CHRISTOPH WILLIBALD GLUCK

Orfeo ed Euridice (version italienne de Vienne en 3 actes)

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Le projet artistique d’Insula orchestra est construit autour d’un répertoire, allant principalement du classicisme au romantisme, avec des programmes aussi bien symphoniques qu’avec chœur et solistes.

L’orchestre joue sur instruments d’époque, avec un travail sonore adapté aux grandes salles d’aujourd’hui. Le projet repose avant tout sur une recherche stylistique et émotionnelle. Les musiciens, rassemblés autour d’un noyau de chefs d’attaques confirmés et réputés, sont recrutés essentiellement dans la jeune génération, qui sort actuellement des institutions pédagogiques européennes spécialisées.

Cette phalange nouvelle, fondée par Laurence Equilbey et le Conseil général des Hauts-de-Seine en 2012, rayonne dans le département, en France et à l’international, sur de grandes scènes et festivals prestigieux.

www.insulaorchestra.fr

© Julien Mignot / Naïve

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accentus est un chœur de chambre professionnel très investi dans le répertoire a cappella, la création contemporaine, l’oratorio et l’opéra. Fondé par Laurence Equilbey il y a 20 ans, il se produit aujourd’hui dans les plus grandes salles de concert et festivals français et internationaux.

L’ensemble collabore régulièrement avec des chefs et des orchestres prestigieux et participe à des productions lyriques : Perela l’Homme de Fumée de Pascal Dusapin et L’Espace Dernier de Matthias Pintscher à l’Opéra de Paris, Le Barbier de Séville de Gioachino Rossini au Festival d’Aix-en-Provence, Ciboulette de Reynaldo Hahn à l’Opéra Comique.

accentus poursuit sa résidence à l’Opéra de Rouen Haute-Normandie. Il est également un partenaire privilégié de la Cité de la musique / Salle Pleyel et ensemble associé à l’Orchestre de chambre de Paris depuis 2009-2010. Le chœur a par ailleurs établi une relation privilégiée avec deux chefs talentueux, Pieter-Jelle de Boer et Christophe Grapperon.

accentus enregistre en exclusivité pour naïve. Tous ses disques ont été largement récompensés par la presse musicale. Le chœur prépare pour 2015 un enregistrement des œuvres vocales de Mantovani.

accentus a été consacré Ensemble de l’année par les Victoires de la musique classique en 2002, en 2005 et en 2008.

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Autour de l’œuvre

Acte I. Accompagné de bergers et de bergères réunis autour du tombeau d'Eurydice, Orphée déplore la mort de son épouse. Alors qu'il dit vouloir la rejoindre dans le royaume des morts, l'Amour apparaît et lui apporte une heureuse nouvelle : s'il parvient à rallier à sa cause les gardiens des Enfers, il pourra ramener Eurydice sur terre, à condition de ne pas la regarder avant d'avoir atteint le monde des vivants.

Acte II. Le chœur infernal des Furies accueille Orphée sur les bords du Cocyte. Accompagné de sa lyre, Orphée se met à chanter et parvient à rallier les esprits maléfiques à sa cause. Il retrouve ainsi Eurydice.

Acte III. Orphée et Eurydice remontent lentement vers la terre, mais celle-ci ne comprend pas l'attitude de son époux et la lui reproche. Oubliant un instant la condition qu'avait posée Amour, Orphée se retourne pour la regarder. Eurydice meurt aussitôt.

Hector Berlioz (1803-1869)

Originaire de La Côte Saint-André en Isère, Hector Berlioz choisit de devenir musicien contre l'avis de son père qui le destinait à une carrière de médecin. Contraint de suivre deux années d'études à la faculté de médecine, il fréquente assidûment l'opéra où Iphigénie en Tauride de Gluck lui fait une impression indélébile et commence la composition d'oeuvres de musique de chambre. Formé au conservatoire auprès de Jean-François Lesueur, il a notamment étudié l'oeuvre de Beethoven.

Après cinq tentatives, il obtient le Prix de Rome en 1830 et rencontre au cours de son séjour, Gaetano Donizetti et Vincenzo Bellini. Dès son retour à Paris en 1832, il entreprend une carrière de critique musical où il acquiert une notoriété importante. la fois reconnu et craint pour son analyse des oeuvres, il se fait un certain nombre d'ennemis.

En 1837, il compose son Requiem et connaît d'autres succès avec Roméo et Juliette et sa célèbre Symphonie fantastique. Alors qu'il commence la rédaction de ses Mémoires, Hector Berlioz remanie l'Orphée et Eurydice de Gluck qui s'imposera au répertoire. Attiré depuis toujours par les grandes oeuvres littéraires (Shakespeare, Goethe), il adapte l'oeuvre de Virgile, Les Troyens, qu'il achèvera en 1858 avant de composer son dernier opéra Béatrice et Bénédict. Il meurt à Paris le 8 mars 1869.

Source : Orphée et Eurydice, dossier de préparation Atelier Lyrique/Jeune public, Opéra National de Paris, mai 2011, p.5.

Pourquoi 3 versions ?

Version parisienne de Gluck – Porté par le succès qu'y avait remporté l'un de ses précédents opéras, Iphigénie en Aulide, Gluck décide d'adapter son Orfeo pour Paris en un Orphée dont le livret est traduit, et la musique accommodée aux exigences du goût français.

La transformation la plus évidente est ainsi la transposition du rôle-titre : Orfeo était un castrat à Vienne, il sera un ténor aigu (haute-contre) à Paris. Il accroît par ailleurs la part des danses, en insérant notamment dans le 2e acte la célèbre Danse des Furies.

Version révisée d'Hector Berlioz – Hector Berlioz n'a jamais caché son admiration pour Gluck. Dans ses Mémoires, il avoue ainsi lui vouer une « passion instinctive » et ce, depuis sa plus tendre enfance. Il assiste à Paris à de nombreuses reprises de l'Orphée de Gluck, dans sa deuxième version : d'une représentation à l'autre, sa déception semble s'accroître. La version française de l'opéra lui semble globalement bien moins satisfaisante que sa version originale, et les arrangements qu'en font les différents interprètes relèvent pour lui de la profanation. Il décide alors d'en proposer une version révisée qui serait en quelque sorte une synthèse des deux versions de Gluck. Il s'agissait pour lui de « remettre cet ouvrage en ordre, approprier à la voix de contralto les récitatifs et airs nouveaux ajoutés par Gluck au rôle principal (...), ôter les trombones ajoutés par un inconnu, et remplacer par un cornet moderne en cuivre le cornetto en bois dont personne ne joue à Paris. De plus, on a corrigé dans le livret quelques vers de M. de Moline dont la niaiserie paraissait dangereuse et inacceptable. » En ce qui concerne la forme de l'œuvre, le remaniement le plus évident de Berlioz est le passage de trois à quatre actes, la scène des Enfers et celle des Champs Elysées formant désormais deux actes distincts, dans le but de rééquilibrer la partition, dont il a supprimé plusieurs numéros.

Le livret original

Versions Version viennoise de Gluck Version parisienne de Gluck Révision d'Hector Berlioz

Date de création 1762 1774 1859

Titre original Orfeo ed Euridice Orphée et Eurydice Orphée et Eurydice

Sous-titre Azione teatrale per musica Tragédie opéra -

Découpage 3 actes 3 actes 4 actes

Textes et paroles Italien Français Français

Librettiste Livret de Ranieri de Calzabigi Livret de Pierre Louis Moline Arrangement du livret de Moline

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Christoph Willibald Ritter von Gluck, ou Christoph Willibald, chevalier de Gluck, est né à Erasbach, en Allemagne, en 1714, et mort à Vienne en 1787. !

Fils d'un garde forestier, il montre très tôt des dispositions pour la musique et apprend le violon. S'il entend continuer dans cette voie, cela complique la relation avec son père : comme très souvent à l'époque, ce dernier veut voir son fils exercer le même métier que lui. Gluck s'exerce en cachette, notamment en apprenant la guimbarde, un instrument peu bruyant.!

En 1730, le jeune Gluck quitte le domicile familial pour échapper à la pression paternelle. Un an plus tard, il s'inscrit à l'université, mais ses études ne l'occuperont guère longtemps ; il finit par les abandonner au profit d'une formation musicale autodidacte. En 1734, à Vienne, il est repéré par le prince Melzi qui l'emmène à Milan pour se perfectionner dans l'opera seria italien, très en vogue à la cour de Charles VI. Il livre son premier opera seria, Artaserse, d'après un livret de Métastase, en 1741 et réussit à convaincre le public milanais, réputé très exigeant. Il va ainsi se bâtir une réputation solide en Italie du nord : Turin, Venise... Gluck écrit sept opéras en quatre ans et prend en même temps conscience des limites de ce genre et des conventions. C'est aussi à cette époque qu'il découvre Haendel et ses oratorios, à la suite d'un voyage à Londres en 1746.!

En 1750, Gluck épouse la fille d'un banquier viennois. Ce mariage le libère des préoccupations financières et il peut pleinement profiter de sa renommée croissante. La création de La Clémence de Titus, à Naples en 1752, est un triomphe qui parvient jusqu'aux oreilles du comte Durazzo, intendant des théâtres viennois. Gluck, de retour à Vienne, reçoit de nombreuses commandes. À la demande du comte qui cherche lui aussi à renouveler le répertoire lyrique, il arrange des comédies-vaudevilles françaises pour le théâtre de la cour, inspirées de l'opéra comique et très en vogue, pour lesquelles il réécrit des airs et récitatifs.!

Ses compositions évoluent alors vers plus de simplicité et de naturel dans le but d'atteindre une expression plus authentique des sentiments. Bientôt, il rencontre Calzabigi par l’intermédiaire de Durazzo ; ce librettiste et poète italien, aux conceptions novatrices, concentre l'action autour de personnages-symboles et base l'articulation dramatique sur les interventions du choeur pour une plus grande fluidité musicale. De ce travail découlera une réforme de l'opera seria méditée depuis longtemps par Gluck, et les plus grandes œuvres du compositeur. Leur première collaboration marque le point initial de cette réforme : Orfeo ed Euridice est créée en 1762 à Vienne. Alceste, en 1767, en est l’aboutissement.!

En 1774, Gluck s'installe à Paris et compose, à l'invitation du marquis Le Blanc du Roullet, Iphigénie en Aulide d'après Racine. Le triomphe remporté par cet ouvrage incite l'Académie Royale de Musique à lui commander une adaptation en français d'Orphée et Eurydice selon le goût parisien. Sous la protection de la Reine Marie-Antoinette, dont il fut le professeur de clavecin à Vienne, Gluck compose Armide (1777) puis Iphigénie en Tauride (1779). Echo et Narcisse, la même année, sera pourtant un échec. Gluck quitte Paris, profondément affecté, pour ne plus y revenir. En 1781, il est victime d'une attaque d'apoplexie qui met un terme à sa carrière musicale. Il découvrira L’Enlèvement au sérail de Mozart et témoignera toute son admiration au génie autrichien. !

Le 17 novembre 1787, il meurt à Vienne.

Autour du compositeur G

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Joseph-Siffrein Duplessis, Portrait de C.W. von Gluck (1775), Huile sur toile, Kunsthistorisches Museum (Vienne, Autriche)

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L’année 1762 dans les arts Source : Wikipédia

Évènements historiques en 1762 !• 2 janvier : l’Espagne déclare la guerre à la Grande-

Bretagne en vertu d’une clause secrète du Pacte de famille de 1761.

• 5 février : une nouvelle invasion afghane en Inde provoque le wadda ghalughara (second holocauste). De nombreux Sikhs sont massacrés près de Malerkotla.

• 7 avril : armistice de Ribnitz entre la Suède et la Prusse.• 5 mai : traité de Saint-Pétersbourg. Pierre III de Russie

signe la paix avec la Prusse et renonce aux conquêtes de la Poméranie et de la Prusse-Orientale.

• 18 mai : le Portugal, envahi par l'Espagne pour son refus de fermer ses ports aux navires britanniques, déclare la guerre à l'Espagne et à la France.

• 22 mai : traité de Hambourg entre la Suède et la Prusse. Alliance entre la Russie et la Prusse. La Suède, isolée au nord, se retire de la coalition. La France doit choisir le retour à la paix.

• 9 juillet : accession au pouvoir en Russie de la tsarine Catherine II de Russie (la Grande) après l’abdication (et avant sa mort)de Pierre III de Holstein-Gottorp.

• 15 septembre : Début du règne de Go-Sakuramachi, impératrice du Japon.

• 3 novembre : traité de Fontainebleau ; la France cède la Louisiane à l'Espagne pour lutter contre l’hégémonie britannique dans la région.!

Arts et musique !• La Gazette, le premier hebdomadaire français (1631) est

racheté par Choiseul, qui en fait La Gazette de France. • Retour en France de l'orientaliste français Abraham

Hyacinthe Anquetil-Duperron (1731-1805). Parti à la recherche des zoroastriens réfugiés en Inde, il en rapporte l’Avesta et cinquante Upanishads. Il traduit en français et publie l’Avesta en 1771, quatre Upanishads en 1776 puis traduit les cinquante Upanishads en latin en 1802 sous le titre de Oupnekhat.

• Publication à Londres de Description historique de la Guinée, de Antoine Bénézet, huguenot français émigré en Amérique, qui y enquête sur le commerce des esclaves et ses effets.

• Le philosophe et écrivain français Jean-Jacques Rousseau publie Du Contrat social, traité politique. Emile ou De L’éducation, autre roman publié cette année, est condamnée par l’archevêque de Paris Beaumont et Rousseau est contraint à l’exil (Suisse, Prusse et Grande-Bretagne).

• 3 février : l'Opéra-Comique de la foire, qui a fusionné en janvier avec la Comédie-Italienne, déménage à l'hôtel de Bourgogne.

• 22 août : Arrivée de Carlo Goldoni à Paris, appelé par les comédiens italiens.

• L’architecte Jacques Ange Gabriel construit le Petit Trianon à Versailles (fin en 1768)..

• L'architecte britannique Robert Adam lance le style néo-classique. Il refait la décoration de Sion House (1762-1769) et d’Osterley Park (1761-1780). Il construit Berkeley Square à Londres..

• 2 février : Artaxerxès, opéra de Thomas Arne, créé au Covent Garden de Londres

• 22 novembre : Le Roi et le Fermier, opéra-comique de Pierre-Alexandre Monsigny, créé au Théâtre-Italien

• 24 novembre : L’Olimpiade, opéra de Vincenzo Manfredini, livret de Pietro Metastasio, créé à Saint-Pétersbourg.

• Te Deum Laudamus du compositeur créole Manuel de Moraes Pedrozo.

• La Symphonie nº 9 en do majeur Hob.9 de Joseph Haydn est composée.

• Joseph Haydn, Concerto pour violoncelle en do majeur.• Wolfgang Amadeus Mozart, âgé de 6 ans, donne un

concert à la cour impériale de Vienne..!Naissances en 1762 !• 19 janvier : Jacques Balmat dit Le Mont Blanc

(1762-1834), premier ascensionniste du mont Blanc avec Michel Paccard.

• 8 février : Gia Long (1762–1820), premier empereur de la dynastie des Nguyễn au Viêt Nam.

• 29 février : Eberhard Wächter (1762-1852), peintre allemand.

• 13 avril : Championnet (1762-1800), général français.• 14 juillet : Joseph Lakanal (1762-1845), homme politique

français.• 12 août : George IV (1762-1830), roi du Royaume-Uni.• 30 octobre : André Chénier (1762-1794), poète français.• 20 novembre : Pierre André Latreille (1762-1833),

entomologiste français.!Décès en 1762 !• 5 janvier : Élisabeth de Russie (1709-1762), tsarine de

Russie.• 10 mars : Exécution de Jean Calas (1698-1762),

protestant toulousain accusé d'avoir assassiné son fils pour l'empêcher de se convertir au catholicisme.

• 21 mars : Nicolas-Louis de Lacaille (1713-1762), astronome français.

• 17 juin : Prosper Jolyot de Crébillon, dit Crébillon père (1674-1762), dramaturge français.

• 14 juillet : Pierre III (1728-1762), empereur de Russie.• 27 juillet : Edmé Bouchardon (1698-1762), sculpteur et

dessinateur français.• 17 septembre : Francesco Saver io Geminiani

(1687-1762), violoniste italien.• 6 octobre : Francesco Manfredini (1684-1762), violoniste

et compositeur italien.

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Les contemporains de Gluck Source : Wikipédia

Personnalités politiques !• Benjamin Franklin (1706-1790), physicien, écrivain et

homme politique américain• Louis XV (1710-1774), roi de France• Pascal Paoli (Pasquale Paoli en italien, 1725-1807),

Corse, appelé « fils des Lumières »• George Washington (1732-1799), général américain, et

premier président des États-Unis• Jean-Paul Marat (1743-1793), médecin, physicien et

révolutionnaire (rédacteur de L’Ami du peuple)• Thomas Jefferson (1743-1826), auteur de la déclaration

d'indépendance des États-Unis (1776), et troisième président des États-Unis

• Olympe de Gouge (1748-1793), femme de lettres et femme politique française

• Mirabeau (1749-1791), révolutionnaire français• Louis XVI (1754-1793), roi de France• Marie Antoinette (1755-1793), reine de France• Marquis de la Fayette (1757-1834)• Maximilien de Robespierre (1758-1794), révolutionnaire

français• Georges Jacques Danton (1759-1794), révolutionnaire

français• Napoléon Ier (1769-1821), premier consul, puis empereur

des Français!Écrivains !• Voltaire (1694-1778), écrivain et philosophe français • Giacomo Casanova (1725-1798), aventurier et écrivain

vénitien • Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais (1732-1799),

écrivain français • Marquis de Sade (1740-1814), écrivain français • Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832), poète,

romancier et dramaturge allemand • Lorenzo da Ponte (1749-1838), librettiste italien • Friedrich Schiller (1759-1805), poète et écrivain allemand• Germaine de Staël (1766-1817), dite Madame de Staël,

romancière et essayiste française.!Philosophes !• Montesquieu (1689-1755), moraliste, penseur et

philosophe français• Voltaire (1694-1778), écrivain et philosophe français!

• Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), écrivain et philosophe genevois

• Denis Diderot (1713-1784), écrivain et philosophe français, auteur avec D'Alembert de l'Encyclopédie

• Emmanuel Kant (1724-1804), philosophe allemand!Scientifiques !• Buffon (1707-1788), naturaliste et écrivain français, auteur

des 36 volumes de l'Histoire naturelle • Jean le Rond D'Alembert (1717-1783), mathématicien et

philosophe français• Alessandro Volta (1745-1827), physicien italien• Marie-Anne de Lavoisier (1758-1836), chimiste française • John Dalton (1766-1844), chimiste et physicien anglais !Musiciens !• Antonio Vivaldi (1678-1741), compositeur italien• Jean-Philippe Rameau (1683-1764), compositeur et

théoricien français• Jean-Sébastien Bach (1685-1750), compositeur allemand• Domenico Scarlatti (1685-1757), compositeur italien• Georg Friedrich Haendel (1685-1759), compositeur

allemand naturalisé anglais• Joseph Haydn (1732-1809), compositeur autrichien • Joseph Bologne de Saint-George (1741-1799)

compositeur français • Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), compositeur

autrichien!Peintres et sculpteurs • Robert Le Lorrain (1666-1743), sculpteur français• Giambattista Tiepolo (1696-1770)• William Hogarth (1697-1764), peintre et graveur anglais• Jean Siméon Chardin (1699-1779), peintre français• François Boucher (1703-1770), peintre français• Maurice Quentin de La Tour (1704-1788), peintre français • Francesco Guardi (1712-1793), peintre vénitien • Joshua Reynolds (1723-1792), peintre anglais • Jean-Baptiste Greuze (1725-1805), peintre français• Thomas Gainsborough (1727-1788), peintre anglais• Jean Honoré Fragonard (1732-1806), peintre français• Jean-Antoine Houdon (1741-1828), sculpteur français• Francisco de Goya (1746-1828), peintre espagnol• Jacques Louis David (1748-1825), peintre français!

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BibliographieChristoph Willibald Gluck et son oeuvre !• PROD'HOMME Jacques-Gabriel, Christoph-Willibald Gluck, Paris, Fayard, 1985, 413 pages.• KOBBE Gustave, Tout l'opéra. De Monteverdi à nos jours, Paris, Robert Laffont, 1996, 1065 pages. • KAMINSKI Piotr, Mille et un opéras, Paris, Fayard, 2003, 1800 pages. • ROSENTHAL Harold & WARRACK John, Guide de l'opéra, Paris, Fayard, 1995, 968 pages. • PÂRIS Alain, Livrets d'opéra, volume 1, Paris, Robert Laffont, 1998, 1330 pages.• Orphée et Eurydice, programme du ballet, Paris, Opéra National de Paris, saison 2007-2008.• GROSPERRIN Jean-Philippe, Gluck, Orphée et Eurydice in Diapason, n°614, juin 2013, pp.46-49. !

LiensEcouter les oeuvres en ligne !• Version viennoise (1762) : http://goo.gl/3RMoET• Version française (1774) : http://goo.gl/kRUyMj• Version remaniée par Berlioz (1859) : http://goo.gl/R1JmbP!!!Acheter le disque !• Version viennoise (1762) : Orfeo ed Euridice, Christoph-Willibald Gluck, avec Jochen Kowalski, Dagmar Schellenberger-

Ernst, Christian Fliegner, direction : Hartmurt Haenchen, Rundfunkchor Berlin & Kammerorchester Carl Philipp Emanuel Bach, chez Cappriccio, 1988.

• Version française (1774) : Orphée et Eurydice, Christoph-Willibald Gluck, avec Richard Croft, Mireille Delunsch, Marion Harousseau, direction : Marc Minkowski, Les Musiciens du Louvre, chez Archiv, 2002.

• Version remaniée par Berlioz (1859) : Orfeo ed Euridice, Christoph-Willibald Gluck, avec Ewa Podles, Raphaëlle Farman, Marie-Noëlle de Callataÿ, direction : Patrick Peire, Collegium Instrumentale Brugense & Capella Brugensis, chez Forlane, 2001. !!!

Télécharger gratuitement les partitions !• Version viennoise (1762) : http://goo.gl/S55kJO• Version française (1774) : http://goo.gl/phU41M• Version remaniée par Berlioz (1859) : la partition n'est malheureusement pas disponible librement actuellement. !!!

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erda | accentus bénéficie du soutien de la Direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France, Ministère de la culture et de la communication ; est subventionné par la Ville de Paris, la Région Ile-de-France ; et reçoit également le soutien de la SACEM. accentus est en résidence à l’Opéra de Rouen Haute-Normandie. Les activités de diffusion et d’actions culturelles d’accentus dans le département bénéficient du soutien du Conseil général des Hauts-de-Seine. Le cercle des mécènes d’erda | accentus accompagne son développement. !!!!!!!Insula orchestra est soutenu par le Conseil général des Hauts-de-Seine et est en résidence à Boulogne-Billancourt, au Carré Belle-Feuille.Mécénat Musical Société Générale est le mécène principal d’Insula orchestra. !!!!!!Conception graphique et rédaction Thomas Meugnot