Dans ce numéro, Leforest prend de la hauteur et vous en fait voir de toutes les couleurs !

17 septembre baptême de montgolfière organisé

par les Donneurs de Sang

On connaissait Leforest la sportive, Leforest la festive, doit-on encore présenter Leforest la solidaire ?En mettant dans ce numéro l’accent sur la semaine bleue, octobre rose, les Cyclades et d’une certaine manière sur Leforest Environnement, c’est en tout cas cette facette de notre ville qui est mise en avant….la solidarité… Pour en parler, j’aurais pu également évoquer l’activité à Leforest des Restos du Cœur, du Secours Catholique, de la FNATH, du CCAS en général, et de bien d’autres… tellement malheureusement les situations d’exclusion sont nombreuses et diversifiées et tellement heureusement, nous sommes nombreux à agir. Pour autant, au niveau local, nous en sommes souvent plus à panser les plaies qu’à prévenir le mal qui a pour nom par exemple, le chômage, le coût de l’énergie et qui se traite alors à d’autres échelles. Néanmoins, pour enrayer la crise, rien ne doit être considéré comme des «mesurettes» et à ce titre, tout comme le jardin d’insertion aménagé depuis 2 ans rue de Paris, le chan-tier école qui doit démarrer d’ici quelques jours, n’est pas négligeable, même s’il ne doit concerner que quelques bénéficiaires.De la même manière, notre collectivité a été mise à l’honneur dernièrement pour avoir favorisé l’intégration professionnelle d’un jeune travailleur handicapé. D’abord, comme je le dis souvent, cette chance, ce jeune a su la provoquer grâce à sa motivation. De plus, les conditions de son épanouissement ont été facilitées grâce à sa cellule familiale et aux Papillons Blancs. Dès lors, qu’a fait la Municipalité ? si ce n’est juste son devoir et un petit pas que tout le monde devrait (ou est en mesure de) faire pour une société plus juste, plus responsable, moins égoïste. Consacrer du temps et de l’argent à réduire les clivages, tel doit donc continuer à être notre crédo, l’un des piliers d’une politique qui se veut équilibrée, harmonieuse, et qui tient compte de tous les enjeux d’une ville.Pour terminer, je souhaiterais revenir sur deux événements très graves rencontrés ces der-nières semaines et qui ont choqué Leforest, à savoir, l’incendie sur le parking poids lourds et l’accident de voiture de la rue de l’Egalité. Au-delà du respect et de la pudeur que ces deux drames nous imposent, cela nous démontre la nécessité d’anticiper toujours plus et de perdre le moins de temps possible pour mener à bien nos projets.Cela faisait deux ans que la réflexion sur la sécurisation de la côte de Moncheaux était lancée avec les riverains, passant de propositions peu efficaces ou trop chères pour Leforest seule (140 000 €) avant de déboucher finalement sur la décision d’aménager des plateaux et de lan-cer l’appel d’offre correspondant, quelques semaines avant cet énième accident depuis 20 ans. Bien que n’ayant connu jusqu’alors, aucun tourment de ce genre, le parking poids lourds était lui aussi en cours de réfection avec notamment la pose d’éclairage… il bénéficiera de vidéosurveillance, un peu trop tardivement également, les dégâts étant faits. Etre dans l’action plutôt que dans la réaction, hiérarchiser les dépenses dans un budget rendu contraint par mon prédécesseur, prioriser les interventions, voilà en tout cas l’exer-cice quotidien auquel est livrée l’équipe municipale élue depuis 2008 et prête à vous servir encore longtemps.

EDITO

plats dans les grands.SOMMAIRE

Edito du Maire

100 % Proche de vous

Joyeux anniversaireLeforest

Environnement !

100 %Vie communale

Pêle-mêle de photos

septembre et octobre

100 % ProjetsL’épopée des

Cyclades

100 % InfosBrèves

Etat Civil

Puis le long des allées, photos, documents, stands tenus, ici par la Chaîne des Terrils, là par le SYMEVAD, un peu plus loin par l’Espace Infos Energie ou encore par d’autres associations de défense de l’environnement...sans oublier des jeux, des ateliers, une exposition de collections diverses et une dégustation de produits bio proposée par nos spécialistes locaux, les frères Lingrand... Bref, tout pour nourrir la mémoire, le cerveau, mais aussi pour satisfaire les papilles ! Le samedi après-midi, le film «Océans» a retenu l’attention du public, et le débat qui s’en est suivi a évidemment porté sur la sauvegarde des espèces en voie de disparition et la problématique de l’eau, tant au niveau global que local. Le lendemain, en route pour une rando-découverte sous le soleil automnal dans les rues de la ville ! Entre faits historiques, anecdotes et tourisme, la ballade s’est passée comme souvent dans la curiosité et la bonne humeur !Après l’effort, le réconfort de rentrer et de pouvoir s’installer devant la projection d’un documentaire sur nos amies les abeilles, suivi d’un débat mené par l’un de nos apiculteurs leforestois, David Delaby.

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C’est en présence de notre Maire, Christian MUSIAL,de la Conseillère Générale, Sabine VAN HEGHE,et du Président de la CAHC, Jean-Pierre CORBISEZ,qu’a été inauguré ce week-end. Au programme des festivités, d’abord une exposition retraçant l’activité de l’association depuis sa création : actions militantes et caritatives (le partenariat avec l’association L.O.U.I.S vient de là), de recyclage, nettoyage de la nature... retour sur 20 ans de préservation de notre planète à l’échelle leforestoise !

Les enfants n’ont pas été oubliés durant ce week-end, puisqu’un concours de dessins avait été organisé en partenariat avec les écoles volontaires, le Conseil Municipal des Jeunes ainsi que tous les jeunes leforestois qui souhaitaient y participer. Résultat : fresques, coloriages, collages et autres créations originales sur le thème bien sûr de l’environnement, avec des remises de lots pour récompenser tous les artistes ! Lifting complet pour la salle des fêtes Gilbert MARQUETTE

Construite en 1982, la salle des fêtes a bénéficié ces derniers temps du programme d’en-tretien nécessaire à sa stature. Souvenez-vous en octobre 2011, le nom de Gilbert Mar-quette en l’honneur de notre illustre ancien Maire, lui était donné.Cette date marquait également le début des travaux desti-nés à améliorer l’usage de cette salle sur-utilisée, dont le montant annuel des locations s’élève à environ 15 000 €.

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Peintures extérieures et intérieures, remplacement desgardes-corps, réfection du parvis, aménagement d’unerampe pour personnes à mobilité réduite, pose de caméras de vidéo-surveillance, contrôle de l’appa-reillage électrique...tout y est passé pour donner à cetéquipement, une seconde jeunesse bien méritée !

LEFOREST ENVIRONNEMENT : JOYEUX ANNI VERT»SAIRE !Pour souffler ses 20 bougies, les 29 et 30 septembre derniers, toute l’équipe de l’association Leforest Environnement, derrière son Président Maurice PIERARD, avait mis les petits

de la ville

ZOOM SUR...LA SEMAINE BLEUE

HORREUR...BONHEUR !!!!!!

Après le rose, le bleu pour une semaine haute en couleurs !

En route, en effet, pour une «semaine bleue» entièrement consacrée à nos Séniors, entamée de manière anticipée, le mercredi 10 octobre, en compagnie du club de l’Amitié, pour la visite du site féérique des carosses, à Arras !

Le dimanche 14 octobre, réunissant plus de 300 per-sonnes, arrive enfin le traditionnel repas des Aînés,avec entre 2 savoureuses bouchées, une petite danse...Si ensuite le lundi s’est déroulé sous des auspices plutôtcalmes, avec le concours de cartes organisé au foyer-loge-ment Blum, le rythme s’ est accéléré dès le lendemain !Séance musclée matinale de gym intergénérationelle avec l’association «Gym Séniors», et l’après-midi, après l’effort...le rire ! avec un spectacle patoisant «A mon d’ches gins».Le mercredi s’est passé en musique avec le concert de la chorale de nos Merlettes locales, pour enchainer avec le rendez-vous tant attendu du club de l’Amitié et les animations délirantes de ses membres, le jeudi après-midi.Pour finir la semaine en douceur, tous en péniche avecle Comité des Fêtes de la gare le vendredi, avantd’aborder le week-end avec le concert de clarinettes et de saxophones organisé par l’association L.O.U.I.S et le clôturer avec le repas de Tradition et Progrès.

En avant marche contre le cancer du sein !Après avoir tissé la plus grande écharpe de France (ou au moins de Leforest) en 2011, nos ambassadeurs de l’espoir, emmenés par l’association Amazones Cancer, ont organi-sé une marche le 7 octobre dernier. L’idée : se mobiliser toutes et tous d’une ma-nière originale et sensibiliser au devoir du dépistage.

Vous n’avez pas pu échapper en octobre, à Hal-loween et son lot de sorcières, de fantômes, de pirates, de squelettes et autres monstres en tous genres...Dans les écoles, pas de soupe à la grimace mais de la soupe à la citrouille, des gâteaux et plein de friandises au programme des réjouissances !

Traditionnel feu de joie également autour de la sor-cière chez les Enfants du Bois, avec un après- midi festif réunissant parents et enfants en

quête de bonbons, pour un défilé coloré dans les rues du quartier, suivi d’un goûter bien mérité !

Du côté de la médiathèque, par contre, on était plus «zen» en lisant sagement aux enfants des histoires de veaux, vaches, cochons....dans le cadre du festival «Tiot Loupiot» qui a encore fait le plein cette année ! Pas de citrouille ni de bonbon non plus pour nos par-ticipants, mais des fleurs, des diplômes et des bons d’achat offerts par notre jury du concours des mai-

Enfin, n’oublions pas les enfants et ados de nos accueils de loisirs, qui ont quand-même pu profiter des derniers rayons du soleil automnal et prati-quer de nombreuses activités sportives, artistiques et manuelles !

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sons et jardins fleuris, lors de la remise des prix le 25 octobre.

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L’Odyssée des CycladesDepuis peu, et avant de s’agrandir à nouveau, l’IEM Les Cy-clades comprend un nouveau service : le SESSAD (Ser-vice d’Education Spécialisée et de Soins A Domicile). Son objectif : le mieux-être et l’autonomisation des enfants et ados, âgés de 3 à 20 ans, confrontés à un handicap moteur et souvent à des troubles associés (concentration, mémoire, etc.) avec une spécificité : intervenir directement dans leurs lieux de vie.

Dans cette odyssée à l’égalité des chances, l’intégration est le mot clé ! Faire admettre le droit à la différence, en la reconnaissant, sans la stigmatiser ni la nier. Ne pas laisser le handicap être systéma-tiquement générateur de limites, mais ne pas confondre non plus vouloir à tout prix être comme les autres et accéder aux mêmes choses...Il est donc primordial de créer une cohérence autour de la prise en charge et de la prise en considération du handicap, tant au niveau de la cellule familiale, sociétale (école, accueils de loisirs, clubs de sport...) que médicale et para-médicale.

Cohésion, cohérence, communication, collaborationCentres médico-sociaux, Protection Maternelle Infantile, centres médico-pédagogiques...les profes-sionnels du SESSAD misent sur la création de liens et sur la communication pour mener leurs interven-tions. Il s’agit d’une prise en charge globale par une équipe pluri-disciplinaire, avec une vraie cohésion. Valérie Mordacq est l’adjointe de direction du SESSAD, et à ses côtés interviennent une neuro-psychologue (qui identifiera davantage les troubles associés au travers de bilans psychométriques), une éducatrice spécialisée (accompagnement de l’enfant et sa famille), un assistant social (aide aux démarches adminis-tratives). Un ergothérapeute, un psychomotricien, un orthophoniste en libéral et un kiné en libéral, viennent compléter cette équipe de choc qui se déplace au domicile des enfants et des jeunes.

Et si vous étiez concernés ?Lorsque l’on entre dans l’intimité d’une famille, il est nécessaire de tenir compte de ses attentes et de son organisation, tout en restant lucide et honnête vis a vis des possibilités et solutions à apporter. L’équipe du SESSAD a vocation d’écoute, d’information, de soutien, de conseil mais toujours dans le respect des déci-sions familiales.L’admission est soumise à la décision de la Commission des Droits et de l’Autonomie de la Personne Han-dicapée (CDAPH) de la Maison Départementale des Personnes Handicapées. Lors d’une première ren-contre, un livret d’accueil est remis à tout demandeur, puis un contrat de séjour définissant les prestations et leurs modalités d’application est co-signé. Au bout de 3 mois, un bilan est établi et un programme d’accompagnement personnalisé proposé.Celui-ci tient compte du rythme de l’enfant, de son entourage, et défini des priorités afin, avant tout, que l’enfant reste un enfant et pour les plus âgés, qu’ils puissent avoir accès à un projet professionnel adapté.

Certes des tabous ont été levés sur le handicap,il reste cependant de sérieux efforts à fournir afin d’intégrer les personnes concernées et leur entourage....

L’EPOPEE DES CYCLADES

Kangourous, galopins et copains d’abord ! 25 enfants et adolescents en situation de multi-handicaps sont répartis dans 3 groupes d’âges («les kan-gourous» pour les 3/8 ans, «les galopins» pour les 8/12 ans et les adolescents sont «les copains d’abord») eux-mêmes répartis sur 3 plateaux d’activités : thérapeutiques (pour tout ce qui concerne la rééducation physique en lien avec les médecins, kiné, ergothérapeuthe, psychomotricienne...), éducatifs et pédago-giques (dirigés par une enseignante de l’éducation nationale).Les enfants n’étant pas tous scolarisés, tout s’organise en fonction de leurs capacités. La clé de cette orga-nisation : la capacité d’adaptation de l’équipe encadrée par M.Legrand, puisque chaque cas est considéré individuellement. A partir de là, une base de communication est établi avec des règles et des façons de s’exprimer différentes pour chacun.

Des emplois du temps de ministre !Balnéothérapie, relaxation, cuisine, sécurité routière, actualité, expression corporelle, piscine, marionnettes, informatique...mais aussi kermesse, fête de fin d’année, participation aux accueils de loisirs municipaux et séjours divers (Parlement de Bruxelles, Normandie, Berck), autour du projet d’établissement se déploit un panel d’activités qui a pour but de préparer en interne à «affronter» un extérieur pas toujours adapté à leurs modes de vie et de communication.A noter que les passerelles entre les Cyclades et les structures communales sont nombreuses, avec au coeur des actions d’animation ou de réflexion (sur la circulation routière par exemple), des échanges et un partage très enrichissants.

Et les parents dans tout cela ?En plus du contrat de séjour de leur enfant qui est élaboré avec eux et pour lequel ils restent seuls déci-sionnaires, l’établissement reste ouvert et favorise leur implication à la fois en terme de participation aux activités, mais également à travers le Conseil de Vie Sociale comprenant des représentants des parents, des jeunes, des salariés et associatifs qui se réunissent une fois par trimestre.Le soutien psychologique reste essentiel pour ces familles parfois démunies face au(x) handicap(s) de leur enfant, à la gestion émotionnelle des situations, à laquelle s’ajoute une gestion pratique (appareillages,

déplacements), finan-cière et administrative très lourde.

Le but des Cyclades, qui souffre d’un manque de places, est de constituer une étape vers d’autres structures, que ce soit pour des raisons d’évolution de l’enfant ou pour prendre le re-lais compte-tenu de la limite d’âge dépassée.

L’institut d’éducation motrice (IEM) Les Cyclades est implanté sur la commune depuis 1990. Si la plupart des habitants connait l’existence de cette structure, peu d’entre-vous ont une idée précise de son fonctionne-ment. Entrons donc dans l’univers de ce semi-internat qui fait partie des pépites de notre territoire...

Salle Snoezelen (éveil sensoriel)

Journal bimestriel édité par la Commune de Leforest - Place Salengro Tél : 03.91.83.06.20 - Fax : 03.91.83.06.21 - mail : mairie@villedeleforest.fr - site internet : www.villedeleforest.fr

Directeur de Publication : Christian MUSIAL Rédaction, conception et réalisation : Christelle PARENT, Gérard RIQUET Crédit Photos : Ville de Leforest Impression : L’Artesienne, sur papier recyclé Tirage : 3 100 exemplaires

100 % INFOS

Naissances : BRIAUX Lüna - CHIA Adel - DE FREITAS Simao - DEGAND Timéo - DELIESSCHE Théo - GUYARD Capucine - LABRE M’BON Louisane LEDUC Ruben - MIELCAREK Manon - TAINIT Zaineb - WOJTERA Flavie - ZOUAOUI Shayma

Mariages : BOUANANE Salim & BAHA Tourya - CARLIER Cédric & KIELICHOWSKI Sonia - SPIECZINSKI David & DRUESNES Karine - MAADDEN Jaoud & BOUABDALLAOUI Samia

Décès : BEAUCHAMP Juste - CARON Sylvain - CHEBAIKI ep. HECHAM Fatma - DEHAIES Annie - DOHET Guy GAJOWCZYK vve GORAL Marianna - HUCHRAK ep. BALCAREK Bronislawa - LAUNAY ep. TONNOIR Béatrice LENGLART Charles - VERCLYTTE Nathalie

Dossiers des bourses communales

Ils concernent les élèves de lycée. Les dossiers sont à retirer en mairie et à retourner au ser-vice enseignement avant le 31/12 dernier délai.

Distribution des colis des Ainés

Elle se fera le 18 dé-cembre, le matin au cours d’un petit-déjeu-ner offert au foyer-lo-gement Léon Blum, et l’après-midi au domi-cile des personnes qui n’auront pu se déplacer.

ETAT CIVIL SEPTEMBRE/OCTOBRE

Collecte du CMJDans le cadre d’un partenariat avec les Blouses Roses de l’hôpi-tal de Dechy, le Conseil Munici-pal des Jeunes a organisé des col-lectes de peluches et de livres (pas de jouets) pour une distribution au service des enfants malades. Le dépôt est toujours possible au Centre Ressources Insertion, rue Léo Lagrange, aux horaires d’ouverture.

L.O.U.I.S. : un petit nom pour une grande cause.Vous vous demandez peut-être qui est l’association L.O.U.I.S. évoquée par deux fois dans ce numéro. Elle tient son nom d’un petit garçon handicapé et a pour Présidente sa maman, Isabelle Letombe.Créée en 2008, LOUIS veut dire aussi Loisirs et OutilsUtiles et Inventifs Spécialisés et a pour objectif à traversdes projets notamment musicaux, de collecterdes fonds permettant d’équiper des structures d’accueil

Après la semaine bleue… la zone bleue.Une zone bleue, pourquoi ?Après celle de la Gare, la décision de délimiter une zone bleue en centre-ville, est le fruit d’une réflexion menée avec l’UTIL et quelques riverains, partageant, tout comme la commission d’ac-cessibilité, la nécessité d’organiser le stationnement en centre-ville.Trop d’abus étaient constatés et subis par les personnes à mobilités réduites, les enfants ou en-

core les mamans avec leur poussette, obligés de se déporter sur la route du fait de comportements irrespectueux de la part de certains automobilistes (une minorité heureusement) qui se garaient sur les trottoirs. Des plots ont été installés à cet effet et la zone bleue en accordant de la fluidité dans le stationnement et en permettant donc de libérer plus rapidement des places disponibles, ira également dans ce sens. Avec ce turnover instauré et en empêchant les stationnements trop longs, elle favorisera en plus le commerce de proximité. Concrètement, celle-ci sera aménagée rue Gambetta, de l’angle avec la rue Pressencé jusqu’au niveau de la place Salengro. Une zone bleue, comment ça marche ?Une zone bleue n’est pas une zone payante, même le disque sera offert et disponible auprès des adhérents de l’UTIL. A l’intérieur de la zone, le stationnement sera limité de jour, à une heure, le disque apposé derrière le pare-brise faisant foi. La place Salengro continuera elle, d’offrir de nombreuses places sans cette obligation.

d’enfants handicapés. C’est Leforest Environnement qui avait en premiertissé des liens avec cette association, lui remettant plusieurs dons, avant que d’autresne se raccrochent à la locomotive et font aujourd’hui de cette association dont le siège se trouve à Raches, une « Leforestoise de cœur » toujours bienvenue.tel : 06.24.74.68.88 et site internet : www.asso-louis.fr