaire de proximité -vous propose des solutions innovantes pourmaîtriser vos dépenses énergétiques et votreimpact sur l’environnement.

Avec SIG, changez d’idée sur les énergies.

eau énergies réseaux environnement

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Page 8: CCIGinfo no 7 - 2008

Séminaire

Initiation pratique à lamédiation commercialeUn mode de résolution rapide et confidentiel des différends

IMPRESSUMCCIGinfobulletin d’information de la CCIG.Paraît 10 fois par an3200 exemplaires

Responsable d’édition:Pascale Roch-GigandetRédaction:Pascale Roch-Gigandet, SonamBernhard et Fabienne Delachaux.

Publicité: [email protected]

Concept et Graphisme:ROSS graphic design - RolleImpression:Atar Roto Presse – GenèveInformations: [email protected]

Ont participé à ce numéro:Cécile Aubert (Clinique desGrangettes), Charles Lassauce,Henri Mathis (Suva), Philippe Meyeret Sandra Senent

info8 No 7 / Août 2008

Centre de formationen management

Av. Agassiz 51003 LausanneTél. 021 320 66 17Fax 021 312 36 [email protected]

Correspondance:Case postale 3691001 Lausanne

La pensée management

«Gérer, ce n’est rien d’autre que de motiver les autres»

«Rien n’est plus motivant que d’aider quelqu’un à atteindre son objectif»

«Le management est l’art de prendre des décisions à partir d’informations

insuffisantes»

«On n’a jamais fini d’apprendre parce qu’on n’a jamais fini d’ignorer»

«All time management begins with planning»

«Management is doing things right; leadership is

doing the right things»

«Management is nothing more than motivating other people»

«It is not bad not to know, it is only bad not to learn»

«II y a plein de managers qui ont pris leur retraite au travail»

«Les conflits sont féconds. C’est la manière dont on les gère qui est capitale»

«What you think is the top, is only a step»

«The most important thing in communication is hearing

what is not said»

«Le manager trop mou et le manager trop dur sont

deux catastrophes»

«Le management est le plus vieux des métiers et la plus

récente des professions»

«Pour mener, il faut que quelqu’un suive»

Plus de 50 séminaires en français ou en anglais

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Agenda

Jeudi 9 octobre 2008

6e Evénement économiqueau Centre International deConférences de Genève

Pictet et Cie et président de laFondation Genève Place Financière,esquisseront la Genève écono-mique de 2020 telle qu’ils la sou-haiteraient ainsi que les moyenspour y parvenir.

18h: Cérémonie officielle deremise des prixLe Prix CCIG 2008 sera remis à uneentreprise ayant particulièrementcontribué à l’essor de Genève.Associé à l’Evénement économique,l’Office de promotion des industrieset des technologies (OPI) couron-nera quant à lui deux de ses mem-bres en leur attribuant le Prix del’Industrie et de la Jeune Industrie.

La partie officielle se poursuivra parun cocktail dînatoire permettant lamise en relation d’affaires.

Réservez d’ores et déjà le9 octobre et venez participerà ce grand rendez-vous del’économie!

L’Evénement économique,organisé une fois par an parla CCIG, rassemble près de 1000directeurs, cadres, responsablescommerciaux, leaders d’opinionet personnalités politiques deGenève. La CCIG vous fera parve-nir une invitation ces prochainsjours et espère avoir le plaisir devous rencontrer à cette occasion.

Programme:15h: Séminaire économiqueCo-organisé avec la BanqueCantonale de Genève et avec laparticipation de l’Office cantonalde la statistique, ce séminaire pré-sentera une étude inédite décrivantet synthétisant les principalescaractéristiques de l’économiegenevoise. Trois chefs d’entreprise,Stéphanie Vonlanthen, directricegénérale de SRO-Kundig, EdouardJaquenoud, maraîcher à Lully etprésident l’Union Maraîchère deGenève de 1990 à 2008, ainsiqu’Ivan Pictet, associé senior de

Séminaire

Carnet ATA – ce qu’il fautsavoir pour bien l’utiliserMardi 14 octobre,de 8h45 à 11h30, à la CCIG

Renseignements et inscriptions surnotre site, www.ccig.ch, rubrique«Séminaires et conférences CCIG»

Deux sessions d’une matinée auchoix: 2 octobre et 11 novembre2008 - de 8h30 à 12h30 à la CCIG

Renseignements et inscriptions :Karine Busselier-Flichy,tél. 022 819 91 11e-mail: [email protected]

Le prochain P’tit déjeuner aura lieuà la CCIG le mercredi 1er octobre2008 à partir de 8h15.

Renseignements et inscriptions :sur notre site www.ccig.ch, rubrique«Séminaires et conférences CCIG»

Le prochain petit déjeuner aura lieu àla CCIG le vendredi 26 septembre2008 sur le thème:

«Quelles responsabilitéspour les membres duConseil d'administration?»

Il sera suivi d’un débat avecles participants.

Entrée gratuitemais inscription indispensable surwww.petitsdejeuners.ch.

Renseignements au Service de lapromotion économiquetél. 022 388 34 34e-mail : [email protected]

Les Midis de la Chambre

Renseignements et inscriptions:Sylvie Burnier, CCIG, tél. 022 819 91 11, e-mail : [email protected]

KATANA SADestruction mobile de documentsconfidentielswww.confidentiel.ch

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ELITE RENT-A-CAR SALocation de véhicules de luxeet service chauffeurwww.eliterent.com

Mercredi 17 septembre 2008 - de 12h30 à 14h - CCIG, bd du Théâtre 4

P’tits déjeuners de laMédiation

Petits déjeuners des PMEet des start-up