DCE REHABILITATION PAVILLON CENTRAL - …marches.groupe-sos.org/34/parcourir/DOSSIER DE...- Les études techniques complémentaires (plans et notes de calcul), - la définition des

Maître d’ouvrage

GROUPE SOS 102C, rue Amelot

75011 PARIS

Tél : 01 58 30 55 75

P H A S E DCE

R E H A B I L I T A T I O N P A V I L L O N C E N T R A L

E T P A V I L L O N S N ° 0 1 & 0 4

C E N T R E D E V A C A N C E S A D E P P A A V I G Y

DATE 19 janvier 2017

Modifié le

CCTP LOT 11 GENIE CLIMATIQUE & INSTALLATIONS SANITAIRES

Maîtrise d’oeuvre

BUSATO MAXIME ARCHITECTURE

26, Rue Haute Seille

57000 METZ

T. 03 87 75 42 42 F. 03 87 36 20 82

[email protected]

BET TCE

ARTELIA Bâtiment & Industrie

9, Rue Louis Guingot – 54500 Vandoeuvre les Nancy

T. 03 88 04 04 00

[email protected]

BUREAU DE CONTROLE

SOCOTEC

Parc des varimonts – 10 Av. de Thionville – CS 90661 – 57140 WOIPPY

T. 03 87 30 55 09

GROUPE SOS

REHABILITATION PAVILLON CENTRAL ET PAVILLONS N°01 & 04

CENTRE DE VACANCES ADEPPA A VIGY

P h a s e D C E – L O T n ° 1 1 - G é n i e C l i m a t i q u e & I n s t a l l a t i o n s S a n i t a i r e s CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (CCTP)

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SOMMAIRE

1. GENERALITES _____________________________________________________________ 3 1.1. OBJET DU DOSSIER ___________________________________________________________________________ 3 1.2. COMPOSITION DU DOSSIER DE CONSULTATION _____________________________________________ 3 1.3. SECURITE INCENDIE – CLASSEMENT DU BATIMENT _________________________________________ 3 1.4. LIMITES DES PRESTATIONS __________________________________________________________________ 4 1.5. TRAVAUX, FOURNITURES ET PRESTATIONS DIVERSES A LA CHARGE DU

SOUMISSIONNAIRE ____________________________________________________________________________ 4 1.6. DOCUMENTS A TRANSMETTRE PAR L’ENTREPRISE AVANT LE DEBUT DES TRAVAUX _____ 6 1.7. NORMES ET REGLEMENTATIONS APPLICABLES _____________________________________________ 7 1.8. ACOUSTIQUE _________________________________________________________________________________ 10 1.9. HYGIENE ET SECURITE ______________________________________________________________________ 10 1.10. NETTOYAGE __________________________________________________________________________________ 12 1.11. PERFORMANCES ET HYPOTHESES __________________________________________________________ 12 1.12. BASES DE CALCULS THERMIQUES __________________________________________________________ 13 2. SPECIFICATIONS TECHNIQUES GENERALES ___________________________ 16 2.1. MATERIELS ___________________________________________________________________________________ 16 3. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES PARTICULIERES _______________________ 44 GENIE CLIMATIQUE _______________________________________________________________________ 44 3.1. TRAVAUX PREPARATOIRES __________________________________________________________________ 44 3.2. CHAUFFERIE GAZ ____________________________________________________________________________ 45 3.3. DISTRIBUTION ET EMISSION DE CHALEUR __________________________________________________ 54 3.4. VENTILATION DOUBLE-FLUX_________________________________________________________________ 57 3.5. VENTILATION MECANIQUE CONTROLEE SIMPLE FLUX _____________________________________ 62 3.6. RESEAUX AERAULIQUES ET EQUIPEMENTS DE RESEAUX __________________________________ 65 PLOMBERIE SANITAIRE __________________________________________________________________ 69 3.7. RACCORDEMENT GENERAL EAU FROIDE ____________________________________________________ 69 3.8. DISTRIBUTION EAU FROIDE BRUTE _________________________________________________________ 69 3.9. TRAITEMENT D'EAU __________________________________________________________________________ 70 3.10. DISTRIBUTION D’EAU ADOUCIE ______________________________________________________________ 71 3.11. ALIMENTATION ET DISTRIBUTION EAU CHAUDE SANITAIRE _______________________________ 71 3.12. BOUCLAGE ECS _______________________________________________________________________________ 72 3.13. REPARTITION DES CIRCUITS ET COMPTAGE ________________________________________________ 73 3.14. VANNES D’ARRET ____________________________________________________________________________ 73 3.15. GESTION DES EAUX USEES ET EAUX VANNES ______________________________________________ 73 3.16. APPAREILS SANITAIRES _____________________________________________________________________ 75 3.17. ACCESSOIRES SANITAIRES __________________________________________________________________ 80 3.18. RACCORDEMENT DES APPAREILS ___________________________________________________________ 82 3.19. EXTINCTEURS ET PROTECTION INCENDIE __________________________________________________ 82 3.20. ELECTRICITE _________________________________________________________________________________ 84 3.21. TRAVAUX DIVERS ____________________________________________________________________________ 86 3.22. ESSAIS ________________________________________________________________________________________ 89 3.23. OPTION 1 – REAMENAGEMENT SALLE DE JEUNESSE – STOCKAGE ET VESTIAIRES _______ 95 GENIE CLIMATIQUE _________________________________________________________________________________ 95 PLOMBERIE SANITAIRE ____________________________________________________________________________ 98 3.24. OPTION 2 – REAMENAGEMENT SALLE NUMERIQUE ________________________________________ 106 3.25. OPTION 3 – REAMENAGEMENT MAISON DE L’ENFANCE ___________________________________ 108

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1. GENERALITES

1.1. OBJET DU DOSSIER

La présente notice a pour objet de décrire les prestations du lot n° 11 « Génie Climatique & Installations Sanitaires » dans le cadre du projet de réhabilitation du pavillon central et des pavillons n° 1 & 4 du centre de vacances ADEPPA à VIGY (57).

Les travaux incluent :

- Isolement des réseaux avant travaux,

- Vidange et neutralisation cuve à fioul,

- Alimentation gaz Pavillon 01 & 04,

- Rénovation complète chaufferie des pavillons 01 & 04,

- Production ECS pavillons 01 & 04,

- Travaux de fumisterie,

- Distribution et émission de chaleur,

- Ventilation double-flux pavillon central,

- Ventilation simple flux pavillons 01 & 04,

- Distribution eau froide,

- Traitement d’eau,

- Distribution d’eau chaude sanitaire,

- Réseaux eaux usées – eaux vannes,

- Appareils et accessoires sanitaires,

- Fourniture des extincteurs,

- Percements et rebouchages,

- Electricité et régulation.

1.2. COMPOSITION DU DOSSIER DE CONSULTATION

Se référer au Règlement de Consultation et au Cahier des Clauses Administratives Particulières.

1.3. SECURITE INCENDIE – CLASSEMENT DU BATIMENT

Les dispositions retenues sont celles du règlement de sécurité applicables :

- ERP de type R de 4ème catégorie avec des locaux de type N.

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1.4. LIMITES DES PRESTATIONS

Sauf indications contraires dûment précisées « hors fourniture » ou « hors mise en place », tout matériel mentionné dans le CCTP est sous-entendu fourni, posé, fixé et raccordé y compris toutes sujétions de mise en œuvre.

D’une manière générale, tous les travaux entraînés par une modification apportée par le titulaire du présent lot à la solution de base faisant l’objet de l’appel d’offres seront obligatoirement exécutés par les titulaires des lots spécialisés, sous la responsabilité et à la charge du titulaire du présent lot.

Le titulaire du présent lot prévoira à sa charge l'ensemble des travaux complémentaires, nécessaires pour une parfaite exécution des travaux.

1.5. TRAVAUX, FOURNITURES ET PRESTATIONS DIVERSES A LA

CHARGE DU SOUMISSIONNAIRE

1.5.1. Généralités

Le soumissionnaire doit des installations complètement terminées et ceci dans tous les détails exécutés selon les Règles de l'Art et selon les pièces du marchés. Le présent document a pour objet de renseigner les Entrepreneurs sur la nature et l'importance des travaux à réaliser; mais il est spécifié que les dispositions du présent document n'ont pas un caractère limitatif.

Avant la remise de son offre, il vérifiera, sous sa propre responsabilité, les opérations mentionnés au devis descriptif ainsi que dans tous les éléments du dossier de consultation (ex. plans, détails architectes, etc.) et les complétera le cas échéant par tous les moyens en son pouvoir : examen des lieux, renseignements pris auprès du Maître d'Œuvre, etc., afin de prévoir dans ses prix l'ensemble des travaux et installations nécessaire à un complet achèvement des travaux de son lot.

Aucun supplément de prix ni aucune plus-value ne pourra être accordés ultérieurement du fait que les renseignements pris par le soumissionnaire se seraient avérés inexacts ou incomplets.

Les prestations générales du soumissionnaire s’entendent avec fourniture, montage, raccordement, tests et essais complets de tous les éléments constituants les installations décrites dans le présent cahier des charges.

Ces prestations générales comprennent notamment :

- Les études techniques complémentaires (plans et notes de calcul),

- la définition des matériels,

- les commandes, réceptions, déchargements, stockages éventuels des matériels,

- la mise en œuvre des équipements (fourniture, pose et raccordement),

- les essais et toute mise au point jusqu’à obtention du résultat souhaité par l’utilisateur,

- la remise des dossiers des ouvrages exécutés comprenant tous les documents nécessaires à la compréhension, l’utilisation, la maintenance des systèmes,

- la mise en service et la formation des personnels,

- les interventions sur site dans la première année pour mise au point.

Les installations seront livrées en parfait état d’achèvement et en bon ordre de marche. A cet effet, l’entrepreneur devra inclure dans son prix l’intégralité des fournitures, de la main d’œuvre et des prestations diverses nécessaires à une réalisation de bonne qualité suivant les conditions fixées dans le présent CCTP et dans le respect des normes, règlements et règles de l’art.

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L'appareillage doit correspondre aux normes de qualité NF - U.S.E. et porter l'estampille de la qualité s'y reportant.

De plus, conformément à la Directive CEM en vigueur au 1er Janvier 1996, tout le matériel devra être conforme et estampillé CE.

Les prix unitaires comprendront la fourniture, le stockage, le transport à pied d'œuvre des matériels et matériaux, leur déchargement et leur pose à toute hauteur.

Il sera prévu en particulier :

- le stockage et la protection des matériaux approvisionnés et des installations mises en place contre toutes dégradations ou vols pendant la durée des travaux, c'est à dire jusqu'à la réception des travaux, ceci également pour les matériels déposés provisoirement et reposés en cours de chantier,

- l'amenée, l'établissement et l'enlèvement de tous appareils, engins nécessaires à la réalisation et aux essais des installations,

- tous les appareils de manutention ainsi que les échafaudages nécessaires à la réalisation des travaux, pose à toute hauteur, etc.

- tous les dispositifs nécessaires à la diminution du bruit et de la poussière lors du chantier (travaux dans bâtiment existant comme sur chantier extérieur),

- le nettoyage quotidien du chantier et des abords,

- le nettoyage de toutes les parties de l'installation,

- le nettoyage des locaux salis durant les travaux par le personnel de l'entreprise,

- l'enlèvement des gravois et déchets provenant de ses installations et leurs transports à la décharge publique inclus installations démontées,

- les servitudes dues à l'intervention dans les locaux existants et exploités,

- les conditions imposées par les services de sécurité et de sureté,

- la demande d’un permis feu pour les travaux à exécuter dans les parties de bâtiments existants,

- les extincteurs à portée de main pour les travaux à risque d’incendie (soudures, etc...).

- toutes dispositions nécessaires à garantir la sécurité des personnes et à respecter les règles de sécurité spécifiques à l'établissement, aux espaces publics, au personnel du chantier,

1.5.2. Origine des matériaux

Tout le matériel utilisé par l’Entrepreneur du présent lot devra être neuf et conforme techniquement et esthétiquement au descriptif technique.

L'ensemble du matériel installé devra être capable de fonctionner normalement toute sa durée de vie dans l'intégralité de ses fonctions, sans intervention complémentaire sur les logiciels aussi bien que sur le matériel.

L’Entrepreneur devra soumettre au Maître d'œuvre, pour acceptation, un échantillon des divers appareils et matériaux.

Le Maître de l’Ouvrage se réserve la possibilité de mettre les appareillages à l’essai pendant un certain temps.

En outre, avec leur proposition, les Entrepreneurs soumissionnaires remettront un état indiquant la provenance des différents matériels, ainsi que des documents techniques et photographiques se rapportant à ces matériels.

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1.6. DOCUMENTS A TRANSMETTRE PAR L’ENTREPRISE AVANT LE

DEBUT DES TRAVAUX

Les notes de calculs acceptées par le BET et le bureau de contrôle avant l'élaboration des plans de gabarits, de synthèse et d'exécution comprenant notamment : calcul des déperditions et bilan calorifique, bilan aéraulique par pièce, calcul et détermination de tous les équipements et terminaux (y compris pertes de charges), notes de calcul acoustique, notes de calcul électrique (section de câbles, courants maximaux, chutes de tension, etc.), bilan détaillé des puissances électriques installées et absorbées des divers matériels

La nomenclature du matériel qu'elle propose d'installer accompagnée des fiches techniques indiquant :

le repère des équipements, la marque, le type, les caractéristiques dimensionnelles et techniques du matériel, ses conditions

d'exploitation, ses performances et les options retenues, les notes de calcul et fiches de dimensionnement et sélection du matériel, les diagrammes psychrométriques de fonctionnement, spectres sonores de l'ensemble des équipements, P.V. d'essais, certificats, agréments ou labels éventuels

Les plans généraux de chantier

Les schémas de principe complets de l'installation comprenant :

schémas de principe généraux aérauliques, hydrauliques, schémas électriques et de régulation, schémas de principe spécifique par système aéraulique.

Sur ces schémas sont indiqués tous les accessoires, les calibres des appareils et les sections des canalisations.

L'entreprise doit obtenir l'accord du Maître d'Œuvre sur ces documents.

D'une manière générale, l'entreprise précise le nom du constructeur, le type, les dimensions et les types de fabrication de tous les matériels ou matériaux employés sur l'opération.

Il est fait exclusivement usage de matériel neuf, de première qualité, silencieux, standard et facilement remplaçable dans des délais rapides. Les marques et types de matériels sont standardisés c'est-à-dire unifiés dans un souci de faciliter la maintenance.

L'entreprise doit demander tous les renseignements utiles à la réalisation de l'installation selon les règlements locaux.

L'entreprise doit les installations de son lot nécessaires à la mise au point d'un local témoin.

Sur la base des éléments cités ci-avant, le titulaire du présent lot, doit élaborer l’ensemble des éléments nécessaire à la constitution du dossier de sécurité suivant l’article GE 2 paragraphe 2 du règlement de sécurité contre l’incendie relatif aux établissements recevant du public.

Ce dossier comporte :

L’ensemble des plans techniques, L’ensemble des schémas, L’ensemble des procès-verbaux.

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1.7. NORMES ET REGLEMENTATIONS APPLICABLES

L'entrepreneur du présent lot devra respecter les normes, règlements et D.T.U. en vigueur à la date d'établissement du marché et notamment sans que cette liste soit limitative :

- Code de l’Urbanisme.

- Code de la Construction et de l’Habitation.

- Code du Travail.

- Réglementation Sécurité Incendie applicable à la date du marché.

- Réglementation concernant l’accessibilité des handicapés applicables à la date du marché.

- Règlement Sanitaire Départemental.

- Règles de calculs, Normes françaises et Documents Techniques Unifiés dont la liste contractuelle est la dernière de celles publiées par le CSTB 3 mois avant la date de signature des marchés.

1.7.1. Les règlements

- Le règlement de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les Etablissements Recevant

du Public (Arrêté du 25 juin 1980 et compléments)

- Le règlement sanitaire départemental de Moselle.

- A l'arrêté du 23 Juin 1978 - Installations fixes destinées au chauffage et à l'eau chaude sanitaire et modifié par l’arrêté du 30 novembre 2005

- A l'arrêté du 20 juin 1975, 23 juin 1978, 27 juin 1990, 10 décembre 1991 - Rejets conduits de fumées pollution environnement

- Aux arrêtés du 26 octobre 2010 et au 28 décembre 2012 relatifs à la Réglementation thermique RT2012 et aux exigences associés.

- Circulaire du 9 août 1978 relative à la révision du règlement sanitaire départemental et règlement sanitaire applicable pour le département, ainsi que les révisions successives de 82,86,90.

- Arrêté du 15 mars 1962 annexe B : désinfection des canalisations d'eau potable.

- Article 4 du décret du 14 juin 1969 et arrêté interministériel d'application du 14 juin 1969, concernant l'isolation phonique des équipements.

- Circulaire DGS/PGE/1.D n° 593 du 10 avril 1987.Protection sanitaire des réseaux de distribution d’eau de consommation humaine.

- Circulaire DGS/VS2 – 97/311 du 24 avril 1997 relative aux moyens de lutte et de prévention des légionelles.

- Circulaire DGS – 98/771 du 31 décembre 1998 relative à la mise en œuvre de bonnes pratiques d’entretien des réseaux d’eau dans les établissements de santé et aux moyens de prévention du risque lié aux légionelles dans les installations à risque et dans celles des bâtiments recevant du public.

- Circulaire DGS/VS 4 n° 99-217 du 12avril 1999 relative aux matériaux utilisés dans les installations fixes de distribution d’eaux destinées à la consommation humaine.

- Arrêté du 29 mai 1997 relatif aux matériaux et objets utilisés dans les installations fixes de production, de traitement et de distribution d’eau destinée à la consommation humaine.

- Recommandations sur la gestion du risque lié aux légionelles émanant du Conseil Supérieur d’Hygiène Publique De France (Novembre 2001).

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- Circulaire DGS/SD7A/SD5C-DHOS/E4 n° 2002/243 du 22/04/2002 relative à la prévention du risque lié aux légionelles dans les établissements de santé.

1.7.2. Les normes

Les normes sont établies par l'Association Française de Normalisation (AFNOR).

Après enquête publique auprès des constructeurs et des utilisateurs, les normes sont homologuées, signées par un ministre et publiées au Journal Officiel.

- Norme UFC 12.100 Protection des travailleurs

- Norme NFX 08.100 Identification des fluides par couleurs conventionnelles

- Norme NFC 15.100 Installations électriques

- Norme NFX 10.236 Distribution d’air

- NF EN 3-6/A1 Décembre 1999 : Extincteurs d’incendie portatifs

- FD S61-223, FD CR 13934 décembre 2000 : Document d’interprétation de l’EN 3 Extincteurs d’incendie portatifs

- NF S61-919 Août 2001 : Maintenance des extincteurs d’incendie portatifs

- NF S62-191, NF EN 12416-1 octobre 2001 : installations fixes de lutte contre l’incendie ; systèmes d’extinction à poudre

- NF S 60-303 relative aux plans et consignes de protection contre l’incendie

- Arrêté du 4 Novembre 1993 « signalisation de sécurité et de santé au travail »

- XP CEN/TS 14816 (décembre 2008) : Installations fixes de lutte contre l'incendie - Systèmes d'extinction à pulvérisation d'eau - Conception, installation et maintenance (Indice de classement : S61-234)

- NF EN 12416-2+A1 (septembre 2007) : Installations fixes de lutte contre l'incendie - Systèmes d'extinction à poudre - Partie 2 : conception, construction et maintenance (Indice de classement : S62-192)

- NF S61-919 (juillet 2004) : Maintenance des extincteurs d'incendie portatifs (Indice de classement : S61-919)

- Directive européenne CEE 92-58 du 24 juin 1992 : « Prescription minimale pour la signalisation de sécurité et/ou de santé au travail »

- NF X 08003 de décembre 1994 : « couleurs et signaux de sécurité »

1.7.3. LES D.T.U.

Les D.T.U. sont établis par le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (C.S.T.B.)

- DTU 24.1 Fumisterie

- DTU 65.3 Installations de sous-stations d'échange à eau chaude sous pression

- DTU 65.4 Chaufferie au gaz et aux hydrocarbures liquéfiés

- DTU 65.9 Installation de transport de chaleur ou de froid et d'eau chaude sanitaire entre

production de chaleur ou de froid et bâtiments

- DTU 65.10 : Canalisations d'eau chaude ou froide sous pression

- DTU 65.11 : Dispositifs de sécurité des installations de chauffage central concernant le

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bâtiment

- DTU 65.20 : Isolation des circuits, appareils et accessoires

- DTU 61.1 : Installations de gaz

- DTU 68.2 : Exécution des installations de ventilation mécanique

- DTU 68.1 : Installation de ventilation mécanique contrôlée

- DTU 60.1 Travaux de bâtiment - Plomberie sanitaire pour bâtiments

- DTU 60.11 Règles de calcul des installations de plomberie sanitaire et d'évacuation des

eaux pluviales

- DTU 60.2 Canalisations en fonte, évacuations d'eaux usées, d'eaux pluviales et d'eaux

vannes

- DTU 60.32 Canalisations en polychlorure de vinyle non plastifié : évacuation des eaux

pluviales

- DTU 60.33 Canalisations en polychlorure de vinyle non plastifié : évacuation d'eaux usées

et d'eaux vannes

- DTU 60.5 Canalisations en cuivre. Distribution d'eau froide et chaude sanitaire,

évacuation d'eaux usées, d'eaux pluviales, installations de génie climatique

- DTU 65.10 Canalisations d'eau chaude ou froide sous pression et canalisations

d'évacuation des eaux usées et des eaux pluviales à l'intérieur des bâtiments

1.7.4. Autres – Prescriptions techniques générales

En outre les installations seront conformes :

- A l’Instruction Technique 246

- Aux documents du REEF

- Aux règles de l'UTE

- Aux règles de l'art

- Aux règles interprofessionnelles et syndicales des entreprises

- Aux Avis Techniques et prescriptions relatives aux matériels et matériaux mis en œuvre

- Aux prescriptions techniques générales

1.7.5. Autres règles

L'attention de l'entrepreneur est attirée sur le fait qu'aucune modification au marché ne pourra se faire sous prétexte d'ignorance de certaines conditions ou instructions des services ou organismes ci-après :

- Maître de l'Ouvrage

- Service d’urbanisme

- Service Départemental d’Incendie et de Secours

- Hygiène

- Service de l’eau et de l’assainissement

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L'entrepreneur devra, si nécessaire, suivre toutes les directives et obtenir l'accord des services ou organismes cités ci-devant.

Par ailleurs, le titulaire du présent lot fournira "l'attestation de conformité" des matériels aux Règles d'Hygiène et Sécurité, et doit apposer une plaque de conformité sur les appareils à un endroit bien visible. Selon la procédure d'auto-certification, les équivalents et installations doivent être conformes aux Normes françaises et européennes homologuées ou enregistrées.

1.8. ACOUSTIQUE


D'un point de vu général, l'ensemble des installations réalisées au titre du présent lot devront respecter les exigences définies dans les différentes réglementations applicables au projet.

Ces prescriptions concernent aussi bien les équipements techniques (centrale de traitement d'air, bouches et diffuseurs, etc...) que les réseaux.

Une attention toute particulière devra être accordée au niveau des traversées de murs, cloisons et planchers entre différents locaux ainsi qu'à l'isolation phonique des terminaux et des réseaux.

Des mesures acoustiques seront réalisées en fin de chantier afin de s'assurer du respect de l'ensemble des prescriptions. Dans le cas où des non conformités apparaissaient, il incombera à l'entreprise défaillante la remise en état ou les mesures compensatoires nécessaires pour atteindre le résultat escompté, à ses frais.

1.8.2. Protection du voisinage

Les installations sont conçues de façon à n'engendrer aucun bruit gênant pour le voisinage et en particulier les locaux d'habitation, conformément à la réglementation relative aux bruits de voisinage – Notamment le décret 2006-1099 du 31 août 2006. L’émergence ne devra pas dépasser les valeurs suivantes :

3 dBA en période de nuit 5 dBA en période de jour

Les niveaux de bruits résiduels pris en référence aux abords du bâtiment sont les suivants :

30 dBA en période de nuit 36 dBA en période de jour

1.8.3. Niveaux sonores à l’intérieur des locaux

La valeur du niveau de pression acoustique normalisé LnAT du bruit engendré dans les différents locaux par les équipements techniques du présent lot devra être limité aux valeurs suivantes :

Local Niveau de pression LnAT

Hall d’entrée ≤ 40 dBA

Espace d’activité / Salle de pause ≤ 35 dBA

Vestiaires / Sanitaires ≤ 35 dBA

Salle à manger ≤ 30 dBA

Locaux de sommeil ≤ 30 dBA

1.9. HYGIENE ET SECURITE

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RAPPEL REGLEMENTATION

En application du décret n°94-1159 du 26 décembre 1994, la présente opération doit intégrer les dispositions particulières en matière de sécurité et de protection de la santé en complément des dispositions du code du travail.

A ce titre, un plan général de coordination de la sécurité et de la protection de la santé (PGCSPS) est fourni à chaque entreprise au moment de la consultation. Ce document fera partie du marché.

Toutes les incidences en matériels, matériaux, procédures de mise en œuvre sont à inclure dans le prix des ouvrages.

Les entreprises retenues devront analyser leur prestation et indiquer les mesures de protection qu’elles mettront en œuvre : un plan particulier de sécurité et de protection de la santé (PPSPS) devra être fourni avant le début des travaux.

APPROVISIONNEMENT ET REPARTITION L’entreprise développera dans son PPSPS les moyens utilisés pour approvisionner le chantier en matériaux et pour répartir les matériaux dans le bâtiment (nécessité de lieu de stockage, etc…)

1.9.1. Protections – Equipements collectifs

Les équipements de protection collectifs seront privilégiés. Voir PGCSPS.

1.9.2. Protections individuelles

Le port du casque, des chaussures et des lunettes de protection, des gants et des vêtements adaptés aux travaux à réaliser est obligatoire selon les tâches à réaliser ; ces protections doivent être fournies par les entreprises à leur personnel.

Des protections complémentaires pourront être envisagées par les entreprises selon les travaux à exécuter et seront précisées dans le PPSPS.

1.9.3. Manutention en hauteur et dans les niveaux

Le montage des matériaux sera à la charge de l’entreprise titulaire du marché du présent lot.

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1.10. NETTOYAGE

Les nettoyages en cours de travaux seront exécutés quotidiennement par les entreprises de chaque lot. L’attention des entreprises est particulièrement attirée sur les obligations concernant le nettoyage. Chacune de celle-ci est tenue de nettoyer, stocker et évacuer les gravats et déchets provenant de leurs travaux.

1.11. PERFORMANCES ET HYPOTHESES

1.11.1. Températures extérieures

Le projet est situé à VIGY (57 640) en zone climatique H1b au sens de la réglementation thermique. Les installations sont dimensionnées dans les conditions extérieures de base suivantes :

Température de base hiver : ....... - 15°C

Hygrométrie de base hiver : ..... 90 % HR

Altitude : ....................................... 250 m

Température de base été : ............. 32°C

Hygrométrie de base hiver : ..... 40 % HR

1.11.2. Conditions de température

Les installations seront dimensionnées pour assurer les conditions ambiantes suivantes :

Local Température Hiver

Température Eté Ventilation Niveau

sonore Remarques

Conditions extérieures de base -15°C 32°C ; 40 %

HR

Salle de restauration 20°C Non contrôlée

Ventilation DF1

22 m³/h par occ.2

NR 35

Salle de convivialité 19°C Non contrôlée VMC SF3 20 m³/h par lit NR 35

Chambres 19°C Non contrôlée VMC SF 20 m³/h par lit NR 30

Kitchenette 19°C Non contrôlée VMC SF NR 40

Sanitaires communs 19°C Non contrôlée VMC SF NR 40 Débits déterminés selon le RSD 574

1 Ventilation DF : Ventilation Double Flux

2 Occ : Occupant

3 VMC SF : Ventilation Mécanique Simple Flux

4 RSD 57 : Règlement sanitaire départemental de Moselle

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Local Température Hiver

Température Eté Ventilation Niveau

sonore Remarques

Sanitaires individuels 19°C Non contrôlée VMC SF NR 40 Débits déterminés

selon le RSD 57 Salle de bains commune 22°C Non contrôlée Extraction NR 40 Débits déterminés

selon le RSD 57

Circulations 18°C Non contrôlée

Stockages 14°C Non contrôlée

Nota :

Lors des périodes d’inoccupation la température de consigne sera réduite à 15°C (programmation horaire)

1.12. BASES DE CALCULS THERMIQUES

1.12.1. Performance énergétique – Enveloppe du bâtiment

La réhabilitation des pavillons sera soumise aux exigences de la réglementation thermique RT Existant élément par élément, selon l’arrêté du 3 mai 2007 relatif aux caractéristiques thermiques et à la performance énergétique des bâtiments existants.

Les parois devront respecter à minima les performances thermiques suivantes : Parois opaques :

Parois Résistance isolant

Mur extérieur ITI5 Rmini = 3,4 m².K/W

Mur extérieur ITE6 Rmini = 3,4 m².K/W

Plafond sous-comble / Rampants Rmini = 7 m².K/W

Plancher sur extérieur Rmini = 2,8 m².K/W

Plancher bas sur terre-plein S.O. : Paroi non rénové.

5 ITI : Isolation intérieure

6 ITE : Isolation extérieure

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Vitrages :

Menuiseries Fenêtres Baies vitrées / Porte-fenêtres

Type Double vitrage basse émissivité à remplissage argon

Double vitrage basse émissivité à remplissage argon

Ug [W/m².K] 1,1 1,1 FS (Facteur solaire) du vitrage

seul 0,67 0,67 Transmission lumineuse du

vitrage seul 75% 75% RCL (rapport entre la surface vitrée et la surface totale de la

menuiserie) 70% 85%

Uw [W/m².K] 1,6 1,8 Menuiserie A définir A définir

Un soin particulier sera apporté aux points suivants :

Traitement des points singuliers par l’établissement de plans détaillés afin de limiter les ponts thermiques et les infiltrations d’air.

1.12.2. Bilan thermique

Besoin de chauffage Pavillon 1 : Déperditions .............................................. : 34 kW Surpuissance 20 % .................... : 41 kW (relance) Production ECS ........ : 70 kW (foisonnement 0,5) Total besoin Pavillon 1 ............................. : 80 kW

Besoin de chauffage Pavillon 4 : Déperditions .............................................. : 34 kW Surpuissance 20 % .................... : 41 kW (relance) Production ECS ........ : 70 kW (foisonnement 0,5) Total besoin Pavillon 1 ............................. : 80 kW

Besoin de chauffage Salle de restauration : Déperditions .............................................. : 42 kW Surpuissance 20 % .................... : 50 kW (relance) Production ECS ................................ : Sans objet Total besoin restaurant ............................. : 42 kW

Nota : La puissance totale tient compte du foisonnement des puissances (production ECS de façon intermittente).

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1.12.3. Renouvellement d’air

Ils seront calculés conformément à la réglementation en vigueur :

Salle de restauration : 22 m³/h par personne

Locaux d’activité : 20 m³/h par personne

Locaux de sommeil : 20 m³/h par personne

Sanitaires / vestiaires : Déterminés selon le Règlement Sanitaire Départemental.

Nota : Dans le cas où les débits d'air mentionnés sur les plans sont supérieurs à ceux imposés par la réglementation, l'entreprise dimensionnera les installations avec les débits indiqués sur les plans.

Le calcul des infiltrations d'air extérieur est établi sur les bases suivantes :

Classe d'étanchéité à l'air des baies.

Perméabilité dans la classe suivant DTU Menuiserie.

Vitesse moyenne du vent à la station météorologique la plus proche.

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2. SPECIFICATIONS TECHNIQUES GENERALES

2.1. MATERIELS

2.1.1. Tuyauterie

2.1.1.1. TUBE ACIER NOIR

DN < 50 Tarif 1 Norme NFA 49.145

DN > 50 Tarif 10 Norme NFA 49.112

Assemblage par soudure autogène ou électrique.

Les raccordements de tubes de diamètres différents se feront à l'aide de réductions concentriques. Les emboîtements sont interdits.

Espacement maximum entre les supports :

- DN < 26 .................. 1,5 m

- 26 DN 50 .......... 2,5 m

- DN > 50 ..................... 4 m

Les colliers de supportage seront en deux parties démontables.

Ils seront équipés d'un dispositif d'isolation phonique. Les fixations devront permettre la libre dilatation des canalisations.

Les tuyauteries seront suffisamment écartées pour permettre une isolation thermique indépendante. L'écartement après isolation sera de 25mm au minimum.

Les canalisations gaz seront réalisées en tube acier noir - tarif 3 - conforme à la norme NFA 49 115 et assemblées par un soudeur agréé.

2.1.1.2. ALIMENTATIONS EN HYDRO CABLE

Tube PER.

Réseaux de distribution chauffage encastrés en dalle, distribution bi-tube à partir des nourrices en gaines techniques.

Tubes circulant sous fourreaux ICD ou ICT.

Aucun raccord en dalle.

Raccord à sertir aux extrémités.

Utilisation des accessoires appropriés pour une finition soignée (sorties de dalle, sorties de cloison, rosaces d'habillage au sol, manchettes d'habillage des canalisations apparentes entre le sol et le radiateur).

2.1.2. Fourreaux

Les traversées de planchers, murs, etc… seront exécutées sous fourreaux. Ceux-ci devront dépasser de part et d'autre de la paroi ou du plancher de 20mm. Ils permettront la libre dilatation des canalisations.

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2.1.3. Purges

Tous les points hauts de l'installation devront pouvoir être purgés.

Il sera fait usage de purgeurs automatiques avec clapet d'isolement.

Toutefois, des purges manuelles avec dispositif d'écoulement dans une tuyauterie d'évacuation seront demandées dans les cas suivants :

purge automatique inaccessible

purge principale de tout ou partie de l'installation ;

dans ce cas, les deux types de purge (manuelle et automatique) seront mis en place.

2.1.4. Vidanges

L'installation devra pouvoir être vidangée dans sa totalité.

Les vannes de vidange seront équipées de bouchon à chaînette à chaque point de vidange et devront pouvoir être raccordées facilement à une canalisation d'évacuation.

2.1.5. Peinture

Toutes les parties métalliques de l'installation, non protégées en usine, seront recouvertes de DEUX couches de peinture antirouille après brossage et dégraissage. Ces deux couches seront de COULEURS DIFFERENTES (1ère rouge, 2ème grise).

2.1.6. Robinetterie et accessoires

DN 50 : Raccordements filetés. Tous les organes devront pouvoir être démontés (raccord union).

DN > 50 : Raccordements par brides soudées.

2.1.6.1. VANNE D'ARRET

DN 50 : Robinet à boisseau sphérique 1/4 de tour, passage intégral. Corps laiton

DN > 50 : Vanne papillon à oreilles de démontage

Installation :

Au départ et à l'arrivée de toutes les tuyauteries principales verticales courant sur plus de trois étages.

Au départ et à l'arrivée de tous les piquages horizontaux sur tuyauteries verticales.

En amont et en aval de tous les aérothermes, batteries, filtres, manomètres, pompes, etc…

En amont et en aval de toutes les vannes de régulation à 2 voies sauf là où il n'y aura pas de risque d'écoulement entre un appareil et la vanne, l'appareil étant lui-même protégé par une vanne de régulation sur l'autre tuyauterie.

Sur les 2 tuyauteries arrivée départ de toutes les vannes de régulation à 3 voies (l'une de ces vannes sera doublée d'un robinet pour l'équilibrage).

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En règle générale, sur toutes les tuyauteries raccordées à un appareil susceptible d'être démonté pour réparation.

2.1.6.2. ROBINET D'EQUILIBRAGE STATIQUE

DN 20 : Module d’équilibrage à réglage micrométrique avec diagramme de réglage et prise de pression différentielle. Ce module permettra l’isolement avec retour à la position de réglage en réouverture.

DN > 20 : Robinet "pied de colonne" avec indicateur de position et prise de pression différentielle.

Installation :

Equilibrage des réseaux à débit constant.

2.1.6.3. VANNES D’EQUILIBRAGE AUTOMATIQUE (LIMITEUR DE PRESSION)

Vanne d'équilibrage automatique par limitation de pression différentielle.

Système permettant un maintien de pression différentielle entre le départ et le retour du réseau équilibré.

Organe de régulation de pression sur le retour

Organe d’isolement et de raccordement du capillaire sur l’aller. Il sera muni de prises de pression pour mesure du débit.

Capillaire entre les deux.

Installation :

Equilibrage des réseaux à débit variables.

2.1.6.4. VANNE LIMITEUR AUTOMATIQUE DE DEBIT

Système d'équilibrage automatique assurant les fonctions suivantes :

Réglage du débit maxi par bague graduée.

Servomoteur permettant la régulation du débit comme une vanne deux voies

Prise de pression pour vérification du bon fonctionnement de la vanne.

Capillaire entre les deux.

Installation :

Equilibrage des réseaux à débit variables.

2.1.6.5. FILTRE A TAMIS

Tamis inox.

Couvercle de démontage avec robinet de vidange.

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Installation en amont de chaque pompe, vanne de régulation, sur remplissage de l'installation et en amont d’un compteur d’énergie :

DN 50 : corps bronze

DN > 50 : corps fonte

2.1.6.6. THERMOMETRE

A colonne liquide ou à cadran choisi dans la gamme industrie.

La plage de mesure sera adaptée à l'amplitude des températures mesurées.

Installation sur départ et retour de chaque circuit ainsi qu'en amont et en aval de chaque appareil entraînant une variation de la température.

2.1.6.7. CLAPETS

Ils seront utilisés au refoulement des pompes dans le cas de pompes en parallèle, ainsi que sur les circuits, au titre de retenue.

DN 50 : Corps laiton Clapet à battant laiton

DN > 50 : Type extra plat

Montage entre brides

Clapet à battant acier

Corps acier

Joint encastré EPDM

Toutes les précautions seront prises quant au positionnement de ces matériels, afin d'éviter tout dysfonctionnement.

2.1.6.8. SOUPAPE DE SURETE

Elles seront installées : sur les réseaux expansion et producteurs calorifiques (chaudières – pompe à chaleur).

Les conduites d'échappement seront calculées de telle manière qu'il n'y ait pas de contre-pression qui puisse influencer le fonctionnement de la soupape.

Leur montage est tel qu'il permettra l'évacuation de l'eau, la protection contre le gel et le nettoyage des impuretés. Les échappements seront recueillis dans un entonnoir (écoulement visible) et canalisés vers la tuyauterie d'évacuation la plus proche.

L'implantation du débouché à l'atmosphère sera réalisée de telle sorte qu'il n'y ait aucun danger.

Le nombre minimal de soupapes par appareil sera au nombre de 2.

Le fournisseur devra donner la note de calcul de la section de passage de la soupape, en fonction du débit et de la pression du tarage. Par ailleurs, il fixera la surpression pour le débit maximum ainsi que la pression de fermeture.

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2.1.6.9. DISCONNECTEUR HYDRAULIQUE

Cela concerne : le remplissage des circuits

Les installations concernées ne doivent pas permettre un quelconque retour vers le réseau d'eau potable, d'eau des circuits ou des produits introduits dans ces circuits.

A cet effet, on installera un dispositif de disconnexion à zone de pression réduite contrôlable agréé par le C.S.T.B.

Les disconnecteurs assureront la disconnexion au moyen de trois sécurités indépendantes réglementaires, c'est à dire deux clapets de non-retour et une soupape d'évacuation à l'air libre.

Le disconnecteur sera protégé par un filtre à tamis.

L'évacuation de la soupape sera canalisée.

Le présent lot devra fournir à la DASS la déclaration d'installation de chaque disconnecteur.

2.1.6.10. MANOMETRE

Equipé d'un robinet d'isolement et de purge.

La plage de mesure sera adaptée à l'amplitude des pressions mesurées.

Installation en amont et aval des pompes, échangeurs, filtres.

Les systèmes de mesure différentielle sont acceptés.

2.1.6.11. MANCHON ANTIVIBRATILE

Tous les appareils susceptibles d'émettre des vibrations seront équipés de manchons antivibratiles.

Corps en caoutchouc armé.

2.1.7. Comptage énergétique

Module de mesure de débit par ultra-son monté sur la tuyauterie.

Sondes de température aller et retour à plongeur avec doigt de gant.

Calculateur électronique alimenté en 230V, comprenant une batterie de sauvegarde.

Système permettant un télé report des consommations du comptage sur GTC (protocole M BUS).

Installations selon indication du fabricant (longueurs droites amont/aval ou mise en place d'un redresseur de flux).

2.1.8. Expansion

2.1.8.1. VASE D'EXPANSION SOUS PRESSION D'AZOTE

Ils seront réalisés en tôle d'acier soudé avec protection intérieure phosphaté. Une membrane sera sertie à l'intérieur.

Le vase sera muni de :

une valve de remplissage et de contrôle de pression

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une canalisation d'expansion DN 26 avec vanne d'isolement et robinet de vidange. La poignée de la vanne sera démontable.

2.1.9. Séparateur de boues à effet cyclonique

Il comprendra :

Chambre de séparation orientée vers le bas

Noyau de faisceau à forte résistance

Raccordement par brides

Vanne de vidange canalisée jusqu’au siphon ou une attente EU la plus proche

Fond amovible

By-pass

Vitesse de circulation 0.5m/s

2.1.10. Désemboueur

Système de traitement des boues d'oxyde de fer magnétisable comprenant :

corps cylindrique en acier

arrivée d'eau étudiée pour avoir un effet cyclonique

barreaux magnétiques permanents pour magnétisation des boues les plus fines

décantation pour les particules non magnétisables et > 50 µm

pompe simple de circulation permettant de prélever en dérivation 20% du débit global de l'installation

vanne de réglage du débit, vannes d'isolement

chasse en partie basse raccordée au siphon de sol ou à l'évacuation la plus proche

purgeur automatique en partie haute

2.1.11. Calorifuge tuyauterie

Les tuyauteries seront calorifugées individuellement sur l’ensemble de leur parcours. Les niveaux d’isolation ne pourront être en aucun cas inférieurs à la classe 2 pour les réseaux chauds.

Les isolants flexibles seront réalisés en mousse élastomère produite à partir de caoutchouc synthétique. Ils possèderont une bonne résistance à la diffusion de la vapeur d’eau et une résistance thermique λ0°= de 0,033 à 0.036 W/(m.°k).

Les isolants (chaud et froid – coquilles et manchons seront de classe C S3 d0 au minimum c’est-à-dire compatible avec les zone accessibles au public dans les ERP.

Les coquille sur les réseaux chauds seront protégées par un revêtement toile alu pour les réseaux non recouverts de revêtement enduit bitumineux.

L’assemblage des coquilles sur les réseaux froids sera réalisé par ligature plastique ou bande adhésive.

Les réseaux circulant en extérieur, en combles, en parking et en vide sanitaire comporteront en plus une protection tôle ISOXAL du calorifuge, y compris manchettes d’arrêt. Les tôles de protection sont assemblées

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par rivets pop (vis auto foreuses proscrites) en prenant garde de ne pas détériorer l’isolant ni le pare vapeur. Les joints entre rôles seront parfaitement colmatés et les joints longitudinaux positionnés sur la génératrice inférieure du tube.

Les isolants devront avoir un potentiel de destruction de l’ozone (ODP) nul (sans CFC et sans HCFC).

Les calorifuges seront exécutés de la façon suivante :

2.1.11.1. EAU CHAUDE

Les isolants flexibles pourront être de type « tubes fendus » avec bande à recouvrement PVC adhésive. Chaque point de raccords entre tubes sera traité par ruban isolant adhésif de 3 mm d’épaisseur.

DN ext. 27 mm épaisseur 19 mm isolant flexible.

27 < DN ext. ≤ 42 mm épaisseur 25 mm isolant flexible

42 < DN ext. ≤ 139 mm épaisseur 40 mm laine de roche

DN ext. >139mm épaisseur 50 mm laine de roche

Nota : pour les réseaux circulant en extérieur ou en vide sanitaire l’épaisseur du calorifuge sera de 50 mm minimum.

2.1.12. Cordons chauffants anti-gel

Pour les réseaux extérieurs comportant un risque de gel, il est prévu :

Cordons chauffants auto-régulants à placer sur la tuyauterie.

Raccordements électriques avec protections différentielles 30 mA.

Thermostat de coupure d'alimentation pour température extérieure > 5°C

Repérage sur calorifuge tuyauterie.

2.1.13. Pompe et circulateur

Les pompes auront des performances énergétiques EEI≤0,23 au sens de la directive européenne éco-conception ErP.

2.1.13.1. CIRCULATEUR SIMPLE (DEBIT INFERIEUR A 50 M3/H)

Conception monobloc à rotor noyé

Moteur monophasé avec variateur de vitesse incorporé.

Moteur synchrone à technologie ECM, haut rendement indice d’efficience énergétique IE2

Montage direct sur tuyauterie

Variateur de vitesse incorporé pour régulation ∆P suivant prescriptions techniques particulières.

Vitesse de rotation maximum : 2900 Tr/mn

Possibilité d’interface pour communication avec GTC

Nota : ∆P variable possible seulement pour les réseaux radiateurs. ∆P constant Circulateur double (débit inférieur à 40 m3/h)

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2.1.13.2. CIRCULATEUR DOUBLE (DEBIT INFERIEUR A 50 M3/H)

Conception monobloc à rotor noyé.

Moteur monophasé avec variateur de vitesse incorporé.

Moteur synchrone à technologie ECM, haut rendement indice d’efficience énergétique IE2

Variateur de vitesse incorporé pour régulation ∆P suivant prescriptions techniques particulières.

Deux pompes centrifuges montées dans un corps unique avec l’une en secours de l’autre

Vitesse de rotation maximum : 2900 Tr/mn

Plaque d'obturation permettant le fonctionnement après enlèvement d'une des deux pompes.

Possibilité d’interface pour communication avec GTC

Nota : ∆P variable possible seulement pour les réseaux radiateurs. ∆P constant pour les

réseaux, planchers chauffants.

2.1.14. Echangeur à plaques chauffage

Echangeur thermique à plaques à hautes performances.

Plaques embouties en une seule opération

Plaques facilement démontables pour entretien.

Matériaux des plaques inox 316.

Matériaux des joints NBRB moulé en une seule pièce.

Isolation épaisseur 65 mm laine de roche recouverte d’une tôle d’aluminium 1mm.

Pression de service primaire 6 bars, fonctionnement à température +85°C.

Pression de service secondaire 5 bars, fonctionnement à température +80°C.

Brides primaires PN10, brides secondaires PN10.

2.1.15. Radiateurs

Construction acier ou fonte selon modèle.

bords arrondis

pas de joues latérales

pas d'ailette intérieure

Pression d'essai 9 bars

Entrée et sortie croisées

Bouchon purgeur

Consoles supports et piétements

2.1.16. Robinet thermostatique

Double réglage

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Elément sensible à gaz ou à liquide (cire proscrite)

Bague inviolable

Série collectivité.

Corps en équerre inversé en circulations et lieux de passage.

Robinet à bulbe déportée pour les radiateurs verticaux dont les têtes sont placées à moins de 30 cm du faux-plafond

2.1.17. Centrale de traitement d'air conception modulaire

Les centrales de traitement d'air seront équipées de manchettes souples à l'aspiration et au refoulement. Les manchettes devront avoir un niveau d’étanchéité classe B minimum.

Toutes les sections filtration seront équipées d'un manomètre de pression différentielle type "tube incliné".

Les portes permettant l’accès aux filtres comporteront un affichage « Danger d’incendie – Filtres empoussiérés inflammables ».

Les centrales seront sélectionnées pour obtenir une vitesse frontale maximum de 2,5 m/s.

2.1.17.1. ENVELOPPE

Certificat Eurovent

Châssis support (conception auto-portante).

Caisson double paroi en tôle galvanisée laquée avec isolation thermique, d'une épaisseur minimum de 50mm en laine minérale. 40 Kg/m3

Joints d'étanchéité imputrescibles.

Accès possible à tous les éléments avec démontage des panneaux par système quart de tour et charnières.

Etanchéité classe B.

Les centrales situées à l'extérieur recevront un toit de protection avec revêtement caoutchouc.

2.1.17.2. REGISTRE ANTIGEL, REGISTRE D'ISOLEMENT

Cadre tôle galvanisée.

Volets à lame opposée.

Axes sur roulements à bille.

Commande manuelle et motorisable.

Châssis support.

Surfaces intérieures lisses.

2.1.17.3. PREFILTRE

Média en fibres synthétiques.

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Montage des cellules sur glissières avec serrage frontal et prises de pression.

Tenue au feu M1.

Efficacité : G 4.

Perte de charge finale maximum : 200 Pa

Nota : les préfiltres initiaux seront remplacés par des filtres neufs avant la réception des installations.

2.1.17.4. FILTRE A POCHES

Média en feutre fibre de verre, poche 655mm

Surface filtrante > 18 x surface frontale

Montage des cellules sur glissières avec serrage frontal et prise de pression

Tenue au feu M1

Efficacité M5, M6 à F7

Efficacité minimale (EM) sur les particules de 0.4 µm : 35% pour F7

Pertes de charge finale maximum : 200 Pa

Etiquetage des filtres selon Eurovent

Utilisation : sur caisson de prise d'air neuf.

Nota : les préfiltres initiaux seront remplacés par des filtres neufs avant la réception des installations.

2.1.17.5. FILTRE DE MOYENNE EFFICACITE

Média rigide en fibre de verre type "dièdre"

Surface filtrante 30 x surface frontale

Montage des cellules sur glissières avec serrage frontal et prises de pression.

Non régénérable.

Tenue au feu M1.

Efficacité : M6, F7 à F8.

Efficacité minimale (EM) sur les particules de 0.4 µm : 35% pour F7, 55% pour F8

Perte de charge finale maximum : 300 Pa

Etiquetage des filtres selon Eurovent

Nota : Les filtres initiaux seront remplacés par des filtres neufs avant réception des installations.

2.1.17.6. BATTERIE EAU CHAUDE

Tube cuivre ailettes aluminium.

Ecartement des ailettes 2 mm minimum

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Nota : pour les centrales d’air tout air neuf et d’un débit supérieur à 3 500 m3/h, une pompe simple d’homogénéisation sera installée en by pass de la batterie afin d’éviter tout risque de déclenchement en antigel. Son débit sera dimensionné à 1/3 du débit nominal de la batterie. Un clapet anti-retour sera prévu. La pompe sera mise en service lorsque la température extérieure sera inférieure à 5 °C (commande par l’automate de régulation).

2.1.17.7. RECUPERATEUR A PLAQUES

Caisson monobloc.

Echangeur à plaques avec by-pass.

Filtration G4 en entrée.

Bac de récupération des condensats en inox posé avec pente.

Efficacité 40% minimum aux conditions suivantes : AN : -10°C / 95% HR AR : +20°C / 40% HR

Nota : Les préfiltres initiaux seront remplacés par des filtres neufs avant réception des installations.

Nota : Les ventilateurs de soufflage et d'extraction seront positionnés de manière à éviter tout risque de recyclage en cas de fuite sur le récupérateur.

2.1.17.8. RECUPERATEUR ROTATIF

Caisson monobloc.

Sur cadre en acier galvanisé monté sur glissières à l’intérieur de la CTA.

Echangeur de type rotor hygroscopique en aluminium.

Moteur à engrenage à vis sans fin triphasé à variation de vitesse pour un fonctionnement progressif.

Joint performant pour étanchéité sur la périphérie du rotor entre l’air d’entrée et l’air de sortie.

Filtration F7 en entrée.

Bac de récupération des condensats en inox posé avec pente.

Efficacité 70% minimum aux conditions suivantes : AN : -10°C / 90% HR AR : +20°C / 40% HR

Nota : Les filtres initiaux seront remplacés par des filtres neufs avant réception des installations.

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2.1.17.9. SECTION VENTILATION

Caisson équipé d'un groupe moto-ventilateur constitué de : Ventilateur à action ou réaction suivant la pression demandée Moteur triphasé avec ipsotherme Transmission par courroies trapézoïdales Réglage par glissières Plots antivibratiles

Les ventilateurs utilisant une transmission par courroie seront équipés d'un pressostat d'alarme.

Les ventilateurs des centrales « hygiène » seront de type "roues libres". (voir paragraphe ci-après).

Dans les zones soumises à la réglementation thermique, les ventilateurs de soufflage ne devront pas avoir une puissance absorbée au moteur supérieur 0,40W/m3/h. Pour les ventilateurs d’extraction la puissance absorbée au moteur n’excèdera pas 0,36W/m3/h. Des exigences particulières de consommation peuvent également être exigées aux chapitres « description des installations ».

2.1.18. Ventilateur centrifuge en caisson

Enveloppe en tôle d'acier galvanisé :

Ventilateur à action ou réaction suivant la pression demandée

Moteur triphasé avec ipsotherme, double débit suivant indications des prescriptions particulières

Transmission par courroies trapézoïdales

Réglage par glissières

Plots anti vibratiles

Manchettes souples

Discontacteur de proximité

Classement C4 pour les extracteurs des chambres (400°C – ½ heure)

Pressostat d'alarme

2.1.19. Clapet coupe-feu

Certifications NF et CE avec deux PV d'essais au feu (normes NF264 et NFS 61937)

Degré coupe-feu identique à celui de la paroi traversée

Pression admissible 500 ou 1500 Pa suivant réseau

Normalement ouvert.

Fusible thermique.

Attention ! Les clapets non positionnés en traversée de paroi devront recevoir une exécution spéciale (protection coupe-feu des supportages, etc…).

Les clapets positionnés en traversée de paroi légère devront présenter un PV spécifique et recevront une exécution spéciale au montage. Dans ce cas le chevêtre métallique et renforcement BA13 sur cloison placo sont à la charge du lot cloison.

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Nota : Chaque clapet recevra une identification suivant :

CCF repère du bâtiment niveau n° de clapet dans le niveau position du clapet.

2.1.20. Module de régulation autoréglable

Régulateur autoréglable à intégrer dans le conduit aéraulique.

Débit pré-réglé en usine.

Corps en matière plastique.

Système de régulation de débit par membrane silicone ou volet régulateur.

Ajustement automatique en fonction de l'écart de pression, précision + 10%.

Plage de pression 50 à 200 Pa, ou 150 à 600 Pa suivant réseau.

Utilisation sur les réseaux basse vitesse, régulateurs terminaux avant grille ou ventilo-convecteur.

2.1.21. Registre de réglage à iris

Clapet de dosage circulaire à iris à intégrer dans le conduit aéraulique.

Corps en acier galvanisé

Joints d’étanchéité en caoutchouc aux 2 extrémités

Prises de pression fixées sur l’enveloppe extérieure

Précision de réglage : ±10% maxi

Ajustement manuel du réglage par l’extérieur des conduits en fonction de l’écart de pression (mesure par manomètre différentiel, et suivant abaques du constructeur)

Utilisation sur les réseaux basse vitesse, régulateurs terminaux avant grille ou ventilo-convecteur.

2.1.22. Grille de ventilation

Les grilles et diffuseurs de ventilation au soufflage seront sélectionnées de manière à limiter les vitesses de déplacement d’air dans les zones d’occupation à 0,2 m/s en mode de chauffage et 0,22 m/s en mode rafraichissement.

Ces dispositions ne sont toutefois pas applicables dans les salles et locaux classés zone à risque 2 ou 3. Dans ces cas, la vitesse d’air pourra être augmentée jusqu’à 0,25 m/s.

2.1.22.1. GRILLE EXTERIEURE

Construction aluminium

Ailettes pare-pluie

Grillage de protection sur partie intérieure

Certaines grilles pourront être de type acoustique

Teinte au choix de l’architecte (RAL 9003 – 3012 – 8002).

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2.1.22.2. PRISE ET REJET D'AIR EN TOITURE

Chapeaux de toiture métalliques.

Capot aluminium pare-pluie amovible, peinture epoxy au choix de l'architecte.

Grille de protection anti-volatiles.

Tôle support pour fixation sur la charpente.

Abergement d'étanchéité en plomb.

Raccordement gaine circulaire.

Hauteur maxi au-dessus de la toiture 450 mm.


2.1.22.3. DIFFUSEUR PLAFONNIER

Section carrée ou rectangulaire


Soufflage horizontal dans 1-2-3 ou 4 directions

Registre de réglage à lames opposées.

Taux de renouvellement inférieur à 10 vol./h

Pour les débits jusqu’à 200m3/h, il pourra être mis en place des bouches à noyau « spéciales soufflage » (corps et opercule concentrique) en acier + peinture époxy


2.1.22.4. GRILLE DE TRANSFERT


Profil des ailettes type chevron

Contre cadre coulissant.


2.1.22.5. GRILLE DE REPRISE


Simple déflexion ailettes fixes


Possibilité d'intégration d'un filtre G3 sur certaines grilles de ventilo-convecteur (suivant plans).


2.1.22.6. GRILLE DE SOUFFLAGE MURALE


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Double déflexion ailettes mobiles



2.1.22.7. BOUCHE D'EXTRACTION VMC

Corps et opercule concentriques en acier

Peinture Epoxy

Réglage par rotation de l'opercule avec blocage par contre-écrou


2.1.22.8. ENTREE D'AIR AUTOREGLABLE

Corps PVC

Débit préréglé fixe

Caisson acoustique (Dnew (ctr) mini = 39 dB)


2.1.23. Gaine de ventilation (cas général)

Les gaines de ventilation ne doivent présenter aucune déformation à la circulation de l'air.

L'entrepreneur doit prendre à cet effet toutes les dispositions de raidissage nécessaires sans toutefois que les raidisseurs puissent créer un obstacle quelconque au passage de l'air à l'intérieur des gaines.

L’étanchéité des réseaux sera de classe B selon la norme NF EN 12237 et NF EN 1507 de juillet 2006.

Nota : Dans le cadre des labels, certifications et autres démarches de type développement durable, des contraintes très strictes d’étanchéité à l’air du bâtiment sont demandées. L’entreprise prévoira la réalisation de joints d’étanchéité au silicone autour de ces réseaux, fourreaux, afin d’éviter tout passage d’air au droit des canalisations traversant les parois et dalle du bâtiment.

D’autre part les réseaux devront avoir une classe d’étanchéité augmentée au niveau classe C selon la norme EN 12237 et pr EN 13779.

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2.1.23.1. GAINES CYLINDRIQUES

Les gaines cylindriques sont du type spirale roulée en tôle d'acier galvanisé dans les épaisseurs minimales suivantes :

Epaisseur Diamètre des gaines 6/10° de mm jusqu'au diamètre 315 mm 8/10° de mm jusqu'au diamètre 630 mm 10/10° de mm jusqu'au diamètre 1000 mm 12/10° de mm au-delà

2.1.23.2. GAINES RECTANGULAIRES

Les gaines rectangulaires sont exécutées en panneaux en tôle d'acier galvanisé.

Les panneaux sont assemblés par plis rabattus PITTSBURG.

En fonction, d'une part de la pression ou de la dépression totale aux ventilateurs et d'autre part, en fonction de la dimension du grand côté des panneaux, les gaines devront avoir les épaisseurs minimales suivantes :

Epaisseur Dimensions des gaines 8/10° de mm jusqu'au 300 mm 10/10° de mm jusqu'au 800 mm 12/10° de mm jusqu'au 1200 mm 15/10° de mm au-delà

Les tôles sont raidies par plis ou moletage en pointes de diamant.

Des raidisseurs seront prévus dans tous les cas où cela s'avérera nécessaire et si le grand côté dépasse 1300mm.

Les gaines dont le rapport des dimensions des côtés sera supérieur à 1/3, seront cloisonnées dans le sens de l'écoulement de l'air.

L'interposition d'aubes directrices dans les coudes sera déterminée à partir du manuel Carrier, leur pose sera systématique.

Les gaines sont équipées sur leur parcours d'orifices destinés aux prises de pression et de température - chaque orifice est équipé d'un bouchon vissé avec chaînette, ou par un dispositif à faire approuver.

Des registres à lames multiples opposées ou dispositifs de réglage sont prévus sur les dérivations principales des circuits de soufflage et d'extraction.

Les assemblages seront réalisés à l'aide de cadre METU ou similaires boulonnés dans les angles. Des étriers seront mis en place sur les côtés de telle manière que leur espacement n'excède pas 400 mm.

2.1.23.3. MISE EN ŒUVRE

Les assemblages des gaines circulaires recevront une bande d'étanchéité toilée posée à la colle. Ponctuellement l'étanchéité pourra être réalisée par du mastic.

Les assemblages des gaines rectangulaires seront mastiqués abondamment : dans les angles des cadres "metu" à la liaison entre cadres et gaines entre les cadres

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Le masticage sera réalisé aussi souvent que possible par l'intérieur.

Les gaines rondes seront assemblées par emboîtements.

Les gaines rectangulaires seront assemblées par cadre METU ou équivalent.

Tous les supportages seront équipés de dispositifs anti vibratiles.

Des trappes de visites seront installées. Elles devront être étanches à l'air et facilement démontables. Elles devront être mises en place pour la visite et l'entretien des registres, moteurs, batteries et

appareils dépourvus d'autres accès. Ces trappes seront également installées sur les réseaux pour permettre leur nettoyage. Le

choix exact de l'emplacement sera déterminé en accord avec une entreprise spécialisée après montage des réseaux.

2.1.24. Calorifuge gaines de ventilation

Les gaines seront calorifugées lorsque l'écart de température entre l'air véhiculé et l'ambiance est supérieur à 4°C ainsi que pour l'air neuf.

2.1.24.1. COMPOSITION DU CALORIFUGE

L'isolant thermique est constitué d'un matelas de fibre de verre souple avec un revêtement kraft aluminium armé formant pare-vapeur.

Classement au feu : M1 Epaisseur de l'isolant : 25 mm

Cette épaisseur sera portée à 50 mm pour les gaines empruntant un parcours en vide sanitaire ou extérieur.

La densité du calorifuge sera au minimum de 20 Kg/m3.

2.1.24.2. MISE EN ŒUVRE

La mise en œuvre doit être conforme aux recommandations du fabricant.

Avant la pose du calorifuge, il sera fait des tests d'étanchéité, nettoyé toutes les poussières ou autres salissures.

Cerclage par feuillard métallique tous les 0,5m. Pour les gaines d'une largeur supérieure à

600 mm, il faut installer des clips et prestols en plus du cerclage.

Fixation à raison de 10 clips et prestols par m², collés par adhésif suivant indication du fabricant.

Les tiges seront coupées à l'arasement de la surface finie externe du calorifuge.

2.1.24.3. FINITION DU CALORIFUGE

Le revêtement kraft d'aluminium n'est utilisé que pour les gaines installées à l'intérieur.

Les gaines situées à l'extérieur recevront une finition type "Isoxal" avec jointoyage des assemblages afin d'en assurer une bonne étanchéité.. Le calorifuge recevra une première protection par entoilage et enduit bitumineux sur l’intégralité de la surface.

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2.1.24.4. TRAPPES DE VISITE

Les conduits de ventilation et de climatisation seront munis de trappes étanches en vue d'en réaliser le nettoyage intérieur. Ces trappes seront en général positionnées de part et d'autre des obstacles, aux changements de direction et tous les 20 à 30 ml environ sur les parties droites. L'étanchéité de ces trappes devra être particulièrement soignée pour ne pas nuire à l'étanchéité des conduits.

Les trappes sur les réseaux extérieurs seront calorifugées. Leur position sera étudiée pour éviter toute pénétration d’eau à l’intérieur du calorifuge des gaines. Des tôles « rejet d’eau » pourront être installées pour éviter ces infiltrations.

2.1.25. Gaines avec protection coupe-feu

Ensemble des parois coupe-feu 2 heures : gaine tôle + flocage.

Certification selon la norme Européenne et Française « NF EN 13501-3 » avec essais suivant la norme européenne « NF EN 1366-1 »

Support enduit et grillage.

Talochage du matériau projeté et durcisseur.

Coquille de protection coupe-feu au droit des supports.

Mastics intumescents extrudables pour les joints d'étanchéité aux traversées de parois.

2.1.26. Gaines insonorisées

Elles sont exécutées en tôle d'acier galvanisée comme indiqué ci-dessus et revêtues intérieurement de plaques de laine de verre rigides, incombustibles et agrafées avec une protection contre l'érosion de l'air.

2.1.27. Gaines semi-rigides

Nota : Les gaines flexibles avec des conduits aluminium d'épaisseur très faible sont proscrites.

Elles sont utilisées comme raccordement souple des appareils terminaux et sont réalisées :

En gaines isolées 25 mm avec conduit intérieur alu semi-rigide micro-perforé et conduit extérieur alu semi-rigide, pour les gaines de soufflage

En gaines semi-rigide alu ou galva, pour les gaines d'extraction

Ces gaines doivent être incombustibles (MO), elles devront pouvoir résister à une pression de 3000 Pa.

Les assemblages s'effectuent par emboîtement avec masticage et colliers de serrage.

La longueur de montage n'excède pas 1,00m (sauf indications contraires).

2.1.28. Silencieux

Les silencieux sont installés lorsqu'il est nécessaire de réduire la propagation des bruits afin de respecter les critères acoustiques imposés par le cahier des charges, et lorsqu'on ne peut procéder autrement (par dimensionnement des organes générateurs de bruits).

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2.1.28.1. SILENCIEUX RECTANGULAIRES

Comprennent des coulisses sous forme de panneaux absorbants en laine de roche ou laine de verre (réaction au feu MO) avec protection pour obtenir une excellente tenue mécanique et résister à l'érosion de l'air.

La vitesse maximale dans les voies d'air est de 9 m/s.

Les silencieux peuvent être installés sur les circuits en gaine ou en maçonnerie.

Montage :

Les silencieux peuvent être directement vissés ou posés sur les gaines. Il est possible d'utiliser des pattes de fixation en forme d'équerre ou des glissières en acier galvanisé.

Le raccordement aux gaines se fait par brides.

Nota : Les silencieux utilisés dans les réseaux aérauliques comporteront une protection des baffles par "soie de verre" (tissu) moins sensible aux détériorations que le voile de verre.

2.1.28.2. SILENCIEUX CIRCULAIRES

Enveloppe acier galvanisé

Brides de raccordement

Bulbe profilé

2.1.29. Registre, clapet

A exécution normale : ils seront en acier galvanisé de construction rigide et offriront un minimum de résistance à l'air en position ouverte (inférieure à 30 Pa). Les ailettes seront profilées et montées sur paliers à billes ou sur paliers en bronze fritté ou nylon.

A exécution étanche : conception identique à ceux à étanchéité normale mais avec joints permettant un taux de fuite limité à 0,50% sous 1000Pa.

Registre de réglage : conception identique à registre d'isolement mais avec ailettes de fermeture montées en sens opposés.

Clapet de non-retour : composé d'un cadre métallique en tôle d'acier galvanisé sur lequel sont montées des ailettes mobiles, montées sur palier en nylon. En position repos, ces ailettes viendront se plaquer sur un joint en caoutchouc.

2.1.30. Variateur fréquence

Ils offriront entre autres les possibilités suivantes :

Saute de fréquence

Fréquence de commutation variable afin de réduire l'émission sonore du moteur au maximum.

Filtre anti-harmoniques.

Capotage de protection en tôle inox pour les modèles posés en extérieur.

Attention ! Ces matériels sont susceptibles de perturber le fonctionnement de microprocesseur. En aucun cas un variateur ne sera utilisé pour commander plusieurs moteurs en parallèle.

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2.1.31. Electricité

2.1.31.1. ARMOIRE

Tôle acier avec peinture cuite au four

Porte montée sur charnière, poignée verrouillable

Eclairage intérieur par contact de feuillure

Prise mono 230 V + T à l'intérieur, protégée par différentiel 30 mA

Pochette à schéma électrique rigide

Les armoires comprendront :

A l'intérieur, tout l'appareillage nécessaire à la commande et à la protection des circuits alimentant les matériels du présent lot, de même que les régulateurs et horloges.

En face avant : les boutons de commandes (arrêt/marche auto/marche forcée) pour tout moteur (pompes,

brûleurs chaudières, ventilateurs CTA et extraction). Ces boutons permettront notamment de maintenir le fonctionnement des installations en cas de pertes de fonctionnement de l’automate. Ils devront agir sur les contacteurs de puissances et non sur les modules entrées-sorties de l’automate de régulation.

les voyants marche et défaut (LED) un voyant "sous tension" (LED) un voyant "test lampes"

Il sera prévu dans chaque armoire une réserve de place, de l'ordre de 30%, pour mise en place d'équipements ultérieurs.

Tous les organes externes et internes devront être clairement repérés.

Les armoires présentant un risque de surchauffe seront ventilées mécaniquement.

Les armoires situées à l'extérieur et exposées à l'ensoleillement recevront une climatisation intégrée.

L'appareillage de commande, signalisation, régulation sera alimenté par des circuits indépendants des circuits de puissance avec transformateurs de séparation protégés par disjoncteurs.

Nota : Les protections par fusibles sont proscrites.

2.1.31.2. CANALISATIONS

Le raccordement des sondes sera exécuté avec des câbles de type "blindé".

Les cheminements des circuits de télécommande, régulation et de puissance seront dissociés.

Les câbles chemineront sur chemin de câbles (tube PVC accepté pour câble unique), seront fixés par des colliers en matière plastique, et seront repérés à chacune de leurs extrémités, conformément au plan de filerie.

Les traversées de parois et trémies se feront impérativement sous fourreaux. Le degré coupe-feu ou phonique de chaque paroi ou traversée sera reconstitué après passage des canalisations et réalisé par le présent lot.

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Dans le cas de zones rénovées ou de modification en cours de chantier, l'entrepreneur devra réaliser les saignées après accord du bureau de contrôle.

Les canalisations apparentes seront réalisées en câbles U1000 R 2V ou en conducteurs H0 7V posés sous conduits isolants fixés sur colliers.

2.1.31.3. CABLAGE ET DERIVATION

Les canalisations électriques seront en cuivre rouge : Isolées au P.R.C. pour les canalisations principales et les alimentations spécifiques Isolées au P.V.C. ou au P.R.C. pour les canalisations secondaires

Câbles résistant au feu de type CR 1 lorsque la réglementation l'impose : câbles à isolation et gaine extérieure élastomère de silicone, ruban de protection type PRECIPYR.

Dans tous les cas d'installations réalisées avec ces câbles résistant au feu, toutes les protections, jonctions, dérivations, etc... seront obligatoirement choisies dans un type de matériel qui assurera la continuité de la résistance au feu.

Dans tous les cas, l'isolation correspondra à l'usage du courant transporté et à la protection mécanique pour le type du local traversé.

Dans ce cas, toutes les connexions cuivre/aluminium devront être réalisées par des éléments bimétal.

Les canalisations en câbles unipolaires devront être posées en "trèfle" regroupant à chaque fois les phases et le neutre afin d'éviter des échauffements

Les câbles seront soigneusement rangés et repérés tous les 20 mètres en ligne droite, au tenant et à l'aboutissant, ainsi qu'à chaque changement de direction. Les systèmes de repérage seront exécutés en matière indélébile et inaltérable genre Etiquettes Adhésives auto-protégées en polyester B292, ou B427 de BRADY ou équivalent. Ces câbles seront posés à raison de deux nappes au maximum.

Les câbles seront attachés par collier de type RILSAN ou équivalent espacés de 1 m au maximum. Aucune contrainte mécanique ne sera tolérée au moment de leur pose.

Avant leur mise en service, tous les câbles, sans exception, seront contrôlés, en particulier en ce qui concerne la mesure des isolements et de leur repérage. (Voir §2.6.2.)

Il ne sera pas toléré de boîtes de jonction sur les parcours entre les points normalement prévus pour leur raccordement (continuité physique).

Les raccordements, imposés par les dérivations des circuits, seront effectués dans des boîtes réservées à cet effet, et exécutés à l'aide de bornes uniquement.

Ces boîtes seront repérées sur les plans et schémas d'exécution et implantées aux endroits les rendant discrètes et accessibles en permanence.

Les boîtes de raccordements seront en général placées sur l'aile des chemins de câble en faux plafond des circulations, à l'axe des locaux desservis et seront clairement et fiablement repérées.

En terrasse, les liaisons CR1 en sortie des chemins de capotés jusqu’aux récepteurs s’effectueront sous conduit apparent NF, résistant aux U.V. et aux chocs mécaniques. La pénétration dans les coffrets (moteurs, coffret de relayage, MEA) s’effectuera par presse étoupe.

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2.1.31.4. CHEMINS DE CABLES

Le présent lot devra la fourniture et la pose de tous les chemins de câbles nécessaires pour l’installation des équipements prévus au présent lot .

Tous les chemins de câbles auront une capacité qui permettra d'augmenter la quantité de câbles de 30 % minimum.

Ces chemins de câbles seront réalisés en fils d'acier soudés, électrozingués, de marque CABLOFIL ou équivalent. La hauteur d'aile sera de 48 mm au minimum.

Les chemins de câbles extérieurs seront du type identique, mais galvanisé à chaud.

Le titulaire du présent lot devra tous les accessoires de fixations tant pour les éléments suspendus que pour ceux posés en applique. Ces accessoires seront galvanisés. La boulonnerie sera passivée zinguée.

Les écartements entre fixations devront être tels que la rigidité avec le poids maximum pouvant être mis en place à terme ne soit jamais mise en cause.

Dans la mesure du possible, les supports seront installés de telle sorte que l'on puisse introduire latéralement les câbles préalablement déroulés au sol.

Une protection par couvercle sera prévue lorsque les chemins de câbles seront installés apparents à une hauteur inférieure à 1,80 m ou en fonction du risque mécanique de chaque local (toiture, locaux techniques, etc…).

Tous les changements ou modifications de parcours seront confectionnés avec des pièces préfabriquées ou fabriquées à la demande (coudes, éléments en T...). Il ne sera pas admis d'angle saillant ou de pièces tranchantes pouvant blesser les câbles.

La mise en terre des chemins de câbles sera effectuée avec :

un conducteur cuivre nu de 28 mm2 fixé par attaches sur l’aile extérieure des chemins de câbles principaux. Ce conducteur sera raccordé aux liaisons équipotentielles principales de terre.

Tresse de terre au droit des éclissages si nécessaire pour les chemins de câbles secondaires et courants faibles tous 15 à 20 ml et à chaque croisement à 90°.

En terrasses, les chemins de câbles seront prévus de type dalle marine, galvanisés à chaud, capotés et posés sur des plots. Les plots seront fixés à des dallettes béton à prévoir pour lester les chemins de câbles (résistance au vent).

2.1.31.5. SECURITE

Tous les appareils non visibles depuis l'armoire de commande seront équipés d'un contacteur de proximité coupant l'alimentation de la force motrice.

Le raccordement des sondes sera exécuté avec des câbles de type "blindé".

Les cheminements des circuits de télécommande, régulation et de puissance seront dissociés.

Les câbles chemineront sur chemin de câbles (tube PVC accepté pour câble unique), seront fixés par des colliers en matière plastique, et seront repérés à chacune de leurs extrémités, conformément au plan de filerie.

Les câbles alimentant les ventilateurs de désenfumage seront du type résistant au feu. Il en est de même dans le cas d'extracteur VMC participant au désenfumage.

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2.1.31.6. MISE A LA TERRE

La mise à la terre des réseaux conducteurs sera assurée à un endroit par le lot Electricité. Par contre en cas de réseaux comportant des ruptures de continuité électrique à certains endroits, le présent lot assurera le rétablissement de la continuité électrique à chacun de ces points : cas des raccords sur des gaines de ventilation circulaires, clapets coupe-feu, certaines vannes sur les réseaux gaz, etc.

2.1.31.7. MOTEURS

Tous les moteurs (sauf désenfumage) seront équipés d'un ipsotherme.

Nota : Les moteurs à commutation électronique des centrales d’air à double flux monobloc seront protégés contre l’échauffement par le contrôle commande (arrêt moteur sur ventilateur bloqué, ou absence débit d’air).

2.1.31.8. SECURITE ASSERVISSEMENT

Humidificateur :

Les humidificateurs seront asservis au fonctionnement de la ventilation par l'intermédiaire d'un pressostat.

Clapet coupe-feu :

Dans le cas où un clapet coupe-feu est placé sur le conduit principal d'une installation de ventilation, le fonctionnement du ventilateur sera asservi au déclenchement du clapet (via contact fin de course) afin d'arrêter la ventilation en cas de fermeture. Cet arrêt sera interprété comme un défaut.

2.1.31.9. ALIMENTATION REGULATION

Tous les automates (hors régulations terminales) devront être équipés d'un centre d'énergie dont les caractéristiques seront :

Tension amont 230V

Tension aval compatible avec l'automate

Autonomie 10 mn

Signalisation défaut batterie

2.1.31.10. COMPTAGE ELECTRIQUE

Un comptage électrique spécifique sera mis en place sur les utilisations suivantes :

Chaque local technique (ventilation, chaufferie, sous-station)

Tout moteur d'une puissance électrique supérieure à 4 kW (hors désenfumage)

Chaque indication de compteur sera reprise sur la GTC, via le protocole MBUS.

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2.1.32. Matériels de régulation

2.1.32.1. GENERALITES SUR LE CHOIX ET L'EMPLACEMENT DU MATERIEL

Le matériel de régulation sera choisi et installé conformément aux spécifications du constructeur. Il sera adapté aux conditions d'ambiance dans lequel il fonctionnera.

Les sondes d'ambiance ou d'humidité seront placées dans les endroits non soumis à des influences particulières (ensoleillement, courant d'air, rayonnement, surfaces froides ou chaudes).

dans le local (cas d'un seul local)

sur les gaines de reprise.

Les sondes extérieures seront placées sur la façade la plus défavorisée des locaux concernés ou dans les gaines d'air.

Mis à part les sondes et les organes-moteurs, tout le matériel de régulation sera intégré à l'armoire électrique.

2.1.32.2. LIAISONS ENTRE ELEMENTS

Pour le câblage des installations de régulation électrique ou électromagnétique, l'entreprise respectera les indications données pour les installations électriques, et les normes en vigueur.

2.1.32.3. THERMOSTAT (REGULATION TOUT OU RIEN)

Le boîtier des thermostats sera en matière moulée à haute résistance.

L'étalonnage sera fait en usine avec possibilité de réglage une fois installé.

Le différentiel sera adapté à la grandeur et réguler.

L'élément sensible sera représenté sous forme :

d'un capillaire dans le cas d'un thermostat antigel ou de sécurité en gaine

d'un tube plongeur dans le cas d'un thermostat antigel ou de sécurité sur tuyauterie ou échangeur

d'un tube incorporé dans le boîtier (largement ventilé) dans le cas de thermostat d'ambiance.

2.1.32.4. CONTROLEUR DE DEBIT

Construction identique au thermostat.

L'élément sensible sera constitué par un "drapeau" ; plage de contrôle: à partir de 1 m/s.

2.1.32.5. SONDES

Sondes de température :

L'élément sensible sera constitué dans le cas général par une thermistance.

Dans les sondes de gaine, l'élément sensible sera placé dans un tube de protection. Lorsque la gaine sera de grande section ou dans le cas d'une crainte de stratification, il sera employé des sondes capillaires.

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Dans les sondes sur tuyauterie ou échangeur, l'élément sensible sera placé dans un tube plongeur (sonde à plongeur).

Les sondes extérieures seront protégées par un boîtier étanche et résistant aux intempéries.

Sondes d'humidité :

L'élément sensible sera placé dans un tube de protection pour montage dans gaine et sera situé dans le boîtier en sonde d'ambiance.

2.1.32.6. SERVO-MOTEUR DE REGISTRE

Les servomoteurs seront conçus de telle manière que les fonctions de sécurité soient assurées en cas de défaillance du circuit de puissance.

Le retour à zéro (par gravité ou ressort de rappel) sera prévu dans tous les cas.

Les moteurs sont équipés de contacts début et fin de course auxquels est asservi le fonctionnement de l'appareil correspondant.

Les servomoteurs installés en extérieur recevront un capotage inox de protection contre les intempéries.

2.1.32.7. VANNES MOTORISEES

Elles seront de type à siège (soupape) ou à papillon, elles seront à fermeture étanche.

Raccordement vissé jusqu'au diamètre 50/60, par brides au-delà.

Les vannes seront sélectionnées de façon à ce que leur autorité soit comprise entre 0,5 et 1. En conséquence, la perte de charge de la vanne de régulation au débit maximal sera au minimum égale à la perte de charge du terminal régulé.

Les vannes seront équipées d'un dispositif de manœuvre manuel pour pallier à un défaut de fonctionnement de la régulation. Dans le cas contraire, un by-pass devra être prévu avec une vanne de fermeture.

Les servomoteurs installés en extérieur recevront un capotage inox de protection contre les intempéries.

2.1.32.8. AUTOMATES

2.1.32.8.1. Caractéristiques techniques de base

Dans un souci de simplification d'installation et d'exploitation et afin d'être homogène, la régulation sera traitée par une ou plusieurs unité(s) centrale(s) par local technique ayant la capacité unitaire suffisante en entrées/sorties pour traiter cette application.

Tous les points traités seront repris sur des modules spécifiques, entrées tout ou rien, entrées analogiques, sortie tout ou rien, sorties analogiques, entrées comptage. Des leds de visualisation permettront de visualiser les états des entrées et sorties. Les automates seront entièrement programmables et permettront d'assurer outre la régulation, les automatismes locaux, les tâches de mesure, d'optimisation, de contrôle et d'aide à la maintenance.

Nota : Tous les automates seront reliés par un bus de communication. Les paramètres issus de n'importe quel automate seront accessibles à partir d'un terminal branché sur un autre automate.

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2.1.32.8.2. Programmation

Le programme devra impérativement être réalisé spécifiquement pour cette application et tous les programmes standards existants sur le marché ne correspondant pas totalement à l'application seront proscrits.

La programmation sera réalisée par l'intermédiaire d'un logiciel assisté par ordinateur offrant un environnement graphique et permettant d'éditer en clair le dossier complet de l'installation : schéma graphique de chaque équipement, boucles de régulation, asservissements, emplacement des différents modules, raccordement des entrées/sorties (carnet de câbles).

2.1.32.8.3. Sécurité de système

Chaque automate devra être autonome avec son propre programme et sa propre base de données permettant d'offrir un fonctionnement de haute sécurité.

Le système d'exploitation et le programme seront stockés dans une mémoire non effaçable. Les données en cours de traitement seront stockées dans la mémoire vive, sauvegardées en cas de perte d'alimentation par une batterie assurant au minimum 30 jours de sauvegarde.

Toute la mémoire vive pourra être sauvegardée sur la Flash Eprom par une procédure simple à partir du terminal opérateur.

2.1.32.8.4. Environnement

Ces automates devront être raccordés à un bus système (« bus propriétaire »), et devront pouvoir communiquer entre eux, en liaison maître à maître sur le principe du réseau sans nécessité d'un système de centralisation.

A un ou plusieurs endroits du site, ce bus propriétaire devra comporter une interface ou une passerelle permettant un dialogue via le réseau Ethernet sur le poste de supervision.

Ce dialogue devra se faire selon un des protocoles « ouverts » suivants :

Mod bus/ J-bus

Bacnet

OPC

2.1.32.8.5. Fonctionnalités

Les fonctions principales suivantes seront réalisées en standard par chaque automate :

boucles de contrôle et de régulation ouvertes et fermées

commande d'équipements et sélection de points de consigne en rapport avec un programme horaire

programmes horaires - hebdomadaires - annuels

affichage immédiat et horodaté des alarmes au niveau du terminal opérateur avec enregistrement de l'historique dans l'automate

comptage horaire

Chaque automate installé devra impérativement posséder sa propre horloge en temps réel permettant de générer plusieurs programmes horaires pour les équipements commandés et de réaliser les suivis horodatés d'alarmes et de tendances grâce à sa mémoire. Il devra également intégrer des fonctions simples en

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standard telles que permutation automatique de fonctionnement sur programme horaire ou sur alarme, déclenchement d'alarmes sur seuil haut ou seuil bas pour chaque entrée analogique ou digitale.

Chaque automate devra posséder EN STANDARD LES FONCTIONS ETENDUES SUIVANTES :

Economies d'énergie : Des fonctions d'économie d'énergie sont disponibles : marche/arrêt optimisé, fonctionnement cyclique, purge nocturne, etc…

Comptage des heures de fonctionnement : Chaque entrée et sortie tout ou rien peut être affectée d'un compteur horaire permettant d'accéder, si besoin est, à la maintenance préventive.

Comptage de nombre de cycles : Chaque équipement peut être suivi dans son fonctionnement grâce à un comptage du nombre de cycles effectué (nombre de marche/arrêt, enclenchement/déclenchement, etc…).

Comptage d'énergie et comptage électrique : Les capteurs peuvent être directement raccordés sur le module d'entrées digitales qui possèdent en standard des entrées avec des temps d'acquisition de 20 ms. Lorsqu'une valeur de comptage déterminée est dépassée, une alarme peut se déclencher.

Gestion des alarmes : Dès qu'une alarme survient, celle-ci est immédiatement affichée sur le terminal opérateur et historiée dans la mémoire locale qui permet de sauvegarder les 100 dernières alarmes.

Surveillance des limites : Il est possible de définir 2 limites minimales et 2 limites maximales par entrée. Lorsque ces limites sont atteintes une alarme se déclenche.

Maintenance préventive : Le dépassement de limite de temps de fonctionnement défini par l'utilisateur peut générer une alarme, évitant ainsi des interventions de maintenance inopportunes.

Enregistrement de tendances : Il est possible d'enregistrer les tendances pour chaque entrée et chaque sortie. Tout changement de valeur est mémorisé avec la date et l'heure.

2.1.32.8.6. Terminal opérateur

L'interface de dialogue opérateur pourra être soit directement intégré en façade de chaque automate ou sera un terminal mobile pouvant se raccorder sur chaque automate. Ce système devra être très convivial grâce à un écran de quelques lignes, un clavier simplifié et un accès par menus arborescents EN LANGAGE CLAIR - EN FRANÇAIS.

Les fonctions suivantes seront disponibles au terminal :

liste de toutes les variables d'entrées et de sorties analogiques

liste de tous les points digitaux d'entrées et de sorties

liste de tous les points logiciels

descriptif en clair de chaque point grâce à un texte

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accès par mot de passe

affichage immédiat des messages d'alarme et consultation de l'historique

fixation des paramètres

temps de fonctionnement des équipements

dérogations manuelles par logiciel

accès aux données : relevés de journaux de tendances alarmes et rapports

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3. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES

PARTICULIERES

GENIE CLIMATIQUE

3.1. TRAVAUX PREPARATOIRES

3.1.1. PREPARATION DE CHANTIER

L'entreprise titulaire du présent lot devra l’ensemble des études et notes de calculs pour la définition du dimensionnement, des plans EXE, plans de réservations et dossier technique soumis à visas comme défini au paragraphe 1.6.

3.1.2. Relation avec les concessionnaires

L'entreprise aura à sa charge, l’ensemble des démarches auprès du concessionnaire de gaz naturel.

Les coffrets gaz étant en place, l’entreprise devra réaliser l’ensemble des démarches liées à la mise en service, y compris certificat gaz.

3.1.3. Isolement des réseaux et vidange

A charge du présent lot l’isolement de l’ensemble des réseaux suivants, y compris vidange, avant intervention des lots désamiantage et gros-œuvre :

Alimentation fioul,

Réseaux de chauffage,

Alimentation eau potable,

Production et réseaux d’eau chaude sanitaire,

Vidange de l’ensemble des appareils sanitaires.

L’entreprise devra la mise à disposition d’un point d’eau dans chaque pavillon durant la durée des travaux. L’alimentation sera reprise au RDJ au niveau de l’alimentation générale avec la mise en place d’une vanne d’arrêt et un robinet.

3.1.4. Neutralisation cuve à fioul

A charge du présent lot la vidange et la neutralisation de la cuve à fioul :

Vidange et nettoyage complet de la cuve,

Comblement de la cuve avec un matériau inerte type sable, béton ou perlite,

Evacuation des déchets vers un centre de traitement agréé,

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Fourniture des certificats de dégazage et de traitement des déchets.

Localisation : Pavillon 04

3.1.5. Chauffage provisoire en cours de chantier

Le titulaire du lot doit au titre de son marché le préchauffage (hors ventilation) du bâtiment durant la durée du chantier.

Dans le cas où la chaufferie ne serait pas en service au moment de la réalisation des travaux de second œuvre, l’entreprise devra mettre à disposition les équipements de chauffage provisoire adaptés.

3.2. CHAUFFERIE GAZ

3.2.1. Alimentation en gaz

Dans le cadre des travaux de gaz, l'entreprise doit posséder des ouvriers qualifiés par un organisme agréé par le ministère de l'industrie, notamment la qualification B 132-52 et B 540-9.

Pavillon 01 :

A charge du présent lot, raccordement gaz depuis le réseau existant en façade de la chaufferie.

Cette prestation comprend :

- Le raccordement sur réseau gaz existant,

- Le coffret de coupure à l'entrée du bâtiment y compris étiquetage.

- La conduite en acier T10 entre le point de raccordement et la chaufferie, y compris toutes sujétions de cheminement (traversées de parois, etc…)

- Les vannes d'arrêts, filtre et organes de sécurité.

- Peinture conventionnelle avec couleur normalisée jaune,

- Rebouchage et lissage.

- Le détendeur 300 – 21 mbar

- Il sera prévu une capacité tampon dimensionnée à minima selon la règle des 1/500.

- Le réseau gaz sera réalisé en acier noir soudé. Le réseau sera conforme au DTU 61.1 et à l’arrêté du 2 août 1977 modifié. Diamètres à confirmer en EXE. Note de calcul des réseaux gaz à fournir par l'entrepreneur avant toute installation.

Conduit fourreauté pour chaque traversée de mur, dalle ou plancher.

Pour les conduites gaz en extérieure, une protection mécanique et contre UV sera posée sur le cheminement extérieure.

Respect des distances minimales réglementaires lors du croisement de tube gaz et eau.

Pression : 300 mbar jusque dans la chaufferie.

Certificats QUALIGAZ à fournir.

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Pavillon 04 :

A charge du présent lot, raccordement gaz depuis le coffret gaz existant à proximité du bâtiment.

Cette prestation comprend :

- Le raccordement sur coffret de comptage-détente gaz,

- Le coffret de coupure à l'entrée du bâtiment y compris étiquetage.

- La conduite en acier T10 entre le coffret et la chaufferie, y compris toutes sujétions de cheminement (traversées de parois, etc…)

- Les vannes d'arrêts, filtre et organes de sécurité.

- Peinture conventionnelle avec couleur normalisée jaune,

- Rebouchage et lissage.

- Le détendeur 300 – 21 mbar

- Il sera prévu une capacité tampon dimensionnée à minima selon la règle des 1/500.

- Le réseau gaz sera réalisé en acier noir soudé. Le réseau sera conforme au DTU 61.1 et à l’arrêté du 2 août 1977 modifié. Diamètres à confirmer en EXE. Note de calcul des réseaux gaz à fournir par l'entrepreneur avant toute installation.

Conduit fourreauté pour chaque traversée de mur, dalle ou plancher.

Pour les conduites gaz en extérieure, une protection mécanique et contre UV sera posée sur le cheminement extérieure.

Respect des distances minimales réglementaires lors du croisement de tube gaz et eau.

Pression : 300 mbar jusque dans la chaufferie.

Certificats QUALIGAZ à fournir.

3.2.1.1. RACCORDEMENTS CHAUDIERES

Chaque raccordement de chaudière sera muni :

- D’un robinet d’arrêt à tournant sphérique,

- D’un manomètre à aiguille,

- Un filtre.

3.2.2. Chaudière gaz à condensation

La production de chaleur sera assurée par 1 chaudière gaz à condensation au sol d’une puissance unitaire de 80 kW en régime 80/60°C fonctionnant à température d'eau de chaudière modulée en fonction de la température extérieure.

- Puissance nominale : 80 kW pour un régime 80/60°C,

- Corps de chauffe et échangeur de chaleur en acier inoxydable austénitique (316Ti)

- Brûleur Matrix modulant cylindrique en acier inoxydable (tout équipé avec turbine, sonde Lambda Pro Control, bloc combiné gaz, surveillance de la flamme à ionisation et allumeur électrique haute tension).

- Tableau de commande avec régulation intégrée.

- Pour marche à température modulée

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- Perte de charge coté eau au débit nominal pour un delta T de 20°C < 10 mbar.

- Toutes les surfaces en contact avec les gaz de combustion sont en acier inoxydable 316 Ti.

- Circulation à contre-courant entre l’eau et les gaz de chauffe.

- Corps de chaudière calorifugé sur toutes ses faces par un matelas isolant.

- Jeu de patins antivibratoires.

- Dispositif de neutralisation des condensats.

- Sonde de température des fumées.

- Fonctionnement avec une ventouse

Performances :

Puissance nominale 80/60 °C : .................................................................................... 24 / 80 kW

Puissance nominale 40/30 °C : ........................................................................................... 87 kW

Rendement à pleine charge 100% .................................................................................... 97,2 %

Rendement à charge partielle 30% ................................................................................. 107,7 %

Pertes à l’arrêt (∆T = 30 K) ................................................................................................. 246 W

Pression de service admissible :...................................................................................... 6,0 bars

Température de service admissible : ................................................................................... 95 °C

Température maximale de sécurité : ................................................................................. 110 °C

Alimentation électrique :

Tension de service .................................................................................................. 230 V / 50 Hz

Tension de commande ............................................................................................. 24 V / 50 Hz

Evacuation des fumées :

Raccordement évacuation des fumées : ..................................................................... Ø 150 mm

Dimensions :

Largeur ............................................................................................................................. 816 mm

Longueur ....................................................................................................................... 1 766 mm

Hauteur .......................................................................................................................... 1 350mm

Poids de la chaudière ........................................................................................................ 293 kg

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Accessoires à prévoir sur chaque chaudière :

- Pieds avec patins anti-vibratiles.

- 2 soupapes de sécurité par chaudière, avec entonnoir et canalisation d’évacuation en acier noir jusqu’à un siphon

- Vanne de vidange

- Dispositif de neutralisation des condensats

- Limiteur de niveau d'eau suivant la norme NF EN 12828.

- Limiteur de pression maximale suivant la norme NF EN 12828.

- Sonde de température de fumées.

- Régulateur de pression gaz 300/21 mBar + filtre gaz.

Localisation : Pavillon 1 & Pavillon 4

3.2.3. Régulation

La chaudière sera équipée d’une régulation intégrée, ayant les caractéristiques suivantes :

- Régulation de chaudière numérique.

- Marche à température constante (seule) ou modulée en fonction de la température extérieure,

- Commande de brûleur modulant,

- Ecran, touches éclairées, messages d'entretien, diagnostic des défauts intégrés,

- Reconnaissance automatique des sondes raccordées (plug & work) pour faciliter la mise en service,

- Dispositif de marche économique d'été,

- 2 compteurs horaires de marche de brûleur,

- Interface pour ordinateur portable,

- Régulation PID de la charge du brûleur.

- Boitier de commande pour imposition de température par entrée 0-10 V en association avec une extension EA1 dans le cas d'une présence d'un automate externe,

- Fonctionnement manuel intégré sur aquastat mécanique.

- Interrupteur d'installation,

- Aquastat de chaudière,

- Limiteur de température de sécurité à réarmement manuel,

- Sonde de température de chaudière.

- Dialogue avec d’autres appareils possible via le bus LON.

Y compris raccordements, liaisons et paramétrage.

3.2.4. Mise en service

La mise en service de la chaufferie sera réalisée par le fabricant à charge du présent lot, y compris campagne de mesure complète et analyse des produits de combustion.

A l'issue de la mise en service, l'entreprise devra communiquer l'ensemble des PV de mesure et de mise en service.

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3.2.5. Production d’eau chaude sanitaire

Mise en place d’un ensemble de production d’eau chaude sanitaire semi-instantanée avec stockage primaire et raccordement sur attente du lot chauffage, comprenant :

Un ballon tampon primaire d’eau de chauffage avec 1 échangeur noyé. Une pompe de charge sanitaire

Système de réservoir stratifié en acier S 235 JR, pour la production semi-instantanée de l’eau chaude sanitaire. Réservoir à chargement par stratification avec clapet d’admission pour assurer le maintien de la stratification, sans mélange de l’eau du réservoir (circuit primaire), avec production instantanée de l’eau chaude sanitaire (serpentin sanitaire en acier inoxydable 1.4404), hygiénique et sans formation de bactéries (légionellose). Isolation capitonnée en fibres polyester, composée de 3 pièces, avec une conductivité thermique de l’isolant λ = 0,035 W/mK. Epaisseur 100mm avec revêtement extérieur en polystyrène gris, bandes de fermeture encastrables et ajustables, couvercle et fond d’isolation inclus. Classe feu B1 selon DIN 4102, sans chlorofluorocarbone (CFC), et 100% recyclable. Données techniques :

Température maximale 110°C, pression de service maximale circuit primaire 3 bars, circuit sanitaire 6 bars.

Hauteur avec isolation 2010mm, diamètre avec isolant 950mm, sans isolant 750mm, poids à vide 210kg,

Contenance du réservoir 760l, sous-titrage en une seule fois (température ECS 38°C) pour un tampon chargé à 60°C = 600l

Serpentin sanitaire d’une contenance de 55l, superficie d’échange 7,74m² Température de sortie sanitaire ΔT de l’ECS par rapport à l’eau accumulé à mi- charge dans le

réservoir (primaire) = 3°C pour un débit de 30l/min et = 8°C pour un débit de 50l/min.

Constante de refroidissement en kWh/24h=1,748 en Wh/l*K*24h=0,055

Après production, mise en place sur le départ général :

- d’un point d’injection

- d’une prise échantillon,

- d’une manchette témoin à démontage rapide,

- d’un manomètre,

- d’une sonde de température à tige,

- d’un point d’injection et d’un point de vidange.

- D’une sonde de température,

- D’un mitigeur thermostatique avec raccordement sur eau froide pour limiter le départ ECS

- D’un purgeur

- D’un robinet de vidange en partie basse.

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3.2.6. Sondage du conduit de fumées existant

La ventouse cheminera dans un conduit existant. A charge du présent lot le sondage de la cheminée avant intervention.

3.2.7. Evacuation des produits de combustion

L’évacuation des produits de combustion sera individuelle par chaudière par un conduit type ventouse.

Fonctionnement avec une ventouse. Fourniture et pose à charge du présent lot, y compris accessoires. Ventouse verticale complète pour chaudière à condensation en matériau synthétique (PPs) Ø 100/150 mm comprenant un coude 87° avec prise de mesure, traversée de toiture avec chapeau pare-pluie, costière, terminal vertical, étanchéité. Protection mécanique des conduits intérieurs. Respect des règles de mises en œuvre, des distances réglementaires par rapport à tout ouvrant et des longueurs maximales autorisées des conduits. La mise en œuvre devra être conforme au DTU 24.1, et respecter les prescriptions techniques du fabricant. Les produits devront être certifiés CE suivant la norme européenne, et le diamètre devra être justifié par une note de calcul conforme à la norme NF EN 13384. La position du débouché du conduit devra répondre aux dispositions de la norme EN 15287.

3.2.8. Ventilation haute

Ventilation haute par le conduit existant. L’entreprise devra vérifier la section libre du conduit jusqu’en toiture.

Section libre intérieure : 2,5 dm² minimum.

3.2.9. Ventilation basse

La ventilation basse sera assurée par une prise d’air en façade (même emplacement que la VB existante) avec conduit en acier galvanisé pour amener de l’air en partie basse.

Mise en place d’une grille en acier avec grillage anti-volatile de maille 8mm maximum.

Caractéristiques :

Profil pare-pluie avec grillage anti volatiles maille 8mm maximum,

Section libre : 5 dm² minimum.

3.2.10. Gaine pompier

Sans Objet.

3.2.11. Instruments de contrôle et de mesure en chaufferie

Fourniture des équipements de contrôle et de mesure de combustion en chaufferie (température, CO2, CO, opacité).

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3.2.12. Réseaux principaux de distribution

3.2.12.1. CIRCUITS

La chaufferie alimentera l’ensemble des réseaux suivants :

Circuit Régime d’eau Puissance

Radiateurs 80°C / 60°C 40 kW

ECS 80°C / 60°C 70 kW

Total 80 kW

Nota : La puissance totale tient compte du foisonnement des puissances (production ECS)

3.2.12.2. TUYAUTERIES

Les tuyauteries seront réalisées en acier noir soudé suivant prescriptions techniques générales.

Les départs et retours des réseaux seront raccordés sur un collecteur en chaufferie.

Il sera prévu une peinture antirouille sur l’ensemble du réseau.

3.2.12.3. CALORIFUGE

L’ensemble des réseaux cheminant en faux-plafond, en sous-sol, en local technique, en chaufferie et en gaine technique sera calorifugé. L’ensemble du réseau sera calorifugé suivant les prescriptions techniques générales.

Matériau : isolant à cellules fermées en mousse élastomère à base de caoutchouc (λ = 0,033 W/m/K)

Epaisseur 19 mm jusqu’au diamètre extérieur 35 mm

Epaisseur 25 mm au-delà

Finition en local technique et chaufferie : tôle isoxale

Finition en gaine technique et faux-plafond : PVC

3.2.12.4. CIRCULATEURS

Tous les circulateurs seront de type jumelé à rotor noyé et moteur ECM. Les moteurs seront au minimum de classe d’efficacité IE2.

Circuit Régime d’eau Débit

Radiateurs 80°C / 60°C 1,75 m³/h

ECS 80°C / 60°C 3,00 m³/h

Total 3,45 m³/h

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Chaque circulateur comportera :

Un supportage anti vibratile

Un manchon anti vibratile à l’aspiration et au refoulement

Une régulation de pression électronique avec basculement sur défaut et programme horaire

3.2.12.5. VANNES D’ARRET

Les vannes d’arrêt seront de type quart de tour.

Les vannes seront disposées suivant les plans et schémas de principe et au minimum sur chaque équipement, départ collecteur, piquage ou antenne du réseau.

3.2.12.6. VANNES DE REGLAGE

Les vannes de réglage de débit seront de type à volant permettant le réglage, la mesure du débit et l’isolement hydraulique. Les vannes seront disposées suivant les plans et schémas de principe et au minimum sur chaque équipement, départ collecteur, piquage ou antenne du réseau.

3.2.12.7. DEGAZEUR

Le départ commun des chaudières sera muni d’un séparateur de microbulles comportant un corps en acier soudé peint (PS 10 bar) pour montage sur canalisations horizontales, un séparateur helistill inoxydable, avec chambre de séparation à faible turbulence et dynamique tangentielle. L’évacuation des gaz se fera par un purgeur automatique leakfree, avec vanne d’arrêt intégré à trois positions, (Service – Vent – Skim) pour purge rapide et élimination des impuretés hautes.

L’évacuation des boues se fera par vanne manuelle en partie basse en 1", avec bouchon et raccord pour tuyau souple. Le dégazeur sera calorifugé.

3.2.12.8. DESEMBOUAGE

Le retour commun des chaudières sera muni d’un désemboueur comportant un corps en acier soudé peint (PS 10 bar) pour montage sur canalisations horizontales et une unité magnétique.

L’évacuation des gaz se fera par un purgeur automatique, avec vanne d’arrêt intégré à trois positions, (Service, Vent et Skim) pour purge rapide et élimination des impuretés hautes. L’évacuation des boues se fera par vanne manuelle en partie basse en 1", avec bouchon et raccord pour tuyau souple. Le désemboueur sera calorifugé.

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3.2.12.9. EXPANSION

L’expansion sera assurée par vase d’expansion à vessie en butyl vulcanisé statique conforme à la norme CE de type PED/DEP 97/23/EC.

Réseau Eau Chaude :

Température maxi : 110 °C Pression initiale : 2,0 bars Antigel : Non Tarage des soupapes : 3,0 bars Capacité du vase : 50 litres Dimension Ø x H : 435 x 492 mm

3.2.12.10. REMPLISSAGE

Le remplissage des réseaux sera réalisé à partir de l’attente réalisée par le présent lot.

Chaque point de remplissage comportera :

Tuyauterie calorifugée en PVC DN 20 Un disconnecteur Un compteur Un filtre 50 microns Une vanne d’arrêt amont et aval Un manomètre 1 pot d’injection y compris vannes d’isolement et de by-pass

3.2.12.11. TRAITEMENT DU RESEAU

La prestation de traitement du réseau comprend :

Le rinçage du réseau jusqu’à l’obtention d’un écoulement d’eau claire sans impuretés

Le remplissage avec un produit de traitement adapté à la nature des réseaux et corps de chauffe (assurant les fonctions de maintien du pH / antitartre / anticorrosion)

La purge des installations

La réalisation des analyses d’eau (eau froide remplissage et eau du réseau) par un laboratoire agréé avec fourniture des résultats, comprenant au minimum l’analyse du pH / TH / Conductivité / TA / TAC / Fe / Cu / Chlorures.

3.2.12.12. ACCESSOIRES

Purgeurs d’air :

Les points hauts seront munis de purgeurs d’air comportant une capacité tampon, un purgeur automatique et une vanne de purge manuelle DN15 ramenée à 1,50 m du sol.

Thermomètre :

Tous les départs ainsi que tous les retours des circuits et des équipements seront munis de thermomètres à dilatation de liquide montés sur doigt de gant afin de permettre un démontage sans vidange de l’installation.

Vannes de vidange :

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Les points bas des circuits ainsi que les équipements (batteries, échangeurs, …) sont munis de vannes de vidange quart de tour bouchonnées.

Compteurs de chaleur :

Des compteurs de calories seront mis en place sur les réseaux principaux partant des collecteurs en chaufferie

3.3. DISTRIBUTION ET EMISSION DE CHALEUR

3.3.1. Radiateurs panneau à eau chaude

Les locaux seront chauffés par des radiateurs de type panneau à eau chaude munis de robinets thermostatiques. Les têtes thermostatiques seront de type anti-vandalisme alignées sur les corps de chauffe.

Les robinets thermostatiques seront certifiés (variation temporelle inférieure à 0.50 K).

Radiateur type panneaux légèrement profilés horizontaux ou verticaux avec pattes de fixation, couche de fond et peinture epoxy.

Peinture : - Laquage brillant double-couche parfaitement lisse, - Dégraissé, phosphaté, couche de fond avec peinture par immersion et laquage epoxy.

Qualité :

- Contrôle RAL 9016, - Contrôle d’étanchéité sur tous les radiateurs, - Pression d’essai : 13 bars, - Température de service maxi : 10 bars, - Certification selon norme DIN EN ISO 9001 :2008.

Les corps de chauffe sont munis de consoles de fixation murales et sont fixés à 0.11m du sol.

Le raccordement hydraulique des corps de chauffe sera choisi selon l’implantation.

Y compris :

Té d’arrêt et de réglage,

Purgeur,

Fixations sur supports de toute nature,

Pieds de supportage,

Dépose et repose pour travaux de peinture.

Localisation : Selon plans.

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3.3.2. Radiateurs plinthe à eau chaude

Les locaux seront chauffés par des radiateurs type plinthe à eau chaude munis de robinets thermostatiques.

Les robinets thermostatiques seront certifiés (variation temporelle inférieure à 0.50 K). Esthétique chromé.

Les têtes thermostatiques seront de type anti-vandalisme alignées sur les corps de chauffe.

Radiateur type plinthe à ailettes avec peinture teinte RAL.

Elément tubulaire plat en tubes d’acier de précision horizontaux, avec ailettes, soudé à chaque extrémité sur un collecteur. Ailettes soudées par procédé multipoints. Assemblage des éléments par soudure.

Traitement : - Traitement de surface par lavage, dégraissage et traitement anticorrosion par bain de

phosphatation. - 1ère couche de peinture par procédé d’immersion en cataphorèse - 2ème couche de peinture par soudage époxy polyester et cuisson à 180°C

Conditions d’utilisation : - Pression de service standard : 5 bars ; épreuve : 6,5 bars - Exécution haute pression : 10 bars ; épreuve : 13 bars - Température maximum de service : 120 °C

Fixation : - Pose sur pied intégré, cache vis et pièce de sécurité.

Le raccordement hydraulique des corps de chauffe se fera par le côté.

Y compris : Té d’arrêt et de réglage Purgeur Fixations sur supports de toute nature Pieds de supportage Dépose et repose pour travaux de peinture

Teinte RAL blanc 9016


3.3.3. Réseaux secondaires et colonnes montantes

L’ensemble des réseaux eau chaude sera réalisé en acier noir suivant les spécifications techniques générales.

Il sera prévu une peinture antirouille sur l’ensemble des réseaux.

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3.3.4. Calorifuge

L’ensemble des réseaux cheminant en faux-plafond, en gaine technique, en local non chauffé sera calorifugé. L’ensemble du réseau sera calorifugé suivant les prescriptions techniques générales.






3.3.5. Vannes d’arrêt


Les vannes seront disposées suivant les plans et schémas de principe et au minimum sur chaque équipement, départ collecteur, piquage ou antenne.

3.3.6. Vannes d’équilibrage

Les vannes de réglage de débit seront de type à volant permettant le réglage, la mesure du débit et l’isolement.


3.3.7. Accessoires

Purgeurs d’air Les points hauts seront munis de purgeurs d’air comportant une capacité tampon, un purgeur automatique et une vanne de purge manuelle DN15 ramenée à 1,50 m du sol.

Thermomètre Tous les départs ainsi que tous les retours des circuits et des équipements seront munis de thermomètres à dilatation de liquide montés sur doigt de gant afin de permettre un démontage sans vidange de l’installation.

Vannes de vidange Les points bas des circuits ainsi que les équipements (batteries, échangeurs, …) sont munis de vannes de vidange quart de tour bouchonnées.

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3.4. VENTILATION DOUBLE-FLUX

3.4.1. Principe

L’ensemble des réseaux de ventilation double-flux est classé en ventilation de confort suivant l’article CH32. Il sera prévu :

Des clapets coupe-feu au droit des traversées de planchers, de limite de zone de compartimentage et de mise à l’abri, de gaine technique

Des clapets coupe-feu au droit des parois de locaux à risques.

3.4.2. Centrale de traitement d’air

L’air de la salle de restauration du pavillon centrale sera prétraité par une centrale de traitement d’air verticale installée en local technique ventilation au R-1 du pavillon central.

Normes et certification - La construction et la sélection de la CTA seront conformes aux normes et exigences suivantes : - Fabrication ISO 9001 - Garantie 2 ans, y compris pièces tournantes, - Certification Eurovent et Cofrac (Enveloppe et composants) - Classisication EUROVENT minimale à atteindre, suivant la norme EN1886 (Performances

mécaniques des caissons) : - D2 pour la résistance de l’enveloppe - L1 pour la fuite d’air de l’enveloppe - F9 pour la fuite de dérivation des filtres - T2 pour la conductivité thermique - TB2 pour les ponts thermiques - EN 13053 (Classsification et performances des caissons) - EN 13779 (Exigences de performances pour les systèmes de ventilation) - EN 90351 (Exigences relatives à la maitrise de la contamination aéroportée dans les

établissements de santé)

Enveloppe et assemblage

Tous les panneaux constitutifs de la centrale seront à double peau d’une épaisseur minimum de 60 mm de laine de roche M0, densité minimum 50 kg/m³, K=0,61 W/m²K. Atténuation acoustique à la paroi minimum de 42 dB.

Les panneaux devront être parfaitement étanches, interdisant tout contact de l’isolant avec l’air.

La structure de la CTA sera constituée, de profilés en aluminium laqués, à rupture de ponts thermiques et phoniques. Cette ossature ne devra pas être saillante et ne devra créer aucun décroché ni aspérité dans la veine d’air de la CTA.

Les tôles intérieures seront protégées au minimum par une protection d’Alu-Zinc (offrant une résistance à la corrosion bien supérieure au galva), classe de protection à la corrosion CRC4 au minimum.

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Les tôles extérieures seront au minimum galvanisées puis protégées par une peinture polyester RAL9002. Tous les panneaux sont vissés dans le profilé, et démontables depuis l’extérieur de la CTA (aucune vis ne sera présente dans la veine d’air).

Les surfaces (Structure comprise) seront parfaitement lisses à l’intérieur et à l’extérieur pour faciliter le nettoyage.

L’assemblage des blocs se fera par emboîtement conique avec détrompeurs mâle-femelle situés dans l’épaisseur du profilé et aux 4 angles, ceci permettant un parfait alignement des modules les uns avec les autres. L’assemblage devra se faire sans qu’un démontage de panneau soit nécessaire.

Portes

Les portes seront de même conception que les panneaux. Toutes les fermetures se feront en 2 points minimum par verrou discal à serrage progressif. Aucun dispositif de fermeture ne devra être présent dans la veine d’air. Le sens d’ouverture des portes sera réversible (ouvrant gauche ou droite) et modifiable sur site.

Les joints seront indéformables, de type hygiène multi-lèvres et démontables pour le nettoyage.

La fixation des charnières et des serrages de porte, se fera obligatoirement dans un montant métallique (en aucun cas dans du plastique ni dans la tôle du panneau).

Une fois fermée, la porte ne devra créer aucune aspérité ou cornière nuisant à la finition de la veine d’air de la CTA.

Support, manutention

La centrale sera équipée d’un châssis de 80mm de haut, en acier galvanisé peint, d’une épaisseur minimale de 3mm sur toute sa périphérie. Ce châssis sera ventilé et de forme « C » à bords refermés (comportera 4 plis) afin d’accroitre la rigidité.

La manutention pourra se faire au moyen d’anneaux de levage fixés dans le profilé aux 4 angles, ou dans le châssis pour des charges importantes (le fournisseur livrera un kit de manutention adapté).

Composition dans le sens de l’air

La centrale sera de type double flux verticale. Le débit de soufflage et d’extraction sera de 4 400 m³/h et la pression disponible aux ventilateurs sera de 400 Pa. Le SFPv obtenu sera de 2,72 kW/m³/s max.

Elle sera composée dans le sens de l’air :

SOUFFLAGE:

Un caisson d’air neuf avec porte, registre intérieur motorisé latéral en acier galvanisé monté sur cadre (avec taux de fuite inférieur à 60 m³/h / m² d’ouverture sous 100 Pa) et avec fond incliné en INOX et évacuation de sol pour éviter toute stagnation des infiltrations d’eau de pluie par jour de tempête. Prévoir siphon.

Un filtre plissé type F7 / 85 % Opacimétrique à poche rigide à haute surface filtrante avec prises de pression montées en usine. Montage sur cadre universel impératif. Accès par porte sur charnières. Dégagement côté sale.

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Un récupérateur à plaques ECOPLAT, constitué d’un empilage de plaques en aluminium positionnées en diagonale sera prévu. Ce récupérateur sera équipé d’un registre de by-pass motorisable : sur l’air neuf pour gestion du givre et du free cooling.

Le by-pass pour dégivrage en période hivernal se fera de façon modulante afin d’éviter une perturbation au niveau de la batterie chaude et de fortes variations de puissances rendant la régulation difficile.

Le récupérateur sera prévu pour accepter une différence de pression entre les deux flux d’air de 800 Pa sans subir de dégâts. Sa fabrication sera donc spécifique et renforcée avec certificat du fabricant garantissant le fonctionnement.

La récupération des condensats se fera par un fond incliné inox triple pentes.

Le calcul du rendement devra se faire dans les conditions suivantes de température ET d’humidité en tenant compte des débits précisés au CCTP.

Eléments Grandeur Valeur

Récupérateur

Efficacité hiver >85%

Pertes de charge sur l’air ≤200 Pa

Hiver : Air extérieur à -15°C / 90% HR, air intérieur à 20C / 50% HR

Eté : Air extérieur à 32°C / 40% HR, air intérieur à 26°C / 60% HR Il sera prévu un accès sur les 4 côtés de raccordement pour l’inspection et le nettoyage de l’équipement

Une batterie chaude montée sur glissière, tubes cuivre épaisseur minimum de 0.35 et d’un diamètre minimale de 12mm / ailettes en aluminium gaufrées d’un pas d’ailettes minimum de 2.5mm suivant la norme EN 13053. Collecteurs en cuivre, raccords à l’extérieur filetés en acier. Avec purgeur et vidange montés en usine. Pour les diamètres de raccordement supérieur à DN50, le fabricant montera des brides d’usine.

Température d’entrée d’air : -15°C

Régime de température d’eau : 80 / 60 °C non glycolée.

Les traversées de panneaux pour le raccordement hydraulique seront ajustées aux dimensions du tube et l’étanchéité se fera au moyen de collerettes circulaires ajustées au droit de la tôle intérieure et de la tôle extérieure ainsi qu’un manchon traversant pour une étanchéité parfaite.

Le raccordement hydraulique de la batterie pourra se faire sur la face opposée à la face de service au besoin.

Un tiroir antigel, avec panneau d’accès démontable et poignée, équipé d’un cadre support pour la sonde antigel. L’ensemble sera monté sur glissière et sera extractible sans intervention sur la batterie chaude. Le panneau sera de même nature que la CTA et le capillaire sera déployé sur toute la section de la veine d’air. La traversée du câble se fera par un presse-étoupe traversant monté d’usine par le fabricant.

Un groupe moto-ventilateur de soufflage de type roue libre avec moteur EC, procédé par entraînement direct sans volute, réglage du débit par signal 0-10V. Montage du groupe moteur et turbine sur un châssis extractible, positionné sur plots anti-vibratiles et sur glissière. Liaison équipotentielle prévue en usine. L’ouïe

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d’aspiration est munie d’un tube circulaire pour mesure précise du débit d’air par dépression au cône. Les points de mesure sont raccordés à des prises de pression montées d’usine.

Le fabricant précisera les niveaux acoustiques en puissance à la source et hors du caisson par bandes d’octaves pour chaque ventilateur.

Grandeur Valeur

Pression disponible 400 Pa

SFPv 1,46 kW/m³/s

Puissances absorbées 1,90 kW

Réserve moteur au point de fonctionnement nominal 10 %

Dimensionnés pour garantir le débit avec un encrassement maximal des filtres

Niveau sonore

Côté aspiration: 81 dB(A)

Côté soufflage: 88 dB(A)

A la paroi: 60 dB(A)

REPRISE:

Cadre de raccordement hygiène galvanisé à la reprise. Sans aspérité, avec fonction antivibratile. Liaison équipotentielle et montage réalisés en usine.

Un filtre à poches type M5 / 47 % Opacimétrique avec prises de pression montées en usine. Montage frontal sur cadre individuel impératif avec serrage aux 4 coins. Accès par porte sur charnières d’une largeur minimale de 400mm. (Les glissières seront proscrites)

Le filtre sera de type fibre de verre collée avec un dispositif d’écartement évitant que les poches puissent se toucher et ainsi réduire la surface utile de filtration.

Un groupe moto-ventilateur de reprise de type roue libre avec moteur EC, procédé par entraînement direct sans volute, réglage du débit par signal 0-10V. Montage du groupe moteur et turbine sur un châssis extractible, positionné sur plots anti-vibratiles et sur glissière. Liaison équipotentielle prévue en usine. L’ouïe d’aspiration est munie d’un tube circulaire pour mesure précise du débit d’air par dépression au cône. Les points de mesure sont raccordés à des prises de pression montées d’usine.

Le fabricant précisera les niveaux acoustiques en puissance à la source et hors du caisson par bandes d’octaves pour chaque ventilateur

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Grandeur Valeur

Pression disponible 400 Pa

SFPv 1,27 kW/m³/s

Puissances absorbées 1,67 kW

Réserve moteur au point de fonctionnement nominal 10 %

Dimensionnés pour garantir le débit avec un encrassement maximal des filtres

Niveau sonore

Côté aspiration: 82 dB(A)

Côté soufflage: 88 dB(A)

A la paroi: 59 dB(A)

Caractéristiques de la centrale : Soufflage : ................................................................... 4 400 m³/h Reprise :...................................................................... 4 400 m³/h Air neuf : ..................................................................... 4 400 m³/h Air extrait : ................................................................... 4 400 m³/h Classe SFPv (selon EN 13779) : ............................ 2,72 kW/m³/s SFPv coté insufflation ............................................. 1,46 kW/m³/s SFPv côté extraction ............................................... 1,67 kW/m³/s

Conditions été Conditions hiver

Rendement récupération 77 % 90 % Puissance échangeur de récupération 6,9 kW 46,1 kW Conditions : Température extérieure / humidité relative 32°C / 40 % -15°C / 90 % Température intérieure / humidité relative 26°C / 50 % 20°C / 50 % Puissance batterie chaude ........................................................ 57,6 kW Puissance nominale ventilateur insufflation.................................... 3 kW Puissance nominale ventilateur extraction : ................................... 3 kW Dimensions : Largeur (y compris manchettes de raccordement) : ............... 2 760 mm Profondeur (y compris roue de récupération) : ........................ 1 080mm Hauteur (y compris roue de récupération) : ............................ 2 080 mm Y compris supportage anti-vibratile, essai et mise en service. Localisation : Pavillon central

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3.4.3. Diffuseurs linéaires de soufflage et de reprise

Le soufflage et la reprise murale dans le pavillon central seront assurés par des diffuseurs rectangulaires de type multidirectionnel.

- Soufflage horizontal - Effet Coanda - Déflecteurs réglables, souplesse d'orientation avec

plusieurs configurations - Diffuseur démontable, permettant le nettoyage de l'unité complète et celui de la gaine - Cadre aluminium finition anodisée, teinte au choix de l'architecte. - Embouts et profilés en T en aluminium finition anodisée, teinte au choix de l'architecte. - Volets de déflexion de flux en aluminium finition anodisée, teinte au choix de l'architecte. - Plénum équipé de raccords de gaine circulaire de 250 mm de diamètre avec joint caoutchouc. - Plénum d'équilibrage autorisant la mesure et le réglage du débit - Insonorisation du plénum sur 5 faces. - Le plenum devra être peint en noir.

Les diffuseurs seront dimensionnés pour respecter les niveaux sonores, les portées et une vitesse résiduelle inférieure à 0,2 m/s en zone d’occupation.

Chaque diffuseur comprendra :

Un plénum en acier galvanisé avec élément de répartition du flux d’air

Un module de régulation de débit comportant une membrane régulatrice permettant de maintenir un débit constant à une valeur prédéterminée dans une plage de pression de 50 à 250 Pa

Nombre de fentes à déterminer selon le débit souhaité

Teinte au choix de l’architecte.

L'entreprise devra fournir un document représentant pour chaque type et configuration de local une simulation de la veine d'air de diffusion avec son débit, la vitesse résiduelle, le gradient de température, la pression acoustique totale, la perte de charge totale.

L'entreprise devra fournir un document justifiant le niveau acoustique généré par les diffuseurs et respectant les exigences définies par la réglementation acoustique en vigueur.

3.5. VENTILATION MECANIQUE CONTROLEE SIMPLE FLUX

3.5.1. Principe

Les réseaux de ventilation des pavillons 01 & 04 sont classés VMC à fonctionnement permanent. Il sera prévu :

Une extraction par bouches autoréglables à forte perte de charge dans les sanitaires, vestiaires et pièces humides

Des entrées d’air autoréglables dans les chambres.

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Un caisson de ventilation C4 alimenté en câble CR1 par dérivation depuis le TGBT

3.5.2. Bouches d’extraction

La reprise en faux-plafond et en applique de parois dans les pavillons 01 & 4 sera assurée par des bouches type design circulaire.

La régulation de débit de soufflage et de reprise sera assurée par des modules de régulation de débit comportant une membrane régulatrice permettant de maintenir un débit constant à une valeur prédéterminée dans une plage de pression de 50 à 250 Pa. Construction :

- Constitué d'un cône extérieur et d'un cône central démontable. - Corps en tôle d'acier laminé à froid, finition peinture époxy - Montage : à l'aide d'une collerette ou d'un manchon placo acier selon le

support - Cône extérieur avec trois griffes pour montage direct sur gaine rigide - Noyau central réglable




3.5.3. Grilles d’extractions sur gaines

La reprise dans les pavillons 01 & 4 sera assurée par des grilles de reprise sur gaine pour les locaux non équipés de faux-plafond.

Grille double déflection pour conduits cylindriques en INOX.

Prévoir un registre à glissière inclinée pour la répartition uniforme de l'air sur la grille et l'équilibrage des réseaux.

Mise en place de modules de régulation à débit contant sur les réseaux pour fixer le débit maximal dans les différents tronçons et permettre l'équilibrage des réseaux.

Y compris toutes sujétions de montage et de raccordement.

Montage sur gaine

3.5.4. Entrées d’air

3.5.4.1. ENTREES D’AIR EN MENUISERIE

Entrée d’air auto réglable acoustique en polystyrène choc, disposant d’un avis technique valide du CSTB.

Débit fixe de 30 m³/h ou 45 m³/h (selon plans).

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Respect des performances d'isolement acoustique (Dn,e,W + Ctr) en fonction de l'isolement acoustique des façades. Conforme à la NRA. Isolement acoustique de 38 dB (affaiblissement Dn,e W + Ctr )

Montage sur mortaise de 2 x 172 x 12 mm (dimensions du percement).

Il sera vérifié que les dispositifs d'occultation (volets roulants…) des fenêtres en position fermée n'empêchent pas le bon fonctionnement des entrées d'air.

En fourniture uniquement. Pose au lot menuiserie extérieure.

Localisation : Suivant plans (choix de la couleur à valider avec l’architecte)

3.5.4.2. ENTREES D’AIR EN TRAVERSEE DE PAROI

Entrée d’air auto réglable acoustique en polystyrène choc, disposant d’un avis technique valide du CSTB à installer en traversée de parois.

Débit fixe de 30 m³/h ou 45 m³/h (selon plans).

Respect des performances d'isolement acoustique (Dn,e,W + Ctr) en fonction de l'isolement acoustique des façades. Conforme à la NRA. Isolement acoustique de 38 dB (affaiblissement Dn,e W + Ctr )

Montage en traversée de paroi y compris : - Tube - Auvent extérieur - Entrée d’air intérieure

Il sera vérifié que les dispositifs d'occultation (volets roulants…) des fenêtres en position fermée n'empêchent pas le bon fonctionnement des entrées d'air.

En fourniture et pose au présent lot.

Localisation : Suivant plans (choix de la couleur à valider avec l’architecte)

3.5.5. Caisson de ventilation

Les ventilateurs d’extraction seront de type ventilateur en caisson classé C4 (400°C – ½ heure) avec moteur basse consommation ECM. Ils comporteront une structure en acier galvanisé avec panneaux démontables pour la maintenance. Ils seront équipés d’un ensemble moto-ventilateur avec moteur à commutation électronique et régulation de pression constante.

La consommation électrique sera inférieure à 0.3 W/m3/h.

Y compris par ventilateur :

Protection pare-pluie pour les caissons extérieurs Manchette souple M0 à l’aspiration Refoulement avec manchette souple M0 au refoulement (si celui-ci est gainé) ou visière

pare-pluie avec grillage anti volatiles

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Plots anti vibratiles et dallettes de répartition et de désolidarisation pour pose sur l’étanchéité

Interrupteur de proximité et régulateur de débit avec potentiomètre de réglage. L’ensemble sera monté sur le caisson et câblé en usine.

Raccordement sur les attentes force et asservissements du lot Electricité

Implantation du caisson d’extraction dans les combles.

Débit total extrait : 775 m3/h

3.6. RESEAUX AERAULIQUES ET EQUIPEMENTS DE RESEAUX

3.6.1. Conduits

Les réseaux de ventilation seront réalisés en acier galvanisé, classé M0, de type circulaire ou rectangulaire, y compris accessoires de pose et de suspente.

Les épaisseurs minimums ci-après seront à prendre en considération :

Plus grande dimension de la gaine (mm) Epaisseur minimum (mm)

Inf. à 250 mm 0,60 mm

250 à 800 0,80 mm

Sup. à 800 1,00 mm

Les grandes surfaces de gaines seront diamantées ou raidies par des ferrures galvanisées. L'assemblage se fera à l'aide de cadre en fer cornière boulonné avec interposition d'un mastic. Les supports et fixations, ainsi que toutes les parties métalliques non galvanisées seront protégés par une couche de peinture antirouille.

Les sections des gaines de petites dimensions seront déterminées en fonction d'une perte de charge linéaire inférieure ou égale à 0,1 mm CE/m, tandis que les gaines collectrices principales seront choisies pour une vitesse maxi de 5 m/s.

Les gaines seront désolidarisées de la structure du bâtiment, au moyen d'un matériau résiliant genre feutre interposé entre la gaine et le support.

Un détail et prototype de montage de gaine devra être validé par la maitrise d’œuvre préalablement à la pose.

Conformément à la norme XP P 50-410, l’implantation du réseau doit permettre les opérations

normales d’entretien de ce réseau.

Les conduits seront circulaires ou rectangulaires, en tôle d’acier galvanisé, agrafés en spirales et

réalisés selon la norme NF P 50.401.

Les conduits seront fixés à l’aide de colliers isophoniques et de feuillards, raccordés par des pièces

de raccordement.

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Accessoires de réseaux tels que coudes, piquages à 45°, réductions coniques, pièces de

transformations, pièces préfabriquées….

Toutes les pièces de raccordement seront livrées d’usine.

Les conduits pourront s’emboîter facilement grâce à leur chanfrein de guidage,

Les colonnes verticales seront situées dans les gaines techniques rendues de degré coupe-feu

suivant la famille du bâtiment.

La section des colonnes verticales sera constante sur toute la hauteur.

Au sommet de chaque colonne, prévoir une souche insonorisée, type CPT acoustique.

Pour les traversées de dalles, la liaison béton/conduit sera assurée par un joint de traversée de

dalle, permettant d’amortir les vibrations dans les structures et les émissions d’ondes sonores.

Au pied de chaque colonne, prévoir un tampon de ramonage amovible et une trappe de visite de

500x500 au minimum.

Le mode de fixation du réseau horizontal tiendra compte des contraintes techniques des divers

matériaux porteurs.

Le circuit aéraulique comportera des registres de réglage permettant un bon équilibrage du réseau

Avant regroupement des gaines dans un conduit commun (pour sortie en toiture par exemple) les

circuits concernés seront équipés de clapet anti-retour

Débit de fuite

Les défauts d’étanchéité du réseau doivent être pris en compte en supposant qu’ils sont localisés au droit de chaque bouche. On considère alors que le taux de fuite du réseau correspond à 3 % du débit maximum des bouches à additionner aux débits minimum et maximum.

Attention des manchons de dilatation seront installés au passage de JD conformément au DTU.

Conduits flexibles

Les terminaux seront raccordés aux conduits principaux à l’aide de conduits semi-rigide, phoniques, calorifugés, classés M0.

L’assemblage des gaines souples sur les éléments rigides sera réalisé par emboîtement et serrage par colliers à vis. Etanchéité par bande kraft auto-adhésive.

La suspension sera assurée par des feuillards réglables.

Les supports seront disposés tous les 0,50 m au maximum. Ils sont suspendus à la structure en deux points de manière à éviter le balancement des gaines.

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3.6.2. Calorifuge

Les gaines seront calorifugées par un matelas de 25 mm de laine minérale A1 avec une protection extérieure Alu renforcée d’une grille de verre tri directionnelle formant une barrière pare-vapeur continue.

Les réseaux aérauliques seront soigneusement calorifugés à l’aide d’un matelas de laine minérale, classé M0, de 25 mm d’épaisseur minimum dans les locaux chauffés et 50 mm dans les locaux non chauffés et à l'extérieur, avec protection et finition en feuille d'aluminium. Accessoires de pose en acier galvanisé.

3.6.3. FLOCAGE COUPE-FEU

Flocage des gaines nécessitant un degré coupe-feu spécifique par un flocage de degré coupe-feu 2h. Application du flocage par projection (un PV de résistance au feu devra être transmis).

3.6.4. Clapets coupe-feu

Des clapets coupe-feu 2 heures certifiés NF suivant la norme NFS 61-937 seront installés au droit des traversées de planchers, de limite de zone de compartimentage et de mise à l’abri, de gaine technique et des parois de locaux à risques importants :

Déclenchement par déclencheur thermique FTE 70°C

Canne inox foxée par une vis dans le boitier mécanisme

Accès rapide pour changer le fusible

Fusible 71°C conforme à la NF-S 61.937

3.6.5. Cartouches coupe-feu

Mise en place de cartouches coupe 1h-feu répondant aux exigences des clapets bouches de l’article CH 42 du règlement incendie.

Elément à insérer dans le conduit aéraulique certifié CE selon EN15650.

Classement de résistance au feu CF1 = EI 60 S – (Ve Ho i o) sous 300 Pa.

3.6.6. Pièges à sons

Les réseaux de soufflage et de reprise ainsi que les prises d’air neuf et de rejet seront équipées de pièges à sons comportant des baffles acoustiques M0 / Euroclasse A1 avec un voile anti-érosion.

Les pièges à sons seront dimensionnés en fonction des niveaux sonores demandés. Une note de calcul acoustique devra être fournie avant mise en œuvre.

3.6.7. Grille d’air neuf

Construction : aluminium extrudé anodisé Grille à ailettes horizontales de 80 mm de hauteur,

Pas des ailettes : 80 mm

Etanche à la pénétration de l'eau

Grillage de protection contre les volatiles et les rongeurs

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Large cadre en acier plat et grillage acier 13 x 13 mm

Grille fournie avec cadre de montage

La sélection de la grille garantira un niveau acoustique compatible avec les exigences définies dans le

présent CCTP.

Vitesse de passage < 2m/s, à confirmer en EXE.


3.6.8. Grille de rejet d’air

Construction : aluminium extrudé anodisé Grille à ailettes horizontales de 80 mm de hauteur,

Pas des ailettes : 80 mm

Etanche à la pénétration de l'eau

Grillage de protection contre les volatiles et les rongeurs

Large cadre en acier plat et grillage acier 13 x 13 mm

La sélection de la grille garantira un niveau acoustique compatible avec les exigences définies dans le

présent CCTP.

Vitesse de passage < 2m/s, à confirmer en EXE.


3.6.9. Equilibrage et régulation des débits

3.6.9.1. MODULE DE REGULATION A DEBIT CONSTANT

Des modules de régulation à débit constant seront mis en place sur chaque terminal de VMC.

3.6.9.2. REGISTRES SUR TERMINAUX

Les registres de réglage et de mesure du débit sur les diffuseurs de soufflage et de reprise seront intégrés

directement dans les plénums de raccordement.

Pour les diffuseurs non équipés de plénum, mise en place d'un régulateur à débit constant au niveau des

diffuseurs de soufflage et de reprise (distances minimales à respecter selon prescriptions fabricant).

3.6.9.3. REGISTRES CIRCULAIRES

Mise en place de registres d'équilibrage circulaires sur les réseaux principaux.

Registre de réglage et équilibrage du débit.

Classification d'étanchéité de l'enveloppe : EN 1751, classe C.

Enveloppe et clapet en acier galvanisé.

Joint de clapet en caoutchouc EPDM.

Joint de gaine en polyuréthane hybride 1C.

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3.6.9.4. REGISTRES RECTANGULAIRES

Mise en place de registres d'équilibrage rectangulaires sur les réseaux principaux.

Registre de commande à lames opposées permettant la fermeture, le réglage et l'équilibrage du débit

En position fermée, l'étanchéité est conforme à la norme EN 1751 classe 1

Plage de température en fonctionnement jusqu'à +100 °C.

Fabrication en acier galvanisé.

Classification d'étanchéité de l'enveloppe extérieure : classe B selon EN 1751

Modèle avec insonorisation périphérique

PLOMBERIE SANITAIRE

3.7. RACCORDEMENT GENERAL EAU FROIDE

La limite de prestation sera la conduite intérieure existante dans chaque pavillon.

Débit indicatif : 3 m³/h (0,84 l/s).

Sur l’alimentation générale, il sera prévu une vanne de coupure générale d'alimentation, un dispositif de filtration générale 100 m minimum (lavage à contre-courant) muni d’un by-pass en amont de tout branchement ou équipement.

Ce réseau sera équipé d'un dispositif de disconnexion général type EA.

Un dispositif antitartre physique sera implanté sur l’alimentation générale Eau Froide. Ce dispositif fonctionnant par impulsions électriques permet de supprimer le risque de dépôts de tartre sans modifier la composition chimique de l’eau. Il sera muni d’une vanne d’arrêt amont et aval ainsi que d’un by-pass.

Les réseaux seront réalisés en tube cuivre écroui et seront équipés chacun de vannes d'arrêt. Le détail des organes de protection, coupures, comptage, mesures, etc… Ils seront calorifugés en local technique, faux-plafond et gaine technique (calorifuge de type Armaflex 19 mm).

3.8. DISTRIBUTION EAU FROIDE BRUTE

Il sera prévu 3 départs distincts en chaufferie pour alimentation des différents équipements :

Distribution eau froide brute avec clapet anti-retour type EA,

Alimentation adoucisseur avec clapet anti-retour type EA.

Chaque départ comportera une vanne d’arrêt, un compteur et un dispositif anti retour conforme au guide CSTB n°1.

La distribution d’eau froide sera réalisée conformément au DTU 60.11.

Les raccordements terminaux seront réalisés en cuivre.

Les réseaux alimenteront :

les appareils sanitaires ;

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les robinets de puisage ;

les productions ECS.

Réseaux :

Les réseaux principaux seront réalisés en tube cuivre écroui.

Les réseaux aériens alimentant les terminaux seront réalisés tube cuivre écroui.

Les réseaux encastrés alimentant les terminaux seront réalisés tube Per sous fourreau.

L’ensemble des réseaux et accessoires devront bénéficier de la conformité ACS.

Calorifuge :

Les réseaux cheminant en local non chauffé, gaine technique et faux-plafond seront calorifugés par manchons type Armaflex 19 mm anti-condensation.

Les robinets de puisage seront équipés d’un clapet antipollution, ainsi que d’un système de vidange permettant la mise hors gel des installations.

Les attentes avec vannes d’arrêt seront équipées de clapet anti-retour EA.

Les dérivations principales des réseaux seront équipées de vannes d’isolement accessibles et repérées.

Les colonnes de distribution seront équipées d’une vanne de vidange bouchonnée en pied.

Les réseaux principaux cheminant horizontalement comporteront une pente minimale vers le point de vidange.

3.9. TRAITEMENT D'EAU

Mise en place d’un système de traitement d’eau pour l’alimentation en eau froide de la chaufferie et de la production d’eau chaude sanitaire.

Il sera installé sur l'alimentation eau froide un adoucisseur (abaissement du TH à 10°C).

Ce dispositif sera installé dans la chaufferie.

Caractéristiques techniques:

Débit nominal (à TH=0°f): - 3 m³/h à 10 m C.E. - 6 m³/h à 20 m C.E.

Volume de résines : 50 litres

Capacité d'échange : 280°f m3

Diamètre de Raccordement : DN 40 (1’’1/2)

Corps composite inerte à la corrosion

Bac à sel en polyéthylène

Programmation automatique des régénérations.

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3.10. DISTRIBUTION D’EAU ADOUCIE

Les réseaux alimenteront : Le remplissage du circuit de chauffage,

La production d’eau chaude sanitaire.

Réseaux :



Les réseaux encastrés alimentant les terminaux seront réalisés tube Per sous fourreau.


Calorifuge :

Les réseaux cheminant en extérieur seront calorifugés par manchons type Armaflex 30 mm anti-condensation.


Des vannes de redurcissement seront placées de telle manière à réadapter la dureté de l’eau au type d’appareils raccordés :

Production ECS : Th 10°F

Remplissage chauffage : TH 10° F

Les attentes avec vannes d’arrêt seront équipées de clapet anti-retour EA.

Les dérivations principales des réseaux seront équipées de vannes d’isolement accessibles et repérées.

Les colonnes de distribution seront équipées d’une vanne de vidange bouchonnée en pied.

Les réseaux principaux cheminant horizontalement comporteront une pente minimale vers le point de vidange.

3.11. ALIMENTATION ET DISTRIBUTION EAU CHAUDE SANITAIRE

A partir de la production ECS, il sera réalisé la distribution ECS aux différents points d'utilisation.

L'eau chaude sanitaire sera produite et distribuée à 60°C dans les réseaux principaux.

Chaque douche sera équipée d'une robinetterie thermostatique individuelle, répondant aux exigences de sécurité (anti-brûlure) spécifiques aux chocs thermiques.

Pour les autres appareils, les robinetteries mitigeur à commande manuelle comporteront une butée mécanique permettant de limiter la température au puisage.

Réseaux :



Les réseaux encastrés alimentant les terminaux seront réalisés tube PeHD sous fourreau.


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Calorifuge :


Les dérivations principales des réseaux seront équipées de vannes d'isolement accessibles et repérées.

Sur chaque réseau ECS l'entreprise du présent lot prévoira la mise en place de sondes de température (sur le départ et sur chaque retour de boucles – cf. schéma de principe), avec enregistreurs miniatures de températures autonomes (autonomie 2 ans). Il sera prévu une sonde au départ production ECS, une sonde au retour générale bouclage ECS dans le local production et une sonde au retour bouclage de chaque boucle principale d’étage.

Sécurité anti-brûlure

Mise en place d’un mitigeur thermostatique centralisé sur le départ général ECS. - Mitigeur thermostatique centralisé pour bouclage de 44° à 58°C : - Sécurité antibrûlure. - Régulation des variations de température. - Filtres et clapets antiretour accessibles par l’extérieur sans démontage du mécanisme. - Choc thermique sans levier spécifique (bouton poussoir sur le volant). - Cartouche interchangeable à cellule automotive. - Corps laiton DZR chromé haute résistance. - Température maximum de l’eau chaude : 85°C. - Différentiel eau chaude / eau mitigée : 15°C mini. - Différentiel eau chaude / eau froide : 40°C mini. - Différence de pression aux entrées : 1 bar maxi (0,5 bar recommandé). - Pression mini / maxi : 1 à 10 bar (1 à 5 bar recommandé). - Arrivée EC à gauche (bague rouge) et EF à droite (bague bleue). - Sortie d’EM vers le haut (bague violette). - Pour sortie vers le bas : dévisser / replacer le bouchon en haut et le raccord de sortie EM en bas. - 15% d’économie d’énergie : déperdition calorifique optimisée (comparaison entre un bouclage 55°C

et un réseau non bouclé à 70°C). - Sécurisation et prolongation de la durée de vie du réseau. (ECS >65°C = facteur de vieillissement

prématuré). - Butée de température maximale réglable par l'installateur. - Limitation des risques de brûlures en baissant la température en sortie de production. - 55 l/min - M3/4"

3.12. BOUCLAGE ECS

A partir de la production d'ECS, des réseaux de bouclage en tube cuivre écroui seront réalisés et assureront une circulation permanente jusqu'aux appareils les plus éloignés.

Les débits de bouclage seront déterminés de manière à maintenir l’eau au-dessus de 55°C.

Le bouclage sera réalisé conformément au DTU 60.11 d’Août 2013. La longueur des antennes entre les réseaux bouclés et les points de puisages sera inférieure à 8 mètres.

Les diamètres des canalisations seront calculés pour avoir une vitesse de circulation comprise entre 0,2 et 0,5 m/s.

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Tous les réseaux recevront un calorifuge par manchons Armaflex (épaisseur 19mm) ou coquilles de laine de verre de la même manière que les canalisations eau chaude sanitaire (décrites au paragraphe précédent).

La circulation sera assurée par deux pompes (une en secours) avec permutation automatique pour chaque circuit de bouclage (permutation gérée par le lot chauffage-ventilation).

Il sera prévu des installations de bouclage pour chacun des réseaux de distribution spécifiques suivants :

Depuis la chaufferie :1 pompe de boucle ECS principale

Sur chaque retour bouclage ECS vers la production, mise en place d’un clapet anti-retour, d’un point d’injection, d’une sonde de température à tige, d’une vanne débit-métrique en aval des pompes de recyclage et d’une vanne d’arrêt.

Sur chaque réseau de bouclage l'entreprise du présent lot prévoira la mise en place de sondes de température (sur le départ et sur chaque retour de boucles – cf. schéma de principe), avec enregistreurs miniatures de températures autonomes (autonomie 2 ans). Il sera prévu une sonde au départ production ECS, une sonde au retour générale bouclage ECS dans le local production et une sonde au retour bouclage de chaque boucle principale d’étage.

Ces enregistreurs devront garantir la sauvegarde intégrale des valeurs mesurées en cas de défaillance de la pile, et la connexion pour récupération des données sur PC (logiciel fonctionnant sous Windows avec exploitation de ces données possibles sous tableur EXCEL).

3.13. REPARTITION DES CIRCUITS ET COMPTAGE

L’ensemble des compteurs pour les circuits d’eau froide seront à charge du présent lot.

Il sera prévu la fourniture et la mise en place d'un compteur volumétrique sur l’ensemble des réseaux suivants :

- Compteur général eau froide,

- Compteur eau froide adoucie,

- Compteur ECS,

- Compteur remplissage chaufferie.

3.14. VANNES D’ARRET

Les vannes d’arrêt seront de type quart de tour. Les vannes seront disposées suivant les plans et schémas de principe et au minimum sur chaque équipement, départ collecteur, piquage ou antenne.

3.15. GESTION DES EAUX USEES ET EAUX VANNES

3.15.1. Eaux usées et Eaux vannes

Les installations relatives à ce chapitre concernent :

L’ensemble des réseaux : chutes, collecteurs et raccordements reprenant les appareils sanitaires, les équipements techniques et particuliers ainsi que les attentes diverses,

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Les remontées en ventilation primaire des chutes et collecteurs,

Tous les collecteurs cheminant en élévation, reprenant les effluents des niveaux supérieurs, ceux-ci s'évacuant gravitairement vers les réseaux existants aériens ou sous dallage.

Réalisation des percements et saignées supérieurs au Ø100 mm ou 100 x 100 mm à charge du lot gros-œuvre.

L’ensemble des réseaux seront réalisés en PVC M1.

Ventilation primaire :

Chaque colonne sera prolongée en ventilation primaire avec débouché en toiture.

En cas de regroupement de plusieurs chutes, la ventilation primaire a un diamètre supérieur au diamètre de la chute la plus élevée.

L’emploi d’aérateur à membrane est proscrit.

Traversées des parois coupe-feu

D'une manière générale, les dispositions à prévoir devront impérativement respecter les articles C031 et C032 du règlement de sécurité contre l'incendie relatif aux E.R.P., notamment pour les traversées de planchers, et au droit des zones de protection.

Toutes les chutes traversant un plancher béton ou parois avec un degré coupe-feu spécifié seront équipées d'un collier coupe-feu ou d’un fourreau restituant le même degré coupe-feu que la paroi ou plancher traversé.

Le présent lot devra indiquer sur ses plans PAC la localisation et le procédé mis en œuvre pour rétablir les différents degrés coupe-feu.

Les dévoiements cheminant dans des locaux à risques et électriques devront être mis en œuvre dans un caisson étanche en tôle pliée avec débouché dans un local adjacent sans risque particulier. Une pissette sera mise en œuvre au niveau du débouché.

Les dévoiements PVC horizontaux en faux plafond recevront une isolation phonique par laine minérale. (Sauf dans les locaux sans contraintes acoustiques particulières tels que stocks, locaux techniques, etc...).

Mise en place d’une pompe de relevage compacte pour le relevage ponctuel de certains appareils.

3.15.2. Eaux usées – Eaux vannes sous dallage

Fourniture et mise en œuvre de canalisations enterrées du réseau destiné à la collecte et à l'évacuation des appareils sanitaires (WC, urinoirs, lavabos) sous l’emprise du bâtiment vers les réseaux existants.

En PVC série assainissement jusqu'au diamètre 250 mm. Assemblage par emboîtement avec joint bague en élastomère agréé. Diamètres appropriés aux débits utiles. Pente minimale : 1,5 % A chaque jonction, changement de direction et bas de chute, orifice et dégorgement avec tampon

hermétique. Compris : Fouilles éventuelles pour mise en place des conduites Joints. Lit de pose en sable de 0.10 m d'épaisseur. Blocage en sable jusqu'à 0.20 m au-dessus de la génératrice des tuyaux. Coudes, culottes, etc….

Réalisation des percements et saignées supérieurs au Ø100 mm ou 100 x 100 mm à charge du lot

gros-œuvre.

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3.16. APPAREILS SANITAIRES

Principes généraux de construction : Les équipements seront de type collectivité conçus pour résister à de très fortes sollicitations. Ils devront bénéficier de la marque NF.

Tous les appareils sont prévus complètement installés, y compris robinetterie, vidanges, raccords et scellements nécessaires.

Les appareils sont de première qualité, classe A, de couleur blanche, et seront en céramique, ou matériaux de synthèse conformes aux normes en vigueur et aux exigences sanitaires ACS.

Les robinetteries sanitaires seront estampillées « CE » possédant un classement EPEBAT et des garanties de 5 ans minimum.

Classement minimum des robinetteries :

Débit : E1 minimum pour robinetteries de lave-mains et lavabos.

Débit : E3 minimum pour robinetteries d’évier et de douche.

Acoustique : A2 minimum,

Endurance mécanique : U3 (tête 500 000 manœuvres),

Les manettes de commande seront bloquées de façon à limiter la température de l’eau :

dans les locaux accessibles au public à + 45 °C,

offices, cuisine à + 60 °C,

appareils accessibles eau enfant à + 37 °C (sécurité anti-brûlure et limiteur de température).

Les brise-jets seront du type « étoile » anti-aérosols.

L'installation pouvant être soumise à des chocs thermiques et chlorés à des concentrations de 50mg/l pendant 12 heures, les robinetteries devront être adaptées et l’ensemble des flexibles de raccordement des appareils de distribution seront réalisés en téflon.

La fixation des appareils et leur scellement sont assurés par le présent lot, quelle que soit la nature des matériaux et le type des appareils.

Le présent lot devra la mise en place des renforts, dans l'ossature des cloisons légères pour permettre la fixation des appareils, ainsi que les différents joints à réaliser entre les parois et les appareils à l'aide d'un mastic polymérisant.

L'entrepreneur devra également le cordon d'étanchéité silicone des appareils sanitaires installés contre les parois.

Les alimentations de chaque appareil sanitaire, ou groupe d'appareils seront équipés de vannes d'isolement 1/4 tours à passage intégral et d’un clapet anti-retour EA. Afin de faciliter les opérations de maintenance, les colonnes seront équipées de dispositif d'isolement et de vidange.

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Appareil Image Robinetterie

WC Suspendu avec réservoir :

Cuvette suspendue à fond creux, en porcelaine sanitaire pour rinçage 6 litres d’eau. Abattant à charnières inoxydables avec fermeture type Soft Closing. Dimensions (LxP) 360x560mm.

Bâti-support :

Bâti-support universel autoportant pour cuvette suspendue, à commande par plaque comprenant :

- Réservoir de chasse 6 litres - Mécanisme double-chasse à commande

mécanique, - Coude d’évacuation orientable en P.V.C. Ø

100 mm, pour évacuation verticale ou latérale,

Plaque de déclenchement double-touche 3/6 litres.

WC PMR Suspendu avec réservoir :

Cuvette suspendue à fond plat pour personnes à mobilité réduite, en céramique sanitaire pour rinçage 6 litres d’eau. Bride de rinçage fermée et diffuseur d’eau en céramique. Forme extérieure lisse et fermée. Garde au sol 130mm (à une hauteur de montage de 480mm selon DIN 18040-1 et DIN 18040-2.) Dimensions (LxPxH) 350x700x350mm. Lunette et abattant de WC Vital avec axe de charnières traversant et cales de stabilité latérales, charnières inox, sans amortisseur de fermeture. Kit de fixations invisibles pour cuvette suspendus et set de protection acoustique pour cuvette suspendue

Bâti-support :






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Plan vasque PMR : Plan vasque en matière composite renforcée de fibres de verre avec consoles intégrées. Plan vasque avec 2 bacs moulés d’un seul bloc, ce qui permet une conception sans assemblage et sans joint. Pré percé pour robinetterie mono trou sur plage. Dimensions du plan-vasque : Largeur : 1200 mm Profondeur : 600 mm Hauteur : 60 mm Dimensions des bacs : Largeur : 470 mm Profondeur : 330 mm Hauteur : 84 mm Montage mural, joint acrylique blanc de finition Teinte au choix de l’architecte. Y compris siphon déporté chromé à culot démontable avec tube de sortie et rosaces. Nombre de vasques selon plans et détails architecte.

Mitigeur Mitigeur temporisé de lavabo sur plage :

- Déclenchement souple. - Temporisation ~7 sec. - Débit préréglé à 3 l/min à 3 bars,

ajustable de 1,5 à 6 l/min. - Brise-jet antitartre inviolable. - Corps en laiton massif chromé. - Flexibles PEX F3/8" avec robinets d'arrêt,

filtres et clapets anti retour. - Fixation renforcée. - Réglage de température latéral par

manette levier handicapé à commande souple.

Lave-main en céramique.

Adapté pour les personnes à mobilité réduite Trop-plein et bonde à surverse. Dimensions : 500 x 400 mm Y compris siphon déporté chromé.

Mitigeur Mitigeur temporisé de lavabo sur plage à levier Réglage de température latéral par manette levier handicapé à commande souple.

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Lavabo: Lavabo en céramique à encastrer par le dessus. Diamètre 450 mm Y compris siphon chromé.


Evier double sur meuble :

Ensemble évier double sur meuble comprenant : - Meuble bas 120 cm en métal thermo laqué, 1 étagère, 2

joues latérales, 2 portes. - Evier inox finition lisse à poser sur meuble, 2 bacs, 1

égouttoir 120 cm. Teinte au choix de l’architecte.

Mitigeur Mitigeur mono commande évier Mono trou sur plage Bec tube pivotant Alimentation : EF + ECS ou EF seule selon plan.

Douche : Receveur de douche en céramique extra-plat à encastrer, y compris siphon. Dimensions : 900 x 900 x 35 mm

Kit douche thermostatique bicommande avec dispositif autovidable comprenant : • Mitigeur à cartouche thermostatique antitartre : - Sécurité antibrûlure : arrêt immédiat de l'eau chaude en cas de coupure de l'eau froide. - Isolation thermique antibrûlure. - Température réglable de 25°C à 41°C et double butée de température. Première butée déverrouillable à 38°C, seconde butée verrouillée à 41°C. - Possibilité de réaliser aisément un choc thermique. - Débit limité à 8 l/min à 3 bar. - Filtres et clapets antiretour intégrés sur arrivées • Douchette chromée Ø 119 monojet, anticalcaire avec poignée antidérapante et support mural inclinable chromé • Flexible .0,85 m en PVC lisse effet métallique

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Vidoir mural : Ensemble comprenant : un déversoir en céramique émaillée, une grille mobile en inox avec tampons amortisseurs et vis de fixation, avec bonde 1 1/2" à écoulement libre.

Mitigeur monocommande évier - Montage mural apparent - Bec tube pivotant

Zone de rotation à 360 °

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3.17. ACCESSOIRES SANITAIRES

Accessoire Image

Miroir :

Épaisseur : 6 mm. Pattes invisibles de fixation à prévoir. Dimensions : 420 x 600 mm pour les lave-mains Dimensions : 1450 x 845 mm pour les plans-vasques

Barre de relèvement WC :

Poignée coudée à 135° Ø 25. Utilisation comme barre d’appui (partie horizontale) ou de relèvement (partie à 135°) pour WC, douche ou baignoire. Utilisation indifféremment à gauche comme à droite. Dimensions : 400 x 400 mm. Epaisseur de tube : 1,2 mm. Tube Inox 304 bactériostatique. Finition Inox poli brillant, surface sans porosité et homogène facilitant l’entretien et l’hygiène. Assemblage de la platine au tube par un cordon de soudure sécurité invisible Ecartement entre la barre et le mur de 40 mm : Encombrement minimum interdisant le passage de l’avant-bras afin d’éviter les

risques de fractures lors d’une chute. 3 points de fixation permettant le blocage du poignet et une pose facilitée. Fixations invisibles par platine 3 trous, Inox 304, Ø 72. Maximum utilisateur recommandé : 115 kg (testée à 200 kg)

Barre de maintien douche :

Barre avec remontée verticale Ø 32 pour siège de douche Utilisation comme barre d’appui et de maintien debout. Aide et sécurise l’entrée et le déplacement dans la douche Peut recevoir un siège de douche à Dimensions : 1 150 x 750 x 750 mm. Epaisseur de tube : 1,5 mm. Tube Inox 304 bactériostatique. Finition Inox poli brillant UltraPolish, surface sans porosité et homogène facilitant l’entretien et l’hygiène. Assemblage de la platine au tube par un cordon de soudure sécurité invisible (procédé exclusif “ArN-Securit”).

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Accessoire Image

Ecartement entre la barre et le mur de 40 mm : Encombrement minimum interdisant le passage de l’avant-bras afin d’éviter les risques de fractures lors d’une chute.

Fixations invisibles par platine 3 trous, Inox 304, Ø 72. Maximum utilisateur recommandé : 135 kg.

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3.18. RACCORDEMENT DES APPAREILS

Chaque bloc sanitaire ou appareil seul sera isolable par des vannes d’arrêt placées dans le faux plafond ou en gaine technique à proximité, et accessibles. En aval de chacune de ces vannes d’isolement, il sera prévu un clapet anti-retour EA pour éviter tout mélange entre les réseaux d’eau froide et d’eau chaude. Si les robinetteries sont équipées de clapets intégrés, ces derniers ne sont pas à prévoir.

Les raccordements seront réalisés par cheminement encastré en cuivre apparent ou PER encastré sous fourreau.

Pour les plans vasques les cheminements apparents seront réalisés le plus discrètement possible (collés sous la vasque). Tout cheminement apparent sera réalisé en cuivre.

3.19. EXTINCTEURS ET PROTECTION INCENDIE

3.19.1. Extincteurs à CO² de 2 KG

Fourniture et pose d'extincteurs portatifs à CO² de 2 kg avec système de diffusion à tromblon droit, certification suivant norme NF S 61900, y compris fixations murales et plaques de signalisation.

Localisation : - Chaque tableau électrique - TGBT

3.19.2. Extincteurs à poudre de 6 KG

Fourniture et pose d'extincteurs portatifs à poudre de 6 kg avec système de diffusion à tromblon droit, certification suivant norme NF S 61900, y compris fixations murales et plaques de signalisation.

Localisation : Chaufferie gaz

3.19.3. Extincteurs à eau de 6 L

Fourniture et pose d'extincteurs portatifs à eau pulvérisée additivée (EPA) de 6 litres de capacité de type Standard, percussion en levant la poignée. Certification suivant norme NF S 61900, y compris fixations murales et plaques de signalisation. Mode de métré : l'unité Localisation : - 1 extincteur pout 200 m²

3.19.4. Plans d’évacuation

Fourniture et pose des plans d'évacuation comprenant les indications des consignes générales de sécurité contre l'incendie avec signalisation des sorties, extincteurs, alarme manuelle et indication des locaux techniques et toutes sujétions telles que cadre support à soumettre au maître d’œuvre, fixations sur murs, plastification des plans etc. Dimensions : environ 430 x 305mm.

Le plan doit avoir les caractéristiques des plans d’intervention définies à la norme NF S 60-303 relatives aux plans et consignes de protection contre l’incendie.

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L'article R232-12-20 prévoit une consigne dans chaque local contenant plus de 5 personnes ou ayant des risques particuliers ainsi que dans chaque local ou dégagement desservant un groupe de locaux (les consignes doivent indiquer les modalités d’alertes des sapeurs-pompiers, les dispositions à prendre pour assurer la sécurité du public et du personnel, la mise en œuvre des moyens de secours de l’établissement, et l’accueil et le guidage des sapeurs-pompiers).

La mise en place des plans et consignes sera à réaliser par le fabricant de matériel incendie et de sécurité.

3.19.5. Plans d’intervention pompiers

Fourniture et pose d'un plan d'intervention pompiers pour le bâtiment comportant toutes les indications nécessaires à l’intervention rapide des pompiers dans les locaux et toutes sujétions telles que cadre support à soumettre au maître d’œuvre, fixations sur murs, plastification des plans etc…

Il doit représenter au minimum chaque niveau de l’établissement. Doivent y figurer, outre les dégagements, et les cloisonnements principaux, l’emplacement : des divers locaux techniques et autres locaux à risques particuliers, des dispositifs et commandes de sécurité, des organes de coupure des fluides, des organes de coupure des sources d’énergie et des moyens d’extinction fixes et alarmes.

Format : 430 x 305 mm environ


3.19.6. Signalisation de sécurité divers

Fourniture et pose de plaquettes de sécurité de 210 x 60 mm portant les indications suivantes e blanc sur fond rouge : "porte pare flamme à maintenir fermée" "porte coupe-feu : ne pas mettre d'obstacle à sa fermeture" "commande de désenfumage " "armoire électrique" "coupure d'urgence gaz" "coupure d'urgence ventilation" "coupure d'urgence sous-station’’ "sans issue" Etc…

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3.20. ELECTRICITE


Le présent lot aura à sa charge l’ensemble des raccordements électriques de ses équipements (force et commande) à partir des attentes laissées par le lot électricité.

Ceci y compris la réalisation des coffrets et armoires électriques, arrêt d’urgence ventilation du bâtiment, boîtiers de commande et de dérivation spécifiques au présent lot ainsi que les supportages (notamment chemins de câbles en local technique propre au présent lot) et conversion de tension pour raccordement des régulateurs et automates.

3.20.2. Armoires électriques

Les équipements de protection, de commande et de régulation des équipements du présent lot seront regroupés dans des armoires de commande à charge du présent lot.

Tension d'isolement : 500 volts.

Degré de protection des enveloppes : IP 55 - IK 9.

Conformes aux fiches ED 46 de l'INRS.

Elles sont réalisées en tôle d'acier pliée, épaisseur 20/10 minimum, revêtement polyester texturé.

Elles sont équipées de :

platines ou de barreaux de fixation destinés à recevoir les appareillages de commande et de protection,

de plastrons découpés afin de permettre la commande de l'appareillage sans accès aux parties sous tension,

d'une porte protégeant l'ensemble des plastrons à charnières invisibles et poignées à serrures à clef.

Les portes en tôle d'acier sont pourvues d'une tresse assurant la continuité électrique.

Elles sont séparées de la paroi sur laquelle elles sont fixées par une distance de 5 cm environ.

Il est prévu une pochette en PVC rigide sur la face arrière de la porte afin d'y recevoir le schéma conforme à l'exécution.

Le câblage intérieur, auto-extinguible et réalisé en toron ou en goulotte, est ramené sur le bornier. En aucun cas, il n'est admis de raccorder directement les conducteurs extérieurs sur l'appareillage de distribution.

L'entrée des câbles se fait par le bas, ils sont raccordés sur bornier, convenablement peignés et comporteront une boucle. Il devra être possible d'effectuer aisément des mesures au moyen d'une pince ampèremétrique sur les câbles de puissance.

Ils doivent être dimensionnés afin de permettre l'adjonction de l'équipement d'au moins 30 % de capacité de réserve.

Le repérage se fait par étiquettes en dilophane gravé, disposées au-dessus de chaque organe de commande ou de protection.

Equipement :

L'appareillage de protection des circuits est uniquement constitué de disjoncteurs.

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L'ensemble de l'appareillage doit supporter les courants de court-circuit pendant le temps nécessaire au fonctionnement des protections.

Les caractéristiques de déclenchement des appareils sont telles qu'une parfaite sélectivité soit assurée dans tous les cas d'alimentation.

L'équipement comprend : 1 lampe blanche de contrôle de mise sous tension, le transformateur pour la tension de sécurité (NF EN 60742) (télécommandes...), un éclairage intérieur à l'ouverture des portes, commandé par fin de course une prise de courant "technique" 230 v - 2 x 10/16 A + T, le relayage, la fonction arrivée générale : Par interrupteur dont l'intensité nominale et le pouvoir de coupure sont en fonction de la puissance

établie et du circuit à protéger. Cet interrupteur est équipé des contacts de position type "OF", ainsi que d'une bobine de déclenchement à émission de tension pour réaliser la "coupure électrique".

Tous les interrupteurs généraux d'isolement sont équipés d'une commande extérieure cadenassable, latérale de préférence ou d'un BP d'arrêt d'urgence déverrouillable par clef en face avant.

Les fonctions départs à montage fixe : disjoncteur avec protection différentielle 30 mA pour les circuits de prises de courants, disjoncteur différentiel 300 mA et contacteurs pour les résistances de chauffage, disjoncteur type moteur et contacteurs AC3 pour les puissances inférieures à 12 kW, sectionneur fusible, relais thermique, contacteur AC3 pour les puissances supérieures à 12 kW.

Sur la face avant sont placés les appareils de commande et signalisation : boutons-poussoirs, interrupteurs, commutateurs rotatifs (un par moteur), voyants lumineux (3 au moins pour chaque appareil : marche-arrêt et défaut) compteurs horaires (au moins pour tout moteur ou résistance de plus de 10 kW), étiquettes vissées portant les inscriptions repérant clairement et sans ambiguïté les appareils commandés et signalés, etc...

Chaque conducteur est repéré à ses deux extrémités, ainsi que les bornes de raccordement des câbles force, commande et signalisation. Les appareils situés en face avant sont repérés par des étiquettes. Il en est de même pour le matériel situé à l'intérieur de l'armoire.

Les alarmes de sécurité et de défaut sont signalées par voyant et alarme sonore.

L'acquittement de ce dernier consécutif à l'apparition d'un défaut doit rendre disponible le klaxon pour un deuxième défaut éventuel.

Chaque armoire ou coffret comporte les bornes nécessaires pour renvoi à distance d'une information de défaut général.

Les moteurs et appareils fonctionnant en triphasé sont protégés contre la marche en mono ou biphasé.

De plus chaque moteur d’une puissance de plus de 5 kW devra être équipé d’une protection par isotherme.

Pour permettre une intervention sans risque sur les appareils, un verrouillage par cadenas est prévu pour les moteurs situés hors du local où se trouve l'armoire ou non directement visibles depuis celle-ci.

Liste (non exhaustive) :

Chaufferie

Local technique ventilation

Les raccordements des équipements du présent lot seront réalisés à partir des attentes et armoires prévues.

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3.20.3. Coupure électrique chaufferie

Mise en place d’un coffret de coupure électrique au niveau de l’accès à la chaufferie.

Il permettra la coupure de l’ensemble des équipements de chaufferie.

Fourreaux et liaisons électriques entre le coffret et le tableau électrique de chaufferie,

Plaque signalétique.

3.20.4. Arrêt d’urgence ventilation

L’arrêt d’urgence ventilation sera placé à proximité de l’accès principal des secours.

Il permettra la coupure de l’ensemble des installations de ventilation, excepté les installations de VMC à fonctionnement permanent.

Y compris :

Fourreaux et liaisons électriques entre la commande et les différents tableaux et coffrets électriques,

Plaque signalétique.

3.20.5. Raccordements électriques

Les câbles de liaison intérieurs seront du type U.1000.R.02.V.

Les câbles extérieurs seront protégés ou armés suivant nécessité.

Les conducteurs seront en cuivre pour les sections inférieures ou égales à 50 mm², en cuivre ou aluminium pour les sections supérieures à 50 mm².

La section sera au minimum de 2,5 mm² pour la force motrice, de 1,5 mm² pour le contrôle.

Les câbles chemineront soit sur des chemins de câbles supportés par des consoles assez rapprochées pour éviter toute déformation, avec fixation des câbles par colliers en matière plastique, soit sous tubes IRO pour les raccordements terminaux (protection mécanique). Les chemins de câbles et les tubes seront en PVC dans les locaux humides ou à risque particulier.

3.21. TRAVAUX DIVERS

3.21.1. Percements - Rebouchages

Le titulaire du présent lot aura à sa charge tous les percements de section inférieure ou égale à 100 x100 mm dans les cloisons, les dalles et les murs de toute nature pour le passage de ses canalisations ou gaines.

Fourniture et pose de tous les fourreaux et rosaces au passage des cloisons, murs et dalles, y compris le rebouchage soigné de l’espace entre le fourreau et la paroi traversée ainsi que le joint d’étanchéité entre le fourreau et le réseau considéré.

Réalisation des rebouchages et scellements des percements et réservations avec rétablissement du degré coupe-feu et de l’étanchéité des parois traversées.

Transport à la décharge publique de tous les gravois.

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3.21.2. Mise en service – Contrôle – Essais - Réception

Mise en service de l’ensemble des installations avec :

- Rinçage des réseaux

- Désinfection des réseaux d’eau froide et d’eau chaude sanitaire

- Remplissage et purge des réseaux hydrauliques

- Contrôle d’étanchéité

- Réglage des installations, paramétrage des régulations

Réalisation des essais et contrôles selon normes et suivant toute demande du bureau de contrôle et du Maître d'œuvre. Ces essais comporteront au minimum :

- Essais COPREC.

- Essai des asservissements de sécurité

- Contrôle du bon fonctionnement de tous les appareils sanitaires

Avant la réception l’entreprise procédera également :

- Au nettoyage complet des ses installations et de ses locaux techniques

- Au nettoyage des filtres des réseaux d’eau (ou le remplacement en cas de besoin)

3.21.3. Désinfection des réseaux

L’ensemble des réseaux Eau Froide et Eau chaude Sanitaire sera désinfecté avant mise en service avec contrôle par un organisme agréé à la charge du présent lot.

- L’opération de désinfection s’effectue uniquement avec de l’eau froide.(arrêt de la production d’eau chaude)

- S’assurer d’avoir un débit suffisant d’eau pour effectuer l’opération de dosage et surtout de Rinçage.

- Le réseau ne doit pas être accessible et s’assurer que les usagers soient prévenus.

- L’ensemble des points d’eau concernés par l’opération doivent être identifiés par le responsable du site avant l’opération et libre d’accès pendant celle-ci.

- Chaque point d’eau doit permettre un écoulement en continu et important d’eau (point de soutirage et écoulement égout)

- Condamnation des points d’utilisation au niveau des usagers.

- L’installation du matériel nécessaire à l’opération doit être faite avant le début de l’opération par un prestataire agrée et qualifié & suivant les règles de l’art.

- Pose de l’organe de comptage (compteur, débitmètre, etc)

- Mise en place, en Amont et Aval du matériel de dosage, de vannes d’isolement.

- Création du point d’injection directement sur la tuyauterie et mise en place de la cane d’injection.

La prestation sera gérée par un technicien spécialisé agréé. Elle comportera au minimum les opérations suivantes :

- Mise à disposition de la quantité de chlore nécessaire à l’opération

- Mise à disposition des trousses d’analyses chlore nécessaire

- Mise à disposition du matériel nécessaire au dosage du produit

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- Mise en œuvre et surveillance du dosage produit pendant l’opération. Analyse(s) lors de l’opération sur les différents points du circuit de la présence de Chlore

- Analyse pour la détermination du départ du temps de contact selon les normes en vigueur. Mise à l’arrêt dans de bonne condition du dosage de produit. Rinçage de l’installation et vérification des doses de produit désinfectant résiduel dans l’eau.

- Etablissement d’un rapport d’intervention détaillé

- Evacuation les emballages et ou produits chloré restant après l’opération selon les directives en vigueur

- Réalisation des prélèvements d’analyses de vérification après le temps de latence pour chaque point de contrôle : 1 sur circuit EF et 1 sur circuit ECS (Temps de latence 48h00 minimum)

- Réalisation des analyses Bactériologiques par un laboratoire agréé indépendant avec transmission du rapport d’analyse

- Nota : en cas de résultats non satisfaisants l’ensemble des opérations de désinfection devra être repris aux frais de l’entreprise

3.21.4. Etiquetage et repérage

Chaque appareil comportera une étiquette gravée, vissée, portant soit en clair le nom et la fonction de l'appareil, soit le repère figurant sur le schéma affiché dans le local où se trouve l'appareil.

Chaque vanne sera repérée de la même manière, l'étiquette pouvant toutefois être pendante ; peuvent ne pas être repérées les vannes d'isolement d'appareils isolés situés en dehors des locaux techniques.

Les tuyauteries et gaines d'air seront repérées par bandes ou anneaux de couleurs avec indication du sens d'écoulement du fluide.

Les bandes ou anneaux seront réalisés conformément à la norme NF X 08-100.

Les couleurs seront en principe celles de la norme, mais font de toute façon l'objet d'un accord préalable avec le Maître d'ouvrage.

Il y aura au moins un repérage près des appareils principaux, aux dérivations, aux pénétrations et sorties de murs et de parties non visitables.

En outre, l'espacement entre repérages ne sera jamais supérieur à 10 m.

Dans chaque local technique sera affiché un schéma de principe, clair et complet, avec nomenclature et repérages. Il sera plastifié.

3.21.5. Dossier des Ouvrages Exécutés

Remise des dossiers des ouvrages exécutés (DOE) au plus tard lors des opérations préalables à la réception.

Les DOE seront fournis suivant les prescriptions du CCAP et comporteront au minimum :

- Les plans de récolement des ouvrages exécutés

- Les schémas de principe des installations

- Les schémas des armoires électriques

- Les documentations techniques et notices d’utilisation de tous les matériels installés

- Les certificats, attestations d’essais, procès-verbaux d’essais et avis techniques de tous les produits mis en œuvre

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- Les rapports d’essais complets (date, élément testé, valeur relevée, valeur théorique, …)

3.22. ESSAIS

3.22.1. Objet

Le présent programme d'essais a pour objet de :

Préciser les contrôles à effectuer par l'installateur avant intervention du Maître d’Œuvre pour les opérations préalables à la réception (OPR),

Fournir les fiches d'essais et de contrôles à remplir par l'entreprise attestant de l'exécution des essais et des vérifications,

Indiquer la méthodologie, le type des essais et des vérifications faits en présence du Maître d’Œuvre.

Le Maître d’Oeuvre interviendra aux dates prévues par le planning des OPR, sous réserves que les fiches d'essais dûment visées par l'entrepreneur lui auront été retournées 8 jours calendaires avant la date de visite.

3.22.2. Prestations à effectuer par l’entreprise

3.22.2.1. PRESTATIONS DE NETTOYAGE

Pendant les travaux, le titulaire de ce lot surveillera et assurera jours après jour, avec le plus grand soin les nettoyages, l’évacuation des emballages issus de son matériel dont il a l’entière responsabilité.

Avant la réception de ses installations, tous les ouvrages seront correctement nettoyés, notamment les locaux techniques, la sous station, les placards...

Il assure va aussi le :

Nettoyage de l’ensemble des réseaux hydrauliques avec démontage et nettoyage des filtres,

Nettoyage, dégraissage et dépoussiérage de tous les circuits d’air avec remplacement des filtres,

Désinfection des circuits d’air se rapportant aux réseaux de traitement d’air,

Remplacement de tous les filtres à air ayant servi pendant la période des essais par des filtres neufs lors de la remise des installations au Maître d’Ouvrage.

3.22.3. Réseaux hydraulique

3.22.3.1. RESEAUX EAU CHAUDE

Essais d’étanchéité :

Ils consistent à soumettre tous les éléments constitutifs de l’installation, d’abord séparément puis ensemble, à une pression d’épreuve à froid au moins égale à 1,5 fois la pression maximale de service prévue au CCTP. La pression d’épreuve ne doit pas être inférieure à 6 bars. Essai à faire avant pose du calorifuge. Durée : 24 h minimum.

Essai de mise en température :

Ils consistent à soumettre l’installation à 2 cycles minimum de mise en pression et température (celles demandées au CCTP) pour vérification :

de l’étanchéité de la totalité des réseaux,

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de la libre et correcte dilatation et rétraction des tuyauteries et des organes de dilatation,

de la bonne alimentation des appareils consommateurs ou des émetteurs/échangeurs de chaleur,

des niveaux sonores,

de la température et de la pression de la vapeur au niveau des appareils consommateurs ou des émetteurs /échangeurs de chaleur,

du retour correct des condensats,

du fonctionnement des organes équipant les réseaux (robinets à soupape, vannes de sécurité et de régulation, purgeurs, etc.).

Essai de mise en température :

Ils consistent à soumettre l’installation à 2 cycles minimum de mise en température (celle demandée au CCTP) pour vérification :

de l’étanchéité de la totalité des réseaux,

de la libre et correcte dilatation et rétraction des tuyauteries et des organes de dilatation,

de la bonne alimentation de chaque émetteur (constat de la variation de température),

des niveaux sonores,

des températures d’entrée et de sortie au niveau des appareils de production et des terminaux,

des pressions d’entrée et de sortie au niveau des pompes, des appareils de production et des terminaux,

de l’absence d’air (purges en points hauts),

du fonctionnement des matériels équipant les réseaux (vannes de sectionnement, de sécurité, de purge, de vidange, de réglage, d’équilibrage et de régulation).

3.22.3.2. EQUILIBRAGE HYDRAULIQUE DES RESEAUX

L’entreprise effectue l’équilibrage des réseaux de retour eau chaude.

Il enregistre les résultats de l’équilibrage, soit manuellement, soit par mise en mémoire sur un instrument de mesure (type CBI de TA) pour impression d’un listing via un PC.

3.22.3.3. CONTROLE DES TEMPERATURES ET PRESSION DES RESEAUX

L’entreprise contrôle et relève les températures d’entrée et sortie eau chaude à chaque sous-station et à chaque local technique.

L’entreprise contrôle et relève les pressions d’arrivée vapeur à chaque sous-station et à chaque local technique.

3.22.3.4. ELECTRICITE COURANTS FORTS

Raccordement de tous les appareillages du présent lot à partir des alimentations laissées en attente par le lot Courants Forts,

Contrôle par simulation de tous les dispositifs de sécurité,

Contrôle par simulation de toutes les alarmes,

Contrôle des asservissements et des automatismes,

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Vérification du délestage des installations en cas d’alimentation en courant secouru, en collaboration avec les titulaires des lots courants forts et groupes électrogènes,

Contrôle sur les compteurs,

Contrôle sur les protections (surintensité, contacts indirects, etc.),

Contrôle d’isolement,

Contrôle des mises à la terre,

Contrôle des voyants armoires (test lampes),

Contrôle des borniers et des repères pour interface avec les autres lots (courants faibles, GTB, etc.),

Vérification report des défauts vers les autres lots (courants forts, GTB).

3.22.3.5. VERIFICATIONS PAR LE MAITRE D’ŒUVRE

Celles-ci sont subordonnées à la réception des documents demandés précédemment.

Préalablement aux essais, le Maître d’Œuvre vérifie :

La conformité du matériel installé vis à vis des spécifications techniques et de la nomenclature du matériel accepté par le Maître d’Œuvre,

La conformité de la mise en œuvre des matériels vis à vis de la qualité d’installation définie dans les spécifications techniques ou par les règles de l’art en usage dans la profession,

La conformité du matériel installé vis à vis des spécifications techniques propres à la société titulaire du lot considéré acceptées par le Maître d’Œuvre,

La conformité de l’installation vis à vis des plans d’exécution approuvés par le Maître d’Œuvre.

Personnel nécessaire

Le responsable d’affaire du projet au sein de l’entreprise,

1 personne de l’entreprise ayant fait les essais,

1 metteur au point électricité/régulation.

Matériel nécessaire à fournir par l'entreprise

Moyens de communication : Téléphone portable, etc.,

Tous les matériels de mesure contrôle et enregistrement et matière consommables de ces matériels,

Un PV d’étalonnage de moins de 6 mois est présenté avec chaque matériel.

Documents

L'ensemble des plans et schémas PEO ou PAC, à usage exclusif des contrôles et essais des installations,

Les fiches d’essais correspondantes aux essais à effectuer avant réception par le Maître d’Œuvre dûment complétées et signées par l’entreprise avec visa pour chaque vérification.

Opérations de contrôle du Maître d’œuvre

Le Maître d’Œuvre procède par sondage.

Les mesures de ces sondages sont comparées avec les valeurs théoriques et les mesures préalablement effectuées par l’entreprise lors de ses propres essais (fiches d’essais).

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Si les mesures faites dépassent les tolérances, la réception des installations est différée jusqu’à obtention des valeurs contractuelles.

3.22.3.6. FICHES D’ESSAIS

Ces fiches doivent être remplies par l’installateur datées et signées par le responsable des essais.

Il est joint en annexe un modèle de fiche par type de matériel ou par type de sous-ensemble.

Il appartient à l’entreprise d’établir une fiche équivalente pour des matériels ou des sous-ensembles spécifiques qui ne figurent pas dans la liste annexée.

3.22.3.7. MODES OPERATOIRES

Les modes opératoires sont établis par l’entreprise et soumis pour approbation au Maître d’Œuvre.

3.22.4. Documents à remettre par les entreprises

3.22.4.1. APRES LES TRAVAUX

Les fiches d'essai COPREC

L’entreprise doit procéder au minimum aux essais de fonctionnement des installations conformément aux dispositions figurant dans le document COPREC N°1, (supplément spécial n° 4954bis du moniteur du 06/11/98).

Les résultats des essais sont transcrits sur des procès verbaux établis suivant les modèles figurant dans le document COPREC N°2, (supplément spécial n° 4954bis du moniteur du 06/11/98).

L'entreprise doit opérer un contrôle qualité de ses installations. Pour ce faire, un responsable qualité est désigné avant le début des travaux. Les fiches d'autocontrôle des travaux réalisés doit être fournies de façon hebdomadaire.

3.22.4.2. A LA RECEPTION DES TRAVAUX

L'entreprise doit fournir les documents ci-après selon le nombre d’exemplaires défini aux pièces générales administratives.

Il est réalisé un ensemble de DOE par phases, remis à jour pour la totalité du bâtiment en fin de la dernière phase.

Deux mois avant la réception l’entreprise doit :

Présenter un dossier type des ouvrages exécutés au Maître d’Œuvre pour accord.

Un mois avant la réception, l’entreprise doit remettre les documents suivants :

Les tirages et les CD ROM au format AUTOCAD ou DXF pour les plans des documents suivants :

l’intégralité des calculs,

les schémas de principe et synoptiques,

les carnets de schémas électriques et de régulation,

les nomenclatures de matériel,

les plans des locaux techniques compris les coupes.

Les schémas de principe présentent :

les débits, les diamètres, vitesses, les pressions,

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tous les organes d’isolement, d’équilibrage,

les organes de sécurité,

la légende des fluides avec température et pression,

les sens de circulation des fluides.

Le dossier comporte en outre :

les certificats de conformité COPREC N°1 et 2,

le compte rendu et le procès verbal des essais en usine,

le certificat de mise en service des constructeurs et fournisseurs,

les fiches des résultats des mesures,

les analyses d’eau des différents réseaux hydrauliques,

dossier d’instruction pour la conduite et l’entretien,

présentation générale de l'installation et renvoi au schéma de principe,

notice de fonctionnement décrivant les principes,

description de fonctionnement de chaque ensemble ou sous-ensemble,

notice de sécurité et d'intervention d'urgence,

cette notice précise les manœuvres de sécurité (manœuvres dangereuses et délicates) les manœuvres d'intervention d'urgence,

elle comporte une liste des organes de sécurité,

notice d'entretien,

un tableau général d'entretien périodique est réalisé avec les interventions à faire.

Ce tableau est du type à deux entrées :

Colonnes verticales : matériels (pompes etc.),

Colonnes horizontales : équipements des matériels (moteurs, paliers, etc.) avec temps de visite

Notices "Matériel" :

Liste des fournisseurs : celle-ci précise tous les noms de fournisseurs des équipements avec leurs coordonnées (adresse la plus proche, numéro de téléphone, nom de la personne à contacter), la désignation du matériel concerné.

Notices du matériel :

Elles sont regroupées par fournisseur et par type de matériel. Elles comportent tous les renseignements nécessaires à l'installation, conduite et l'entretien (opérations périodiques d'entretien, opérations de montage et de démontage, diagnostics des anomalies de fonctionnement, nomenclature détaillée des pièces de rechange avec repérage des pièces sur coupure ou vue éclatée).

Un sommaire et des index assurent la commodité d'usage de ce document.

Une liste des plans :

Les coordonnées de l'entreprise, de l'affaire en en-tête et le numéro de chaque plan, sa désignation, son indice de modification.

Plans :

Leur format est normalisé (A4 - A3 - A2 - A1 - A0 maximum).

Ils sont présentés pliés au format A4 (297 X 210 mm).

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Les plans sont réputés "comme construit".

Un exemplaire de ces schémas, nécessaire aux locaux techniques, est mis en couleur, plastifié et destiné à l’affichage au lieu défini en accord avec le client.

3.22.4.3. CONTROLE DE QUALITE ET CONFORMITE

Le contrôle de qualité et conformité comporte 3 types d'action.

L'autocontrôle et les essais effectués par l'entrepreneur,

Le contrôle de bonne exécution et d'obtention des résultats contractuels, exercé par la Maîtrise d'œuvre,

Les vérifications du Contrôleur Technique,

Les deux premières démarches auront lieu sur site ou hors site (en Entreprise, en bureau d'étude ou en usine),

Les fiches de procédure d’autocontrôle.

La procédure d'autocontrôle est matérialisée par un recueil de fiches établies par l'entreprise du présent lot en cohérence avec l'organisation du présent CCTP, avec les recueils de fiches des autres lots du présent ensemble et avec la décomposition des tâches du calendrier détaillé contractuel des travaux.

Avant utilisation, les fiches d'autocontrôle ainsi établies sont soumises à l'avis de la Maîtrise d'Œuvre et, le cas échéant, du Contrôleur technique, qui peuvent demander des adaptations ou compléments.

Après autocontrôle, ces fiches dûment datées et signées, constituent le certificat par l'entrepreneur de la réalité du contrôle et de la conformité où, à défaut, mentionnent les anomalies relevées ainsi que les mesures prévues pour y remédier.

Dans le cas d'autocontrôle d'ouvrages en relation de fonctionnement avec ceux d'un ou plusieurs autres lots, les fiches correspondantes sont visées pour chacun des entrepreneurs concernés.

Les fiches d'autocontrôle sont remises à la Maîtrise d'Œuvre au même titre que les documents d'exécution.

La non-fourniture d'une fiche d'autocontrôle vaut non achèvement de la tâche correspondante.

Les documents officiels et certificats

Ces documents regroupent :

Les procès verbaux des organismes officiels,

Les certificats d'épreuve (mise en pression, contrôle des soudures) et de rinçage des réseaux,

Les relevés de débits, de température, de puissances thermiques et électriques (essais suivant document COPREC),

Le procès-verbal de réception des travaux définitifs.

Les plans et schémas sont présentés dans des classeurs cartonnés avec intercalaires auxquels sont jointes les CD ROM au format AUTOCAD ou DXF.

Les calculs, certificats de conformité, les comptes-rendus et procès verbaux d’essais, les fiches des résultats d’essais et les notices de fonctionnement et d’entretien sont regroupés dans les classeurs cartonnés format A4 comprenant des intercalaires et répertoriés pour faciliter l’accès.

A l’intérieur les dossiers les documents constructeurs obligatoirement originaux sont séparés des documents installateurs.

Ces dossiers sont à fournir un mois avant la réception après avoir obtenu l’accord du Maître d’Œuvre sur un dossier type.

Tous les documents reproduits des dossiers doivent être parfaitement lisibles.

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Les documents doivent être établis en Français et les notices d’équipements étrangers sont traduites.

Enfin, l’entreprise doit la fourniture des attestations CONSUEL nécessaires à la mise sous tension définitive des installations électriques.

Dans le cadre de son marché, l’entreprise établit- en collaboration avec le contrôleur sécurité protection et santé - un DIUO (dossier d'intervention ultérieure sur l'ouvrage) en complément du DOE.

3.23. OPTION 1 – REAMENAGEMENT SALLE DE JEUNESSE –

STOCKAGE ET VESTIAIRES

GENIE CLIMATIQUE

3.23.1. DISTRIBUTION ET EMISSION DE CHALEUR

3.23.1.1. RADIATEURS PANNEAU A EAU CHAUDE





Qualité :




Y compris : Té d’arrêt et de réglage, Purgeur, Fixations sur supports de toute nature, Pieds de supportage, Dépose et repose pour travaux de peinture.


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3.23.1.2. RESEAUX DE CHAUFFAGE













3.23.1.5. VANNES D’EQUILIBRAGE







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3.23.2. VENTILATION MECANIQUE CONTROLEE SIMPLE FLUX

3.23.2.1. BOUCHES D’EXTRACTION

La reprise en faux-plafond et en applique de parois dans les pavillons 01 & 4 sera assurée par des bouches type design circulaire.

La régulation de débit de soufflage et de reprise sera assurée par des modules de régulation de débit comportant une membrane régulatrice permettant de maintenir un débit constant à une valeur prédéterminée dans une plage de pression de 50 à 250 Pa. Construction :

- Constitué d'un cône extérieur et d'un cône central démontable. - Corps en tôle d'acier laminé à froid, finition peinture époxy - Montage : à l'aide d'une collerette ou d'un manchon placo acier selon le

support - Cône extérieur avec trois griffes pour montage direct sur gaine rigide - Noyau central réglable




3.23.2.2. CAISSON DE VENTILATION

Les ventilateurs d’extraction seront de type ventilateur en caisson classé C4 (400°C – ½ heure) avec moteur basse consommation ECM. Ils comporteront une structure en acier galvanisé avec panneaux démontables pour la maintenance. Ils seront équipés d’un ensemble moto-ventilateur avec moteur à commutation électronique et régulation de pression constante.

La consommation électrique sera inférieure à 0.3 W/m3/h.

Y compris par ventilateur :

Protection pare-pluie pour les caissons extérieurs Manchette souple M0 à l’aspiration Refoulement avec manchette souple M0 au refoulement (si celui-ci est gainé) ou visière

pare-pluie avec grillage anti volatiles Plots anti vibratiles et dallettes de répartition et de désolidarisation pour pose sur

l’étanchéité Interrupteur de proximité et régulateur de débit avec potentiomètre de réglage.

L’ensemble sera monté sur le caisson et câblé en usine. Raccordement sur les attentes force et asservissements du lot Electricité

Implantation du caisson d’extraction dans les combles.

Débit total extrait : 180 m³/h

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3.23.3. RESEAUX AERAULIQUES ET EQUIPEMENTS DE RESEAUX

Selon paragraphe 3.6

PLOMBERIE SANITAIRE

3.23.4. DISTRIBUTION EAU FROIDE BRUTE


3.23.5. PRODUCTION ET DISTRIBUTION EAU CHAUDE SANITAIRE

3.23.5.1. BALLON D’EAU CHAUDE SANITAIRE

Chauffe-eau capacité 150 litres :

- Chauffe-eau électrique horizontal à accumulation - Cuve émaillée, protection par anode magnésium - Résistance électrique blindée - Thermostat réglable avec témoin de chauffe - Isolation en mousse polyuréthane injectée - Habillage en tôle acier laquée blanc

- Alimentation 230 V mono - Puissance nominale : 1,65 kW - Temps de chauffe réel (de 15 à 65 °c) : 4h53 minutes - Constante de refroidissement : 0,25 - Consommation d’entretien : 1,75 kWh/24h - Diamètre : 505 mm - Longueur : 1180 mm - Poids à vide : 41 kg

Localisation : Suivant plans

3.23.5.2. DISTRIBUTION


3.23.6. VANNES D’ARRET

Les vannes d’arrêt seront de type quart de tour. Les vannes seront disposées suivant les plans et schémas de principe et au minimum sur chaque équipement, départ collecteur, piquage ou antenne.

3.23.7. GESTION DES EAUX USEES ET EAUX VANNES


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3.23.8. APPAREILS SANITAIRES

Principes généraux de construction : Les équipements seront de type collectivité conçus pour résister à de très fortes sollicitations. Ils devront bénéficier de la marque NF.

Tous les appareils sont prévus complètement installés, y compris robinetterie, vidanges, raccords et scellements nécessaires.

Les appareils sont de première qualité, classe A, de couleur blanche, et seront en céramique, ou matériaux de synthèse conformes aux normes en vigueur et aux exigences sanitaires ACS.

Les robinetteries sanitaires seront estampillées « CE » possédant un classement EPEBAT et des garanties de 5 ans minimum.

Classement minimum des robinetteries :

Débit : E1 minimum pour robinetteries de lave-mains et lavabos.

Débit : E3 minimum pour robinetteries d’évier et de douche.

Acoustique : A2 minimum,

Endurance mécanique : U3 (tête 500 000 manœuvres),

Les manettes de commande seront bloquées de façon à limiter la température de l’eau :

dans les locaux accessibles au public à + 45 °C,

offices, cuisine à + 60 °C,

appareils accessibles eau enfant à + 37 °C (sécurité anti-brûlure et limiteur de température).

Les brise-jets seront du type « étoile » anti-aérosols.

L'installation pouvant être soumise à des chocs thermiques et chlorés à des concentrations de 50mg/l pendant 12 heures, les robinetteries devront être adaptées et l’ensemble des flexibles de raccordement des appareils de distribution seront réalisés en téflon.

La fixation des appareils et leur scellement sont assurés par le présent lot, quelle que soit la nature des matériaux et le type des appareils.

Le présent lot devra la mise en place des renforts, dans l'ossature des cloisons légères pour permettre la fixation des appareils, ainsi que les différents joints à réaliser entre les parois et les appareils à l'aide d'un mastic polymérisant.

L'entrepreneur devra également le cordon d'étanchéité silicone des appareils sanitaires installés contre les parois.

Les alimentations de chaque appareil sanitaire, ou groupe d'appareils seront équipés de vannes d'isolement 1/4 tours à passage intégral et d’un clapet anti-retour EA. Afin de faciliter les opérations de maintenance, les colonnes seront équipées de dispositif d'isolement et de vidange.

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WC PMR Suspendu avec réservoir :

Cuvette suspendue à fond plat pour personnes à mobilité réduite, en céramique sanitaire pour rinçage 6 litres d’eau. Bride de rinçage fermée et diffuseur d’eau en céramique. Forme extérieure lisse et fermée. Garde au sol 130mm (à une hauteur de montage de 480mm selon DIN 18040-1 et DIN 18040-2.) Dimensions (LxPxH) 350x700x350mm. Lunette et abattant de WC Vital avec axe de charnières traversant et cales de stabilité latérales, charnières inox, sans amortisseur de fermeture. Kit de fixations invisibles pour cuvette suspendus et set de protection acoustique pour cuvette suspendue

Bâti-support :






Lave-main en céramique.

Adapté pour les personnes à mobilité réduite Trop-plein et bonde à surverse. Dimensions : 500 x 400 mm Y compris siphon déporté chromé.


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Douche : Receveur de douche en céramique extra-plat à encastrer, y compris siphon. Dimensions : 900 x 900 x 35 mm

Kit douche thermostatique bicommande avec dispositif autovidable comprenant : • Mitigeur à cartouche thermostatique antitartre : - Sécurité antibrûlure : arrêt immédiat de l'eau chaude en cas de coupure de l'eau froide. - Isolation thermique antibrûlure. - Température réglable de 25°C à 41°C et double butée de température. Première butée déverrouillable à 38°C, seconde butée verrouillée à 41°C. - Possibilité de réaliser aisément un choc thermique. - Débit limité à 8 l/min à 3 bar. - Filtres et clapets antiretour intégrés sur arrivées • Douchette chromée Ø 119 monojet, anticalcaire avec poignée antidérapante et support mural inclinable chromé • Flexible .0,85 m en PVC lisse effet métallique

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3.23.9. ACCESSOIRES SANITAIRES

Accessoire Image

Miroir :

Épaisseur : 6 mm. Pattes invisibles de fixation à prévoir. Dimensions : 420 x 600 mm pour les lave-mains Dimensions : 1450 x 845 mm pour les plans-vasques

Barre de relèvement WC :

Poignée coudée à 135° Ø 25. Utilisation comme barre d’appui (partie horizontale) ou de relèvement (partie à 135°) pour WC, douche ou baignoire. Utilisation indifféremment à gauche comme à droite. Dimensions : 400 x 400 mm. Epaisseur de tube : 1,2 mm. Tube Inox 304 bactériostatique. Finition Inox poli brillant, surface sans porosité et homogène facilitant l’entretien et l’hygiène. Assemblage de la platine au tube par un cordon de soudure sécurité invisible Ecartement entre la barre et le mur de 40 mm : Encombrement minimum interdisant le passage de l’avant-bras afin d’éviter les

risques de fractures lors d’une chute. 3 points de fixation permettant le blocage du poignet et une pose facilitée. Fixations invisibles par platine 3 trous, Inox 304, Ø 72. Maximum utilisateur recommandé : 115 kg (testée à 200 kg)

Barre de maintien douche :

Barre avec remontée verticale Ø 32 pour siège de douche Utilisation comme barre d’appui et de maintien debout. Aide et sécurise l’entrée et le déplacement dans la douche Peut recevoir un siège de douche à Dimensions : 1 150 x 750 x 750 mm. Epaisseur de tube : 1,5 mm. Tube Inox 304 bactériostatique. Finition Inox poli brillant UltraPolish, surface sans porosité et homogène facilitant l’entretien et l’hygiène. Assemblage de la platine au tube par un cordon de soudure sécurité invisible (procédé exclusif “ArN-Securit”).

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Accessoire Image

Ecartement entre la barre et le mur de 40 mm : Encombrement minimum interdisant le passage de l’avant-bras afin d’éviter les risques de fractures lors d’une chute.

Fixations invisibles par platine 3 trous, Inox 304, Ø 72. Maximum utilisateur recommandé : 135 kg.

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3.23.10. EXTINCTEURS ET PROTECTION INCENDIE

3.23.10.1. EXTINCTEURS A POUDRE DE 6 KG

Fourniture et pose d'extincteurs portatifs à poudre de 6 kg avec système de diffusion à tromblon droit, certification suivant norme NF S 61900, y compris fixations murales et plaques de signalisation.

Localisation : Locaux stockage

3.23.10.2. EXTINCTEURS A EAU DE 6 L

Fourniture et pose d'extincteurs portatifs à eau pulvérisée additivée (EPA) de 6 litres de capacité de type Standard, percussion en levant la poignée. Certification suivant norme NF S 61900, y compris fixations murales et plaques de signalisation. Mode de métré : l'unité Localisation : - 1 extincteur pout 200 m²

3.23.10.3. PLANS D’EVACUATION

Fourniture et pose des plans d'évacuation comprenant les indications des consignes générales de sécurité contre l'incendie avec signalisation des sorties, extincteurs, alarme manuelle et indication des locaux techniques et toutes sujétions telles que cadre support à soumettre au maître d’œuvre, fixations sur murs, plastification des plans etc. Dimensions : environ 430 x 305mm.

Le plan doit avoir les caractéristiques des plans d’intervention définies à la norme NF S 60-303 relatives aux plans et consignes de protection contre l’incendie.

L'article R232-12-20 prévoit une consigne dans chaque local contenant plus de 5 personnes ou ayant des risques particuliers ainsi que dans chaque local ou dégagement desservant un groupe de locaux (les consignes doivent indiquer les modalités d’alertes des sapeurs-pompiers, les dispositions à prendre pour assurer la sécurité du public et du personnel, la mise en œuvre des moyens de secours de l’établissement, et l’accueil et le guidage des sapeurs-pompiers).


3.23.10.4. PLANS D’INTERVENTION POMPIERS

Fourniture et pose d'un plan d'intervention pompiers pour le bâtiment comportant toutes les indications nécessaires à l’intervention rapide des pompiers dans les locaux et toutes sujétions telles que cadre support à soumettre au maître d’œuvre, fixations sur murs, plastification des plans etc…

Il doit représenter au minimum chaque niveau de l’établissement. Doivent y figurer, outre les dégagements, et les cloisonnements principaux, l’emplacement : des divers locaux techniques et autres locaux à risques particuliers, des dispositifs et commandes de sécurité, des organes de coupure des fluides, des organes de coupure des sources d’énergie et des moyens d’extinction fixes et alarmes.

Format : 430 x 305 mm environ


GROUPE SOS




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3.23.10.5. SIGNALISATION DE SECURITE DIVERS

Fourniture et pose de plaquettes de sécurité de 210 x 60 mm portant les indications suivantes e blanc sur fond rouge : "porte pare flamme à maintenir fermée" "porte coupe-feu : ne pas mettre d'obstacle à sa fermeture" "commande de désenfumage " "armoire électrique" "coupure d'urgence gaz" "coupure d'urgence ventilation" "coupure d'urgence sous-station’’ "sans issue" Etc…

3.23.11. Electricité

Le présent lot aura à sa charge l’ensemble des raccordements électriques de ses équipements (force et commande) à partir des attentes laissées par le lot électricité.

Ceci y compris la réalisation des coffrets et armoires électriques, arrêt d’urgence ventilation du bâtiment, boîtiers de commande et de dérivation spécifiques au présent lot ainsi que les supportages (notamment chemins de câbles en local technique propre au présent lot) et conversion de tension pour raccordement des régulateurs et automates.

Les câbles de liaison intérieurs seront du type U.1000.R.02.V.

Les câbles extérieurs seront protégés ou armés suivant nécessité.

Les conducteurs seront en cuivre pour les sections inférieures ou égales à 50 mm², en cuivre ou aluminium pour les sections supérieures à 50 mm².

La section sera au minimum de 2,5 mm² pour la force motrice, de 1,5 mm² pour le contrôle.

Les câbles chemineront soit sur des chemins de câbles supportés par des consoles assez rapprochées pour éviter toute déformation, avec fixation des câbles par colliers en matière plastique, soit sous tubes IRO pour les raccordements terminaux (protection mécanique). Les chemins de câbles et les tubes seront en PVC dans les locaux humides ou à risque particulier.

3.23.12. TRAVAUX DIVERS

3.23.12.1. PERCEMENTS – REBOUCHAGES

Selon paragraphe 3.21.1

3.23.12.2. MISE EN SERVICE – CONTROLE – ESSAIS – RECEPTION


3.23.12.3. DESINFECTION DES RESEAUX


3.23.12.4. ETIQUETAGE ET REPERAGE


GROUPE SOS




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3.23.12.5. DOSSIER DES OUVRAGES EXECUTES


3.23.12.6. ESSAIS


3.24. OPTION 2 – REAMENAGEMENT SALLE NUMERIQUE







Qualité :








GROUPE SOS




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GROUPE SOS




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3.25. OPTION 3 – REAMENAGEMENT MAISON DE L’ENFANCE







Qualité :











GROUPE SOS




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Fait à ............................................................le....................................................................

Mention manuscrite "Lu et Approuvé" :

L'ENTREPRENEUR :

(Cachet et signature)