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8ème face productionsAlexandre Boutros (producteur)tél : +33 (1) 06 09 06 11 22fax : +33 (1) 01 43 56 72 [email protected]
J.G Biggs (réalisateur)tél : +33 (1) 06 07 99 35 79
IDA:Tu m'aimes plus papa, pourtant, au mois de juin
à l'hôpital, tu m'as dit que tu m'aimais…
LE PERE:Et tu m'as cru ? Tu vois, t'es bien une mongolien-
ne! Dégages de ma vue, va jouer dehors!
Alexandre Boutrosprésente
une production
8ème Face
D’après une histoire vraie
un film de J.G Biggs
Joyce Bibring Guy LecluyseLaurence Yayel Mylène JampanoiJason CiarapicaYeelem Jappain
scénario Ida Beaussart et J.G Biggscadre et lumière J.G Biggsdécor Sébastien Inizan
montage Carlo Rizzocasting Fabienne Bichet
direction d’acteurs Christine Giuacostumes Yvette Ebengué son Jean-Marcel Milanscripte Caroline Leloup
1er assistant réal Gautier Billottemusique composée par Cyril Morin
NOTE D’INTENTION
"Jeune Parricide Acquittée". Voilà le titre qui donna nais-sance au film. Je tenais absolument à savoir comment un teldrame avait pu finir par un acquittement. Après maintesrecherches, il s'avère que la meurtrière était en fait lavictime: son Père, un colosse de presque 2 mètres, 130kilos, humiliait, terrorisait, massacrait à coups de pieds,coups de poings, etc… cette adolescente de 17 ans depuisl'âge de 7 ans ! 10 ans de torture physique et psycholo-gique.
Comment se fait-il que les personnes qui étaient au courantn'ont rien fait?
Les réponses à ces questions sont dérangeantes, voirerévoltantes: il s'avère que tout le voisinage était au cou-rant. Idem pour les professeurs et assistantes sociales deson lycée. Pire: les gendarmes et juges connaissaient lecas de cette famille "atypique". La famille “Bayard” étaitbien connu de tous les services car elle était considéréecomme dangereuse. Le Père faisait parti d'un groupusculed'extrême droite ultra activiste, ayant recours aux inti-midations et menaces armées.
Voilà pourquoi tout ce monde a fermé les yeux et laissé Ida,cette adolescente affaiblie physiquement, seule contre lapire des maladies: son Père. Ce dernier tenta a plusieursreprises de la tuer. Et cela Ida l'a raconté aux différentespersonnes citées. Personne n'a rien fait pour elle par peurde représailles du Père.
C'est le courage, l'héroïsme d’Ida que je tenais à salueret à mettre en lumière grâce à ce film. "Pleure en Silence"est également un cri, un film coup de poing, non politique,mais dénonciateur d'une faille du système.
J.G BIGGS
SYNOPSIS
Inspiré de faits réels.
Juillet 1989, Nord de la France.
Kristina (19 ans) fait une fugue en pleine nuit. C'est l'aî-née d'une famille de 4 filles. La seule à être au courantde la fugue est Ida, dite “Dada” (la 3ème fille, 17 ans).Elle promet à Kristina de garder le secret. Les deux autressœurs, Françoise (18 ans) et Élodie (12 ans) ainsi que laMère, n'entendent pas son départ et ne découvrent la lettred'adieu de Kristina que le lendemain.
Commence alors l'horreur: le Père d'Ida, un colosse de 130kilos, 1m85, prend un congé « forcé » pour retrouverKristina. Enragé, il fait de Dada son souffre-douleur ets'acharne sur elle, la rouant de coups de pieds, coups depoings. Il ne s’adresse à elle qu’en l’appelant « la mon-golienne ».Extremement violent, il est membre d'un groupe néo-nazi. Ildéteste sa fille Dada, qu’il considère comme une"faible"car elle est trop souvent malade. Il va tout fairepour qu'elle agonise lentement… Afin de la terroriser enco-re davantage, il s’acharne également sur la Mère.
Même si tout le voisinage est au courant, personne n'oseintervenir car le Père menace de représailles armées. Dadaest donc livrée à elle-même.
L’horreur va durer 8 jours. Les coups portés sont d’unetelle violence que Dada devient incontinente. Ses seulsmoments de répit sont lorsqu’elle réussit à s’échapper poursniffer de la colle. Cela lui permet de "ne plus sentir lescoups" puisqu’elle doit "souffrir en silence".
Tout a commencé par la lecture d’un article intitulé “JeuneParricide Acquittée”. De cet article est née la rencontreentre le réalisateur J.G Biggs et Ida Beaussart, la prota-goniste principale de cette tragédie.
Comme une impulsion, "Pleure en silence" a vu le jour subi-tement. J.G Biggs parle de l'histoire d'Ida Beaussart auproducteur de 8ème Face, Alexandre Boutros, qui donne aus-sitôt son feu vert. La machine est lancée.
Très vite, ce "sujet délicat" permet d'obtenir des profes-sionnels déjà confirmés dans le long métrage:• Cyril Morin, compositeur,• Fabienne Bichet, directrice de casting
La pré-production et la production du film se font trèsrapidement, en des temps records :
• 21 jours d’écriture pour le scénario final (100 pages)• 15 jours de pré-production (repérages, casting, répéti-
tions)• 10 jours de tournage
Le film est tourné en HD, en couleur, pour en faire une ver-sion finale en noir et blanc (avec des parties en couleur).La première version du film dure 2 heures 20 minutes !Presque une heure de film est retirée (pour des raisonsartistiques) afin d’obtenir la version finale de 1 h 27.
J.G BIGGS tenait vraiment à ce que le film soit au plusproche de la réalité. C’est pourquoi, présente dès l’écri-ture du scénario, Ida Beaussart a également suivi tout letournage pour apporter un maximum de précisions, de détailssur son quotidien de 1989.
Le titre a changé plusieurs fois : “Ida”, “Ida et le Nazide Salomé”, “La Dictée”, “La Solution Finale”, etc… Letitre final est trouvé pendant le montage du film. Ce der-nier, “Pleure en silence”, résume bien la situation déses-pérée d’Ida. C’est surtout la dernière phrase qu’elleentendra de son père vivant.
NOTES DE PRODUCTION PRESSE
Ce n'est qu'à l'âge de 18 ans qu'elle se lance officielle-ment en tant que comédienne professionnelle, au théâtrecomme au cinéma, où elle fait de belles rencontres comme ladirectrice de la compagnie "la balancelle", Monique Surel-Tupin, Jean-Paul Cyveirac qui a été son premier lien avecle cinéma. Elle tourne son premier long métrage avec J.GBiggs "Pleure en silence". Elle lui arrive également deprêter sa voix au doublage.
GUY LECLUYSE le père
Né le 29 juin 1962.
Originaire du nord de la France, Guy Lecluyse débute aucafé-théâtre sur les planches du Petit Casino dans 'Nous,on sème !'. Stéphane Collaro lui met le pied à l'étrier dupetit écran, en passant derrière le bar du 'Bébête show'.Il enchaînera par la suite téléfilms, pubs, séries etautres émissions de divertissement.
Olivier Marchal, comédien et réalisateur, est le premier àlui faire confiance pour des aventures sur grand écran dans'Gangster'. Expérience qu'ils réitéreront en 2004 avec '36quai des orfèvres', film dans lequel le comédien apparaîtaux côtés de Gérard Depardieu, Daniel Auteuil et AndréDussolier.
Guy Lecluyse remonte sur les planches en septembre 2004, auPoint Virgule, grâce à ses amis de la première heure, Jean-Marie Bigard et Jean Jacques Devaux, pour l'épauler dans unone-man show intitulé 'J'suis pas inquiet'.
Guy Lecluyse est remarqué par la réalisatrice Fabienne Godetqui le dirigera dans "Sauf le respect que je vous dois".Avec "Pleure en silence" J.G. Biggs lui offre son premierrôle principal, dans un registre subversif et engagé.
LES COMÉDIENS
JOYCE BIBRING Dada
Née le 4 février 1988.
En 1998, elle suit les cours dethéâtre de Rosario et MariaAudras et obtient ainsi un rôleaux côtés de Michel Duchaussoy,Dominique Pinon et ElsaZylberstein dans “6 personnagesen quête d'auteur”. Elle a alors10 ans et se découvre une vraiepassion pour le théâtre.
Elle suit ensuite les classes de Christine Giua et ChantalBriere de 2000 à 2004 au Cours Simon, pour finalement êtreadmise dans la classe professionnelle de Cyril Jarousseauen 2005. Elle fait partie d'une troupe de théâtre engagé,“Acteur Toi-Même”, parrainée par Rachida Brakni.
Octobre 2005: à 17 ans, “Pleure en silence” est son premiervrai rôle au cinéma.
JASON CIARAPICA Françoise
Née le 1er juillet 1983.
Jason Ciarapica a des origines italiennes du côté de sonpère. Elle vit ses toutes premières années sous la toiled'un chapiteau, à l'île de la Réunionoù son père est directeur du théâtredu Tampon et sa mère directrice de lacompagnie "la petite fredaine".Entourée de comédiens et de circas-siens elle est plongée très tôt dansle monde du spectacle.
De retour en métropole, elle poursuit tranquillement saformation de comédienne et s'intéresse parrallèlement à lamusique.
MYLENE JAMPANOI Kristina
Née le 12 juillet 1980.
Mylène naît d'un père Chinois et d'une mère Bretonne.
En 2000, après une année de droit, elle monte finalement àParis pour devenir comédienne.
Le 10 septembre 2001, elle trouve dans l'annuaire le nomd'un agent et dépose une photo ainsi qu'un CV. Elle obtientun rendez-vous, puis un casting et ses premiers rôles pourla télé (Détective, Malone, etc.).
En 2002, elle prend des cours aux “Ateliers de l’Ouest” avecSteeve Kalfa. Après une année de théâtre, elle suivra éga-lement les cours de Pascal Luneau.
En 2004, elle décroche son premier rôle dans “Les rivièresPourpres 2” d’Olivier Dahan. Suivront “36 Quai desOrfèvres” d'Olivier Marchal, le clip de Demon “In the Park”réalisé par J.G Biggs, “Cavalcade” de Steve Suissa, jusqu'àce qu'elle obtienne le rôle principal du nouveau film dePan Nalin, “Valley of Flowers”.
En 2005, Mylène est appelée par la productrice Lise Fayollepour passer un casting en Chine. Elle obtiendra le rôle dans“Les Filles du Botaniste”.
A son retour elle joue dans “Pleure en silence”, le premierlong métrage de J.G Biggs qui l'avait déjà dirigée sur le
clip “In the Park”.
LAURENCE YAYEL la mère
Née le 14 février 1966.
Venue du monde des humoristes et du "Stand up", LaurenceYayel débute sa carrière sur les scènes des cafés-théâtresparisiens.
Après quelques apparitions dans des comédies TV("Duelles"/M6, "L'emmerdeuse"/TF1), elle décroche son pre-mier rôle important en 2003 dans "Les frangines" (TF1) auxcôtés d'Arielle Dombasle et de Michèle Bernier.
Malgré ce tempérament comique, J.G Biggs lui confiera lepersonnage de la mère dans "Pleure en silence", un rôled'une intensité résolument tragique.
YEELEM JAPPAIN Elodie
Née le 8 octobre 1987.
Scolarisée au lycée Monet en option théâtre, elle a la chan-ce de travailler avec des hommes et des femmes de théâtrerenommés tels que Brigitte Jacques, et Emmanuel Demarcy-Mota.
À 16 ans, elle débute sa carrière avec des rôles dans desséries télé et des pubs, puis elle décroche dans son pre-mier long métrage "Pleure en silence" à l'âge de 18 ans.
ALEXANDRE BOUTROS producteur
Né en 1978
Diplômé de l’Ecole Supérieure de Commerce de Montpellier,il travaille dans diverses productions comme directeurartistique et chargé de production.
Il crée sa propre société de production, 8ème FaceProductions, avec le leader du groupe rap Saïan Supa Crew(3 fois nominés aux “Victoires de la Musique”) “Feniksi”(dit Fefe). Ensemble ils produisent quantité de clipsvideos, publicités, DVD, spot TV. Lorsqu’il produit le clipBrice de Nice, il rencontre Nicolas Altmayer. Ce dernier,avec son succès “Brice de Nice”, puis par la suite “OSS 117”lui ouvre un nouvel horizon professionnel: le long métra-ge. Moyen d’expression pouvant dénoncer l’un de ses prin-cipaux combats: l’injustice.
De sa rencontre avec le réalisateur John Gabriel Biggsdécoule une parfaite alchimie qui se confirma sur lesdivers projets. L’immense confiance en ce jeune talent pro-metteur du cinéma français déclencha ce projet.
À 28 ans, Alexandre Boutros décide avec son associé Fenikside financer en auto production le film “Pleure en silence”.Le bénéfice engendré par quatre années d’activité leur apermis de produire le film et de laisser exprimer librementla création artistique de leur réalisateur.
Réputé dans la profession pour être très réactifs sur lesproductions de films courts, ils appliquent leur savoirfaire sur le long métrage : il est tourné en dix jours avecseulement deux semaines de pré-production et quatre mois depost-production.
Un nouveau film est déjà en préparation pour 2007.
L’ÉQUIPE TECHNIQUE
J.G BIGGS réalisateur, scénariste,directeur de la photographie
Né le 25 mai 1973.
Chilien, fils de diplomate chilien, ayant passé son enfan-ce entre son pays d’origine, l’Allemagne, la Chine et laFrance, John Gabriel Biggs a commencé sa carrière en tantque directeur de la photographie pour des clips et descourts métrages (dont plusieurs primés à l’étranger).
Il se lance dans la réalisation en 1999 en continuant demettre lui-même ses films en lumière.
Il ne manque pas de se distinguer rapidement comme un desréalisateurs de clips les plus productifs de sa génération.Il signe ainsi plus de 50 clips pour des artistes aussivariés et prestigieux que Nina Simone, DJ Cam & Anggun,Culture Club, Jill Scott (Live), Demon, Raekwon du Wu TangClan, Gad Elmaleh, Kool Shen des NTM, Saïan Supa Crew,Diam’s, Ärsenik, Orishas, Indochine, Saez, etc… Depuis2004, il a réalisé également une dizaine de pubs.
J.G Biggs a su aussi s’exporter à l’international, mettantau service des artistes sa connaissance approfondie de nom-breuses cultures (il parle espagnol, français, anglais etallemand). Il a ainsi tourné en Espagne, au Portugal, auxAntilles, en Thaïlande, en Afrique du Sud, au Canada et auxÉtats Unis.
Fin 2005, il écrit, éclaire, cadre et réalise, son premierlong métrage “Pleure en Silence”. Tourné en dix jours,c’est un film coup de poing, retraçant l’histoire vraied’Ida Beaussart.
IDA BEAUSSART scénariste
Née le 30 juin 1972.
Née en 1972, Ida Beaussart fut la victime, la souffre dou-leur d’un père trop violent, cruel et néo-nazi. Sa souf-france a commencé à l’âge de 10 ans. Depuis son “drame”, leparricide, Ida tente de raconter son histoire afin d’aiderles personnes vivant les mêmes horreurs qu’elle a vécu.
Maintes fois exposée dans les médias, la vie d’IdaBeaussart a fait l’objet : d’un livre (chez Flammarion,retracant ses vingt premières années, écrit par FrançoiseHamel), d’un fait divers écrit par Pierre Bellemare, denombreux articles de presse (La voix du Nord, Globe Hebdo,L’événement du Jeudi, Paris Match), d’émissions de radio(Sky Rock, France Bleu, France Inter), journaux télévisés,émissions télé (chez Dechavanne, chez Jean Marc Morandini,chez Mireille Dumas, mais également plusieurs fois chezJean Luc Delarue). Entre 1992-1995, son cas était prati-quement devenu un “phénomène de société”.
En 2005, Ida écrit avec J.G Biggs le scénario de “Pleure enSilence”, retraçant sans pudeur sa vie en 1989. Elle ydécrit les 8 derniers jours avant le drame.
CYRIL MORIN compositeur
Né en 1962.
Cyril Morin commence la musique dès 6 ans et après une for-mation au Conservatoire, s’ouvre à la guitare avec le rocket le blues. Au gré des rencontres, il coopère à de nom-breux projets (arrangements, musiques de pub, illustrationet habillages musicaux). Il enregistre son 1er album(“Distance”) en 1990.
En 1993 il écrit ses premières musiques de film, courts-métrages, documentaires et téléfilms.
En 1995, il compose la musique de “Kaal” pour Natasha deBetak, film qui obtient de nombreux prix dans les festivals(Tempere, Capalbio, Londres, États-Unis)
En 1999, son album orchestral “One Of My Dreams” convaincMirwais de le choisir comme orchestrateur de son album soloet de la chanson “Paradise Not For Me”, interprété parMadonna.
En 2001, Cyril Morin enchaîne deux long métrages avec leréalisateur Pan Nalin, dont “Samsara”, la BOF (Virgin) dece dernier, connaît un certain succès dans plusieurs pays.
En 2003, nouvel album solo “Western Pansori” (Milan) où ilmêle orchestre et electro. Depuis, de nombreuses musiquesde longs métrages se succèdent: “La Fiancée Syrienne”(Colosseum), réalisé par Eran Riklis, qui remporte unequinzaine de prix en festivals, dont ceux de la meilleuremusique à Auxerre et à Cannes en 2004. Il compose ensuite“Automne” de l’américain Ra’up Mcgee, “Zaina, cavalière del’Atlas” (Naïve) de Bourlem Guerdjou, “La Petite Jérusalem”de Karin Albou, “20 nuits et un jour de pluie” de Lam Le,“Shamelove” de Mattew Mcusic, et “Valley Of Flowers”, unenouvelle collaboration avec Pan Nalin.
Fin 2005, il compose la Bande Originale du premier film duchilien J.G BIGGS “Pleure en Silence”. Cyril Morin estnommé comme compositeur révélation de l’année par la WorldSoundtrack Academy pour “La Fiancée Syrienne”.
