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Cette conférence est issue du Sommet de la réussite 2013.
Si vous voulez en découvrir d’autres, cliquez sur l’image ci-dessous.
Elle est donnée par Caroline Dubois du site www.guerir-eft.com et animatrice du blog www.bien-etre-et-prosperite.com
Caroline a été une des pionnières de l’EFT en Belgique et la
créatrice des sommets de la réussite 2011 et 2012.
Bonjour et bienvenue à cette conférence. Merci Laurent pour cette présentation. Merci aussi à l’équipe du Sommet de continuer cette aventure qui fut la mienne et de m’avoir donné cette place de marraine du sommet. Je vais vous faire une confidence ….Vous avez failli ne jamais entendre cette conférence, et pour cause.
J’ai une petite histoire à vous raconter….
Je décide de laver la voiture.
Alors que je vais vers le garage, je remarque qu'il y a du
courrier sur la table de l'entrée.
Je décide de regarder le courrier avant de laver la voiture.
Je pose mes clés de voiture sur la table, je mets dans la corbeille à papiers, tout le courrier publicitaire et qu'est-ce que je remarque? Que la corbeille est PLEINE !!
C'est ainsi que je décide de reposer les factures sur la table et
de vider d'abord la corbeille.
Mais, alors, je me dis: "puisque je vais être à côté de la boite aux lettres quand je vais sortir la poubelle, autant préparer d'abord le règlement des factures." Je prends donc mon digipass sur la table et je vois que ma carte de banque n'est
pas à l'intérieur.
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Elle est dans mon bureau. Donc j'y vais et je trouve sur le
bureau la boite de soda que j'avais commencé à boire.
Je vais chercher ma carte de banque, mais, avant tout, il faut que j'enlève ce soda de là avant de le renverser
accidentellement.
Je remarque qu'il commence à devenir tiède, je décide donc de
le mettre au frigo pour le rafraîchir.
Alors que je me dirige vers la cuisine avec le soda, le vase sur
le comptoir me saute aux yeux : les fleurs ont besoin d'eau !
Je pose le soda sur le comptoir et découvre mes lunettes de
vue, que je cherchais depuis ce matin.
Je me dis que je ferais mieux de les remettre dans mon bureau,
mais avant, je vais donner de l'eau aux fleurs.
Je repose les lunettes sur le comptoir, et je remplis un pichet d'eau et soudain, j'aperçois la télécommande. Quelqu'un l'a
laissée sur la table de la cuisine.
Je me dis que, ce soir, quand on va vouloir regarder la télé, je
vais la chercher partout et je ne me souviendrai plus qu'elle est
dans la cuisine.
Je décide donc de la remettre dans le salon où est sa place, mais avant je vais donner de l'eau aux fleurs, sinon, je risque
d'oublier et elles se faneront. Ce serait dommage...
Je donne de l'eau aux fleurs, mais j'en renverse la plus grande
partie sur le sol.
Alors, je remets la télécommande sur la table, vais chercher un chiffon et je nettoie les dégâts.
Ensuite, je reviens dans l'entrée en essayant de me souvenir de ce que je voulais faire. …/…
A la fin de la journée, la voiture n'est pas lavée, les factures ne sont pas payées, il y a un soda tiède sur le comptoir de la cuisine, les fleurs n'ont pas assez d'eau, je n'ai pas mis la carte de banque dans mon digipass, et je ne trouve pas la télécommande. Je ne sais pas où sont mes lunettes et je
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n'arrive pas à me souvenir de ce que j'ai fait des clés de la
voiture.
Et puis, surtout, quand je me rends compte que rien n'a été fait aujourd'hui, je n'y comprends rien parce que je n'ai pas arrêté
et que je suis complètement crevée !
Je réalise qu'il y a un sérieux problème et qu'il faut que j'essaie de me faire aider, mais, d'abord, je vais m'occuper de mes
mails.
Ce tableau d'une journée ordinaire est une vieille blague qui
circulait sur le net il y a plusieurs années. Il s'agissait d'autodérision sur le fait que les quadras et les quinquas attrapaient le pseudo syndrome D.A.D.A. - Déficit d'Attention
Dû à l'Age !!!
Si j'ai choisi cette histoire, c’est parce qu'elle est à la fois drôle et réaliste: en effet, certains d'entre - vous se sont
certainement reconnus dans une partie de ce récit.
Il résume bien, et avec humour, le thème que je vais aborder aujourd'hui, à savoir la procrastination.
Car nous avons tous un jour procrastiné. Pour certains, c'est même devenu un sport!
Alors dans cette conférence nous verrons :
- Ce qu’est la procrastination et ses 14 causes principales.
- Je vous révélerai 9 clés pour faire la nique à la procrastination
et passer à l’action.
- Nous terminerons par des exercices EFT pour justement faire
la nique à la procrastination .
Prenez bien des notes car on retient mieux en prenant des
notes et préparez aussi des crayons de couleurs.
Merci à Bruno Koeltz dont je recommande le livre "Comment ne pas tout remettre au lendemain" aux éditions Odile Jacob. Merci aussi à toutes les personnes qui ont écrit à ce sujet sur le net dont Pamela Brunner, Hannah Sembély, le Hufftington post et
Jonathan du site Doctissimo.
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J'ai puisé une somme considérable d'informations intéressantes
sur ce net.
D’emblée ce sujet m’a enthousiasmée….et totalement bloquée. Car je vous l’avoue, je suis moi-même une proscratinatrice. De compétition ….Je n’ai jamais mis autant de temps à écrire une conférence, j’ai même du me faire aider. Impossible de m'y mettre! je ne savais pas comment aborder le sujet. Je voulais vraiment que cette conférence soit parfaite Et je me suis mise à
lire , regarder des vidéos, rien ne se mettait.
Ensuite, j'ai recueilli des témoignages de personnes
procrastinatrices, que j'ai pu aider. Mais moi je n'arrivais
toujours pas à me structurer.
Commençons quand même par le début
Voyons ce que veut dire la procrastination (du latin pro, qui signifie « pour » + crastinus qui signifie « ajournement ou le lendemain ») est une tendance compulsive à remettre systématiquement au lendemain certaines actions.
Selon Pamela Bruner, la procrastination est un trouble du comportement qui consiste à repousser constamment au lendemain les activités à faire le jour même. Pour Hannah Sembély, le «procrastinateur» a du mal à se soumettre à une contrainte et se sent parasité par des obligations qu’il ajourne systématiquement. D'après Bruno Koeltz, dans le temps, pour les anciens, la procrastination était considérée comme une marque de
sagesse, c'était le contraire de l'impulsivité. Dans un contexte militaire, ce comportement traduisait la capacité à attendre le moment le plus propice pour attaquer un ennemi, sans céder à
l'empressement.
Le sens des mots évolue. Imaginez même que le Larousse, ne connaissait pas ce terme dans sa version papier de 2005. Encore aujourd'hui, dans sa nouvelle version Word, le dictionnaire ignore les termes procrastiner, procrastinateur et -trice. Ce mot est en fait très usuel et employé depuis plus
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longtemps dans le monde anglo-saxon. Ainsi, pour les
Américains, on peut lire dans le Webster - qui correspond au Robert chez nous que to procrasinate signifie "reporter intentionnellement et généralement de façon répréhensible quelque chose qui devrait être fait." Cette définition introduit les notions de caractère intentionnel d'une part, et généralement répréhensible d'autre part, c'est-à-dire condamnable, blâmable, déplorable! Heureusement, en Europe,
on ne critique pas les procrastinateurs !!
Bon, ca c'est pour la petite histoire.
Revenons à notre sujet victime, malgré lui, de ce
comportement.
Le retardataire chronique est incapable de se mettre au travail, surtout lorsque cela ne lui procure pas de satisfaction immédiate. Mais, attention! être un procrastinateur ne signifie
pas pour autant ne rien faire. Que du contraire... 7’41
Le sujet procrastinateur peut être pris d’une véritable frénésie
d’activités tant que celles-ci ne possèdent aucun rapport avec la tâche problématique. Il fera par exemple les courses, entamera parfois même un grand nettoyage, se lancera quelquefois dans du bricolage, prendra des nouvelles de sa vieille tante, se coupera les ongles, effectuera des mises à jour sur son ordinateur, mais repoussera à plus tard, la tâche importante qui
lui incombe.
Donc une grande partie d’entre nous possède plus ou moins cette tendance. Je ne pense pas qu’en ce moment vous devez beaucoup réfléchir pour retrouver quand vous avez repoussé
une ou plusieurs fois à faire une tâche. Je songe par exemple à payer une facture, ranger son courrier, passer un coup de fil administratif, rendre un dossier, passer le contrôle technique, faire l‘entretien de la voiture, de la chaudière, rédiger une dissertation ou un rapport, ranger sa chambre, mettre en route une machine à laver, etc. Les champs d’action de la
procrastination sont nombreux.
C’est quand cette tendance est poussée à l’extrême qu’elle devient problématique et qu’elle présente alors de grands
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risques pour la vie tant personnelle que professionnelle du
sujet. Elle devient alors souffrance. Elle n'envahit pas l'existence de chacun d'entre nous de la même manière et avec
la même intensité.
La procrastination se caractérise donc par un ajournement perpétuel des échéances liées à des activités peu attractives au premier abord, alors que sur le long terme, la réalisation de ces tâches est bénéfique pour le sujet. Par exemple, ouvrir, payer et ranger ses factures, n'est je vous l'avoue pas réjouissant, mais à long terme, cela évitera d'autres problèmes financiers
qui viendront s'ajouter. Problèmes qui risquent même d’être beaucoup plus ennuyeux et accablants.
Je vous disais, que la procrastination ne signifie pas l’inactivité. En effet, on remarque que celui ou celle qui en est atteint, trouvera toujours des excuses pour éviter d’accomplir son travail immédiatement. Il sera capable d’effectuer à la place toutes sortes de tâches n’ayant aucun rapport avec celle à réaliser initialement.
On doit remplir sa déclaration d’impôt ? On trouve juste à ce moment là que c’est beaucoup plus intéressant d’aller sur
facebook. On doit rédiger une dissertation ? D’abord, appelons le copain pour lui demander où il en est. Cela devient également problématique quand nous repoussons à plus tard des tâches qui devraient être faites, et que, parce que ce qu'elles ne sont pas réalisées, nous donnent un sentiment de
culpabilité et de mal-être. 10.00
La procrastination, je le répète, ne se traduit donc pas nécessairement par une paresse excessive ; vous pouvez très
bien être un procrastinateur chronique tout en étant très actif.
Laissez moi vous parler des 5 personnes avec qui j’ai travaillé pour préparer pour cette conférence l’atelier qui se trouve dans le pack. N’hésitez pas à noter si vous ressemblez à l’un d’eux et que cela vous active afin de pouvoir le travailler en fin de
conférence.
Michel se sent à 9/10 de degré de procrastination, dès qu'il s'agit d’administratif, c'est-à-dire les paiements et la gestion du courrier. Il reporte toujours. A la vue de ces papiers, il n’a pas
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envie de s'en occuper. Et quand il se décide à payer des
factures, il s'interroge sur le fait de savoir si le moment de payer est opportun. Parfois c’est non et il se dit qu'il paiera plus tard. Pour le moment, il se donne comme raison qu'il n'a pas assez d'argent pour honorer la facture. Quand il ouvre le courrier et qu’il voit des factures, il craint qu'en allant sur son compte, il se rende compte de la situation réelle de ses finances. Et que dès lors, il n'aurait plus de quoi se payer à
manger ou réaliser des projets qui lui tiennent à cœur.
Quand je lui demande d’imaginer tout ça, stress et tension
augmentent et montent dans son corps. A la fin, son niveau est passé de 9 à 2 /10.
Plusieurs jours plus tard, il se dit interloqué par le changement. Bien qu’il soit encore à 5/10 au niveau procrastination. Il sait qu’il doit travailler sur sa confiance en lui et son besoin de reconnaissance, ses nouveaux aspects lui sont venus après la
séance.
Passons à Manon n’arrive pas à s’y mettre et ne fait plus rien du tout. Elle en est à 10/10 de sentiment de procrastination. “Pour certaines choses, je dois me faire violence. Quand c’est
par moi et pour moi, je n’y arrive pas du tout.” , me dit-t-elle.
Elle a fait un burn out il y a quelques années et depuis ne retrouve pas l’énergie pour passer à l’action. Elle sent un poids
énorme sur ses épaules.
Quand je lui demande qu’est-ce qui l’active le plus et qu’elle me dit La phrase "je dois faire cela" , elle me dit que cette phrase l'exaspère. Cela coince surtout quand elle entend le mot faire dans la phrase.
En travaillant avec elle, elle m'apprend que depuis toujours, elle se sent obligée. C'est alors, qu'enfouie loin dans son enfance, une image lui revient de sa petite enfance. Elle est dans la cuisine et voit sa maman travailler. Son frère est handicapé, et sa sœur dyslexique. Elle n'a pas aucun problème et en est consciente. C'est ainsi que ce jour là, elle décide: "“je dois faire et je dois le faire correctement et j’ai l’impression que c’est ce qu’on attend de moi”. Elle veut épargner des soucis à
sa maman qu’elle voit très affairée dans cette cuisine.
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"J'ai la sensation que ce que j'ai à faire sera moins lourd" m'a-
t-elle dit. A la fin de la séance elle a à 0/10 sur un aspect de la procrastination. Le lendemain, elle me confiait se sentir un peu
plus légère.
Valérie exprime sa croyance en lien avec la procrastination “ A quoi bon commencer puisque les problèmes reviennent tout le temps ?” En travaillant ensemble, nous avons cherché la racine de cette croyance. C’est une image d'elle à 25 ans lui revient. Elle se trouve devant une table avec des énormes piles de papiers et documents. On poursuit le travail sur ce souvenir et
elle est toujours à cette même période, dans une ambiance grise et sombre au même endroit. L’histoire c’est que son père est décédé, laissant un amas de papiers non rangés. Elle est seule à pouvoir et à devoir le faire. Elle n'a pas le choix, et se trouve face à une situation nouvelle et perturbante: ranger et gérer des documents innombrables qui ne lui ont jamais appartenus. Elle se souvient : “Je me sens écrasée de fatigue et de démotivation. Papa n'est plus là et à présent je suis toute seule et je me sens seule.” Et elle se rappelle s'être posée la question: “Qu’est-ce qui va m’arriver à l’avenir et après?” En travaillant ses différents aspects, elle se sent apaisée et sereine. Son stress est passé de 9 à 0 /10. Et le lendemain, elle
me dit qu’elle est apaisée.
Anne Charlotte "Depuis toujours, si je fais quelque chose j’ai peur de ne pas avoir assez de temps pour tout faire, car je suis une perfectionniste et vouloir tout faire convenablement prend trop de temps." Comme cela touche toutes les tâches de la vie quotidienne, ce comportement l'a menée à une déprime.
En travaillant ensemble, on remonte à sa petite enfance, en classe maternelle quand cela aurait commencé. Elle se voit en
classe en train de dessiner. Elle a un joli dessin coloré dans une photo d'elle en noir et blanc. Elle se dit ”Je suis lente, je n’aurai jamais fini. Je veux bien faire et ça prend trop de temps. Je ne suis jamais contente, ce n’est jamais assez bien”. A la fin du travail, toute sa problématique de ne pas être assez bien n’est
pas terminée mais elle est passée de 10 à 3/10.
Lydia est à 10/10 de sentiment de procrastination au moment de notre atelier. “J’ai l’impression d’avoir des milliers de choses
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à faire, je ne sais pas par où commencer, j’arriverai jamais au
bout”. Là encore, en travaillant avec elle, on découvre un
sentiment de petite fille.
Elle a 7/8 ans, et doit s'occuper de nourrir les chiens. Ensuite, elle doit dresser la table. Puis faire le repas. Elle est découragée, pensait à chaque fois avoir terminé sa tâche pour pouvoir faire ce dont elle avait envie: jouer et courir dans l'herbe. Elle ne veut donc plus rien commencer de crainte que cela n'arrête jamais. A la fin de notre séance, elle s'est sentie détachée de cette image. Elle est passée de 10 à zéro très
rapidement. Nous avons bien sûr travaillé sur un seul aspect. Il y avait encore d’autres croyances issues de scènes similaires à travailler. Par exemple :« Je ne sais pas faire ». Je lui ai
conseillé de travailler sur « je ne sais pas faire »
Comme promis, je vous expliquerai au dernier chapitre de cette conférence ce que j’ai utilisé comme méthode avec ces cinq
personnes.
Ne pensez pas que vous faites exception si vous êtes spécialiste du retard, il existe aussi des procrastinateurs célèbres. Saviez-vous que Léonard de Vinci était un grand
procrastinateur ? Selon Piers Steel auteur de l’équation procrastination, Léonoard de Vinci mit 15 ans à terminer Mona Lisa. Bill Clinton après un an d’investiture fut décrété procrastinateur chronique par le Time magazine. Truman Capote et le président Abraham Lincoln feraient aussi partie de
ce club des procrastinateurs célèbres.
Maintenant la question :
Les femmes procrastinent-elles plus que les hommes ?
Bonne nouvelle! Il n'y a pas de différence entre les hommes et les femmes; On ne compte pas plus de gens qui remettent systématiquement des tâches ennuyeuses au lendemain chez l'un ou l'autre des sexes. Tout le monde est égal devant la
procrastination!
Hannah Sembély, a recensé deux sortes de procrastination. La version soft : remettre au lendemain, à la semaine prochaine, au mois prochain, à l’année prochaine même, des
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tâches qui peuvent effectivement attendre. Des activités qui
n'entraineront pas d'ennuis à long terme. Par exemple:
- Finir l’abri dans le jardin,
- Aller voir les beaux-parents,
- Classer les photos des années précédentes,
- Ranger le bureau,
- Faire un pique-nique avec les enfants. La version hard, est celle qui peut vous coûter le blâme, la coupure du compteur d’électricité, ça peut vous coûter votre nouveau boulot, entrainer une perte d'argent, mettre en péril
ou mettre fin à des relations amoureuses et amicales. Elle peut vous causer de l'anxiété et même mener à la dépression. Vous l'aurez compris, la version hard concerne plutôt tout ce qui est administratif. C'est évident: remettre au lendemain la vaisselle n’a pas le même impact qu’envoyer sa déclaration d’impôts en retard ! Bruno Koeltz classifie la procrastination en trois visages en fonction des circonstances dans lesquelles elle se manifeste.
La procrastination académique et professionnelle: c'est, le report des obligations scolaires jusqu'à la dernière minute voir au-delà. Ensuite vient la procrastination de la routine quotidienne. Elle se manifeste par une difficulté à programmer ou organiser les multiples tâches quotidiennes et surtout par le fait de ne pas les réaliser dans le délai imparti.
Enfin, la procrastination dans les prises de décisions qui se manifeste par l'incapacité à prendre des décisions sur des sujets majeurs. Elle peut varier du choix d'un plat dans un restaurant, ou de l'hésitation trop longue d'un bien à louer ou à acheter. C’est l'incertitude telle devant des chaussures ou des vêtements, qu'on ressort des magasins épuisé et sans achat. La procrastination peut être une vraie souffrance pour le sujet.
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Quel procrastinateur êtes-vous ?
Sur le site Doctissimo, j'ai trouvé une idée intéressante et inventive écrite par Jonathan. Procrastinateur anonyme, il a a réalisé une échelle de procrastination qui s'étend de 1 à 5. Voici
sa classification, dans laquelle vous retrouvez-vous le plus ?
Niveau 1: Procrastinateur total : j'ai passé la journée à ne rien faire de ce que j'avais prévu de réaliser, j'ai tourné en rond j’ai regardé la télé, surfé sur le net sans but. A la fin de la journée je me sens très mal, je culpabilise de n'avoir rien fait, je suis
frustré d'avoir ainsi perdu une journée.
Niveau 2: Procrastinateur important : J'ai beaucoup procrastiné aujourd'hui, j'ai réalisé peu de choses que j'avais prévues, et sans doute parce que j'y étais plus ou moins forcé. Les sentiments d'échecs et de frustrations sont très présents à la fin de la journée, mais la culpabilisation est un peu moindre.
Niveau 3: Procrastinateur à temps partiel : aujourd'hui a été une alternance de moments de procrastination et de moments actifs. A la fin de la journée, j'ai réalisé un peu plus de 50% des objectifs que je m'étais donnés. Les sentiments sont donc
mitigés.
Niveau 4: Procrastinateur en cours de guérison : Plus de 75% de mes objectifs ont été réalisés. J'ai parfois dû vraiment me forcer pour y arriver. Je suis passé par de cours moments de procrastination que j'ai réussi à interrompre rapidement pour me remettre en selle. Les sentiments à la fin de la journée sont positifs. Je me couche avec l’impression d'avoir bien utilisé mon
temps et d'avoir plus ou moins fait ce que j'avais à faire.
Enfin, niveau 5: Ex-procrastinateur ou homme d’action comme
vous voulez: Toutes mes journées devraient être ainsi. Je n'ai pas trouvé le temps de procrastiner. Les seuls temps morts de la journée étaient des moments oisifs de repos ou de récompense. J'ai atteint tous mes objectifs sans problèmes, et j'en ai peut-être fait plus. Je n'ai pas eu besoin de me mettre des coups de pied aux fesses pour avancer. Superbe sensation
d'accomplissement et de satisfaction!
Vous êtes-vous reconnu ?
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Maintenant que vous en savez un peu plus sur votre degré de
procrastination en espérant que vous êtes plutôt dans les tendances procrastination en cours de guérison ou homme ou femme d’action mais tout est possible, voyons à présent les raisons pour lesquelles vous avez cette tendance à remettre à demain.
J’ai recensé sur internet une série de raisons de pratiquer ce entre "sport international". Les 7 premières viennent de
l’excellent article de L’Hufftington post à ce sujet.
1re raison : Vous procrastinez parce qu'il y a toujours
quelque chose pour vous distraire.
Piers Steel, est canadien et c'est l'un des plus éminents chercheurs et conférenciers sur la science de la motivation et de la procrastination. Pour lui, la technologie se mettrait de plus en plus au service de nos pulsions "proscratinatrices". Ce fléau prendrait de l'ampleur, nous rendant sans cesse plus gros, plus bêtes et impuissants, à coups de télévision, d'iPad, jeux vidéo ou DVD. De 5% d'Américains se disant ouvertement
procrastinateurs en 1978, on est passé à 30% actuellement.
2ème raison : Vous procrastinez parce que certaines
choses n'ont pas tellement d'importance.
Il y aurait bonne et mauvaise procrastination selon le blogueur Paul Graham, qui affirme que la majorité des choses que l'on remet à plus tard sont dénuées d'importance. Il déroule pour nous sa méthode Coué pour ne pas culpabiliser: "Il s'agit de tâches qui ne seront jamais mentionnées dans votre nécrologie (...) Difficile de savoir ce qui est le plus important sur le moment, mais toute une série d'activités peuvent aisément être mises de côté, comme se raser, faire la lessive, le ménage ou
écrire des notes de remerciements." Et Paul Graham d'ajouter que les personnes sachant remettre ces petites tâches à plus tard sont celles qui réussissent le mieux. On est bien entendu ici dans le cas de la procrastination soft, celle qui ne pose pas
de problème, celle qui n’engendre pas de souffrance.
3. Vous procrastinez parce qu'il existe une croyance selon laquelle les petites choses peuvent se régler en
une minute
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Beaucoup de personnes pensent que certaines corvées sans
cesse reportées, c'est l'histoire de cinq minutes maximum. Dès lors, pourquoi s'inquiéter? Le problème est que l'on ne peut pas souvent s'en occuper au dernier moment comme on le croyait. Parce que l'on apprécie mal l'espace-temps. Nous évaluons mal la durée d'une tâche, et dès lors, on n'a plus le temps de la
réaliser.
4ème raison. Vous procrastinez parce que certains individus seraient simplement né comme ça et vous
pourriez en faire partie
Une étude, qui a été publiée les pages du réputé Journal of Clinical and Experimental Neuropsychology, tente quant à elle de prouver que les procrastinateurs seraient en outre sujets à des problèmes de self-control, d'entrain et de concentration. Une déficience congénitale située au niveau du cerveau en général, et au creux du cortex pré-frontal en particulier. Et bien peut-être que moi j’ai une déficience, j’ai des difficultés de concentration.
5ème raison. Vous procrastinez parce que vous êtes un épicurien irrécupérable.
L'être humain veut du plaisir. Le plus rapidement possible. Du coup, s'explique le comportement de reporter allègrement un plaisir différé pour une satisfaction immédiate. Donc vous allez remettre à plus tard tout ce qui nécessite plus de travail pour
un bénéfice moins évident sur le court terme.
6ème raison. Vous procrastinez parce vous n’avez pas
confiance en vous.
Une équipe de chercheurs universitaires de Chicago a établi des
liens entre procrastination et manque de confiance. Ceux qui doutent de leurs compétences auraient assez logiquement une propension à l'abandon ou au report systématique puisqu'ils
partent défaitistes, sûrs et certains d'échouer.
Le British Journal of Educational Psychology est allé dans le même sens, prouvant cette théorie grâce à l'exemple de l'étudiant tellement anxieux qu'il reporte sans cesse ses révisions et entre dans un cercle vicieux.
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7ème raison. Vous procrastinez parce que vous comptez
trop sur les autres
La tendance à nous reposer sur les autres peut nous mener à reporter sans cesse certaines obligations. Chacun de nous espère ou imagine en effet pouvoir bénéficier d'un coup de main dans des instants critiques. Ou du moins d'un soutien moral "déculpabilisateur". Or, comme l'a expliqué le Wall Street Journal dans une étude publiée en 201, rien n'affirme que ladite
personne ne vous ralentisse pas.
8ème raison. Vous procrastinez parce que vous êtes
confus sur l’étape à franchir ensuite.
Vous ne savez pas par où commencer dans votre travail, vous ne savez pas comment trier, ni ranger les papiers. Vous ne savez tellement pas l’étape à faire ensuite que vous vous mettez à lire les lettres de votre adolescence pendant que vous rangez alors que vous vous étiez promis de faire table rase du
fouillis de papier dans votre bureau.
9ème raison. Vous procrastinez parce que vous n’avez pas
assez d’énergie.
Le manque d’énergie pour passer à l’action peut-être aussi un signe avant coureur de la dépression. Surtout si vous êtes habituellement dans l’action, que vous êtes mis la pression pendant des années voire des dizaines d’années. Trop de pression mène à la dépression. Vous avez alors absolument besoin d’une aide extérieure. Disons que c’est le stade ultime
ou la version hard de la procrastination.
10ème raison. Vous procrastinez parce que vous avez peur
de perdre votre autonomie et votre indépendance.
Chez certaines personnes, repousser le travail que l'on attend d'eux est une façon de préserver leur autonomie et leur indépendance. Lorsqu'on leur donne quelque chose à faire, elles se disent: "Vous ne pouvez pas m'obliger à faire ça, je le ferai quand j'en aurai envie. C'est moi qui décide". Procrastiner leur donne ainsi l'impression de contrôler les situations dans lesquelles d'autres personnes font autorité. C'est le côté révolte contre les normes qui sommeille en certains d'entre-nous.
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11ème raison. Vous procrastinez parce que c'est une
manière d'autogérer un stress.
En procrastinant, je crée ma propre angoisse, car je suis conscient que je cours un danger. Mais alors que les autres problèmes me tombent dessus sans que je l’aie choisi, en procrastinant, je sais d'avance ce qui va m'angoisser. C'est une manière d’être maître et décideur de son stress.
12ème raison. Vous procrastinez parce que vous avez besoin de compagnie.
Les procrastinateurs peuvent avoir besoin de se sentir constamment connectés et liés à d'autres personnes. Par exemple, il se peut que vous vous mettiez à procrastiner jusqu'à ce que des problèmes réels surviennent et que quelqu'un soit obligé de vous aider pour vous conseiller ou vous protéger. Pensez au nombre de gens qui ont du rentrer dans des systèmes collectif de dettes, parce qu'ils étaient acculés de toutes parts pour factures non payées. Ou tous les ménages dont les revenus sont gérés par des organismes sociaux, tant la situation s'est détériorée suite à un laisser-aller administratif. La procrastination devient donc un moyen de s’assurer que
quelqu'un sera présent pour vous guider et vous aider dans sa vie. Dans sa pire des formes, la procrastination peut devenir elle-même une espèce de compagnon imaginaire qui vous
rappelle sans arrêt tout ce que vous avez à faire.
13ème raison. Vous procrastinez parce que vous êtes perfectionniste.
Les personnes qui sont touchées par la procrastination le sont souvent aussi par le perfectionnisme. En effet, ces individus dont je fais partie ont tendance à procrastiner parce qu’ils
attendent trop d'eux-mêmes et ont peur de ce qui pourrait se passer s’ils n'arrivaient pas à répondre à leurs propres
exigences.
Quand on procrastine on se dit qu’on aurait pu faire quelque choses d’excellent en travaillant plus. Dans ce piège du perfectionnisme et de la procrastination on oublier toutes les étapes intermédiaires qui mènent au travail fini que nous imaginons ou que nous voulons excellent. C'est en quelque
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sorte la logique du tout ou rien, alors que ce sont justement
toutes les phases intermédiaires d'une tâche qui font que l'on
avance petit à petit jusqu'à ce qu’elle soit terminée.
14ème. Vous procrastinez parce que vous avez peur de
réussir.
La peur du succès est une des causes de la procrastination. Par exemple, certains procrastinateurs craignent qu'en commençant à travailler à plein régime, ils ne puissent plus s'arrêter et dès lors devenir des drogués du travail. Ils s'imaginent alors devoir passer leur temps devant l'ordinateur
ou à la bibliothèque pour travailler, sans jamais sortir, n'ayant
plus, ni vie sociale, ni loisirs.
Ces procrastinateurs là qui ont peur du succès craignent aussi que leur personnalité change s'ils travaillent trop. Par exemple, ils ont peur de devenir froids et distants avec les autres et de
perdre leur capacité à se faire des amis et à s'amuser.
Donc maintenant vous avez eu plus d’informations sur les raisons et types de procrastinateurs, donc maintenant je vais aborder ce chapitre agréable des solutions en vous donnant
mes 7 clés pour passer plus facilement à l’action.
Clé 1
Gérez mieux votre temps. J’ai répertorié 3 techniques pour mieux gérer et organiser votre temps. En fait il y en a une
quatrième. Je vais d’abord parler des 3 premières.
I. Utilisez la technique dite Pomodoro, technique développée par un italien en faisant référence au minuteur de cuisine en
forme de tomate :
1ère étape. Décider de la tâche à effectuer ;
2ème étape. Régler le pomodoro (minuteur en forme de tomate) sur 25 minutes ;
3ème étape. Travaillez sur la tâche jusqu'à ce que le minuteur
sonne et la noter comme faite ;
4ème étape. Prenez une courte pause de 5 minutes;
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5ème étape. Tous les quatre pomodori prenez une pause un peu
plus longue (15-20 minutes).
Un des buts principaux de cette technique est de supprimer les
interruptions de travail dues à soi-même ou aux autres.
II. Une autre piste dans la gestion du temps est celle de la
règle des deux minutes.
Elle a été créée en 2001 par David Allen.
L'objectif de ce qu'il appelle "la règle des deux minutes" est de vous permettre de faire plus facilement ce que vous avez à
faire.
Elle permet de surmonter la procrastination et la paresse en rendant votre mission si simple que vous ne pouvez pas la
refuser.
Cette règle se divise en deux parties:
1ère partie: "si cela prend moins que deux minutes, alors
occupez-vous en maintenant", conseille David Allen.
Et d'énumérer un nombre incroyable de tâches que l'on repousse à plus tard alors qu'il nous faudrait moins de deux minutes pour nous en occuper. Comme faire la vaisselle immédiatement après le repas, mettre le linge dans la machine,
sortir la poubelle, envoyer un email, etc.
"Si vous en avez pour moins de deux minutes, obéissez à cette
règle et débarrassez-vous de votre mission maintenant."
2ème partie: Se motiver à faire quelque chose qui ne doit pas prendre plus de deux minutes. On peut tous se lancer dans des projets en moins de deux minutes. C'est le principe de cette
règle.
Pour David Allen, cela fonctionne tant pour les grands que pour
les petits projets, pour une simple question de physique.
Et de rappeler qu'Isaac Newton nous a appris qu’il y a bien longtemps que les objets dans un état de repos restaient en repos et les objets dans un état de mouvement restaient en mouvement. Ce qui est vrai pour les pommes qui tombent, l'est aussi pour les humains.
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La règle des deux minutes fonctionne aussi bien pour les petits
que les grands projets à cause de l'inertie de la vie. À partir du moment où vous commencez quelque chose, il est plus aisé de
continuer à vous en occuper.
Cette règle des deux minutes offre l'idée que bon nombre de
bonnes choses peuvent arriver dès que vous vous y mettez.
Et David Allen donne des exemples:
- Vous voulez mieux écrire? Écrivez seulement une phrase (règle des deux minutes) et vous vous retrouverez à écrire
pendant une heure.
- Vous voulez lire davantage? Lisez la première page d'un nouveau livre (règle des deux minutes) et avant même que
vous ne vous en rendiez compte, vous aurez lu trois chapitres.
La règle des deux minutes a pour but de vous motiver à faire les choses. L'important est de passer à l'action puis de laisser
les choses se faire.
3ème que je vous conseille s’appelle la méthode des tâches roulantes. Cette technique m’a été conseillée par mon coach
qui vient elle-même de Jean Rivière. Il s’agit surtout d’une méthode pour les indépendants. C’est se consacrer un jour entier à certaines tâches. Plutôt que faire un peu de tout chaque jour en fonction des mois et des activités. Par exemple consacrer un jour , je vous donne mon exemple, pour les consultations, le mardi pour les rendez-vous à l’extérieur, le mercredi pour l’écriture, le jeudi pour les prises de vue. Vendredi matin pour le sport, l’après midi dédié à l’apprentissage. Cette 3ème technique c’est vraiment que toutes
les semaines, le même jour vous faites la même chose.
La 4ème technique et ça je ne la développe pas, c’est vraiment de planifier votre avenir au niveau de la gestion du temps jusque dans 5 ans . Quels sont les projets que vous voulez réaliser, puis vous faites en arrière, donc vous vous imaginez d’abord dans 5 ans ce que vous voulez avoir réalisé, puis dans 4 ans, puis dans 3 ans, dans 2 ans, dans un an, et puis tout ce que vous voulez faire chaque mois jusqu’à la semaine prochaine. Ca c’est la 4 ème technique, que j’ai vraiment
survolé.
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Clé 2 Accordez vous des petites récompenses
Le principe du bâton et de la carotte. En vous auto-octroyant des petits plaisirs (friandise, film, sortie, etc.) à la fin d'une
tâche accomplie, vous verrez, la motivation sera décuplée.
En plus, le petit fondant au chocolat a bien meilleur goût quand il est mélangé à la satisfaction du travail accompli. Le bain que l'on s’offre à la fin d'une obligation procure beaucoup plus de
plaisir et de détente.
Clé 3 On peut résister à la procrastination en combattant
les distractions
On l'a vu, la technologie nous distrait de nos priorités. C'est pourquoi l'université de Buffalo aux Etats-Unis distille, sur son site, quelques conseils avisés pour s'éloigner des distractions et réviser comme il faut: ne pas s'installer trop confortablement, avoir le nécessaire à portée de main, bien ranger son bureau,
etc. De quoi éviter de rêvasser.
Clé 4 Divisez les tâches.
Si l'on remet si souvent les choses à plus tard, c'est parce qu'on est découragé par l'ampleur de la tâche. Et quoi de mieux pour rendre un travail moins décourageant? Le diviser en plusieurs petites parties. C'est aussi ce que préconise Pamela Bruner. Si vous devez rédiger un rapport de cinquante pages sur un sujet peu attractif divisez-le en chapitres de dix pages chacun, et accordez vous une pause, une gourmandise ou le tour du pâté de maisons à la fin de chaque chapitre, vous y arrivererez plus
facilement.
Clé 5 Faites une mini pause en passant à une autre mini
activité utile.
C’est pas donné à tout le monde mais pour certains actifs, c’est possible. C’est le blogueur Samir Bahradwaj qui recommande de couper une grosse activité par des périodes dédiées à d'autres occupations. Mais ces dernières n'ont pas besoin d'être inutiles, elles peuvent très bien être constructives: faire une
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machine, sortir les poubelles, faire un jogging, préparer le
repas du soir, etc.
Selon lui, se consacrer à d'autres tâches utiles permet d'avoir du recul sur ce qui nous occupait précédemment et d'y revenir
avec un tout nouveau point de vue.
Clé 6 Soyez doux avec vous-même et pas trop
perfectionniste
Le comportementaliste Steve Pavlina recommande de ne pas être trop dur avec soi-même et de s'autoriser quelques
imperfections.
Il explique qu'un travail ne peut pas être parfait en une fois. On peut revenir sur ses erreurs un peu plus tard, ou carrément
être content de soi.
Clé 7 Reconnectez à la personne d’action en vous.
Faites un petit journal surtout les procrastinateurs. Souvenez-vous d’actions menées positivement même si c’était il y a longtemps. Faites une liste de bons souvenirs, de ces souvenirs positifs de vous en pleine action et infusez-vous de ces
souvenirs positifs. Reprenez le souvenir, voyez ce que vous voyiez, entendez ce que vous entendiez, ressentez ce que vous ressentiez….Souvenez-vous du plaisir d’avoir accompli, des émotions positives. Et ensuite imaginez que ce souvenir imbibe chaque cellule de votre corps. Répétez cet exercice. Faites d’abord la liste des souvenirs de vous qui menez à bien des actions ou vous en homme ou en femme d’action et puis reconnectez vous à chacun de ses souvenirs. En agissant ainsi, vous allez creuser les sillons des connections neuronales positives de l’action. Ce journal permet de vous féliciter chaque
fois que l’on fait une action avec enthousiasme. Célébrez vos actions. Comme ça vous pouvez retourner à votre journal du bonheur ou journal de l’action, vous l’appelez comme vous
voulez.
Clé 8 – Ma clé favorite L’EFT
Donc chose promise, chose due, voici la septième clé, celle que j’ai utilisée avec les cinq personnes dont je vous ai parlé en
début de conférence.
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Quelle est cette méthode ? C’est comme le Feng Shui du corps,
une sorte de djembé mental dont le nom est EFT pour
Emotional Freedom Techniques.
Cette méthode américaine associe des stratégies cognitives
avec la stimulation de points d’acupuncture particuliers qui sont
connus pour agir sur le système électrochimique du cerveau.
Cette technique permet d’effectuer des modifications dans les
origines neurochimiques des pensées, des souvenirs, des
émotions et des comportements.
Maintenant que vous connaissez les raisons, les domaines où
vous vous êtes retrouvé dans la procrastination, que connaissez
des clés pour faire la nique à la procrastination, on va utiliser
cette Clé 8, l’EFT. On va passer à la partie pratique.
Nous allons appliquer cette technique tous ensemble. C’est Ok
de le faire même si vous ne l’avez jamais fait. Si tout le monde
répète les phrases ensemble, cela crée une très large intention
qui permet une guérison plus puissante car nous avons un
objectif positif spécifique commun avec les mêmes phrases.
Nous allons bien sûr aborder des choses négatives. Nous allons
les dire. N’ayez pas peur de le dire puisque c’est ce que nous
pensons inconsciemment au fin fond de soi. Si vous répétez le
problème que vous n’avez pas, aussi pour ceux qui n’ont pas le
problème mais que vous le répétez, ce n’est pas contagieux
vous n’allez pas l’attraper. Puisque l’intention c’est de guérir de
ça. Ce tapping, l’EFT c’est ce qu’on appelle du tapping, parce
que ce sont des tapotements. Ces tapotements provoquent
une relaxation qui permet un tel détachement que la sensation
finit par disparaître. Si vous ne connaissez pas l’EFT, tentez
l’expérience. Les effets secondaires sont en général positifs. Et
si vous sentiez des choses qui montent comme des émotions,
continuez à tapoter et osez les faire monter parce que les
tapotements peuvent faire non seulement surgir mais aussi
éliminer les émotions. Si vous ressentez encore des choses
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quand nous avons terminé de tapoter faites-vous aider par un
professionnel praticien EFT.
Si vous voulez en savoir plus sur l’EFT, parce que je ne m’étend
par sur « comment ça marche », vous pouvez aller sur le site
bien-etre-et-prosperite.com et vous trouverez divers ateliers
gratuits sous l’onglet Ateliers EFT ou un programme prospérite
qui inclut des rondes notamment sur la procrastination. Je
répète le nom du blog : bien-etre-et-prosperite.com. Je vous
invite à y faire l’atelier prospérité, c’est un atelier gratuit de 3
jours. Bien-etre-et-prosperite.com.
Ce que je vais faire avec vous lors de cette séance EFT, c’est
désensibiliser et déconnecter la manière dont vous pensez à la
procrastination et ainsi découvrir et éliminer vos croyances à la
base de ce comportement et voire à le guérir. Ou en tout cas si
pas totalement, en partie.
Alors ce qu’on fait, c’est qu’on fait des tapotements avec votre
main dominante sur l’autre en répétant des phrases. Puis
après on va tapoter, je vous le dit d’abord avant qu’on ne fasse
chaque point, sur le dessus de la tête. Vous tapotez avec la
main, vous pouvez repérer les points maintenant. Avec une
main vous pouvez toucher le début de chacun des sourcils et
puis au milieu entre les deux. Puis vous allez après tapoter le
coin de l’œil juste au bord extérieur, et non pas intérieur, sur
l’os juste à la fin de la courbe du sourcil. Ensuite après nous
allons tapoter sous l’œil, en bas de la cerne sur l’os. Ensuite
nous allons tapoter sous le nez, et là quand vous faites les
tapotements vous faites ça avec l’index et le majeur et ce sont
des petits tapotements avec des petits rebondissements. Puis
dans le creux du menton, entre la lèvre inférieure et le menton
il y a un creux sur lequel vous allez tapoter. Puis vous allez
tapoter sous votre clavicule, et là vous pouvez utiliser plus que
2 doigts, vous pouvez en utiliser 4. Puis vous tapotez sous les
bras, là où passe le soutien-gorge pour les femmes, donc dans
l’alignement horizontal du téton, mais juste en dessous des
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bras. Et puis sous les seins, vous allez tapoter dans
l’alignement sous les seins. Donc maintenant on va tapoter sur
la procrastination. Le premier point c’est que quand vous
tapotez , vous prenez votre main dominante, moi c’est la main
droite, et je tapote avec mes 4 doigts de la main droite sous le
tranchant de la main, que j’appelle le point karaté, qui est ce
point avec lequel on casserait une planche en karaté. Donc on
va tapoter sur le visage et sur le torse, doucement par petits
rebondissements et je vous guiderai aux changements de
points.
Ronde 1 sur la procrastination
Donc vous répétez après moi en tapotant de votre main
dominante sur le tranchant de l’autre main :
J’ai l’intention de faire la nique à la procrastination….. J’ai
l’intention de passer à l’action…… (Toujours en tapotant sur le
point karaté)…J’ai l’intention que ce problème de
procrastination se dissolve ……et transforme mes actions ……en
résultats extraordinaires pour le bien de tous.
Vous tapotez toujours sur votre point karaté.
Même si il y a une énergie négative sur ce mot
procrastination…….., je m’accepte avec ma perception……..
Même si la procrastination a envahi ma vie………., je m’accepte
totalement et profondément ……avec tous mes mécanismes et
comportements…….. Ce n’est qu’un comportement…… et
certainement pas ma nature.
Même si je ne supporte plus cette procrastination……., la vérité
c’est que je ne peux pas faire autrement,……et que je fais du
mieux que je peux……
J’ai l’intention de passer à l’action… Je demande à mon
inconscient de collaborer à cette guérison et je le remercie
d’avance.
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Dessus tête : J’ai l’intention de guérir cette procrastination
Début du Sourcil : Cette habitude de remettre à demain
Coin de l’Oeil : Je procrastine et je m’en veux
Sous Oeil : Pour moi c’est négatif
Sous Nez : La procrastination a envahi ma vie.
Sous Menton : Je ne le supporte pas.
Sous Clavicule : Ce mot procrastination et toute cette énergie
négative
Sous Bras : Je ne peux pas faire autrement
Sous Sein : La vérité c’est que je fais du mieux que je peux.
Alors maintenant vous allez revenir au dessus de la tête. Vous
tapotez soit avec le plat de la main, ou avec vos doigts sur le
dessus de votre tête.
Et vous vous connectez-vous avec ce problème de
procrastination, voyez vous en train de ne rien faire ou de faire
tout à fait autre chose ou en train de penser à votre croyance
négative « je ne peux pas m’y mettre » ou « je n’ai pas envie
de m’y mettre » ou « c’est trop difficile » ou encore « ce n’est
pas assez bien » . Quoi que ce soit, pensez à cette croyance, à
cette image de vous qui êtes en train de procrastiner, et
répétez maintenant après moi :
DT : Je libère et je lâche toutes les images de la
procrastination.
DS : Je libère et je lâche tout ce que je me dis.
CO : Je libère et je lâche toutes les colères, hontes, rancunes
rages, découragement, désespoirs.
SO : Je libère et je lâche toutes les tristesses, sentiment
d’abandons, de trahison.
SN : Je m’ouvre à la possibilité de lâcher cette colère contre
moi d’avoir tant procrastiné jusqu’à aujourd’hui.
SM : La vérité c’est que remettre à plus tard n’est qu’un
comportement…Et que je fais du mieux que je peux.
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SC : J’ai l’intention de passer à l’action.
SB : Je demande à mon inconscient de collaborer pour les
étapes suivantes que je vais effectuer au sujet de la
procrastination.
SS : Je remercie mon inconscient pour sa collaboration.
Maintenant vous inspirez profondément et vous expirez. Alors
maintenant, la suite du programme. Vous allez prendre une
feuille de papier et vos crayons de couleur ou vos feutres, ce
que vous avez sous la main. Vous allez sur cette feuille de
papier, représenter votre problème de procrastination . Pensez
à votre problème de procrastination ou à un aspect du
problème le plus important, et faites en un dessin.
Représentez-le. C’est important de dessiner physiquement. Si
vous n’êtes vraiment pas dans une circonstance où vous
pouvez le faire, ne le faites pas mais imaginez ce dessin par
exemple. C’est vraiment faire un dessin qui symbolise le
problème et non pas la situation. Ca peux être un arbre, un
objet, ou un scraboutcha (ce que j’appelle n’importe quoi).
Dessinez votre problème de procrastination, représentez-le.
Prenez le temps de faire ce dessin et quand vous avez terminé,
vous aller lui donner un titre.
Ce n’est pas important de bien savoir dessiner, ce qui est
important, c’est d’avoir le dessin, d’avoir quelquechose qui
réprésente votre problème, qui en est le symbole. Et tout
comme un artiste, vous allez mettre un titre à votre œuvre. Et
vous pouvez être occupé à dessiner, ce n’est pas grave. Ne
réfléchissez pas, n’analysez pas, dessinez simplement, mettez
un titre. Je vous laisse dessiner.
Pendant que vous dessinez, que vous terminez votre dessin,
pensez aussi à la gravité de cet aspect ou à ce problème de
procrastination sur une échelle de gravité de 1 à 10. 10 c’est
gravité maximum, 0 aucune gravité. A combien êtes-vous sur
10? 1/10 ? 3/10 ? 5/10 ? 10/10 ?
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Donc pour la suite de ce que nous allons faire, nous allons donc
pour la ronde numéro 2, nous allons utiliser une variante du
tapping qui se nomme la PTT Picture Tapping Technique de
l’anglais Philip Davis. L’idée c’est que vous fassiez un dessin et
la main qui dessine va permettre à l’inconscient de s’exprimer
sans passer par le mental ou l’analyse. Donc maintenant que
vous avez sans doute terminé votre dessin, écrivez le titre de
cette œuvre juste à côté. Moi j’ai dessiné un dessin sur ma
procrastination et je lui ai mis le titre « le trou noir », mais ça
peux être « l’oiseau » ou n’importe quoi. J’ai vu quelqu’un qui
avait fait cette technique, qui avait dessiné un arbre et qui avait
noté à côté le mot « Mort ». Donc quelque soit votre dessin, si
le titre n’a rien à voir, ça n’a pas d’importance. L’important
c’est que vous ayez un dessin avec le titre de l’œuvre juste à
côté.
Ensuite nous allons tapoter à nouveau, donc nous faisons notre
2 ème Ronde sur le dessin qui représente la
procrastination
Point karaté et vous répétez après moi :
Même si j’ai ce dessin et je l’appelle « X mais vous dites le nom
du dessin tout haut » c’est OK, c’est la manière dont je vois ce
problème et c’est OK.
Je répète et vous répétez après moi
Même si j’ai ce dessin et je l’appelle « X » c’est OK, c’est la
manière dont je vois ce problème et c’est OK.
Une 3 ème fois
Même si j’ai ce dessin et je l’appelle « vous dites le titre » c’est
OK, c’est la manière dont je vois ce problème et c’est OK.
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On va faire la séquence sur la tête et le torse 1 fois. Donc vous
regardez votre dessin et vous dites le titre
Dessus tête : ce dessin « vous dites le titre X »
DS : ce dessin « X »
CO : ce dessin « X »
SO : ce dessin « X »
SN : ce dessin « X »
SM : ce dessin « X »
SC : ce dessin « X »
SB : ce dessin « X »
SS : ce dessin « X »
Prenez une grande inspiration et une grande expiration
Je vous invite à refaire cette technique du dessin en pensant à
votre problème de procrastination jusqu’à ce que le dessin soit
positif pour vous. Vous faites exactement comme nous venons
de le faire. Sur le point karaté, vous dites : Même si j’ai ce
dessin et je l’appelle « X » c’est OK, c’est la manière dont je
vois ce problème et c’est OK. Et ensuite répéter « le dessin X
avec son titre » sur chaque point de votre visage et de votre
torse. ET vous refaites un dessin entre chaque ronde.
Maintenant j’aimerais continuer avec vous, toujours avec le
dessin mais avec une autre technique de psychologie
énergétique qui s’appelle la Logosynthèse. Nous allons faire une
nouvelle ronde, vous reprenez le problème de procrastination,
et vous y pensez. Si vous deviez faire un dessin à nouveau,
quel serait-il ? Faites ce dessin. Faites à nouveau un dessin.
On a tapoté une première fois et maintenant faites à nouveau
un dessin en pensant exactement au même problème de
procrastination. Est ce que c’est le même dessin ? Ca
m’étonnerait vu mon expérience. Donc faites un dessin mais
n’essayez pas de l’expliquer ou de l’analyser, encore une fois
vous dessinez et vous mettez un titre à côté de ce dessin. A
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combien seriez-vous sur 10 de votre échelle de gravité du
problème ?
Allez y prenez votre temps, cela me permet de boire un verre
d’eau, ou bien à vous de boire un verre d’eau. Faites votre
dessin, mettez-y un titre…... Ensuite vous allez répéter après
moi des phrases, en fermant les yeux. N’essayez pas de
comprendre ces phrases. Faites vous bercer par les mots. Vous
êtes prêts ? Vous avez votre dessin. Vous avez vu votre dessin.
Vous avez mis un titre à votre dessin et vous allez répéter
après moi la phrase que je vais faire et puis je vais rester en
silence. Donc vous laisserez la phrase agir sans rien faire en
gardant les yeux fermés. Parfois ça peux aller jusqu’à une
minute, alors vous laissez faire. Bien sûr je vais dire « dessin X
« mais à la place de « dessin X » vous allez mettre le titre de
votre dessin. Vous êtes prêt ?
1. Je récupère toute mon énergie (vous répétez)……. imbriquée
au dessin « X » …………et je la ramène à sa juste place en moi.
Et vous restez tranquillement en silence, les yeux fermés, en
laissant agir les mots sans répéter ce que je dis maintenant
bien sûr. Laissez agir les mots.
Vous pouvez répéter maintenant après moi :
2. J’enlève toute énergie non-moi de ce dessin « X »…… de
toutes mes cellules,….. de tout mon corps, …….de tous mon
espace personnel ……..et je la renvoie là où elle doit vraiment
être. ……..Et gardez les yeux fermés. Et si d’aventure vous
aviez des émotions, vous pouvez répéter la phrase encore une
fois.
J’enlève toute énergie non-moi de ce dessin « X »…… de toutes
mes cellules,….. de tout mon corps, …….de tous mon espace
personnel ……..et je la renvoie là où elle doit vraiment être.
……..
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Maintenant on va faire la 3ème phrase
3. Je récupère toute mon énergie…… imbriquée à toutes mes
réactions vis-à-vis de ce dessin « X »………. et je la ramène à sa
juste place en moi.
Je vais répéter la phrase une 2ème fois
Je récupère toute mon énergie…… imbriquée à toutes mes
réactions vis-à-vis de ce dessin « X »………. et je la ramène à sa
juste place en moi.
Laisser reposer, il est possible que vous ayez eu envie de
dormir…. C’est normal, les phrases induisent cet état de
relaxation. Nous allons terminer par une dernière ronde de
tapping à nouveau, qui est une ronde positive.
Donc nous allons tapoter le point karaté
Ronde 3
Même si mon problème de procrastination … vous répétez,
point karaté, main dominante sur l’autre)… Même si mon
problème de procrastination n’est pas encore réglé, je choisis
d’avoir confiance.
Même si je ne suis pas habituée à ce que les choses soient positives pour moi….et si des miracles étaient possibles ? Même si d’habitude je n’arrive pas à m’y mettre…. je choisis d’avoir confiance en cette vibration positive qui monte en moi. DT Et vous répétez après moi : Pourquoi suis-je assez bien ? C’est vrai que c’est mieux de répéter à haute voix DS : Pourquoi suis je consciente de mes compétences ? CO : Pourquoi est-ce que je passe à l’action beaucoup plus facilement ? SO : Pourquoi est-ce que je retrouve de la motivation ? SN : Pourquoi est-ce que j’ai de plus en plus confiance ? SM : Pour quoi est-ce que je me souviens de mon enthousiasme ? SC : Pourquoi cette vibration positive monte-t-elle en moi ? SB : Pourquoi est-ce ce que j’arrive à me concentrer ?
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SS : Pourquoi est-ce que j’y vais étape après étape ?
DT : Pourquoi suis-je bien enracinée? DS : Pourquoi ai-je retrouver de l’énergie pour passer à l’action? CO : Pourquoi ai-je plus confiance en moi ? SO : Pourquoi est ce que je développe de nouvelles habitudes qui soutiennent mon passage à l’action ? SN : Pourquoi mon énergie positive augmente-t-elle chaque jour ? SM :Pourquoi est-ce que je passe à l’action tous le jours?
SC : Pourquoi suis-je si enthousiaste et pleine de joie ? SB : Pourquoi est-ce je me sens vibrer à l’unisson avec tous les autres participants qui passent à l’action ? SS : Pourquoi sommes-nous tous en train de bénéficier de cette énergie positive de passage à l’action ? DT :Pourquoi est-ce que je passe si rapidement à l’action maintenant ? DS : Pourquoi suis-je si positive? CO : Pourquoi est-ce que je gère mon temps si bien maintenant ?
SO : Pourquoi suis-je pleine de courage ? SN : Pourquoi suis-je pleine d’entrain et d’enthousiasme ? SM : Pourquoi ai-je de plus en plus confiance ? SC : Pourquoi est-ce que je sens cette vibration d’action monter en moi ? SB :Pourquoi les miracles sont ils en train de se réaliser maintenant ? SS : Pourquoi ai-je réglé mon problème avec la procrastination ? Respirez profondément… Expirez… et célébrez votre passage à
l’action. Qu’allez vous faire dans les minutes suivantes ? Merci infiniment de m’avoir suivie. Et si vous voulez retrouvez des ateliers de tapping EFT, retrouvez moi sur le blog bien-etre et prosprite.com. A bientôt. Merci à l’équipe du Sommet et Meilleurs vœux pour 2014.
