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Ouverture de la réunion par Sophie BALZING de l’Association «Métis’Gwa» qui a réalisé la coordination de ces rencontres. Après les remerciements, présentation de nos invités : Gaël RIAS secrétaire général du C.N.D., Odile COUGOULE inspectrice de danse au ministère de la culture, nos invités haïtiens et les responsables ressources guadeloupéens présents. La parole est ensuite donnée à Philippe BON, (conseiller pour le spectacle vivant à la D.R.A.C.), initiateur de ces rencontres qui décline la méthode de travail de la réunion. Il fera un bref exposé pour poser la problématique de la Ressource et ses enjeux professionnels, économiques, politiques. Les centres Repriz, Textes en parole et l’APCAG poseront le débat en relatant leur propre expérience. Ensuite le débat s’organisera autour des questions que l’assistance posera aux intervenants et aussi à partir de l’expérience vécue des uns et des autres. 2010 Lundi 29 novembre Compte-rendu de la rencontre «SENSIBILISATION AUX ENJEUX de la RESSOURCE» Salle George Tarer

Compte-rendu de la rencontre «SENSIBILISATION … · Compte-rendu de la rencontre ... Elle se base sur l’observation pour accéder à la connaissance du milieu culturel : connaissance

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Ouverture de la réunion par Sophie BALZING de l’Association «Métis’Gwa» qui a réalisé la coordination de ces rencontres.

Après les remerciements, présentation de nos invités : Gaël RIAS secrétaire général du C.N.D., Odile COUGOULE inspectrice de danse au ministère de la culture, nos invités haïtiens et les responsables ressources guadeloupéens présents.

La parole est ensuite donnée à Philippe BON, (conseiller pour le spectacle vivant à la D.R.A.C.), initiateur de ces rencontres qui décline la méthode de travail de la réunion.Il fera un bref exposé pour poser la problématique de la Ressource et ses enjeux professionnels, économiques, politiques.

Les centres Repriz, Textes en parole et l’APCAG poseront le débat en relatant leur propre expérience.

Ensuite le débat s’organisera autour des questions que l’assistance posera aux intervenants et aussi à partir de l’expérience vécue des uns et des autres.

2010Lundi 29 novembre

Compte-rendu de la rencontre

«SENSIBILISATION AUX ENJEUXde la RESSOURCE»

Salle George Tarer

Philippe BON, conseiller pour le spectacle vivant à la Drac

L’émergence de la Ressource se fait par un travail sur le terrain et met en exergue des enjeux de SERVICE PUBLIC car elle prend en compte :

le patrimoine culturel (musical, danse, cinématographique, audio-visuel, théâtral) l’accompagnement des artistes en émergence ou confirmés l’accompagnement de la création artistique, de la production et de la diffusion

Elle se base sur l’observation pour accéder à la connaissance du milieu culturel : connaissance statistique, connaissance socio-économique, intellectuelle.

Elle prend aussi en compte la question de la formation de ses acteurs : formation professionnelle, formation initiale.

Elle s’intéresse à tout ce qui permet à la fois de relayer, d’accompagner l’aide publique souvent consacrée pour l’essentiel à la création, à la production, à la diffusion (pour la D.R.A.C.) et pas assez à la formation.

La formation d’une manière générale est considérée comme un véritable défi en Guadeloupe, comme en Haïti, pour le développement du spectacle vivant.

Il y a les Centres de Ressources, mais aussi des équipes plus modestes (parfois réduite à 1 personne) qui accomplissent au sein des Institutions culturelles (les médiathèques, les centres de documentation) un travail du même type, parfois plus spécialisé dans la documentation.

Ceci aujourd’hui dans un contexte de récession budgétaire. L’argent publique devient difficile à mobiliser ce qui rend nécessaire une réflexion et un véritable débat sur les objectifs stratégiques et des problèmes d’intérêt général pour la Région, la DRAC, les collectivités locales.

Il est annoncé la Conférence Régionale du Spectacle à laquelle se trouveront face à face les professionnels et les élus notamment du Conseil Général.

Il sera question de soutien publique en direction des Centres de Ressource, soutien qui doit être partagé aussi par d’autres personnes.

L’objectif de la réunion d’aujourd’hui est d’apprendre à se connaître, d’abord entre les équipes qui sont en Guadeloupe et aussi celles d’Haïti qui rencontrent les mêmes difficultés.

La francophonie doit faciliter les échanges entre la Guadeloupe, la Martinique et Haïti et permettre de faire un front commun pour apporter des solutions à des problèmes posés à l’échelle collective.

Gaël RIAS, secrétaire général du CND

La création récente du Centre National de la Danse (établissement public de l’Etat) pose de manière concrète toute la problématique de la naissance et du bon fonctionnement d’un Centre de Ressource.

Gaël Rias prévient ne pas être venu pour faire la communication du C.N.D. mais surtout pour être à l’écoute de ce qui se fait chez nous, mieux appréhender le contexte régional et voir si des collaborations sont possibles et imaginables.

La création du C.N.D. constitue un immense défi car il s’agissait de créer un outil répondant aux attentes de l’ensemble des métiers de la danse.

Le Centre national de la danse a été créé à l’initiative de l’État afin de rompre avec le paradoxe suivant, à savoir que la danse est très largement pratiquée par le plus grand nombre (bal, clubs, dans la rue, pratique en amateur très développée, etc…) que la créativité des artistes chorégraphiques français «explosait» et était largement reconnue à l’étranger sans que pour autant les métiers de la danse bénéficient de la reconnaissance méritée, notamment si l’on compare ceux-ci aux métiers de la musique ou du théâtre. Il convient de préciser que la Loi n°89-468 du 10 juillet 1989 relative à l’enseignement de la danse venait d’être promulguée et renforçait d’autant la nécessité d’avoir un lieu ressources pour les danseurs et dans un premier temps de répondre aux besoins de connaissance qu’avaient les futurs enseignants pour obtenir leur diplôme.Au fur et à mesure que le projet de création de cet établissement prenait corps, d’autres besoins se faisaient sentir : nécessité de disposer d’un studio de danse pour travailler, par exemple, ce qui est une spécificité du métier de danseur. En effet, un musicien ou un comédien peut travailler «à la maison» sans avoir au quotidien besoin d’une salle de répétition…Dans la majorité des cas, il est d’usage que les danseurs louent ces espaces de travail et c’est aussi une spécificité du métier que d’être obligé de payer pour pouvoir s’entraîner, répéter etc. alors même que la population des danseurs est, selon les études, dans une économie très précaire. En réponse à cette situation tendue, le C.N.D., dès la naissance du projet, prévoyait de mettre à disposition gracieuse des danseurs, un nombre important de studios de travail. Aujourd’hui, ce sont 11 studios qui sont occupés 12 heures par jour et 6 jours par semaine par un nombre très important de compagnies.Se pose aussi la question de la formation continue des danseurs professionnels. Le C.N.D. fait en sorte de leur permettre de bénéficier de Master classes et de cours quotidiens de grande qualité pendant les périodes où ils ne tournent pas.Plusieurs études ont permis de mieux comprendre ce qu’est le métier de danseur ( «métier : danseur») et ont permis d’appréhender ce qui fait sa spécificité. À titre d’exemple, le fait que la carrière du danseur peut être plutôt courte (arrêt à 43 ans pour les femmes et 45 ans pour les hommes), qu’une carrière puisse être arrêtée accidentellement… a obligé à mettre en place les mesures d’accompagnement du danseur dans une reconversion vers un autre métier.

En somme, il a fallu prévoir et établir au sein du C.N.D. un espace où pourraient être prises en compte les questions de santé, de nutrition, les questions juridiques et sociales.

Le C.N.D. existe pour accompagner les carrières. C’est un service public du danseur.

Le C.N.D. a été créé en 1998 – mis en place progressivement pour une inauguration en juin 2004

Mais tout ne s’est pas fait en un jour. Il y a donc une notion de progressivité pour mettre en place un Centre de Ressources. Ce type de création et de mise en œuvre doit s’envisager sur le long terme.

Progressivement le C.N.D. a construit un centre de ressources apte à répondre à de nombreuses attentes des danseurs, dans des domaines très divers mais tous constitutifs des métiers de la danse qui sont en constante évolution. Ainsi, l’ensemble du C.N.D. et notamment son Département Ressources professionnelles s’inscrit dans une mission d’information, d’accompagnement et de services aux professionnels de la danse .

1. L’organisation, un outil au cœur de la profession

Le CND s’affirme comme une institution originale au service de la danse déclinant de multiples actions et cherchant à offrir les chemins pluriels d’une rencontre entre la danse et son public.Dans cette perspective, le développement d’un axe fort de services aux professionnels répond aux besoins d’un secteur qui reste fragile dans ses équilibres économiques comme dans ses relations à l’emploi.La notion de centre ressources très sollicité ces dernières années dans le secteur de la culture permet au CND de bénéficier de cet atout non négligeable qu’est la proximité des enjeux d’information de documentation et de patrimoine couplés aux missions ou forces vives de création, de production et de formation que le secteur chorégraphique est le seul dans le spectacle vivant à décliner de cette manière.C’est un véritable atout de cet établissement qui a la possibilité d’intervenir sur les différents champs concernés par ce qu’on appelle la ressource. Une approche globale / un périmètre d’intervention

Une compétence nationale

Cette mission d’information se décline également par une présence régulière sur tout le territoire. Nous sommes présents à Paris et profitons également de l’implantation du CND à Lyon/Rhône Alpes pour proposer des activités d’accompagnement et d’information régulières ; nous développons des partenariats avec des acteurs territoriaux pour offrir un service de proximité sur les bassins d’emploi en danse les plus importants. Outre les permanences d’information et rencontres professionnelles proposées lors de grands rendez-vous chorégraphiques, le CND met en place depuis 2009 un programme intitulé le « CND à la rencontre des régions ». L’objectif est de faciliter une meilleure compréhension/appréhension des enjeux stratégiques propres au développement chorégraphique et, d’autre part, de présenter les axes de travail du CND susceptibles de faire écho aux problématiques territoriales. Le CND se déplace ainsi dans 3/4 régions par an.

Le Centre national de la danse s’inscrit ainsi dans une logique de service public qui conditionne ses modes de fonctionnement et d’intervention. Ceux-ci sont fondés sur une veille active, la recherche d’une réactivité constante au regard de l’évolution des métiers et de textes tout en proposant un service d’information gratuit et pertinent à un instant T.

La spécificité de département est d’appréhender globalement les ressources professionnelles à destination de l’ensemble des acteurs de la profession - danseurs, enseignants, jeunes professionnels, compagnies émergentes ou confirmées, lieux de production et de diffusion, écoles de danse associatives ou publiques, relais culturels en développant une complémentarité entre : Une information sur la vie professionnelle : organisation et

économie du secteur de la création, de la production, de la diffusion et de l’enseignement

Un accompagnement des projets professionnels (insertion, emploi, métiers, formation, reconversion)

Une information juridique concernant la réglementation de spectacle et de l’enseignement, les statuts de l’artiste et de l’enseignant dans les secteurs privé et public

Une information sur la santé pour développer une médecine adaptée à la danse.

En conjuguant information, conseil, accompagnement, sensibilisation et prévention, le département Ressources professionnelles souhaite toucher l’ensemble des composantes d’une carrière professionnelle.

Les services proposés

Aux services quotidiens (accueil, entretiens, publications…) répond une programmation annuelle d’activités (rencontres, conférences, journées de séminaires avec des thémes étudiés, permanences, interventions à la demande…).

1. Un lieu d’information et de conseil pour une meilleure connaissance du secteur

L’offre d’information : les publications et ressources électroniques

Le CND et notamment le département des ressources professionnelles, propose différents supports en format papier et/ou électroniques : auditions et offres d’emploi, lettre des appels à projets pour les compagnies, annuaire des compagnies chorégraphiques françaises, fiches pratiques sur des thématiques vie professionnelle, droit et santé.

Les entretiens individuels

Cette fonction essentielle à la structuration du secteur répond à un besoin particulièrement important tant pour ce qui relève des questions juridiques que celles relatives à l’élaboration d’une carrière professionnelle.Ce champ d’intervention est probablement celui qui trouve le plus de synergie avec les autres centres de ressources dédiés au spectacle vivant (CNT, HLM, IRMA et RCE). La collaboration est développée tant pour l’organisation de journées d’information nationales que sur des questions transversales à nos secteurs sans omettre des échanges réguliers des services et des réflexions communes.

La mise à disposition de studios

Les compagnies chorégraphiques qui répondent à certains critères de professionnalisation peuvent disposer gratuitement d’un studio de répétition au CND à Pantin ou à Lyon.

2. Un lieu d’accompagnement de la carrière professionnelle

Le département propose des actions visant à aider les professionnels de la danse à orienter, à structurer et à consolider leurs carrières et leurs vies professionnelles ; ces actions concernent

l’accompagnement à l’insertion professionnelle l’accompagnement en cours de carrière l’accompagnement à la reconversion

Des ateliers sont proposés pour accompagner les jeunes administrateurs ou faire le point sur les trajectoires professionnelles ou les enjeux de la reconversion.

3. Un lieu à l’écoute de la profession, un lieu d’échange et de réflexion sur l’évolution des pratiques chorégraphiques professionnelles

Cet axe a pour objectif :

L’analyse et la réflexion sur les métiers et en capitalisant les ressources collectives. De jouer un rôle dans l’évaluation des besoins de cette profession et dans la mise en place de

programmes adaptés et évolutifs. De nourrir la réflexion dans toutes les étapes de la carrière par la valorisation des métiers, des

trajectoires professionnelles et des parcours de vie. De rendre lisible les parcours auprès des jeunes danseurs et des artistes en cours de

repositionnement professionnel… De croiser les expériences pour identifier les compétences et savoir-faire développés dans les

métiers de la danse.

Cet axe selon les années prend différentes formes d’intervention (participation à des colloques, comités de pilotage d’étude, de référentiels métiers…) tant en France qu’à l’étranger.

4. Un lieu de sensibilisation et de prévention pour la santé

Cette mission est orientée autour d’une information croisant différents aspects (questions médicales et pratiques somatiques) permettant une meilleure gestion du « capital corps » et d’une programmation d’actions ou de rencontres tournée vers la prévention.

En résuméLe CND propose Des missions d’information et de conseil Développe un accompagnement de la carrière professionnelle dans sa globalité Valorise les métiers de la danseIl constitue : Un lieu de ressources d’information, d’accompagnement et d’orientation Un lieu de connaissance, d’échange et de réflexion Un lieu de sensibilisation, de prévention

Chiffres clés 2009Outre l’ouverture aux professionnels du CND 6 jours par semaine et au minimum 12 heures/jour, le département des ressources professionnelles est ouvert aux danseurs professionnels 28 h par semaine pour 1260 h annuelle pour une fréquentation annuelle de 8 000 professionnels.1000 entretiens individuels sont réalisésMise à disposition de studio : 5440 h d’occupation par 144 compagnies Présence territoriale (rencontres et permanences d’information) : 34 jours

Cecilia COLLOMB, Textes en parole

Relate son expérience à travers son association.

C’est un centre de ressource théâtral caribéen hébergé à la médiathèque Caraïb à Basse-Terre ayant pour objectif :

La mise en valeur des textes écrits par des Guadeloupéens, Martiniquais, Haïtiens.

Depuis 2003, a mis en place un appel à écriture avec un comité de lecture qui sélectionne ces textes.

Autour du théâtre mise en place d’un projet de mission de conseil et d’accompagnement aux compagnies de théâtre.

Le projet « Ecritures d’Iles » développé dans le cadre du programme INTERREG CARAÏBES a pour objectif de faire circuler les textes, les auteurs, les créations entre les 3 DFA et Haïti.

Egalement développement d’un pôle Edition pour faire un travail d’histoire au théâtre guadeloupéen.

Beaucoup de projets mais des moyens financiers limités.

Félix COTELLON et Dominique CYRILLE, Repriz

Ont présenté l’association REPRIZ comme un centre ressource spécialisé dans les musiques, danses traditionnelles et populaires avec, comme objectif :

1 la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel2 le soutien à la transmission et à l’enseignement artistique3 la diffusion et la promotion de la culture et des artistes de Guadeloupe4 la coopération dans la Caraïbe et le reste du monde

«REPRIZ» est une O.N.G. accréditée par l’U.N.E.S.C.O. depuis 2007

Un magnifique opuscule a été remis à tous les participants pour étayer la présentation des intervenants.

L’Association fonctionne avec : 1 secrétaire en C.D.I. 1 C.A.E. polyvalent 1 administrateur 1 directeur

Elle souffre d’un manque de ressources humaines pour mener à bien ses missions.

Il est aussi fait état de la lenteur pour l’obtention des subventions.

Marie-Claude PERNELLE et Patricia MONTPIERRE, Apcag

Marie Claude PERNLLE, Directrice de la salle Robert LOYSON et présidente de l’A.P.C.A.G. (Association Pour le développement du Cinéma d’Art et d’Essai en Guadeloupe).

L’A.P.C.A.G. est née de la volonté des directeurs de salle de diversifier l’offre du cinéma sur le territoire. L’offre, qui s’adresse à un public demandeur, concerne surtout les films du Sud, du monde entier et des films pro du monde caribéen (films de fiction et documentaires).

La création de ce centre de ressource est un long cheminement qui n’a pas connu l’enthousiasme des élus au départ.

Les difficultés sont nombreuses à cause :

du problème d’identification de la dispersion des films des problèmes juridiques liés au droit d’auteur s’agissant de films produits par des indépendants

Mais la demande est forte et représente un fort potentiel économique.

Un partenariat avec les autres centres de ressources (médiathèques) les festivals, est souhaitable.

NOS INVITES HAÏTIENS Madame Pascale JAUNAY (association haïtienne des professionnels de la musique) Monsieur Albert MOLEON (du Collection 15, petit conservatoire) Théâtre et Art de la parole. Monsieur Gary LUBIN (FOKAL) O.N.G avec Centre culturel Monsieur Ronald PAUL : Conseiller cabinet MCC Haïti, en charge du développement culturel territorial Monsieur Ernst St Rome et Madame Carline Colagene (marionettistes)

Nous ont présenté un état des lieux en Haïti des plus difficiles.

C’était déjà compliqué avec le tremblement de terre, depuis c’est devenu chaotique.

Mais la volonté des professionnels de la culture est très forte pour faire quelque chose.

Ils ont manifesté une grande sensibilité à nos invitations d’échange et de partage dans le domaine culturel et sont très réceptifs aux expériences venues d’ailleurs.

Nous ne pouvons reprendre dans le détail leur exposé, mais c’était très instructif.

LE DEBATUn débat ouvert et fructueux a capté l’attention des participants.Il a montré la complexité du sujet et la nécessité forte pour les acteurs de la ressource de se rencontrer et d’échanger afin de réfléchir ensemble sur les questions de la ressource. Le suivi de ce type de rencontre peut contribuer à approfondir le sujet en vue du développement indispensable de la ressource sur notre territoire...

Nos remerciements à toutes les personnes présentes et à la DRAC

Sophie BalzingAssociation Métis’Gwa0690 46 14 880590 22 35 [email protected]