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Nom de la société – nature de la mission – date Ce rapport est destiné aux membres du comité d’entreprise 1 Comité Basic Metals /Acier d’IndustriAll Cabinet Syndex Dominique Caboret et Philippe Morvannou La situation de la sidérurgie européenne début 2013 Février 2013

Comité Basic Metals /Acier d’ IndustriAll Cabinet Syndex

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La situation de la sidérurgie européenne début 2013. Comité Basic Metals /Acier d’ IndustriAll Cabinet Syndex Dominique Caboret et Philippe Morvannou. Février 2013. - PowerPoint PPT Presentation

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Comité Basic Metals /Acier d’IndustriAll

Cabinet SyndexDominique Caboret et Philippe Morvannou

La situation de la sidérurgie européenne début 2013

Février 2013

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La production mondiale d’aciers a poursuivi sa croissance en 2012 grâce à celle de la Chine mais aussi de la plupart des principaux pays producteurs

En 2012, la production d’aciers a progressé de 1,2% atteignant les 1 548 Mt.

La Chine a continué de tirer la croissance mondiale d’aciers contribuant pour 46,3% de la production globale (contre 38% en 2008).

Avec 717 Mt de tonnes d’aciers produites la Chine a poursuivi sa croissance (+ 3,1%) à un rythme plus modéré.

La plupart des principaux pays producteurs d’aciers au niveau mondial sont demeurés sur une tendance de croissance en 2012 hormis le Japon (-0,3%), le Brésil (-1,5%) et l’Ukraine (-7%).

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Une période marquée par le retrait de l’Europe qui connaît le redressement le plus faible depuis la crise

2012 est aussi marquée par la poursuite du retrait de l’Union européenne, région dont la production a connu le plus faible redressement depuis la crise (-19%).

Ainsi l’Europe voit-elle son son poids s’affaiblir dans la production mondiale d’aciers avec 11% en 2012 contre 16% en 2007.

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Un scénario de reprise de la consommation européenne d’aciers en 2014

Selon les prévisions réalisées par Eurofer en début d’année, la consommation apparente d’aciers de l’Europe poursuivrait son retrait (-0,7%) en 2013 avant une inversion de la tendance attendue pour 2014.

Le scénario retenu pour 2014 est celui d’une reprise lente avec un niveau de consommations d’aciers dans l’UE légèrement inférieur à celui de 2010, année de la reprise après crise.

La baisse est due à la phase récessive de l’économie en général, mais avec un impact plus prononcé dans le sud de l’Europe, dans les secteurs de la construction et de l’automobile et la dégradation de la situation polonaise.

La consommation apparente d’acier dans l’UE atteindrait 142 Mt en 2012, un niveau inférieur de 23% à la moyenne 2004-2008.

Considérant les années 2012 et 2013 comme les points bas de la consommation européenne d’acier, nous estimons à 180 Mt la base de consommation d’aciers en Europe, une fois la période de crise aiguë passée.

Un niveau à comparer à une consommation moyenne d’acier en Europe de 185 Mt entre 2004 et 2008.

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Selon MEPS après la baisse de 2012, la consommation apparente de l’Europe des 27 devrait se redresser légèrement en 2013.

Après une baisse de de 13Mt en 2012 (-8,7%).

La production de 2012 est estimée à 170 Mt contre 177,7 Mt l’année précédente (-4%).

MEPS estime que les niveaux de productions vont connaître un redressement continu à partir de 2013, avec un niveau de production d’acier anticipé à 188,5 Mt à l’horizon 2016 (+11% par rapport à 2012).

Selon MEPS la reprise de la consommation apparente devrait s’amorcer dès 2013 avec un redressement lent mais continu jusqu’en 2015

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En 2012 la production d’aciers de l’Europe recule de 8 Mt

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Le taux d’utilisation en 2012 s’établit à 71% en Europe compte tenu des fermetures d’outils

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Tous les pays de l’Union européenne connaissent une baisse de leur production en 2012 hormis le Royaume-Uni (avec l’effet Teesside remis en marche au printemps 2011)

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Une disparité de situations entre les pays européens

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Depuis mi 2011 une balance commerciale aciers en nette amélioration…

La baisse de la demande sur le marché interne s’est traduit par une baisse de 31% des importations lors des 11 premiers mois de 2012 par rapport à la même période de 2011.

La baisse des importations est plus importante pour les produits plats (-34%) par rapport au longs (-18%).

La relative croissance des exportations (une hausse de 6% pour les 11 premiers mois de 2012 par rapport à la même période de 2011) a été assurée par la compétitivité des produits, due en partie à un euro plus faible sur la première partie de l’année.

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…grâce au repli des importations de produits plats situées à un niveau historiquement bas et la hausse tendancielle des exportations pour les plats comme pour les longs

Les livraisons des producteurs européens et donc les parts de marché de l’Europe ont bénéficié du retrait des importations tout particulièrement dans les produits plats depuis mi 2011.

Ainsi la balance commerciale dans les produits plats est redevenue positive depuis septembre 2011 et le solde de la balance commerciale n’a cessé de se redresser depuis.

Les importations de produits plats (937 Kt en moyenne mensuelle sur 2012) sont tombées à un niveau historiquement bas.

L’amélioration du solde extérieur devra passer par les exportations en 2013.

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Les capacités de production arrêtées début 2013

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L’ajustement à la demande d’aciers par les arrêts de capacités définitifs et temporaires La production européenne d’acier s’établit à 169 Mt en 2012, après 178 Mt l’année

précédente.Pour rappel, les productions entre 2004-2008 atteignaient en moyenne 203 Mt par an.

La sidérurgie européenne est en crise et, si aucun des pays producteurs d’aciers n’a pas retrouvé les niveaux de production antérieurs à 2009, à l’exception de la Chine et de la Turquie, l'UE27 est la zone la plus touchée par la récession industrielle. Aucune amélioration n’est prévisible à court terme avec une reprise envisageable à partir de 2014.

Depuis la crise financière de la fin de l’année 2008, les capacités de production d’acier dans les pays de l’UE ont d’ores et déjà été réduites de près de 40 Mt par rapport à 2008, et plus de la moitié des fermetures d'outils ont été annoncées comme définitives.

Cette baisse spectaculaire des capacités de production européenne constitue le principal facteur d’ajustement de l’offre et de la demande d’aciers sur les marchés européens.

Entre fin 2012 et le premier trimestre 2013, 7 Mt de capacités ont été remises en marche pour répondre au rebond de la demande sur le début de l’année. Pour l’essentiel, il s’agit des hauts-fourneaux arrêtés pour réfection ou maintenance en 2012 et dont les arrêts ont été parfois prolongés au-delà.

Ainsi ont été remis en marche le BFB de Gijon et le BF2 de Dunkerque, tandis que le haut-fourneau de Port Talbot, en réfection depuis l’été 2012, revient avec une capacité de production de 2,47 Mt (accrue de 500 Kt).

Seul le HF de Duisbourg demeure arrêté malgré l’achèvement de sa réfection (1,7 Mt).

Est également pris en compte le redémarrage de la phase à chaud des installations Evraz en République tchèque, arrêtées depuis octobre 2012 (950 Kt).

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Des arrêts temporaires qui risquent de devenir définitif

En ce début d’année 2013, la capacité de production d’aciers bruts en Europe peut être estimée à moins de 176 Mt, dont 14,2 Mt pourraient être théoriquement redémarrées lors de la reprise de la demande d’aciers.

On ne peut cependant que mettre en doute le prolongement des arrêts temporaires comme une manière de sauvegarder les capacités de production dans un environnement compétitif.

Ainsi de nombreuses installations arrêtées ou marchant au ralenti voient leur pérennité aujourd’hui menacée :

les capacités en cours de déclassement (Alfonso Gallardo) ;

les capacités arrêtées et destinées à la cession, ainsi les unités de produits longs du sidérurgistes russe Mechel en Roumanie ;

les installations des sites belges (Louvières) de Duferco et NLMK, aujourd’hui concernées par un plan de restructuration avec un projet de suppression d’emplois (601 salariés sur 1 357 globalement) et de réduction des capacités de production. Le plan industriel développé par NLMK se traduirait par une réduction de capacité de production de 2,6 Mt à 1,5 Mt ;

les installations de Lucchini, au bord de la faillite et ayant demandé à être placé sous administration judiciaire début 2013.

À ces différentes installations il faudrait ajouter le site de Tarente Riva, dont l’avenir demeure incertain.

Les installations du site de Tarente fonctionnent à marche réduite depuis juillet 2012 et plusieurs outils ont fait l’objet d’arrêts en novembre dans le cadre du bras de fer opposant le gouvernement et la justice italienne. La remise en marche progressive depuis février des installations de Tarente laisse entière la question de son avenir industriel, le site devant être rendu conforme aux normes environnementales.

On notera par ailleurs que les 1,7 Mt de stocks de brames saisis en juillet 2012 reviendront sur le marché au premier trimestre 2013..

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Avec une capacité de production théorique de 176 Mt hors réfection et ralentissements de production, l’UE ne pourrait faire face au redressement de la demande d’aciers si les arrêts aujourd’hui temporaires se transformaient en arrêts définitifs.

Ainsi l’adaptation de la sidérurgie européenne à la crise et à la baisse conjoncturelle de la demande aura conduit à la naissance d’un déficit structurel de sa balance commerciale.

Après les nombreuses fermetures dans la production d’aciers bruts, et qui ont concerné aussi bien les hauts-fourneaux que les aciéries électriques, les restructurations s’étendent désormais à la transformation à froid, comme l’indique l’annonce par ArcelorMittal des fermetures définitives des laminoirs à Liège.

Ce projet de fermeture inclut la cokerie, le train à large bande de Chertal et la moitié des lignes des installations aval, parmi lesquelles un laminoir à froid, deux lignes de galvanisation, deux lignes d’électro-zingage.

Ce projet témoigne des risques pesant sur les sites intégrés, aujourd’hui en voie de démembrement par la fermeture de leur phase liquide.

À cela s’ajoute également l’annonce faite récemment par ThyssenKrupp de la possible fermeture ou cession de plusieurs outils avals en Allemagne et en Espagne.

Plusieurs lignes seraient concernées : la ligne de revêtement organique de coils n°1 de Duisbourg, l’une des deux lignes d’électro-zingage de l’usine de Dortmund, le laminoir à froid et les lignes de galvanisation et d’électro-zingage de Neuwied, les activités d’aciers électriques à grain orienté de TK Electrical Steel, la ligne de galvanisation de TK Galmed en Espagne.

Ces fermetures entraîneront des pertes supplémentaires de parts de marché pour les producteurs européens. Ainsi, il est fort probable que, lors de la reprise attendue pour les années 2014-2015, l’Europe deviendra importatrice nette d’aciers, notamment dans les produits plats qui sont les produits à plus haute valeur ajoutée.

Une union européenne devenant importatrice nette d’aciers d’autant que la stratégie de désinvestissement s’étend désormais aux installations à froid

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La nouvelle détérioration du marché de l’acier depuis fin 2011 s’est traduite par une multiplication de suppressions d’emplois dans la sidérurgie européenne.

Ces suppressions ou projets de suppression sont liées aux arrêts d’installations dans le chaud et récemment dans le froid, mais aussi aux différents plans d’économie réalisés et annoncés par les sidérurgistes, plans touchant le personnel de production comme les employés.

La distribution n’est pas épargnée avec une succession de fermetures de sites et de suppressions d’emplois (ArcelorMittal, Kloeckner et BE Group).

La dernière annonce réalisée est celle de Thyssenkrupp dont la réorganisation dans les aciers en Europe doivent se traduire par 3 800 suppressions d’emplois.

Dans cette période, le niveau d’investissement est un critère majeur pour juger de la pérennité des installations, en particulier pour les sites intégrés du fait de leur caractère capitalistique.

Pour augmenter la valeur ajoutée des produits et se différencier par rapport aux concurrents mondiaux hors Europe, il convient d’investir aussi bien dans la R&D que dans la modernisation des outils sous la contrainte majeure que constitue la rareté des matières et de l’énergie, deux facteurs majeurs dans l’industrie de l’acier du XXIème siècle.

La politique bas carbone n’est toujours pas à l’ordre du jour chez les sidérurgistes européens, comme le démontre l’impasse actuelle du projet d’investissement dans le recyclage des gaz de haut fourneau après le report sine die du pilote industriel de Florange.

Les pertes d’emplois et de compétences, ainsi que le déficit d’investissements mettent en danger la sidérurgie européenne

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Après une baisse conséquente sur le deuxième semestre 2012, les prix des produits plats renouent avec une tendance haussière en fin d’année en particulier pour les HRC

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Une évolution plus contrastée du prix des produits longs avec une hausse entre 1% et 12% entre novembre 2012 et mi-février 2013

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Cependant une progression des prix de vente en retrait au regard de celle du prix des matières premières depuis octobre 2012

Après avoir connu une baisse de plus de 40% par rapport aux plus hauts niveaux de 2011, le prix du minerai de fer s’est redressé à 155 $/t en janvier 2013 (soit +52% depuis septembre 2012).

De même après être descendu de 39% depuis le début de l’année 2012, le prix du charbon à coke s’est redressé à 210 $/t en janvier 2013 (+17% depuis septembre 2012).

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…qu’il s’agisse des matières minérales ou des ferrailles depuis octobre

A 295 €/t, le prix des ferrailles connaît un rebond de 18% entre octobre 2012 et janvier 2013. Sa baisse tendancielle amorcée depuis le point haut atteint début 2011 a ainsi été interrompue.

Le prix de la ferraille est cependant de 23% inférieur au plus haut niveau atteint en janvier 2011.

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Aussi les marges sur matières unitaires stoppent leur redressement dans les produits longs et se replient dans les plats