Commission restaurationMardi 20 janvier 2015

Partenaires représentés : - la municipalité (M. DUPUIS, maire adjoint, des responsables petite enfance, le

responsable de la cuisine centrale, la diététicienne)- trois directeurs d’école- de nombreux parents

Fréquence de cette commission : réunion 2 fois par an.

2 aspects principalement abordés : contenu des menus ainsi que l’organisation/encadrement.

1. LES MENUS

La municipalité propose la suppression des pique-niques lors des sorties scolaires avec un dégrèvement sur la facture de restauration scolaire. Après discussion, cette proposition sera acceptée. (cette suppression ne sera effective que lors des sorties scolaires -> pas d’impact sur les centres de loisirs notamment durant les vacances scolaires). Intérêts : économies, moins de gâchis (nombreuses critiques sur ces repas soumis aux normes de conservation des aliments), éducation au partage, à l’échange.aspects négatifs et solutions : la municipalité fournira un « kit de secours » aux écoles pour les enfants qui n’auront rien : chips, saladière, bouteille d’eau … et l’école complètera au dernier moment de pain de mie, jambon de dinde … Des suggestions pour la composition de ces pique niques pourraient être fournies par les écoles.

La semaine du goût a été réduite à la journée du goût pour des questions budgétaires mais aussi une certaine lassitude pour une action peut-être vieillissante. Les journées à thème sont maintenues.

Les enfants qui ne mangent pas de viande. Dans certains plats on ne peut dissocier les deux (exemple du hachis Parmentier), certes, c’est aux familles de s’organiser en amont (puisque les menus sont connus), il n’y aura pas de plat de substitution proposé. Toutefois, la diététicienne veille en général à concevoir une entrée appréciée des enfants ces jours-là. Lorsque c’est possible, comme pour pâtes à la Bolognaise, la sauce est proposée à part. A la question d’un parent il est précisé que les légumes ne sont pas cuits dans du jus de viande.

En ce qui concerne les quantités, les menus sont établis en fonction de grammages obligatoires. Au goûter il y a actuellement deux composants, un 3ème est possible mais avec une augmentation du prix.

Pour la prochaine commission sera étudiée le nombre de composants des repas en maternelle : 5 c’est trop, il y a beaucoup de gâchis, 4 peut-être en augmentant les quantités ? Il est précisé que les enfants ne sont que peu habitués à disposer chez eux

d’un repas comprenant entrée, plat, fromage puis dessert. Les plus jeunes sont perdus dans cette succession de plats.

20% de produits bio : à ce jour, c’est une recommandation, pas encore une obligation. Il y a en alternance un ou deux produits bio par semaine (sauf en septembre).Suggestion de travailler sur des circuits courts avec des producteurs de région (comme le conseil général le fait sur les collèges possédant leur propre cuisine). Mr Dupuis soutient ce projet et souhaite le voir rapidement aboutir.

La collation du matin est aujourd’hui interdite par l’éducation nationale. Certes il y a des enfants qui ne mangent pas le matin ou qui prennent leur petit déjeuner avant 7H00 pour un déjeuner à plus de 12H, mais ce qui prime sont les recommandations sanitaires face à l’obésité grandissante.

2. L’ORGANISATION

La mise à disposition des menus est tardive ; pourtant envoyés en mairie le 5 du mois précédent par la diététicienne : les responsables vont voir ce qu’ils peuvent faire mais à minima ils seront envoyés en un exemplaire pour affichage dans les écoles (cela peut-être important pour les enfants bénéficiant d’un Projet d’Accueil Individualisé). Il est également proposé de le remettre dans le nouveau « Choisy infos ».Un parent suggère d’insérer également la référence de la fabrique à menus http://www.mangerbouger.fr/bien-manger/la-fabrique-a-menus.html#menuSur notre groupe scolaire, ils sont disponibles en maternelle, mais qu’en est-il en élémentaire ?

Manque de repas : Le nombre de repas livré est prévisionnel, mais il y a toujours un ré ajustage, au pire avec un menu différent.

Pour assister à un service de cantine, il faut en faire la demande au directeur de l’école et à M. DUPUIS, par mail, une dizaine de jours avant la date souhaitée.

La liaison froide : production à J-3 dans la cantine centrale - Info législation : - cuisson à 63°C- refroidissement à 0-3 °C- livraison à 0-3 °C- Réchauffage à 63°C

Les documents d’enquête de satisfaction envoyés aux directeurs sont peu suivis cette année. Toutefois ceux présents disent avoir remarqué plus de saveurs dans les plats servis.

Problèmes avec certains animateurs ou surveillants de cantine.On retrouve la question des petits contrats de 8h et du turnover (ce qui devait disparaître avec les NAP, selon Mme JUHEL … 

Cette année 5 directeurs ne sont plus responsables du service de demi-pension (5 animateurs permanents assument désormais un rôle de coordinateur). Compte tenu des différences d’implication des directeurs sur ce temps là, M DUPUIS émet l’ide de revoir le cahier des charges des directeurs choisissant d’assumer cette fonction.

Les PAI alimentaires : 15 PAI alimentaires sur la ville pour lesquels les parents fournissent les repas : seules les ATSEM ont été formées, il y a trois ans.

La facturation La facturation à l’acte : problème important de logiciel

Absence des enseignants : que l’enfant reste à l’école ou pas, il n’y a pas de dégrèvement sur la facture de cantine.Grève : une note est en préparation au bureau municipal : prévenir à temps en cas de grève : accord avec les organisations syndicales pour respecter les délais de préavis. Si c’est la production qui est en grève, le pique nique serait possible à condition d’avoir un taux d’encadrement suffisant. Si c’est la surveillance, pas de service de cantine.