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mercredi 3 et jeudi 4 décembre à 20:30 maison de la culture salle Jean-Cocteau durée 1 heure 30 environ CONTACT PRESSE : Émilie Fernandez – Tél. 0473.170.183 – [email protected] UN JOUR MASSIMO FURLAN ET CLAIRE DE RIBAUPIERRE création le 1 er octobre au Théâtre Vidy-Lausanne Clermont, seules dates en province

création le 1 er un jour - lacomediedeclermont.comlacomediedeclermont.com/saison2014-2015/wp-content/uploads/2014/… · Un flux d’images les enve-loppe, les incorpore et les protège

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mercredi 3 et jeudi 4 décembre à 20:30maison de la culture salle Jean-Cocteau

durée 1 heure 30 environ

ContaCt presse : Émilie Fernandez – tél. 0473.170.183 – [email protected]

un jour massimo Furlan

et Claire de ribaupierre

créat ion le 1 er octobre au Théâtre Vidy-LausanneClermont, seules dates en province

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mise en scène et scénographie Massimo Furlan

dramaturgie Claire de Ribaupierre

avec Anne Delahaye, Diane Decker, Pierre-Olivier Dittmar (historien médiéviste), Massimo Furlan, Sun-Hye Hur, Gianfranco Poddhige, Stéphane Vecchione.

lumière Antoine Fridericimusique Stéphane Vecchioneson Philippe De Rhamvidéo Bastien Genoucostumes Séverine Bessonmaquillage

Julie Monotrégie plateauHervé Jabveneau

production Numéro23Prod.coproduction Théâtre de Vidy-Lausanne, Les théâtres de la Ville de Luxembourgavec le soutien de la Ville de Lausanne, Pro Helvetia – Fondation suisse pour la Culture, État de Vaud, Loterie Romande, Fondation Ernst Göhner.

crédits illustration de couverture Antoine+Manuelphotographies Numero23prod

tournée • création du 1er au 12 octobre 2014, Théâtre de Vidy, Lausanne.• du 16 au 18 octobre 2014 au Théâtre de la Cité Internationale de Paris.• les 12 et 13 novembre 2014 aux Théâtres de la Ville de Luxembourg.• les 3 et 4 décembre 2014 à la Comédie de Clermont-Ferrand – scène nationale.

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Un jour commence au Festival d’Avignon en 2010, avec une rencontre entre Jane Birkin et l’artiste performeur Massimo Furlan. Celui-ci présente 1973, dans laquelle il « rejoue » la finale du concours Eurovision de la chanson de l’année éponyme. Jane Birkin est dans la salle. Elle aime le spectacle. Elle le voit plusieurs fois. Un peu plus tard, les deux artistes se retrouvent à Paris. Ils passent une semaine ensemble. Très vite, ils convoquent à leurs côtés leurs fantômes respectifs, les pensées, les objets ou les images qui les en rapprochent, les morts, la mort, la sépa-ration, le deuil… Plus tard, se joignent à eux, comme très souvent dans la démarche de Massimo Furlan, des penseurs, philo-sophes et anthropologues. Quelque chose se dessine. Un spectacle, un vrai, à cheval sur le théâtre documentaire et le théâtre d’images, combinant la performance et l’expertise, où viendraient se rencontrer et se confondre les présences et les absences,

le burlesque et le macabre, le visible et l’invisible. La mort a tant à dire. Nous avons tant à lui dire. Aujourd’hui sur le plateau, sans Jane Birkin mais pour elle, six personnages, des comédiens, dont Massimo Furlan. Ils sont vivants ou morts, partis ou revenus. La peur n’est pas ce qui les occupe. Un flux d’images les enve-loppe, les incorpore et les protège. On a vu ces dernières années Massimo Furlan « faire » successivement le champion de foot (Numéro 10), la rock star (1973) ou le super-héros [(Love Story) Superman], toujours interrogeant sans le moindre mépris – sinon avec tendresse – la culture populaire, à travers ses icônes les plus signi-ficatives. Avec Un jour, le performeur et sa dramaturge Claire de Ribaupierre entrent plus avant dans l’épaisseur du théâtre.

Pour la Comédie de Clermont-Ferrand © Daniel Conrod, printemps 2014

« Esprit, es-tu là ? »Véritable ovni théâtral à la haute dimension plastique, Un jour interroge les créatures de la nuit à travers une création énigmatique et hypnotique. Très

esthétiques, les vidéos déployées créent visions et apparitions fantomatiques. L’expérience théâtrale est à la fois drôle et inquiétante, la musique puissante, les

images fascinantes. Le public frissonne…

Un jour est un poème visuel et empreint de mélancolie sur la mort et la séparation. L’image est le langage premier du metteur en scène Massimo Furlan, également connu pour ses performances (notamment celle où il rejoue seul la finale de la

Coupe du monde de football de 1982). Ses images sont avant tout des visions, des surgissements de souvenirs oubliés. À sa manière, en multipliant les points de

vue, en utilisant les vidéos, Massimo Furlan explore notre relation à l’absence et la disparition. Pour cela, point de récit ou de personnages identifiés, mais des images

suspendues, hantés, fascinantes et hypnotiques comme une plongée au plus profond de la mémoire.

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la piÈCe

Un jour, c’est l’espace temps de l’évènement, son accomplissement: ce qui arrive. Un jour, c’est le temps d’une histoire. Qui marque son commencement, qui annonce sa fin.Travailler sur la question des morts, sur la disparition du corps et ses modes de réapparition, engage à envisager tous les possibles : les fantômes existent tout en n’existant pas, ils sont simultanément présents et absents. Ainsi toutes les hypothèses restent ouvertes, exigeant de suspendre la croyance et de ne pas décider.Ce projet a été nourri de discussions et de recherches avec des anthropologues, des historiens, des philosophes afin de saisir le rôle et le fonctionnement des rituels chamaniques qui permettent aux vivants d’entrer en contact avec les morts, mais surtout de renverser la relation unilatérale du vivant en direction du mort, afin de prendre en considération les gestes des morts envers les vivants : car ceux-ci émettent des signes, ils suscitent des récits, ils induisent des actions.Un jour joue sur l’ambiguïté des états et sème le trouble: qui est mort, qui est vivant ? Parfois, les morts auxquels on pense avec une intensité particulière, et qui restent dans la mémoire familiale ou collective, ont une vie plus dense que certains vivants qui mènent une existence fantomatique, comme absents déjà. Des voix l’évoquent soudain sans que l’on sache toujours qui parle, ni qui est qui, tant les identités s’avèrent poreuses et floues.Un jour fait coexister différents modes de présence. Sans chronologie ni principe de causalité, les acteurs passent d’un état à l’autre, comme en transe, possédés : du vivant vers le mort, du mort vers le vivant, de l’acteur vers le personnage, et vice versa. Cette structure favorise les changements de

registre, passant du burlesque au tragique, du cabaret à la performance, du langage théorique au langage visuel.Ce travail est à partager avec le spectateur, qui peut capturer les liens qui se tissent entre les corps, et relier les séquences qui se donnent à voir et percevoir sur la scène, de façon totalement libre et ouverte.

présentationL’iconographie du fantôme est immense, omniprésente : corps évanescents, ombres, luminescences, souffles, traces blanches. S’il est ce qu’on ne voit pas, ce qui échappe mais dont la présence est tout de même révélée, le spectre dispose de tout un éventail de représentations, selon les époques, selon les cultures. Dont la plus simple et la plus canonique est le drap blanc troué pour le regard, celle du gentil fantôme en somme. Un jour, pose la question de la croyance en l’invisible, des échanges possibles entre les morts et les vivants, de la porosité de ces deux mondes, des émotions qui s’échangent au-delà de la fin.Sur le plateau, six personnages aux prises avec des réalités macabres ou légères, burlesques ou poétiques, dans une esthétique très performative et complètement hybride. Sans que l’on sache toujours qui est mort, qui est vivant. S’il est ce qu’on ne voit pas, ce qui échappe mais dont la présence est tout de même révélée, le spectre dispose de tout un éventail de représentations, selon les époques, selon les cultures.Furlan établit à l’avance un script, des séquences, des enchaînements visuels qu’il dessine pour ensuite les mettre à l’épreuve des répétitions. Il développe souvent ce qu’il appelle des images longues, soit des moments arrêtés qui distinguent son art scénique à la fois du théâtre et du cinéma, qui aspirent le spectateur dans un temps de contemplation et de réception étrange,

distendu, troublant. Ici, il s’agit de laisser venir des images, des voix, des corps, sans les figer dans une parole. D’évoquer le lien, la peur, les larmes, la séparation, la souffrance, le coeur, le rêve, l’apparition. Pour se demander si les absents, qui nous hantent au quotidien, nous permettent d’inventer de nouvelles communications, de renouveler nos systèmes de signes.

LES LIGNESLa première étape du projet Un jour s’est déroulée au Château de Vaulx à Charolles, avec tous les interprètes de la compagnie, avec Jane Birkin, et avec deux anthropologues, Marc Augé et Daniel Fabre, un historien de Moyen âge, Pierre-Olivier Dittmar, et deux philosophes, Vinciane Despret et Serge Margel. Les discussions et les échanges ont porté sur la question des morts et de leur retour sous différentes formes au Moyen Âge, mais aussi dans notre monde contemporain, et dans d’autres cultures, en Afrique, en Asie. L’intensité de l’échange et la qualité des interventions ont donné de très belles impulsions pour le projet. Suite à ces rencontres, plusieurs lignes ont été retenues.

• La ligne de la relation à l’autrequ’il soit vivant ou mort : l’autre visible et l’autre invisible, l’autre humain et l’autre fantôme, l’autre élément du monde (pluie, nuages, lumière).Cette relation se construit par le biais du geste, du regard, de l’adresse, de la prière parfois, du chant ou de la lamentation. L’intensité de ces liens nous révèle comment on pense au disparu, comment on le reconstruit, comment on communique avec lui alors qu’il n’est plus là. Cet autre, depuis le lieu de sa disparition, adresse un appel, une demande, une question : il sollicite un échange.Cette relation implique évidemment la question du corps de l’autre, vivant ou mort: comment on le touche, quelle est sa présence, quelle est sa forme. Comment il reste ou disparaît, comment il traverse

l’espace, de quoi il est constitué. Il s’agirait de considérer que chaque partie du corps a en quelque sorte une vie propre et exprime un état: le bras, la main, la joue, le pied, le torse, etc. Chaque membre a sa propre force, autonome, possède une âme, si on veut. Si le corps n’est plus vivant, alors il faut le reconstituer, l’assembler par la voix, le souvenir, l’image : souffler pour qu’il renaisse sous une forme ou une autre.

• La ligne de la peur Face à la mort, nous avons peur. Nous avons peur du corps sans vie, le cadavre suscite l’effroi. La disparition laisse le survivant sans voix. Il ne peut pas parler, aucun mot ne peut exprimer sa douleur. D’un seul coup la réalité bascule et il n’y a plus de langage. Les représentations des cadavres sont multiples : les écorchés, dont l’intérieur du corps devient visible, derrière la peau, sous la chair, les morts vivants, les zombies, les squelettes.On ne sait pas où va le mort, et ce qui est indéterminé fait peur. L’angoisse est ce qui n’a pas d’objet, ce qui ne peut être représenté. Lorsqu’il s’identifie comme fantôme, il fait moins peur, il trouve une forme.

• La ligne des larmes et du cœur La question des larmes, des lamentations et de la désolation sont très liées à la tradition judéo-chrétienne et aux représentations de laDéposition du Christ, de la Pièta. Le corps entier participe à la tristesse, à l’expression de la perte. Les larmes coulent sur les visages peints, gravés, du Moyen-Âge et de la Renaissance. Les larmes sont l’expression d’une intériorité. Le visage est le lieu des larmes, il est l’expression du cœur, de l’intériorité. Le regard est la porte de l’âme, par laquelle on aperçoit l’être dans sa complexité et son mystère. Lorsqu’on se souvient du mort, on se souvient avant tout de son visage, qui est le lieu de l’expression de l’amour. Le portrait photographique, le portrait peint, sont essentiels au souvenir, à la mémoire. Ces images du visage sont des images qui font agir, qui capturent, qui motivent et mettent

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en mouvement et en action celui qui est encore en vie.

• la ligne du rêve et des apparitionsLe mort vient visiter ses proches par l’intermédiaire du rêve. Dans la réalité onirique, l’autre est là et il n’est pas là en même temps. Lorsqu’il apparait dans les songes, le disparu se fait voir sous son apparence de vivant. Il cherche à maintenir les liens, il oblige à la communication, il s’adresse au vivant et lui fait faire des choses.Dans la tradition judéo-chrétienne, l’âme, après la mort, se détache du corps, elle devient souffle. Transparente, elle s’envole. Dans d’autres religions, l’âme se réincarne sous la forme d’un animal, ou d’une plante. En Afrique, elle se glisse dans le corps du descendant, du nouveau-né.Le Moyen Âge invente un espace intermédiaire, le Purgatoire, qui se situe entre l’Enfer où se trouvent les âmes des damnés et le Paradis qui est le lieu des âmes pures. Ce lieu accueille les morts « ordinaires », qui attendent le jugement dernier, proche de la surface de la terre. Depuis le Purgatoire, les revenants viennent donner de leurs nouvelles aux vivants. Ils errent, comme des âmes en peine, ils attendent, ils passent le temps, ils déambulent, dessinent des trajectoires, des lignes d’erre. Chaque corps suit son propre chemin, et cherche à maintenir les liens, à faire signe. Ainsi la mort signifie une séparation du sujet avec la vie de la communauté, mais elle implique aussi une réintégration de celui-ci, sous une forme nouvelle.

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massimo furlanMassimo Furlan travaille souvent à partir de ses souvenirs d’enfance : il part de son histoirepersonnelle – enfant d’origine italienne né en Suisse au milieu des années 60 –, pour toucher à la mémoire collective, à celle de toute une génération, en mettant en place des propositions scéniques et visuelles qui mêlent burlesque et philosophie, poétique et esthétique populaire. Il revient sur des modèles, des rêves, des anecdotes vécues dans son enfance et son adolescence, qui l’ont particulièrement marqués et dont ‘intensité particulière provoque aujourd’hui encore la surprise, ainsi qu’une certaine jubilation. Il s’engage dans le champ de la performance, comme lorsqu’il rejoue seul et sans ballon des parties mythiques de l’histoire du football dans des stades, ou lorsqu’il incarne tous les concurrents de l’édition 1973 du concours Eurovision de la chanson. Dans ses projets scéniques il invite sur scène danseurs et autres interprètes pour réaliser ce qu’il nomme les images longues, plans séquences proches du cinéma et de l’installation. Il invente également des protocoles et des dispositifs de paroles singuliers, dans le cadre de projets in situ comme Madre, Blue tired Heroes ou Les Héros de la pensée.

claire de ribaupierreClaire de Ribaupierre est dramaturge et interprète dans les créations de Massimo Furlan depuis 2003. Docteur es Lettres, elle mène des recherches dans les domaines de l’anthropologie, de l’image et de la littérature contemporaines. Elle a publié Le roman généalogique. Claude Simon et Georges Perec, (2002), et dirigé de nombreux ouvrages collectifs sur la question du deuil et du fantôme (Le Corps évanoui, les images subites, 1999), sur La Figure de l’idiot (2004) et sur L’Anecdote (2007). Elle a édité en

octobre 2012 avec le CAN Les Héros de la pensée, ouvrage retraçant les 26 heures de la performance montée à Neuchâtel.Elle a été collaboratrice scientifique et enseignante à l’École cantonale d’art du Valais.Depuis 2009, elle enseigne l’anthropologie culturelle à la HEAD (Haute École d’art et de design, Genève), où elle poursuit ses recherches sur la question de la mémoire, de l’oralité, du corps et des archives limites. Elle a organisé plusieurs rencontres dans des lieux d’art, à l’Arsenic entre autres, réunissant artistes et théoriciens autour d’une problématique spécifique (anecdote, archives, animal, accident, excès…). Elle a travaillé comme chercheur soutenue par le FNS de 2008 à 2010 sur les pratiques artistiques de l’archive, avec Serge Margel, Christophe Kihm et Marie Sacconi.Actuellement, elle monte un projet de recherche, avec plusieurs écoles d’art et la Manufacture autour de la question de l’improvisation.

Pierre-Olivier Dittmar Historien / PerformeurHistorien de formation, il est maître de conférence à l’EHESS au sein du laboratoire « Groupement d’anthropologie historique de l’occident médiéval » (GAHOM). Dans ses recherches, il utilise les méthodes et outils de l’anthropologie et s’intéresse particulièrement à la façon dont évoluent les cultures. En se fondant sur un problème ou une question d’aujourd’hui, il essaie de comprendre les réponses propres au Moyen Âge. Il étudie ainsi les relations entre hommes et animaux, la notion d’animalité et de bestialité hier et aujourd’hui. Son autre thème de recherche porte sur l’image : les représentations sur les chapiteaux d’églises romanes en Auvergne et les images présentes dans l’univers domestique

parCours

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comme celles du plafond peint du château de Capestang en Languedoc-Roussillon. Il rapproche ces images qui mettent en scène les individus et leurs familles des pratiques en cours sur les réseaux sociaux actuels. Il a collaboré à plusieurs reprises avec Claire de Ribaupierreet Massimo Furlan, notamment dans Chanteur plutôt qu’acteur au Festival d’Avignon en 2008, dans Les Héros de la pensée en 2012 à Neuchâtel et à Paris, et a participé, à leur invitation, à des journées de travail et de rencontre avec des artistes ou des acteurs. En 2005, Pierre-Olivier Dittmar co-organise le colloque « Adam et l’astragale. Autour de l’anthropologie médiévale ». En 2008, il co-organise le colloque « Faire l’anthropologie Historique du Moyen Âge ». En 2010, il soutient sa thèse de doctorat : L’invention de la bestialité. Une anthropologie du rapporthomme-animal dans les années 1300.

les speCtaCles à venirEN BUS AU CNCS Il reste quelques places !VISITE DU CENTRE NATIONAL DU COSTUME DE SCÈNE DE MOULINSÀ l’occasion du 450e anniversaire de la naissance de Shakespeare, l’exposition Shakespeare, l’étoffe du monde du Centre national du costume de scène de Moulins dévoile les pièces les plus emblématiques de l’auteur le plus joué du théâtre occidental, grâce à un choix de plus de cent costumes portés essentiellement sur les scènes françaises depuis un siècle. La journée se poursuivra par la visite de la Collection Noureev dont une partie des pièces a été renouvelée.

Dimanche 7 décembreDépart de Clermont-Ferrand à 10:30 Bus et visite au tarif unique de 20 € ou 32 € avec le repas au restaurant du CNCS.Places limitées – Réservation indispensable—

rêverie / à 17 CentimÈtresMorena Nascimento / Jorge Puerta Armenta16, 17, 18 et 19 décembre à 20:30durée 1 heure 30 environ

© Vitor Vieira

Une même soirée pour deux chorégraphies sous influence, qui nous parlent de l’après Pina Bausch.

NOUVEAU ! BOUCHE À OREILLE Émission de radio dédiée à la programmation de la Comédie, enregistrée en public à la librairie Les Volcans, et en partenariat.Réalisée et animée par Bernard Lescure.Disponible à l’écoute et en podcast sur la page NEWS de notre site .

• Bouche à oreille # 2 avec Les Possédés et Emmanuelle DevosÉmission enregistrée le 21 novembre dernier autour des spectacles Platonov et Voleurs de poules.Les invités Les Possédés, Emmanuelle Devos et Alexandre Romanès.• Bouche à oreille # 1Émission enregistrée le 7 novembre dernier autour de la création Je redeviens cet homme nu Les invitésCéline Pouillon et Stanislas Nordey + lecture à deux voix de Stanislas Nordey et Julie Pouillon.

toute la proGrammation sur www.laComediedeClermont.Com

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