N°64 - Mars 2008ISSN 1161-2320

CE des CHEMINOTS de la REGION SNCF MIDI-PYRENEES

21, allées Charles de Fitte - B.P. 3067 - 31025 Toulouse Cedex 3CAPITOLE FINANCE-TOFINSO - Société Financière n°14648 – S.A. à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de 43 888 800 - RCS Toulouse 433 952 918

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Cette première publication du MAG pour l’année 2008 me permet au nom des élus et du personnel du CER d’adresser aux cheminotes et cheminots actifs et retraités ainsi qu’à leur famille tous nos voeux de santé, de bonheur, mais aussi d’espoir en un avenir meilleur,

toujours possible pour autant que chacun s’investisse pour le construire.

Certes, l’actualité sociale du moment n’a rien de réjouissant : - Remise en cause des régimes spéciaux de retraite, - Franchise médicale, - Augmentation de la précarité avec le nouveau contrat de travail, - Régression du pouvoir d’achat, - Répression syndicale...

Le pouvoir SARKOZISTE, avec ses sbires, s’emploie à donner encore et toujours aux riches en prenant aux plus modestes. Mais la résistance s’organise. La lutte des cheminots, gaziers, électriciens et traminots en novembre 2007 en est un exemple, la manifestation des 22 et 24 janvier en est un autre. Seuls les plus sectaires ou les moins informés s’emploient à dénigrer ou réfutent ce que nous avons obtenu. Réfléchissons ensemble. Qu’en serait-il de nos retraites si nous n’avions rien fait ? Si nous n’avions pas démon-tré par l’action que sur ce sujet, nous pouvions ouvrir un espace de négociations.«Résister se conjugue au présent», disait Lucie Aubrac, alors n’hésitons pas, les causes ne manquent pas et la participation de toutes et tous est essentielle.

Le repli sur soi, l’individualisme n’accompagne jamais le progrès social.

C’est dans cet esprit que la majorité des élus a construit le Budget 2008 du CER. Le mot d’ordre de ce budget est l’ouverture. - Ouverture à la culture. Jamais le CER Midi-Pyrénées n’a proposé autant d’activités et de spectacles tournés vers les cheminots et leur famille (théâtre, concert, rencontres festives tout au long de l’année). - Ouverture aux enfants. Grâce à une bonne gestion et malgré les baisses de dotations dues à la dimi-nution d’effectifs, le CER augmente de 10% sa participation aux mini-séjours enfants de l’été 2008, - Ouverture aux jeunes cheminOts, avec une bourse forfaitaire de 50E sur les week-ends descente à ski ou a VTT du Pic du Midi et en projet un séjour Futuroscope organisé par le CER et le CCE. - Ouverture aux familles de cheminots avec la rénovation et l’amélioration de notre patrimoine. - Ouverture et recherche de prOximité avec la mise en oeuvre d’un service activibus pour joindre au plus près de leurs lieux de travail ou de résidence, les agents actifs ou retraités de Midi-Pyrénées.

Toutes ces activités mutualisées nécessitent des moyens. Il est cependant regrettable qu’une minorité d’élus privilégie le chacun pour soi en prônant le chèque congés, chèque restaurant, chèque cadeaux... En matière de gestion, la démagogie n’a pas cours. L’argent mis sur ces chèques le serait au détriment des vacances enfants,

des activités adultes, des associations et du maintien de notre patrimoine. Dernier point, de par la loi, les retraités qui ont accès à nos activités sont par contre exclus de la distribution des chèques.

En adoptant ce Budget, la majorité des élus et des organisations syndicales présentes à la séance plénière du 29 janvier 2008 a plébiscité des activités non discriminatoires.

Magazine trimestriel du Comité d’Etablissement Régional de la SNCF Midi-Pyrénées

Publication destinée aux cheminots actifs, retraités et à leurs familles.

Directeur de publicationJean-François AGRAINDirecteur de rédactionMarc ALBOUYSecrétaire de rédactionCarole BAILLET

LE MAG9. Bd Marengo - 31079 Toulouse CdxTél 05 61 10 04 54Fax 05 61 10 04 64Dépot légal de parutionISSN : 11 612 320

CONCEPTION/REALISATIONCarole BAILLETTél 05 61 10 04 66IMPRESSIONMénard ImprimerieTél 05 61 00 37 00PUBLICITEAMCTél 05 61 44 54 12PHOTOSCER SNCF MP

N°64 - Mars 2008ISSN 1161_2320

J. François AGRAINSecrétaire du CER

EDITO

ECONOMIQUECommission Economique - p4/5Budget du CER 2008 - p6/7Commission Egalité Professionnelle ; ELC Capdenac - p8Commission Santé - p9

ACTIVITES SOCIALES Activités Sociales - p10/11Bibliothèque du CER - p12/13

ASSOCIATIONS UACMontalbanais ; Club des aînés de Cahors ; 3C Syrinc p14

EDITORIAL

Trains supprimés par manque de moyens humains ou matériels, régularité en deçà des attentes, sous capacité des matériels, file d’attente aux

guichets, manque d’information, les raisons de mécontentement sont nombreuses. Les désagréments sont tels que sur certaines régions, les augmentations de trafics des dernières années passent en second plan, masquant les volontés politiques de développement de l’offre ferroviaire, décidées par les autorités organisatrices.

Tout ceci en période de renouvellement des conventions et avec la tentative de mise en oeuvre d’un service minimum.

«LES USAGERS, EUX, ATTENDENT UN SERVICE MAXIMUM TOUTE L’ANNÉE».

En effet, comment expliquer la mise en œuvre d’un service minimum les jours de grève quand hors conflit, des salariés perdent leur travail justement pour ne pas avoir pu s’y rendre, faute de train.

En réponse, la Présidente de la SNCF annonce cet été lors d’un show médiatique, oubliant les instances représentatives des personnels, des moyens supplémentaires pour l’activité Transport Public.

Rebaptisée pour l’occasion «SNCF Proximité», 100 M€ dont 1000 emplois vont y être affectés en 2008 pour améliorer la qualité de service (50M pour les emplois et 50M pour des actions). Le projet «Proximité» s’étend sur une durée de 3 ans 2008/2010.La question des moyens supplémentaires sera posée

chaque année en fonction des résultats de l’année précédente.

Dans sa communication la direction change son vocabulaire.

LE MOT «USAGER» SEMBLE BANNI ET C’EST LE MOT «CLIENT» QUI EST REPRIS.

De même, les associations d’usagers disparaissent au profit d’associations de clients voire de consommateurs.

Le mot «USAGER» loin d’être ringard, se conjugue avec «DROIT» et DEvOIR»

«Droit» pour les usagers qui exigent, quelle que soit leur condition, que les collectivités et les pouvoirs publics répondent à leurs besoins et «devoir» pour la SNCF, entreprise de service Public, d’être à l’écoute de leurs demandes.

«CLIENT» QUE L’ON DIT MODERNE NE SE CONJUGUE QU’AVEC LE PORTEFEUILLE DE CHACUN.

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Le contexte de ces derniers mois, VOIT LA GROGNE MONTERCHEZ LES USAGERS ET LES ASSOCIATIONS D’USAGERS

Rubrique «Nouvelle dynamique de proximité...»

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D’ailleurs, pour preuve, c’est pour défendre le droit aux transports des usagers et non pas celui des clients que certains ont attaqué le droit de grève des salariés.

Sur le même ton, service public de qualité pour les usagers devient service compétitif aux clients et «Transport public» devient «SNCF Proximité».

CE CHANGEMENT DE VOCABULAIRE ANNONCE L’ABANDON DE LA NOTION DE «SERVICE PUBLIC» AU PROFIT D’UNE LOGIQUE FINANCIÈRE.

C’est cette logique qui a amenée une inéquation entre les moyens humains et matériels et le service à assurer.

La mise en œuvre du projet «proximité» prévoit une définition des mesures en région, en concertation avec les organisations syndicales, les autorités organisatrices et les associations d’usagers.

Des embauches pourront être validées en 2007 et au plus tard à la fin du 1er trimestre 2008 (600 emplois pour le TER, 350 pour l’IDF et 50 pour Corail Intercités).

Se pose la question de l’utilisation des 50M restants.

Une part importante des réflexions de la direction est en lien avec la volonté affichée du gouvernement «de travailler plus, pour gagner moins d’emplois au statut».

Dans ces projets, la flexibilité est achetée par entrave à la réglementation du travail, modification du contour des métiers, le tout cela en complet mépris, une nouvelle fois, des instances représentatives du personnel.

Pour terminer, alors que les cheminots et leurs représentants ne cessent de réclamer depuis des années des moyens pour pouvoir assurer un service public de qualité, on peut s’interroger, sur le fait d’avoir attendu la fronde des usagers et des autorités organisatrices pour réagir.

Le mot «USaGER» loin d’être ringard, se conjugue avec

«DROIT» et «DEvOIR»

Dominique ESPINASSEPrésident Commission

Economique

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«Nouvelle dynamique de proximité...»

Rubrique

Communication

Aides sociales (I.F.E...)

Activiés spécifiques retraités

Restauration

Administration

Actvités Sportives

Activités Culturelles

Loisirs Famille

Loisirs Jeunesse

Loisirs/Jeunesse17.11%

Activités Culturelles10.71%

Activités Sportives13.97%

Administration15.92%

Loisirs/Famille13.67%

Restauration25.24%

Act. Spé. Retraités0.82%

Aides Sociales

1.78% Communication0.78%

Budget Activités Sociales

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Frais généraux

Documentation information

Etudes économiques

Frais de personnel

Formation élus

Formation Elus20%

Frais de personnel29%

Etudes économiques16%

Documentation/Information13%

Frais généraux22%

Budget Fonctionnement

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RECETTES : 1 728 723E

DEPENSES : 1 728 723E

RECETTES : 280 494E

DEPENSES : 280 494E

«BUDGET DU CER 2008»

6DOTATION SNCF : 1,721% de la masse salariale

DOTATION SNCF : 0,2% de la masse salariale

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De nouvelles activités pour les familles et les enfants.De nouvelles aides financières pour favoriser l’accès aux activités sociales.Des investissements et des travaux pour maintenir et développer notre patrimoine.

Les investissements et grands travaux 2008

Ø Achat d’un véhicule aménagé (activibus) : 80 K€Ø Travaux gîtes Boo Silhen : 55 K€Ø Travaux gîtes Arreau et Portet : 10 K€Ø Equipements des restaurants : 38 K€Ø Equipement informatique : 28 K€Ø Sociétés d’agents : 5 K€

LE SECTEUr jEUNESSE : 17,11% du budget

Alors que dans notre pays un enfant sur trois ne part jamais en vacances, le CER a toujours privilégié cette démarche prioritaire qui est de ne refuser aucun enfant émettant le souhait de partir.Pour favoriser l’accueil des enfants de cheminots, dès 4 ans dans les mini-séjours, le CER augmente sa participation financière de 10% pour l’été 2008.La participation du CER, en fonction des quotients familiaux s’étale de 40% à 70%.En y consacrant 288 568€ de son budget, le CER poursuit et amplifie sa politique d’animation envers les enfants.

LES LOISIrS FAMILLE : 13,67% du budget

D’un patrimoine obsolète, vieillissant, où les problèmes de conformité étaient et sont encore nombreux, les élus du CER ont depuis 1986 su modifier le patrimoine social des cheminots. Les gîtes d’Arreau, de Porté Puymorens et de Boo Silhen en sont la traduction. Les activités à la journée, en week-end et en séjour sont nombreuses (ski, randos, moto, vendange, parapente, vTT…). Ces loisirs sont proposés à l’ensemble des cheminots. En 2008 les jeunes cheminots de moins de 35 ans bénéficieront d’une bourse de 50€ pour l’activité Descente à ski ou à VTT du Pic du Midi.Le succès de la fête du CER en 2007 (180 participants) nous encourage à recommencer en 2008. La fête aura lieu les 28 et 29 juin à Ax les Thermes.

LA CULTUrE : 10, 71% du budget

L’écart s’est creusé entre notre conception de la culture et le poids de la pensée unique ultra libérale tendant à modeler l’esprit des individus.En 2008, place au théâtre, rencontres, débats, contes et lecture dans nos espaces loisirs et auprès de « l’activibus ».

LES ACTIVITéS SPOrTIVES : 13,97% du budget

Pilotées par le CER et par les clubs de cheminots (22 800€ de subvention) le sport représente une part importante du budget. L’entretien nécessaire du patrimoine sportif (terrains, gymnases…) dépasse les 100 000€.

LA rESTAUrATION : 25,4% du budget

Directement impactée par les choix politiques de la direction (baisse des effectifs, délocalisation, suppression d’activités, modification du régime de travail…) la restauration pèse lourd dans le budget du CER (408 946€ de subvention). Nos restaurants sont fréquentés au quotidien par 900 convives en moyenne. Il est loin le temps où par table de 30 arrivait la purée et la saucisse ! Le CER cherche en permanence à améliorer la qualité et l’équilibre des repas. La restauration est une prérogative du CER. La SNCF doit nous donner les moyens de l’assumer.

La restauration, face aux enjeux financiers et politiques qu’elle représente, doit être appréhendée, elle aussi, de façon revendicative. Le prix des denrées et des énergies pèse de plus en plus dans le tarif des repas. La restauration est intimement liée à la marche de l’entreprise, les coûts de fonctionnement devraient être pris en compte par la SNCF, tout comme celui de la réhabilitation et de mise en conformité. Cela permettrait aux cheminots de ne payer que ce qu’il a dans l’assiette.

«BUDGET DU CER 2008»

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André DONESTrésorier

Rubrique . . . S I ON REPARLAIT D ’ ELLES . . .

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La reconnaissance des femmes ne doit pas s’arrêter chaque année à la journée internationale du 8 mars. C’est bien l’objectif du Comité d’Etablissement cheminots Midi-Pyrénées. Cette exposition a été achetée dans le but d’être exposée sur l’ensemble de la région. Notre démarche militante, avec notre volonté de conquérir des droits

nouveaux en se servant de l’histoire, est la poursuite des luttes sous toutes les formes. Et justement, la condition des femmes est loin d’être aujourd’hui encore, égalitaire. Certes, elles travaillent mais elles constituent les bataillons des temps partiels et des précaires. Elles sont 60% dans 6 métiers : plus souvent diplômées, elles sont moins payées, moins promues mais souvent chômeuses. Et quand elles sont mères, les trois quarts des tâches ménagères leur incombent. Les femmes ont toujours participé à notre histoire. Elles ont lutté pour leurs droits, droit au travail, droit de disposer de leur corps, droit de vote, d’éligibilité. Depuis 1789, cet inventaire de revendications, marquées par de nombreuses luttes, n’a fait que croître et embellir. Les femmes ont pendant longtemps

été totalement ignorées, invisibles, comme le travail domestique. Elles n’apparaissent jamais parmi les « grands hommes », elles ne contribuaient pas au mouvement de l’histoire et il a fallu que les historiens et surtout les historiennes lèvent le voile sur « les silences de l’histoire ». Oui les femmes ont marqué l’histoire avec un grand H. Elles ont été partie prenante de bon nombre de révolutions et de grandes luttes, comme en témoignent les pages de cette exposition.

Nous souhaitons que le plus grand nombre, les écoles, les salariés mais aussi et surtout les femmes puissent venir parcourir l’histoire des femmes.

Espace Loisirs de Capdenac

EXPOSITION «Lutte des Femmes» à Capdenac

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La Journée InternatIonaLe de La Lutte des femmes...

Pensez à réserver vos places auprès de l’Espace Loisirs Culture de Toulouse au 05 61 10 04 59 ou 45 04 59Des affiches et plaquettes d’information vous donneront tous les détails.La Commission Egalité Professionnelle a entre autres pour ambition de met-tre en lumière toutes les discriminations faites aux femmes mais aussi à tous ceux qui sont «hors normes».«Le mot résister doit toujours se conjuguer au présent» Lucie Aubrac

Alain FENANDEZPrésident CommissionEgalité Professionnelle

La journée Internatio-nale de lutte des fem-mes va se traduire cette année par un ensemble de manifestations pro-posées par la Commis-sion Egalité Profession-nelle, à Toulouse dans un premier temps puis dans d’autres villes de la région.

Le thème retenu cette année est la ré-sistance. La résistance de la femme face à l’oppresseur, face au machis-me, face aux conditions de vie, etc...

une exposItIon de peIntures

se tIendra du 3 au 7 mars 2008à La CafétérIa du restaurant

d’entreprIse marengo à touLouse

puis dans d’autres lieux, si le nombre d’oeuvres le permet.

Des artistes de tous horizons ont été sollicités pour célébrer et honorer la femme.

LES MOMENTS FOrTS DE LA SEMAINE

Le mardI 4 mars 2008de 12h à 14 heures

saLLe du restaurant d’entreprIse marengo à touLouse

«témoIgnage de femmes»

Des femmes qui ont résisté, chacune à leur façon, viendront témoigner pour insuffler aux femmes d’aujourd’hui ce credo hélas toujours d’actualité : face à l’adversité, la résistance s’impose...

Une exposition de portraits de fem-mes qui ont marqué leur temps, vien-dra appuyer ce moment, je l’espère, très fort.

Un apérItIf dInatoIre sera proposé afin que chacun puisse prendre le temps d’apprécier, à son ryth-me, ce moment privilégié.

Le 8 mars 2008à 20 heures

au Centre muLtI-aCtIvItés surCouf

(saLLe du théâtre)2, av. de L’hers - 31500 touLouse

«La soIrée de La Lutte des femmes»

Programme :18h00 apérItIf dInatoIre autour de toutes les oeuvres et en présence des artis-tes, pour permettre de faire connais-sance et d’échanger sur la condition des femmes.

20h Lever de rIdeau sur La pIèCe de théâtre «Récits de Femmes» d’après les textes de Dario FO : des saynètes humoristiques sur des thè-mes féminins par excellence (l’avor-tement, l’orgasme, la femme objet...) vous feront traverser deux heures de bonne humeur. La soirée se terminera par un échange entre les acteurs, les artistes et le public.

Mesure phare du gouvernement Sarkozy, la franchise médicale est injuste. Le coût à la charge des malades n’a cessé d’augmenter. Au forfait hospitalier de 15€ par jour s’ajoutent - depuis 2005 - deux franchises : celle de 1€ sur chaque consultation chez le médecin (qui pourrait être prochainement déplafonné) et celle de 18€ pour un acte médical lourd, comme une opération de l’appendicite. Et tout cela sans compter les dépassements d’honoraires qui se généralisent ou les pénalités pour les parcours de soins.

Traduction sur le porte-monnaie : augmentation de 50 centimes sur chaque boîte de médicaments, autant sur les actes médicaux. Même principe pour les transports sanitaires mais en plus cher : 2€, à hauteur, dans un premier temps, de 50€. Ces sommes ne seront pas remboursées et devraient rapporter 850 millions d’euros. En moyenne, dix euros par an et par foyer, selon le Gouvernement. Ce qui est une forfaiture puisque tous les foyers ne sont pas malades, et, par définition, seuls les malades paieront.

Les franchises se multiplient donc, mais le « trou de la sécu » ne cesse de s’aggraver. Avec l’augmentation de l’espérance de vie, les progrès de la médecine…, les besoins augmenteront bien sûr. C’est sur les recettes qu’il faut agir : création d’emplois, relance des salaires… Et surtout, il faut que les actionnaires cotisent sur leur capital financier (50 milliards d’euro en 2006).

Les auteurs de ce projet attendent une économie de 2 milliards pour l’assurance maladie. Un quart des assurés ont moins de 100€ de dépenses annuelles de santé. Avec la franchise, ils ne seront donc quasiment plus remboursés. Ce sont des personnes jeunes et en bonne santé. La franchise pourrait les conduire à reporter des soins. Ou pire, à supprimer les actes de médecine préventive ou de dépistage.Et si derrière toutes ces franchises, il y avait un pot aux roses. Actuellement, il n’y a plus que 75% des dépenses nationales couvertes par la sécu. En fait,

c’est de plus en plus limité aux longues maladies ou aux interventions lourdes. En transférant sur les familles toutes les dépenses « courantes », et en interdisant qu’elles soient couvertes par les mutuelles, c’est le marché des assurances qui s’ouvre en grand. Il s’agit d’une remise en cause du principe fondateur de la Sécurité sociale «Tous cotisent en fonction de leurs moyens. Et chacun en profite quelques soient ses besoins». Et comme seules les assurances privées pourront rembourser les franchises, en filigrane, c’est ce marché qui se dessine.

Certains pays appliquent déjà ce principe. Ils ont une forte inégalité d’accès aux soins. D’une part, le régime solidaire – en déséquilibre financier - pour les personnes «à risque» ; de l’autre, les assurances privées pour les «petites maladies», les enfants, les soins dentaires ou les lunettes...

L’accès aux soins est un droit inaliénable, aussi les Français restent très attachés au système solidaire.

Il faut savoir dans quel monde on veut vivre. Dans celui de la compétition généralisée, ou chacun se débrouille comme il peut pour survivre ou dans celui du partage et de la mise en commun.

La Sécu, figure emblématique de la solidarité, créée à la Libération dans un pays ruiné, a fait la force de la France.

Le PIB aujourd’hui permet de lui donner sa pleine mesure. Mais il faut «responsabiliser les patrons et les actionnaires». Ils doivent contribuer à la solidarité nationale.

. . . S I ON REPARLAIT D ’ ELLES . . . aRNaQUE SUR LES FRaNCHISES MEDICaLES

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Patrick CLEMENTPrésident Commission

Santé

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SOIREE THEATRE ET WEEK-END FESTIF

La Compagnie «Tant qu’à faire» donne vie à Pierre Semard, militant syndical et politique du mouvement cheminot, tombé sous les balles des nazies.En collaboration avec le CCE SNCF et l’IHS (Institut d’Histoire Sociale), le CER SNCF Midi-Pyrénées vous convie à :

une soirée «Théâtre» le 11 avril 2008 à 20h30

à la Salle Jean Jaurès (Bourse du Travail Toulouse - St Sernin)

Prix : 5E (gratuit pour les enfants de -18 ans)

Nous vous donnons rendez-vous à partir de 11 heures sur le site pour un pique-nique or-ganisé par l’Espace Loisirs Culture de Pamiers (payant).

Cette année, au programme, les familles seront invitées à s’inscrire dans des ateliers de choix : percussion, musique, poésie, spectacles de rue encadrés par des artistes professionnels. Présentation pour ceux qui le désirent d’un spectacle pour la soirée.Possibilité également de partir en balade.

A 18 heures, nous nous retrouverons pour l’apé-ritif puis autour d’un repas gastronomique.

Il sera suivi d’un spectacle proposé par «l’Art de la Rue», «les Chocolats Blancs» et «Paulo PACE et Mercedes GArCIA».

Une information supplémentaire vous sera communiquée en tant voulu par voie d’affiches et dépliants.

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Rubrique

«En tant qu’Elus, nous mettrons tout en oeuvre pour que 2008 soit l’année des prémices d’une émancipation en matière culturelle, de tous les cheminots et de leur famille. Nous ferons tout pour que «la Culture» et «le Travail» ne soient plus opposés, mais que leur association soit la base de réflexions sur notre devenir et celui de notre société en général».«Oui, pOur dOnner une dimensiOn pOpulaire à la culture,tOut en cOmbattant les dérives pOpulistes»

Jean-Marie VIGNYSecrétaire adjoint du CER

Le 7 juin 2008, en partenariat avec le CEr SNCF de PACA et Languedoc roussillon,

vous invite à participer à un week-end «musIque» à avIgnon.

Le but est de proposer à des groupes de musique (où joue au moins un cheminot) de se produire en première partie d’un groupe ou d’un artiste de renom. Pour exemple en 2007, 4 groupes de cheminots se sont produits en première partie du groupe de Touré Kounda.

WEEK-END DETENTE AUTOUR DU SPORT,

DE LA CULTURELES 28 & 29 JUIN 2008

A AX LES THERMES

CV du CCE SNCF«L’Esquiroulet»09110 Savignac les Ormeaux

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Les élus du CER ont la responsabilité de proposer et de mettre en oeuvre des activités sociales au plus près des attentes des cheminots.Pour accomplir leur mandat, ils peuvent commander des études, des expertises. Ils ont le devoir d’infor-mer les cheminots. Ils ont en charge la restauration. Ils veillent à maintenir et développer le patrimoine des cheminots. Pour tout cela, ils disposent d’un budget de près de 2 millions d’euros.

josette PAILHES et Alain BOUNHOURE sont au bout du «compte» les piliers de l’exécution du budget.

Toutes les factures des trois restaurants d’entreprises, du service vacances Loisirs, des bibliothèques, du fonctionnement passent entre leurs mains et finissent couchées sur leurs cahiers comptables.

Pour Alain, travailler au service comptable : «deman-de de l’organisation, de la rigueur, de la réactivité. Au bout, il y a des fournisseurs à payer, des associations à subventionner».Et puis il y a Frida... non Josette.Le CER emploie 50 salariés et tout le monde «bichon-ne» Josette. «Peut-être est-ce dû au fait que je gère la paye des employés» dit-elle avec sourire, «mais pas que cela», s’empresse-t-elle de rajouter. «Le service du personnel (visite médicale, congés, maladies...) sont de mon ressort. Les contrats de travail, le lien avec l’URSSAF, les Assédic, c’est encore la compta». Alain et Josette se remplacent mu-tuellement et en plus de leur travail, ils accueillent des stagiaires. «Pour que ces jeunes construisent leur ave-nir».

ZOOM PaTRIMOINE «LE SERvICE COMPTa DU CER»

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Marc ALBOUYPrésident Commission

Info-Communication

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L’assoCIatIon des ChemInots CInéphILes Ceux du raIL d’oC Sera présente pour la sixième année à ces rencontres avec un RAIL

D’OC remis a un réalisateur dans la catégorie ‘’ premier ou deuxième film’’.

La compétition proposera une sélection de longs-métrages inédits en France (ils concourent à un prix d’aide à la distribution en France) mais aussi une sélection de premiers films, de documentaires et de courts-métrages en provenance de tous les pays d’Amérique latine.

Mais les rencontres c’est aussi associer à une large palette de films latino-américains des expositions, des concerts, des débats et des fêtes.

Cette année marquera le vingtième anniversaire, des rencontres mais ce ne sera ni autocélébration ni édition commémorative. Les 20èmes rencontres se veulent simplement un anniversaire qui permettra de mesurer le chemin parcouru et de continuer à profiler l’avenir en se positionnant du côté de l’audace et de la découverte, de l’ambition artistique.

Les Cheminots seront conviés entre autre comme chaque année à découvrir un film grand public projeté à leur intention :

le samedi 29 mars à 14h30 à la cinémathèque de Toulouse

pour un prix modique de 2 euros

avec un pot à l’issue de la projection. Les places seront en vente à l’Espace Loisirs Culture de Toulouse une dizaine de jours avant la représentation. On peut aussi téléphoner au 06 09 20 06 52 pour effectuer une pré-réservation ou sur internet : ceuxduraildoc@wanadoo.fr)

Pour tout le festival les cheminots peuvent bénéficier de prix à tarif réduit (3,5 euros) en prenant les places dans la cour de la cinémathèque (sous une toile) en précisant ceux du rail d’oc cheminots CER Midi-Pyrénées.

A noter que la remise des prix aura lieu cette année le samedi 5 avril à 20h30 au cinéma Le Gaumont place Wilson de Toulouse.

André MONSPrésident

Rubrique

Vous longez ce chemin, unis par vos deux mainsLaissant derrière vous, un peu de vos chagrinsDe ces années de vie, un peu de cheveux grisSur vos épaules frêles, un peu de nostalgie.

Comme le feu dans l ’âtre, vos coeurs se chauffent encoreDe vos regards d’albâtre, c’est l ’envie l ’un pour l ’autre

De vos tendres années, c’est un volcan d’amour,de vos rides légères, c’est un flot de velours.

Tel un ruisseau coulant, nimbé d’une onde pureC’est le cheminement de vos nuits si obscures.Que le temps passe vite et vous restez enfantsComme la couleur vive de ce charbon ardent, Ces fleurs qui poétisent dans ce jardin d’Eden

C’est une histoire d’amour fermée dans un écrinQu’il est beau le roman qui parle d’aventure

Qu’il est doux ce printemps d’un hiver sans froidureVos mains hésitent encore à chercher la caresse

A protéger du vent qui vole la tendresseComme une rhapsodie privée de mélodieOu d’un refrain écrit comme une tragédie

La vie est un violon où la note s’aiguiseSur un archer tendu comme un fil que l ’on brise

La nuit s’est endormie les étoiles respirent Au rythme des soupirs quand vos yeux s’illuminent

Vos cheveux blancs mêlés dans le lit du passéEnlacés à jamais jusqu’à l ’éternité

Vous connaissez Didier Laurens, réfléchissez !...Eh oui, vous l’avez rencontré lors de vos séjours à Boo Silhen.C’est la personne qui vous accueille lors de votre arrivée aux gîtes et qui vient à votre se-cours en cas de problème.Et bien sachez qu’au delà de son activité au sein de notre CER, Didier est aussi un artiste écrivain.Nous vous livrons une autre facette de ce personnage fantasque qui se révèle être aussi plein de poésie...

Son livre «Cruelle symphonie» est à disposition dans nos bibliothèques...

L’institut Académique de Littérature Francophonea décerné un Prix d’Excellence

à M. Didier LAUrENS pour sa poésie

«Deux vieux qui rêvent encore»

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ATOUT «Livres»

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A DEVORER Le polar en BD...

«RG. 1, Riyad-sur-Seine» de Frédéric Peeters § Pierre DragonEditions Gallimard.Album primé au Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême 2008 dans la ca-tégorie «les essentiels»

L’hIstoIre

Que sait-on de la vie des policiers, au-delà des clichés du polar ? Ce ré-cit très réaliste nous plonge dans le quotidien d’un inspecteur, en dévoi-lant le secret des planques, des heures passées dans les camionnettes banalisées, des photos prises aux téléobjectifs et des filatures... Une ambiance de vécu à 400% grâce au récit de Pierre Dragon et au dessin saisissant de Frédérik Peeters.

CatégorIe poLar européen«Bleu catacombes» de Gilda Piersanti Edtions «Le Passage»L’hIstoIre

Eté 2003, en pleine canicule, les catacombes romaines battent tous les records de fréquentation... jus-qu’à ce qu’un groupe de visiteurs réfugié dans ces chambres froides d’un genre nouveau tombe nez à nez avec une tête coupée. Dans ce «Bleu catacombes», Gilda Piersanti nous entraîne dans une histoire sombre, palpitante, ou l’art moderne, la violence et la vengeance se côtoient au service d’une intrigue particulièrement bien ficelée. (la page des libraires, janvier, février 2007).

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CatégorIe poLar françaIs«Camino 999» de Catherine Fradier Editions «Après la lune»L’hIstoIre

Carla Montalban, chef de groupe de la brigade criminelle de Lyon, enquête sur des meurtres qui semblent impliquer sa propre famille, étroitement liée à l’Opus Dei. Après «la colère des enfants déchus», couronné

par le Grand prix de littérature policière et le prix Sang d’encre 2006, Catherine Fradier impose sa marque avec ce thriller mené tambour battant et accède au titre de reine française du crime, à l’égal de ses consoeurs anglo-saxonnes.

A lire aussi les autres finalistes...

AVIS DE RECHERCHE

vous aimez les polars ? Découvrir de nouveaux auteurs ? Partager vos im-pressions de lecture ? Rejoignez le co-mité de lecture de la région. Renseigne-ments auprès des bibliothécaires et sur le site.http://www.polar.sncf.com

Prix POLAR SNCF Les gagnants de l’édition 2008

Du lundi 5 au dimanche 10 novembre, l’Union Ar-tistique des Cheminots Montalbanais organisait son Salon bi-annuel XXème du nom, à la Maison du Peuple. Ce ne sont pas moins de 41 toiles, 40 pho-tographies, une quinzaine de sculptures et un grand nombre de coussins, foulards, tableaux divers de peinture sur soie qui étaient présentés au public.

Un réseau ferroviaire de 9m x 4,2m occupait une grande partie de la salle. Nicolas, notre jeune mo-

déliste (12 ans), après avoir exposé à Chalons en Champagne, gare Montparnasse et six pages dans la revue «Le train» dévoilait son module junior au public Montalbanais.

Les associations artistiques de cheminots (Toulouse, Tarbes, Noyer sur Cher) étaient représentées par une sélection de peinture, photos, sculptures. Même si nous n’eûmes pas la foule des grands jours, à l’is-sue de cette exposition, trois agnets en activité et un ayant-droit rejoignaient les rangs de l’U.A.C.M. Il m’est agréable de souligner la visite d’administra-teurs du Comité Sud-Ouest de l’U.A.I.C.F et des responsables de la Commission des Activités Socia-les du Comité d’Etablissement Régional Midi-Py-rénées, témoignage de l’intérêt porté à nos diverses activités.

XXèME SALON DE L’UNION ARTISTIqUE DES ChEMINOTS MONTALbANAIS

Rubrique

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Fort de 86 adhérents, le club des aînés che-minots de Cahors propose diverses activités à ses adhérents : belote, jeux de société, ba-lades autour de Cahors, goûters, repas de noël, anniversaire... réunissent jusqu’à 50 personnes.

Le repas de fin d’année 2007 fut un grand moment de convivialité auquel ont participé 91 adhérents du club. Lors de l’assemblée générale du 19 janvier, Hervé Maziéro a ren-du hommage, au nom des cheminots actifs, à Josiane Bourdoncle, bibliothécaire de Cahors qui fera valoir ses droits à la retraite en mai 2008.

Jean-Denis AUSTRUIT, animateur de l’Es-pace Loisirs Culture a souligné le dynamisme dont fait preuve l’association.Le CER remercie à son tour l’association et Nicole Desplas, sa présidente qui par son im-plication oeuvre aux rapprochements de nos ainés.

CLUB DES aINES DE CaHORS

Elle a été fondée par les cheminots(es) le 25 mars 2005. Elle a pour objet d’encourager, favoriser et dé-velopper l’étude et la pratique de toutes les ac-tivités de la discipline «chant» parmi les chemi-nots et leur famille, à moindre coût et encadrées par des professeurs de chant diplômés.

Concrètement, c’est une école de chant, un groupe vocal adultes et enfants. C’est l’assu-rance d’organiser des concerts et de partici-per à des stages de deux ou trois jours sous la conduite de professionnels.

CHANTER, c’est rêver de la vie ! Alors n’hé-sitez pas, venez rêver.

Cotisations SNCFGrOUPE VOCAL Par personne : 40E Couple : 65E

ECOLE CHANTAdhésion : 12E / personneHeure du cours pris à deux personnes : 13E

3C SYRINX - L’ASSOCIATION CULTURE CHANT CHEMINOTS

Tout ce qui s’y passe...

Cette société a exposé au Restaurant d’Entreprise Marengo à Toulouse

«ART’ITS»la boutique d’ARt

Christine SOULIER Tel 05 62 75 63 5116bis, avenue de Fronton31140 ST ALBAN

Site : www.art-its.frEmail : contact@art-its.fr

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Toulouse : 70, boulevard Matabiau Tél. 0 810 131 111(Coût d’un appel local)

Toulouse : 8, pl. de la Trinité (métro Esquirol) Tél. 05 62 88 26 00

Albi : 105, boulevard Soult Tél 05 63 49 17 37

Tarbes : 8, avenue de la Marne Tél. 05 62 93 52 33

Pamiers : 26, rue de la République Tél. 05 61 68 77 67Permanence tous les mercredis de 9 h à 12 h à la mairie de Tarascon sur Ariègesauf le 1er mercredi de chaque mois à la mairie d'Auzat.

Bagnères-de-Bigorre : rue Blanche Odin Tél. 05 62 95 48 98

Dentaire Toulouse70, boulevard Matabiau Tél 05 62 73 33 60Hôpital Joseph Ducuing Tél. 05 61 77 34 54

Dentaire Tarbes8, avenue de la Marne Tél. 05 62 34 62 38

Dentaire Bagnères-de-Bigorrerue Blanche Odin Tél. 05 62 95 83 14

Optique Toulouse70, boulevard Matabiau Tél. 05 62 73 33 70

Maison de retraite, de convalescence et de repos« Beauséjour » 46090 Mercues Tél. 05 65 30 34 34

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Tél. 05 56 91 71 33Fax 05 56 92 62 34

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Siège Social : 90, rue Malbec - BP 7 - 33032 Bordeaux cedex

Agence : Perigueux - Centre Agora Boulazac,Toulouse, Agen.

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