42
Caractéristiques socio-sanitaires du territoire de démocratie sanitaire de Métropole - Flandres Bailleul - 3 mars 2017

CTS MetropoleFlandres 3 mars - fehap.fr · commune* TP TDS 696,6 792,5 888,4 984,3 1 080,2 1 176,1 1 272,0 Hauts-de-France : 961,1 France hexagonale : 792,5 Taux standardis

Embed Size (px)

Citation preview

Caractéristiques socio-sanitaires

du territoire de démocratie sanitaire

de Métropole - Flandres

Bailleul - 3 mars 2017

La démarche

⇒ Un état des lieux réalisé sur l’ensemble de la région, par territoire de proximité

⇒ Une analyse plus spécifique de la situation du territoire de démocratie sanitaire,à partir de données quantitatives (résultats présentés dans ce diaporama)

Avec certaines dimensions qui restent à approfondir :données non disponibles ou qui demandent davantage de temps pour être analysées

⇒ Une appropriation par les membres composant le CTS des différents diagnostics,permettant d’enrichir la connaissance des spécificités du territoire…

⇒ …pour mettre en avant les cinq priorités territoriales après un second échange enréunion de bureau

• Situation du territoire de démocratie sanitaire (TDS) dans son ensemble, en regard de la situation nationale et de celle des cinq autres TDS de la région

• Zoom sur les territoires de proximité du TDS,

• Analyse des spécificités locales : indicateurs lissés au niveau des communes

3 818 communes dans les Hauts-de-France au 1er janvier 2016 dont 235 en Métropole - Flandres

Une analyse spécifique à chaque territoire de démocratie sanitaire

Vision « globale » pour :- la dimension sociale- la mortalité - l’offre en professionnels de santé libérale (hors

médecins spécialistes)

=> situation socio-sanitaire

Zoom sur :- les pathologies- l’offre et la consommation relatives aux professionnels de santé (y compris médecins

spécialistes)

- l’offre et la consommation en établissements de soins

- l’offre de services

Mise en avant des spécificités du territoires de démocratie sanitaire, tant dans sa globalité que plus localement

4

3

30 km

25 978

231 491

Population au RP 2013 de la commune la plus peuplée du territoire de proximité

frontière du territoire de proximité

frontière du territoire de démocratie sanitaire

1 - Lille 735 442 habitants 2 - Roubaix - Tourcoing 429 966 habitants 3 - Dunkerquois 252 851 habitants 4 - Flandre Intérieure 185 873 habitants

1

2Armentières

Dunkerque

Lille

Roubaix

Situation sociodémographique

État de santé

Offre de soins et de services

Vue d’ensemble

0,25 % 0,50 % 0,75 % 0,25 % 0,50 % 0,75 % 0

5 10

15

20

25

30

35

40

45

50

55

60

65

70

75

80

85

90

95

100

Métropole-Flandres

France hexagonale

Hommes Femmes

Contexte démographique

7,0 % de 75 ans et plus (9,2 % en France)12,5 % de 60-74 ans (15,0 % en France)⇒ les plus faibles proportions des TDS

(avec Oise pour les 75 ans et plus)

Accroissement de population sur toutes les périodes intercensitairesentre 1975 et 20132008-2013 : +0,37 % (+0,50 % en France), 2e des TDS (derrière Oise)⇒ jusque +0,72 % pour le territoire de proximité Flandre Intérieure

Les 18-30 ans représentent prèsd’un habitant sur cinq⇒ plus forte proportion des TDS(19,3 % contre 15,6 % en France)⇒ jusque 22,8 % dans le territoire

de proximité de Lille

Avec plus de 1 604 000 habitants au RP2013, Métropole - Flandres a une densité (691 habitants par km2)près de six fois supérieure à celle de la France (117), bien au-delà des autres TDS (290 pour Hainaut)⇒ un peu plus d’un habitant des Hauts-de-France sur quatre est domicilié à Métropole - Flandres

34,8 % de moins de 25 ans⇒ la plus forte proportion des TDS(30,3 % en France et 32,8 % dans la région)

Les plus faibles indice devieillissement* (51,7 contre 73,6en France et 58,8 dans la région)

et rapport de dépendance**des TDS (69,6 contre 73,2 en Franceet 72,3 dans la région)

* Nombre de personnes de 65 ans et plus sur le nombre de personnes de moins de 20 ans * 100

** Nombre de personnes de moins de 20 ans et de 65 ans et plus sur le nombre de personnes de 20-64 ans * 100

Situation sociale

⇒ le 2e taux de chômage le plus faible des TDS chez les 15-24 ans (33,7 % mais toutefois plus élevé qu’en France -28,3 %-),15,8 % chez les 15 ans et plus contre 13,0 % en France

⇒ moindre représentation des ouvriers et plus forte des cadres que dans les autres TDS

Un peu moins d’une personne de 25-34 ans sur deux diplômée d’au moins un bac+2 : 47,3 %

seul TDS au-dessus de la France (43,3 %) jusque 57,0 % dans le territoire de proximité de Lille

⇒ la 2e part la plus faible de foyers non imposés des TDS (après Oise 52,1 %)(toutefois supérieure à la part de la France : 56,3 % contre 53,8 %)

Une situation socio économique moins défavorable qu’en moyenne dans la région

⇒ le taux d’allocataires d’une aide au logement le plus élevé des TDS… et des taux d’allocataires supérieurs aux taux nationaux mais proches des moyennes régionales

pour l’AEEH, la CMU-c, le RSA(mais les 2e taux les plus faibles des TDS (après Oise) pour le RSA majoré et l’AAH)

⇒ le taux le plus élevé de familles monoparentales des TDS : une sur quatre (24,5 % contre 23,0 % en France)

Mais quelques fragilités sociales

Et contraste au niveau local

⇒ taux de chômage des 15 ans et plus : 19,1 % dans le territoire de proximité de Roubaix - Tourcoing contre 12,1 % en Flandre Intérieure

Typologie sociale par commune*

* Pour garantir une stabilité statistique suffisante et réduire le « bruit » lié aux petits effectifs (faible population), un lissage géographique a été mis en place. L’information

disponible dans le voisinage de chacune des communes est prise en compte (y compris des communes françaises limitrophes à la région).

Indicateurs considérés- Fécondité des jeunes femmes (12-20 ans)- Familles monoparentales avec enfant(s) de moins de 25 ans- Foyers fiscaux non imposés sur le revenu- Chômage- Jeunes de 25-34 ans pas ou peu diplômés- Cadres et professions intellectuelles supérieures- Allocataires du RSA - Allocataires de l’AAH

Affectation à chaque classe des territoires de proximité et

des territoires de démocratie sanitaire :

10 km

Situation sociodémographique

État de santé

Offre de soins et de services

Vue d’ensemble

Mortalité

La mortalité générale diminue à un rythme assez proche de celui de la France

Réduction du surplus de mortalité avec la France par maladies de l’appareil circulatoire au cours du temps,de même que par cancers ces dernières années…

…mais une augmentation du surplus de mortalité pour les causes extérieures de traumatismes et empoisonnements⇒ le taux du TDS ne différait pas de celui de la France par le passé, en 2011-2013 un différentiel de +10 % est enregistré

12 174 décès en moyenne annuelle sur la période 2006-2013

⇒ surmortalité en regard de la France hexagonale de +15 % (tous genres)

⇒ nombre de décès évités avec la même mortalité qu’en France

Mortalité générale en 2006-2013

1 063(sur 6 251, soit 17 %)

+14 %+18 %

725(sur 5 924, soit 12 %)

Mortalité générale en 2006-2013

commune* TP TDS

696,6792,5888,4984,3

1 080,21 176,11 272,0

Hauts-de-France : 961,1France hexagonale : 792,5

Taux standardisé(pour 100 000 habitants)

Hauts-de-France

Différentiel (en %) en regard de la France

10 km

Mortalité - les deux principales causes de décès (2006-2013)

Cancers

3 630 décès en moyenne annuelle (30 % des décès)

⇒ surmortalité en regard de la France hexagonale de +17 %+22 % pour les hommes et +13 % pour les femmes

⇒ 583 décès évités avec la même mortalité qu’en France414 pour les hommes et 169 pour les femmes

Maladies de l’appareil circulatoire

3 039 décès en moyenne annuelle (25 % des décès)

⇒ surmortalité en regard de la France hexagonale de +13 %+13 % pour les hommes et +14 % pour les femmes

⇒ 393 décès évités avec la même mortalité qu’en France199 pour les hommes et 194 pour les femmes

Différentiel de mortalité en regard de la France hexagonale

nombre de décès évitésen moyenne annuelle avec la même mortalité qu’en France

303*

121

225

218

213

74

41

* avec les trois principales pathologies pour lesquelles l’alcool constitue un facteur de risque important(cirrhose du foie, troubles mentaux et du comportement liés à l’utilisation d’alcool et cancer des VADS)

40

Mortalité - les causes de décès les plus marquées Tous genres(2006-2013)

Différentiel de mortalité plus marquée chez les femmes : +97 % versus +65 %

Idem pour les ALD

Taux d’admission en ALD élevé : +37 % (+36 % en région)

Taux d’admission en ALD élevé +47 % (+45 % en région)

Différentiel avec la France encore plus élevé pour le Dunkerquois

Surmortalité plus marquée chez les moins de 65 ans : +113 % chez les femmes et +75 %

chez les hommes (+85 % tous genres ; +124 %, +77 % et +77 % en région)

En tous âges, différentiel plus élevé pour Flandre Intérieure (+57 %) et Roubaix -

Tourcoing (+52 %) et, chez les moins de 65 ans, pour le Dunkerquois (+116 %)

Surmortalité moins marquée à Lille : +15 %

Surmortalité plus marquée chez les hommes : +41 %

versus +23 % pour les femmes

Différentiel avec la France plus élevé pour Roubaix - Tourcoing : +44 %

Surmortalité plus marquée chez les femmes : +26 %

versus +18 % pour les hommes

Taux d’admission en ALD élevé : +15 % pour chacun

des deux genres

Différentiel de mortalité en regard de la France hexagonale

nombre de décès évitésen moyenne annuelle avec la même mortalité qu’en France

Mortalité - les causes de décès les plus marquées Tous genres(2006-2013)

⇒ le territoire de proximité de Lille se démarque pour ces pathologies

109

68

37

181

94

Réduction du surplus de mortalité avec la France ces dernières années : il était de près de 30 %

en 1980-1987 et 1993-2000

+46 %

+29 %

+26 %

+12 %

+43 %

+28 %

+29 %

+17 %

BPCO

Cancer de la trachée,des broncheset du poumon

Tabac

Cancer de la prostate

Différentiel de mortalité en regard de la France hexagonale

nombre de décès évitésen moyenne annuelle avec la même mortalité qu’en France

Mortalité - les causes de décès les plus marquées Spécificités par genres(2006-2013)

Hommes

Femmes

115

127

299*

22

+25 %

+25 %

Cancer du sein62

* avec les trois principales pathologies pour lesquelles le tabac est un facteur de risque(cancer de la trachée, des bronches et du poumon, BPCO et cardiopathies ischémiques)

Diminution de la mortalité plus marquée ces dernières années sur le TDS qu’en France :

-25 % vs -15 % entre 1993-2000 et 2006-2013(le différentiel de mortalité avec la France

est passé de +33 % à +25 %)

Diminution de la mortalité plus marquée sur le TDS qu’en France, impliquant une réduction du surplus de mortalité au cours du temps : +52 % en 1980-1987, +40 % en 1993-2000 et +29 % en 2006-2013

Situation sociodémographique

État de santé

Offre de soins et de services

Vue d’ensemble

Offre de soinsDes densités de professionnels de santéélevées…un peu plus élevées (voir beaucoup pour lesinfirmiers salariés et les masseurs-kinésithérapeutes quel que soit le moded’exercice) qu’en France, sauf pour lesdentistes et les médecins spécialisteslibéraux et mixtes

…et des consommations en soins de villeplus élevées ou proches, tant en regard dela France que des Hauts-de-France

Des taux de consommation de séjour enétablissements de santé supérieurs à lamoyenne nationale (sauf en hospitalisationcomplète en SSR, taux inférieurs)Des taux proches, un peu plus élevés (SSRen hospitalisation partielle, médecine) ouun peu plus faibles (SSR en hospitalisationcomplète) que la valeur régionale

105,3

46,6

24,1

5,7

167,3

138,1

54,3

39,8

72,6

20,4

17,5

1 026,7

34,8

4,6

91,8

48,8

26,8

9,8

174,3

104,1

56,5

38,3

50,2

12,3

12,9

27,0

6,4

Médecins généralistes

spécialités chirurgicales

psychiatrie

spécialités médicalesMédecins spécialistes

Infirmier(ère)s

Masseurs-kinésithérapeutes

Chirurgiens-dentistes

Densité de professionnels de santé*

activité libérale ou mixteactivité salariale

780,8

5,1

13,9

5,3

1,0

4,3

13,8

4,0

1,1

Médecins généralistes

Masseurs-kinésithérapeutes

Chirurgiens-dentistes

Infirmier(ère)s

Consommation de ville en nombre d'actes**

142,6

90,2

88,7

485,7

61,1

89,9

111,5

85,1

83,4

527,0

55,2

68,2

Consommation de séjour en établissements de santé** *

médecine

hospitalisation complète

hospitalisation partielle

HAD

chirurgie

obstétrique

SSR

MCO

Métropole-Flandres France hexagonale

Médecins généralistes libéraux

La plus forte densité des TDS (105,3)

⇒ mais Dunkerquois, densité inférieure à la France et la région

(87,0 contre respectivement 91,8 et 90,6)

⇒ les trois autres font partie des cinq territoires de proximité

de la région pour lesquels la densité est la plus élevée

La plus faible part de médecins âgés de 55 ans ou plus des TDS

⇒ 47,6 % contre 53,2 % en France et 51,3 % en région,le Dunkerquois se démarquant encore (58,6 %)

Nombre d’actes moyens par habitant (consultations et visites) supérieur à la France

1 689 médecins au 1er janvier 2016

53,170,080,090,0

100,0113,3

38,745,051,558,064,567,2

Nombre Densité*% de 55 ans

et plus

Temps

d'accès

théorique**

Min. temps

d'accès

théorique**

Max. temps

d'accès

théorique**

Densité*% de 55 ans

et plusNombre Densité*

% de 55 ans

et plus

Temps

d'accès

théorique**

Spécialités médicales, dont : 1 912 119,2 33,4 1'56 0'48 4'27 99,0 45,1 5 009 83,7 40,0 4'42

Anesthésie-réanimation 318 19,8 31,1 4'33 2'35 7'27 15,7 44,2 774 12,9 35,4 7'58

Radiodiagnostic 238 14,8 23,5 3'49 2'50 4'40 11,7 46,1 621 10,4 37,5 7'12

Pédiatrie 240 70,2 34,2 3'41 2'26 7'04 57,6 40,9 590 46,4 40,7 7'53

Cardiologie et maladies vasculaires 183 11,4 34,4 3'18 2'23 5'57 10,2 45,9 525 8,8 45,0 6'51

Gastro-entérologie et hépatologie 85 5,3 22,4 5'02 3'21 7'21 5,5 41,9 286 4,8 38,1 7'59

Gynécologie médicale 93 13,8 90,3 2'53 1'48 5'51 10,8 93,0 234 9,4 89,3 7'23

Pneumologie 90 5,6 35,6 5'04 3'28 7'45 4,4 44,0 279 4,7 39,4 8'37

Dermatologie et vénéréologie 92 5,7 46,7 3'35 2'05 7'44 5,7 57,6 227 3,8 47,1 7'47

Neurologie 94 5,9 21,3 5'02 3'05 7'53 3,7 29,8 222 3,7 27,5 10'10

Médecine physique et réadaptation 70 4,4 37,1 4'51 2'55 8'46 3,1 49,8 179 3,0 41,9 11'24

Rhumatologie 59 3,7 45,8 4'53 3'51 7'45 3,9 53,1 166 2,8 50,0 9'27

Gériatrie 39 34,6 17,9 5'33 3'12 6'47 28,4 31,2 149 31,4 18,1 8'40

Endocrinologie et métabolisme 59 3,7 32,2 6'07 2'49 12'14 2,7 34,4 146 2,4 32,2 9'51

Spécialités chirurgicales, dont : 715 44,6 32,4 3'03 2'08 5'34 39,1 43,6 1 976 33,0 40,0 6'01

Ophtalmologie 147 9,2 44,9 3'43 2'42 6'14 8,5 60,0 394 6,6 52,8 7'02

Gynécologie-obstétrique 135 34,6 29,6 4'21 3'35 6'35 30,4 31,3 384 28,3 34,1 8'05

Chirurgie générale 133 8,3 22,6 4'51 3'22 8'41 5,3 43,6 322 5,4 37,6 8'24

Chirurgie orthopédique et traumatologie 62 3,9 35,5 5'10 3'28 8'51 4,8 34,7 247 4,1 38,1 8'41

O.R.L et chirurgie cervico-faciale 75 4,7 37,3 4'18 2'54 7'45 4,5 54,9 190 3,2 50,0 8'39

Psychiatrie 372 23,2 31,5 3'18 1'34 6'45 22,7 51,0 946 15,8 40,3 6'53

Biologie médicale 94 5,9 24,5 4'41 2'28 8'04 4,2 27,2 194 3,2 27,3 8'25

Ensemble des spécialistes*** 3 152 196,5 32,4 1'29 0'38 3'06 167,3 45,0 8 229 137,4 39,6 4'06

Métropole - Flandres Territoire de proximité Hauts-de-FranceFrance hexagonale

Médecins spécialistes (libéraux et salariés) au 1er janvier 2016

⇒ souvent les plus fortes densités des TDS de la région, à un niveau au delà de la France

sauf pour les spécialités gastro-entérologie et hépatologie, dermatologie et vénérologie, rhumatologie, chirurgie orthopédique et traumatologie, psychiatrie et biologie médicale, densités proches ou plus faibles

⇒ des parts de spécialistes de 55 ans et plus moindres qu’en France, sauf pour la chirurgie orthopédique et traumatologie (part proche : moins d’un point plus élevée)

+20 %

+14 %

+17 %

Médecins spécialistes libéraux au 1er janvier 2016

Nombre Densité*% de 55 ans

et plus

Temps

d'accès**

Min. temps

d'accès**

Max. temps

d'accès**Densité*

% de 55 ans

et plusNombre Densité*

% de 55 ans

et plus

Temps

d'accès**

Spécialités médicales, dont : 747 46,6 49,9 2'01 0'48 4'29 48,8 57,6 2 260 37,7 53,7 5'13

Anesthésie-réanimation 92 5,7 38,0 6'44 4'25 17'54 5,6 48,2 285 4,8 38,2 10'08

Radiodiagnostic 132 8,2 33,3 4'02 2'50 5'45 8,3 51,6 416 6,9 45,9 7'23

Pédiatrie 57 16,7 52,6 5'33 2'56 16'28 21,4 59,5 152 12,0 59,2 9'19

Cardiologie et maladies vasculaires 111 6,9 45,9 3'29 2'23 6'13 7,1 52,4 352 5,9 52,3 7'03

Gastro-entérologie et hépatologie 38 2,4 36,8 5'25 3'21 9'08 3,2 53,8 161 2,7 49,7 8'27

Gynécologie médicale 69 10,2 97,1 2'57 1'48 5'51 9,0 96,2 178 7,1 97,8 7'38

Dermatologie et vénéréologie 73 4,6 56,2 3'35 2'05 7'44 4,8 62,6 183 3,1 55,2 7'52

Spécialités chirurgicales, dont : 387 24,1 43,4 3'07 2'16 5'34 26,8 51,4 1 236 20,6 48,7 6'07

Ophtalmologie 115 7,2 47,0 3'47 2'51 6'14 7,3 63,3 331 5,5 55,9 7'08

Gynécologie-obstétrique 59 15,1 44,1 5'02 3'41 12'06 17,9 40,9 199 14,7 47,2 9'07

Chirurgie orthopédique et traumatologie 38 2,4 39,5 5'20 3'28 8'51 3,6 34,9 164 2,7 35,4 9'08

O.R.L et chirurgie cervico-faciale 48 3,0 47,9 4'35 2'54 7'45 3,4 62,0 136 2,3 60,3 9'00

Psychiatrie 91 5,7 45,1 4'40 3'28 8'04 9,8 67,4 221 3,7 57,5 8'44

Ensemble des spécialistes*** 1 247 77,7 47,2 1'52 0'48 4'22 87,1 56,2 3 791 63,3 51,9 4'37

Métropole - Flandres Territoire de proximité France hexagonale Hauts-de-France

Autres professionnels de santé libéraux

Les densités les plus élevées des TDS de la région…

- masseurs-kinésithérapeutes (2 215 au 1er janvier 2016)

- sages-femmes (120 au 1er janvier 2016)

- chirurgiens-dentistes (871 au 1er janvier 2016)

…plus faible qu’en France pour les sages-femmes, assez proche de la densité nationale

pour les chirurgiens-dentistes et plus élevée pour les masseurs-kinésithérapeutes

Deuxième densité la plus faible des TDS pour les infirmiers (2 684 au 1er janvier 2016),

avec une valeur assez proche de la moyenne nationale et une population plus jeune

(ayant moins recours à ce professionnel de santé)

⇒ le Dunkerquois se démarque avec des densités moindres

Des corrélations entre densité et consommation de soins

⇒ consommations plus élevées à Lille et Roubaix - Tourcoing : les deux plus

importantes des territoires de proximité de la région pour les masseurs-

kinésithérapeutes et les chirurgiens-dentistes

Typologie de professionnels de santé libéraux par communes*

Indicateurs considérés- Densité de médecins généralistes- Part de médecins généralistes de 55 ans et plus- Densité de médecins généralistes de moins de 55 ans- Densité d’infirmier(ère)s- Densité de masseurs-kinésithérapeutes- Densité de chirurgiens-dentistes

* Pour garantir une stabilité statistique suffisante et réduire le « bruit » lié aux petits effectifs (faible population), un lissage géographique a été mis en place. L’information

disponible dans le voisinage de chacune des communes est prise en compte (y compris des communes françaises limitrophes à la région).

Affectation à chaque classe des territoires de proximité et

des territoires de démocratie sanitaire :

10 km

Soins de courte durée

Au 31 décembre 2015, 7 196 lits ou places en soins de courte durée,soit le plus fort taux d’équipement des TDS de la région avec celui de la Somme ⇒ 4,49 lits ou places pour 1 000 habitants

(3,84 ‰ dans les Hauts-de-France et 3,73 ‰ en France)

La deuxième consommation en soins de courte durée la plus importante des TDS de la région⇒ 321,3 séjours pour 1 000 habitants

(304,8 ‰ dans les Hauts-de-France et 275,2 ‰ en France)

30 km

Nombre de séjours produits par l’(les) établissement(s)

de la commune

Chirurgie

215 243

101 827

121

DisciplineMédecine

Nombre de séjours produits par l’(les) établissement(s) de soinsen médecine et chirurgie en 2015

Chirurgie

DisciplineMédecine

Au 31 décembre 2015, 668 lits ou places pour la gynécologie-obstétrique, dont 533 en obstétrique, soit un taux d’équipement au niveau de la moyenne régionale⇒ 1,37 lit ou place pour 1 000 femmes 15-49 ans

(1,24 ‰ en région et 1,12 ‰ dans l’Hexagone)

Pour un ICF proche également du niveau régional ⇒ 2,02 contre 2,08 dans les Hauts-de-France

(1,98 en France)

16 lits en réanimation néonatale et 131 lits en néonatalogie (dont 36 en soins intensifs aux nouveau-nés)

Sur les 22 051 naissances vivantes en 2015 domiciliées en Métropole - Flandres, 564 l’ont été hors du territoire (2 644, à l’inverse, concernaient des mères d’un autre territoire -1 642 du Pas-de-Calaiset 568 du Hainaut-)

Nombre d’accouchements selon le niveau des maternitésLocalisation des centres périnataux de proximité

et des structures pratiquant l’IVG en 2015

Niveau des maternités

Niveau 3Niveau 2

Niveau 1

Centre périnatal de proximité

Structure pratiquant l’IVG

Maternité, néonatalogie et IVG

Répartition des soins urgents au 31 décembre 2015

Au 31 décembre 2015,tous les territoires de proximité du TDSde Métropole - Flandres ont un SMURcomme d’ailleurs tous ceux de la région

Pas de population située à 30 minutesthéoriques ou plus d’un service d’urgence,Smur, Samu (y compris hélicoptère)

SamuSmur antenne

Service d’urgence et Smur généraliste

Service d’urgence et Smur généraliste et pédiatrique

Service d’urgence

Type de structure

Médecin correspondant du Samu

Hélicoptère du Smur

Urgence

Production de journées en soins de suite et de réadaptation

en 2015Au 31 décembre 2015, plus de 2 430 lits ou places en SSR, soit un taux d’équipement un peu en deçà de la région⇒ 1,52 lit ou place pour 1 000 habitants

(1,65 ‰ dans les Hauts-de-France

et 1,80 ‰ dans l’Hexagone)

Au cours de l’année 2015, un taux de recours en hospitalisation complète plus faible qu’en France ⇒ près de 486 pour 1 000 habitants

contre respectivement 511 ‰ en région et 527 ‰ en France

il est par contre plus élevé en hospitalisation partielle⇒ 61 pour 1 000 habitants

contre 56 ‰ en région et 55 ‰ en France

PartielleComplète

Type d’hospitalisation

30 km

Nombre de journées produites par l’(les) établissement(s)

de la commune

Partielle Complète

221 038124 215

2 144

Type d’hospitalisation

Soins de suite et de réadaptation

Répartition des établissements autorisés à traiter les cancers

au 31 décembre 2015Au 31 décembre 2015, le TDS Métropole - Flandres dispose d’établissements proposant les six spécialités chirurgicales présentées, de même que la chimiothérapie et la radiothérapie externe

Au cours de l’année 2015,le taux standardisé de séances en chimiothérapie est le plus faible des TDS de la région⇒ 37 pour 1 000 habitants contre 40 ‰ en région

Au cours de cette même année 2015,le taux standardisé de séjours en chirurgie des cancers est le plus élevé des TDS de la région⇒ 10,3 pour 1 000 habitants contre 9,8 ‰ en région

Chirurgie des cancers

DigestifUrologiqueSeinGynécologique

ORL et maxillo-facialeThoracique

Chimiothérapie

Radiothérapie externe

Pratique thérapeutiquedisponible l’(les) établissement(s)

de la commune

30 km

Chirurgie des cancers

DigestifUrologiqueSeinGynécologique

ORL et maxillo-facialeThoracique

Chimiothérapie

Radiothérapie externe

Pratique thérapeutique disponible l’(les) établissement(s)

de la commune

Prise en charge du cancer

Répartition des équipements lourdsen novembre 2016

Au 31 décembre 2015, tous les territoires de proximité sont dotés d’au moins un scanner au sein de la région, et donc ceux du TDS Métropole - Flandres

Flandre Intérieure moins équipé que les autres TDS⇒ Seuls Lille et Roubaix - Tourcoing sont équipés

de tomographes à émission de positons (TEP) et de caméras à scintillation avec détecteur d’émission de positons (CDET)

IRMScanner

Tomographe à émission de positons (TEP)/Caméra à scintillationavec détecteur d'émission de positons (CDET)

Caméra à scintillation sans détecteur d'émission de positons

Type d’équipement

30 kmIRMScanner

Tomographe à émission de positons (TEP)/Caméra à scintillation avec détecteur d'émission de positons (CDET)

Caméra à scintillation sans détecteur d'émission de positons

Nombre d’équipement(s)dans la commune

141

Type d’équipement

211

16

Équipements lourds

Addictions Répartition des services pour la prise en charge des addictions en 2016

30 km

Nombre de structure(s) dans la commune

41

Antenne d’un Csapa

Type d’équipement*

Unité hospitalière d’addictologie

Centre de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (Csapa) ambulatoire

21

Service d’appartements thérapeutiques Centre thérapeutique résidentiel (CTR)Soins de suite et de réadaptation en addictologie (SSRA)Centre d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues (Caarud)

Consultation jeunes consommateurs(CJC)

14

Au 30 octobre 2016, 50 services de prise en charge des addictions(24 % des services de la région)

52 % des services se situent dans le territoire de proximité de Lille

Peu d’établissements présents dans le Dunkerquois et le territoire de Flandre Intérieure

Aucun centre thérapeutique résidentiel, aucun réseau famille d’accueil

Psychiatrie générale Répartition des capacités d’accueil en psychiatrie générale des établissements de santé

de rattachement* au 31 décembre 2015Le taux d’équipement de Métropole - Flandres est inférieur à celui des Hauts-de-France⇒ 1,32 ‰ personnes de plus de 16 ans

contre 1,55 ‰ en région et 1,57 ‰ en France

Le territoire de Lille comprend 6 des 9 établissements (entité juridique)

Un taux de places d’accueil à temps complet inférieur au taux régional (1,00 ‰ vs 1,25 ‰), de même que le taux d’hospitalisation à temps plein(0,82 ‰ vs 1,03 ‰)

Le TDS a un taux d’hospitalisation à temps partiel équivalent au taux régional (0,32 ‰ vs 0,31 ‰)

Psychiatrie infanto-juvénile

30 km

Prise en charge à temps complet

Placement familial thérapeutique

Hospitalisation partielle

Hospitalisation à temps plein

Accueil en centre de crise et structure urgence

229

150

3

Prise en charge à temps partiel

Nombre de lits/places par commune d’établissement

de rattachement

Répartition des capacités d’accueil en psychiatrie infanto-juvénile des établissements de santé

de rattachement* au 31 décembre 2015Le taux d’équipement de Métropole - Flandres est le deuxième plus faible de la région (devant le Hainaut) ⇒ avec un taux de 0,66 ‰ jeunes de 16 ans et moins

contre 0,88 ‰ en région et 0,95 ‰ en France

78 % des hospitalisations sont à temps partiel(74 % en région)

En ambulatoire, le territoire se retrouve comme l’un des mieux dotés des TDS de la régionen CMP, CMPP et CATTP (adultes, enfants et adolescents) ⇒ Lille ⇒ Dunkerquois et Roubaix - Tourcoing pour les CMP

Lits en hébergement complet pour personnes âgéesRépartition du nombre de lits en hébergement

complet des établissements pour personnes âgées en octobre 2016*

Des taux d’équipement supérieurs aux taux régionaux(pour 1 000 personnes de 75 ans et plus)

en places d’Ehpad (96,3 ‰ vs 92,7 ‰) ⇒ Flandre Intérieure et Roubaix - Tourcoing

en places de résidences autonomie (35,0 ‰ vs 24,3 ‰)⇒ sauf les territoires de Flandre Intérieure et Dunkerquois

Taux inférieur en places d’USLD (5,0 ‰ vs 6,5 ‰)⇒ sauf Roubaix - Tourcoing (8,1 ‰)

Des services de soins à domicile (SSIAD)et services d’aide à la personne assez développés ⇒ surtout dans le territoire de Lille

Hébergement à temps complet pour adultes en situation de handicap

30 km

Nombre de litsdans l’(les) établissement(s)

de la commune

Type d’établissement*

Maison d'accueil spécialisée (Mas)Foyer d'accueil médicalisé (Fam)Foyer d’hébergement Foyer de vie Foyer d'accueil polyvalent Établissement expérimental

261114

6

Répartition du nombre de lits d’accueil à temps complet des établissements pour adultes en

situation de handicap en octobre 2016

En regard des autres TDS, Métropole - Flandres présente des taux d’équipement parmi les plus élevés pour les :

- places de MAS

- places de FAM

- places en foyers (hébergement vie, polyvalent)

- SAVS et places en Samsah

- places Entreprises adaptées (taux supérieur taux régional)

- places d’accueil partiel

- places d’accueil temporaire

Mais a un taux en Esat inférieur (4,38 ‰)

au taux régional (4,95 ‰)

Nombre de places en internat des établissements pour enfants en situation de handicap

30 km

Nombre de places en internat dans l’(les) établissement(s)

de la commune260122

6

Nombre de places en famille d’accueil

50

6

Type d’établissement*

Foyer hébergement enfants et adolescents handicapésInstitut pour déficients auditifsÉtablissement d'accueil temporaire d'enfants handicapésInstitut d'éducation sensorielle sourd/aveugleInstitut pour déficients visuels

Institut médico-éducatif (IME)Établissement expérimental pour l’enfance handicapéeÉtablissement pour enfants ou adolescents polyhandicapésInstitut thérapeutique éducatif et pédagogique (Itep)Établissement pour déficient moteur

Centre d’accueil familial spécialisé (CAFS)

Répartition du nombre de places et de places en internat des établissements pour

enfants en situation de handicap en octobre 2016

Le taux d’équipement pour les ESMS du TDSest en dessous de celui de la région⇒ 10,4 ‰ places vs 11,6 ‰ jeunes de 16 ans et moins

Les taux en internat (2,1 ‰ vs 2,3 ‰) et en places en IME (3,8 ‰ vs 5,3 ‰) sont inférieurs

Le taux en accueil de jour et semi-externat est assez proche du taux régional (4,9 ‰ vs 5,2 ‰)

Le plus faible nombre de places pour enfants polyhandicapés de la région2 établissements pour déficients auditifs, 3 pour déficients visuels⇒ tous situés dans le territoire de Lille

Métropole - Flandres compte 51 Sessad pour 1 433 places

Peu de Camsp (12) et de places de Camsp (72)

⇒ L’essentiel des structures est situé dans le territoire de proximité de Lille

Services à domicile ou ambulatoires pour enfants en situation de handicap

Répartition des services à domicile ou ambulatoires pour enfants en situation de

handicap en octobre 2016

Situation sociodémographique

État de santé

Offre de soins et de services

Vue d’ensemble

Typologie socio-sanitaire par communes*

* Pour garantir une stabilité statistique suffisante et réduire le « bruit » lié aux petits effectifs (faible population), un lissage géographique a été mis en place. L’information

disponible dans le voisinage de chacune des communes est prise en compte (y compris des communes françaises limitrophes à la région).

Affectation à chaque classe des territoires de proximité et

des territoires de démocratie sanitaire : 10 km

Rappel de la démarche

de l’élaboration du futur projet régional

de santé (PRS) Hauts-de-France

Problématiques et enjeux

Des problèmes d'environnements plus marqués

L'importance de la précarité socio-économique

Une surreprésentation du handicap

Une population hautement exposée aux principaux facteurs de risque et une prévalence particulière des maladies chroniques

Des indicateurs de santé plus dégradés qu'en moyenne nationale et qui s'améliorent plus lentement que pour le reste de la France

Une utilisation des soins de ville et hospitaliers parmi les plus élevée

La persistance des inégalités sociales et territoriales de santé (dont démographie et répartition des professionnels de santé)

L'augmentation des dépenses de santé et l'efficience des opérateurs

L'augmentation de l'importance des situations sanitaires à risque

La prise en compte de l'environnement comme impactmajeur sur la santé

L'action sur les comportements pour diminuer l'impact desfacteurs de risque

La protection de la population contre les risques sanitaires

L'adaptation des réponses aux besoins de la population et lerenforcement de l'organisation / coordination desprofessionnels

La lutte contre les inégalités sociales et territoriales de santé

L'efficience du système de santé pour chaque secteur de lasanté (dont la pertinence des actes et des soins)

La légitimation de la place de l'usager au cœur du parcoursde santé

Les 8 objectifs stratégiques (COS)

Promouvoir un environnement favorable à la santé et agir sur les comportements dès le plus jeune âge

Assurer la veille et la gestion des risques sanitaires

Développer l'approche transversale des parcours de santé

Renforcer les synergies territoriales et les organisations en réseau

Prioriser les actions en fonction des spécificités territoriales pour réduire les inégalités (s'applique à tous

les chantiers)

Garantir l'accès à la santé (Favoriser l'attractivité des territoires en manque de professionnels de santé / garantir l'accès et favoriser le recours à la santé des populations vulnérables)

Garantir l'efficience et la qualité du système de santé

Installer l'usager comme acteur de sa santé (s'applique à tous les chantiers)

Promouvoir un environnement favorable à la santé et Favoriser des bons comportements dès le plus jeune âge Promouvoir un environnement favorable à la santé (PRSE3)

Promouvoir des comportements favorables à la santéPromouvoir la santé des jeunes

Développer les parcours (Prévention, Accès, Coordination, efficience, qualité)Mère-enfant (dont périnatalité, IVG)

Vieillissement (dont PMND)

Handicaps (lien PRIAC)

Diabète, obésité (et IRC)

Cancer (Plan cancer 3)

Santé mentale

Addictions (dont lien PNT)

Maladies cardio-neurovasculaires (Lien PARCOEUR) et respiratoire

Garantir l'accès à la santéLutter contre la désertification des professionnels de santé (dont Pacte territoire santé)

Améliorer l'accès aux soins des populations défavorisées (PRAPS)

SI-Télé-santé

Garantir l'accès à des soins spécifiques (non programmés, critiques, imagerie et soins palliatifs)

Transfrontalier

Garantir l'efficience (prévention, offre soins, MS) et la qualité du système de santé Efficience des établissements de santé et MS et des opérateurs de prévention

Diversification de l'offre de soins et de l'offre médico-sociale

Qualité et sécurité des soins

Assurer la veille et la gestion des risques sanitairesAssurer la veille et la sécurité sanitaire (dont le médicament)Se préparer à la gestion des situations exceptionnelles (interface avec ORSAN)

Renforcer les synergies territoriales et fonctionnement en réseau (PTA, GHT, projets de territoires…)

•Transversalité •Une méthode unique•Un pilote par chantier+ Une équipe transversale•Des concertations

Les chantiers du SRS

La démarche (suite)

Information sur les données de

territoires3 mars 2017

3 avril 2017

Rapports territoriaux sur les priorisations

Juin 2017

2e rencontre pour aboutir

à la désignation de 5 priorités pour le TDS