présentent

18 > 22 MARS 2015 / TOURS(37)

SUPER FLUX2

CONCENTRÉ DE MUSIQUES SURPRENANTES

LE PETIT FAUCHEUX et LE TEMPS MACHINE

www.super-flux.com

> Mercredi 18 mars – 20h30CHARLIE O.

kOUmA

RICHARD PINHAS AND FRIENDSPetit faucheux

> Jeudi 19 mars – 20h30

CHARLIE O.

AU NORD/JOURNEES BLANCHES

RIEN VIRGULE

SLEAZE ARTLe Temps Machine > Vendredi 20 mars – 20h00CHARLIE O.

JOËLLE LÉANDRE & SERGE TEYSSOT-GAY « TRANS 2 »

THE SOmmES ENSEmBLE

EUGENE CHADBOURNE& SCHROEDER « THE mUSIC OF mY YOUTH »

Petit faucheux

> Samedi 21 mars – 16h30THE OCTOPUS

DUO AUDREY CHEN & JEAN-YVES EVRARDChapelle Sainte-Anne

> Samedi 21 mars – 20h30CHARLIE O.

CHARLES COHEN

RABIH BEAINI

JAmES HOLDEN PRESENTS THE INHERITORS

Le Temps Machine

> Dimanche 22 mars – 16h00TROUBLE kAZE

QUATPetit faucheux

> Du 7 au 22 mars du vendredi au dimanche de 14h à 20h

INSTALLATIONS SONORES JEAN BAPTISTE APÉRÉ,

PASCAL GUION, SOIZIC LEBRAT, PASCAL LE GAL, PATRICIA OSSES,

GEORGES PAUmIER, JENNY PICkETT, ERwIN PILOT, ALEXANDRA RISS

ET HUGUES VINCENT.

Chapelle Sainte-Anne (Square Roze – Tours)Vernissage samedi 7 mars à partir de 18h.

> 18, 20 et 22 mars de 14h à 18h30PHONO/GRAPHIENEP- / CYRIL SOLNAIS

Atelier9 (9 rue Jules Charpentier)Vernissage / performances :

mercredi 18 & vendredi 20 Mars à 18h30 dimanche 22 mars à 14h30

LES EXPOSITIO

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8€ / 12€ / 15€

mERCREDI 18 20h30 LE PETIT FAUCHEUX

CHARLIE O. (France)

Orgue

Pour les fans d’orgue Hammond bien sûr ! Et de spiritual cool jazz galactique super sexy et groovywww.unbonweekend.com

Soyons clairs tout de suite, Charlie O. n’est PAS Charlie Oleg (comme ça, c’est dit). Charlie O., c’est un homme avec son orgue Hammond (un C3 de 1962 avec sa cabine Leslie de 1972) et son camion (un C3 et une Leslie, c’est aussi gros qu’une armoire normande qui fait une sieste, donc il faut un camion). Et c’est surtout aujourd’hui une figure incontournable citée systématiquement dès qu’on parle d’orgue Hammond ou des gens avec qui il a joué ces 20 dernières années : car Charlie O. ne se range pas dans un style, mais dans un « son ». Que ce soit avec la Poésie B, Quentin Rollet et son sax libre, les guitaristes Noël Akchoté et David Grubbs, les batteurs Steve Argüelles ou Mitch Pirès, des gens aussi singuliers que Katerine, Peter Van Poehl, Jean-Louis Costes, Etienne de Crécy, Akosh S, Red, Cosmo Vitelli ou encore Mathilde Monnier, Cedric Klapisch ou John B. Root (oui oui), Charlie O. sort des disques, joue sur ceux des autres, joue beaucoup en live avec les autres et, comme il le dit lui même, « adore aussi jouer du Hammond pendant des heures, un peu à la manière d’un DJ, pendant 3, 4, 5 ou 6 heures, sans pose (ni pause, ndr), juste un verre de temps

en temps ». C’est ça qu’il nous fera pendant les quatre jours du festival, au Temps Machine et au Petit faucheux, de l’arrivée du public jusqu’à la fermeture (le plus difficile sera peut-être de l’arrêter pendant les concerts des autres groupes).

Discographie Love Music (Charlie O.. 2009) Luigee Trademarq With Charlie O.., John B. Root, Dom Farkas, Élodie Chérie, Emese Szabo, Noël Akchoté - Bande Original (Rectangle, 2012) N.Q.O Live At Instants Chavirés 2001 (Rectangle, 2013)Luigee Trademarq & Charlie O.. « Pétassine » (Rectangle, 1999) Q.O. (Rectangle, 1999) For President (Phoney Melodie, 2006) Proud To Be There (Rectangle, 1999)Double Drums (Microbe Records, 2007)

orgue Hammond C3Leslie

Cool jazz

kOUmA (France)

Romain Dugelay saxophone baryton, claviers, Damien Cluzel guitare baryton, Léo Dumont batterie

Kouma est membre du collectif lyonnais le Grolektif.

www.grolektif.com/ecard-koumawww.cartoncartoncarton.com/kouma.html#2

A cent lieues des canons consacrés du jazz (même s’ils en revendiquent l’influence), Kouma arpente des scènes de traverses, celles où l’on déchiquette les étiquettes, où l’underground peut s’afficher au grand jour. Alors oui, Kouma, c’est un peu le fond de la cave qui se rebiffe : un son à la fois sec et suintant, métallique et martelant, un power trio mutant qu’on croirait tout droit sorti des entrailles de la terre, aux confins du math-rock, de la noise et du free-jazz. A la batterie,

Léo Dumont maltraite le rythme et bouscule les riffs labyrinthiques que produisent le saxophone baryton et les synthés lo-fi de Romain Dugelay et la guitare baryton de Damien Cluzel. Trois musiciens versatiles, qui s’engagent corps et âmes au-delà des genres balisés pour façonner et balancer une mathématique sonore implacable !

power trio free-math-rock

CHARLIE O. (voir page 4)

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8€ / 12€ / 15€

mERCREDI 18 20h30 LE PETIT FAUCHEUX (suite)

RICHARD PINHAS AND FRIENDS (France, Pologne)

Richard Pinhas guitare, Noël Akchoté guitare, Manuel Adnot guitare, Arthur Narcy batterie, Milosh L. vidéo live

www.richard-pinhas.comwww.noelakchote.org

manueladnot.blogspot.frmilosh.uzik.com/blog

RIEN VIRGULE (Bordeaux)

Pour les fans de Matana Roberts, Meredith Monk, Chausse Trappe, le Cercle des Mallissimalistes, Annette Peacock etc.

rienvirgule.jimdo.com

Depuis quarante ans, Richard Pinhas fait figure d’électron libre, de musicien à part et inclassable, de la scène française. Il fonde dans les années 70 le groupe Heldon, aujourd’hui considéré comme référence, avec lequel il explore les liens entre le rock et les musiques électroniques. Ami et disciple de Gilles Deleuze, partenaire de jeu de Merzbow, Oren Ambarchi, Pascal Comelade, Keiji Haino ou récemment Etienne Jaumet, il trace une route singulière, indépendante et novatrice. A l’occasion d’une carte blanche au Divan du Monde en mai 2014, il crée ce nouveau groupe, en compagnie de son ami

Noël Akchoté, du fougueux tandem nantais Manuel Adnot / Arthur Narcy (Sidony Box, collectif 1name4acrew) et du vidéaste performeur Milosh Luczynski. Entre rock et drone, ils inventent une musique en mouvement, puissante et dense, promenant leur magma sonore sur des échelles temporelles distordues et étourdissantes.

Rien Virgule est une sorte de légende. Le lendemain de leur concert au Rexy en septembre dernier, nous avons croisé au moins une dizaine de personnes (et pas des moindres), qui étaient encore sous le choc, certains allant même jusqu’à dire qu’ils venaient de voir le concert le plus incroyable de leur vie, d’autres nous implorant, encore tremblant, de les programmer au Temps Machine. Impossible d’en savoir plus sur la musique de Rien Virgule, on a juste compris qu’il était question d’une transe totale emmenée par une batterie, des synthés et du chant : nous n’en saurons pas plus. Pas plus sinon que le groupe vient de Bordeaux et de Dordogne et que les titres qu’on a écoutés sont bien différents de l’album qu’ils sont en train d’enregistrer. Ils se présentent d’ailleurs avec ces mots : « Portant un même regard sur toutes les musiques qui nous

animent - savantes et populaires, musiques électroniques, musiques contemporaines écrites et improvisées, musiques de transe, rock, traditionnelles, expérimentales - et à l’image de notre temps marqué entre autre par l’internet et l’accès infini aux références qu’il propose, la musique de Rien Virgule est une proposition radicale, viscérale et envoûtante autour de textes originaux de Anne Careil. Au fil du set se présentent des compositions et des plages d’improvisation. Fonctions rythmiques, mélodiques et bruitistes s’interpénètrent et s’échangent; électronique et acoustique se confondent tant par la malléabilité de l’instrumentarium que par le traitement qui lui est réservé. »

Potagers Natures transe contemporaine

impro-expe-rock--trad-electronic

légende alternative rock tellurique

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JEUDI 19 20h30 LE TEmPS mACHINE / LE CLUB + LA GRANDE SALLE©

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8€ / 12€ / 15€

SLEAZE ART (Paris)

Eryck Abecassis / Frederick Galiay / JB Hanak / Kasper T. Toeplitz

AU NORD / JOURNEES BLANCHES (Tours)

Brice Kartmann & Damien Monnier

Pour les fans de dispositifs ambitieux de ciné-concert

JEUDI 19 20h30 LE TEmPS mACHINE (suite) / LE CLUB + LA GRANDE SALLE

Le travail du compositeur Kasper T. Toeplitz commence dans les années 80 et investit les champs « institutionnels » de la musique contemporaine (GRM, IRCAM, Radio France) autant que les marges des musiques expérimentales, inclassables, noise et électroniques. Opéras, pièces pour la danse (Olivia Grandville, Emmanuelle Huynh...) ou le théâtre, dispositifs « mixtes », Toeplitz intégrera au début des années 2000 l’ordinateur à son travail, via le langage de programmation MAX, qu’il finira par hybrider à sa basse – son premier instrument.Parmi tous ses projets, Sleaze Art (un orchestre de guitare réactivé après une longue pause) est peut-être le plus représentatif de son travail – et du côté punk futuriste de l’imagerie qu’il offre à voir. Rebaptisé Sleaze Art (Bass Unit) et réunissant aujourd’hui un groupe de quatre bassistes, en quadriphonie, il nous parle ainsi de ce projet comme « un grondement sourd constant, des explosions de tremblement de terre, de lents mouvements de plaques tectoniques ». Une plongée totale dans le son donc, bien loin d’un concert de « noise » classique, mais comme un moment unique d’immersion dans des strates sub-harmoniques et ultra physiques, aidé en cela par la quadriphonie et un appareillage high-tech de traitement (ordinateur, effets, synthés

modulaires) des basses mutantes d’Eryck Abecassis, Frederick Galiay et JB Hanak (de dDash et dDamage), expérimentateurs chevronnés dont l’association, rien que sur le papier, évoque déjà une idée de puissance sonore et de richesse de « matière » ultimes.Pour les fans de basse, de drone, de sub, de noise...

Discographie :Sleaze Art – 10’ (Hee Haw, 1995)Tetsuo Furudate & Kasper T. Toeplitz - Neon Green (Les Disques Du Soleil Et De L’Acier, 1998)Fissure (Sonoris, 1998)Kasper T Toeplitz, Zbigniew Karkowski - Le Dépeupleur (r.o.s.a._03, 2000)Éliane Radigue, Kasper T. Toeplitz - Elemental II (r.o.s.a._01, 2005)Inoculate? (Alamuse, 2011)Kasper T. Toeplitz & Z’EV - Fleur De Peau (Agxivatein, 2011) Åkerlund / Toeplitz - INERT/E (r.o.s.a_08, 2013)Kasper T. Toeplitz & Julien Ottavi - Blast Of Silence (Bocian Records, 2014)

Création commune de Brice Kartmann (aux sons) et de Damien Monnier (aux images), Au nord / Journées blanches est l’accomplissement d’un travail commun, et en permanence croisé, commencé il y a deux ans sur un jeu de questions - réponses entre une guitare et des films tournés en Super 8. Un début de travail qui s’est vite imposé à eux comme un possible ciné-concert, jusqu’au dispositif « en construction » que j’ai pu voir l’année dernière au Rexy, dispositif qui dépassait déjà largement la simple idée de ciné-concert... Au centre de la salle, Brice est à la guitare, à la basse et/ou au synthétiseur, et travaille la spatialisation du son en direct à l’aide d’un logiciel dédié (sous MAX/MSP) qui diffuse le son sur quatre enceintes à chaque coin de la salle. Damien, de son côté, travaille en direct ses films Super 8 numérisés (qu’il a tournés dans ce jeu initial de questions-réponses) qu’il mélange avec une vraie projection Super 8 et des diapositives. Ainsi le spectacle commence avec ce dispositif, qui d’entrée provoque le spectateur : le son vient de partout, tourne, on regarde le musicien, le vidéaste, les écrans, on est en réelle immersion.

Une immersion agréable de presque vide, de cette sensation étrange de vivre effectivement une « journée blanche », qu’on ressent vite comme la version diurne d’une nuit blanche, mais une journée « nuit » blanche en périphérie de ville déserte, quand tout devient noir et blanc, quand tout se ralentit... sans connaître l’intention des artistes, je me suis laissé emmener dans un univers Fluxus fait de musiques aux résonances post-rock (celui qu’on entend sur des disques de David Grubbs ou d’autres sortis chez Table Of The Elements par exemple) et d’images dont le grain et le sujet font émerger des ressentis 70’s, quand l’ennui d’un quotidien banal aux paysages quelconques glisserait vers un danger insaisissable auquel les personnages, le plus souvent muets, semblent se préparer (et dont le dénouement – arrivera-t-il ? - pourrait aussi bien être raconté par Jacques Tati, Jean-Luc Godard ou Paul Morrisey et Andy Warhol). Une pièce à mi-chemin entre l’installation plastique, le dispositif théâtral, le cinéma et le concert de (post) rock. Une proposition vraiment pleine de promesses, aussi ambitieuse que poétique.

Pour les fans de basse, de drone, de sub, de noise...www.sleazeart.com

4 basses mutantes quadriphonie immersion

quadriphonie vidéo / super 8

guitare / synthé / diapos / ciné concert

CHARLIE O. (voir page 4)

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8€ / 12€ / 15€

JOËLLE LÉANDRE & SERGE TEYSSOT-GAY « TRANS 2 » (France)

Joëlle Léandre contrebasse, voix, Serge Teyssot-Gay guitare

VENDREDI 20 20h00 LE PETIT FAUCHEUX

Quand une légende des musiques improvisées croise la route d’une légende du rock… D’un côté, Joëlle Léandre, contrebassiste majeure et improvisatrice de génie, dont les 30 ans de carrière lui ont permis de jouer avec à peu près tout le monde. De l’autre côté, Serge Teyssot-Gay, guitariste mythique de Noir Désir, bien sûr, mais aussi et surtout aujourd’hui musicien tête chercheuse au carrefour du rock, de l’impro, des musiques du monde. Ce duo insoupçonné tire sa force de la confrontation de ces univers, chacun apportant un discours, un vocabulaire, des couleurs. La guitare de Serge Teyssot-Gay, toute en nuance, construit des trames tour à tour spectrales, introverties ou sauvages sur lesquelles Joëlle Léandre pose de profondes lignes de contrebasse, crie les révoltes et les illusions, fait vibrer, grincer et éructer son instrument. Un minimalisme toujours prêt à craquer, à laisser une averse de rage s’abattre sur le silence…

légendes rockvs

musique improvisée

www.joelle-leandre.comwww.sergeteyssot-gay.net

EN AVANT-PREmIèRE SORTIE DE L’ALBUm

TRANS 2 DE JOËLLE LÉANDRE ET SERGE TEYSSOT-GAY LABEL INTERVALLE TRITON DISTRIBUTION : L’AUTRE DISTRIBUTIONDIFFUSION NATIONALE LE 30 mARS 2015

© DR

THE SOmmES ENSEmBLE (France, Australie)

Pierre-Antoine Badaroux saxophone alto, Julien Desprez guitare, Maxime Petit basse, Will Guthrie batterie, percussions

sites.google.com/site/badarouxpierreantoinejuliendesprez.blogspot.fr

www.maximepetit.comwill-guthrie.com

Will Guthrie n’est pas un inconnu du festival, ses prestations passées auront marqué les esprits : en solo et en trio avec Ferran Fages et Jean-Philippe Gross (il y a dix ans !), avec The Ames Room et Tymolphthalein, jusqu’à son concert mémorable en solo en décembre dernier au Temps Machine. Ce n’est donc pas une surprise de le retrouver aujourd’hui à l’initiative de ce nouveau « super groupe ». The Sommes Ensemble voit le jour en septembre 2014, à l’occasion de l’Aïnu Fest de Montaigu. D’emblée, les quatre compères affirment leur intention : The Sommes Ensemble n’est pas là pour faire dans la douceur ! Ils puisent dans leurs

influences et domaines de prédilection – le jazz, le rock, la musique improvisée, la noise – pour créer un véritable maelström sonore, intense et furieux. Ils improvisent sans pour autant s’interdire les plans de bataille, les lignes mélodiques affûtées et les schémas rythmiques imparables, et créent une musique intense, hypnotique et sacrément réjouissante !

free rockhypnotique

© DR

Tarif unique 6 €

Fondé en 2013 en Allemagne, le quatuor de violoncelles Octopus réunit quatre musiciens éclectiques, évoluant dans de nombreux univers. Tous formés aux musiques dites classiques et contemporaines, ils partagent un goût affirmé pour les collisions esthétiques et l’exploration de terrains de jeu moins courant pour leur instrument de prédilection, qu’il s’agisse de jazz, de rock, d’improvisation libre ou

de musiques traditionnelles de diverses origines. En concert, Octopus propose de véritables performances improvisées et aime croiser le chemin de danseurs, de peintres, de vidéastes et de plasticiens. Depuis peu, le quatuor engage des collaborations avec des compositeurs en vue de mettre en forme des pièces écrites spécialement pour lui.

thecellooctopus.wordpress.com

THE OCTOPUS (Allemagne, France)

Elisabeth Fügemann violoncelle, Nora Krahl violoncelle, Nathan Bontrager violoncelle, Hugues Vincent violoncelle

musique improvisée

quatuor de violoncelles

SAmEDI 21 16h30 CHAPELLE SAINTE-ANNE

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VENDREDI 20 20h00 LE PETIT FAUCHEUX (suite)

Eugene « Doc Chad » Chadbourne, historien du blues et du folk américain, maître improvisateur et guitariste virtuose, est apparu sur la scène expérimentale new-yorkaise en 1976. Stakhanoviste de la musique américaine, son œuvre colossale et en perpétuelle évolution le place toujours là où on ne l’attend pas, en témoigne sa discographie foisonnante et magnifiquement secouée ! On l’a entendu jazzman, improvisateur, expérimentateur, rockeur ou encore banjoïste country (son péché mignon) en compagnie de John Zorn,

Fred Frith, Paul Lovens, Derek Bailey, Carla Bley ou Han Bennink (pour n’en citer que quelques- uns). Il se présente aujourd’hui aux côtés de son camarade Schroeder, batteur allemand (et également comédien), pour un « tour de chant » jubilatoire, nous invitant à célébrer avec lui les musiques qui ont façonné l’adolescent qui allait devenir un des musiciens les plus inclassables et attachants qu’il soit donné d’entendre aujourd’hui.

www.eugenechadbourne.com

EUGENE CHADBOURNE & SCHROEDER « THE mUSIC OF mY YOUTH » (Etats-Unis, Allemagne)

Eugene Chadbourne guitare, banjo, chant, Schroeder batterie

country rock déluré

sixties réinventées

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CHARLIE O. (voir page 4)

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12€ / 18€ / 23€

Musicien de Philadelphie, Charles Cohen joue depuis 40 ans de son synthétiseur modulaire portatif Buchla Music Easel, instrument aussi rare que mythique fabriqué par le pionnier Don Buchla, à seulement 25 exemplaires en 1973 (et, pour les initiés, agencé sur une architecture électronique différente de celle des Moog ou autre Korg et Roland, et donc au son absolument singulier et identifiable). Improvisateur virtuose qui aime à citer Cecil Taylor parmi ses influences, Cohen est un avide performeur live, amoureux de rencontres, de musique avec les autres, pour les autres, de transmission et de pure joie de jouer. Un musicien allergique au studio qui n’a sorti au final que très peu de disques (avec Jeff Cain sous le nom de Ghostwriters par exemple), même s’il publie régulièrement ses fameux « bleep of the week » sur soundcloud depuis plusieurs années. En revanche, il a chez lui de nombreuses cassettes d’enregistrements de musiques qu’il avait réalisées pour des pièces de danse et de théâtre dans les années 70 et 80, ces fameuses cassettes, véritables trésors, que Rabih Beaini a réédités sur son label. Et là où le timing a joué en la faveur de la reconnaissance (tardive mais unanime) du maître du Buchla, c’est que sa musique apparaît aujourd’hui comme un troublant reflet en miroir des dernières avant-gardes excitantes de la musique électronique. Ainsi, de James Holden à Etienne Jaumet, de Luke Abbott à Jon Hopkins, Four Tet, Pantha Du Prince, Lee Gamble, Actress, Andy Stott, Hieroglyphic Being jusqu’à Boards Of Canada ou encore Broadcast, tous rendent

inconsciemment hommage aux sculpturales percussions analogiques, aux ambiances immersives et aux textures radieuses, chaudes et vraiment captivantes des pièces de Charles Cohen de la fin des années 70, à l’époque où Kraftwerk nous faisait croire que la techno viendrait de robots de Düsseldorf qui réinventeraient la pop, alors qu’elle venait en fait d’un improvisateur de free jazz de Philadelphie, qui dans le sillage de figures telles que Terry Ryley, Conrad Schnitzler, Pauline Oliveros, Steve Reich, Morton Subotnick ou Silver Apples, humanisait et poétisait les oscillateurs électroniques sur une douce et intense pulsation binaire. N’est-il pas ainsi de l’ordre de la grande et juste logique des choses que Charles Cohen soit aujourd’hui enfin découvert par la jeune génération de la musique électronique, au moment où elle-même (re)devient humaine, débridée, pleine de surprises, sensuelle et sensible ?

Discographie :Ghostwriters (w/ Jeff Cain) « Objects In Mirror Are Closer Than They Appear » (1981)Charles Cohen & Ed Wilcox - Those Are Pearls That Were His Eyes (Ruby Red Editora, 2007)Music For Dance And Theater, 2xLP (Morphine Records, 2013) Group Motion, LP (Morphine Records, 2013) The Middle Distance (LP) (Morphine Records, 2013)Dance Of The Spiritcatchers (Morphosis Reworks) EP (Morphine Records, 2013)

Pour les fans de techno minimale et aussi de Conrad Schnitzler, Terry Riley, Dieter Moebius, Edgar Froese, Robert Ashley, Bruce Haack, etc.

soundcloud.com/beepsandboops

CHARLES COHEN (Etats-Unis)

pionnier synthé modulaire

Buchla abstract techno

SAmEDI 21 20h30 LE TEmPS mACHINE / LA GRANDE SALLE

Audrey Chen fait partie de ces artistes qui vous « collent au mur » dès la première écoute, un peu comme Iva Bitova ou Phil Minton. Jean-Yves Evrard est certainement le plus génialement déjanté des guitaristes français. Il fallait que ces deux-là se rencontrent, c’est le festival Jazz à Luz qui, à l’occasion de son édition 2011, eut la bonne idée de jouer les entremetteurs. Tous deux partagent un rapport intime et singulier

à leurs instruments de bois. Lorsque Jean-Yves Evrard s’empare de sa guitare, lorsque Audrey Chen saisit son violoncelle, la musique semble jaillir avant même qu’ils aient posé les doigts sur les cordes. Jouant sur la fragilité de l’inattendu, ils façonnent une poétique de l’instant, tantôt retenue, tantôt exubérante, avec précision et sens du détail. Une musique en résonnance, sensible et touchante.

Concert proposé par Sébastien Boisseau, artiste associé au Petit faucheux en 2014-2015.

audreychen.com

DUO AUDREY CHEN & JEAN-YVES EVRARD (Etats-Unis, France)

Audrey Chen violoncelle, voix, Jean-Yves Evrard guitare

musique improviséeacoustiquepoétique

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SAmEDI 21 16h00 CHAPELLE SAINTE-ANNE (suite)

12€ / 18€ / 23€

SAmEDI 21 20h30 LE TEmPS mACHINE (suite) / LA GRANDE SALLE

James Holden, pour beaucoup d’entre vous, fait figure de héros électronique absolu, de classe définitive, de musique libre et unique. Ok, nous aussi... Dur d’écrire une page sans se noyer dans un mutisme incontrôlable provoqué par la joie immense d’accueillir celui qui est pour nous un des rares musiciens à toucher du doigt cette vérité mythologique que l’on cherche dans la musique. Déjà, à la sortie de son premier album « The Idiots Are Winning » en 2006, le choc avait été mondial : cette techno devenait définitivement impossible à définir avec des mots, alors « Holden » ou « Border Community » (et « Nathan Fake » bien sûr) sont devenus de nouvelles façons de décrire cette musique électronique dansante et futuriste, nouvelle et immédiate, sensible et violente, cotonneuse et tranchante comme un rasoir, hypnotique et définitivement humaine. Et il aura fallu attendre 7 ans pour écouter « The Inheritors », deuxième album en forme de trip indéfinissable de 75 minutes dont les centaines d’écoutes n’auront pas suffi à nous donner le sentiment d’en avoir fait le tour : James Holden nous a emmené dans un voyage chamanique dont on ne revient pas, absolument invraisemblable, unique et, là vous devez avoir compris que je n’arriverai pas à en dire plus. Ce mélange de musique hybride « analogique-digitale », piloté avec les possibilités granulaires infinies de MAX/MSP et bousculé par des synthés modulaires empiriques, la frappe de Tom Page (le batteur

exceptionnel de maîtrise et de justesse de Rocketnumbernine) et le saxophone solaire d’Etienne Jaumet (pour couronner le tout) provoque des images de cellules primitives, de danses d’amibes, de chants stellaires, de symphonies sous-marines, de mers volcaniques... Et pourtant, en fin de compte, ce trip païen inspiré de légendes anglaises dans lequel nous plonge Holden est bien à lui, comme il le précise lui-même : «Je voulais que ce soit un tout nouveau monde, une mythologie, complète». La liberté de James Holden tient du miracle : n’importe qui d’autre aurait laissé la facilité prendre le dessus et gonfler son compte en banque. Bon, je vous concède que s’il a dû faire des remixes à l’oeil pour ses amis Kieran Hebden, Caribou, Nathan Fake ou Mogwai, rien ne semble nous dire qu’il en fut de même pour ses remixes de certaines grosses stars mondiales. Quoi qu’il en soit, il est important de faire la différence entre le James Holden DJ et le James Holden musicien : c’est le deuxième qui nous tue le plus, et ça tombe bien parce que c’est lui qui viendra, avec son groupe, pour un concert qui nous fait déjà nous demander lequel nous serons obligé de déclasser dans notre top 5 pour l’y faire figurer.

Discographie :The Idiots Are Winning (Border Community, 2006)The Inheritors (Border Community, 2013)

Pour les fans de Four Tet, Nathan Fake, Caribou, Rocketnumbernine, Etienne Jaumet,

www.jamesholden.org

JAmES HOLDEN PRESENTS THE INHERITORS (Royaume-Uni)

Border Community The Inheritors

abstract techno

Rabih Beaini (aka Morphosis aka Ra.H) véritable artisan de la techno underground depuis le milieu des années 90, ne cesse de construire des ponts entre techno, impros électroniques, dark wave, krautrock et jazz cosmique, que ce soit dans ses DJ set épiques, ses live avec ses synthés analogiques et boîtes à rythmes ou encore avec les sorties de son label, Morphine Records (sous titré « raw soul revolution », « collapsing borders and fields » ou juste « fine electronic music ») et la programmation de son célèbre club à Venise (Elefante Rosso), spécialisée dans les concerts de free jazz, de musique expérimentale, de noise ou de techno. On retrouve notamment toutes ces influences (de Sun Ra à Pan Sonic on va dire) dans son album “What Have We Learned” sorti en 2011, qui lui a valu une reconnaissance mondiale et permis de propager sa bonne parole dans les plus hauts (beaux) lieux prescripteurs de ce que tout le monde écoutera dans quelques années. Ses disques suivants, chez Honest Jon’s, sur le label Libannais Annihaya ou sur Morphine l’ont depuis clairement imposé comme un des musiciens électroniques les plus curieux et fascinants d’aujourd’hui, à la fois avant-garde et lumineux, et surtout ouvert sur le monde, et sur l’histoire – écoutez-donc les disques de Upperground Orchestra sur lesquels il s’entoure de vrais musiciens de (free)-jazz, c’est dément. Le fait qu’il ait réédité les fabuleux morceaux des années 70 et 80 de Charles Cohen est également la preuve que ce doux garçon a aussi le nez fin, et est surtout motivé par une passion sans faille de transmission, de partage. Un chouette type, multi-casquettes, qui se faisait joliment complimenter comme un « inconnu incontournable acoustiquement imprévisible » avant de

devenir l’indispensable artiste qu’il est aujourd’hui. Ah oui, j’allais oublier : la musique de Rabih est, aussi (surtout?), très dansante. Ouf, j’ai bien vu que vous commenciez à flipper.

Discographie très sélective : • Morphosis – Hunting EP (Morphine Records) 2005 • Ra.H – Fall Of Justice (Morphine Records) 2007 • Morphosis – Dark Myths Of Phoenicia – Part 1 Of 2 (Morphine Records) 2007 • Upperground Orchestra – Solaris Eremit (Morphine Records) 2008 • Morphosis – What Have We Learned (album) 2011 • Upperground Orchestra – The Eupen Takes (Morphine Records) 2012 • TM404 – Morphosis Korg Response (Kontra Musik) 2012

Pour les fans de Sähkö, Raster-Noton, Vatican Shadow, Luke Abbott, Jon Hopkins, Four Tet, Pantha Du Prince, Lee Gamble, Actress, Andy Stott, Hieroglyphic Being etc etc.

www.morphinerecords.com

RABIH BEAINI (Liban, Italie)

morphosis morphine Records abstract techno

En juin 2011, Fred Van Hove convie une jeune vibraphoniste belge remarquée, Els Vandeweyer et deux batteurs allemands, véritables institutions de leur instrument sur la scène des musiques improvisées, Paul Lovens et Martin Blume, pour créer Quat. Fort d’un album à la beauté sombre (sorti chez No Business en 2013), Quat s’impose comme la nouvelle pépite d’un pianiste majeur et pionnier des musiques improvisées européennes depuis les années 60. Tous les quatre, ils façonnent une musique exigeante mais espiègle, toujours alerte et soucieuse de tracer une ligne esthétique écartant le bavardage. En véritables funambules, ils progressent sur un fil tendu entre le jazz et la musique

contemporaine, jouant à ne jamais se raccrocher à l’un ou l’autre des deux bords. Les percussions, vibraphone et batteries rivalisent d’inspiration et de profondeur pour sublimer le jeu du pianiste qui à soixante quinze ans passés, continue de nous éblouir, avec une fraîcheur, une ingéniosité et une créativité qui nous rappellent que sa réputation de géant du free et des musiques improvisées est loin d’être usurpée !

www.fredvanhove.bewww.elsvandeweyer.com

www.martinblume.de

QUAT(Belgique, Allemagne)

Fred Van Hove piano, Els Vandeweyer vibraphone, Paul Lovens percussions, Martin Blume percussions

musique improvisée

mythes vivants

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DImANCHE 22 16h00 LE PETIT FAUCHEUX

8€ / 12€ / 15€

En 2010, Peter Orins et Christian Pruvost, musiciens actifs du collectif lillois Muzzix, invitent le tandem japonais composé de Satoko Fujii et Natsuki Tamura pour créer le quartette Kaze. Le groupe s’impose d’emblée par ses prestations live étonnantes de cohérence et de cohésion et par deux disques marquants (Rafale et Tornado, sortis sur le label du collectif Circum-Disc). Aimant jouer sur le doublement des timbres et les ambiguïtés sonores, comme c’est le cas déjà avec les deux trompettes, mais également avec

chacun des musiciens, très vite est venue l’envie de doubler chaque instrument, de créer un double trio, un triple duo : Trouble Kaze. A l’image du quartette, Trouble Kaze est sans limite, proposant un free jazz créatif et puissant, abstrait et ludique, mélodique et « noise ». Ce sextette est aussi la rencontre de démarches créatrices individuelles fortes, réunissant et mettant en jeu les quatre musiciens fondateurs et deux acteurs incontournables de la scène improvisée européenne : Sophie Agnel et Didier Lasserre.

muzzix.info/Trouble-Kaze

TROUBLE kAZE / COLLECTIF mUZZIX (France, Japon)

Natsuki Tamura trompette, Christian Pruvost trompette, Satoko Fujii piano, Sophie Agnel piano, Peter Orins batterie, Didier Lasserre batterie

musique improviséedouble trios

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© Sébastien Bozon

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Entrée libre

PHONO/GRAPHIEEN ATTENDANT QUE LES NOTES SèCHENT…NEP- / CYRIL SOLNAIS

OUVERTURE PUBLIC : mrecredi 18, vendredi 20

et dimanche 22 mars de 14h à 18h30.

PERFORMANCES : mercredi 18 et vendredi 20 mars

à 18h30 et dimanche 22 mars

à 14h30

EXPOSITIONS - INSTALLATIONS

INSTALLATIONS SONORESJEAN BAPTISTE APÉRÉ, PASCAL GUION, SOIZIC LEBRAT, PASCAL LE GAL, PATRICIA OSSES, GEORGES PAUmIER, JENNY PICkETT, ERwIN PILOT, ALEXANDRA RISS ET HUGUES VINCENT.Du 7 au 22 mars Vernissage samedi 7 mars à partir de 18h.

09 54 30 44 20 / atelier.a9@gmail.com

ATELIER 99, rue Jules-Charpentier - 37000 Tours

02 47 37 10 99 / cleanne@numericable.fr

CHAPELLE SAINTE ANNESquare Roze – Tours (derrière le café Jean Bart)

Pour la deuxième édition du festival Super Flux, l’Atelier9, en collaboration avec le Petit faucheux et le Temps Machine, propose une carte blanche dans son lieu à deux artistes tourangeaux. NEP- artiste peintre et Cyril Solnais musicien se voient confier les deux niveaux de l’Atelier9 pour une expérimentation durant toute la semaine du festival Super Flux. Dans une performance qui croise l’exposition avec le concert, ce temps se veut celui d’une recherche artistique en contact direct avec le public. Une expérience immersive qui mêle deux approches artistiques singulières. Laissez-vous guider dans ce parcours atypique. Par ce projet, l’Atelier9 tient à ancrer ces propositions artistiques dans l’expérimentation et la recherche ouvertes au public.

Ouvert du vendredi au dimanche de 14h à 20h et lors des concerts.

www.nep-aarts.comwww.cyrilsolnais.com

ABONNÉ / RÉDUIT RÉSERVATION SUR PLACE

Mercredi 18 mars - 20h30Le Petit faucheux

CHARLIE O. + kOUmA + RICHARD PINHAS AND FRIENDS

8 € 12 € 15 €

Jeudi 19 mars - 20h30Le Temps Machine

CHARLIE O. + AU NORD/JOURNEES BLANCHES + RIEN VIRGULE + SLEAZE ART

8 € 12 € 15 €

Vendredi 20 mars - 20h00 Le Petit faucheuxCHARLIE O.

+ JOËLLE LÉANDRE & SERGE TEYSSOT-GAY+ THE SOmmES ENSEmBLE

+ EUGENE CHADBOURNE & SCHROEDER

8 € 12 € 15 €

Samedi 21 mars - 16h30 Chapelle Sainte-AnneTHE OCTOPUS

+ DUO AUDREY CHEN & JEAN-YVES EVRARD

TARIF UNIQUE 6 €

Samedi 21 mars - 20h30 Le Temps Machine

CHARLIE O. + CHARLES COHEN + RABIH BEAINI JAmES HOLDEN PRESENTS THE INHERITORS

12 € 18 € 23 €

Dimanche 22 mars - 16h00Le Petit faucheux

TROUBLE kAZE + QUAT 8 € 12 € 15 €

TARIFS LESLIEUX

SUPER FLUX

TARIFS ABONNÉS ET RÉDUITS : Adhérents Petit faucheux, abonnés Le Temps Machine, étudiants, moins de 18 ans, demandeurs d’emploi/RSA, adhérents Jazz à Tours, adhérents Jazz Région Centre, adhérents Jazz à Poitiers (Carré bleu), abonnés de l’Hectare – Scène conventionnée de Vendôme, titulaires des cartes des salles partenaires (Emmetrop, Chato’Do, Astrolabe, Confort Moderne, Excelsior), personnes en situation de handicap (gratuité pour l’accompagnant obligatoire mentionné sur la carte d’invalidité).Un justificatif sera demandé à l’entrée du concert.

PLEIN TARIF PRÉ-VENTES : clôture des pré-ventes le jour de chaque concert à 16h

PLEIN TARIF SUR PLACE : plein tarif au moment du concert

LE PETIT FAUCHEUX12 rue Léonard de Vinci - 37000 Tours02 47 38 67 62www.petitfaucheux.fr

LE TEmPS mACHINEParvis Miles Davis  45-49 Rue des Martyrs - 37300 Joué-lès-Tours02 47 48 90 60www.letempsmachine.com

CHAPELLE STE-ANNESquare Roze - 37000 Tours (derrière le café Jean Bar)

02 47 37 10 99http://chapellesainteanne.com

ATELIER 99 rue Jules-Charpentier - 37000 Tours09 54 30 44 20http://atelier9expositions.blogspot.fr

CAPTATION DES CONCERTSDU DUO AUDREY CHEN & JEAN-YVES EVRARD

et QUATPAR FRANCE mUSIQUE

POUR L’ÉmISSION D’ANNE mONTARON « A L’ImPROVISTE ». www.francemusique.fr

Billetterie en ligne : www.super-flux.comou directement au Petit faucheux, au Temps Machine

et A La Bonne Planchette (11 rue du président Merville – Tours)

SUPER FLUXCONCENTRÉ DE MUSIQUES SURPRENANTES

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