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Ville de Montbard - département de la côte-d’or CENTENAIRE DE LA 1 ère guerre mondiale

CENTENAIRE DE LA 1ère guerre mondiale · en témoigne la présence encore nombreuse de la population lors des cérémonies officielles. Pour une collectivité locale, la célébration

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Ville de Montbard - département de la côte-d’or

CENTENAIRE DE LA1ère guerre mondiale

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Réalisation service communication, Mairie de Montbard

SOMMAIREEdito p. 3

Un livre à ciel ouvert, 2014-2018 p. 4

Célébration du 11 novembre 1918 p. 9

Spectacles, expositions... 2014-2018 p. 17

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Le 11 novembre demeure au calendrier l’un des repères mémoriels forts comme en témoigne la présence encore nombreuse de la population lors des cérémonies officielles. Pour une collectivité locale, la célébration du centenaire de la Première guerre mondiale représente néanmoins une gageure car elle concerne une période de cinq années : de 2014 à 2018 voire au-delà car on ne saurait faire l’économie de l‘après : le bilan, les traités de paix, les gueules cassées…Aussi, c’est par un projet global sur cette période que la ville de Montbard aborde cette problématique avec pour objectif de faire du devoir de mémoire un devoir d’intelligence permettant de comprendre, de rendre plus intelligible la guerre totale et « la culture de guerre » ayant préparé les esprits des contemporains de la Grande Guerre. D’autre part, il s’agit également de ne pas lasser la population par un « trop-plein » mémoriel.L’approche calendaire est double :• Un livre à ciel ouvert sur la façade de l’Hôtel de Ville durant toute la période

avec des visuels régulièrement renouvelés : documents sources contemporains de la Grande Guerre ou documents reconstitués par le service communication du musée. Sont ainsi proposés des repères chronologiques utiles au travers de multiples entrées faisant la part belle aux arts graphiques. Ces documents sont ensuite relayés dans le magazine d’informations municipales ;

• Des temps forts avec une approche thématique dont le 11 novembre constitue le pivot : en 2015, il sera en chansons de l’époque ; en 2016 associé à une expo-sition mise à disposition par le Conseil général ; en 2017, c’est l’année charnière du conflit qui sera mise en lumière ; enfin, en 2018 : nous posons les premiers jalons pour organiser à cette occasion une rencontre à Montbard avec nos villes jumelles (Belgique, Allemagne, Italie).

En 2014, nous avons déjà mis un point d’honneur à organiser un hommage au Montbardois Maurice Douriaux qui fut le dernier poilu de Côte d’Or . Nous avons pour se faire mis les bouchées doubles pour faire réaliser une plaque de belle facture suivant les préconisations de madame l’architecte des Bâtiments de France et obtenir toutes les autorisations nécessaires à sa pose sur sa maison. Elle a été inaugurée le 11 novembre 2014 en présence de sa famille. Aussi, la ville de Montbard, avec ses moyens, entend contribuer par une action volontariste au renouveau du processus commémoratif.

edito

Maire de Montbard

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Un livre à ciel ouvert 2014-2018

La façade du bâtiment de l’Hôtel de Ville devient une façade pédagogique

L’entrée de l’Hôtel de Ville accueille depuis le mois de juin 2014 un livre à ciel ouvert retraçant la Première Guerre Mondiale. Le bâtiment est orné de deux cartouches ceints d’une guirlande de part et d’autre de l’entrée. Ces cartouches vides s’avèrent être le support idéal pour ce projet. Les documents présentés (une dizaine par an environ) sont soit des docu-ments sources, soit des documents reconstitués par le Musée de Montbard. Ils sont toujours accompagnés d’une petite note explicative. Le choix des documents n’entend pas proposer une couverture exhaustive de l’évènementiel, mais de mettre l’accent sur quelques aspects de la guerre tout en suivant un ordre chronologique. Ainsi, la première affiche fut celle de l’attentat de Sarajevo, la seconde l’ordre de mobilisa-tion… Les documents permettent de parler de la culture de guerre, de la mobilisation de l’économie et des esprits, des moments plus intimes, des enfants pendant la guerre, etc. Les documents ne feront pas l’impasse de certains sujets sensibles : par exemple, le génocide arménien de 1915 ou encore les mutineries de 1917.Force est de constater que ces visuels interpellent les passants vaquant à leurs affaires, les visiteurs se rendant à l’Hôtel de Ville… L’iconographie présen-tée est ensuite relayée dans le magazine municipal. Une rétrospective de l’ensemble des images sera faite au terme du projet.

Article du magazine municipalReflets Montbardois n°194 - juin 2014

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Un livre à ciel ouvert 2014-2018

Premier affichage en juin 2014 Second affichage en août 214

Vue de la « façade pédagogique » de l’Hôtel de Ville de Montbard

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Troisième affichage en septembre 2014

Article du magazine municipalReflets Montbardois n°195 - octobre 2014

Un livre à ciel ouvert 2014-2018

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Un livre à ciel ouvert 2014-2018

Cinquième affichage en décembre 2014

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Article du magazine municipalReflets Montbardois n°196 - décembre 2014Quatrième affichage en septembre 2014

Article du magazine municipalReflets Montbardois n°197 - février 2015Sixième affichage

Un livre à ciel ouvert 2014-2018

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Célébration du 11 novembre 1918

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Armistice, 11 novembre 2014

Discours du Maire

Comme il y a 96 ans, le 11 novembre 1918, toutes les cloches des villes et villages de France annonçaient l’armistice à pleine volée. La fin des combats faisait ces-ser le fracas des armes sur les champs de bataille dévastés par quatre années d’une guerre totale laissant un traumatisme sans précédent. Comment retrouver alors un quotidien normal avec les blessures du corps, celles de l’esprit et le deuil de masse?Dès la fin de 1914, la majeure partie des Européens a déjà été confrontée à la perte d’un parent, d’un ami, d’un voisin. Dès le début de ce conflit, la sauvagerie de la guerre ne se limite pas aux seules zones de combat mais a aussi affecté l’ar-rière particulièrement en Belgique et dans la France du Nord.L’automne 1914 apporte une nouvelle mutation des pratiques de combat : la guerre de position voit le jour et enterre les hommes dans des tranchées sur un front de 700km de long tel une cicatrice où se déchaînent des violences nou-velles tenant à l’évolution de l’armement.A la force évocatrice du poème d’Arthur Rimbaud, le Dormeur du Val, décrivant le soldat de 1870 ,étendu, comme endormi, « dans un trou de verdure où chante une rivière » « souriant comme sourirait un enfant malade… la main sur la poitrine...deux trous rouges au côté droit » … il n’y a en littérature nul équivalent possible pour les poilus de la Grande guerre; mourir d’une balle n’est rien quand l’aube de chaque jour s’accompagne de la première souffrance morale de vivre mais pour combien de temps ? avec la crainte de la chair réduite en bouillie, de la mu-tilation du corps, de la défiguration, angoisse permanente à laquelle s’ajoute le choc sonore qui fait du champ de bataille un lieu saturé de bruits assourdissants. Soyez observateurs, regardez derrière moi, regardez ce « Poilu » sculpté dans la pierre de ce monument qui s’élance héroïquement sur les sentiers de la gloire des champs d’honneur.Nous sommes là aujourd’hui pour lui qui incarne ces 115 noms gravés mais le de-voir de mémoire que nous accomplissons est vain sans le devoir d’intelligence ouvrant à une piste de réflexion plus globale sur le sens de la guerre sans chercher forcément à apporter de réponses.La guerre est-elle inévitable ?Avant que ne s’écrive l’Histoire, la Préhistoire nous livre déjà des tombes de guer-riers. Les premières armées apparaissent en même temps que les premiers États car la guerre est un instrument de la force du politique. A cette interrogation, les philosophes, de Thomas Hobbes à Jean-Jacques Rous-seau en passant par John Locke, proposent diverses interprétations : la guerre s’explique t’elle en raison des pulsions, de l’organisation sociale ou encore de la rareté des ressources ?Existe t’il une guerre modèle ? Une guerre juste ? Quels sont aujourd’hui les nou-

Célébration du 11 novembre 1918

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veaux visages de la violence guerrière ? Terrorisme international, nouvelles conflic-tualités liées aux mafias, à la drogue, « guerre économique »... Est-ce tout simplement parce que « l’homme est un loup pour l’homme »..méta-phore bien éloignée du règne animal car si les animaux s’affrontent, eux, ne se font pas la guerre.A la question « Pourquoi la Grande guerre », les causalités sont multiples et il serait bien présomptueux de porter un jugement. Les soldats, mobilisés le 2 août 1914, ont la certitude d’une victoire rapide, ils ne partent pas « la fleur au fusil » comme l’entretient le mythe romanesque, mais ce sont des hommes résolus.Leur premier rapport à la guerre, c’est d’abord un voyage car la mobilisation fait de l’Europe entière une immense gare de triage où circulent convois de soldats, équipements, chevaux. La mobilisation sonne aussi le signal d’une revanche : celle de la guerre précé-dente lorsqu’en 1871 la France perd deux de ses provinces. L’Alsace et la Lorraine deviennent le symbole d’une obsession patriotique et d’une humiliation nationale à laver, comme le traité de Versailles du 28 juin 1919 sera plus tard vécu par les Allemands comme le plus injuste des Diktat. Puissions nous alors tout simplement garder en mémoire que l’humiliation nourrit la haine et conduit inéluctablement l’homme aux enfers. Le centenaire de la première guerre mondiale doit être un message notamment pour la jeunesse, une occasion non seulement de rappeler les faits mais de les sensibiliser au devoir moral de dépasser nos différences en réaffirmant notre atta-chement aux valeurs de la République. La Ville de Montbard entend marquer dignement et simplement ce cycle de commémoration.Je tiens à remercier tout particulièrement les services de la Ville qui ont nettoyé le Monument aux Morts, repeint les lettres des noms des soldats et fleuri cet espace.Dans la perspective de ces quatre années à venir, j’ai souhaité que la façade de l’Hôtel de Ville devienne un livre ouvert avec un affichage relatif aux événements pour inviter chacun sans lourdeur et avec pudeur à avoir une pensée pour cette époque où le monde a réellement basculé au XXème siècle. Le service cultu-rel propose exposition à bibliothèque, pièces de théâtre comme récemment le spectacle « comme en 14 » joué le 28 octobre... Nous avons inauguré ce matin sur la façade de l’Agence solidarité famille du Conseil général une plaque en mémoire du Docteur Douriaux bien connu des Montbardois et qui fut le dernier poilu de Côte d’Or. Je formule le vœu qu’en 2018 pour la clôture de ce cycle commémoratif nous pourrons réunir avec le concours des comités de jumelage les délégations de nos trois villes jumelles d’Ubstadt-Weiher, Couvin et Gattinara pour célébrer la Paix et une Europe fraternelle.

Célébration du 11 novembre 1918

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Je terminerai sur ces paroles du Dr Douriaux prononcées le 11 novembre 1918 alors qu’il était en permission: «ma mère m’a réveillé en me disant que la guerre était finie. Je suis parti marcher dans les bois, seul , en tête à tête avec moi, j’étais dans l’état du condamné à mort qui vient d’apprendre qu’il est gracié parce qu’au front on savait ce qui nous attendait : ça a été le plus beau jour de ma vie » » une vie guidée par « trois choses que j’ai prises au sérieux : ma famille, mon métier, ma patrie. Le reste n’est qu’accessoire ».Je vous remercie.

Célébration du 11 novembre 1918

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Inauguration de la plaque en mémoire du Dr Douriaux

Dernier poilu de Côte-d’Or

« Ma mère m’a réveillé en me disant que la guerre était finie. Je suis parti marcher dans les bois, seul , en tête à tête avec moi, j’étais dans l’état du condamné à mort qui vient d’apprendre qu’il est gracié parce qu’au front on savait ce qui nous attendait : ça a été le plus beau jour de ma vie » Ces paroles simples et profondes, ce sont celles de Maurice Douriaux le 11 no-vembre 1918.Si Lazare Ponticelli, cet italien qui a combattu sous le drapeau français, mort à 110 ans en 2008 a été le der des der, l’ultime poilu auquel la France a rendu des obsèques nationales. Le Docteur Maurice Douriaux est quant à lui le dernier poilu de Côte d’Or décédé en 2003 à l’âge de 105 ans. Son histoire est celle d’un jeune homme, encore lycéen à Autun, qui est mobilisé le 18 avril 1917 et devenu mitrailleur se retrouve un an plus tard à participer à la contre-offensive de juillet 1918 sur la Marne. Il connaît l’enfer des tranchées, la boue, le froid, les assauts, la peur sans laquelle il n’y a pas de vrai courage et un jour, comme nombre de ses camarades avant lui, s’infiltre dans ses poumons cette arme chimique employée à grande échelle par les belligérants : le gaz..Gazé, c’est ce qui lui vaut de partir en permission de convalescence dans sa fa-mille à Pouilly en Auxois début novembre 1918 sans savoir que c’est l’air des bois et de la liberté qui emplirait bientôt de nouveau ses poumons.En 1919, il entame des études de médecine et devient médecin militaire, il quit-tera l’armée après la Seconde guerre mondiale. Il reprend à Montbard la suc-cession de son beau-père le Dr Virtely. Devenu médecin de la ville et médecin hospitalier, il fut très vite une de ces grandes figures montbardoises respectées de tous. Investi dans le milieu sportif, rugbyman, tennisman, il a présidé pendant 20 ans aux destinées du club de tennis dont les courts couverts portent son nom, il est également à l’origine de la création de l’Office municipal des Sports. Il a toujours accepté de témoigner notamment face à des jeunes.Son parcours exceptionnel lui a valu les plus hautes distinctions : croix de guerre avec quatre citations et Légion d’Honneur.Un hommage unanime lui fut rendu l’année de son centenaire en 1998.Ses obsèques à St Urse en 2003, ou nous nous retrouverons tout à l’heure pour la cérémonie religieuse du 11 novembre, rassemblèrent le ban et l’arrière-ban des autorités civiles, militaires et représentants des anciens combattants.En cette année 2014 marquant le centenaire du début de la Grande Guerre, nous lui devions cet hommage particulier en inaugurant une plaque à sa mé-moire apposée sur sa maison.

Célébration du 11 novembre 1918

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Aussi, je remercie le Conseil général de Côte d’Or de son autorisation ainsi que l’architecte des bâtiments de France qui a diligenté notre demande afin que ce moment puisse idéalement se réaliser pour ce 11 novembre et j’invite mme Ay-nard, nièce du Dr Douriaux à me rejoindre pour dévoiler la plaque en sa mémoire.

Célébration du 11 novembre 1918

Journal Le Bien Public du 12 novembre 2014

Laurence Porte, Maire de Montbard, et Madame Aynard, nièce du Dr Dou-riaux

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Une exposition déjà réservée par la Ville de Montbard pour novembre 2016

Célébration du 11 novembre 1918

Pôle SolidaritésDirection Jeunesse CultureSports Vie AssociativeService Culture

Première Guerre mondialeCommémoration du Centenaire

PROGRAMME D'ACTIONS DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LA CÔTE-D'OR

EXPOSITION

CÔTE-D'OR 1914-1918CÔTE-D'OR 1914-1918 : : UNUN TERRITOIRETERRITOIRE ENEN GUERREGUERRE

L’exposition « Côte-d'or 1914-1918 : un territoire en guerre » a été réalisée par le

Conseil Général pour le Centenaire de la Première Guerre mondiale.

En 21 panneaux composés autour d’une photographie significative provenant de

collections publiques et privées, elle évoque la Côte-d'Or au moment du conflit et

permet de découvrir les principaux aspects de la Grande Guerre pour ce

département de l'arrière « immédiat », des poilus côte-d'oriens au front aux

activités et installations liées à la guerre sur le territoire départemental.

Peu connues et assez étonnantes, fortement émouvantes, ces photographies

noir&blanc sont reproduites en grand format sur toute la largeur des panneaux

dont elles occupent la partie haute, un visuel par panneau.

Un titre très graphique et un court texte complètent l’ensemble en apportant les

explications nécessaires à la bonne compréhension du visuel.

Un QR code sur chaque panneau renvoie à une page du site Internet du Conseil

Général reproduisant le visuel et les textes du panneau et leur associant des

visuels complémentaires.

L’exposition se compose de 21 panneaux légers autoporteur (roll-up) au format L 100 x H 200 cm.

Les 21 panneaux sont répartis initialement en trois groupes :

– P01 à P06 (6 panneaux) – introduction au conflit (mobilisation des hommes, importance des

armes nouvelles comme l'aviation, importance du train) ;

– P07 à P10 (4 panneaux) – l'incidence du conflit pour la Côte-d'Or (monde agricole, industrie de

guerre, travail des femmes et main d’œuvre étrangère) ;

– P11 à P13 (3 panneaux) – les Côte-d'Oriens au front (tranchées, Verdun 1916) ;

– P14 à P21 (8 panneaux) – les retombées visibles du conflit en Côte-d'Or (afflux des blessés,

correspondance, transit des soldats, installations militaires, prisonnie de lrs, inhumations,

monuments aux morts).

L’ordre de présentation des panneaux peut être modifié par l’emprunteur.

Le montage et le démontage de l'exposition est très simple. Une notice de montage succincte accompagne

les mobiliers. Il suffit de poser le socle du roll-up au sol, de dérouler délicatement le visuel et de le fixer sans

forcer avec la tige prévue à cet effet.

L'emprunteur s'engage à respecter cette procédure d'installation et prendre toutes les précautions

nécessaires lors de la mise en place et du démontage de l'exposition, notamment au moment du

déroulement et de l'enroulement des visuels (ne pas forcer, enrouler lentement et bien droit...). Il veillera

par ailleurs à ne pas exposer les mobiliers à d'éventuelles dégradations comme un mauvais positionnement

de la tige de fixation, l'humidité, un positionnement en instabilité, etc.

Un constat d’état est établi à l’enlèvement des mobiliers et lors de leur restitution.

En respect de l’article 5 de la convention de prêt, l’emprunteur s’engage à prendre toutes les dispositions

d’assurance couvrant les éventuels dommages aux panneaux pendant la durée du prêt.

La valeur globale d’assurance de l’exposition est de [xxx € (xxx euros) – en attente d'informations].

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Célébration du 11 novembre 1918

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Spectacles, expositions... 2014-2018

Article du magazine municipalReflets Montbardois n°194 - juin 2014

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Spectacles, expositions... 2014-2018

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Spectacles, expositions... 2014-2018

Articles du magazine municipalReflets Montbardois n°196 - décembre 2014

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Journal Le Bien Public du 2 octobre 2014

Spectacles, expositions... 2014-2018

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Journal Le Bien Public du 16 octobre 2014

Spectacles, expositions... 2014-2018

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Spectacles, expositions... 2014-2018

Journal Le Bien Public du 27 octobre 2014

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En couverture de haut en bas :« Assassinat de l’Archiduc héritier d’Autriche et de la Duchesse sa femme à Sarajevo », sup-plément illustré du Petit Journal - Source : Gallica/BnF« Façade pédagogique » de la Mairie de MontbardOrdre de mobilisation générale - Source : J.J. Moreau Archives Larousse