LaVillemagazine

Le magazine d’informations de la Ville de Bastia www.bastia.frU mesincu di a cità di Bastia

70ème anniversairede la Libération de la CorseSeptembre - Octobre 1943 : la Ville se souvient

Novembre 2013 #41 Hor

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> Bastia en images

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1. Les vieux Goumiers marocains de retour au

col de Teghime. Une première cérémonie en

présence du Ministre des Anciens Combattants

Monsieur Kader Arif.

2. Emile Zuccarelli présente au Ministre les

représentants des associations d’Anciens

Combattants.

3. Kader Arif, Ministre des Anciens Combattants,

entouré des Goumiers marocains et d’anciens

combattants, ravivent le souvenir de la bataille

du col de Teghime le 3 octobre 1943.

4. Alin Nadi, 93 ans, «Le lion de l’Atlas», ayant

participé à la Libération de Bastia.

1. Le Président de la République congratule le

responsable de la résistance Etienne « Léo »

Micheli, lors de la cérémonie du 4 octobre 2013.

2. Emile Zuccarelli accueille François Hollande et

le prince Moulay Rachid, frère du roi du Maroc.

3. Le Président de la République décore de la

Légion d’honneur la résistante Jacqueline ARRII

épouse WROBLEWSKI.

4. Le discours du Président de la République

lors de la cérémonie sur la place Saint-Nicolas.

© Photos : Gérard et Océane Baldocchi, pages 2, 3 et 4

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une moto italienne Gilera. Cette scénographie a été conçue et réali-sée par Sylvain Gregori, attaché de conservation, et David Martinetti, technicien au musée. Une belle exposition pour toutes les générations à découvrir jusqu’au 15 décembre au Musée municipal d’art et d’histoire de Bastia.Ouvert tous les jours de 9 h 00 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 17 h 30 sauf le dimanche et le lundi.Exposition organisée avec le concours de la Ville de Bastia, de la Collectivité Territoriale de Corse, du Conseil Général de Haute-Corse, du service départemental de Haute-Corse de l’ONACVG et de la Déléga-tion à la mémoire et au patrimoine du Ministère de la Défense.

87 photographies dont une grande partie inédite, 9 uniformes authentiques, une

cinquantaine d’objets, et une ving-taine de documents d’époque sont ainsi exposés à travers 5 sections : l’occupation italienne de Bastia à l’été 1943, la première Libération de la ville, l’occupation allemande, les combats pour la Libération et l’après-Libération. Une bande son diffusant les messages de Radio-Alger en langue corse et deux documentaires d’époque complètent cette présen-tation. Une scénographie impres-sionnante replonge le visiteur dans l’ambiance de cette libération avec notamment la reconstitution d’un diorama grandeur nature où trône

Fondée en 1997 par Stéphane Biaggi et Sylvain Gregori, l’association Sintinelle rassemble plus de 6 000 objets et documents relatifs à l’histoire militaire de la Corse du Second Empire aux conflits de décolonisation. La Seconde Guerre Mondiale et la Libération de la Corse font évidemment partie des thèmes de collecte de l’association. S. Gregori et S. Biaggi ont ainsi puisé dans cet incomparable fonds patrimonial pour préparer l’exposition présentée au musée de Bastia.

La Libération de Bastia s’expose au Musée avec l’association Sintinelle

Le dossier

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> Bastia en images

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1. Anciens résistants, J. Santini, M. Pogioni, E.L.

Micheli, L. Giudicelli, J. Arrii ep. Wroblewski, R.R.

Blanquier, J.P. Giovanni et Goumiers marocains A.

Nadi, H. Moussik, A. Bellaj, A. Baroudi, M. Reguieg,

K. Ichoua, S. Mehlaoui réunis sur la place Saint-

Nicolas lors de la remise des décorations.

2. François Hollande salue les porte-drapeaux

des associations d’Anciens combattants.

3. Le Maire de Bastia et les élus accueillent le

Président de la République à l’Hôtel de Ville.

4. Le discours émouvant d’Etienne « Léo »

Micheli, ancien responsable de la Résistance

corse, lors de la cérémonie du 4 octobre 2013.

Nous remercions tout particulièrement nos partenaires, l’Hôtel Best Western et les magasins Roche Bobois à Bastia, pour leur active participation

aux cérémonies du 4 octobre 2013 en présence de Monsieur François Hollande, Président de la République.

5 Navire américain débarquant dans le port de Bastia (coll. Association Sintinelle).

5 Une partie de la scénographie de l’exposition du musée

> Le dossier

La première Libération de Bastia8 septembre - 13 septembre 1943

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L e 8 septembre 1943 les Bas-tiais apprennent l’annonce de la capitulation Italienne. On manifeste sa joie dans

les rues… l’occupation semble enfin terminée.Mais dans la nuit, les Allemands attaquent des unités de la marine Italienne dans le port de Bastia. Après de violents combats, les Italiens reprennent le contrôle de la ville, en cette matinée du 9 septembre. Les habitants terrorisés fuient dans le Nebbio et le Cap Corse.Le calme revenu, le Front National applique l’ordre d’insurrection et plusieurs personnes accusées de collaboration sont arrêtées. L’insurrection et la cobelligérance entre les troupes Italiennes et la Résistance sont célébrées, et pour l’occasion des tracts et une édition du journal « Le Patriote » sont dis-tribués à la population. Les résistants font libérer les prisonniers corses détenus par les Italiens.Mais cette libération est de courte durée.Ayant reçu l’ordre d’évacuer la Sardaigne, la Wehrmacht remonte le long de la plaine orientale, afin de rejoindre le front Italien. Le 13 septembre, entre Bigulia et Bastia, les Italiens opposent aux Allemands une farouche résistance.Bombardée par l’artillerie ennemie, la ville est aussi ravagée par l’explosion du dépôt de munitions du cimetière.Libérée depuis seule-ment quatre jours, la ville de Bastia va connaître une nouvelle période d’oc-cupation. Cette fois ce sera celle des troupes alle-mandes.

Bastia sous le joug allemand :13 septembre - 4 octobre 1943

A partir du 13 septembre 1943, Bastia va vivre « à l’heure alle-mande ». La ville devient le point névralgique de l’évacuation des troupes de la Wehrmacht venues de Sardaigne. L’occupant instaure un ordre strict, restreignant les heures de circu-

lation des civils qui n’ont pu quitter la cité. Tout manquement aux ordres sera suivi d’une répression violente de la part des SS. Tous les jours des navires de la Kriegsmarine évacuent des véhicules et des hommes vers Livourne. Le Vieux Port, Toga et les quais sont encombrés de troupes, de camions et de blindés en instance de départ.Cette présence allemande vaut à la cié de devenir un objectif prioritaire pour l’aviation anglo-américaine. Afin de gêner cette évacuation allemande, les Alliés décident dès la mi-septembre, de lancer des raids aériens sur la ville.Les 21 et 22 septembre 1943, des bombardiers anglais et américains larguent 55 tonnes de bombes sur le port et 175 tonnes de bombes sur les quartiers. Le 30 septembre, des bombardiers alliés attaquent les installations alle-mandes à Bastia et à l’aérodrome de Borgo. Ces raids font 170 victimes parmi la population. Afin de se prémunir de toute attaque terrestre de la part des Italiens et des Français venus d’Alger, les Allemands mettent en place un système défensif au sud et sur les principaux cols à l’est de la cité. Ces derniers seront la clé de la Libération de l’île.

5 Ci-dessus : 1. Soldat allemand sur les quais du port dévasté par les combats (coll. Association Sintinelle). - 2. Avant leur départ, les Allemands ont fait

sauté tout leur matériel devant la gare (coll. Association Sintinelle). - 3. Les premières tombes creusées par les Allemands à Montesoro (coll. Association

Sintinelle).

3 Page de gauche : 1. Le 9 septembre 1943, les Italiens contrôlent le boulevard Paoli (coll. Association Sintinelle).- 2. Après une nuit de combat, les

blindés italiens ont repris le port de Bastia (coll. Association Sintinelle). - 3. Tract du 9 septembre 1943 édité à Bastia par la Résistance (coll. Archives

départementales de Haute-Corse).

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> Au quotidien> Le dossier

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La voix de l’oppositionLes cérémonies organisées à l’occasion du 70ème anniversaire de la Libération de la Corse, à Teghjime et sur la Place Saint-Nicolas ont per-mis à tous, et notamment aux plus jeunes, de garder vive et intacte la mémoire de la Résis-tance.

En participant en nombre aux commémora-tions, les Corses ont exprimé leur admiration et leur gratitude pour toutes celles et ceux qui, aux heures les plus noires, se sont engagés contre le fascisme et le nazisme. Celles et ceux qui ont risqué, et souvent perdu, leur liberté et leur vie pour les idéaux de justice et de liberté. Parmi eux, les soldats, bien sûr, quelle qu’ait été leur nationalité ou leur origine. A cet égard, il n’est que justice que les Tabors marocains aient enfin retrouvé dans notre mémoire collec-tive la place d’honneur qu’ils méritent. Et bien sûr, les patriotes et résistants corses : leur engagement et leurs sacrifices ont constitué un apport majeur à la Libération de la Corse, de la France, et, plus largement, à la construction d’un monde plus juste. Les expositions organi-sées au Musée de Bastia ou au Centre Culturel Una Volta ont permis de mettre des noms, des images, des voix, sur ces moments décisifs où s’est décidé le sort de la Corse. L’âpreté des combats, les risques pris, les châtiments subis, soulignent aussi combien, par delà la diversité de leurs opinions et de leurs choix idéologiques, ces femmes et ces hommes sont l’honneur et la fierté de cette île et de son peuple. L’hommage collectif qui leur a été rendu vaut adhésion et fi-délité aux valeurs universelles pour lesquelles ils se sont battus. Oghje più chè mai, di pettu à u risorgimentu di certe idee è manere di fà, tinimu à mente i so sacrifizi, i so valori, è e so scelte à favore d’un’Umanità libera è fraterna.

Le Groupe « Pour le changement » n’a pas communiqué de texte.

Le Groupe « Nouvelle Génération » n’a pas communiqué de texte.

Groupe « Inseme per Bastia » Groupe « Nouvelle Génération » Groupe « Pour le changement »

Bastia dévastée mais libérée4 octobre 1943

E ntre le 26 et le 30 sep-tembre, les troupes françaises venues d’Alger et des troupes italiennes

cobelligérantes entament leur progression dans le Nebbiu avec l’objectif de libérer Bastia.Afin de limiter leur avancé, les Allemands ont installé deux verrous défensifs sur des points culminants mais les SS ne ré-sistent guère aux unités venues d’Afrique du Nord. Le col de San Stefano est pris le 30 septembre par les soldats du 1er régiment de tirailleurs marocains. Pendant ce temps, le bataillon de choc tra-verse le Cap Corse par le col de Sainte-Lucie afin de rentrer dans Bastia par le nord. Le 2 octobre, les goumiers conquièrent le col de Teghime malgré de lourdes pertes. Dans la nuit du 3 au 4, les Allemands se replient et éva-cuent la cité par voie maritime. À l’aube, les Marocains entrent dans Bastia libéré. Mais quelques heures plus tard, mal renseignée, l’aviation américaine bombarde la cité occasionnant des dégâts considérables et faisant plusieurs

dizaines de victimes. Ce 4 octobre 1943, l’entrée des troupes françaises dans Bastia marque la fin de la campagne de Corse, faisant ainsi de l’île le pre-mier département français libéré.Le 7 octobre face à une foule enthousiaste le général de Gaulle fait son entrée dans la ville libé-rée mais dévastée. Un immeuble sur trois est détruit et 3 471 appartements sont endommagés. Encombré de carcasses de na-vires le port est impraticable.Pour autant, Bastia est rapide-ment utilisée comme base navale par les Alliés dans leurs raids contre le continent occupé. Les destructions engendrées par la Libération et les souffrances de la population civile valent à Bastia d’être la seule ville de Corse à être décorée de la croix de guerre.

Le lieu de mémoire est aménagé dans une salle sous les locaux de l’ancien Etat-Major : sur une soixantaine de mètres carrés, le regard des visiteurs pourra s’attarder sur les objets les plus divers, tous chargés d’histoire qui ne peuvent laisser indifférent.Mémorial du 173e et 373e

Histoire de la Résistance en CorseLe sous-marin CasabiancaHistoire Bastia ville de GarnisonGuerres d’Indochine – Afrique du Nord et O.P.E.X. L’Armée d’Afrique à la Libération de la Corse.

Le lieu de mémoire militaire se situe sur la place du Donjon, à la Citadelle.Le Major Guy Limongi vous y accueille tous les mardis et jeudis de 14h00 à 17h00 et sur rendez-vous les autres jours de la semaine (entrée gratuite).

QuelQues chiffres : 11 300 combattants Corses morts pen-dant la Première Guerre Mondiale2 300 tombés pendant la Seconde Guerre Mondiale300 en Indochine275 en Algérie

Lieu de mémoire militaireBastia se souvient de ses héros

contacts : Major Guy-Georges Limongi 04 95 55 95 22 ou 04 95 55 95 63Emilien Bernardini Président de l’UNC-AFN 04 95 31 44 73 ou 06 82 34 74 54

Dossier réalisé en collaboration avec Sylvain Gregori, responsable des expositions temporaires au Musée d’Art et d’Histoire de Bastia et Aurélie Orsini, stagiaire au service communication.

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5 Ci-dessus : 1. Les ravages des combats et des bombardements (coll. Association Sintinelle). - 2. Situé sur la place Saint-Nicolas l’hôtel Impérial Palace

éventré par une bombe (coll. Association Sintinelle). - 3. Tirailleurs marocains déblayant une rue de la ville (archives NARA).

4. Quartier St Joseph, le Cimbalu détruit (coll. Association Sintinelle).

Major (H) Guy-Georges Limongi,Ancien Combattant Extrème-Orient et A.F.N.Chargé des Affaires Militaires et protocolaires à Bastia

14 septembre 1943 : Les Allemands instaurent un couvre-feu et se servent quotidiennement du port pour évacuer par voie maritime vers Livourne des milliers d’hommes et de véhicules prove-nant de Sardaigne.

21 septembre 1943 : Des bombar-diers américains larguent 55 tonnes de bombes sur le port et coulent plusieurs navires allemands. Dans la nuit, des avions anglais lâchent 175 tonnes de bombes sur la cité.30 septembre 1943 : 36 bombar-diers B-25 Mitchell attaquent Bastia et l’aérodrome de Borgo.

30 septembre 1943 : Prise du col de San Stefano par le 1er régiment de tirailleurs marocains.

2 octobre 1943 : Prise du col de Teghime par les goumiers du 2e groupe-ment de tabors marocains.

3 octobre 1943 : Les Allemands procèdent à la destruction du matériel qu’ils ne peuvent embarquer, font sauter les ponts proches de Bastia ainsi que les

8 septembre 1943 : Dans la soirée, la radio alliée annonce la capitulation de l’Italie. Les Bastiais manifestent leur joie dans la rue. Dans la nuit, le port est le théâtre de violents combats entre Alle-mands et Italiens.

9 septembre 1943 : Les Italiens vic-torieux des combats de la veille ont fait prisonnier les unités allemandes station-nées en ville. L’ordre d’insurrection est donné dans toute la Corse par le Front national. A Bastia, les résistants occu-pent la mairie et la sous-préfecture. Les collaborateurs sont arrêtés, de nombreux journaux et tracts sont édités et distri-bués par la Résistance. La ville connaît sa première libération.

13 septembre 1943 : Après de violents combats contre les Italiens entre Biguglia et Furiani, l’artillerie allemande tire sur la ville. Le dépôt de munitions italien du cimetière explose et ravage tout le sud de la cité. Soldats italiens et habitants fuient dans le Nebbio et le Cap Corse. Les Allemands entrent dans Bastia et en prennent le contrôle. Une rude occupation débute.

conduites de gaz de la ville. Leurs der-nières troupes sont évacuées vers l’Italie dans la nuit.

4 octobre 1943 : Un détachement de goumiers entre le premier dans Bas-tia. La ville est libérée lorsqu’en fin de matinée, des avions américains croyant les Allemands toujours présents bom-bardent la ville. La Libération de Bastia marque la fin de la campagne pour la Libération de la Corse.

> Zoom sur

5 Dans une cité dévastée, des réfugiés bastiais regagnent la ville (archives NARA).

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BASTIASCOPE

COUP DE COEUR

des années cinquante où Ke-

rouac utilise l’écriture sponta-

née afin de retranscrire les

élans émotionnels. Il n’y a

pas de bons ou de mauvais

textes, tout est bon à écrire

et à lire, chacun exprime

des images, des émotions,

des choses qu’il est le seul à

pouvoir dire et dans le style

qui lui est propre. De 15 h 00

à 16 h 30, à la Bibliothèque

Municipale. Groupe de 12

personnes. Inscriptions : 04 95 58 46 08

23 novembre : S’il te plaît

raconte-moi une histoire,

présents en bibliothèque

Patricia, Lucie et Dominique

sont heureux de vous propo-

ser à tous, petits et grands

les histoires qu’ils ont pu

raconter à leurs propres en-

fants ou petits-enfants, ainsi

que la lecture de nombreux

albums qui constituent la

richesse du fond « jeunesse »

de la Bibliothèque Municipale.

Tous les samedis à 10 h 00

(excepté vacances scolaires).

Entrée libre.

26 novembre : S’il te plaît,

lis-moi une histoire, lecture

d’une histoire aux enfants en

collaboration avec l’associa-

tion Lire et faire lire, une dé-

marche axée sur le plaisir de

lire et la rencontre entre les

générations. Tous les mardis,

à 17 h 00, après l’école.

Organisé par la Bibliothèque

Le Petit Prince, entrée libre.

26 et 27 novembre : Mais

où est passé Léon ?, théâtre

jeune public dès 5 ans,

proposé par le Centre Culturel

Una Volta. Entrée payante.

Renseignements :

04 95 32 12 81

27 novembre : Bébés

lecteurs, dès 3 mois, à partir

de 10 h 00, à la Bibliothèque

Municipale. Entrée libre.

27 novembre : Adoslivres :

permettre la rencontre entre

adolescents, la découverte de

d’auteurs, l’échange autour

de mangas, héroic fantasy,

laisser libre court à la parole

et aux mots…Tous les mercredis à 15 h 00

(excepté vacances scolaires),

à la Bibliothèque Municipale.

Entrée libre.

28 novembre : Latinidad,

concert de Patrizia Poli, à la

Fabrique de Théâtre.

Du 28 nov. au 3 janvier 14 :

Exposition L’agriate, de Denis

Clavreul.Au Centre Culturel Una Volta,

entrée libre.

30 novembre : S’il te plaît

raconte-moi une histoire,

présents en bibliothèque

Patricia, Lucie et Dominique

sont heureux de vous propo-

ser à tous, petits et grands

les histoires qu’ils ont pu

raconter à leurs propres en-

fants ou petits-enfants, ainsi

que la lecture de nombreux

albums qui constituent la

richesse du fond « jeunesse »

de la Bibliothèque Municipale.

Tous les samedis à 10 h 00

(excepté vacances scolaires).

Entrée libre.

NOVEMBRE Du 18 au 23 novembre :

Festival Arte Mare. 31e édi-

tion. Arte Mare nous propose

une plongée chez Sigmund

Freud et les frères Lumière,

sous un angle ludique et

décomplexé. Au programme

de cette semaine de cure :

des séances de cinéma bien

sûr, des divans accueillants,

des rencontres, et bien sûr

des analyses…et pas que

filmiques. Renseignements :

04 95 58 85 50

19 novembre : S’il te plaît,

lis-moi une histoire, lecture

d’une histoire aux enfants en

collaboration avec l’associa-

tion Lire et faire lire, une dé-

marche axée sur le plaisir de

lire et la rencontre entre les

générations. Tous les mardis,

à 17 h 00, après l’école.

Organisé par la Bibliothèque

Le Petit Prince, entrée libre.

20 novembre : Bébés

lecteurs, dès 3 mois, à partir

de 10 h 00, à la Bibliothèque

Municipale. Entrée libre.

20 novembre : Adoslivres :

permettre la rencontre entre

adolescents, la découverte de

d’auteurs, l’échange autour

de mangas, héroic fantasy,

laisser libre court à la parole

et aux mots… Tous les

mercredis à 15 h 00 (excepté

vacances scolaires), à la

Bibliothèque Municipale.

21 novembre : Concert des

Macchjachjoli au profit du

Téléthon, cathédrale Ste

Marie 20h30. entrée 10 €

22 novembre : Ecris moi

des mots : atelier d’écriture

influencé par le mouvement

DU 30 NOVEMBRE 2013 AU 5 JANVIER 2014 :

La patinoire s’installe place St Nicolas pour le plus grand bonheur des habitants.Ateliers d’initiation au patinage pour les 6-13 ans et cours collectif adulte chaque samedi.Contact : Mairie de Bastia - Service loi-sirs Jeunesse 04 95 55 95 82

La Libération de Bastia en quelques dates13 septembre - 4 octobre 1943

5 septembre 1993Bastia fête sa libération

Cinquante ans après, la Ville de Bastia représentée par son Député-Maire, Emile Zuccarelli, fêtait déjà sa libération. De la plus belle manière qui soit en bapti-sant deux rues dans les Quartiers Sud : Celle du « Capitaine-Then », en présence du fils et du petit-fils de l’officier défunt, et celle de la « 4e Division Marocaine de Montagne » où se situent les Lycées Paul Vincensini & Fred Scamaroni.

Bulletin municipal : N° ISSN 1161 2533 / Directeur de la publication : Emile Zuccarelli / Réalisation - Rédaction : MD Roudière - N Roux - Service CommunicationMaquette : Creab Design - Hervé Amiel / Conception : Daniel Rovinalti - Service Communication / Impression : 23 000 exemplaires sur papier recyclé - Imprimerie Bastiaise / Diffusion : La Poste