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114 17e Congrès de pneumologie de l
. Jaffuel a, F. Gil b, L. Safont a, E. Hazouard c, F. Wautier b
Polyclinique Saint-Privat, Boujan-Sur-Libron, FranceHome Air, Gallargues, FranceClinique de l’Alliance, clinique Saint-Gatien, Tours, France
e Somnovent Auto ST est le premier ventilateur utilisant le modeentilatoire Trilevel® combiné à un algorithme automatique de trai-ement des événements obstructifs et de l’hypoventilation.atients et méthodes.— Étude ouverte, descriptive, des 15 premiersatients traités par Somnovent Auto ST. Cinq patients inclus sont enchec d’un premier traitement ventilatoire. La réévaluation initialees patients est effectuée au 1er mois, la réévaluation finale estffectuée entre quatre et 12 mois de traitement.ésultats.— Pour les 12 patients « succès », l’observance moyennest de 5,9 h ± 1,4, l’Epworth est passé de 8,2 ± 4,2 à 3,5 ± 1,3,’IAH est passé de 23,2 ± 12,2 à 3,2 ± 4,5, la PaO2 diurne (mmHg)st passée de 65,1 ± 6,7 à 76,8 ± 10,5, la PaCO2 diurne (mmHg)st passée de 45,4 ± 6,1 à 41,8 ± 5,1. Le pourcentage de temps’enregistrement avec une saturation inférieure à 90 % est passée 56,5 ± 29 à 15,1 ± 24,7. Les cinq patients préalablement traitésrouvent le Somnovent auto ST plus confortable que leur ancienneachine (échelle visuelle analogique). Toutes les différences sont
tatistiquement significatives (Test t de Student). Onze patientsur 12 ont une interface faciale. Trois patients sont en échec deraitement à la fin du premier mois (échec associé à un IAHésiduel > 15/h, événements centraux exclusivement, patients pré-entant tous initialement un SAS à composante centrale dont l’unssocié à une hypoventilation indépendante).onclusion.— Le mode ventilatoire autoTrilevel® est un traitementonfortable et efficace de l’hypoventilation et des événements obs-ructifs.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.375
50ntérêt de l’étude de la réversibilité de’obstruction des voies aériennes distales chez lesatients asthmatiques
. Yangui , M. Abouda , G. Soussi , M. Triki , O. Naffeti ,. Khouani , M.R. Charfi
Service de pneumologie, hôpital des FSI, La Marsa, Tunisie
ntroduction.— Le débit expiratoire maximal médian entre 25 et5 % de la capacité vitale (DEM25-75) et le débit à 50 % de la capa-ité vitale (DEM50) sont classiquement utilisés en pratique cliniqueomme paramètre d’obstruction distale évaluée surtout chez lesatients asthmatiques. La réversibilité de cette obstruction distalest très peu étudiée.ut.— Évaluer l’atteinte des VAD chez les patients asthmatiques etomparer la réversibilité de l’obstruction à ce niveau avec celle duEMS.atients et méthode.— Étude rétrospective qui a inclus tous lesatients explorés pour asthme durant l’année 2011 et qui sont por-eurs d’un trouble ventilatoire obstructif (TVO) réversible à lapirométrie défini par une augmentation du VEMS ou de la CVF plusue 12 % de la valeur initiale et dépassant 200 mL.ésultats.— Soixante-dix-huit asthmatiques âgés en moyenne de2,7 ans (12—77) et ayant un sex ratio de 1,3 ont été inclus. Le VEMSoyen a été de 71 % avec une réversibilité moyenne à 23,5 ± 12,6 %.ne atteinte des VAD a été retrouvée chez tous les patients avecn DEM25-75 à 41 % et un DEM50 à 45 %. Au niveau des VAD, laéversibilité moyenne a été de 48,6 ± 31,7 % pour le DEM25-75 et0,5 ± 34,3 % pour le DEM50. La réversibilité du VEMS a été forte-ent corrélée à celle du DEM25-75 (r = 0,56) d’une part, et à celle
u DEM50 d’autre part (r = 0,59). Une forte corrélation a été trouvéentre la réversibilité du DEM25-75 et du DEM50 (r = 0,7).l(l
e francaise — Lille, vendredi 1er au dimanche 3 février 2013
onclusion.— Les VAD sont concernées par l’obstruction chez lesatients asthmatiques ayant un TVO réversible. Cette obstructionst réversible et elle est corrélée à la réversibilité des grosses voiesériennes évaluée par le VEMS.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.376
51eilleur accès à l’oxygène dans deux hôpitaux deientiane (Laos). Installation du vide médical dans
e seul service de pneumologie du pays. Un projetPI — Fondation EDF Diversiterre. L’her a, S. Bisayher b, S. Phommaxay c, J. Guigay a, C. Cracco a,. Billard a, J. Cotten d, A. Carrez d, K. Choumlivong c,. Soukhaseum b, E. Leroy Terquem a, C. Mayaud a
Soutien pneumologique international, Paris, FranceService de pneumologie, hôpital Mahosot, Vientiane, LaosService infectieux-TB, hôpital Setthathirath, Vientiane, LaosFondation EDF, Paris, France
’oxygène (O2) manque dans les deux services de maladies respira-oires à Vientiane. En obus de 7,5 m3, déplacés de lit en lit, l’O2 estarifé aux patients 19 dollars/j. Le seul service de pneumologie duays n’a pas d’aspiration murale pour traiter les pleurésies.PI a déposé, auprès de la fondation EDF, le projet (70 KD ), en course réalisation :d’équiper le service infectieux-TB de l’hôpital Setthathirath de six
oncentrateurs d’O2, de 5 à 8l/min, d’une valeur de 10 KD , livrés enctobre 2012 par Europ Continents, Vientiane, dont un, couplé à unystème de remplissage de bouteilles portables, pour le transportes patients sous haut débit d’O2 ;d’équiper le service de pneumologie de l’hôpital Mahosot d’un
énérateur d’O2 et d’une centrale de vide. Le matériel commandéla société lyonnaise MIL’S, leader du vide et de l’air médical, quiinstallé plusieurs générateurs d’O2 en zone tropicale, comporte
n générateur PRO2XY 3 (3m3/h) et une centrale HOSPITTAR PACKMVAS, qui seront installés par la société vietnamienne AST, parte-aire de Mil’s dans la région.ne rencontre AST-SPI (avec des spécialistes de l’O2 à
’hôpital) — Direction et techniciens de Mahosot, en septembre012, a eu pour but de régler les problèmes préalables à’installation des générateurs et du circuit des fluides.e manque d’O2 dans les hôpitaux des pays pauvres est crucial et SPIivre déjà des concentrateurs de seconde main révisés dans plusieursays. L’appui financier de la Fondation EDF Diversiterre permetn projet d’envergure à Vientiane pour améliorer la situation desatients respiratoires.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.377
52orrélation entre l’imagerie et l’explorationonctionnelle respiratoire au cours de laclérodermie systémique. Chebbi a, L. Bousoffara b, N. Boudawara b, J. Knani b,. Mahjoub c, M.H. Sfar a
Service de médecine interne, CHU Taher Sfar, Mahdia, TunisieService de pneumologie, CHU Taher Sfar, Mahdia, TunisieService de médecine interne, CHU Fatouma Bourguiba, Monastir,unisie
ntroduction.— L’objectif de notre étude était d’étudier la corré-
ation entre l’imagerie et l’exploration fonctionnelle respiratoireEFR) dans le dépistage de l’atteinte parenchymateuse au cours dea sclérodermie systémique (SS).Cir
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Affiches scientifiques
Patients et méthodes.— Étude rétrospective colligeant 30 patientssuivis pour une SS aux services de médecine interne du CHU TaherSfar Mahdia et du CHU Fattouma Bourguiba Monastir.Résultats.— Il s’agissait de 24 femmes et six hommes, d’âge moyende 44,8 ± 7,6 ans. Une exploration respiratoire recombinant une EFRet un scanner thoracique était réalisée dans 28 cas. Un syndromerestrictif était noté dans dix cas à l’EFR. Le scanner thoracique mon-trait une atteinte interstitielle dans 13 cas : aspect en verre dépolidans quatre cas, des images réticulaires septales et intralobulairesdans deux cas et un aspect en rayon de miel avec des bronchec-tasies dans sept cas. Aucune anomalie radiologique n’était notéechez les patients ayant une EFR normale. L’EFR était normale cheztrois patients ayant une pneumopathie interstitielle.Discussion.— Plusieurs travaux ont établi des relations entre les ano-malies objectivées à l’EFR et le scanner thoracique au cours deSS. Dans notre étude, l’étendue des modifications tomodensitomé-triques était corrélée à la réduction de la capacité vitale retrouvéeà l’EFR.Conclusion.— L’EFR constitue un excellent moyen de dépistage del’atteinte interstitielle pulmonaire au cours de SS. Cependant, lescanner garde un intérêt aussi bien diagnostique que pronostiqueet peut guider le traitement.
http://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.378
PO08 — épidémiologie, prévention, pathologieprofessionnelle
353Épidémiologie du tabagisme : résultats d’une étudetransversale à Saint-Louis nord du SénégalF.D. Ndoye , O. Ba , A. Kane , K. Niang , M.N. MbayeHôpital Général Grand Yoff, BP 3270, Dakar, Sénégal
Mots clés : Tabagisme ; Prévention ; Maladies respiratoireschroniquesIntroduction.— Les maladies respiratoires chroniques sont forte-ment liées au tabagisme qui constitue un problème mondial de santépublique. Il est important de connaître l’ampleur de ce fléau dansnos pays afin d’élaborer des programmes de lutte plus adaptés pourprévenir efficacement les maladies non transmissibles.Objectif.— Étudier les habitudes tabagiques en milieu urbain etrural dans le nord du Sénégal.Méthodologie.— Type d’étude : il s’agit d’une étude transversale,descriptive par sondage réalisée du 3 au30 mai 2011 à Saint-Louisdans le nord du Sénégal.Méthode de sondage.— L’échantillonnage utilisé était un sondagealéatoire systématique, stratifié en grappes par tranche d’âge avecpour unité d’échantillonnage le ménage. Un total de 120 grappesde dix individus chacune a été tiré pour constituer l’échantillond’étude. Le tirage a été fait sur la base de probabilités proportion-nelles à la taille des quartiers.Critères d’inclusion.— Les critères d’inclusion étaient : être séné-galais, être âgé de 15 ans au moins lors de l’enquête, habiter dansla région de Saint-Louis. Collecte des données : modèle enquêteSTEPS OMS. L’analyse statistique faite par Epi info version 3.5.1.Les comparaisons grâce aux tests du Chi2, seuil 5 %.Résultats.— Mille quatre cent vingt-quatre individus enquêtés : 69 %de femmes (n = 983) et 31 % d’hommes (n = 441) avec un âge moyen
de 40 ans. La prévalence du tabagisme actif était de 8 %. La cigaretteétait le mode de consommation le plus courant, dès 15 ans.d—t
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onclusion.— Le tabagisme est une réalité à Saint-Louis, il estmportant de prévenir afin de diminuer l’incidence des maladiesespiratoires chroniques par programme de sensibilisation.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.379
54spects tomodensitométriques des affectionsleuropulmonaires bénignes liées à l’amiante. Elmahfoudi , N. Moussali , S. Belmoukari , N. Elbenna ,. Abdelouafi , A. Gharbi
Service de radiologie de l’hôpital 20-Août-1953, Casablanca,aroc
armi les affections non malignes liées aux expositions à l’amiante,es plaques pleurales pariétales sont de loin les plus fréquentes.es pleurésies bénignes, et les épaississements pleuraux diffus quimpliquent la plèvre viscérale sont beaucoup plus rares, de mêmeue l’asbestose, dans les populations aujourd’hui dépistées. Unerande rigueur diagnostique est nécessaire pour éviter les fauxositifs souvent source d’anxiété chez les patients et d’examensomplémentaires inutiles.’examen tomodensitométrique thoracique est l’outil de choixour assurer un diagnostic précis de ces lésions. Il révèle souventependant des anomalies pleurales ou pulmonaires discrètes dont’interprétation est difficile en l’absence de référence tomodensi-ométrique établie en populations certifiées non exposées.’objectif de notre travail est d’identifier les signes tomodensitomé-riques des lésions pleuropulmonaires bénignes liées à l’asbestoset d’établir la liste des diagnostics différentiels.our ce fait, notre étude sera basée sur une étude bibliographiquet illustrée par des cas explorés dans notre formation.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.380
55e projet européen SILICOSIS. Un projetluridisciplinaire sur la sous-estimation desaladies liées à l’exposition à la silice
.A. Rosental a, C. Cavalin a, M. Vincent b
CEE sciences-Po, INED, Paris, FranceCH Saint-Joseph-Saint-Luc, CEE Sciences-Po, Paris, France
aladie professionnelle la plus mortelle de l’histoire, la silicosepourtant été définie et reconnue tard à l’issue de négociationsenées vers 1930 entre Bureau International du Travail, États,
yndicats d’employeurs et de salariés, organismes de protectionociale. Le consensus minimaliste qui en est issu laisse à l’écarte nombreux domaines (hors les mines) non exempts d’expositionsla silice, entraînant une sous-déclaration de pathologies. Piloté
u centre d’études européennes de sciences Po, le projet pluridis-iplinaire SILICOSIS, implique l’histoire, la médecine, la sociologie,a méthodologie statistique et la santé publique.l étudie le rôle d’expositions à la silice ou d’autres poussières miné-ales dans plusieurs pathologies (sarcoïdose, lupus érythémateuxisséminé, sclérodermie, polyarthrite rhumatoïde), de diversesanières :création d’un questionnaire sur les expositions à la poussière inor-
anique dans le domaine professionnel et environnemental, par voieérienne, cutanée ou muqueuse ;soumission de ce questionnaire à des malades recrutés en
oopération avec les sociétés médicales concernées (pneumologie,édecine interne, dermatologie, rhumatologie), associée parfois à
es analyses minéralogiques ;exploitation des grandes enquêtes statistiques sur la santé et leravail de la décennie écoulée : surveillance médicale des risques