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8 Compteur d’eau Durant les périodes hivernales, si vous devez vous absenter longtemps de votre logement, n’oubliez pas de fermer le robinet d’eau au niveau de votre compteur, et de vidanger votre installation. En cas de dégât lié au gel sur vo- tre compteur, le remplacement du compteur sera à votre charge (90€). ECHOS DE SAINT MARTIN Commune de Saint Martin-Château - N° 2 - Novembre 2014 ASSEMBLÉE D’HABITANTS FORÊT ET VOIRIE COMMUNALE Plus d’une cinquantaine de personnes étaient réunies vendredi 26 septembre 2014 dans la salle communale inaugurée à l’occasion de cette nouvelle assemblée d’habitants. La question de l’impact de l’exploitation forestière et du transport de bois sur la voirie communale était à l’ordre du jour. A côté des habitants de la commune venus en nombre, plusieurs propriétaires forestiers s’étaient eux aussi déplacés, le technicien de l’Office National des Forêts et plusieurs membres du Groupement Syndical Forestier de Saint Martin-Château complétaient l’assistance ainsi qu’un élu de Faux la Montagne en qualité d’observateur. Le ton est donné d’emblée, direct et précis: le bilan chiffré des dépenses de voiries* présenté par Nicolas Derieux montre une situation anormale. La commune a dépensé en moyenne 45 000 euros par an depuis sept ans avec un coût réel hors subvention de 30 000 euros pour entretenir nos 26 km de voies communales. Le transport forestier avec des camions chargés aujourd’hui à 57 tonnes est la principale cause de dégradation, mais ni les propriétaires forestiers (à l’exception du GSF) ni les transporteurs ne participent aux frais de remise en état de notre réseau. Cet exposé préalable provoque de vifs échanges entre les participants: un entrepreneur forestier précise que les entreprises versent une contribution économique territoriale (comme par exemple la taxe professionnelle) qui n’est pas répercutée sur les communes forestières, il propose de mutualiser les dépenses de voirie. Mais la commune doit trouver une solution à plus court terme et plusieurs propositions sont avancées, par exemple le versement d’une caution préalable à tout démarrage de chantier forestier. Édito Depuis six mois le nouveau conseil municipal prend ses marques et agit. Nous nous occupons à la fois de l’entretien courant de l’exis- tant (bâtiments communaux, rou- tes,…), de l’extra-ordinaire (trou de Boussac), et des projets que nous avons pour la commune (trans- ports de bois et impact sur les rou- tes, auberge, locatif,…). Nous essayons d’agir au maximum avec vous, en vous consultant lors des assemblées d’habitants ou des conseils municipaux; d’agir pour vous, en essayant de répondre aux besoins de tous et pas uniquement de certains. Ce qui ne signifie pas que nous soyons mous et consen- suels; au contraire, nous défen- dons les idées auxquelles nous croyons, et tentons de les mettre en œuvre... ...Mais collectivement, c’est-à-dire sans hiérarchie, en essayant que les uns et les autres aient accès au même niveau d’information, pour pouvoir prendre véritablement en- semble les décisions. Ce mode de fonctionnement nous prend certes beaucoup de temps, mais est le ferment de notre équipe munici- pale. Et nous y tenons. Prochaine assemblée des habitants samedi 17 janvier 2015 à 14 h sur le thème de l’accueil et du logement sur la commune Mairie de Saint Martin-Château. 05 55 64 71 27 Secrétariat ouvert : mardi : 8 h 30 à 12 h, jeudi : 8 h 30 à 12 h et de 14 h à 17 h, vendredi de 8 h 30 à 12 h [email protected] www.saint-martin-chateau.fr 1 Prix de l’eau Le prix de l’abonnement et du m3 d’eau sur la commune ont été fixés pour que tous participent à peu près équitablement à l’entretien du ré- seau. Toutefois, si vous rencontrez des difficultés pour payer votre fac- ture d’eau, n’hésitez pas à contacter le CCAS (Centre Communal d’Action Sociale) qui peut vous aider. Comcom Au rythme d’un conseil par mois, la Communauté de communes Bourga- neuf – Royère de Vassivière avance. Mais trop souvent en laissant Saint Martin-Château au bord de la route. Les représentants de la commune au conseil syndical essaient de se faire entendre, mais leur voix est faible et perdue au milieu des 19 autres com- munes. Le fonctionnement actuel de la Communauté de communes ne nous satisfait pas pleinement; il n’y a pas d’égalité de traitement selon que nous sommes de Bourganeuf ou de Saint Martin-Château. Lors du dernier conseil syndical le 7 octobre 2014, le Schéma Dépar- temental d’Accès au Numérique a été étudié et validé par le conseil syndical quasi unanimement; il en ressort que tous les investissements sont concentrés sur la fibre optique à Bourganeuf et autour, alors qu’il n’est pas possible d’accéder à internet à Boussac par exemple. Et toujours lors de ce même conseil, les élus de la Communauté de communes ont validé les “fiches projets“ quinquen- nales (en résumé les demandes de subventions pour les cinq prochaines années...), et le projet pour l’auberge de Saint Martin s’est retrouvé admi- nistrativement noyé dans la masse de projets concernant Bourganeuf. Cette année, les anciens auront droit à un nouveau colis de “Noël“ (com- posé de produits locaux au maximum) et les enfants auront également droit à un cadeau... La remise des colis et ca- deaux se fera à l’occasion d’un goûter. Un arbre de Noël communal est donc organisé samedi 13 décembre à partir de 16h à la salle communale. Distribu- tion des colis aux anciens de + de 70 ans, et des cadeaux aux petits de – de 11 ans. Mercredi 17 Septembre, à la salle com- munale de Saint Martin Château a eu lieu une rencontre entre quelques an- ciens, quelques enfants accompagnés de leurs parents, et des élus. Le jeu du chapeau a permis à tous, petits et grands, de jouer ensemble. Tous étaient contents d’être là. “C’était très agréa- ble. Quand on joue ensemble, on oublie ce qui nous tracasse. On rencontre les gens dans une ambiance gaie.“ confie Raymonde Fournet. “Cette réunion était très sympathique. Nous avons passé un très bon moment en cette pé- riode peu agréable où nous nous re- trouvons seuls. Et c’était encore mieux avec les enfants. En prenant de l’âge, on devient un peu sourd, alors c’était bien de les entendre rire et parler et de les voir contents de jouer ensemble! Les jeux étaient des jeux que l’on fait en commun. C’était formidable !“ ajoute Yvette Piquet. Ensuite, un goûter a ras- semblé tous les participants. Nicole Viarteix nous avait fait une surprise : de délicieuses crêpes…Et les discussions ont repris de plus belle en dégustant toutes ces bonnes choses. Un après- midi très convivial que nous envisa- geons d’organiser d’autres fois. Nous invitons le plus grand nombre à nous rejoindre. Nous rappelons qu’un trans- port peut être organisé pour les person- nes ne pouvant se déplacer. Un après-midi intergénérationnel Suite page 2 Il ne s’est pas passé un mois depuis le début de l’année sans que l’auberge n’ouvre ses portes à une animation ; parfois même plusieurs au cours d’un même mois. Concours de pâtisseries, de belote, de pétanque, concerts, théâ- tre, contes, danses, ou simples jour- nées conviviales autour du four à pain ou à l’occasion d’élections. Quatre ha- bitants de Saint Martin sur cinq seraient passés cette année par l’auberge à un moment ou à un autre, c’est du moins ce qu’affirment ceux qui parmi nous connaissent le mieux notre village. Ce qui aurait pu paraître encore discutable il y a peu, est à présent largement dé- montré : les habitants sont attachés à leur auberge et savent en retrouver le chemin lorsqu’on les y invite. S’il fallait une preuve supplémentaire de cette évidence, il suffit de voir l’écho rencontré par l’association “Aux berges de Saint-Martin“ ; laquelle, comme on le sait, s’est fixé pour objectif unique la réouverture pérenne de l’auberge. Un mois à peine après sa création en dé- cembre 2013, elle comptabilisait déjà 70 adhérents ; six mois plus tard, une centaine de plus ! En grande majorité des habitants de Saint-Martin, perma- nents ou résidents secondaires et des membres de leurs familles, visiteurs ré- guliers ou occasionnels. Des gens qui ont su conserver ou bien se construire au fil du temps des attaches sur le terri- toire de la commune, quels qu’ils soient et où qu’ils habitent, Si le programme des animations pour l’hiver et le printemps est encore en cours d’élaboration, l’heure est surtout à la réflexion sur le devenir du projet : dé- finir l’utilisation la plus pertinente des lo- caux et le modèle économique le mieux adapté. Très vite également, il faudra passer à la mise en œuvre des travaux nécessaires sur le bâtiment : consoli- dation du sol, isolations, etc. Dans ce but, des devis ont été commandés dès cet été à diverses entreprises et des dossiers de demandes de subvention sont déposés par la municipalité, ou en passe de l’être, auprès des organismes compétents. Tout ce travail est coordonné au sein de la “Commission Auberge“ mise en pla- ce par la mairie. Tous les membres du collectif d’Aux berges de Saint-Martin y contribuent, en vertu d’un accord de partenariat signé ce printemps entre la municipalité et notre association. L’association tiendra sa première as- semblée générale le samedi 29 no- vembre à 14 heures dans les locaux de l’auberge, une occasion pour débattre, réfléchir ensemble et faire le point sur l’état d’avancement du projet. Fêtes de fin d’année L’auberge, sortie d’un long sommeil Décès Jean-Marc Gamot, décédé le 8 août 2014 à l’âge de 53 ans.

Compteur d’eau ECHOS DE SAINT MARTIN · 8 Compteur d’eau Durant les périodes hivernales, si vous devez vous absenter longtemps de votre logement, n’oubliez pas de fermer le

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Page 1: Compteur d’eau ECHOS DE SAINT MARTIN · 8 Compteur d’eau Durant les périodes hivernales, si vous devez vous absenter longtemps de votre logement, n’oubliez pas de fermer le

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Compteur d’eauDurant les périodes hivernales, si vous devez vous absenter longtemps de votre logement, n’oubliez pas de fermer le robinet d’eau au niveau de votre compteur, et de vidanger votre installation.En cas de dégât lié au gel sur vo-tre compteur, le remplacement du compteur sera à votre charge (90€).

ECHOS DE SAINT MARTINCommune de Saint Martin-Château - N° 2 - Novembre 2014

ASSEMBLÉE D’HABITANTSFORÊT ET VOIRIE COMMUNALE

Plus d’une cinquantaine de personnes étaient réunies vendredi 26 septembre 2014 dans la salle communale inaugurée à l’occasion de cette nouvelle assemblée d’habitants. La question de l’impact de l’exploitation forestière et du transport de bois sur la voirie communale était à l’ordre du jour.A côté des habitants de la commune venus en nombre, plusieurs propriétaires forestiers s’étaient eux aussi déplacés, le technicien de l’Office National des Forêts et plusieurs membres du Groupement Syndical Forestier de Saint Martin-Château complétaient l’assistance ainsi qu’un élu de Faux la Montagne en qualité d’observateur.Le ton est donné d’emblée, direct et précis: le bilan chiffré des dépenses de voiries* présenté par Nicolas Derieux montre une situation anormale. La commune a dépensé en moyenne 45 000 euros par an depuis sept ans avec un coût réel hors subvention de 30 000 euros pour entretenir nos 26 km de voies communales. Le transport forestier avec des camions chargés aujourd’hui à 57 tonnes est la principale cause de dégradation, mais ni les propriétaires forestiers (à l’exception du GSF) ni les transporteurs ne participent aux frais de remise en état de notre réseau.Cet exposé préalable provoque de vifs échanges entre les participants: un entrepreneur forestier précise que les entreprises versent une contribution économique territoriale (comme par exemple la taxe professionnelle) qui n’est pas répercutée sur les communes forestières, il propose de mutualiser les dépenses de voirie. Mais la commune doit trouver une solution à plus court terme et plusieurs propositions sont avancées, par exemple le versement d’une caution préalable à tout démarrage de chantier forestier.

ÉditoDepuis six mois le nouveau conseil municipal prend ses marques et agit. Nous nous occupons à la fois de l’entretien courant de l’exis-tant (bâtiments communaux, rou-tes,…), de l’extra-ordinaire (trou de Boussac), et des projets que nous avons pour la commune (trans-ports de bois et impact sur les rou-tes, auberge, locatif,…).

Nous essayons d’agir au maximum avec vous, en vous consultant lors des assemblées d’habitants ou des conseils municipaux; d’agir pour vous, en essayant de répondre aux besoins de tous et pas uniquement de certains. Ce qui ne signifie pas que nous soyons mous et consen-suels; au contraire, nous défen-dons les idées auxquelles nous croyons, et tentons de les mettre en œuvre...

...Mais collectivement, c’est-à-dire sans hiérarchie, en essayant que les uns et les autres aient accès au même niveau d’information, pour pouvoir prendre véritablement en-semble les décisions. Ce mode de fonctionnement nous prend certes beaucoup de temps, mais est le ferment de notre équipe munici-pale. Et nous y tenons.

Prochaine assemblée des habitants samedi 17 janvier 2015 à 14 h

sur le thème de l’accueil et du logement sur la commune

Mairie de Saint Martin-Château.

05 55 64 71 27Secrétariat ouvert :

mardi : 8 h 30 à 12 h,jeudi : 8 h 30 à 12 h et

de 14 h à 17 h, vendredi de 8 h 30 à 12 h

[email protected]

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Prix de l’eauLe prix de l’abonnement et du m3 d’eau sur la commune ont été fixés pour que tous participent à peu près équitablement à l’entretien du ré-seau. Toutefois, si vous rencontrez des difficultés pour payer votre fac-ture d’eau, n’hésitez pas à contacter le CCAS (Centre Communal d’Action Sociale) qui peut vous aider.

ComcomAu rythme d’un conseil par mois, la Communauté de communes Bourga-neuf – Royère de Vassivière avance. Mais trop souvent en laissant Saint Martin-Château au bord de la route. Les représentants de la commune au conseil syndical essaient de se faire entendre, mais leur voix est faible et perdue au milieu des 19 autres com-munes. Le fonctionnement actuel de la Communauté de communes ne nous satisfait pas pleinement; il n’y a pas d’égalité de traitement selon que nous sommes de Bourganeuf ou de Saint Martin-Château. Lors du dernier conseil syndical le 7 octobre 2014, le Schéma Dépar-temental d’Accès au Numérique a été étudié et validé par le conseil syndical quasi unanimement; il en ressort que tous les investissements sont concentrés sur la fibre optique à Bourganeuf et autour, alors qu’il n’est pas possible d’accéder à internet à Boussac par exemple. Et toujours lors de ce même conseil, les élus de la Communauté de communes ont validé les “fiches projets“ quinquen-nales (en résumé les demandes de subventions pour les cinq prochaines années...), et le projet pour l’auberge de Saint Martin s’est retrouvé admi-nistrativement noyé dans la masse de projets concernant Bourganeuf.

Cette année, les anciens auront droit à un nouveau colis de “Noël“ (com-posé de produits locaux au maximum) et les enfants auront également droit à un cadeau... La remise des colis et ca-deaux se fera à l’occasion d’un goûter.

Un arbre de Noël communal est donc organisé samedi 13 décembre à partir de 16h à la salle communale. Distribu-tion des colis aux anciens de + de 70 ans, et des cadeaux aux petits de – de 11 ans.

Mercredi 17 Septembre, à la salle com-munale de Saint Martin Château a eu lieu une rencontre entre quelques an-ciens, quelques enfants accompagnés de leurs parents, et des élus. Le jeu du chapeau a permis à tous, petits et grands, de jouer ensemble. Tous étaient contents d’être là. “C’était très agréa-ble. Quand on joue ensemble, on oublie ce qui nous tracasse. On rencontre les gens dans une ambiance gaie.“ confie Raymonde Fournet. “Cette réunion était très sympathique. Nous avons passé un très bon moment en cette pé-riode peu agréable où nous nous re-trouvons seuls. Et c’était encore mieux avec les enfants. En prenant de l’âge,

on devient un peu sourd, alors c’était bien de les entendre rire et parler et de les voir contents de jouer ensemble! Les jeux étaient des jeux que l’on fait en commun. C’était formidable !“ ajoute Yvette Piquet. Ensuite, un goûter a ras-semblé tous les participants. Nicole Viarteix nous avait fait une surprise : de délicieuses crêpes…Et les discussions ont repris de plus belle en dégustant toutes ces bonnes choses. Un après-midi très convivial que nous envisa-geons d’organiser d’autres fois. Nous invitons le plus grand nombre à nous rejoindre. Nous rappelons qu’un trans-port peut être organisé pour les person-nes ne pouvant se déplacer.

Un après-midi intergénérationnel

Suite page 2

Il ne s’est pas passé un mois depuis le début de l’année sans que l’auberge n’ouvre ses portes à une animation ; parfois même plusieurs au cours d’un même mois. Concours de pâtisseries, de belote, de pétanque, concerts, théâ-tre, contes, danses, ou simples jour-nées conviviales autour du four à pain ou à l’occasion d’élections. Quatre ha-bitants de Saint Martin sur cinq seraient passés cette année par l’auberge à un moment ou à un autre, c’est du moins ce qu’affirment ceux qui parmi nous connaissent le mieux notre village. Ce qui aurait pu paraître encore discutable il y a peu, est à présent largement dé-montré : les habitants sont attachés à leur auberge et savent en retrouver le chemin lorsqu’on les y invite.S’il fallait une preuve supplémentaire de cette évidence, il suffit de voir l’écho rencontré par l’association “Aux berges de Saint-Martin“ ; laquelle, comme on le sait, s’est fixé pour objectif unique la réouverture pérenne de l’auberge. Un mois à peine après sa création en dé-cembre 2013, elle comptabilisait déjà 70 adhérents ; six mois plus tard, une centaine de plus ! En grande majorité des habitants de Saint-Martin, perma-nents ou résidents secondaires et des membres de leurs familles, visiteurs ré-guliers ou occasionnels. Des gens qui

ont su conserver ou bien se construire au fil du temps des attaches sur le terri-toire de la commune, quels qu’ils soient et où qu’ils habitent,Si le programme des animations pour l’hiver et le printemps est encore en cours d’élaboration, l’heure est surtout à la réflexion sur le devenir du projet : dé-finir l’utilisation la plus pertinente des lo-caux et le modèle économique le mieux adapté. Très vite également, il faudra passer à la mise en œuvre des travaux nécessaires sur le bâtiment : consoli-dation du sol, isolations, etc. Dans ce but, des devis ont été commandés dès cet été à diverses entreprises et des dossiers de demandes de subvention sont déposés par la municipalité, ou en passe de l’être, auprès des organismes compétents.Tout ce travail est coordonné au sein de la “Commission Auberge“ mise en pla-ce par la mairie. Tous les membres du collectif d’Aux berges de Saint-Martin y contribuent, en vertu d’un accord de partenariat signé ce printemps entre la municipalité et notre association.L’association tiendra sa première as-semblée générale le samedi 29 no-vembre à 14 heures dans les locaux de l’auberge, une occasion pour débattre, réfléchir ensemble et faire le point sur l’état d’avancement du projet.

Fêtes de fin d’année

L’auberge, sortie d’un long sommeil

DécèsJean-Marc Gamot, décédé le 8 août 2014 à l’âge de 53 ans.

Page 2: Compteur d’eau ECHOS DE SAINT MARTIN · 8 Compteur d’eau Durant les périodes hivernales, si vous devez vous absenter longtemps de votre logement, n’oubliez pas de fermer le

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Voirie communaleUn inventaire de la voirie com-munale a été effectué par des conseillers. Du fait d’un entretien régulier et suivi par les employés communaux, les voies de circula-tion sont aujourd’hui plutôt en bon état, et ne nécessitent pas de gros investissements immédiatement. N’hésitez pas à avertir la mairie si vous constatez des trous dans les routes que vous empruntez

ElagagePour maintenir notre voirie à ce ni-veau de qualité, il semble nécessai-re que tous les propriétaires de par-celles en bord de routes élaguent leurs arbres et arbustes. Pour rap-pel, la loi indique qu’il ne doit pas y avoir de plantations à moins de cinq mètres de l’emprise de la voie communale et aucune gêne pour les réseaux aériens.Le fait que vous vous chargiez ré-gulièrement de l’élagage sur vos parcelles vous permet également d’avoir un aménagement paysager tel que vous le souhaitez. Sinon, l’épareuse municipale s’occupera des bords de routes, sans forcé-ment avoir un souci esthétique.

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Ils avaient une chair ferme, d’un goût inégalable ! Des jeunes agriculteurs rencontrés au salon sont venus faire des stages chez nous.“Gilberte : “C’était un travail qui nous prenait beaucoup de temps. Les va-ches allaient au pré. On les rentrait

pour les tétées, toujours aux mêmes heures. On n’arrêtait guère.“ Henri : “Aujourd’hui, la viande est bien moins bonne.“Gilberte : “C’est une histoire de nour-riture… “Henri : “L’herbe conservée par ensila-

ge, je n’en aurais pas donné à mes bêtes !“

Tous deux rejoignent leur maison, bien fleurie par Gilberte, émus par ces souvenirs mais contents d’avoir pu les évoquer et les partager.

Ce dispositif permettrait à la fois de suivre tous les chantiers depuis le début jusqu’à la fin avec un état des lieux effectué dans les règles et de disposer d’une caution qui ne serait évidemment retirée qu’en cas de détériorations dûment constatées. Un habitant fait remarquer que cela ne règlera pas le problème de l’usure régulière des routes. Autre proposition, la limitation du tonnage des camions. Il est rappelé que les grumiers ne peuvent emprunter nos voies communales que sur dérogation, celles-ci sont en effet limitées à 18 tonnes. Un forestier rétorque qu’il faut prendre en compte le nombre d’essieux qui limite la pression sur le macadam, il va jusqu’à évoquer un “matelas roulant“ en citant les six essieux d’un camion chargé à 57 T et souvent plus ! A chacun d’apprécier… D’autres participants opposent à cette limitation l’accroissement du trafic sur nos routes avec un nombre plus important de camions plus petits. Plusieurs habitants dénoncent quant à eux la monoculture des résineux responsable de cette situation ainsi que le non-respect fréquent des règles relatives aux distances de plantation et la généralisation des pratiques comme les coupes à blanc qui défigurent le territoire. Les échanges nombreux et argumentés se sont heurtés parfois à l’incompréhension de certains forestiers qui se sont posés en victimes de ces éventuelles mesures. Il n’en demeure pas moins que chacun a pu entendre les différents points de vue et prendre conscience à la fois des problèmes liés à l’exploitation des bois et de la volonté de l’équipe municipale d’en limiter les conséquences pour la commune.Aucune solution n’apparaît évidente pour régler une situation qui devient pourtant de plus en plus insupportable. Saint Martin-Château, comme bien d’autres petites communes de la Montagne Limousine, retire très peu de profits de l’exploitation forestière privée mais en subit les désagréments et les coûts qu’elle engendre pour la collectivité. Cette assemblée d’habitants a permis de faire le point et d’exposer clairement aux forestiers présents les difficultés auxquelles nous sommes confrontés du fait de leur activité. Le conseil municipal aura à décider des mesures destinées à en limiter l’impact financier pour la commune. Ces mesures seront d’autant plus efficaces qu’elles seront décidées et mises en œuvre en concertation avec les communes voisines confrontées aux mêmes problèmes.

* Vous pourrez découvrir ces chiffres détaillés en double page centrale de ce bulletin.

Bost Boussac : où en est-on ?Depuis le 1er mars 2014, la route communale VC3 est coupée entre Boussac et Bost-Boussac suite à un glissement de terrain.

Dans le précédent bulletin d’informations (daté du 15 juillet), nous avons relaté les différentes démarches effectuées : réunions d’experts, contacts avec le SIVOM, les pouvoirs publics, et finalement décision de saisir la justice.Aujourd’hui, c’est chose faite. Suite à l’assignation réalisée par notre avocat, une audience de référé a eu lieu le 24 juin. Le 10 juillet, le juge des référés a rendu une ordonnance désignant un expert avec mission, notamment : de rechercher les causes du sinistre et donner un avis sur les responsabilités, de préconiser les travaux nécessaires, et d’en chiffrer le coût, et de faire exécuter sous son contrôle tous travaux justifiés par l’urgence. Celui-ci a organisé une réunion sur place le 2 septembre avec les parties concernées, leurs experts, leurs avocats, et leurs assureurs. Le rapport d’expertise devrait nous parvenir début décembre.

A ce jour, nous avons eu connaissance de deux préconisations de sa part : la pose d’une bâche pour éviter l’érosion par la pluie du talus qui soutient la maison (la commune, ne s’estimant pas concernée par ce point, ne se prononce pas), et l’exécution d’une étude de sols par une entreprise spécialisée (le cabinet AlphaBTP, après visite sur place le 10 septembre, a présenté un devis qui a été accepté).

Nous avons examiné la possibilité de réaliser une piste provisoire pour contourner l’effondrement. Cette idée n’a recueilli que des objections et est actuellement abandonnée.

Rencontre avec Guillaume““Il y avait chez les gens de Fava-reillas une vraie volonté pour louer à un agriculteur qui vivrait dans le vil-lage. J’ai donc repris l’ensemble des parcelles de Georges Grousseau“ déclare Guillaume qui s’est installé à Favareillas en mars 2002, avec Jo-siane, Maud et Julien. Marius est né ensuite.Les terrains qu’il exploitait n’étant pas très étendus, il a limité son troupeau à 300 brebis et a choisi de pratiquer la vente directe. Il vend 100% de sa production à des particuliers. Ce sys-tème de vente lui convient très bien: c’est l’occasion de faire connaître ses méthodes de travail, d’avoir une re-lation privilégiée avec les gens qui consomment la viande produite. “De plus en plus de personnes veulent savoir ce qu’elles ont dans leur as-siette!“ précise - t-il. “J’ai 70 % à 80% de vente sur la région. Aujourd’hui, ce système de vente connaît une forte progression.“Son exploitation de 60 hectares comprend des terres à foin, des

tourbières, des zones humides. Guillaume veille dans son travail à respecter la

nature. Il est entré en relation avec le C.E.N. (Conserva-

toire des Espa-ces Natu-rels). “Une convention a été si-

gnée entre le C.E.N, les propriétaires des terres et le fermier que je suis. Le conservatoire, qui a pour mission de valoriser les zones humides, s’est engagé à remettre en état ces par-celles, et moi, à les entretenir par le pâturage. Tous les ans, depuis 2004, il y a un chantier sur les tourbières. On nettoie, on clôture. Les gens du Conservatoire viennent régulière-ment faire des comptages d’espèces végétales et animales et organisent des visites de découverte de ce mi-lieu. On trouve des espèces monta-gnardes et océaniques uniquement sur cette zone qui se situe à la ren-contre de ces deux climats. Il y a de nombreuses droseras et une orchi-dée très rare, “la Spirante estivale“. explique Guillaume.Depuis plusieurs années, Guillaume se bat pour un projet qui lui tient à cœur. “Comme je fais de la vente di-recte, j’ai été confronté comme tout le monde à la fermeture des abat-toirs. Guéret…Giat…Eymoutiers…fin 2006, début 2007.“En 2007, il a créé avec quelques bouchers et quelques agriculteurs qui font de la vente directe et traitent donc de petits volumes, une asso-ciation. Leur but était de trouver une solution à l’éloignement des abattoirs fonctionnant dans notre région“. Nous avons des contraintes que les gros abattoirs ne peuvent pas satisfaire en raison des gros volumes traités et des cadences. En faisant de la vente directe, nous avons besoin de savoir quel agneau va convenir à une per-sonne… tel autre à une autre….Nous

cherchons à récupérer les foies de nos agneaux, pas ceux des voisins… Nous avons donc décidé de créer un outil global qui permettra de maîtriser l’ensemble de la filière: l’abattage, la découpe, la transformation de la viande. Une plateforme de services à la carte. Nous voulons faire un outil mutualisé qui appartient à ses inves-tisseurs. Chacun utilisera les services dont il a besoin et sera maître de sa production. Ce sera aussi un centre d’interprétation, c’est-à-dire un lieu d’information pour le public, un lieu de formation pour les agriculteurs qui veulent pratiquer la vente directe, un lieu d’information pédagogique pour les enfants.“La construction de ce Pôle Viandes Locales devrait se faire dans la zone de Langladure, à côté de Bourga-neuf. Le financement est assuré par les associés en capitaux propres, par des subventions (État, Europe, Région, comme toute entreprise qui s’installe et crée de l’emploi) et par des emprunts.Une société a été créée pour sup-pléer l’association. Guillaume en est le président. Des élus considèrent ce projet comme un outil innovant, une vitrine, et le soutiennent avec force car il affirme le dynamisme des ac-teurs économiques de la vie rurale en Creuse.

Guillaume… un agriculteur très concerné par le maintien des exploitations agricoles sur le plateau et par la vie de son territoire !

Fontaine de Favareillas, restaurée par Eclats de Rives et Maisons paysannes de France

Les voies communalesVC1: de la mairie au carrefour de l’aubergeVC3: de la D51 à Buze, par Bous-sacVC4: de Tourtouloux vers l’AgeVC5: du carrefour de l’auberge au MassoubrotVC6: de la VC5 au MasfaureVC7: de la VC5 vers BrudieuVC8: de Tourtouloux vers PrésinatVC9: de la D51 vers NeuvialleVC10: de la D51A vers FusinatVC11: de la VC5 vers FavareillasVC12: de la VC3 jusqu’à la maison BertrandVC13: de la D51A vers LansadeVC14: chemin de la ChassagneVC15: route de Villegouleix

Suite Assemblée habitants

Les panneaux d’affichageLes panneaux d’affichage vont être changés du fait de leur dégra-dation. De nouveaux panneaux vont être faits en interne, et seront installés durant l’hiver. Un nou-veau panneau sera installé en bas du bourg au carrefour.

Page 3: Compteur d’eau ECHOS DE SAINT MARTIN · 8 Compteur d’eau Durant les périodes hivernales, si vous devez vous absenter longtemps de votre logement, n’oubliez pas de fermer le

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Le conseil municipal a décidé de reve-nir sur une décision de l’ancienne man-dature. Nous renonçons à la réfection de la VC5 (voie communale du carre-four de l’auberge vers Le Massoubrot) en type “transport de bois rond“. Les routes restaurées dans ce mode sont financées à 80% (40% du Fonds Natio-nal d’Aménagement et de Développe-ment du Territoire, 30% de la Dotation d’Équipement des Territoires Ruraux, et 10% du Conseil Général), si la pré-fecture juge opportun l’inscription de cette route dans le schéma routier dé-partemental. Une fois l’investissement réalisé, elles sont inscrites en “itiné-raire dérogatoire permanent“, c’est à dire accessible aux camions de bois de 57 tonnes sans restriction. Il nous a

semblé que l’inscription de cette route dans ce schéma départemental aurait amené à terme plus de désagréments pour la commune que d’avantages. D’autant plus que le tracé accepté par la préfecture avait été prévu pour le bénéfice principal d’un seul proprié-taire forestier. D’autre part, avec un financement à 80%, il reste .... 20% à charge de la commune, soit 27700 € dans le cas présent. D’autant que parallèlement à la VC5, une piste a été refaite en 2013 pour 22 488€, financée intégralement par le Groupement Syndical Forestier de la commune.Il y aurait eu une certaine incohérence de notre part, et mauvaise gestion des deniers publics à engager de nouvel-

les dépenses pour desservir le même massif forestier.La route actuelle n’étant pas en mau-vais état bien qu’un peu déformée sur 400 mètres dans la plaine, et pour que cette décision profite aux habitants de la commune, nous avons décidé en conseil municipal du 4 novembre de ne plus donner de dérogation de cir-culation aux véhicules de plus de 18 tonnes dès qu’une autre solution est possible. Dans le cas de la VC5, les transports de bois ronds seront donc totalement interdits, et le bois situé sur le massif en face du Masfaure de-vra être sorti par en haut, c’est-à-dire soit par la piste “Le Bourg – Fusinat“, soit par la piste “Brudieu – Fusinat.“ puis “Fusinat – Peyrat“.

RecensementEntre le 15 janvier et 15 février 2015, vous aurez la visite de Marielle Ja-cob, agent recenseur pour la com-mune. Plusieurs possibilités s’offrent à vous : si vous le souhaitez, Marielle Jacob peut vous aider à remplir vo-tre déclaration ; elle peut également vous laisser votre déclaration et reve-nir la chercher un autre jour ; ou en-fin, vous pouvez remplir votre décla-ration sur internet. Dans tous les cas, merci de lui réserver un bon accueil. La coordination du recensement sera assurée par Delphine Rapaud.

ClocheLa cloche ne sonne plus depuis déjà un mois mais devrait bientôt se faire à nouveau entendre. La minuterie qui la commande a rendu l’âme lors d’un orage en septembre. Un devis a été fait par l’entreprise Bodet pour 1696€ HT, et validé par le conseil municipal. La minuterie étant fabriquée sur mesure dans leurs ate-liers, il va falloir sans doute patienter jusqu’à fin novembre. L’assurance de la commune va prendre en charge une partie des frais (20%).

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Rencontre avec Gilberte et Henri.“Dans le temps, quand le village était complet, il y avait cinq fermes : les Ruby, les Rapaud, les Fleytout, les Grousseau et nous !“ s’écrie Henri.Tous étaient agriculteurs, les pro-priétés n’étaient pas très grandes, chacune avait six…neuf vaches, des moutons, des cochons, des volailles et des lapins. Chaque famille cultivait un jardin et se nourrissait de ses pro-ductions.En 1928, il y a eu 16 naissances dans la commune dont quatre dans le vil-lage de Favareillas ! Toutes les mai-sons étaient occupées, plusieurs gé-nérations vivaient sous le même toit.Henri poursuit “Je suis né là, il y a 77 ans, un jour d’été. Il faisait très chaud, le temps était orageux. Mon père m’a souvent dit “C’est pour ça que tu as toujours soif ! “ Les enfants du village allaient à l’éco-le à St Martin à pied. “On n’avait que des sabots, les brides cassaient sou-vent. Il fallait se débrouiller pour les réparer. Matin et soir, on devait faire cinq km par la route. On avait un rac-courci par le Masfaure et la planche

Périne, ça faisait un km de moins mais par temps de pluie on ne pou-vait pas traverser.Arrivés à l’école, il fallait allumer le feu. Pour manger, on apportait quel-ques bouts de pain qu’on trempait dans l’eau chaude. Aujourd’hui, les jeunes sont mieux nourris, c’est pour ça qu’ils deviennent plus grands et plus costauds.“À cette époque, il y avait plus de ter-res cultivées. Depuis, certaines ont été plantées. “Maintenant il y a beaucoup de fou-gères. Autrefois, on se les disputait pour la litière des animaux.“ dit Hen-ri. “Dans le village, il y avait plutôt une bonne entente, le travail rapprochait les gens. On a connu de ces batteu-ses ! Les gens des villages alentour venaient aider. Il y avait 14 ou 15 per-sonnes, parfois 20. Le travail durait près de quatre heures. Il y avait un bon repas à la fin !“ raconte Gilberte.“Et ça buvait !“ ajoute Henri en riant. “Il se buvait 100 litres de vin dans la journée.“. Les batteuses ont disparu dans les années 60 ou 70.Henri et Gilberte sont intarissa-bles quand on évoque leur spécia-lité : l’élevage des “veaux de lait“ ou

“veaux sous la mère“. Leurs souve-nirs arrivent en cascade.Henri : “J’aimais beaucoup mes va-ches. Ça fait 21 ans que nous avons arrêté. J’en rêve encore toutes les nuits.“Gilberte : “On avait 20 vaches, sur-tout des Limousines. Elles rentraient le soir à l’étable, elles ne vivaient pas dans les prés.“Henri : “Et elles étaient jolies ! Elles étaient nourries d’herbe, rien d’autre. Une fois, Violette, une Limousine, après avoir fait téter son veau, a donné encore 12 litres de lait en 10 minutes ! “Gilberte : “Les veaux vivaient dans une étable séparée. On ne les ame-nait à leur mère que pour téter deux ou trois fois par jour. Ils n’étaient nourris que du lait de leur mère.“Henri: “On allait aux foires de Bugeat. On y a été pendant 21 ans. Comme on était labellisé on était contrôlé régu-lièrement.“ Et il poursuit : “Des veaux !...On en a fait de beaux ! Les plus beaux de France ! On a été quatre fois au salon de l’agriculture. Les plus beaux qui sont allés à Paris pesaient 175 kg de viande. Et ce n’étaient pas des veaux blancs anémiés.

Coup d’œil sur un village, FavareillasAujourd’hui seulement trois maisons sont occupées à l’année: la première par Guillaume (qui perpétue la tradition paysanne du village), Josiane et leurs trois enfants ; une autre par Francis et Dominique ; et enfin celle de Gilberte et Henri, agriculteurs retraités.

Bâtiments municipauxNous avons décidé de faire repeindre les huisseries du bâtiment de la mairie et du logement municipal “Le Presby-tère“ par l’entreprise Guyonnaud (Ey-moutiers), pour les entretenir, et pour une harmonie de la place. Les volets seront repeints ultérieurement par les

employés communaux. La toiture et isolation du logement municipal “Le Bucher“ seront refaites au printemps par l’entreprise Naucodie (Le Monteil au Vicomte). J.J. Lozach, sénateur de la Creuse, a accordé une subvention de 3 900€ pour ce projet.

VC5, la route du bourg au Massoubrot

Eclats de Rives L’assemblée générale d’Eclats de Rives aura lieu dimanche 23 no-vembre à 17h , dans la salle com-munale.Elle sera suivie d’un apéritif dînatoi-re où l’on partagera ce que chacun aura apporté.

Page 4: Compteur d’eau ECHOS DE SAINT MARTIN · 8 Compteur d’eau Durant les périodes hivernales, si vous devez vous absenter longtemps de votre logement, n’oubliez pas de fermer le

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