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r811111ETON SENSATIONNEL issez les teds Nos Collaborateurs tegeerlsortIgrr a" articles Nos DIRECTE...LITS,. r BEDOITCE 0.-E. PREVOT . Députés de Toulouse "bluet t11,1tIOL,,,,f SitA,L12 O.,140 Lé. RUELLE René HAWRAN Secrétaires Régionaux !MP* uns& an9. PèFi goths dut'. Bimane, (lep. cabre!. d,P- "i*,"dl' u tee,:Fard ferrsonll''. eeles (Jean). Oen. , gmeière, dép. ET DES CFRONIQI/ES DE BIRDIES (Ensile), Questions agriml.. NERQUE. Pour les rmleheurs. ISEAUREPAIRE-FROMENT u roll Metkoun n. Docteur DELON. Causerie Médicale. DEUMIE, Agriculture pratique, FEDOR, Notes d'un pore épie. EggeOQ, lo Droit ouvrier. LLANA GUANO, Chronique espagnole. MARTY-ROLLAN. Mouvement syndiealisM. MESTRE FAITOUT. L'Art Méridional. NADAL. gués.. Universitaires. SAINGAIZE. Les Fonctionnaires. Affaire Privée Au congrès sooialiste do Saisd-Quentin une question a surgi, qui n'était pas a l'ordre du jour, mais qui soulèvera dans le parti et ailleurs bien des discussions et des controverses c'est la question se liMieiié age,sus son refus de supprimer, pour les asornôniers dans ,erturatabliesetnebEs d'Etat, le dépu- télkrens a répondu e a La religion est affaire privée. » Le congrès, étonné de la netteté de cette affirmation, un peu nouvelle pour le socialisme français, a décidé que la question serait portée à l'ordre du jour du prochain congrès, en mémé temps que d'autres qui s'y natta- Client, comme celle de la Prune maçon- nerie. La religion. affaire privée ? Cela veut dira que le parti socialiste n'a pas à se mêler de questions religieuses, que de- vant des travailleurs il n'a pas d'autre problème à poser que celui de la pro- priété, et qu'il doit us air pour but de grouper autour de son drapeau los tra- vailleurs de toutes les croyances. Ainsi présentée, la question est trop simple. Le socialisme, on tant que duc- tnine, ria pas à connaître des questions religieuses. Lo proMèrne social, tel qu'il résulte des travaux des maîtres du so- cialisme moderne, est indépendant des problèmes religieux ou philosophiques. 1Mais le socialisme n'est pas seule- ment une spécula/ion de 1 esprit hu- main et, une ylle doseur. C'est aussi Pour le présent, une force en mouv Ment et un parti d'action. Comme tel, il liii est impossible de s'abstraire des circonstances et des faits. Or. la religion est un fait social, dont il lui faut tenir bien compte dans sa hâte de tous les jours, pour son recru- tement même. Théoriquement un travailleur catho- lique doit être attiré par les théories so- cialistes autant qu'un libre penseur. En fait, il n'en est pas ainsi. L'ouvrier IsSsé des croyances religieuses adhé- >eta non pas seulement à la pensée, ouais au mouvement socialiste. Il entre- ra dans les cadres du parti; il militera leur son émancipation. L'ouvrier ca- tholique, même s'il incline vers le sa- alisnus sera retenu par ceux à qui la 'leen donne prise sur son esprit aux- quels il obéit dans toutes les cuiconstan- paves de la !vie. Pour tout dire .'.uttra. pour venir à nous, s'affran- is d'abord sinon de l'esprit religieux, de la tutelle de l'Eglise. . est que l'Eglise n'est pas seulement organisation religieuse. elle est closant tout une organisation po- La religion est affaire privée, os la cléricalisme est un parti. ii DEglise aima cesse de jouer politique, le jour où elle aura ses vraies politiques pour se r dans son domaine propre, le 1%9Ii il n'y aura plus de cléricaux »,,,,:syulement des catholiques, ce lipt, 1., question religieuse ne se po- Ptast Mais beaucoup de cléricaux los,t.M1undront qu'alors il n'y ahr. Rendant, DEglise existe, et elle pd encore diriger ses fidèles dans beigilems de citoyens. Elle les mi- CII te, ,te dans un parti elle les fait Nu- lors10 prend part aux luttes élec- Pelez-,ous ce qu'il advint des car qui ont tenté de s'affranchir o..bection sur le terrain politique. QUATRIEME ANDEL' -4. No 854. ADMINISTRATION RHDApTION 38, l'ue Roquelaine TOULOUSE Adsossiergebers 5 Colonies fr 10." fr 20 Cr. tisane 9 fr. 141e, 36 fr. Guesde (Jules), dep Jean-Lorris. Mistral, dép. Poisson (E.). Reboul, dép. Ringuier, dép. Rognon, top. Ronger (11.), dép. Sabin, député. Sembat, dép. Sixte-Quouin, dép. Thomas (A.), dis. ÉCHOS nÉrtesne,, 10eR¢, IsleRUNÉEs-0121eNTALES, SRON,CORRlie,e,CANTer, LOT,ES-GenONN0, Ca) CIAL(ISM., ERS,LOT,EAUTES.PYRUNÉES, AISDEs, epmesErs0IRONNE, nassemeknÉsers, AUDE, aariatz, TOOLOUSE Ils ont éte désavoues d'abord et ceux qui ne se sont pas soumis ont , té ins- pitoyabl ment hmsés. S'imaginer quo les conskarvateurs, la plupart catholiques, quand ils mettent au service de l'Eglise leur puissance so- ciale, n'attendent rien en échange de leurs services. c'est se tromper grossiè- rement. Ce n'est pas pour conquérir le paradis que le grand patronat catholi- que soutient l'Eglise de ses ressources et de son influence. C'est parce qu'il attend d'elle en retour qu'elle prêche aux travailleurs la patience et la rési- gnation. Si la religion devait rester, pour nous socialistes, affaire de conscience, pure- ment privée, il nous faudrait renoncer à jamais à conquérir les ouyriars tholiques. Car aussi longtemps que des ouvriers obéiront au lest d'ordre du prêtre, celui-ci, dans la pltpart des cas, les conduira au parti conservateur, c'est-à-dure à un parti foncièrement bas Cils aux revendications socialistes. C'est bien ce qu'il a fait jusqu'ici. C'est ce qu'il continuera de faire, aussi longtemps qu'il y aura une hiérarchie catholique, soumise aux lois de Rome et alliée des puissances de réaction. Il nest pas possible, à l'heure où nous sommes, de séparer la religion de la politique. Le parti socialiste est de tous le plus combattu; il sera peut,être, un jour prochain, le seul combattu par PE- glise. La tradition du socialisme fran- çais, foncièrement laïque et vigoureuse- ment anticlérical, est la seule que puis- se suivre notre parti dans un pays com- me le nôtre, où l'Eglise était hier en- core une puissance diEtat, où elle n'a pas renoncé g le redevenir, où elle de- meure une force d, conservation so- ciale. Le jour où elle rentrera dans ses tem- ples pour ne plus d'occuper que des furies, non- priluirong voir. D'ici là... La religion, affaire privée ? Que MM. les eléri, ux commencent ! Alexandre VARENNE, LE DBOIT AD BAISEE rnsri 5.041 le droit d'ernbraever sa femme quand eelle-ol nkm a pas er0,4e Tedie est la délicate queeaton que, récemment, un juge de New.York eut à remua. au nom de la justice C'était le, do.e moitié du tvop tendre MT Geor. ge Shahs qui traînait son époux devant les telbur na. pour l'avoir embrassée malgré sa résisé t.ee énergique. Cette eavesse a céfité chorus pauvre eher mari, fur le juge, parti.n farouche des droits de la femr., l'a condamné à els5 cents shillings d'amende et, dans ime uomonee cloyère, lui D. intimé l'ordre de n eplus embrasser Shute .us mn eDneealernent préalable. 310ETI000ES DE JADIS M. do Collier publie dans an magakine des ecum.. bien curieux sur tee s.d..o su moyenéage. D'abord sotte lettre de Pétrarque au pape Clément VI - « La notmeile de votre Sèvre m'a fait frisson- ner. Je tremble de voir votre nt roelfours en- terré Os médeeins qui ne sont lamais d'accord, ares qu'il serait honteux pour .mlni qui parle le seeond de penser comme le premier... Ces meg sieurs apprennent Icor métier à nos dépns elest à fors de tuer qugla se perfectionnent ans l'art de guérir et ils eont le meula qui peu- vent tuer impunément. n Les lignes qui précèdent date. du mois de stars 1302...Déjà ! qui remonte à l'an 1302. Armand de Villeneuve, 4 profem.eur de médeeine n, écrit pour Senposes qua «luise puiunirn sku com- prendre au cas de votre malade 1 Avancez avec assurance qu'il a une obstruction de foie. Mais ayez bien soin d'employer le terme d' o obs- truetion n, parco que les nmlades ignorent. nér»lemdat ce qu'il signifie. Et il importe qu'As l'ignorent !... Le docteur Doyen vous dira que les choses n'ont pas beaucoup changé depuis 1302. 'A TABLE M. et Mme 130»1ureau sont attablés devant ms doutai. .01,01 sus. Ah ! fait un ami qui les vient ?Mirée, vo. ne vous refusez rien... Et Bertureau cher, en. ne am. arrive pas souvent. 71 n'é.it pas entré une seule huître El drop. votre dernier° visite. . %muai, es chronietues si vives, SC.CIALALS-rm subst.-dieu, si in. dépendantes, qu'il doit au talent 00 010 couvé- mage de ses medleum artistes ei artisans mei-, Notes d'up Porc-Epic QUe ES,PLIS, chere .Vadaniè r Que f ai ptutat dur pour Mene Gaie( eit particutien et pour toutes les femmes en général Çà Cest rrii, j'ai la f eimchise brutale, mais reconnaisses avec moi que j'ares quant. hiôih. de ne pas me montrer bien tem.. - Les fade, pl. éloquents que tout cc Mir iô pourrais vous dire, sent 00 paru Me Mame, re- »on. Il lie se passe pas un crime, un sot, soi mé- fait quelconque Bue la police, en quête chi cou- pable, ne s'avise imméstggemeng de rechercher.., Ou femme I Je sais, oui, je sais très bien que si contraire c'est une femme qui est inculpée... Que dites- voies e Alet parai., sous Mite, erreur, Madame... ce n'est pas an homme.., c'est deic,r hommes mie /a pouce devra rechercher ! Vous avec sur nous l'avantage du nombre, c'est tee.', mais ce n'est pas, en l'occurrence, un avantage moral, oh non ! Mais, passons, el revenons O nos moulasu si vous le permette:» Aujourd'hui, d'ailleurs, je sue 0.4 disposé s. TOut faire plaisir et jr ne prononrerai qoce des paroles gai vous feront panier dune. Evidemment c'est un peu me sotie le dites, mais c'est aussi parée que deus mm journal je relire des ofoego 100 sont laid d l'honneur de la femme. Ces drue histoires, comme toutes les histoires gni se respectent, se p.sent à Pont.i La prendire nous montre une pauvre renoue abandonnée par san mari arec trais enfants sur les bras. Force ita est de confier tes dei00 alités J l'As- sistance publique. Alors pendant dot aid, elle teinte, Oie use sa santé, elle éco.mite pater Perrsee cm jdur c'en- rer ses ilet10 gosses et leur assurer auprés d'elle non pas l'aisance, car on ne s'enrichit pso en rant l'aiguille. mais (ont au moins le nécessaire. L'administration est revêche, elle troteve chaque jour im nouveau prétexte amie se refuser à ren- dre les bambins qu'on 1001 e.fiés I aies ai tendresse maternelle ne se lasse pas. Celle mère veut ors gosses, elle a fait t.s les sacrifices qu'on lui a imposés, elle n'a recalé devant mi- enne privalien, elle s'est soumise à tous les ca- prices de l'administration.... elle vient enfin de conter ses peines aux journarsg et vous terre0 qu'elle aura bientôt gain do 00005e, Ce même espoir n'est pas réservé a Mem }Varié. El cependant combien noble, combien gronde, combien héroigem est la conduite se t'épouse de ce policier indidne qui pour suivre une gredine avait abandonné si famille, rterrit renie ses en- fards et n'avait pas hésité O sacrifier son Aria- ne., sa carriête, »on avenir. Mme Warié n'obéissant qu'ô sort devoir el ou- bliant toute sa rancune, est allé voir son mari la prison pour Ici apporter des paroles de conso- lation. Cette femme a eu la tin geste stadime et je mils plein d'admiration pour ectle phrase si sim- ple, si maiilrelle et pourtant si profonde qu'elle dit au juge d'Instruction: La j.lice pourrait bien le pardon.r, puisque m. l'ai Purdébaér Ale! madame. si toutes les _familles 'etigfin- Noient d celles-fa !... Mals ma, je répète ! le dis que st.loutes.les fermes avaient le sentiment de leur devoir et de leur digndé, si elles savaient trade rimpor- temee du rôle qui Nur est désotti, ah 11 y aurait pose sûr moins de misère sur la terre. Que dites-votts encore e... Ale, oui je ceux hien promettre de ne pas récidiver mais je vous préviens qu'el la mcmihre occasion_ le pore- épie ce reniettra en boule I FEDOR. Le crachat Les unes après les autres, en termes plus ou moins insolents, les CoMpa- gnies de chemins de fer font connaître au gouvernement de la République leur refus de siférer au désir de la Chambre et du Ministre des Travaux publics. Ré- voqués furent les oheminots, révoqués ils resteront u tel est le bon plaisir des Compagnies, en révolte contre le pou- voir et contre les délégués parlementai- res de la nation. Au gouvernement et is la nation de répondre ! Les arguments qu'a donnés le prési- dent du Conseil d'administration du Midi ne tiennent pas. Choisir parmi les révoqués, dit-il, et exclure les plus agi- tés, ce Serait s'exposer au reproche de manuvre antisyndicale. Notons d'a- bord qu'à 'entendre M. Teissier, tout cheminot qui revendique un salaire meilleur est un agité et qu'un cheminot qui se syndique mérité à un plus haut degré el qualificatif insultant. Com- ment, d'ailleurs, la Compagnie pour- rait-elle faire un choix parmi les révo- qués, puisqu'aucun 'acte de sabotage n'a été commis sur le réseau, puisqu'au- cune excitation au sabotage n.y a Été proférée, puisque l'on n'a pu reprocher aux cheminots révoqués que le l'ait d'a- voir fait grève, comme des centaines et des centaines de leurs camarades. La Compagnie n'aurait donc pas à faire un choix u après » puisqu'elle l'avait fait a avant ». Elle ne risquerait pas d'en- courir le reproche d'antasyndicalisme, puisque ce reproche, elle l'a encouru déjà, tout entier et volontairement, par haMe de l'organisation ouvrière, au rnoment mit/ne où elle a jeté à la porte les hommes de confiance du 'syndicat national et de la fédération des méca- niciens. La réintégration, a-t-on dit encore aux grands actionnaires de la Compa- gnie du Midi, constituerait un desaveau humiliant et injustifiable pour le per- sonnel dirigeant, consacrerait le triom- phe des élément, perturbateurs et ré- volutionnaires, découragerait, enfin, les agents fidèles. Ce ne sont là qu'affirmations sans fondement. Si j'en crois, en effet, des renseignements sitirs, le personnel diri- geant, et notamment les chefs et sous- chefs de gare ou de dépôt, souhaite, par hurnande et dans l'intérêt quotidien du serome, le retour figs révoqués. De leur côté. les agents en exercice désirent passionnément ce retour, ainsi qu'en témoigne la pif lion dont J'aurais pu énuméres les signatures devant la Chambre et que j'ai encore entre les mains. Ceux quo ne Sirent pas grève sont eut-être phis ardents encore fille les autres à appeler le réintégration de eurs camarades ! Quant au trsemPloo des éléments perturbateurs et révolu- tionnaires, n011s ferons observer à la hautaine Compagnie que, si elle renon- çait à maintenir dans la misère quoi qu'elle dise du prétendu semeurs qu'elle leur a porté les cheminots qui ont usé de leur droit légal de syndiqués, il n'y aurait qu'un osiinqueur, et un seul la loi syndicale de 1884. Los perturba- trice, sans doute, et loi révolutionnaire ! Mais la Compagnie du Midi, ivre de l'or de l'Etat. se prétend-elle par ha- sard supérieure à la loi ? Libre à elle ! Mais aussi gare à elle ! La loi, un jour, la vaincra. IComcients de notre devoir patrioti- que ! Tel est le cm honteux que pousse, au cur de son plaidoyer, l'inhumaine et brutale Compagnie. Nous demandons pitié pour la noble figure d, la patrie francaise qui ne mérite pas d'être à ce point avilie par la finance du rail. Le publie ne sem pas dupe. Il sait que la patrie n*fst ici qu'un paravent hypo- critement utilisé pour dissimuler des sentiments de morgue et de haine ; il ne souffrira pas que la patrie, refréna, O des proportions de comptoir, soit souillée par ces contacts impurs. Et maintenant, que dira l'opinion, que fera le gouvernement, que décidera la Chambre ? Tous trois viennent d être désavoués et bafoués par les Compa- gnies. Devant cet affront qui leur vient de leurs obligés, comment réagiront- ils ? Nous le saurons bientôt. Pour l'ac- tion énergique, le gouvernement et la Chambre trouveront un encouragement dans les vux des Conseils généraux et dans l'ordre du jour récent du Comité central du Parti radical qui vient, après le Parti socialiste, d'engager son hon- neur sur la question des reintkgralions. Nous ne sommes, nous siscialisbes, qu'u- ne minorité. !Mais, vous nous avez dit cent fois, vous autres radicaux, que vous étiez le parti dominant, à la Cham- bre et dans le pays. Nous allons voir ce que vous savez faire et ce que va fai- re votre gouvernement. Gouvernement » falot », 'disaient. hier, les » Débats », organe des Compagnies. Parti radical et gouvernement radical relésverant-ilS l'insulte ? Ou essuieront-ils le crachat 2 Gabriel-Ellen PREVOT. L'INTERNATIONALE Lettre d'Autriche Vienne, 28 avril. Il ne sera peut-être pas superflu, pour Vinteingence des prochaines élections au Reichsrat, de rappeler brièvement les traits principaux du régir-ne électoral en Autri- one. NO. avons, depuis 1907, le suffrage uni- versel ; le v é ote est gal, direct et secret. Est électeur tout citiomn autrichien du sexe masculin, âgé de PI a. au moine, ré- sidant .dans une mime commune depuis une 00000 001 moins ; est Rigide tout électeur deé dais amies 30 ans. Le voie est uninominal, c'est-à-dire que lo pays est divise en circonscriptions élec- torales .dont chemine nomme un sen/ député, 'Seuls /es districts ruraux de la San de font exception à cette régie, pour des raisons expliquées pl. loin. Les frontières. de .differents diatricts sont arrêtés d'après un système spécial, tenant surtout compte de la composition nationale ou linguistique de la population. Il y a. en Autriche, huit nationantés légalement reeonnues. Il s'agissait de découper des cir- conscriptions autant que possible unilin- gues ou au moisu à tris forte majorité d'une 'nationalité déterminée. On a fariné, de celte facon, des rirconscriptiorm alle- mandes, tchèques, eue. nes 006 siiges de députés sont répartis comme suit b Circonseriptions allemandes, 233 ; tchiques, 107, polonai.s un; ruine- nes, 33 ; shivines, 21 ; serboicroates 13 italiennes, 19 ; roumaines, 5. Pour des raisons linguistiques., également, on s'est efforcé do séparer nettement les eireonseriptions urbainei des- circonscrip- tions rurales, les villesnonstituant fréquem- ment des ilots entourés, su point de vue langue, dune mer hétérogène. Inutiff da- jouter que le principe de l'égalité de diffé- rentes langues na guère été observé et que o '^émette effilerai°, a largement taro- risecertaines .tionalités au. détritnent d'au- tres, occupant dans /a hiérarchie tradition- nelle, un rang Mférieur. Dans ,cet ordre di- dées, on a fréquemment cosstituk en cir- conscription électorale .plusieuro lots de ter- ritoire non adjacents, lii 0e delen don député des minorités appartenant 300e na- tionalité relativement privsligiée. 11 y a deux exceptiens importantes à ee Système général que nous 'venons suesqui's- ser 1 ce sont le e cadastre national « en Mo- ravie et les circonscriptions O deux mandats en Galieie. En Moravie, le mélange des populations allemande al trhaque est inextricable, tel degré qu'il eût été imprisible de divi- ser le territoire en circonscriptions tant soit peu honiogines. On s'est, donc tiré d'affaire de la façon suivante Chaque citoyen y est tenu ,d'adherer, par une -déclaration sPéaiala rafune .des deux nationalités c'est ne qu'on annelle le « callastrdnationat Le si-seau des circonseraptions éleeloraffs y est dou- ble ; il y a un réseau tchèque -comportant 30 circonscription. et un réseau allemand territorialement superposé à Foutre, avec 19 circonscriptions. Il y a don', en quelque sorte, deux Moravie Clet:tonal. ; 50e Mora- vie alleMande et une Moravie .haque. En Galicie, où le .mélange ,des nationalités polonaise _et rutlanno est, surtout dam lm campagnes et dans la nantie orientaff du pays, trop intime pour en permettre une separatiion territoriale, on a co.titué, côté des 34 eirconstiriptions urbaines natio- n-affinent henegenes, 36 circonscriptions ru- rales disant chacune deux députés. Cha- cune de ces circonscriptions est évidemment deux fois (au moine) phis grande qu'une circonscription uninominale. On a voulu, P' cette façon, instituer une socle de repré- sentation des minorités. Lq système d'élec- tion y est trop nomplexe peur qu'il vaille la peine de le relater ffi en détail. La social démocratie allemande d'Autri- che vient de lancer un manifeste électoral et de nommer ses candidats dam plus de 200 circonscriptions. Le manifesie commence par caractériser les deux principaux partis ennemis de la social dée.ratie. Le parti « socialiste chrétien », hier eneore si puis- sant, .dovenu parti gouvernementat-a cessé d'itre anticapilaliste et sert ouvertement les intérêts des requins du capitalisme et de la finance. Les « libéraux alffmands abandonné leur phraséologie antioléricale et soutiennent de toutes leurs forces le minis- tère amhicié.dcal de Pin.struction publique. Tous deux ne forment en réalité qu'un seul parti dont les antagonismes internes sont, dominét par la sujétion aux détenteurs du pouvoir et par la haine du prolétariat. Le manifeste dénonce ensuite le militarisme et les .uveaux impnts qui constituent, en réa- lité, le sent programme du gOuvernement et dee partis bourgeois qui le soutiennent, et développe les revendications sociales de la social démocratie, les mesures contre le ren- chérissement, des denrées et des loyers, les assurances sociales, la législation ouvrière. Il oppose b a lutte nationale, prÔnee comme dérivatif, par les ennemis du proletaxiat, la lutte des classes basée sur une autonomie nationale. Enfin, dans l'ordre politique, il demande la fortification de la démocratie, l'abrogation du paragsmphe 14, l'élargisse- ment des droits du Parlement vis-a-vis do la .couronne et de in bureaucratie, l'éman- cipation de l'enseignement du jury erical. 'La liste des candidata comprend les noms Pu' presque tous les députés sortants, parmi lesquels les chefs connus du parti. Notons, parmi les candidatures nouvelles, celles du ramera. Fritz Austerlitz, rédacteur en chef de l' « Arbeiter-Zeitung u, dans la eir- ron.ription Léopolkl-Stadt I (Vienne) ainsi que 00110 de Ludo Hartmann, privai doeent d'histoire (chargé de cours) à l'Université impériale et royale, de Vienne. GUY. Vient de paradre id est, en vente à la Librairie de l'Humanité L'ARMÉE NOUVELLE L'organisation assistions de la France Par Jean MURES fort volume de 700 pages. franm 3 fr. 010. EN PLEIN DAMS JjC011 La Mabilisatioa des Tropes continue L'Orage qui Couve Les nouvelle. du Maroc sont encore °M- eures et troubles. Obole sentitnent que toutes ffs corres- pondances de lii-bas vont truquées; il ses curieux dans quelques semaines, quand on pourra savoir un peu ce qui s'est passé de comparer la réalité aux récits qui mainte- nant nous sont faits. Co qui est certes, c'est que le projet connu d'expédition française provoque dans le,s tribus marocaines SM re- doublement, d'agitation. Ce qui est certain aussi, c'est que de re- doutables complications dipllmoliquesse préparent. Les journaux officieux allemands Ont des façons b la fois éniginatiqUes et 100- niques. Ils disent en substance aux Panger- manistes : Pourquoi donc nous émouvoir ? Le Maroc ne s'avale pas d'un seul trait. Et nous au.so tonjouis le temps de rappeler ti ceux qui l'oublieraient, qu'il y a encore un traité d'Algésiras. La marche sur Fez eist pleine d'imprévus. L'occupation de Fez sera pleine d'imprévu. Jean J'AIMES. De nouveau, /es informations venues de Tanger nous opportent la Mite peminliste. D'après une dépéChe de l'agence Havas qui, il ed, virai, n'est pan confirmée, le commas, dant Brémond serait must. Fez serait en pleine anancide, la Hata. est en marelle. Qu'y a-t-il de vrai dnns tent ce brelan de nouvelles pessimistes ? 11 est, difficile de le dire tant elles semblent se rattacher b la campagne alarmiste systématique poursui- vie depuis des années par ceux qui ont on s- 101à brouiller les cartes. Ce qui eut certain, c'est que par la cam- pagne criminelle de la France et l'aveugle- ment du gouvernement, ça sent la poudre. Tous Issu jours la mobilisation des Jamie. se poursuit, aux chants de la « Marseillaise Ce qui est certain, c'est quo l'Ealsaigie eim- mence à montrer Ira dente et que nous voici engagés dans une aetion guerrière dont per- sonne ne prévoit l'issue et dont les pauvres diableS supporteront les déboires et le, frais. LA MOBILISATION SE POURSUIT Perpignan. 28 avril. La sixième section de mitre... an 24e co- lonial partira pour le Maroc dès mile% aura complété le nombre de mulets nécessaires son unité. Plusieurs musiciens loess colonial sont partis pour Toulon où ils seront ver.. .à la f.fare régiment de marche du Maroc. Marseille, 28 avril. Ce emtin, sont arrives par train epéxial. à la gare d'Are., trois compagnies des flo ég 23e coloniaux qui tenaient garMmu à Paris. En at- Mndant l'embarquement, ces soldats ont lia cou- dnits aux casernent dois ciele-Cha,ité qu'ils ont quittée cet après-midi, à tces hmuss, pour s'em- barquer sur le Thibet, Sois été .lené dans /e bassin National. Le trajet dn.g.rtim au nid s'et fait muais SAMEDI 29 AVRIL 1911 Le Guêpier Marocain ÉDIT-ions RÉsiotries Li LE ÉS nvms Witt Cain Toue1a1.011 Si l'on meurt avant l'âge de la retraits? La veuve et les orphelins de Ou osa do Iti ana reçoivent une allocation en nus de déces. 1Mn. stIr6 meurt avant Tags de 01 ans. L'allocution cas de desis varie seffn le nombre deertar. Quand un ouvrier per, de famille meurt avant d'avoir atteint l'age de bombes-ta, sa veuve re- çoit 150 trams si elle na pas d'ell3011L accueil. mont vivant. 000 franes si ellea un enfant de moi. del 16 ans. 280 frimes si elle a deux enfants de moi. dm 16 am. 300 francs ai elle a trois entants ou davantage. Quant une ouvrière, mese d, familM .msuet avant d'avoir attein0 1.000 00 la retraitez .n vent reçoit /es mémés aliocaitons de /30 à 050 tram., au nom dm en(ants. (Seuls lee subies actuellemed vivants, et agee On mmns de 14 ans au moment du déc.: Mi- ment en ligne de compte?. L'allocation en cas de décès est versée dus les trois premiers mois. au KM00 duo enfants. Par conséquent si l'assuré nues uniet libre (et 0 reounan ses mitants naturels) c'est sa co*5- pagne. niera et tutrice des entants, qui, toisai. t'allocation . Pour profiter de l'assurance en tes de decês In some condition eat que raseur. drieedie soli à jour des trois einquiétnsc de ses cotisations de- puis le 3 jui/let 1511. A partir de file de 01 ans, 0555500 05 Eau- vrière peut choisir de fmrs ses versements a ca- pital aliéné ou à capital réserve. Par versement à capital aliéné, la penduo en cas de survie 0 65 ans est pus forte, mais l'ai- location aux héritiers en cas de deeis avine 03 ans est pins faible. Par versements à rapital réservé, la pension de vieille.se cd un peu plus faible, mais en oas de décès avent l'âge de 65 am, tes versements de l'assuré sont restitués inhigrakinent d ses héri- tiers et viennent gajoults. à 15.urencesdécesr Pour les professions où l'on ne vit pas vieux Chaque assurê rocou tous les as un relire de son compte lui indiquant b quel chiffre s'élève Somma produite 0050m p05105 versements dtljtk effectues. A partir du moment sa ce chiffre atteint 180 francs de rente. rassois! n ta latitude dafterter de.rmad le. versement. °milliers et patronaux O am assurance-décès. Supposons, par exenside, un ouvrier âgé de (dosons 3 juillet prochain A 00 am sa retraite éveistuelle Il 65 an. :capital aliéné) g-Siégera 197 truies. Eslir.nt son mitier trop dur pour lui per- mettre de vivre 00,50,1'0 51) MIS, il pourra désar- mais fere verser e. 18 ter par au mnunc as- surance-dl-dg, et, Mil meurt avant 88 a., ses héritiers toughero. El0 francs en plus de gaf- location 0ee00 habit... Si donc il lalsse une yens. et deux enfants. La famille du 000010 (55, 150 pl. 640 égale 820 fra,.. - ANDRE BROCKERE. JACQI1ES DREYFUS. Avant le 01.15 t. les eelletalle fumet 0, généra . l nul/y, comm- entdorlfte eorps d'année. Le Thibet fera d:remettess route sur Cam- bh.e.a. Le eolonel Gouraud ée arrivé ce matin à neuf heures et dergle. /I e'est. armer, retdu à la eneerne Or is Vieille-al:mité peur prap..es la réception de ses hommes. ligniéréthie a été ulf rété pour tremper-Mn de Dakar à Casebbanes 1,800 tirailleurs sénégalais. Casablanca. 28 avril. Les transports Moulouya et Aqudiene ont opéré c.to neit Io débarquement des Mmes et du matériel. Ces oprations s'effectuent dans un os dos parfait et 05500 050 grande célérité. BRUIT DE L DAIIMC°07.1MAN.DANT BREMOND Paris, 28 avril. them. Havas eommuniatte en faisant lee plus expresses rékeges, dépfehe suivante ,Tangev, 28 - Le bruit court dans bina an ad est impostible do .adriner, que le .mé.ndent Dré. moud scrait mort. » D'autre part, an miniecre dee affaires étran. gères, on n'a encolle reçu ronfirmation eette mort. Le frère du eommandant .t prendre des rrouvellee an ministère. M. Cruppi y...é en lui déclarant que les derni&mie dépaehes rem. Ou Mar. b,i les.ient au eontraire espérer 'que- ls. méhalla do OOnuenndrelt Rrémend était en- core concentrée à une vingtaine da kilomètres 410 Fee. LA SITUATION st FEZ Paris, 28 arrdt Une dépEllo de Ceuta. 27 avril, déjà Empes- te du fait do .n origine, annonce que d'après une lettre de Fez dont la date n'est pas indi, gué, des Européens, déguisés en Maures, ze se- raient réfugiée an consuls, franque, où 41s se trouveraient depuis Mois jours, sans pouvoir sor? tir, en raison de l'anarchie de la rue. 11. ville serait livrée au pillage et Ms Euro- péens craindraient que tee vivres ernmagas.és an commis, no sépnis.sent bien.t, il. semble que cette dépiebe on la lettre dont °Re parle la.nt allusion eux bréalts qui o5 cengn il y a déjà huit jours et qui go mut trouvés démentie. Nous la publions néanmoins sous '05 0,15 ex- nem. sraseives. .11 MEQUINEZ Rabat, 28 avrit. D'aprês le; dernieies informel°. de illégal- ., Aloulai.Zine. prof:mué sultan dans cette ville, est completsment isolé co son autorké s'arrête sus remparts de Méquinez, il a déjà choisi .mme- ministres Mobarned- Mekeuen et Sidiblumsn. Les Zemmours et les Eeni-Mbir ont encore pile de nombreux magwins dans la ville. LA MARCHE DE LA BARRA Tanger, 28 soif Sn mande de Faim, per tadiotélégramme, que le mou.ment a.ut de le mehalla chérifienne a commence hier. Les trot.. frescaises O marocaines gal par- .nt de l'Ouest, c....baise de ja çllsoilia, de Casablanca et dp Rabat so concentrent il Sal& le goum Maroealls a traverse hier le Boudgegfeg qui m jette dans l'AtinntMue 5 Rabat. La colonne volante commandée pax ineolond Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

CIAL(ISM.,images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1911/B315556101... · 2010-03-05 · santé, elle éco.mite pater Perrsee cm jdur c'en-rer ses ilet10 gosses et leur assurer auprés

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r811111ETONSENSATIONNEL

issez les teds

Nos Collaborateurs

tegeerlsortIgrr a" articles

Nos DIRECTE...LITS,. r

BEDOITCE 0.-E. PREVOT. Députés de Toulouse

"bluett11,1tIOL,,,,f SitA,L12 O.,140

Lé. RUELLE René HAWRANSecrétaires Régionaux

!MP*uns& an9. PèFigoths dut'.Bimane, (lep.cabre!. d,P-

"i*,"dl'utee,:Fardferrsonll''.

eeles (Jean).Oen. ,

gmeière, dép.ET DES CFRONIQI/ES DE

BIRDIES (Ensile), Questions agriml..NERQUE. Pour les rmleheurs.

ISEAUREPAIRE-FROMENT u roll Metkoun n.Docteur DELON. Causerie Médicale.DEUMIE, Agriculture pratique,FEDOR, Notes d'un pore épie.EggeOQ, lo Droit ouvrier.LLANA GUANO, Chronique espagnole.MARTY-ROLLAN. Mouvement syndiealisM.MESTRE FAITOUT. L'Art Méridional.NADAL. gués.. Universitaires.SAINGAIZE. Les Fonctionnaires.

Affaire PrivéeAu congrès sooialiste do Saisd-Quentinune question a surgi, qui n'était pas al'ordre du jour, mais qui soulèvera dansle parti et ailleurs bien des discussionset des controverses c'est la question seliMieiié

age,sus son refus de supprimer,pour les asornôniers dans

,erturatabliesetnebEs d'Etat, le dépu-télkrens a répondu e a La religion estaffaire privée. » Le congrès, étonné dela netteté de cette affirmation, un peunouvelle pour le socialisme français, adécidé que la question serait portée àl'ordre du jour du prochain congrès, enmémé temps que d'autres qui s'y natta-Client, comme celle de la Prune maçon-nerie.

La religion. affaire privée ? Cela veutdira que le parti socialiste n'a pas à semêler de questions religieuses, que de-vant des travailleurs il n'a pas d'autreproblème à poser que celui de la pro-priété, et qu'il doit us air pour but degrouper autour de son drapeau los tra-vailleurs de toutes les croyances.

Ainsi présentée, la question est tropsimple. Le socialisme, on tant que duc-tnine, ria pas à connaître des questionsreligieuses. Lo proMèrne social, tel qu'ilrésulte des travaux des maîtres du so-cialisme moderne, est indépendant desproblèmes religieux ou philosophiques.

1Mais le socialisme n'est pas seule-ment une spécula/ion de 1 esprit hu-main et, une ylle doseur. C'est aussiPour le présent, une force en mouvMent et un parti d'action. Comme tel, illiii est impossible de s'abstraire descirconstances et des faits.

Or. la religion est un fait social, dontil lui faut tenir bien compte dans sahâte de tous les jours, pour son recru-tement même.

Théoriquement un travailleur catho-lique doit être attiré par les théories so-cialistes autant qu'un libre penseur.

En fait, il n'en est pas ainsi. L'ouvrierIsSsé des croyances religieuses adhé-

>eta non pas seulement à la pensée,ouais au mouvement socialiste. Il entre-ra dans les cadres du parti; il militeraleur son émancipation. L'ouvrier ca-tholique, même s'il incline vers le sa-

alisnus sera retenu par ceux à qui la'leen donne prise sur son esprit aux-quels il obéit dans toutes les cuiconstan-

paves de la !vie. Pour tout dire.'.uttra. pour venir à nous, s'affran-is d'abord sinon de l'esprit religieux,

de la tutelle de l'Eglise.. est que l'Eglise n'est pas seulement

organisation religieuse. elle estclosant tout une organisation po-

La religion est affaire privée,os la cléricalisme est un parti.

ii DEglise aima cesse de jouerpolitique, le jour où elle aura

ses vraies politiques pour ser dans son domaine propre, le

1%9Ii il n'y aura plus de cléricaux»,,,,:syulement des catholiques, celipt, 1., question religieuse ne se po-

Ptast Mais beaucoup de cléricauxlos,t.M1undront qu'alors il n'y ahr.

Rendant, DEglise existe, et ellepd encore diriger ses fidèles dansbeigilems de citoyens. Elle les mi-

CIIte, ,te dans un parti elle les fait Nu-lors10 prend part aux luttes élec-

Pelez-,ous ce qu'il advint des carqui ont tenté de s'affranchir

o..bection sur le terrain politique.

QUATRIEME ANDEL' -4. No 854.

ADMINISTRATIONRHDApTION

38, l'ue RoquelaineTOULOUSE

Adsossiergebers

5Colonies fr 10." fr 20 Cr.

tisane 9 fr. 141e, 36 fr.

Guesde (Jules), depJean-Lorris.Mistral, dép.Poisson (E.).Reboul, dép.Ringuier, dép.Rognon, top.Ronger (11.), dép.Sabin, député.Sembat, dép.Sixte-Quouin, dép.Thomas (A.), dis.

ÉCHOS

nÉrtesne,, 10eR¢,IsleRUNÉEs-0121eNTALES,

SRON,CORRlie,e,CANTer,LOT,ES-GenONN0,

Ca)CIAL(ISM., ERS,LOT,EAUTES.PYRUNÉES,

AISDEs, epmesErs0IRONNE,nassemeknÉsers,

AUDE, aariatz,

TOOLOUSE

Ils ont éte désavoues d'abord et ceuxqui ne se sont pas soumis ont , té ins-pitoyabl ment hmsés.

S'imaginer quo les conskarvateurs, laplupart catholiques, quand ils mettentau service de l'Eglise leur puissance so-ciale, n'attendent rien en échange deleurs services. c'est se tromper grossiè-rement. Ce n'est pas pour conquérir leparadis que le grand patronat catholi-que soutient l'Eglise de ses ressourceset de son influence. C'est parce qu'ilattend d'elle en retour qu'elle prêcheaux travailleurs la patience et la rési-gnation.

Si la religion devait rester, pour noussocialistes, affaire de conscience, pure-ment privée, il nous faudrait renoncerà jamais à conquérir les ouyriarstholiques. Car aussi longtemps que desouvriers obéiront au lest d'ordre duprêtre, celui-ci, dans la pltpart des cas,les conduira au parti conservateur,c'est-à-dure à un parti foncièrement basCils aux revendications socialistes.

C'est bien ce qu'il a fait jusqu'ici.C'est ce qu'il continuera de faire, aussilongtemps qu'il y aura une hiérarchiecatholique, soumise aux lois de Rome etalliée des puissances de réaction.

Il nest pas possible, à l'heure où noussommes, de séparer la religion de lapolitique. Le parti socialiste est de tousle plus combattu; il sera peut,être, unjour prochain, le seul combattu par PE-glise. La tradition du socialisme fran-çais, foncièrement laïque et vigoureuse-ment anticlérical, est la seule que puis-se suivre notre parti dans un pays com-me le nôtre, où l'Eglise était hier en-core une puissance diEtat, où elle n'apas renoncé g le redevenir, où elle de-meure une force d, conservation so-ciale.

Le jour où elle rentrera dans ses tem-ples pour ne plus d'occuper que desfuries, non- priluirong voir. D'ici là...

La religion, affaire privée ? Que MM.les eléri, ux commencent !

Alexandre VARENNE,

LE DBOIT AD BAISEErnsri 5.041 le droit d'ernbraever sa femme

quand eelle-ol nkm a pas er0,4eTedie est la délicate queeaton que, récemment,

un juge de New.York eut à remua. au nom dela justice

C'était le, do.e moitié du tvop tendre MT Geor.ge Shahs qui traînait son époux devant les telburna. pour l'avoir embrassée malgré sa résisét.ee énergique. Cette eavesse a céfité choruspauvre eher mari, fur le juge, parti.n farouchedes droits de la femr., l'a condamné à els5cents shillings d'amende et, dans ime uomoneecloyère, lui D. intimé l'ordre de n eplus embrasser

Shute .us mn eDneealernent préalable.

310ETI000ES DE JADISM. do Collier publie dans an magakine des

ecum.. bien curieux sur tee s.d..o sumoyenéage.

D'abord sotte lettre de Pétrarque au papeClément VI -

« La notmeile de votre Sèvre m'a fait frisson-ner. Je tremble de voir votre nt roelfours en-terré Os médeeins qui ne sont lamais d'accord,

ares qu'il serait honteux pour .mlni qui parle leseeond de penser comme le premier... Ces megsieurs apprennent Icor métier à nos dépnselest à fors de tuer qugla se perfectionnentans l'art de guérir et ils eont le meula qui peu-

vent tuer impunément. nLes lignes qui précèdent date. du mois de

stars 1302...Déjà !qui remonte à l'an 1302. Armand de

Villeneuve, 4 profem.eur de médeeine n, écrit pour

Senposes qua «luise puiunirn sku com-prendre au cas de votre malade 1 Avancez avecassurance qu'il a une obstruction de foie. Maisayez bien soin d'employer le terme d' o obs-truetion n, parco que les nmlades ignorent.nér»lemdat ce qu'il signifie. Et il importe qu'Asl'ignorent !...

Le docteur Doyen vous dira que les chosesn'ont pas beaucoup changé depuis 1302.

'A TABLEM. et Mme 130»1ureau sont attablés devant ms

doutai. .01,01 sus.Ah ! fait un ami qui les vient ?Mirée, vo.

ne vous refusez rien...Et Bertureau

cher, en. ne am. arrive pas souvent.71 n'é.it pas entré une seule huître El drop.votre dernier° visite. .

%muai,es chronietues si vives,

SC.CIALALS-rm subst.-dieu, si in.dépendantes, qu'il doit au talent 00 010 couvé-mage de ses medleum artistes ei artisans mei-,

Notes d'up Porc-EpicQUe ES,PLIS, chere .Vadaniè r Que f ai

ptutat dur pour Mene Gaie( eit particutien etpour toutes les femmes en général

Çà Cest rrii, j'ai la f eimchise brutale, maisreconnaisses avec moi que j'ares quant. hiôih.de ne pas me montrer bien tem.. -

Les fade, pl. éloquents que tout cc Mir iôpourrais vous dire, sent 00 paru Me Mame, re-»on. Il lie se passe pas un crime, un sot, soi mé-fait quelconque Bue la police, en quête chi cou-pable, ne s'avise imméstggemeng de rechercher..,Ou femme I

Je sais, oui, je sais très bien que si contrairec'est une femme qui est inculpée... Que dites-voies e Alet parai., sous Mite, erreur, Madame...ce n'est pas an homme.., c'est deic,r hommes mie/a pouce devra rechercher !

Vous avec sur nous l'avantage du nombre,c'est tee.', mais ce n'est pas, en l'occurrence, unavantage moral, oh non !

Mais, passons, el revenons O nos moulasu sivous le permette:»

Aujourd'hui, d'ailleurs, je sue 0.4 disposé s.TOut faire plaisir et jr ne prononrerai qoce desparoles gai vous feront panier dune.

Evidemment c'est un peume sotie le dites, mais c'est aussi parée que deusmm journal je relire des ofoego 100 sont laid dl'honneur de la femme.

Ces drue histoires, comme toutes les histoiresgni se respectent, se p.sent à Pont.i

La prendire nous montre une pauvre renoueabandonnée par san mari arec trais enfants surles bras.

Force ita est de confier tes dei00 alités J l'As-sistance publique.

Alors pendant dot aid, elle teinte, Oie use sasanté, elle éco.mite pater Perrsee cm jdur c'en-rer ses ilet10 gosses et leur assurer auprés d'ellenon pas l'aisance, car on ne s'enrichit pso enrant l'aiguille. mais (ont au moins le nécessaire.L'administration est revêche, elle troteve chaquejour im nouveau prétexte amie se refuser à ren-dre les bambins qu'on 1001 e.fiés I aies aitendresse maternelle ne se lasse pas. Celle mèreveut ors gosses, elle a fait t.s les sacrificesqu'on lui a imposés, elle n'a recalé devant mi-enne privalien, elle s'est soumise à tous les ca-prices de l'administration.... elle vient enfin deconter ses peines aux journarsg et vous terre0qu'elle aura bientôt gain do 00005e,

Ce même espoir n'est pas réservé a Mem}Varié.

El cependant combien noble, combien gronde,combien héroigem est la conduite se t'épouse dece policier indidne qui pour suivre une gredineavait abandonné si famille, rterrit renie ses en-fards et n'avait pas hésité O sacrifier son Aria-ne., sa carriête, »on avenir.

Mme Warié n'obéissant qu'ô sort devoir el ou-bliant toute sa rancune, est allé voir son marila prison pour Ici apporter des paroles de conso-lation.

Cette femme a eu la tin geste stadime et jemils plein d'admiration pour ectle phrase si sim-ple, si maiilrelle et pourtant si profonde qu'elledit au juge d'Instruction: La j.lice pourraitbien le pardon.r, puisque m. l'ai Purdébaér

Ale! madame. si toutes les _familles 'etigfin-Noient d celles-fa !...

Mals ma, je répète ! le dis que st.loutes.lesfermes avaient le sentiment de leur devoir etde leur digndé, si elles savaient trade rimpor-temee du rôle qui Nur est désotti, ah 11 y auraitpose sûr moins de misère sur la terre.

Que dites-votts encore e... Ale, oui je ceuxhien promettre de ne pas récidiver mais je vouspréviens qu'el la mcmihre occasion_ le pore-épie ce reniettra en boule I

FEDOR.

Le crachatLes unes après les autres, en termes

plus ou moins insolents, les CoMpa-gnies de chemins de fer font connaîtreau gouvernement de la République leurrefus de siférer au désir de la Chambreet du Ministre des Travaux publics. Ré-voqués furent les oheminots, révoquésils resteront u tel est le bon plaisir desCompagnies, en révolte contre le pou-voir et contre les délégués parlementai-res de la nation. Au gouvernement et isla nation de répondre !

Les arguments qu'a donnés le prési-dent du Conseil d'administration duMidi ne tiennent pas. Choisir parmi lesrévoqués, dit-il, et exclure les plus agi-tés, ce Serait s'exposer au reproche demanuvre antisyndicale. Notons d'a-bord qu'à 'entendre M. Teissier, toutcheminot qui revendique un salairemeilleur est un agité et qu'un cheminotqui se syndique mérité à un plus hautdegré el qualificatif insultant. Com-ment, d'ailleurs, la Compagnie pour-rait-elle faire un choix parmi les révo-qués, puisqu'aucun 'acte de sabotagen'a été commis sur le réseau, puisqu'au-cune excitation au sabotage n.y a Étéproférée, puisque l'on n'a pu reprocheraux cheminots révoqués que le l'ait d'a-voir fait grève, comme des centaines etdes centaines de leurs camarades. LaCompagnie n'aurait donc pas à faire unchoix u après » puisqu'elle l'avait faita avant ». Elle ne risquerait pas d'en-courir le reproche d'antasyndicalisme,puisque ce reproche, elle l'a encourudéjà, tout entier et volontairement, parhaMe de l'organisation ouvrière, aurnoment mit/ne où elle a jeté à la porteles hommes de confiance du 'syndicatnational et de la fédération des méca-niciens.

La réintégration, a-t-on dit encoreaux grands actionnaires de la Compa-gnie du Midi, constituerait un desaveauhumiliant et injustifiable pour le per-sonnel dirigeant, consacrerait le triom-phe des élément, perturbateurs et ré-volutionnaires, découragerait, enfin, lesagents fidèles.

Ce ne sont là qu'affirmations sansfondement. Si j'en crois, en effet, desrenseignements sitirs, le personnel diri-geant, et notamment les chefs et sous-chefs de gare ou de dépôt, souhaite, parhurnande et dans l'intérêt quotidien duserome, le retour figs révoqués. De leurcôté. les agents en exercice désirentpassionnément ce retour, ainsi qu'entémoigne la pif lion dont J'aurais puénuméres les signatures devant la

Chambre et que j'ai encore entre lesmains. Ceux quo ne Sirent pas grèvesont eut-être phis ardents encore filleles autres à appeler le réintégration deeurs camarades ! Quant au trsemPloo

des éléments perturbateurs et révolu-tionnaires, n011s ferons observer à lahautaine Compagnie que, si elle renon-çait à maintenir dans la misère quoiqu'elle dise du prétendu semeurs qu'elleleur a porté les cheminots qui ontusé de leur droit légal de syndiqués, iln'y aurait qu'un osiinqueur, et un seulla loi syndicale de 1884. Los perturba-trice, sans doute, et loi révolutionnaire !Mais la Compagnie du Midi, ivre del'or de l'Etat. se prétend-elle par ha-sard supérieure à la loi ? Libre à elle !

Mais aussi gare à elle ! La loi, un jour,la vaincra.

IComcients de notre devoir patrioti-que ! Tel est le cm honteux que pousse,au cur de son plaidoyer, l'inhumaineet brutale Compagnie. Nous demandonspitié pour la noble figure d, la patriefrancaise qui ne mérite pas d'être à cepoint avilie par la finance du rail. Lepublie ne sem pas dupe. Il sait que lapatrie n*fst ici qu'un paravent hypo-critement utilisé pour dissimuler dessentiments de morgue et de haine ; ilne souffrira pas que la patrie, refréna,O des proportions de comptoir, soitsouillée par ces contacts impurs.

Et maintenant, que dira l'opinion,que fera le gouvernement, que déciderala Chambre ? Tous trois viennent d êtredésavoués et bafoués par les Compa-gnies. Devant cet affront qui leur vientde leurs obligés, comment réagiront-ils ? Nous le saurons bientôt. Pour l'ac-tion énergique, le gouvernement et laChambre trouveront un encouragementdans les vux des Conseils généraux etdans l'ordre du jour récent du Comitécentral du Parti radical qui vient, aprèsle Parti socialiste, d'engager son hon-neur sur la question des reintkgralions.Nous ne sommes, nous siscialisbes, qu'u-ne minorité. !Mais, vous nous avez ditcent fois, vous autres radicaux, quevous étiez le parti dominant, à la Cham-bre et dans le pays. Nous allons voir ceque vous savez faire et ce que va fai-re votre gouvernement. Gouvernement» falot », 'disaient. hier, les » Débats »,organe des Compagnies. Parti radicalet gouvernement radical relésverant-ilSl'insulte ?

Ou essuieront-ils le crachat 2Gabriel-Ellen PREVOT.

L'INTERNATIONALE

Lettre d'AutricheVienne, 28 avril.

Il ne sera peut-être pas superflu, pourVinteingence des prochaines élections auReichsrat, de rappeler brièvement les traitsprincipaux du régir-ne électoral en Autri-one.

NO. avons, depuis 1907, le suffrage uni-versel ; le v éote est gal, direct et secret.Est électeur tout citiomn autrichien dusexe masculin, âgé de PI a. au moine, ré-sidant .dans une mime commune depuis une00000 001 moins ; est Rigide tout électeurdeé dais amies 30 ans.

Le voie est uninominal, c'est-à-dire quelo pays est divise en circonscriptions élec-torales .dont chemine nomme un sen/ député,'Seuls /es districts ruraux de la San de fontexception à cette régie, pour des raisonsexpliquées pl. loin.

Les frontières. de .differents diatricts sontarrêtés d'après un système spécial, tenantsurtout compte de la composition nationaleou linguistique de la population. Il y a.en Autriche, huit nationantés légalementreeonnues. Il s'agissait de découper des cir-conscriptions autant que possible unilin-gues ou au moisu à tris forte majoritéd'une 'nationalité déterminée. On a fariné,de celte facon, des rirconscriptiorm alle-mandes, tchèques, eue.

nes 006 siiges de députés sont répartiscomme suit b Circonseriptions allemandes,233 ; tchiques, 107, polonai.s un; ruine-nes, 33 ; shivines, 21 ; serboicroates 13italiennes, 19 ; roumaines, 5.

Pour des raisons linguistiques., également,on s'est efforcé do séparer nettement leseireonseriptions urbainei des- circonscrip-tions rurales, les villesnonstituant fréquem-ment des ilots entourés, su point de vuelangue, dune mer hétérogène. Inutiff da-jouter que le principe de l'égalité de diffé-rentes langues na guère été observé et queo

'^émetteeffilerai°, a largement taro-

risecertaines .tionalités au. détritnent d'au-tres, occupant dans /a hiérarchie tradition-nelle, un rang Mférieur. Dans ,cet ordre di-dées, on a fréquemment cosstituk en cir-conscription électorale .plusieuro lots de ter-ritoire non adjacents, lii 0e delen dondéputé des minorités appartenant 300e na-tionalité relativement privsligiée.

11 y a deux exceptiens importantes à eeSystème général que nous 'venons suesqui's-ser 1 ce sont le e cadastre national « en Mo-ravie et les circonscriptions O deux mandatsen Galieie.

En Moravie, le mélange des populationsallemande al trhaque est inextricable,tel degré qu'il eût été imprisible de divi-ser le territoire en circonscriptions tant soitpeu honiogines. On s'est, donc tiré d'affairede la façon suivante Chaque citoyen y esttenu ,d'adherer, par une -déclaration sPéaiala

rafune .des deux nationalités c'est ne qu'onannelle le « callastrdnationat Le si-seaudes circonseraptions éleeloraffs y est dou-ble ; il y a un réseau tchèque -comportant30 circonscription. et un réseau allemandterritorialement superposé à Foutre, avec19 circonscriptions. Il y a don', en quelquesorte, deux Moravie Clet:tonal. ; 50e Mora-vie alleMande et une Moravie .haque.

En Galicie, où le .mélange ,des nationalitéspolonaise _et rutlanno est, surtout dam lm

campagnes et dans la nantie orientaff dupays, trop intime pour en permettre uneseparatiion territoriale, on a co.titué,côté des 34 eirconstiriptions urbaines natio-n-affinent henegenes, 36 circonscriptions ru-rales disant chacune deux députés. Cha-cune de ces circonscriptions est évidemmentdeux fois (au moine) phis grande qu'unecirconscription uninominale. On a voulu,P' cette façon, instituer une socle de repré-sentation des minorités. Lq système d'élec-tion y est trop nomplexe peur qu'il vaillela peine de le relater ffi en détail.

La social démocratie allemande d'Autri-che vient de lancer un manifeste électoralet de nommer ses candidats dam plus de200 circonscriptions. Le manifesie commencepar caractériser les deux principaux partisennemis de la social dée.ratie. Le parti« socialiste chrétien », hier eneore si puis-sant, .dovenu parti gouvernementat-a cesséd'itre anticapilaliste et sert ouvertement lesintérêts des requins du capitalisme et dela finance. Les « libéraux alffmandsabandonné leur phraséologie antioléricale etsoutiennent de toutes leurs forces le minis-tère amhicié.dcal de Pin.struction publique.Tous deux ne forment en réalité qu'un seulparti dont les antagonismes internes sont,dominét par la sujétion aux détenteurs dupouvoir et par la haine du prolétariat. Lemanifeste dénonce ensuite le militarisme etles .uveaux impnts qui constituent, en réa-lité, le sent programme du gOuvernement etdee partis bourgeois qui le soutiennent, etdéveloppe les revendications sociales de lasocial démocratie, les mesures contre le ren-chérissement, des denrées et des loyers, lesassurances sociales, la législation ouvrière.Il oppose b a lutte nationale, prÔnee commedérivatif, par les ennemis du proletaxiat,la lutte des classes basée sur une autonomienationale. Enfin, dans l'ordre politique, ildemande la fortification de la démocratie,l'abrogation du paragsmphe 14, l'élargisse-ment des droits du Parlement vis-a-vis dola .couronne et de in bureaucratie, l'éman-cipation de l'enseignement du jury erical.

'La liste des candidata comprend les nomsPu' presque tous les députés sortants, parmilesquels les chefs connus du parti. Notons,parmi les candidatures nouvelles, celles duramera. Fritz Austerlitz, rédacteur enchef de l' « Arbeiter-Zeitung u, dans la eir-ron.ription Léopolkl-Stadt I (Vienne) ainsique 00110 de Ludo Hartmann, privai doeentd'histoire (chargé de cours) à l'Universitéimpériale et royale, de Vienne.

GUY.

Vient de paradre id est, en vente à la Librairiede l'Humanité

L'ARMÉE NOUVELLEL'organisation assistions de la France

Par Jean MURESfort volume de 700 pages. franm 3 fr. 010.

EN PLEIN DAMS JjC011La Mabilisatioa des Tropes continue

L'Orage qui CouveLes nouvelle. du Maroc sont encore °M-

eures et troubles.Obole sentitnent que toutes ffs corres-

pondances de lii-bas vont truquées; il sescurieux dans quelques semaines, quand onpourra savoir un peu ce qui s'est passé decomparer la réalité aux récits qui mainte-nant nous sont faits. Co qui est certes, c'estque le projet connu d'expédition françaiseprovoque dans le,s tribus marocaines SM re-doublement, d'agitation.

Ce qui est certain aussi, c'est que de re-doutables complications dipllmoliquessepréparent. Les journaux officieux allemandsOnt des façons b la fois éniginatiqUes et 100-niques. Ils disent en substance aux Panger-manistes : Pourquoi donc nous émouvoir ?Le Maroc ne s'avale pas d'un seul trait. Etnous au.so tonjouis le temps de rappeler ticeux qui l'oublieraient, qu'il y a encore untraité d'Algésiras.

La marche sur Fez eist pleine d'imprévus.L'occupation de Fez sera pleine d'imprévu.

Jean J'AIMES.

De nouveau, /es informations venues deTanger nous opportent la Mite peminliste.

D'après une dépéChe de l'agence Havas qui,il ed, virai, n'est pan confirmée, le commas,dant Brémond serait must. Fez serait enpleine anancide, la Hata. est en marelle.

Qu'y a-t-il de vrai dnns tent ce brelan denouvelles pessimistes ? 11 est, difficile de ledire tant elles semblent se rattacher b lacampagne alarmiste systématique poursui-vie depuis des années par ceux qui ont on s-101à brouiller les cartes.

Ce qui eut certain, c'est que par la cam-pagne criminelle de la France et l'aveugle-ment du gouvernement, ça sent la poudre.Tous Issu jours la mobilisation des Jamie. sepoursuit, aux chants de la « Marseillaise

Ce qui est certain, c'est quo l'Ealsaigie eim-mence à montrer Ira dente et que nous voiciengagés dans une aetion guerrière dont per-sonne ne prévoit l'issue et dont les pauvresdiableS supporteront les déboires et le, frais.

LA MOBILISATION SE POURSUITPerpignan. 28 avril.

La sixième section de mitre... an 24e co-lonial partira pour le Maroc dès mile% auracomplété le nombre de mulets nécessaires sonunité.

Plusieurs musiciens loess colonial sont partispour Toulon où ils seront ver.. .à la f.farerégiment de marche du Maroc.

Marseille, 28 avril.Ce emtin, sont arrives par train epéxial. à la

gare d'Are., trois compagnies des flo ég 23ecoloniaux qui tenaient garMmu à Paris. En at-Mndant l'embarquement, ces soldats ont lia cou-dnits aux casernent dois ciele-Cha,ité qu'ils ontquittée cet après-midi, à tces hmuss, pour s'em-barquer sur le Thibet, Sois été .lené dans /ebassin National.

Le trajet dn.g.rtim au nid s'et fait muais

SAMEDI 29 AVRIL 1911

Le Guêpier Marocain

ÉDIT-ions RÉsiotries

Li LE ÉS nvms Witt

Cain Toue1a1.011Si l'on meurt avant l'âge de la retraits?La veuve et les orphelins de Ou osa do Iti ana

reçoivent une allocation en nus de déces. 1Mn.stIr6 meurt avant Tags de 01 ans. L'allocutioncas de desis varie seffn le nombre deertar.

Quand un ouvrier per, de famille meurt avantd'avoir atteint l'age de bombes-ta, sa veuve re-çoit

150 trams si elle na pas d'ell3011L accueil.mont vivant.

000 franes si ellea un enfant de moi. del16 ans.

280 frimes si elle a deux enfants de moi. dm16 am.

300 francs ai elle a trois entants ou davantage.Quant une ouvrière, mese d, familM .msuet

avant d'avoir attein0 1.000 00 la retraitez .n ventreçoit /es mémés aliocaitons de /30 à 050 tram.,au nom dm en(ants.

(Seuls lee subies actuellemed vivants, et ageeOn mmns de 14 ans au moment du déc.: Mi-ment en ligne de compte?.

L'allocation en cas de décès est versée dusles trois premiers mois. au KM00 duo enfants.Par conséquent si l'assuré nues uniet libre (et0 reounan ses mitants naturels) c'est sa co*5-pagne. niera et tutrice des entants, qui, toisai.t'allocation. Pour profiter de l'assurance en tes de decês

In some condition eat que raseur. drieedie soli àjour des trois einquiétnsc de ses cotisations de-puis le 3 jui/let 1511.

A partir de file de 01 ans, 0555500 05 Eau-vrière peut choisir de fmrs ses versements a ca-pital aliéné ou à capital réserve.

Par versement à capital aliéné, la penduo encas de survie 0 65 ans est pus forte, mais l'ai-location aux héritiers en cas de deeis avine03 ans est pins faible.

Par versements à rapital réservé, la pensionde vieille.se cd un peu plus faible, mais en oasde décès avent l'âge de 65 am, tes versements del'assuré sont restitués inhigrakinent d ses héri-tiers et viennent gajoults. à 15.urencesdécesrPour les professions où l'on ne vit pas vieux

Chaque assurê rocou tous les as un relire deson compte lui indiquant b quel chiffre s'élèveSomma produite 0050m p05105 versementsdtljtk effectues.

A partir du moment sa ce chiffre atteint 180francs de rente. rassois! n ta latitude dafterterde.rmad le. versement. °milliers et patronauxO am assurance-décès.

Supposons, par exenside, un ouvrier âgé de(dosons 3 juillet prochain A 00 am sa retraiteéveistuelle Il 65 an. :capital aliéné) g-Siégera197 truies.

Eslir.nt son mitier trop dur pour lui per-mettre de vivre 00,50,1'0 51) MIS, il pourra désar-mais fere verser e. 18 ter par au mnunc as-surance-dl-dg, et, Mil meurt avant 88 a., seshéritiers toughero. El0 francs en plus de gaf-location 0ee00 habit... Si donc il lalsse uneyens. et deux enfants. La famille du 000010 (55,

150 pl. 640 égale 820 fra,.. -

ANDRE BROCKERE.JACQI1ES DREYFUS.

Avant le 01.15 t. les eelletalle fumet0, généra .l nul/y, comm-

entdorlfte eorps d'année.Le Thibet fera d:remettess route sur Cam-

bh.e.a. Le eolonel Gouraud ée arrivé ce matinà neuf heures et dergle. /I e'est. armer, retduà la eneerne Or is Vieille-al:mité peur prap..esla réception de ses hommes.

ligniéréthie a été ulf rété pour tremper-Mn deDakar à Casebbanes 1,800 tirailleurs sénégalais.

Casablanca. 28 avril.Les transports Moulouya et Aqudiene ont opéré

c.to neit Io débarquement des Mmes et dumatériel. Ces oprations s'effectuent dans un osdos parfait et 05500 050 grande célérité.

BRUIT DE LDAIIMC°07.1MAN.DANT BREMOND

Paris, 28 avril.them. Havas eommuniatte en faisant lee

plus expresses rékeges, dépfehe suivante,Tangev, 28 -

Le bruit court dans bina an ad estimpostible do .adriner, que le .mé.ndent Dré.moud scrait mort. »

D'autre part, an miniecre dee affaires étran.gères, on n'a encolle reçu ronfirmation eettemort.

Le frère du eommandant .t prendre desrrouvellee an ministère. M. Cruppi y...é enlui déclarant que les derni&mie dépaehes rem.Ou Mar. b,i les.ient au eontraire espérer 'que-ls. méhalla do OOnuenndrelt Rrémend était en-core concentrée à une vingtaine da kilomètres 410Fee.

LA SITUATION st FEZParis, 28 arrdt

Une dépEllo de Ceuta. 27 avril, déjà Empes-te du fait do .n origine, annonce que d'aprèsune lettre de Fez dont la date n'est pas indi,gué, des Européens, déguisés en Maures, ze se-raient réfugiée an consuls, franque, où 41s setrouveraient depuis Mois jours, sans pouvoir sor?tir, en raison de l'anarchie de la rue.

11. ville serait livrée au pillage et Ms Euro-péens craindraient que tee vivres ernmagas.ésan commis, no sépnis.sent bien.t, il. sembleque cette dépiebe on la lettre dont °Re parlela.nt allusion eux bréalts qui o5 cengn il y adéjà huit jours et qui go mut trouvés démentie.Nous la publions néanmoins sous '05 0,15 ex-nem. sraseives.

.11 MEQUINEZ

Rabat, 28 avrit.D'aprês le; dernieies informel°. de illégal-., Aloulai.Zine. prof:mué sultan dans cette ville,est completsment isolé co son autorké s'arrêtesus remparts de Méquinez,

il a déjà choisi .mme- ministres Mobarned-Mekeuen et Sidiblumsn.

Les Zemmours et les Eeni-Mbir ont encorepile de nombreux magwins dans la ville.LA MARCHE DE LA BARRA

Tanger, 28 soifSn mande de Faim, per tadiotélégramme, quele mou.ment a.ut de le mehalla chérifiennea commence hier.

Les trot.. frescaisesO marocaines gal par-.nt de l'Ouest, c....baise de ja çllsoilia, deCasablanca et dp Rabat so concentrent il Sal& legoum Maroealls a traverse hier le Boudgegfegqui m jette dans l'AtinntMue 5 Rabat.

La colonne volante commandée pax ineolond

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Page 2: CIAL(ISM.,images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1911/B315556101... · 2010-03-05 · santé, elle éco.mite pater Perrsee cm jdur c'en-rer ses ilet10 gosses et leur assurer auprés

leut s e-O capS. e jeter a !nee ils ut.sel, 1. .Rena, peenmpe Se ('e

eulecen le in insaateSP Snaa Sp55 la. 5leePe eu tende Owi

nletnete eesepenlaen pIn, S. Mu,

le genu.8,11e5 0ta sa djteet,,u, 0.oedE',

saehnn de t Enunipa qal ttin u peetaètt Clapel'es. Lu decn,è,n, 1 SpI nets

S',, et. de la. ',& euly5:s rit.!,,, louiS'fltnbthie, k &eep0ec lu Sud Set, etsont 0,5 ide!t in, Set i)s Aies, ii des (t,e-

(sel n'etleuS t t-u t t.0 SSjtUDe ISOlaIt. Le tapireiue llstoj et tetfldeneut Guetta, ,uee ,lOuse .ini, peiuwleee, tonetet.es Lu 1Iu,On On In Çbenaln. ueupeed. Sat.Iitetetiuee5 eau' le .'se.meedeaeet dl'>lm,ue ,t' t" Itt L. 'jodel. 'n uoiOu,dt

0(51ERTe,,get,eld autO.

Ousueusiqil'In,nceej ufe,e,t,talle Sape Iea,dcu Os ('u SOOSILO5sL uStjtl, h M lao&uj'ee.

01 etflMttd qteieglmo',tlafeinIe-nslsrLeClteb '5, le n,,

3MS MENSES ESPAGNOLESfltsaees, en 5e.l

Ce aLceOs de cuute qe 'San gonade ennuiS'iLuee ligne do,, seMa tille; , Etpanen s

-ewiy5 ses eulres eu,, astsbiee des fine-AeSee,ou et, ,'ee de lst,e Semt,adne, meyen'1. SuCcIn elipennes, Ses sgeatale'

pnni e. dr&i Ide ae,aSu 58'e ei',,st eese'he Teineuse.

Madret. tel tielltnlet set-Lute h, ts ELIGeSe,

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La e ScIe Fente Det,nca de Lien,,,', geu-t'trntSeteluel

tes Peinas, I,, etaiese net cMetu,ene, eSt dIe , test',tetaiel 8511014M indIc Set psi la cuitS 504.'

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ici, tel!, eSt t al*iiou. le, e'pense, r'lIeue,- 'ut 51 de lune', e,,. ,pi"l eueti,aatu

flans In'. AlLOUAI, 'G 3111 P,,

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Ls Concedisons Coofflaes'tiSse e.,,,, u'lr L'.,: et.,',,. ,I'pUi" le J

Sunsiuui. s l,,fctir,i .5. use,, ,len,,i 15,10,1' ItT'si .MneIieltee, de, u retint les i,(lnieOrat, letste,n'ee,,te,,oul s,le let e,,eGUese tien, leN1OellnSsel, e.e,teeptfl, Oc 55,15e 1,0 5e TeISee estOttlsl

ni eo,'e-de as -resalue en det pan-lnnweIeuSe,'St5ssni11ettujuç5et eesnt,I ilsieret la (NetJ,'

l'"i'l etererqnl 45 505555W tentest,lica'uete' te pncn'gtaret

LA LUTTSldip

L Premier MaiLu conseil eadi,a;'eu'alj,le 4. J'eeit,

lé. Deuesus, Sema IOn,! hIt,, duea I' t Rt,p-PLI , uu 0es» eeetr "O e! à ta l'r,'te,tirte tep Ito,' Or ,!pord,e Os u s,, grued "O!,! etc,b0'»l:trnt un prelel le muellrelu l,eo IPC,I,

e'. pn'Olelututiroek te, les lIp'eO1u't de s

Seeue lu r tenolen ton Penceler Mu,. 0e u'tueraI itue 'sue' ne lOse,aillenci eegu'tiudntIn Pu,ln d'ansi, 'oeespeln que ee,l ce dingOp,t ,uot . :us..ml'r,ue (elle eteneuea<ne',j qu'Ilstie,,u,et,O r: eenquérie le na55emea,er lsb*ulfao, nUIt'!' '151cc'. Il ne veuteei pso dOci u!.50; la 1,5,1151W. lie et eteinat pante livrerO (oui iC, rneo,lre', SI nie a'eelesndnul gtue -

eneIi'tisiur,,'fl'i de quele4Ué, Slaurd,s n'aA qeItiqut ireiptiletit.

11e et,l rhOjI, 905 se tueeeesutf*e. rie vantesetps,ttl,beee, ni, lIC pctueeet, St.setseetass Soiiiu'.Ir. ee,aine, 'o eriesIr SssS teéUlvIte

CtC8,!. in tienalalinfl, ils ese venlesl u!lette, fi. icdiep'sérr (t pubicu t est neetaaee.mmi,!! leur Icppaeaietsil 5ue nIe lei nu icIje'Iri Un etgtC5cee",it 8e! 5 rednutee, ils se.laie-nt. l,'t pretniuen à nnnd'eflee es anSeS.11usnp'a tel nus lei dSlail dcl leispomilloen se.OctrOI, pue e.IX. fln entA edeolus à, SCapididu rue sellon 1,1111 roOlaen lu-eubie, lentSPtdlilv,iilO (fsiltideIll le, lui1 nu prdeildit.h, le déeIlrtnI, 00 iveS en. acrurnacé tees'5,,lIle 0 pIcotent la rneeeeesbllll6 dO ointe-llii,ie Iuuu,eldceee ni CI, nt4ecallt(uS pie eus.Il-e e,re nos ,scllltqzle do sillonne gIllette-rntei,l n ev d'eIlelIUetllt pehleiPl'e, et 41511cd StU 0899011e 1 61,110 iSpel.

flot' e'., ,'&etlli!dtte. ptntelnei le miel'.''t-cv p'eiSml 'rail-il pat l'tt'ai !tq'sl d'utc

0m' j" r'-'''-" e I Lu pdeitSi'oe mieaht'iis.ne pé-telnreic 58,le ildulmelea

'ne n 11 'eec u n,. pI CrOIS «tIsa plut 41M1na '-'i''' piceple Sa PartI Mcli fier d'a-nnie p-u leed,'tte etc (eter et feraI te pIn-cdl 405 e,,llnl,lse,e cnn', 40e 4e e,l,ucabl,sbepuerre e!. dec nOce de ,lrSt,eu'ilie prileiteet t,nuvatl' 5,5151 etilvree,i,n ci deIasl,uef etotceinte,. PiileiI,,ei, Pl1,eulur le, Se'e,li,'ele 45'elsetri surs lteol_ ldnt 11101,11 peelR'(lt e!l'esprIt dl 151(4 eegvaisalies qui r',dteeue' marelle, ut pa, est pi-lier de bIenS lei

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'i'e,jn lin iI*tii li' ton! strot,l,'' I'. y sqeeolqUet esmeinre s lutter le titen,i'rn 50,5,Inc je, M. IAsrer,t coutre Il maeiinslai,ee de,9501e. 0M ieeenlle. JntttSrnt qu'ID eertui. ni,.thon k ,lemn,eile'r spIn Il t'itte etIvl'titniou,n,r nlitlrmrr etat vittrek te-t rOvvOesSI-ni'r'. tee, tuile'. «e,, rail,, eè'trtleni

Irnlrdnn,tnl Mur tOlS qtie uceuetersle,et necpni,i,qlir de Ildunu' ,i',ldetelielisc.t (Ire'001510cc. Plus I eeIiner c5sliure dit peu15.ReinS poli et. ttlttlnict duets ii,Ie ddvlOersli"

pieae ltd Clearetu 4e rrrIilnl,e svc,ltlne, le p0,,,'InI,',,, ni.dei!ta cl ietélldoleicn cati diaeietnét'.

De otIe,l el:eil rnlu,e'ea'l.in au, grevai!.leurs erue 5 Republiqule le micro dl' ditern nasse qut!: (rsu,e,eli-u 'CL mulet cl dur; -cielS eu',senl pins 1" leinedelea et plu. dr.'adectees 1,

Jenn JAURES.

Une LttrtIe Fa&teIFS sehNI"PuîuTlOe,r IPTEIIDITES

,lu"k,ounc'apeni0

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PARtI 000IALIRTO (S, P, I. O.)

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i.e ,e,rélmI,edte. »IISRSEILSI, P, SENI1OIESF,

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Dans e DâtimentPI Uéeini-e

D ' enlrtintrt'ïeO,l,'Oi pdt"JierBlote,'e, ut2 C' Il,

la' ueu5eeelb Suri! ter tontine: Me, -u l-s I,positiOn 'le (401, lIs eenlreperfletlrn à le nette-,rifeniue,- tIc Setiers eu li. le tn,.p:tfet u

vi,,! unut,. epir nette le ddpnelrile.51e-, cunlella Ordre nlnr 'III, let Psi O,,'

iq001uitel "lSe dtetae,.l,t ole' ru,- ip,s plei_,'m,tr' Iôrtqu lIe net nOmMa dteleal,le' Ir'Pelotas 5e village afairr le leek.o,eI. t tetoSel!!' hi rIes'et'en leu envoie, et,, ?tn!ee. quilescdilI'rlei ka'tueliteneit. eSts ente puictelo,

L'n ,101tpsl III.. 4s icymdkaI 1er eeiPspee',ee,,ee 0M purroneu 'In!' la l"j- clan de .1'

CrLlO° pc Ii" 10-' ,i!isnen eeni,'oe -lei', liait (tu' e'clt.'p, '0 nlut!! etve'emm I l,rn pImente des cillngen q,Ii,'u,mm uee lot. "ri, le bel,ot inclure 40 pr5e&,

-lie tIr, o,,,'lie', s h ldprlqUe cil lettes calcine(envale! In plus et, e, ra peiael tise bat-am'llapuoe 'le In tilts lb sen! p-su b rue'50810 0 beur suite, cml 040,10v 's ra t's

le'. etelerll, inlétret,'i dt lente do-,

"taie. d,,em do 'rISc au-cellule qui ailla0t,'l,il1g5etllmeee5t, b S hnuese. n,,, r

,'epit,lsei cette alt-1154, et sautent ruuteltnSut que lic le,'e 50es teirar,pbe,-a, lie e!'

l',v,les,llu relire' peienaalt,Le Gemito,

LES MENIIIRIERSDe san'S e*roepaaduel 11*eJeec u

l,i40t, .55 sertI,'NdeeesOe eu

uitlelnne 1 Ootas?m,l,L-neaiee'itkii S - .0011115 Ce qui mou .,n n',

dIesel 5G In lite" 'i' 1M,'. 01 ,,elvltelltu e-lan

rusant u 555 te dlaà4ettela pa'eeu S dasan la

'r tel o,-ceugsnteutn udiuldunlr.n iIgS, en noua ue,'su,t dru eau,!!,

I,'.. Ire p,' t's,uIla eo,,uom, I' p utot de e o',i5utl,0 }Itieis1,e Un este, O' te .r'"' u le

r,uO'ItearC.e Sou t,: r,diS et de I nie notre 1'claTgtIl,t'Unet, t r-p,mTlwir ta u,o,ail l'etc Innoue', O. :tui U e ulr,Ofl pI ,tt 'n'ont.ored,o,, ,1,,e 1m meS, f5,1 pulrtmu ',rn0000-upuul 'Il mIs's hesluaire ,i,umrujulen

h'a,,ern'le.e b lIse aulouvn idiot lenunalle Det r,' u,iu lu tente,',. d,sttu,ult, set,! U,,tutte dcuilre nyeilttlt tu, noue peut1, tuj le evllLp,5,t O 0' euma'o '5litta !arn,e5aasltre quo

v,ude"e lIj,, ,,Im,eI,,et,eu,uuneuaeo,ec,,nain pse 40e t. tu't',Oe doue vous autO, I - t,!,.

ru,'tn'Ose'de', e'nun'-" 'ucelui sain.

Lu Oe,uullnesla,t,

P. Csdlu'eeIrES ORAIGPENTIEBS 15E CASTRES

Oie euler eoqeOM!,ur'lo,l l,nelumdl,r:Slsnlenu, pu uue,b

4o, It toilez, ut ris eeelU P5 neapOnvsSIliISs.

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I e'rcin'tSei, eu le tiete,Inl.'S pesedeal aeenj-Mec', tIc Set ,eee,tn. tdltlasoint ai Subeuslte-sain aIse eea 0411,1851011 dus SysSien, o,Ie'ttnr alusle al hsOras 55Cc pie anus site CIel le 40surIt ':1501,- i l'eSnl d'erflvae sac nattera4519e!, put,t etc tSlcMeesnl 4' ,,tlui3O, ti dessaiglireatsen cul eeTnIliIoeS dc ttsn,dleeumel,t'osa uOu(ssu traie, qme colt» ,Iamonoda sied, 50notes p,oI, pelle en ne,leiuetu,,'o. 'lei, In ee,u«le n'n, ripsttee 4e celer 1510' ulue,St'O,,,ereniteu,biç4o un nassselsie,e suIte e'Ieillo rustre, suenfui

01001es 5401er tISLe O'seedlsiee tOnIrsI,

1 lises..1 :111' telles' "ote mùtee'e. le 4 Ive,!, do

tylelleal palrunil lurapo'sc suivanteldennleer tael, Peeetid!et Ildirleal Os

Sfit'i tel dia snlelesru d,n bUt,meII,E, ro. 'OtS à voire i. ner sien lu Outil lourant.

le lOe'ullrun dia Eiie'e-pmennuu do r-eaeaese ilee,eeoe publirt un Gesses, e l'bunepse dere,cn

r 5111 u dtengeg In' neuemiealoe penrte-'.' r i-itt,. dsleeUlian le mardi Il »nti!, nt OesTre 0e qaeav d,c nue, netS PeIne, telle ll,eier lia e, litent Sre,lt, II ne,te. taIn neasedo quei,'rn tels SPOt, no clatie CIre emuipnsaen'dCeerime eeealletd aeleellcme.ael Snna I, btli-

t'euIlle, agr4an', 'et.Plis. il Seesiut du EeIa-speaaeunn

ni pus "ede,Le Pndai'Anel o Gsnbi,easet

.5. 'elle ,-CpoIlee, le Cilldleel tee 0051115e1111e rllueeut ecitaelt I

Moelle la Peinldael du Speditit dusEeteipetn*eee,

Noui sente ecu naIs *eodpt*Umu d'rsOeslaSsnets', Oee ddld5etua de l'esgseteneen palceslase an, dcldgansn Se l'tegeslelilele encriers,CeilI-el atelapeen'.e 858114 lenniee$,

InOi5, sneesee,lIoe ,ueuen 5515n'aIlÙ at ireae,eUl"e'dr de nrme lOri, pain' or pui a tac OIeS.ar pIanos de Onlet .ldlCI&tiet, tee tIres l'1n SI?.

on,aeu In brIser le etc cil de eusetllM,an5I,,l teins lrrgarletUrl ,,u',blfs al si. de piuu,''1' l,',,,,'!nuIl nnedil sont que

'l'epS., -nue rneiteaianls 4.

dc leasE0'eeu eue' e°essl',

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k loulmavela quspoum reaaodte a5 dêsJdaCalu551e

0e. ci. deslelaeatu en,, dIC blet, LIaSlstee demaadl85uo' clude LI t Ns'n pe(Vl. fin,eel,euu, (te peeoenn nopandeainol par iutnueeoir't.pcollot,,lomeuv,aurp, se e,rrsncluemine, IPmn le 'priât-al.

1151 ml Cela, lu dt! t oeeuv,,n,a lIt 50,0nneu,,lIe euun dOIL'ouo pulenui, 'eut' Ire au-li-Cor' ne vnell,ionl per le molli. itt,n louet,u t /'ia,i Oslr,ver sure '01,11,,» umso,li

pu rouf rom1 houa et,r bOUe eepr,i leeint,l,ui:uv pour pot lu dL,nunelnee rot lueu,

Vouu tonrn,esen bu edpoute des pbleua',ptubli4e m'1'eOed, Mi, 'Open-o brutale, A cr0nains 10 gcttc lut dfo,amSn

,iu 011e rI uns uldtlSetc baSSeS ml Inpu(rlu uv,,ieqel oue'rIct', ure olelude dqu0000'1' of!iul --slu,uia'onuj,

l'in lr',re,!lt.ume, un publia, te luger.L' polm"q,ee,-. 'rite ,ctbil,ude dqnivnqac, tirs

ioue..lne'ceiu pour no pes discuter, puceiquAi EtaL9leieel. 4_l'Itt ab!igOe en dr,euluel,O, rrcreneabire le, bitn.do,4é 4e aIne ennru-d(eetiun,, Meis Il, Onslullset adret gsgnrf dulaetpc lleeit 1515e isa edsVaUu en 500es, eno''" n,'endje de neoveann et elers allIee - n-selle. 'PSI In 1dm,Il-, ut ,aanllsrreil 98540 Li ,lie.,uIeiOn parla

oit ,aueet que le cnavtenutt 4m 1155 t'lsiivIolet pic luet et que cela 00v errait cap-POIS, Sac leu Olatetnru e1I ep"re lv nignelned5n Il Olontelien ttl e4elnso9rent I'sttpliri-I,',,., luesul leelpinuyalelcmeeu )Otdl à ie eue,

lii Il lier et duc Su)uUIti'Ovl 4e col' quorI us pousere pu' romln'en 10(16; 15!

le calIfe, 4111 acta sIgle0 tIra rtepcctd, et litno un'rarl-n,eu pas kIt,'. enreltre nue seslairim

0es mltiinurs te Veuloel91r V-dor. e les l'elul. -eq,u'li 5 pu piumcri heget b une recula' p,tlim Seller ,ulu r,oeIll',

!ta'q'O 'le, u,-', e1,m - 'e Sotties! Uovtteein fail Soit s' 'X'- 1,-situ' rlqal, lier 1mbin 'I di0.'"'!. ,,i,':i - 't, ',,ms qslril il levtudcm,,Si,ci. 'v,uit"l'nr'.

Ses maoleei,lt, '-n'':,,'.',ul5uS 000,,L' prnl(inelu' estIvale uUtu à ou-u,' bi r,ioutetir e' lb te cepr'tO'ler:II o l,s,el! qarloreqse talteletuint, e, eu lotus,1.

Un Grèvu à Chartevillet 21

tees aul'iltle di, eiili'IIeel 'e ClearI,i,llt le U,ascoIraus net. ruaiS I- Iras-aIl 111cC, lin rsern000lu,, mie,re mieim,eeo dn 1 Ir. 'si pt,ut d,a nruieude efetall, ClotiInelut k laeiee let Iell5urIsv.

Les Musiciens de ParisPerle, leaenil.

t,5 ne,.r do., teu,bnieiu gIS, paTejussht Indeile.liSe 5555m pie lien la situera enl blelemneml etmute claN,, 10 nc'relleae eu la SectIon de lu lad-eec ruine do lIetllI'n Saral, Bemenird'.

te,. eensuni,ec ,qedtmsie peciciveun Iuateleu,,omrobesee'e !raeaçat qui ptolne'a etIs cnaeuuea desl'a'ieeelnra de le teste, o'tsa.ànilrr le S mn

I.e dlrooeser 515 lU v'ninnn russe e ecerpiut In,,.Inc leu rmlidlliere gel sveitnl Ole ruseos pan Inel,seestme isr'ildltslr eeeeo le, dtbni Su e000ter.

II e enmprlt putt net imltile cl qoeliuc peudt,'gea-ruu d.l(1egst' le Ises:,,e-,It sotlediesi-plelsedlme dl Oili 505*0e1. lb s e,'' 'tel prteuneO oie lnlellint000 a,eoeee,,-'Ihr , , Itou goalle'tStrnot In Sus rnntnttc ern"- -e:litt qnnte eM1e dOv'aei le, rsCe',iiru' u - 11dm Cd'irises cl elodenlannil,,M,.I,,

Le Congrès des sous-agents des P. T, T,

Au d4etl 'le 'u eeno»0 1 L .,c.,,'.el tl,uesuooiin' I nOIre il,, lan' O' prtl''cl. 'u nu,-naei ntclee b,nlnt,Io'hmu t' lu u,,.,10',,uude l'tlit 111 nee.nseeu par lu L. O. T.

s Lv e1usle,tmoe nOnsrns lsnouul ded nt,u,apein dnn P. T. T.. ce prtenuu' du it,,lOieu SaliMerS à 15 elseSu anurlêre per III pulinnIes pu.None, letalI en) pnnldlarlee erlIalge laealeaaed04 005-15551 .nIIndee,noel et In 50 ,1aebeo 54_ni-eauiueoa aAl,lra DMa les t's'ualhtenre, S qsehqnoruateplie,s pldldstplllqee qu.bl ippaeelale,el, dene gtnepnr lIant let atuelitols puur l,,eiae eenlea(eues ene,neltl telnm,e,,s, ,liltl qnt sali I, tee''en eeee Icqeal 1er dl. dlsdmulsnl,

G'. CtegoIu u t,,eaI,c elaSli nos eelein' de 'e-aeudttalut,es, Il rcticent le natslnt guuedica do5 lmsflnn S I'sOS cl dsnl Ive gteedt nlllre riInlnanl, le cule de 1*0151 Urnuaeltel ¶0,1eelui qui vtntO punelnet dueid II 50e.,, lamer,,.bits le leco lt1011lhSesI

5,-p-ors partnen uns,iiee de lu POSe.nul,,, poUale e'cenemeei orne, dace le bsI lelaIte, anoselIr pue U,,n, oeuupagou tommt,ne 1meeneesdlnstias, eteee,enls dis POIS en5ect1nt fiepeo15oeeol pealel,

LU pci5nnol,ilo S cILlaI An lu Fedinuelno t 010.'lItre de, nalainoe, e.naeel, 5e d000iptlom, Oint.

lus I,, O'l,ts,rn cl cOda 10, n,e Ire 'I, -.ils, enl eeaOJs nstaeiee.

igs llri g lluiI!IOnno.,,nae,l t,us, nu',t lnrone,uuosetu

c,nnflsaee I 'ssn.ealelia' pdnreata die enitlnsaitaS In110e. e'tul plrs'eedn Seuls, les réiasêgelntOea.

Sliee, Oses suleen ('alseagnien, Sella du PlaId.su ulOn de 1055, au Iras Saut liant .58585585e

8D.es,,antt,i,enuallte 1m o,,S,u'a nouilwesesla seul oeaeienerar.

tic sroinsoileO du PI, 15, s',sO SalI ep5eis'e-

ne in, ilellt s', eailegae,, è dosas, 45e 55555e,, etesn:I tl'a,lstaeeesrsnn en tu ('tclpaguis plu'lai pennn'ilee de leste cdl, u" (1cc :lrue,acar.

V;a qael 551 le lsugss Ou lie aeniaal'.Lette. uelsasl tes àsesasé, q,', nu", rqie'lh-n

Sa ereun!nt 15 paie sesiala estends,l, 10,5,11e,On ,euuiiea isnbiiee

Abeutoae qea 4.85 en puepue tans,, lu n Ionetus'une dIa tceigseuiu de, shtase,

uueenl iI'ie-peene. que de nneleate.Es eiSe!, Ie LIaI, en,OIeteiusla eu ,apiisl,.,'Le

gai p ses peis te pacole tu eost rncnnse sis idseetroue tire ide O'eslpsgnitu n 'toI auouis,tenet rouie.per Isa ettcaalIelev beitai la ImIte' tesedlreit.

Nu,,, nn,,aus sneDeealunO5nehe.debstiasslee qee lic naee,IvSn euuppke psi uns I"-ValaIt a,uie sise, canralone eiIliens. chI-ltraIr, ISsUe las este. ,Svuu5s ,m lnsr qoe gudetsleae'. soU es tael qele eesoeue,see,,se 11e aY55,tst. e

Or In t'enpe, 'Ose esa la s,,eot,nu ,fOtiel dIeromeegnleo e', qa n, Insu, dtl0nt lies po'ilie, 'ou tOsUOS 5e. dee,,olunu lacS II ces In

11e', taon e,,, a,P,Ia elteto', sotr n

na (,Outtn. d,e lu lcnlI''ono,rnuhuade.let os inal (etc qu' pInce-e que ton Cnlupe.'Oein

m,enns en ong de cee'auoet Iota o5eloOt e,t,auilisaulie,,d'ilise ateire.itïnold, quedeolaonlues de np.dleat aicun rIa teeniuUa, Çeelvanne qu il lIse 5 I- 55 ,SII11eM s la vlan enheeesato ,biets2e pas ce cneu1,ssu,iu in toua oc

eh ,,0eie!, se rite', et plus u unsp,Iu'5'4n. eas,e.e la eappelt le ¶a.I,estsaelnrul,,.tnapIua9eie5 slnaués, ilsa Sa luis stnul,e,15aelI fueoi,seaealiee.e.

lObe 01e nbtfnen, e net proetae uns laiiu1ni8 I' 1e51 llaltIntl b ttul leSts o5't'ush in

l'alu L.', lul!11,u'l'Iolla 1101'

I.e teRra - ,l ltd ruuto,,eu pes.ee Ou triclii, 0,lSOtsu, p, Ire4 ntr(iu -en, l,onm d_ute,,irn oosna .,u,,n t,iao pur 't. ehela 1m 'ion,lt,ein'. -' ta,5ul', ueaud Stmt 111e IOSl ueedms b' .i'uitt OIS pe, le O0,eeu.i glasesi dn l'a,ineI !l:, ,iuuC cal,,:eI'c,,ne eLuietestlee j,eea*0 as l'npIs1e

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Oie S'a i','' rninsst 1011 pus La FM&stioe ne il'e enl"abe',eeiailnnu Sa io Sets., e In,'O Or, SOC atne*lus, e,drsals, unies 5 tees'I.e Fedasalica sinisaI, se esdurals.soa,abon

leÏtlboileMetuale se Gi. Pheulma ll,.cc,,, 4,

l'eegugo,etn, qu'ils osa pi, de' l'5t1'51'la ut.

pu, lire Caeqenn-.n I' aue:,n i.l.' u 'I.t'S-grelea den nlueeieitn veInules S'a sauta 58 lusetmre e6ee;

e ien4t.11a 4,5 les Cee,pa5atla imnIdrMnedUl

u 'omet pIs nvmre aulqefia que mes e5iatcqealinassee,eatiu,ss sa atte dhu,aaaLld, da 'sasSas al'I 'spiiennuaat aeelsl I

11e nnspns 15e lu Ie,aaSé Ou gecleessn.eatmIr ,nlhueilre de le L'hnu,ber, qui lu apolsnenn

pIS dia se,: mliii t, Inc lIts 501 loi psealtenalull,'e'ssieea pne,-r iUipnser ace CceipaguOst ace,sec0grsleas k becS Ikai. e

115, Sepeaus cssii,suu, b I '55lolt,o. 4e qusbqees'an,unou çeaunr 111 llat,alie Pniaauuu, est, suluee do la ,sIe'. ipl,rorvO ieo m0sielrtea,IulInedgae, Cela se 9es pne etoll,S. e,souls iLscal teenceis qa10oe aa,eee Se rSe'erCtua s'ivaponeet vais ceSa Or ces, l'édéeatkoa i-nt sus la pIestosnetostetee, (s Sou beengeoia» qen peerequen;n,oeret 15,14e,, le etistdgentioe Ses ehred-nitn, ride fins eiuulleelutl,I no toit. :le'll le

peOluctn quo Ots Ou Cntdsab 5OsUnol la Paeila-

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Sa peom unn le ecebell ion en ,to'Cn,sot lin,Opsoneo. dc contra as Leinpa'acOe. us dots, de

,anes-, O" e-c' dus, oonoc u Les.uvett ,oeou,cl'n't t,, ,su, Isp, eio une uts 1,1.

Le pinal !raO an etom! n. peoeuea aaueevvnoCe e,,,"dl se'0' ici ,ton,_',ueal, Ion itp,l

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i_si QLL l'air luL'O't'P,i, 20 ne,U.

Lu Ot.,usod,.I.Vupeo'uri'noeeogo'on,ueo,tnt cul e lotie n'In mper,It r rvqi,o V'

lsee 1" s aisdelear lie li tompege,n sien-i,eusnite 5eSatesl, les seliusaai,te.

Coasse las salsas ene1ss5alsa, lusi se qeolute41e Ou eah,,tid Is5icneet aus Insolas io,'utsiuln

On na,ai dol elirlsisots rêtu,q,nln Ou!'55 ceeeeie'i 5* SOlstice ets,tiel Sel,, 't,,(nul seiose 50e ea1ullgIsiiues, la nuall,een,,' lestaslaelusate Iseesirel,5n, e C'sse,,l,t.eoc,

4 'olIndu psblie, et, an souuuo. (ni oTeice--t.t n qanI s e'nepnaatai. ,, Tt.,bv,te

in cnn, nelesis I 1,55 ,aasP&ltie, ousti 5111cc I',e-cubas ao,sunt oe pcSs,,'apcn 5e I 0,iceee blunlite r

ns's aaatgld b jet,IvI-uuutu ccl-.

Les 8candaesDEA,T tJ JUTE )'nS'rRTè

Pion, in au'et,.t. tan èlaa 55,10 4,5 ieeualluuna luiamlel. pae li

Glodieall, daue aol (sae,rogatuiss deuee, q,,., IIItertstu 30140 d'instenelneu, ,tt-,ls aillent tll5 pst.qausimnv eu aumi-ul, de l-I llCerIlIt,,l. ii e.pIoe, luecn claIr, or Sore' as ieuedal,,am,flrt Ir man,sirec avait iuPeeaceslt cacao-pin n

Son nallntI ai ,mpnlmeae du qltaeuIce dl lapses,qui! 1,11 eoeueail qoas sisis dc Ju'.Ilrl 5185. Si.Sdunllletd,teeelu d lin nelluesse IllIcite, lut55511 nommasdn, eu 00m li nue dt tanla. 1,100eeIelp,uleen d'ue dtpintl' du Niehasu-lIlcèae, sel-Pool ri SodotIlou.

l,a cn,e,cnnOlo 1,11 rsno,ll,'o pele il prie setIn Itares. lot i',mpelis'uo sol eesedo,p dnpo!,la une Pro payse.

PI. Tertat S etni,menlen,U 11,10 lu iicpoaiuooSUS beàilaOl du Ruile,, qe, bo, n dlnlaa4 aOetrnol,4U à Clea,aoi, pee,r In ldeumo 5* IOn 155503.ue Mua dipitmn du (t,nieseu,

01 liOVLllOe/OIS -

l'urO la nmdt.1.c 5rueun '3 pi l,,i r,ti eoeiniaodln IcI dipil-

"t, 0,1 (ultimsni e,ai, oo.,-,o (I llevci'.ecd eian5quero Oeo,1j't O'u.l ,IL er Ouse eoo me'gimen,,t.

vi. ernednnns se pli ntepn-n: et dl ece 5101.C-air '.:mu,a à tenDs, ot O habit, unis cals0,0 plot eosfuete,loi

Id. SI, o!UlId n deolarin 551es l.tusI tien ebaonI.lst,e V,lOtn,; lia la-t'.sa .dI,in I élugn de SI,C e,n,ul, nI Il u lenn,,eS 211 préleeisee unI 0.tne,ll pas e, qli'es nt'nIOtttlin, no-0e lu cnn!-ai-lads de slpseeaan do NlIbaal.

-VAI.Snlll, 5l,1'st450e,"1'1 L ceI. lnsb,a5I de Rdnoy 4us s deelsrê tsar at5,'ld

s Cie,oeoli, peir loir liante, ne d!plOs,r 5,0 N'cimes, .le,saa gos scan TnIn,aneu Vt!saoei qula.mlee.neopperlsneo Cle,a,,aIi,

101. 'ltolndeet t',,Ieluai n lere O no,, i1Ol,i'mntee,', le dacirilc 11,11,101 Venelle, qut paeeieeall,,e pu ludniluer. quo un suasaijaoma pas 1-na.blteel Sa Psleey.

l'aur, Idaenl.i-l. Dro,,s a O,100,1U5, luirt spcis mOI,, 1 lu'

1,rdepvlsl,s On Jaequln, il Iuaoectaasno d

Janq;,:c .tr'lnl'.n,,,'itel,,rg,r Wtmio.t oc ro's i-eu lla,I eletlO â ptusmo,i bnleleu deeauleclllnllcn gai eeoelsel loues uO,haeu dane 'Osbus de tløcimua'Irt la do Iaoluaueg (405150050eIl qe'il 485011 lml,palaausoee( de,snnl rea alulu

PsI beau ltte peliaieu'. nau es oOempdehe pasdOte en isudll I su e,,lcuiOe, loues l,000ttgus SuaIs mati 105100m --

OMeOlU,h OSol eespliqt,e S'leO cul ri ctl.ub,,,ms dtveno os 55 15 111e Oeçs', teeruaslg dn,,,It ue(eue lei eue clIn, eus CaSIO, env enlie d,,r'eel-vm ce eut lui qui laI aOslni 0t 51,85411 Idpa,se'e.te Iua, do ouuubeisIuga du pm,aae' Vlsi's,,

PeinaS aaeeil aSsola à Saquas 'sa Saune 0u ohleeo,lnl,orI puut md'c;nnU' 10 Ii('ct o n,l 'missel,

Lus Soohlttt lIC sskèdePc, IélPltit'eo de ,e' t r' c,r,eep,i,d1el Sureau.

l'slnh.lii,o,ue, 20 avril.III nOldal e i, t:si,o,eul h 000p,bui. dpi.

,,oiee O.' Laltin 'SuiS," - sOlde! Ou,, rua.lo'Iio lursrnble, '-i tt'roi 1' - eltb', .,llsilt,Yuuuunl la sti',' IL,, 'e'.'o,el',-.etaLomla ssnvui,,, '"1'.!- ' I , - ' - Du.(h du I-21 IIi p,, uo"l O. o.l,u»'',' .tiu,,.

II a (le rot!', e-cooL u',-:' ,'c al

Lu Csspes'sel tes- tnfrj4eLltcl,,uI, de,

o,' 'ou '10 1 U 'iuru choc b'- lotion, doIv lottimtl, duc' I ooltunle' Lu t nu ,,uolii.rIe, ri uut requIt en u,en,nsouull, auLu,c'Or ,ulu 11,101 iI Sou,! ,°OuPOItu.., -

k',cSteot 41,1 ,eamtut Saintes, e u,çIn:,re, e' rap"eai 10m! UrVIuier Saut t u

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Tu°.nsen'n'ee guseSuelo Ont ginoln nousnn,Insslan shIttn, 0e Ine Su uteOi rinav IntuIt 1Cc,.uu'enpahla per Ion eeuooeu,ues vut Ion qemu,auSa lu 00 00' ts!i,, us. CLniO'e,io tiaequon, ep,Iuunni lu ,oe,nit O u,l,u,nUnl,anunucapuuoslp,n (S 0,1 gmasd, ouoe II it, ogenta 5e! enulaut n tu ,Seote pro s,,,u n, .ei:ul,oe,mre dOntiku',utOOlt OcI I',h O nt 'no ou, 5' .0,ltdnaou,u,O,'ItO,tot.lov, ,toO,rgeL,-e.

es ,lo,nnure ivalolii,eltnv11m lIa a5*00 .u0 auut 11050 enctun lala-

teneu de sel,, p000aunol, e, petrunel Ou, nt usOn'o 'paornu,,snao set,»e,r ii oslo 'olUooeus ,rn,n pstmi ena na , 'en'lruot ,imn la t',oug,eto, en ne u,uuoecs;u paa dnuuauagusle, doSnumuero tnIia,oelieolt

Or, nuuoose1leapun,s 'md c,ti,t paitl ObI,,esse, 's lu (anlpu5oc. O, iOta, b ue.,'ur, sut o,pal dr pselsitn OpolCiS ee,ie i-u, a000te, te-dsqnts en non, lIste us en peu blistteg,,ui e,,-5e. boa e5uaqu' , tls,s al sa, peau, pin dae,seuu0,ulas elialegeesr cl bIse, tIse eeeebloàl. caleté'5es Vue eentiàttasil ptr,e cour. perluste dIe'gea,a as teintas halaIt t i sslsnssfu,tuee l,i5aals bn5nuadl,,ldtes,flune,,,s,its lette sInae,lueeaie pas elims rus teamspb, peur /a dl,'occis costO'losttote es réelluiraueelnee, LOue psi-isenlu Le mt'n,nre,ictre,ttr psinir in, Ieov,a allIs,,

el,easalehss 8. 'ta sdeucliu 8es tepsgeaee. dé.endas è tales sn,la I. paaubr pauo vmpk-eee ('la-iaer-;pel,in du aeceinn las lratar,eu., viaslIesisde l-toi? liaitilr,,ve lui leu, ietnalba d'aos,e uspetseaeal tic fois enirelen dl sI,, ensu clam 'epas nos peelaa,e aaeddae nIe dnelsedet Se nUe',!grerioe e,ui a'mnn ou, StI uelrntiée,.

ls peeuiOontssenuenaitoe Isa eenui.s pi'-Se 15. lu (1laeupsule ce Isenrie Ils agaal, té'e ue,0.5

S 'uàaed, eoss colos iaellao,asselsaeon in s dunpeslniea dec asseIn set saie annaOaedmenls rtaree leu et°,ltlsse '14_la amantteeS,, la le noisee d.0 emliet,e 1er. clic iipen'lOttO I irtesUnen aiaemcii,e s neaIsu,iliseiee rue-

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Iéioion PubliqueAvto lc'ottt(nto do' moI toril' beaux rA

dite tttettiradc eldlegué de la Cotodntàdo00000Gondeale du ltodno

Le Proltt.15etal tou100tlla et 1000 50 dc.vctc d'uoctotet' b toPo réunion, an cern 10'rntertt.o ai de lu noilduette OUvctèece 400)Oeil ouppcuchor art bracelet 01e), heu borna-p.0000T du mOnde 00100e.

LUNDI PSaMIER 81db lObaLes oserottres 01 les ruor100e, eno' l'iottut.

1100 dc brrr Seodiesle, proiest,ernnb t00101.I arbileeéo, 00000e te p0000uttee. couler lestttet'utioce, rentre le r oondamn01000o, 000-011e leu staaa300eu dst.vroeut,uaulà'a 05 guetTe00100 petiptte.

Lt10100 PIIDMIUR MAI 19*11,08 cuvriterro rI Oct (Ont ren no prépuce.

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A rS0dds quoe'aiurs eetsqooestiena dr l'inde.,te te D1°l5!0, li000or A bus Ion àt'bitrait'oepsinuadoso, il y o te1 l5'asSllbotu'a 40 l'InLuI

501 iesvadlbrnt unut In e00009e toit OÙ il eutebolnaaulesla'elet000t dors leeoltét plua 10500e'bIos 010 000000r01000 oyodot, puorqur Inptequo ueusomllg rob sycodirpoco,

te elofseaden oblmereut le Promie' lolo,,ils eho.s0e00t poetr 4000,1 u'y o pas pondlonger pnor 0000500140' rot 501e. trmnuitep:um'qtlni pteônorr O

La josde du booster Mai se doit-rItepar êteS 000eaeeéu 005t0000me,t S reosplio or,deootton du aySdo4sé as d'opplootd sa 4150eIOUO 0000 uns oamaoadeo do I oudugo'oe pot.edo, lOeoIns 81er treoltts quc cons o enmmeu I

Pourquoi 000vIsOsp to 0000 dnuun'usuensherr0 à d00000a 1000 stinllo 010 aller h lbtrolle? Le PreltO.n c000pr:e dcns 00

Sul'oe0000s oysdlsslirta doc oon.0 ddoo dl'0151 dOot oeuasa$er '5 ubtaosac' quol'cne 5e-

1100 OeOsta(1oo prnelaorio. turiqoec sono dvp000 par Jour, asudllerec 00 uort le pinop0058510. euro apporter bob oçp000t de 'eu.t"otoitru A Os eaoor eotnntooee de tvua bectouvàillrnes. sens 50 reai000rn pou do tedire I o, M000sior 000es eyodtralito

Lo eur du Preooirr Moi ml Cvi du d'uotr dolasso lau I.e vailleoaea de l'Elet dOes 000.00v'tomer sue diele000n et invttatioos toiler 10e100 Org001eultnee rtgetlére', sdserentoe s 10C, 0, T. 00 o aeinarudr ObuSier. 0.05 ro Toana,lleoo' de l'Obi 't du lB nsrcl. teuuotle nateeeo 0000505e en odrmaeduttt oun cama.oadrc d'nouohlor sua n'eottoge de peotoeto.

ter Or oup donte0Maibofeuogeootatelee000l les 0001aaradé, d'soleea orgaolsotouse

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Paoiir uous osent cep 00/trIton, L 1501oretro quo nons vouloe luter OlUt ter oamaoa.dot de I'Ieodualeia prout p0000eeO quatrmretl'ttàtootlr,

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Il est doute un don010 obnolu pouo 1000 loIt"unuilloloos do '06.1 de t'onin on maoee 0(1.p000er leur appui rio o:ulstunt se r rot totO-100g otyat,i -u poP 'Luter des Syoudorota qaitaon lIt. 10 Prrmior MoL la Fa,'eottd deoLoltre', Si vraimeet souc 50005 bol en 1*4.0000 ryodie010, ni voalnentet 00000e Oemmrr

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LE THÉATRESTOIUO09TRE DU CAPITULE

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FEUILLETON DE 29 AVRIL 1911

lait

...therine .deseendait justement, et son ma-i Isissolum en N'oyant son visag,e contracté.

qu'elle aperçut Georges lacaze, elle re-sa ligure tranquille et après avoir!e jeune homme, elle prononça

de vivo, de la voucher, cette pente...TruNy shuagine qu'elle est malade !

- Ment Jr l'amure_ balbutia Tony.Catherine haussa les épaides et midi-

Non, elle n'est pas malade. Elle est.beiorsée par les malheurs successifs quisud- abattus sur vrilla El,

du

einiore elle ne comprend qu'a moine ; elleest. si en retard !

'Fons, dit Tune voix un ,peu (t'athée-- je persiste à croire qu'il y aer, et passim tu ne veux pas faire ge-

l& un mildeein, M. Georges Laraze pourrait.ooir cette enfant_ Au moins, nous serionsxassurés.

Elt conclut Ravageur.Ti partirent ensemble, et: vingt minutes

es iis entraient dalla le logement de ma-,. û Ravageur. Quoiqu'il fût près de mxtix-nres, ils trou'verent Tony qui travail

la salle à manger. Ravageur, tout non-: dentanda

- Tu net dont pas allé au collège,eintir. mon petit ?

- Noànion perd Smille Rupert est bin'LIA,. et je sui, resté pour aider ma mérs

oigner... Nestere pas, ?

Par Pierre SALES

o

Repraductiar interdite aux »arum. qui .n'ont

eagVrattiarec MM. Calamar!. Lino, Edsteurs

FITILLETON 20 ISRLI. 1911

SACRIFIÉEPar Pierre SALES

Eh bien !celte fois, mon ami, vous avezfait de la mainmise besogne ; il valait bienmieux me laisser in'en aller 'mime unesittelle bele que je suis_

- Vous vous !... murmura Harry avecCet larmes dans la voix. Vous tuer, vousger nous trimons tant t

Lé. Vo. m'aimez:te. Ah !.bien, vous nem'aimeriez guome st vous same le peu queje vaux

- Je vou- défends de parler ainsi ; Qu'ilne soit pluj queetion de ces acte de t'êtes-

par aussi, je vousainie bien, mon brus, Harts t je fais plusque vous aimer, je vous tadmHe eomme unsrai gentilhomme que vots fies, meilleurque la plupart: de ceux que je vonnac,letir que moi, bien sur. Et c.* Oa er titre.queo je vais vous faire ma confession, ef.vois me ronsoillerion vou9-Menle de dispa-raître.. Demandez donc de la lumière, quelotoaa nous voyme bien en face... Mais non,je ne veux pas rougir devant vous...

- Et S'eus Haurea jamais à rougir devantpersonne, je voue le jun,

len général sterOUnit tristement la téte.- Assez, d'ailleurs sur eu sujet. s'erria

ehetettreuseistent Harry. Ou'il ne soit plusquention de mort ni de désespoir I Est-.:bien h un officier français de parler ainsitant que notre cruelle blessure n'est pas fer-

'ux-rrer e'frea er.i.veizczun;,-,gewz. .

-6

imsdammim, Nszammotamemommtet

Lisez le Midi Socialiste »Organe du Prolétariat

47 - Mais certainement, dit Georges avalempli metnent.

/Catherine n'osa pas résister ; elle con-duisit le jeune étudiant au premier étage,et il vit la fillette dans son lit. Il fut terri-liot quand il eut examiné en romps si maigre,d'un teint do chlorose. Cent qu il était ha-bitue A en voir, à, sa clinique, de ces en--Burin de la misère, mal vétus, mal nourrie,élevés pelle-melo- avec les parente dans deschambres mal dee. Tony demandait avecanxiété

Eh bien, la croyez-vo. malade ?Ses pommettes étaient, brûlantes, et elle

regardait -tout le monde de ses yeux tristes,vagues. Elle avait tent pleuré depuis que samaman était .partie 1-

- Non, déclara Georges, cette enfant n'estpas malade, voire mère a raison. Et cepen-dant, si elle Ha pas de maladie définie, onne peut pas dire qu'elle no soit pas en dan-ger, 'ocelle est faible, Lubie, d'une faibles-se desesperantem Voyez eomme elle est pe-tite

!ineEL ses bras, sios jambes, cette pauvre

poitr I...11 la fit bavarder un peu. Il secouait tris-

tement la bile en récolaient.- Tenez, elle parle comme un enfant de

quatre aIl ein-q ana ; et elle a plus de six ansd, crois_ Tout est atrophié en elle.

-En si moment elle Ati pria, d'une quintede toux. Tony s'approtha et là rarestt avceune telle tendresse que Catherine ent unlong tressai/home..

Georges demanda enture30 nuis sge qu'on fia élevée au biberon !

Catherine répondit oui », tout en lais,tant échapper un geste d'impatience. Eh !

sans doute, ion avail, élevé Dili]. ait ,bibe-ron... La femme de Rupert n'avait pas assezde lait pour nourrir sa fille elle-diane nia.. d'argent pour la mettre en nourrie,à la campagne.- D'ailleurs elle n'aurait panen le minime de se séparer de sa petite.On arbetait le lait au jour le jour...

sée je ne sain a, do ceux qui souhai-tent /a giumre, je suis trop bien place pourcommilre l'ainenigabie boucherie qu'elle se-ra t mais si la guerre éclatait demain-, n'au-rions-nous pas besoin de Mus les courage,de Mules los expériences ?... Cher général,NOUS n'avez pas le droit de vous tuer ! Jevous en eupplie, jurez-moi que cette horri-ble pensée est sortie de voire esprit ;-tansme faites truc cruellmuent souffrir...

- Ah I que votre affention me fait dubien l murmura le gainerai tout attendriet du diable si je sam pourquoi je l'ai me-citée !... Enfin. merci Si quelque choseme retendit à la vie, ce serait bien la penséedr la Patrie ; et si c'était demain la guer-re. ah ! je vous jure

qtiie Finis-des premiers

et que te n'en reviemrai p. I Mips il fauttrop ationdre... Je suis menacé d'un épou-vantable ntandano, Harry_ j'ai Olé légertoute ma vie o .je dois en subir les consé-quences. VouttrieS,011s quo je déshonoremon Troie, ma nièce P... Allons +Ione 1 mamort .urrange tout ; on m'oubliera..

- A 1 taisez-vous !taisez-vous ! je vousen conjure I

- Nencla me -Selliage .de m'accuser de-vant vous.

_ Devant moi t Ah ! ni vous ,,,1,10.2Mais je suis le seul homme qui n'ait pas ledroit de vous juger !

- Vous- ?._ bi poupe., grand Dieu ?...Barry prit lo général dans ses bras ; oeilcouvi.. eareses- Paree qu'un fils jamais le droit, de

juger son Père.- tin fds... Tin fils !... biiguva le gOsénal.

Que ?....Harry tomba genoux bn s'écriant t- 011 1 vouiez-voue 'si' de vous

appeler n1011 père, et je serai divinementhennoux.

-- Mon fil, !... T-oi !...Le général avait bondi de sentit et mur-murait t

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- Oui, oui, dit Georges, c'est, toujours lamême chose. Et voilà le résultat.

Tony demanda avec anxiété t- Enfin, que faut-il faireSa mère le regarda durement. Cette affec-

tion penistante pour Emilie commeneait àl'inquiéter nérieusemenL Georges prnposatimidement t

- Il n'y aurait qu'un remède t le grandair, la campagne... mais avec beaucoup deseine, une bonne nourriture..

A ce mot de campagne, Catherine eut l'airde réfléchir ; ensuite elle dit 1:

Eh bien ! puisqu'il le faut, on la met-tra à la campagne... Et je ry mèneraimètne... demain._ Oui, je partirai. demain.

Tony se jeta hein cou.Ah ! 1119re, renline tu es bonne I Com-

meAlors Catherine leur expliqua son inten-

tion tWOUR SaVe9 qUe je n'ai pas vu- mes

parents &sui, pl. de vingt ans, et. ils nedemandeni qu'a me voir avant de mourir.30 leur mènerai Emilie et, la leur laisseraiun mois.., deux niais_ six mois, enfin jus-qu'à ve qu'elle soit rétablie.

Madame, dit Georges, je m'entendraiaven vous pour les frais d, son entretienet de son éducation.

Tony était enchanté, et sa mère était ravied'avoir trouvé un bon motif pour extatiquessIc voyage à, Menne,. Quant à edoorges, ils'en alla, gatisfait d'avoir accompli son de-voir. Il !tonnerre le reste de la journée àpréparer et faire enregistrer la procura-tion de Ravageur.

Ravageur était revenu aussitôt à la maisonde la rue dio la Fontenelle, afin d'activer leitravaux. Le lendemain, il devait retournerà Clamart. Tony, ra.uré sur le sort de sapetite anime, ..entit b aller le soir au coi-

'Catherine resta seule et pa,iah }n'épar, son d rstidl épat. Elle Mail allée

- Te bon Dieu aurait permis colon,Et, d'une main tremblante, il cherchait des

ailurecllrs. peonatsiant- - Slim fils.., moi, un fils, un fils !

Et, dès que la bougie fut allumée, il pritDerry, le uleva lui plara les mains- sur lesépaules le regarda longuement et il pen-nonea enfin t

Juliette Sandrac !... Tu es le filsJuliette Semis. !

- Oui, balbutia Derry tout craintif.Il avait à peine prononce. oui que le

,général tombait à son tour à genou'- Mais si La niée avait vécu, enfant, elle

t'aurait appris b me Inaudire, moi si ingratavecelle, -moi qui l'ai si indignement aban-donnée._ El toi, eup j'ai abandonné aussi,toi tu veux. me sauN,r ?...

Mon ma mère VOLIS pardonna à sonlit do mort je vous remettrai la Otto su-blime qu'elle m'écrivait avant de paraîtredevant, Dir,11, lettre qu'un hanard protides_tiel a mit tomber récemment, entre mesmain,. Cher père, le supremo Jesir dc cottesainte a été que 'nous nous retrouvions, quenous nous aimions. que nous soyons l'unpar neutre_ -Ce d/o., vous croyez-vous ledroit de ne pas fennec ? Voudriez-vousencore quitter vote dis ?

- Te quitter, toi ?Et le général se relevait avua une légèreté

de jeune homme et s'écriait- Mc tuer quand rai Un fils. et un filni

tel que toi ! I le monde pourra bien direce qu'il plaira t joo soeux vivre maintenant !

TH général avait pris son fils et Inhibe.-sait folle..., avec une tendresse, un dé-bortleima d'affection qu'il n'avait nas eon-Hus jusqu'alors. Et il riait, et il Pleurait, netestant de répéter,.

- Mon fiie !... Moi, Tai un fils 1... Aloi /Et il l'admirait.- Comme tu es beau !... 131 moi qui ne

devinais pas I_ Rapelle-toi pourtant efue.de

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chenther la petite Emilie et l'avait déposéesur utt fauteuil devant le feu de coke. Deteinps en temps et* jetait b l'enfant desreg.nla de haine ; mais, si -l'enfant la re-gardait, tout, de suite elle venait l'embrasser;et la petite était contente. Elle balbutiait t

- je t'aime bien, va, madame Catheri-ne.

Ah b certes, elle n'était pas dangereuse,la pain. fillette ; et elle ne savait pasgrainfehese, pas inenim le nom de madameRavageur, qu'elle appelait madame Catheri-ne tout eouri. Mais une jalousie terribleavait envahi le cur de la mère de Tony.Tony ahnait Emilie

Il y avait longtemps que CatImrind avaitretnaequil cette effection. Cela datait de l'é-poque oit la petite avait commencé A par-ler. Elle était ni en retard que Tony avaitOh lui apprendre à begayer les premièress.tabion. Le père el la mère étaient- 1.-jeu. absorbes par leurs pénibles travauxqui leur donnaient tout junte de quoi vi-vre. A cette époque, trvilierinc était fièredes progrès que son Nie faisait réaliser àl'enfant, e cette fierté avait longtemps lut-te contre la jalousie causée ,par l'affectiontroismito du jeu. /tomme pour la petite

Puis elle avait ers que cela panse-rait aisément. Mais; à mesure que tous deuxavaient grandi, l'amitié était devenue pro-fonde. Istnilie venait voir tous les joursson grand ami Tony. Et Tony avait continuéses leçons Il déclarait d'ailleurs très fran-chement

- Moi, jo l'adore, cette petite, comme sielle était ma SUeur.

Catherine n'mlinettait pas eela. Elle vou-lait l'amour de ses Outarde tout entier. Etla eonnultation, donnée- si naturellement parGeorges le matin, lui était arrivée commeune délite... Aussi faisait-elle aven unejoie fébrile ses prenant/ifs de départ. Ellese disait que 'éloignement guérirait To-ny._

toujours alme t mon cceur Me pullula sibien sers toi !

Quont ï Harry, il était si divinement heu-reux qu'il ne tieuvait que ees mots t

dlon père !... Mon cher père !...SOuniain, le général, qui s'était enveloppé

do . robe de chambre, alla brusquementouvrir sa. porle, en errant t

- Berna.' !... Arrive done, animal IBernant! se présenta, la tête basse.

Avance doue ! Regarde !... Mais veux-tu regarder ce beau jeune homme !...tu le ogundes, et ça ne te dit rien !... Etabaque fois que ta le voyais, ton me ne tedisait rien, imbécile ?...

tiornaud ne comprenait pas, il treinfoolait.- Aiili,aOl, examine-le bien, et dis-moi à

qui il ressemble.Sauf votre respect, dit Bornaud en

faisant le .lut militaire, j'ai Midou. trou-a é q. M. Cgifford eau un faux air de mongénéral 1

- Un faux air, imbéci, L.. 111m faux air,lui ! 01 10 crois peut-etre anei qu'il s'ap-pelle carry Ciifford ? lnabneiule, il s'appelleIn emint, de MontreuX

Jérôme et Louis Duces apparaissaientlentement dans l'ennuient, de la porte.

Arrivez donc, taiSeltre de mystèresVous le saviez, vous, Labadie, et Vous ne.me disiez rien ; et un quart, d'heure de plus,je m'en allais s., avoir eonnu mon file I

Il plaça sa main Me l'épaule de Harry.- Mon fils ! ! Je voudrai,

crier au monde entier que tu en mon filsLe 111-0,., des Montreux no mourra done pas-

I que c'est bon 1 11 The semble que jesuis Un autre hornme... Tiens, oinbrasse-moi

éon, !...Et oda. les bras de son ni, il éclata de

nouveau en sanglotn ; Puin, essayant derire- A ton tour, Bernaud, le 510a que tu

Sréeir de l'embrasser !

Et tondis que le viens soldat pleurant

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Elle partit en effet le le.lemain. Rava-geur et ses enfants l'accompagnèrent à lagare. Emilm Citait endormie dans la soi-t:Mie qui les avait tre.portés au chemin defor. On la posa sur la banquette du wagonde troisième classe où elles allaient voya-ger. Tony s'assit un inetant auprès d'elle. Ilsouffrait de cette séparation I mais il seréjouissait b la pennée de voir sa petiteamie bien portante aux Vaca.es sufve.r.-tes. .9. h

Au moment où le train allait filer, Rava-geur embrassa fortement Catherine, qui ni-tait mise la portière. Il lui dit â l'oreil-le

-Femme, je te détords de toucher à cette-., 000 0005 n'avonic rien à craindre d'elle.

Cathérine SOUrit aveo mépris et se cestourna. Elle se pencha et leva un voilqu'elle avait pose sur la -figure d'Emilie.L'enf.t était d'un rouge vit, avec la peautirée, les yeux battus, les pommettes sail-lantes. Une s nueur de fièvre perlait sur sofront C, atherine prononça o '

- Regarde, Ravageur..En soi-mente, elle pen.it qu'il n'y aurait

pas besoin de la tuer, parce qu'elle mourraitbien toute seule.

Pendant ce long voyage. Catherine San-gou à ses dux vieux qu'elle allait reironveéet qu'elle n'as ait pansue depuis vingt ans.

Le ménage de ses parents/ ressemblait ausien, le père était un anoieninstituteur quiavait élevé toute la murinaille de Plenum;c'est.-dire qu'il avait appris à mal tireet b bien canpler à ceux que lés patentsvoulaient bien envoyer b récole. Seulement,si c'était lui qui faisait la classe, c'était safemme qui dirigeait !oui, une gaillarde am-bitieuse qui avait toujours eu de grandsrées de fortune. Ses rêves n'avaient aboutiqu'a rachat d'un petit terrain, sur lequel,

grand'peine,:ils avaient élevé une mason-nette.

l'eturne-le vieux ne savait rien des nou

lui aussi comme une bote, -donnait TarculadeHatory, le généi-al secouait furieusement

la main à Jérôme, fi Louis Ducros. Puis,quelle bonne heure ils passiormit tous prèsdu lit du général I Louis, Duan, avait dûs'inteorposer pour le fors. b so 000nhor, /Iparlait de se lever définitivement, d'aller

son cercle, le Mûr même, montrer sonfds.

- Pas d'imprudence, ordonna l'étudiant ;

pour cet soir, je ne 'permets que les émotionsintimes.

- Oui, père, dit Harry, je veux que vouavo. reposiez. -

- Io n'ai donc retrouve su fils que pourlui obéir 126 le minéral riant, MaiS, sa-crebleu x *1 je veudee explicadione. Qu'est.,que t'est que te noue de Harry filifferd, etcette nationalité américaine IL_ 'Foi. Amé-ricain ! toi dont I. aïeux ont verso louesang pour la France depuis dix siècles !

Harry dut faire In récit de sa vie. Legénéra/ écoutait religieusement, n'interrom-pant son enfant que pour dire

- Comme j'aurais mérité In haine !

Mu mis an «MiAi SU»Bulletin d'Abonnement

I détacher - après l'avoir sunplété éteignit -gI'mvoyer au Directeur du Midi Suciez*Ibuloseic, sous .../eppe affranohie.

demeur.t à

déclare sooserire un abonnement de trois nes ,

dater du ler mal 1911, à l'édition de

Le sOUSegné paiera la somme de Cinq Num.ntre une 'quitt.oe qui lui se. Pr005fi149 Pue Sracleur le In mai prochain.

Signature de nem*

veines méthodes d'enseignement, on ras,11mis ï la retraite dos qu'il avait atteint talimite d ige. Mas sa femme avait ni habilement manoeuvre, que l'inntituteur qui lavaitromp/ace b l'école ne l'avait pas remplacepour ers mille petits travaux qu'on lui amliait jadis. Le pète de Catherine était resId l'homme de confiance des habitants, lesecrétaire de la mairie ; et c'était toujourslui qui écrivait les rares lettre qti Pm-taient de Menne, /I gagnait- à cela quelques

u'elle naval jamais assez d'argent pour ansno:::fieic

la vieille empochait en affirmaq

Catherine n'avait conservé de Out ara

jeune.SInus msèoeue tenir ri gf un;. nEol nt e pQa;

Pardeur-que déploient les persoSINISII .savent ni lire ni &trio, et qui velliett q??leurs enfants ne soient- pifs privés de an quo;a eonstitué leur infériorité. AaPilaueqpuluatnclq,,eolleleavait Nedllequiuoi ,savait

- Ma fille, ici, tu n'arriverais A rientenEl.levt..1-auci:ea;;à-éaip,tsa. di:nnté les .6torromies: len-

,

La vieille ne savait que bien YagUenfeet

ornée' igts"dese.'glies dquues aPy'srZu i as'-'auieistitt'sryagl,dace qu'elle entendait lire par son merl dallele journal, lui avaient mis cette Idée.stall?Iv Pte qu'on ne fait fortune qu'a Pars. elelle n'était arrivée brios qu'à sortir un Mnde la misère, du moins sa 09e serait G-obo. Elle le croyait fermement.

(A suivr4

IPour

permettre à l'Employé deijouir de la Famille, n'achetez rienle soir après 7 HEURES,

niais commettre un crinie pareil 1

Cependant, l'heure avançait.- Permettez-moi -de vous quitter »Ne

demain, cher père, demanda Harry. VGIaDag:201'0%z, àbitàquligjeondti,rn,:entefi,on.oltrmeésampio.L,Nou'

sur vo.. Une affaire esses importante mforce à m'absenter avec Jérôme pour un odeux

icizumeet, sou ere ,n,x,di lit lvi oc ce

Une affairerelative l'usine. Maisserai bientôt de retour, et nous ne nous 04«tenons plus.

Va, eller enf.t, mais enviera vite,ne saurais plus vivre sans toi.

Harry endaraea longuement le général.seachant bravement la piaf-onde émotiedqui l'agitait. Une beure après, asease:gué par Mr3171e, 11 partait pour Genève, 00-

il arriva le lendemain da. Ia matinée.

(d :MuraPuis, Harry expliqua les derniers événe-

ments auxquels il avait Olé mêlé ; b gé-néral rougis.it, baissait /a todte murmu-rait

-Vieille bêle L. Je soi jamais eommis

enleadirir pentessta I avee énergie contre les

"__''Caebe'T'ssNadioquh'erl'en'oe'eaznel.ant de sa fille,

parfaitement que je Discoupable maie nosollIocI-lia, Ço se oogi. aven ut 010p 00-

-dedie I Pour C' ' iI es tenon., ma fOrhoue en, avons c""". ''''achitle'gérin7P;enen>1:1'77"»":fait de toute le coulsurs ; il fal.it biennolis venger un peu de notre captivité-

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1.0 SEFIEUSE-END A /OU/ LU EIONDri

La ptus ImportanteMAISON

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