COMPAGNIE DE L’ENELLE théâtre métisse, musical & urbain218 rue d’Endoume,13007 Marseille + www.enelle.org 1COMPAGNIE DE L’ENELLE théâtre métisse, musical & urbain218 rue d’Endoume,13007 Marseille + www.enelle.org

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QUI EST-ELLE ?

La compagnie de l’Enelle a été créée en 2003 par Lamine Diagne, autour d’une pre-

mière création «Asaman conte conté à raconter», programmé au Festival Off d’Avignon. Le suc-cès de cette opération a poussé cet artiste marseillais, comédien, musicien et conteur, à développer d’autres projets.

FONCTIONNEMENTET PERSPECTIVES

L’Enelle est soutenue par les collectivités territoriales à 30% environ (Ville de Mar-

seille et Conseil Général) et fonc-tionne avec un budget moyen

annuel de 35 000€. Pour fonc-tionner, elle externalise certains besoins (comptabilité, site inter-net...), et fait régulièrement inter-venir des professionnels intermit-tents du spectacle vivant (chargée de projet, chargée de diffusion...) lui permettant d’avancer et de se structurer.

Elle a pour ambition de diffu-ser plus largement ses spec-tacles en France, d’accroître

ses ressources humaines et de développer encore plus ses ac-tions en hôpitaux.

LE REPERTOIRE

La Compagnie de l’Enelle pro-pose des spectacles «tout public» et «jeune public»,

faisant intervenir un conteur, un vidéaste et des musiciens. S’ajoutent des formes d’oralité plus urbaines telles que le Slam et le Spoken Word. Dans des uni-vers oniriques peuplés de fan-tômes sympathiques, dont une grand-mère africaine, Lamine ini-tie son public à la palabre, avec douceur et humour. Eric Massua, son complice vidéaste - bidouil-leur numérique, utilise la vidéo et la 3D, grâce auxquelles décors et objets deviennent mouvants et agissants.

Avec des complices musiciens et chanteurs, la Compagnie de l’Enelle propose cinq spectacles:Tout petit hommeLes aventures de SlimLe jour où j’ai quitté la TerreSous l’Arbre à palabresA propos du mystère

LA PAROLE (RE)-DONNÉE :LES HITOIRES SINGULIÈRES

Parallèlement, la compagnie mène des actions particu-lières, appelées les «Histoires

singulières», auprès de publics «éloignés», en milieu hospitalier, auprès d’autistes, d’enfants souf-frant de troubles du comporte-ment, de poly - handicapés, de personnes âgées...Grâce à ces «rondes de paroles» les patients s’évadent de leur quotidien. Ces interventions spé-cifiques en milieu médicalisé nour-rissent les créations de la Cie de L’Enelle, car c’est dans l ‘écoute de ces publics que naît l’inspiration ! Ces «histoires singulières» deviennent ensuite des spec-tacles joués devant le tout public.

Contes africains et urbainspour tous les publics tout public à partir de 3 ans

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A La compagnie de l’Enelle présentation

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ERIC MASSUALe complice v i d é a s t e , trombinosco-peur, bidouil-leur.

Pour la C o m p a -gnie de

l’Enelle, il est le complice scé-nographe des «Histoires singu-lières». Depuis une dizaine d’an-

nées, il réalise des installations vidéos interactives.

Né à Troyes, il obtient en 2000 un DESS de Cinéma. Il s’investit dans des projets

image, musique et scénographie. Il expose ses installations vidéo dans les lieux d’art contemporain (La Villette, La Friche la Belle de Mai, la Laiterie...), il part en tour-née musicale en Europe, en Asie et aux Etats-Unis en tant que trompettiste (Jugal Bandi, Same-nakoa) et il réalise des projec-

tions monumentales (EDF, Palais du Pharo).

En 2003 il commence un travail artistique régulier dans le monde hospitalier.

S’en suivra des courts-métrages (ICOM), des installations vidéos (Cow Parade), des spectacles (Contosa, Caribou), et surtout de nombreux ateliers avec la volonté de passer au delà de la barrière du handicap et de ré-inventer la vie des patients durant leur sé-jour.

LAMINE DIAGNEL’Afrique en héritage et la passion du conte.

M a r s e i l l a i s d ’ a d o p t i o n , Lamine a étudié les arts plas-

tiques, (Ecole des Arts décora-tifs de Strasbourg), et la musique (Conservatoire de Marseille, saxo-phones, et flûte Jazz).

PARCOURS

En 2006, il rencontre François Cervantès (Compagnie l’En-treprise), avec lequel il se

forme au métier d’acteur. Plus tard, ce metteur en scène l’en-couragera à créer les «aventures de SLIM», personnage imaginé ensemble en travail de recherche.

Lamine est un artiste polyvalent. Conteur, multi - instrumentiste, réalisateur, auteur, interprète, il a collaboré avec divers artistes (Les Elastonautes, François Cer-vantès, le chorégraphe Nicolas Musin...), a joué ses créations et des concerts de ‘slam jazz’ dans des festivals (Avignon, Africajarc, Babel Dance, Street Festival à Gênes, Chalon dans la rue, Arts de la rue de Mulhouse, Festival de l’Ephémère, Florida musiques actuelles d’ Agen ...).

DONNER DU SENS

Ce qui l’intéresse avant tout est de donner du sens à son travail, de le partager et

d’entraîner le public hors de ses repères. C’est pourquoi, depuis une quinzaine d’années, à côté des spectacles dans lesquels il joue, il intervient en milieu défa-vorisé afin de sensibiliser ces pu-

blics au conte, à la palabre.Ainsi, il travaille avec divers types de structures: associations, centres psychiatriques, hôpi-taux... il anime régulièrement des ateliers d’éveil musical et d’ini-tiation au conte dans les écoles primaires et maternelles de Mar-seille.

LAMINE MUSICIEN

En tant que musicien, il col-labore régulièrement avec des artistes de renom (Ha-

bib Faye, Youssou N’Dour...); il accompagne divers groupes sur des scènes internationales: Festi-val international de Jazz de Mon-tréal, Festival de Jazz de Saint Louis ( Sénégal) , Street festival de Toronto, festival d’été de Qué-bec, Festival de jazz de Rogno-nas «Jazz au Château» ; Festival de Jazz des Cinq Continents de Marseille...

L’équipe de création2

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Qu’est-ce que ça raconte ?

Quand la nuit tombe, le vieux Kankou s’adosse contre le

tronc de l’Arbre à palabres, il se racle la gorge et les plus jeunes accourent. L’Arbre les emporte loin, bien loin du raisonnable, du rationnel, et toutes les histoires du vieux Kankou deviennent vraies ! Accompagné par le chant et la Kora, Lamine Diagne nous invite au voyage. Il raconte, au gré des objets, masques et gris-gris qui descendent de l’arbre. Dragons affa-més, hyènes stupides et gloutonnes, vieux sages et jeunes fous, la surprise est au rendez-vous.

Installation

Selon les différents sites le conteur puise dans le grand répertoire des

contes du monde, allant jusqu’à l’écriture d’un nou-veau conte pour un lieu inspirant... Un arbre grand et accueillant est baptisé «Arbre à palabres», on y installe dans ses branches d i v e r s é l é -m e n t s de nar-r a t i o n . Les deux i n t e r v e -nants demeurent mobiles, ils peuvent pro-mener le public avant de l’installer sous l’arbre élu. Selon l’espace et l’acous-tique du lieu (plein air, salle), le spectacle sera ou non so-norisé.

L’arbre à PalabresInitiation à la palabre, en musique et près d’un arbretout public à partir de 3 ansSpectacle SAISON 13, saisons 09/10 et 10/11

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Les cinq spectacles proposés par la compagnie peuvent se jouer en toutes circonstances et s’approprient tout type de lieu :plein air, boite noire, musées.

B Les spectacles de la compagnie de l’Enelle

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Qu’est-ce que ça raconte ?

Slim (Lamine Diagne) est un grand

garçon dégin-gandé et rê-veur imaginé

en laboratoire de création avec François Cervantès. Il est musicien

la nuit, vendeur à la FNAC le jour. Il vit à Marseille et son quotidien est tra-versé d’anecdotes à peine croyables. Les histoires qu’il raconte lui sont souf-flées par Mame Coumba, sa grand-mère d’Afrique.

Sur scène

il est accompagné par Bongi (Sibongile Mbambo) et Fred (Frédéric Salles).

Elle chante en Xhosa sa langue maternelle, avec un Udu, une percussion de terre cuite aux sonorités aqua-tiques; Fred l’accompagne avec sa guitare acoustique. Entouré par ces deux com-pagnons de route, Slim fait cohabiter avec beaucoup d’humour les événements de son quotidien avec des contes africains de grande sagesse.

Le jour où j’ai quitté la TerreSLIM, africanité et modernitetout public à partir de 5 ans

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Qu’est-ce que ça raconte ?

Accompagné par le chant et la Kora de Karamoko Bangoura,

Lamine Diagne nous ra-conte le voyage d’Egati au pays des génies – nains.

Avec humour, le conteur décrit les périples d’ Egati qui,

au sortir de l’enfance, n’a qu’un mot à la bouche: «Pourquoi ?». Il rencontrera le petit grand-père, la biche au ventre doré, l’affreux gé-nie roi possesseur des ma-rais, Karmé le chien, la belle mais redoutable Binta, et...

les quatre dernières marches qui le mèneront jusqu’à Orougani, le dieu qui voit et comprend tout.

Un partenariat radio

Radio Grenouille (88.8) a permis d’enregistrer une

version audio de ce spec-tacle. Des recherches d’édition sont en cours, afin de produire et diffuser un CD-livret audio destinés au jeune public.

A propos du MystèreUne épopée au pays des génies - nainà partir de 6 ans

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création

Qu’est-ce que ça ra-conte ?

Tout comme dans le spectacle «Le jour où j’ai quitté

la Terre», nous retrou-vons le person-nage de Slim. Slim musicien, vivant à Marseille, son quotidien est tra-versé d’anecdotes à peine croyables, son univers intérieur est à la fois drôle et inquiétant. Ses nuits, ses rêves, ses

journées de travail, ses voisins, ses collègues, les soirées entre amis sont le terrain d’impro-visation du conteur, ac-compagné du guitariste Wim Welker.

Note d’intention

«Lamine cherche une liberté d’inven-tion dans le mo-

ment présent, il veut se libérer du carcan des histoires déjà écrites pour pénétrer des couches plus profondes de la conscience et libé-rer des forces créatrices enfouies. La vie de Slim n’est pas infinie, pas plus que le nombre de pages d’un livre ou que le nombres de notes d’une partition. Sa vie

se réduit à un certain nombre d’évènements, de personnages rencon-trés, de lieux traversés, et la tentative de Lamine est d’embrasser la tota-lité du monde à partir de

ces éléments. Cette recherche donne à Lamine un lien or-ganique entre mu-sique et parole, une

densité de présence, et donne à voir la palpita-tion de la frontière entre réalité et fiction, et com-ment se font les récits de nos vies».

François Cervantès, dé-cembre 2011

Les aventures de SLIMSLIM et WIM, L’Afrique et la FNACtout public à partir de 10 ansSpectacle SAISON 13, saisons 2012-2013

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création

Art  d’être pleinement au présentMixité pour trouver de nouvelles saveurs sonores

Oser la force de la tradition et la fraicheur de formes nouvellesUnité du groupe au service d’une autre langue qui

Réveille les sens, l’envie et l’émotionAïssa Mallouk

Qu’est-ce que ça raconte ?

L’histoire de ce Tout pe-tit homme contée par Lamine Diagne

trouve un écho dans les textes à la fois actuels et intimes d’Aïssa Mallouk.

Leurs voix se superposent. L’un slamme, l’autre  conte.Tout petit homme naît et évolue à travers cet échange musical et vocal. Il traverse des déserts, des marais, des cités… cherche son chemin, ex-prime ses turbulences, ses doutes, ses joies.

Note d’intention

Dans une langue urbaine et poétique à la fois, le Slam raconte la ru-

meur interne, le grondement sourd d’un petit homme perdu, malmené, ignoré. Le conte nous ramène avec hu-mour et douceur à un état «d’enfance».Mené à deux voix, ce spec-tacle atypique propose un

voyage  vers le questionne-ment, l’ouverture et le par-tage. Le guitariste présent sur scène crée en direct diverses textures et am-biances sonores.

 A travers la quête de ce tout petit homme, c’est la quête de cha-

cun de nous qui se révèle.

 

Distribution

Lamine DIAGNE Conte, flûte traversière, doudouk, n’goni, Aïssa Mallouk Slam (que l’on pourra découvrir en 2013 dans «Ali Baba» le nou-veau spectacle de Macha Makeïeff) et Wim WELKER aux guitares et machines, guitariste largement recon-nu de la scène jazz française.

Tout petit hommeConte, Slam & Jazztout public à partir de 10 ans

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Bande-annonce sur www.myspace.com/toutpetithomme