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Communiqué de presse

Cristóbal Balenciaga. Un legs atemporel COLLECTION III, nouvelle exhibition de la

collection au Cristóbal Balenciaga Museoa

L’exposition recueille une nouvelle révision des fonds de la Fondation Cristóbal Balenciaga Fundazioa

{62 (soixante-deux) pièces et un recueil de films et

d’infographies font partie de la nouvelle reprise de la collection

L’exhibition, qui sera inaugurée demain, compte sur la

collaboration de la maison Balenciaga Getaria, 25 avril 2013. La nouvelle exposition de la collection présente les principales caractéristiques de l’œuvre de Cristóbal Balenciaga, son développement créatif et l’inestimable valeur de ses contributions à la technique de la couture. L’exposition, dont le commissariat est assuré par Miren Arzalluz, curator et responsable des collections au Cristóbal Balenciaga Museoa, compte sur la collaboration de la maison Balenciaga. Les strictes conditions de prévention et de conservation qu’exige la correcte exhibition des fonds de la Fondation nous obligent à procéder à la rotation contrôlée desdites pièces. La révision de la collection insuffle un certain dynamisme à la présentation des pièces, s’éloignant ainsi du caractère statique inhérent aux expositions permanentes classiques. {La collection exhibée jusqu’au printemps 2014 comprend 62 (soixante-deux) pièces, un recueil de films sur le travail du grand couturier-créateur dans la maison, et 9 (neuf) infographies montrant la construction de certaines pièces remarquables et mettant en relief l’habileté technique de Cristóbal Balenciaga. Nouveau discours de l’exposition L'objectif de l’exhibition Cristóbal Balenciaga. Un legs atemporel. IIIe COLLECTION est de montrer les principales caractéristiques de l’œuvre de

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Cristóbal Balenciaga, ainsi que sa contribution décisive à l’histoire de la mode et de la création. À travers trois salles disposées chronologiquement, l’exposition explore la trajectoire du couturier de Getaria depuis ses débuts à Saint-Sébastien jusqu’à son règne à Paris, et se termine avec une analyse de son extraordinaire legs technique, qui continue d’influencer le travail des plus célèbres créateurs contemporains. Le discours de l’exposition change par rapport à celui de l’exhibition précédente, et améliore l’expérience du visiteur d’un point de vue didactique. Cette nouvelle approche approfondit non seulement le sujet sur les caractéristiques fondamentales du travail de Cristóbal Balenciaga, mais aussi le thème sur les principales influences artistiques et esthétiques cachées derrière son travail, et sa contribution technique et artistique à l’histoire de la mode. La reprise offre une lecture plus cohérente et plus complète de l’évolution de l’œuvre de Cristóbal Balenciaga, et rend cette Collection unique au monde. Pièces emblématiques La collection présente un ensemble de pièces emblématiques par leur cohérence chronologique et leur provenance. À noter la présence d’une robe de l’an 1925 -très peu de modèles de cette époque sont conservés, et tous ceux qui existent appartiennent aux fonds du musée- ; en plus des quatre robes cédées par les archives de la maison Balenciaga qui datent des premières années du couturier à Paris (1937-1941). Les novatrices propositions des années 50 y trouvent également leur place. La robe tunique, la robe sac et la robe baby doll, des pièces devenues de vrais symboles de la mode occidentale, révèlent le règne incontesté de Balenciaga. L’exposition se termine avec l’évolution progressive du couturier vers un minimalisme constructif qui atteint sa plus haute expression avec les collections de 1967 et 1968. Une autre des valeurs exceptionnelles de la collection réside dans la provenance des pièces. Des personnages célèbres du XXe siècle, tels que Rachel L. Mellon, Patricia López Wilshaw, Madeline Dittenhofer, Elisabeth Horcher, Meye Allende, Margarita Mendívil ou Sonsoles Diez de Rivera portèrent certains des modèles exposés. De plus, d’autres donations furent également faites par d’illustres personnes, comme le propre Hubert de Givenchy, le président de la Fondation. Les salles et leur contenu Première salle Des débuts à la consolidation Balenciaga ouvrit son premier atelier de haute couture en 1917, alors qu'il n'avait que 22 ans. Ce fut le début d’une intense activité, matérialisée par

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l’ouverture de plusieurs maisons à Saint-Sébastien, Madrid et Barcelone, avant de s’installer à Paris en 1936. Le succès de sa première collection parisienne en août 1937 fut aussi immédiat qu’impressionnant. Après vingt années à travailler comme couturier à Saint-Sébastien, il était déjà un créateur affirmé, prêt à triompher dans le milieu de la haute couture internationale. Les créations de Balenciaga se distinguèrent dès le début par leur sobriété et leur coupe impeccable, avec leurs audacieuses combinaisons de couleurs ou l’inspiration espagnole de ses modèles : un résultat que le public expert de Paris trouvait aussi surprenant qu’exotique. À la fin des années 30 et tout au long des années 40, les collections de Balenciaga présentaient quelques-uns des éléments, des influences et des ressources qui caractériseraient son œuvre jusqu'à la fin de son activité professionnelle. L’utilisation de superbes dentelles et le recours à l’historicisme étaient déjà évidents dans ses créations de cette période. Pièces remarquables de cette période : Robe d’après-midi en gaze et satin de couleur noire. Cristóbal Balenciaga, Saint-Sébastien. Ca. 1925 Elle montre à l’avant un décolleté en V plongeant et une encolure de type smoking, ainsi qu'une broderie en fils de soie de la même couleur, qui représente des motifs floraux d'inspiration orientale. La robe est brodée de motifs floraux et garnie de larges franges qui évoquent les châles de Manille aussi en vogue dans les années 20. Le volume courbé du dos rappelle le tombé du traditionnel kimono japonais, tel qu’il fut interprété par les grands innovateurs de la mode du début du XXe siècle, comme Paul Poiret. Ces deux influences furent déterminantes dans les créations de Balenciaga jusqu’à sa retraite en 1968. Ensemble de soirée composé d’un corsage et d’une jupe en satin de soie vert d’eau, avec broderie en fils de soie. Balenciaga Paris, 1939. Le grand col du corsage, enroulé de façon à former une capeline, devient l’élément principal de l’ensemble. Le modèle évoque la mode courtisane des XVIIIe et XIXe siècles que Balenciaga connaissait si bien. L’arrivée de Balenciaga à Paris coïncide avec une tendance marquée par le révisionnisme historique chez les grands créateurs du moment. Au même temps, une grande exposition organisée en 1939 par la Société des Nations de Genève exposait l’œuvre des grands maîtres de la peinture espagnole, avec des pièces sauvées du Musée du Prado en pleine guerre d’Espagne. Cette exposition est vite devenue l’événement culturel de l'année sur le plan international. Tout cela donna à Balenciaga l’opportunité de montrer son interprétation particulière de la mode en se basant sur son propre bagage culturel et esthétique.

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Veste courte en velours de soie de couleur noire garnie de minuscules perles et de franges de jais. Balenciaga Paris, 1946. Cette pièce représente une élégante interprétation de l’influence des costumes traditionnels espagnols. Cristóbal Balenciaga trouva dans certains éléments de cette tenue la force et l’exotisme qui éblouirent le public international. Cette inspiration provient à la fois du vêtement qui caractérisait les majos au XVIIIe siècle et que le couturier connaîtrait bien grâce aux peintures de mœurs de Goya. Aux vestes courtes de style torero s'ajoutèrent, surtout dans les années 1940, l’utilisation de la passementerie et de la dentelle ou une interprétation insolite de la mantille. Deuxième salle Le règne incontesté de Balenciaga Les années 50 et 60 constituent l'âge doré de la carrière de Cristóbal Balenciaga. Après les succès retentissants dans les années 40, Balenciaga sentait qu’il avait l’autorité et la reconnaissance pour commencer une période d’extraordinaire expérimentation formelle et esthétique, qui le conduirait à concevoir certaines pièces marquantes de l’histoire de la mode occidentale. Les tenues exposées dans cette salle constituent une représentation des caractéristiques qui reflètent les propositions de Balenciaga pendant ces années. Sa prédilection pour l’ornementation se retrouve dans l’utilisation d’exquises dentelles de diverses inspirations, toujours équilibrées par des silhouettes d’une grande simplicité formelle. La préoccupation de Balenciaga pour la silhouette commença à la fin des années 40 et donna naissance à d’innovantes propositions dans les années 50 : la robe tunique, la robe sac et la robe baby doll. Dans toutes ces propositions, Balenciaga misait sur des lignes fluides qui caressaient le corps sans le contraindre, en garantissant le confort et la liberté de mouvement de son utilisatrice. L’expérimentation formelle de Balenciaga arriva à son comble dans les années 60 avec l’abstraction du corps de la femme, estompé par des imprimés fleuris et géométriques ou enveloppé dans des volumes inédits. Sa connaissance approfondie des matériaux et de la création, sa relation avec le fabricant suisse Gustav Zumsteg et de nouveaux tissus aux qualités sculpturales comme le gazar, furent déterminants dans la réalisation de formes aussi extraordinaires. Des thématiques remarquables au cours de ce parcours : La broderie Cristóbal Balenciaga recouvrait un grand nombre de ses plus remarquables créations d’exquises broderies aux motifs divers, œuvre des meilleurs artisans de Paris. D’historiques maîtres de la broderie tels que Lesage, Mesrine ou Rébé étaient les fournisseurs habituels de la maison Balenciaga. Balenciaga Paris, 1960. Déshabillé en faille jaune avec motifs floraux brodés avec du fil de chenille de couleur mauve.

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Robe de soirée en satin de soie lilas, avec motifs floraux brodés en lilas, jaune et noir. Balenciaga Paris, 1960. La tunique Balenciaga avait une prédilection très marquée pour cette silhouette classique qui répond à l’idéal de la beauté atemporelle et impérissable qu’il recherchait dans ses créations. Le couturier interpréta la tunique de manières très diverses, en jouant avec la couleur et la décoration pour compenser sa particulière simplicité formelle. Robe tunique en satin de soie noir et tulle mécanique de la même couleur, brodée de paillettes et de perles de verre. EISA Madrid, 1964. Robe tunique de crêpe de soie aux imprimés floraux blancs sur un fond fuchsia. EISA Madrid, 1968. La silhouette sac Balenciaga présenta la silhouette sac dans sa collection hiver 1957. Après avoir introduit la ligne semi-ajustée en 1951, Balenciaga s’était distingué par ses innovateurs substituts du new-look corseté, dont le but était de doter la femme d’une beauté plus naturelle et d’une liberté de mouvement plus importante. La robe sac se caractérise par ses lignes fluides, courbées au niveau du dos, qui effleurent le corps sans l’étouffer. Balenciaga Paris, 1965. Robe cocktail en soie blanche aux imprimés abstraits de couleur fuchsia. Balenciaga Paris, 1966. Robe cocktail en crêpe de soie noire. L’imprimé Balenciaga se servait des tissus imprimés à profusion, notamment pour ses tenues de jour et de cocktail. Conçus par les meilleurs créateurs textiles du moment, et produits par les fabricants européens les plus réputés, les imprimés utilisés par Balenciaga se caractérisaient par leurs grands motifs graphiques et des dessins floraux semi-abstraits. EISA Saint-Sébastien, 1959. Ensemble de cocktail composé d’une robe et d’une veste en damassé blanc et noir. Balenciaga Paris, 1965. Robe cocktail en soie de couleur blanche, avec des imprimés géométriques noirs. La dentelle

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La dentelle était un des tissus préférés de Balenciaga. Sa passion pour la mode historique le mena en s’en servir pour recréer certaines des tenues les plus somptueuses des époques passées. Dans ses innovations plus formelles, il en fit appel pour insinuer le corps de la femme sans le montrer d'une manière évidente. EISA Madrid, 1961. Robe cocktail en dentelle de couleur mauve. Balenciaga Paris, 1958 Robe de soirée en satin de soie et tulle mécanique brodé, les deux de couleur magenta. Les volumes Les extraordinaires volumes créés par Balenciaga dans certains de ses designs des années 50 et 60 constituent l’un des éléments qui définissent son héritage. Ses créations possèdent une certaine autonomie par rapport au corps qu'elles recouvrent, et s'apparentent plus à une sculpture ou à une construction architecturale qu'à des robes. Cette particulière vision de la couture valut à Balenciaga le titre d’« architecte de la haute couture ». Balenciaga Paris, 1958. Robe de soirée en satin de soie et dentelle de couleur noire et taffetas de soie rose. Balenciaga Paris, 1966. Robe de soirée en gazar de couleur écrue.

Troisième salle La technique Balenciaga : le legs Cristóbal Balenciaga était admiré et respecté, et il devint un couturier culte de sa propre époque. Sa maîtrise de la technique, sa cohérence et sa vision lui valurent la reconnaissance de ses pairs les plus exigeants, et la contemporanéité de son héritage impressionne et inspire les créateurs du XXIe siècle. Depuis ses années de formation jusqu’à la fin de sa carrière, Cristóbal Balenciaga travailla avec persévérance et rigueur dans le développement d’une technique parfaite, que personne encore aujourd’hui n'a surpassé. Profondément influencé par les innovations révolutionnaires vestimentaires des années 20 et 30, Balenciaga évolua progressivement vers un minimalisme constructif qui atteignit sa plus haute expression dans les dernières collections de 1967 et 1968. À l’habileté technique de Balenciaga s’ajoutèrent son incessante expérimentation textile et une continuelle recherche de l'équilibre et l'harmonie dans l'esthétique, toujours guidé par son propre concept de l’élégance, synthèse de sobriété et d’audace. Les tissus, soigneusement étudiés et sélectionnés, donnaient forme à ses créations épurées, fruits de ses diverses inspirations historiques et culturelles. Coco Chanel dit de lui qu’il était le seul vrai couturier, car, contrairement à ses contemporains, lui seul était capable de couper un tissu, de le monter, de le

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coudre de sa main, du début à la fin. Christian Dior le surnomma « Notre maître à tous » et Hubert de Givenchy continue de le citer en tant qu’ « architecte de la haute couture ». La pérennité de son héritage montre que ces témoignages sont aujourd’hui toujours d’actualité, comme lorsqu’ils furent prononcés pour la première fois. Pièces remarquables de cette période : Robe de cocktail en soie sauvage blanche, avec imprimé à fleur dans les tons verts. EISA Madrid, 1961. L’avant de la robe se distingue par la coupe de la hanche, droite à l’avant et courbe sur les côtés. La part belle de cette robe réside dans le volumineux drapé de son arrière. Balenciaga s’inspirait de divers éléments de la mode historique pour parvenir à ce type d’effets dans le dos. Dans ce cas, le drapé du dos rappelle les caractéristiques des plis particuliers à la blouse ou « robe à la française » qui domina la mode européenne au XVIIIe siècle. Manteau de jour droit en serge de rayonne orange, avec décolleté rond et encolure collée. EISA Madrid, 1964. L’attention se concentre sur la fermeture à l’avant par un double boutonnage et sur la découpe simple sous la poitrine. Les coutures à l’avant descendent verticalement et masquent les poches, un effet particulier sur les manteaux de Balenciaga. Une martingale attachée par deux boutons reprend le dos et la coupe en dessous. La manche, une vraie obsession du couturier, est collée et coupée avec une précision rigoureuse, qui garantit une liberté de mouvement totale. Tout comme la manche collée, la manche kimono revient souvent sur les manteaux imaginés par le couturier. Balenciaga adaptait la manche kimono à la forme du bras grâce à une pièce triangulaire qui s’insérait à hauteur de l’aisselle. Cape en laine jaune, avec pied de col et empiècement parcourant l’avant et le dos. Balenciaga Paris, 1967. Ce modèle fait partie de la dernière collection présentée par Balenciaga à Paris en août 1967, et nous montre bien la qualité architecturale que ses créations acquirent à la fin de sa carrière. La cape est fermée et elle n’a pas d’ouvertures pour les bras, qui se tiennent droits dans le vêtement. Deux boutons placés à la hauteur du col et de la coupe de l’empiècement servent de fermeture. Cette cape fut d’abord conçue pour être portée sur une veste de tailleur à carreaux écossais.

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Balenciaga avait un goût prononcé pour les capes et les capelines qu'il utilisait pour transformer la physionomie de ses dessins. Cette exposition, qui ouvre ses portes au public le 26 avril prochain, présentera également de nouvelles pièces des fonds de la Fondation au printemps 2014. Le musée et la collection Le Cristóbal Balenciaga Museoa est une initiative de la Fondation Cristóbal Balenciaga Fundazioa avec pour objectif de promouvoir, diffuser et favoriser l’importance de la personne et de l’œuvre du génial créateur originaire de Getaria, et d’être une référence internationale de première magnitude dans le monde de la création artistique en général et dans le monde de la mode et de la haute couture en particulier dans la seconde moitié du XXe siècle. Le Musée fut inauguré le 7 juin 2011. La Fondation Cristóbal Balenciaga Fundazioa thésaurise une collection unique au monde de l’œuvre du génial couturier-créateur. Son envergure (plus de 1 400 pièces, et leur nombre continue d’augmenter) et sa diversité formelle et chronologique (elle comprend les modèles les plus anciens et les plus récents du génie) font de celle-ci une exposition complète, cohérente et du plus haut niveau international. Pour plus d'informations : Zuriñe Abasolo [email protected] Tél. +34 664512483 / +34 943 004 77