Upload
others
View
5
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
BRGM
COMMUNE d'ARDIN (dEUX-SÈVRES)
FORAGE DE "pÉRIGNY"
COM.PTE RENDU DE FIN DE TRAVAUX ET DE
POMPAGES d'essai
85 SGN 274 POC
MAI 1986
J.M. JOUBERT
B. ROZES
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional Poitou - CharentesPlace tjes Templiers - ZAC de Beaulieu - 86000 POITIERS - Tél.: 4 9.01.41.65
BRGM
COMMUNE d'ARDIN (dEUX-SÈVRES)
FORAGE DE "pÉRIGNY"
COM.PTE RENDU DE FIN DE TRAVAUX ET DE
POMPAGES d'essai
85 SGN 274 POC
MAI 1986
J.M. JOUBERT
B. ROZES
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional Poitou - CharentesPlace tjes Templiers - ZAC de Beaulieu - 86000 POITIERS - Tél.: 4 9.01.41.65
Fig.1
SITUATION DE L'ETUDE
CARTE A 1/500CK)
1
5
2
6
3
7
4
8
Fig.1
SITUATION DE L'ETUDE
CARTE A 1/500CK)
1
5
2
6
3
7
4
8
- I -
- RÉSUMÉ -
Le Service Géologique Régional Poitou-Charentes du B.R.G.M.
a effectué à la demande de la commune d'ARDIN (Deux-Sèvres) le suivi
"et- le contrôle des travaux d'un-forage destiné à renforcer l'alimentation -
en eau potable de la commune.
Le présent rapport rend compte des résultats obtenus
concernant l'implantation, la surveillance des travaux et la définition
des conditions d'exploitation.I
Le niveau capté correspond aux calcaires très altérés de
l'Hettangien.
Le forage artésien peut supporter un débit maximum d'exploitation
de 45 m3/h.
Pour les besoins exprimés par la commune (15 m3/h), une pompe
de surface, avec l'aspiration à 4 mètres sous le sol, sera largement
suffisante.
*
* *
- I -
- RÉSUMÉ -
Le Service Géologique Régional Poitou-Charentes du B.R.G.M.
a effectué à la demande de la commune d'ARDIN (Deux-Sèvres) le suivi
"et- le contrôle des travaux d'un-forage destiné à renforcer l'alimentation -
en eau potable de la commune.
Le présent rapport rend compte des résultats obtenus
concernant l'implantation, la surveillance des travaux et la définition
des conditions d'exploitation.I
Le niveau capté correspond aux calcaires très altérés de
l'Hettangien.
Le forage artésien peut supporter un débit maximum d'exploitation
de 45 m3/h.
Pour les besoins exprimés par la commune (15 m3/h), une pompe
de surface, avec l'aspiration à 4 mètres sous le sol, sera largement
suffisante.
*
* *
- II -
SOMMAIRE
. Pages
1 - INTRODUCTION 1
2 - SITUATION GEOGRAPHIQUE 1
3 - CADRE GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE 2
4 - TRAVAUX DE FORATION ' 3
4.1 - Calendrier des travaux 3
4.2 - Coupe géologique 4
4.3 - Coupe technique 6
5 - RESULTATS DES ESSAIS DE POMPAGE 7
5.1 - Pompage par paliers 7
5.2 - Pompage de 24 heures du 30 avril 1986 8I
5.3 - Mesures de relèvement des niveaux après le pompage
du 14 mai 1986 9
5.4 - Qualité de l'eau 9
6 - DEFINITION DES CONDITIONS D'EXPLOITATION 10
7 - CONCLUSIONS 11
- FIGURES -
FIGURE
FIGURE
FIGURE
FIGURE
FIGURE
FIGURE
1
2
3
4
5
6
Plan de situation de l'étude.
Situation géographique à 1/25.000.
Coupes géologique et technique.
Relations entre le débit et le rabattement pour despaliers d'une durée de 30 minutes.
Evolution du niveau dynamique en fonction du tempspendant le pompage de 24 heures au débit de 50 m3/h.
Evolution du niveau d'eau après un pompage de 95 minutesà 50 m3/h.
- ANNEXE -
Analyse de type I sur le forage de Périgny.
- II -
SOMMAIRE
. Pages
1 - INTRODUCTION 1
2 - SITUATION GEOGRAPHIQUE 1
3 - CADRE GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE 2
4 - TRAVAUX DE FORATION ' 3
4.1 - Calendrier des travaux 3
4.2 - Coupe géologique 4
4.3 - Coupe technique 6
5 - RESULTATS DES ESSAIS DE POMPAGE 7
5.1 - Pompage par paliers 7
5.2 - Pompage de 24 heures du 30 avril 1986 8I
5.3 - Mesures de relèvement des niveaux après le pompage
du 14 mai 1986 9
5.4 - Qualité de l'eau 9
6 - DEFINITION DES CONDITIONS D'EXPLOITATION 10
7 - CONCLUSIONS 11
- FIGURES -
FIGURE
FIGURE
FIGURE
FIGURE
FIGURE
FIGURE
1
2
3
4
5
6
Plan de situation de l'étude.
Situation géographique à 1/25.000.
Coupes géologique et technique.
Relations entre le débit et le rabattement pour despaliers d'une durée de 30 minutes.
Evolution du niveau dynamique en fonction du tempspendant le pompage de 24 heures au débit de 50 m3/h.
Evolution du niveau d'eau après un pompage de 95 minutesà 50 m3/h.
- ANNEXE -
Analyse de type I sur le forage de Périgny.
- 1
1 - INTRODUCTION.
La commune d'ARDIN (Deux-Sèvres) a confié au Service Géologique
Régional Poitou-Charentes du B.R.G.M. la programmation, l'implantation et
la supervision des travaux d'un forage destiné à l'alimentation en eau
potable de la collectivité.
Ce nouveau captage devrait en principe constituer un appoint,
le débit demandé étant de l'ordre de 15 m3/h.
Le présent rapport rend compte des travaux réalisés.
2 - SITUATION GÉOGRAPHIQUE.
(FIGURES 1 et 2)
La commune d'Ardin se situe dans le département des Deux-Sèvres,
à une vingtaine de kilomètres au Nord-Ouest de Niort.
Le forage a été implanté à 5 kilomètres au Nord de La localité
d'Ardin, près du hameau de Périgny, à proximité immédiate d'une source
anciennement captée.
- 1
1 - INTRODUCTION.
La commune d'ARDIN (Deux-Sèvres) a confié au Service Géologique
Régional Poitou-Charentes du B.R.G.M. la programmation, l'implantation et
la supervision des travaux d'un forage destiné à l'alimentation en eau
potable de la collectivité.
Ce nouveau captage devrait en principe constituer un appoint,
le débit demandé étant de l'ordre de 15 m3/h.
Le présent rapport rend compte des travaux réalisés.
2 - SITUATION GÉOGRAPHIQUE.
(FIGURES 1 et 2)
La commune d'Ardin se situe dans le département des Deux-Sèvres,
à une vingtaine de kilomètres au Nord-Ouest de Niort.
Le forage a été implanté à 5 kilomètres au Nord de La localité
d'Ardin, près du hameau de Périgny, à proximité immédiate d'une source
anciennement captée.
COMMUNE D'ARDIN (DEUX-SEVRES)
86 SGN 274 POC
FIGURE 2
SITUATION GEOGRAPHIQUE DU FORAGE DE PERIGNY
Extrait de La feuille IGN de COULONGES-SUR-L'AUTIZE n° 587 à 1/25.000
COMMUNE D'ARDIN (DEUX-SEVRES)
86 SGN 274 POC
FIGURE 2
SITUATION GEOGRAPHIQUE DU FORAGE DE PERIGNY
Extrait de La feuille IGN de COULONGES-SUR-L'AUTIZE n° 587 à 1/25.000
- 2 -
3 - CADRE GÉOLOGIQUE ET HYDROGÉOLOGIQUE.
Deux ensembles de formations constituent Le sous-sol du Nord
de la commune d'Ardin :
- Les formations précambriennes et primaires comprenant des
schistes à bancs d'arkoses et de grauwackes, ainsi qu'une série de calcaires
marbriers, .
- les formations secondaires (Lias inférieur et Toarcien)
qui Les recouvrent en discordance.
Toutes ces assises sont masquées sur les hauteurs et les
plateaux par des Limons et des argiles à silex plus récents.
Dans le secteur de Périgny, l'aquifère du Lias (Pliensbachien
à Hettangien) est peu développé, il est en relation hydraulique avec
l'aquifère givétien (marbres) ; une source sort au contact faille des deux
formations.
Le forage a été implanté au droit de ce contact faille susceptible
de constituer un drain hydraulique intéressant sur Le plan de la ressource,
alors que Le captage de la Marbrière existant, exploite les eaux circulant
dans les fissures du calcaire gréseux de La base de la série marbrière.
L'exutoire de cette nappe est à la cote 86 NGF environ à La
Marbrière et à la cote 98 à Périgny.
- 2 -
3 - CADRE GÉOLOGIQUE ET HYDROGÉOLOGIQUE.
Deux ensembles de formations constituent Le sous-sol du Nord
de la commune d'Ardin :
- Les formations précambriennes et primaires comprenant des
schistes à bancs d'arkoses et de grauwackes, ainsi qu'une série de calcaires
marbriers, .
- les formations secondaires (Lias inférieur et Toarcien)
qui Les recouvrent en discordance.
Toutes ces assises sont masquées sur les hauteurs et les
plateaux par des Limons et des argiles à silex plus récents.
Dans le secteur de Périgny, l'aquifère du Lias (Pliensbachien
à Hettangien) est peu développé, il est en relation hydraulique avec
l'aquifère givétien (marbres) ; une source sort au contact faille des deux
formations.
Le forage a été implanté au droit de ce contact faille susceptible
de constituer un drain hydraulique intéressant sur Le plan de la ressource,
alors que Le captage de la Marbrière existant, exploite les eaux circulant
dans les fissures du calcaire gréseux de La base de la série marbrière.
L'exutoire de cette nappe est à la cote 86 NGF environ à La
Marbrière et à la cote 98 à Périgny.
- 3 -
4 - TRAVAUX DE FORATION,
4.1 - CALENDRIER DES TRAVAUX.
Après dépouillement des résultats d'un appel d'offres auprès
des entreprises MASSE, FORALO, MACHEFERT et NEAU, c'est L'entreprise
MACHEFERT de Corme-Royal, 17600 Saujon, qui a été retenue par le
maître d'ouvrage.
La technique de foration adoptée est le battage avec récupé¬
ration des déblais à La soupape.
Le calendrier résumé des travaux est le suivant :
- 22 avril : Installation du chantier. '
- Du 23 au 25 avril : Foration des avant-puits en 0 508 et 400 mm
et pose d'un tube guide et des tubages provisoires
à 8 et 12 mètres.
- Du 26 au 28 avril : Foration en 0 250 mm et pose d'un tube lanterné
en 0 219 mm à 25 mètres.
- 29 avril : Développement de L'ouvrage et pompage par paliers.
- 29 et 30 avril : Pompage de longue durée. Prélèvement d'échantillon
pour analyse de type I par Le Laboratoire agréé
de La Rochelle.
6 et 7 mai : Arrachage du tubage provisoire à 8 mètres (0 406 mm)
pour mise en place d'une gaine de cimentation de
0 à 5 mètres autour du tube 0 273 mm. Constat avant
- '^ - cimentation d'une baisse du débit importante par
suite d'un colmatage de la tranche productive.
- 3 -
4 - TRAVAUX DE FORATION,
4.1 - CALENDRIER DES TRAVAUX.
Après dépouillement des résultats d'un appel d'offres auprès
des entreprises MASSE, FORALO, MACHEFERT et NEAU, c'est L'entreprise
MACHEFERT de Corme-Royal, 17600 Saujon, qui a été retenue par le
maître d'ouvrage.
La technique de foration adoptée est le battage avec récupé¬
ration des déblais à La soupape.
Le calendrier résumé des travaux est le suivant :
- 22 avril : Installation du chantier. '
- Du 23 au 25 avril : Foration des avant-puits en 0 508 et 400 mm
et pose d'un tube guide et des tubages provisoires
à 8 et 12 mètres.
- Du 26 au 28 avril : Foration en 0 250 mm et pose d'un tube lanterné
en 0 219 mm à 25 mètres.
- 29 avril : Développement de L'ouvrage et pompage par paliers.
- 29 et 30 avril : Pompage de longue durée. Prélèvement d'échantillon
pour analyse de type I par Le Laboratoire agréé
de La Rochelle.
6 et 7 mai : Arrachage du tubage provisoire à 8 mètres (0 406 mm)
pour mise en place d'une gaine de cimentation de
0 à 5 mètres autour du tube 0 273 mm. Constat avant
- '^ - cimentation d'une baisse du débit importante par
suite d'un colmatage de la tranche productive.
- 4 -
- Du 9 au 13 mai : Enlèvement du tube Lanterné et du tubage 0 273 mm.
Nettoyage et curage du trou.
Pose d'un tube provisoire (0 406 mm) à 8 mètres.
Reprise du trou 0 400 mm jusqu'à 12 mètres et
en 0 250 mm de 12 à 22 mètres.
Pose d'un tube Lanterné (sur toute sa hauteur)
0 219 mm.
Mise en place d'un massif de graviers (6/10 mm)
jusqu'à 4 mètres du sol.
14 mai : Enlèvement du tube provisoire 0 406 mm et pose
d'un tubage 0 273 mm à 4 mètres (sur le toit
du gravier). Cimentation du tubage 0 273 mm.
15 mai : Pompage parpaliersde contrôLe.I
Equipement de La tête de puits (0 273 mm) avec
une bride étanche et un tube de mesure du niveau
piézométrique.
4.2 - COUPE GEOLOGIQUE (Cf. FIGURE 3).
Les différents terrains rencontrés (profondeurs en mètres
sous Le sol) sont Les suivants :
-De 0 à 3 mètres : Terrain argilo-gréseux d'altération.
3 à 4 mètres : Grès fin à ciment carbonaté en graviers arrondis.
Fragments de silex patiné.
Gros quartz usés arrondis (détritiques pliensbachiens) .
4 à 5 mètres : Gros quartz globuleux usés.
Quartz hyalin anguleux non usé de petite taille.
£EÍ£EÍre_29iÍÍÍ9yí_^ÍED£/' 'f''"-Fragments de grès fin blanc, carbonaté.
Fragments de grès grossier, rouille, à cjment carbonaté.
- 4 -
- Du 9 au 13 mai : Enlèvement du tube Lanterné et du tubage 0 273 mm.
Nettoyage et curage du trou.
Pose d'un tube provisoire (0 406 mm) à 8 mètres.
Reprise du trou 0 400 mm jusqu'à 12 mètres et
en 0 250 mm de 12 à 22 mètres.
Pose d'un tube Lanterné (sur toute sa hauteur)
0 219 mm.
Mise en place d'un massif de graviers (6/10 mm)
jusqu'à 4 mètres du sol.
14 mai : Enlèvement du tube provisoire 0 406 mm et pose
d'un tubage 0 273 mm à 4 mètres (sur le toit
du gravier). Cimentation du tubage 0 273 mm.
15 mai : Pompage parpaliersde contrôLe.I
Equipement de La tête de puits (0 273 mm) avec
une bride étanche et un tube de mesure du niveau
piézométrique.
4.2 - COUPE GEOLOGIQUE (Cf. FIGURE 3).
Les différents terrains rencontrés (profondeurs en mètres
sous Le sol) sont Les suivants :
-De 0 à 3 mètres : Terrain argilo-gréseux d'altération.
3 à 4 mètres : Grès fin à ciment carbonaté en graviers arrondis.
Fragments de silex patiné.
Gros quartz usés arrondis (détritiques pliensbachiens) .
4 à 5 mètres : Gros quartz globuleux usés.
Quartz hyalin anguleux non usé de petite taille.
£EÍ£EÍre_29iÍÍÍ9yí_^ÍED£/' 'f''"-Fragments de grès fin blanc, carbonaté.
Fragments de grès grossier, rouille, à cjment carbonaté.
5 à 6 mètres : Id. avec blocs de calcaire oolitique blanc.
1 fragment de marbre gris souris ?
6 à 7 mètres : Grès à ciment calcaire.
Calcaire microcristallin (Sinémurien).
Gros quartz détritiques usés.
Marne grise (?) .
Fragments de silex.
7 à 8 mètres : CaLcaire oolitique blanc.
CaLcaire microcristallin bleu gris à fissures
calcitiques et pyrite.
Quartz détritiques usés.
Fragments de silex.
8 à 9 mètres : Gros cuttings de calcaire blanc fin à bioclastes.
Calcaire oolitique.
Argile grise verdâtre à zones rubéfiées (grenat,
chlorite ?) .
Micaschiste rougeâtre dur.
9 à 10 mètres : Gros cuttings de calcaire dolomitique blanchâtre
avec gastéropodes (Hettangien).
Cuttings variés de Cote. .¿d.
Cote doZomvtiqUQ. QK.Q.6Q.U.X,
QaaAtz m¡í& anJiondÁj,, mibQ.^¿Q.&,
QuoAtz angul.e.ax v(¿AdcuUi(¿i,,
CaZaaÂAs, mlcAooviàtattin gnÁJ> à
JÜQYiitd qX pyhÁXz.
10 à 11 mètres : CaLcaire dolomitique oolitique.
CaLcaire très fin blanc esquilleux.
Quartz usés.
Quartz non usés provenant de R. cristallophylliennes,
ChLor2tosch2Ste_rubéf2£ ou verdâtre.
11 à 12 mètres : Grès quartzite ocre rougeâtre, fin.
Quartz non usés plus ou moins rubéfiés.
OoLite fine avec gros quartz usé attenant.
CaLcaire sombre pyriteux et lignitifère.
5 à 6 mètres : Id. avec blocs de calcaire oolitique blanc.
1 fragment de marbre gris souris ?
6 à 7 mètres : Grès à ciment calcaire.
Calcaire microcristallin (Sinémurien).
Gros quartz détritiques usés.
Marne grise (?) .
Fragments de silex.
7 à 8 mètres : CaLcaire oolitique blanc.
CaLcaire microcristallin bleu gris à fissures
calcitiques et pyrite.
Quartz détritiques usés.
Fragments de silex.
8 à 9 mètres : Gros cuttings de calcaire blanc fin à bioclastes.
Calcaire oolitique.
Argile grise verdâtre à zones rubéfiées (grenat,
chlorite ?) .
Micaschiste rougeâtre dur.
9 à 10 mètres : Gros cuttings de calcaire dolomitique blanchâtre
avec gastéropodes (Hettangien).
Cuttings variés de Cote. .¿d.
Cote doZomvtiqUQ. QK.Q.6Q.U.X,
QaaAtz m¡í& anJiondÁj,, mibQ.^¿Q.&,
QuoAtz angul.e.ax v(¿AdcuUi(¿i,,
CaZaaÂAs, mlcAooviàtattin gnÁJ> à
JÜQYiitd qX pyhÁXz.
10 à 11 mètres : CaLcaire dolomitique oolitique.
CaLcaire très fin blanc esquilleux.
Quartz usés.
Quartz non usés provenant de R. cristallophylliennes,
ChLor2tosch2Ste_rubéf2£ ou verdâtre.
11 à 12 mètres : Grès quartzite ocre rougeâtre, fin.
Quartz non usés plus ou moins rubéfiés.
OoLite fine avec gros quartz usé attenant.
CaLcaire sombre pyriteux et lignitifère.
D*.iin.tion: FORAGE DE PERIGNYCouDcaui 1/200 4tabll«pjr:
Cf»s&*m«ftt L I O I
378Int*rpr4t*« Mr : Ziot
2 17298
m/^
D»«nî.coup« t»chnÍQwe
SOMtlETDO CUVELAGE tOjiOrn
NappMt pUn é'^mi
Echant. Coup*
Zz:z
DESCR1PTJON CÉOLOCIQUE
86 SGN 274 POC
FIGURE 3
Grès à ciment calcaire altéré
CaLcaire et dolomie très altérés
11
Micaschistes très altérés
22
o«t« Horiztm capté
Artésien
Cota>»¿iu«inülqM
62
DibitI m '.'hMirt
Wimu
3,52 m
Rab«tt»m«nt OBSERVATIONS
Après 24 heures (
pompage le30 avril 1986
To
12. 8H
Kivmtñitii ao- y H* WifUM I Ca Ufl »k+K Q se* CvWMta
D*.iin.tion: FORAGE DE PERIGNYCouDcaui 1/200 4tabll«pjr:
Cf»s&*m«ftt L I O I
378Int*rpr4t*« Mr : Ziot
2 17298
m/^
D»«nî.coup« t»chnÍQwe
SOMtlETDO CUVELAGE tOjiOrn
NappMt pUn é'^mi
Echant. Coup*
Zz:z
DESCR1PTJON CÉOLOCIQUE
86 SGN 274 POC
FIGURE 3
Grès à ciment calcaire altéré
CaLcaire et dolomie très altérés
11
Micaschistes très altérés
22
o«t« Horiztm capté
Artésien
Cota>»¿iu«inülqM
62
DibitI m '.'hMirt
Wimu
3,52 m
Rab«tt»m«nt OBSERVATIONS
Après 24 heures (
pompage le30 avril 1986
To
12. 8H
Kivmtñitii ao- y H* WifUM I Ca Ufl »k+K Q se* CvWMta
6 -
12 à 13 mètres : Sédiment fin constitué presque uniquement
de petits cuttings de roche cristalLophylienne
rougeâtre à quartz et micas ; chlorite.
Quartz blanc en fragments non usés.
13 à 22 mètres : Id.
22 à 25 mètres : Gros fragments de micaschistes très fins rouge
sombre à brun, tendres, avec quartz blanc.
- INTERPRETATION STRATIGRAPHIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE :
De 0 à 4 mètres : Argile d'altération et grès à ciment calcaire :
PLIENSBACHIEN et SINEMURIENt.
4 à 11 mètres : CaLcaire et dolomie oolitique :
HETTANGIEN (Aquifère).I
11 à 28 mètres : Micaschistes quartzifères altérés i ,.«..,,- r,r,T...Tr,i-J SOCLE PRIMAIRE
28 à 25 mètres : Micaschistes quartzifères rouges i
Les premiers essais de pompage ont montré que la zone La plus
productive se situait dans Les calcaires de l'Hettangien, les terrains
du socle sous-jacent tectonisés ne participant à l'alimentation du captage
que pour une part minoritaire.
4.3 - COUPE TECHNIQUE.
La coupe technique du forage est reportée en FIGURE 3.
* Le tubage acier 0 273 mm (4,5 m) a été scellé au terrain par une
gaine de ciment jusqu'à 4 mètres de profondeur/sol. Elle préserve le
captage des éventuelles infiltrations superficielles au droit du tubage.
* La colonne de captage (0 219 mm) posée à 22 mètres est lanternée
sur 20 mètres. Un massif de graviers (6/10 mm) a été mis en place compte-
tenu de La nature très détritique et altérée des terrains aquifères.
6 -
12 à 13 mètres : Sédiment fin constitué presque uniquement
de petits cuttings de roche cristalLophylienne
rougeâtre à quartz et micas ; chlorite.
Quartz blanc en fragments non usés.
13 à 22 mètres : Id.
22 à 25 mètres : Gros fragments de micaschistes très fins rouge
sombre à brun, tendres, avec quartz blanc.
- INTERPRETATION STRATIGRAPHIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE :
De 0 à 4 mètres : Argile d'altération et grès à ciment calcaire :
PLIENSBACHIEN et SINEMURIENt.
4 à 11 mètres : CaLcaire et dolomie oolitique :
HETTANGIEN (Aquifère).I
11 à 28 mètres : Micaschistes quartzifères altérés i ,.«..,,- r,r,T...Tr,i-J SOCLE PRIMAIRE
28 à 25 mètres : Micaschistes quartzifères rouges i
Les premiers essais de pompage ont montré que la zone La plus
productive se situait dans Les calcaires de l'Hettangien, les terrains
du socle sous-jacent tectonisés ne participant à l'alimentation du captage
que pour une part minoritaire.
4.3 - COUPE TECHNIQUE.
La coupe technique du forage est reportée en FIGURE 3.
* Le tubage acier 0 273 mm (4,5 m) a été scellé au terrain par une
gaine de ciment jusqu'à 4 mètres de profondeur/sol. Elle préserve le
captage des éventuelles infiltrations superficielles au droit du tubage.
* La colonne de captage (0 219 mm) posée à 22 mètres est lanternée
sur 20 mètres. Un massif de graviers (6/10 mm) a été mis en place compte-
tenu de La nature très détritique et altérée des terrains aquifères.
- 7 -
5 - RÉSULTATS DES ESSAIS DE POMPAGE.
(FIGURE 4)
Les essais de pompage ont démarré Le 29 avril 1986. Le forage
étant artésien depuis le début de la foration au débit de 25 m3/h environ,
on peut considérer que le développement de L'ouvrage à ce débit a duré
6 jours ; l'eau trouble au début du chantier s'étant ensuite éclaircie.
Le niveau piézométrique n'a pu être mesuré qu'en fin de chantier.
Le 16 mai 1986, il s'établissait à 0,71 mètre au-dessus du sol, valeur
qui correspond à celle déterminée par extrapolation de la courbe caracté¬
ristique (FIGURE 4). Les niveaux étaient mesurés à la sonde électrique
et l'eau pompée était rejetée dans un ruisseau à une vingtaine de mètres .
du forage.'
5.1 - POMPAGE PAR PALIERS.
Deux séries de pompages par paliers ont été réalisées : une
le 29 avril et l'autre Le 14 mai. La deuxième série de test a été motivée
par la modification de L'équipement du trou par rapport à sa version initiale
(29 avril) suite à un colmatage de L'ouvrage en cours de chantier. La mise
en place d'un massif de graviers étant susceptible d'entraîner l'apparition
de pertes de charges supplémentaires.
Les résuLtats des pompages par paliers de 30 minutes séparés
de périodes de repos d'égale durée, sont présentés dans le tableau suivant :
POMPAGE
DU
29.4.86~ Zl ~ 'ZZ~'^
POMPAGE
DU
15.5.86
DEBIT Q
en m3/h
2844,562 .
= ~II = = = = ~ =
204553
NIVEAU DYNAMIQUEen m sous le repère
0,671,653,52
= ===:= = = = = = = = ;; ir = = =
1
3,236,22
DEBIT SPECIFIQUEQs = Q/A en m3/h/m
16,816,813,7
==================
11,711,47,6
TEMPS DE REPRISEDU NIVEAU INITIAL
10 secondes35 secondes50 secondes
==================
60 secondes5 minutes
-
- 7 -
5 - RÉSULTATS DES ESSAIS DE POMPAGE.
(FIGURE 4)
Les essais de pompage ont démarré Le 29 avril 1986. Le forage
étant artésien depuis le début de la foration au débit de 25 m3/h environ,
on peut considérer que le développement de L'ouvrage à ce débit a duré
6 jours ; l'eau trouble au début du chantier s'étant ensuite éclaircie.
Le niveau piézométrique n'a pu être mesuré qu'en fin de chantier.
Le 16 mai 1986, il s'établissait à 0,71 mètre au-dessus du sol, valeur
qui correspond à celle déterminée par extrapolation de la courbe caracté¬
ristique (FIGURE 4). Les niveaux étaient mesurés à la sonde électrique
et l'eau pompée était rejetée dans un ruisseau à une vingtaine de mètres .
du forage.'
5.1 - POMPAGE PAR PALIERS.
Deux séries de pompages par paliers ont été réalisées : une
le 29 avril et l'autre Le 14 mai. La deuxième série de test a été motivée
par la modification de L'équipement du trou par rapport à sa version initiale
(29 avril) suite à un colmatage de L'ouvrage en cours de chantier. La mise
en place d'un massif de graviers étant susceptible d'entraîner l'apparition
de pertes de charges supplémentaires.
Les résuLtats des pompages par paliers de 30 minutes séparés
de périodes de repos d'égale durée, sont présentés dans le tableau suivant :
POMPAGE
DU
29.4.86~ Zl ~ 'ZZ~'^
POMPAGE
DU
15.5.86
DEBIT Q
en m3/h
2844,562 .
= ~II = = = = ~ =
204553
NIVEAU DYNAMIQUEen m sous le repère
0,671,653,52
= ===:= = = = = = = = ;; ir = = =
1
3,236,22
DEBIT SPECIFIQUEQs = Q/A en m3/h/m
16,816,813,7
==================
11,711,47,6
TEMPS DE REPRISEDU NIVEAU INITIAL
10 secondes35 secondes50 secondes
==================
60 secondes5 minutes
-
Débit Q en m3/h
Tl11CDCZ33m
4>
00o^
coCDz
ro-Ni4>
TJOODébit Q en m3/h
Tl11CDCZ33m
4>
00o^
coCDz
ro-Ni4>
TJOO
- 8 -
Les courbes caractéristiques reportées en FIGURE 4 montrent
une allure similaire avec une partie linéaire pour des débits inférieurs
à 45 m3/h. Au-delà, les courbes s'infléchissent fortement, mettant en
évidence l'apparition de pertes de charges importantes. La courbe du
pompage du 15 mai 1986 qui caractérise L'ouvrage avec son équipement
définitif montre bien que le débit critique se situe donc autour de
45 m3/h.
NB : L'extrapolation des courbes sur L'écheLLe des niveaux dynamiquesdonne les niveaux piézométriques théoriques de La nappe. On constatequ'entre les 2 dates des essais, la nappe avait baissé d'au moins0,25 mètre.
5.2 - POMPAGE DE 24 HEURES DU 30 AVRIL 1986 (FIGURE 5).
La Figure 5 donne l'évolution du niveau dynamique pendant Le
pompage du 30 avril à 50 m3/h en coordonnées semi-logarithmiques. La
méthode d'interprétation dite de Jacob permet de calculer une valeur
de transmissivité :
T = 2,1,10"^ m2/s
La surveillance du niveau de la source (à 10 m du forage)
a permis d'apprécier Les phénomènes d'interférence. Ainsi, les valeurs
suivantes ont pu être relevées :
DEBIT Q
50 m3/h
62 m3/h
DUREE
DU POMPAGE
24 heures
37 minutes
NIVEAU DE LA SOURCE SOUS
LE POINT D'EMERGENCE
0,25 mètre
0,80 mètre
- 8 -
Les courbes caractéristiques reportées en FIGURE 4 montrent
une allure similaire avec une partie linéaire pour des débits inférieurs
à 45 m3/h. Au-delà, les courbes s'infléchissent fortement, mettant en
évidence l'apparition de pertes de charges importantes. La courbe du
pompage du 15 mai 1986 qui caractérise L'ouvrage avec son équipement
définitif montre bien que le débit critique se situe donc autour de
45 m3/h.
NB : L'extrapolation des courbes sur L'écheLLe des niveaux dynamiquesdonne les niveaux piézométriques théoriques de La nappe. On constatequ'entre les 2 dates des essais, la nappe avait baissé d'au moins0,25 mètre.
5.2 - POMPAGE DE 24 HEURES DU 30 AVRIL 1986 (FIGURE 5).
La Figure 5 donne l'évolution du niveau dynamique pendant Le
pompage du 30 avril à 50 m3/h en coordonnées semi-logarithmiques. La
méthode d'interprétation dite de Jacob permet de calculer une valeur
de transmissivité :
T = 2,1,10"^ m2/s
La surveillance du niveau de la source (à 10 m du forage)
a permis d'apprécier Les phénomènes d'interférence. Ainsi, les valeurs
suivantes ont pu être relevées :
DEBIT Q
50 m3/h
62 m3/h
DUREE
DU POMPAGE
24 heures
37 minutes
NIVEAU DE LA SOURCE SOUS
LE POINT D'EMERGENCE
0,25 mètre
0,80 mètre
3-4TIl-l£7)c:73m
Ul
00CN
C/J(DTT.
r>j->l.F^
-000
Temps en minutes
3-4TIl-l£7)c:73m
Ul
00CN
C/J(DTT.
r>j->l.F^
-000
Temps en minutes
- 9 -
5.3 - MESURES DE RELEVEMENT DES NIVEAUX APRES LE POMPAGE DU 14 MAI 1986.
La FIGURE 6 donne l'évolution du niveau dynamique après un pompage
de 1 heure 35 minutes à 50 m3/h ; le forage ayant retrouvé son artésianisme
naturel au bout de 20 minutes.
L'interprétation de la courbe permet de déterminer une valeur
de transmissivité de 1,3.10 m2/s.
Cette valeur très inférieure à celle issue de L'essai du
30 avril, résulte de 2 phénomènes :
- d'une part, une épaisseur d'aquifère captée moindre, puisque
Les 4 premiers mètres ont été isolés par tubage cimenté (le toit de
l'aquifère étant proche du sol),
- d'autre part, un dénoyage partiel de l'aquifère (baisse du
niveau) .
Quoiqu'il en soit, c'est cette valeur pessimiste qu'il convient
de retenir pour les calculs d'extrapolation des débits d'exploitation.
5.4 - QUALITE DE L'EAU.
Les résultats de l'analyse de type I sont reportés en annexe.
On constate que La teneur en nitrate (26,5 mg/l) est tout à faitconvenable et nettement en dessous du maximum toléré par la norme européennede potabi lité.
Les teneurs relativement élevées en Fer et Aluminium sont essentiel¬lement le reflet de La richesse en fines particules argileuses présentesdans L'eau pompée au moment du prélèvement (aspect trouble de l'eau). Ils'agissait en effet d'un pompage d'essai et de développement à 51 m3/h, débittrès supérieur au régime d'exploitation projeté (15 m3/h), pour lequel iln'y aura pratiquement pas d'entrainement de colloïdes argileux, ce qui conduiraà une baisse notable de La teneur en ces éléments.
En ce qui concerne La contamination bactériologique, il s'agit d'uneorigine exogène dont Le problème sera traité dans Le cadre de l'établissementdes périmètres de protection.
- 9 -
5.3 - MESURES DE RELEVEMENT DES NIVEAUX APRES LE POMPAGE DU 14 MAI 1986.
La FIGURE 6 donne l'évolution du niveau dynamique après un pompage
de 1 heure 35 minutes à 50 m3/h ; le forage ayant retrouvé son artésianisme
naturel au bout de 20 minutes.
L'interprétation de la courbe permet de déterminer une valeur
de transmissivité de 1,3.10 m2/s.
Cette valeur très inférieure à celle issue de L'essai du
30 avril, résulte de 2 phénomènes :
- d'une part, une épaisseur d'aquifère captée moindre, puisque
Les 4 premiers mètres ont été isolés par tubage cimenté (le toit de
l'aquifère étant proche du sol),
- d'autre part, un dénoyage partiel de l'aquifère (baisse du
niveau) .
Quoiqu'il en soit, c'est cette valeur pessimiste qu'il convient
de retenir pour les calculs d'extrapolation des débits d'exploitation.
5.4 - QUALITE DE L'EAU.
Les résultats de l'analyse de type I sont reportés en annexe.
On constate que La teneur en nitrate (26,5 mg/l) est tout à faitconvenable et nettement en dessous du maximum toléré par la norme européennede potabi lité.
Les teneurs relativement élevées en Fer et Aluminium sont essentiel¬lement le reflet de La richesse en fines particules argileuses présentesdans L'eau pompée au moment du prélèvement (aspect trouble de l'eau). Ils'agissait en effet d'un pompage d'essai et de développement à 51 m3/h, débittrès supérieur au régime d'exploitation projeté (15 m3/h), pour lequel iln'y aura pratiquement pas d'entrainement de colloïdes argileux, ce qui conduiraà une baisse notable de La teneur en ces éléments.
En ce qui concerne La contamination bactériologique, il s'agit d'uneorigine exogène dont Le problème sera traité dans Le cadre de l'établissementdes périmètres de protection.
TIl-lcnc:73m
O
c»o
Vioz
1\J-N]*»
T3O<->
TIl-lcnc:73m
O
c»o
Vioz
1\J-N]*»
T3O<->
- 10 -
6 - DÉFINITION DES CONDITIONS D' EXPLOITATION.
La valeur de transmissivité retenue (1,3.10 m2/s) permet de
calculer L'accroissement du rabattement avec Le temps pour différents
débits. Ainsi, on trouvera ci-après Les vaLeurs de rabattement prévisionnel^'
qu'on peut assimiler à des niveaux dynamiques sous le sol, en considérant ':'"qu'à l'étiage, le niveau piézométrique s'établit sensiblement à la cote
du sol (la source proche est perenne), pour différents régimes de pompage
en continu :
^^--..^UREE DU
'-^'^^---..^OMPAGEDEBIT en m37h'"^\^
15
20
25
30
35
40
45
50 HEURES
2,29 m
3,22 m
4 m
4,83 m
5,61 m
6,44 m
7,27 m
21 JOURS
2,86 m
3,98 m
4,95 m
5,97 m
6,94 m
7,96 m
8,98 m
7 MOIS
A.
3,43 m
4,74 m
5,9 m
7,12 m
8,27 m
9,48 m
10,69 m
Ces valeurs calculées permettent de définir les conditions
d'exploitation à respecter :
- Jusqu'à des débits de l'ordre de 25 m3/h, une pompe de surface
sera suffisante. En particulier pour le débit d'exploitation prévu de 15 m3/h,
une pompe de surface avec La crépine d'aspiration placée à 4 mètres sous le
sol, donnera toute satisfaction.
- Au-delà. de 25 m3/h, il faut envisager une pompe immergée de
6 pouces qui serait positionnée à 11 mètres de profondeur. Il conviendrait
cependant de développer en préalable L'ouvrage pendant pLusieurs dizaines
d'heures dans cette gamme de débits.
- Le débit maximum à ne pas dépasser en pompage continu est de
45 m3/h sous peine de créer un disfonctionnement du captage.
- 10 -
6 - DÉFINITION DES CONDITIONS D' EXPLOITATION.
La valeur de transmissivité retenue (1,3.10 m2/s) permet de
calculer L'accroissement du rabattement avec Le temps pour différents
débits. Ainsi, on trouvera ci-après Les vaLeurs de rabattement prévisionnel^'
qu'on peut assimiler à des niveaux dynamiques sous le sol, en considérant ':'"qu'à l'étiage, le niveau piézométrique s'établit sensiblement à la cote
du sol (la source proche est perenne), pour différents régimes de pompage
en continu :
^^--..^UREE DU
'-^'^^---..^OMPAGEDEBIT en m37h'"^\^
15
20
25
30
35
40
45
50 HEURES
2,29 m
3,22 m
4 m
4,83 m
5,61 m
6,44 m
7,27 m
21 JOURS
2,86 m
3,98 m
4,95 m
5,97 m
6,94 m
7,96 m
8,98 m
7 MOIS
A.
3,43 m
4,74 m
5,9 m
7,12 m
8,27 m
9,48 m
10,69 m
Ces valeurs calculées permettent de définir les conditions
d'exploitation à respecter :
- Jusqu'à des débits de l'ordre de 25 m3/h, une pompe de surface
sera suffisante. En particulier pour le débit d'exploitation prévu de 15 m3/h,
une pompe de surface avec La crépine d'aspiration placée à 4 mètres sous le
sol, donnera toute satisfaction.
- Au-delà. de 25 m3/h, il faut envisager une pompe immergée de
6 pouces qui serait positionnée à 11 mètres de profondeur. Il conviendrait
cependant de développer en préalable L'ouvrage pendant pLusieurs dizaines
d'heures dans cette gamme de débits.
- Le débit maximum à ne pas dépasser en pompage continu est de
45 m3/h sous peine de créer un disfonctionnement du captage.
- 11 -
7 - CONCLUSIONS.
Le nouveau forage réalisé sur la commune d'ARDIN au lieu-dit
"Périgny" a permis de capter un niveau aquifère superficiel dans les
calcaires gréseux de l'Hettangien dans une zone de contact faille avec
les marbres dévoniens.
Les résultats des essais de pompage ont montré que l'ouvrage
pouvait être exploité à un débit de 15 m3/h avec une pompe de surface.
Au-delà de 25 m3/h,.il s'avère nécessaire de prévoir. une pompe
immergée à 11 mètres, mais dans tous les cas. Le débit d'exploitation ne
devra pas excéder 45 m3/h.
*
* *
- 11 -
7 - CONCLUSIONS.
Le nouveau forage réalisé sur la commune d'ARDIN au lieu-dit
"Périgny" a permis de capter un niveau aquifère superficiel dans les
calcaires gréseux de l'Hettangien dans une zone de contact faille avec
les marbres dévoniens.
Les résultats des essais de pompage ont montré que l'ouvrage
pouvait être exploité à un débit de 15 m3/h avec une pompe de surface.
Au-delà de 25 m3/h,.il s'avère nécessaire de prévoir. une pompe
immergée à 11 mètres, mais dans tous les cas. Le débit d'exploitation ne
devra pas excéder 45 m3/h.
*
* *
86 SGN 274 POC
ANNEXE
* ANALYSE DE TYPE I REALISEE SUR LE FORAGE DE PERIGNY
86 SGN 274 POC
ANNEXE
* ANALYSE DE TYPE I REALISEE SUR LE FORAGE DE PERIGNY
PRÉFECTURE DE U CHARENTE-MARITIME
UBORATOIRE DÉPARTEMENTAL D'HYEIÈNE
UBORATOIRE RÉBIQNAL D'HYDROBIGLOBIE
RÉfilON POITOU-CHARENTES
20, ru* d*« Cord*ri»«17000 LA ROCHELLE
TM. C4«) 41 .SI .47 «t 41.80.77
MA
Examen n° 3039. E. 86
destinée à ralimentation en eau
de
La Rochelle, le 16 MAI 1986
SCR POITOU-CHARENTESArrivée le
confirmation des résultats téléphonés
BULLETIN D'ANALYSE D'EAU
_p.ntahle
communede ARDTN (79)
RENSEIGNEMENTS RELATIFS AU PRELEVEMENT
Opérateur nn l-prhniripn rlii ^a'hnra^o^rp
Personnes ayant accompagné l'opérateur M-r.STnNNKAll - F.i-g MACHKFF.TRT
Date et heure 30.04.86 à 12 h 00
Conditions atmosphériques : température 1 3°R 'C pression 773 mm de Hg
Nature et importance des précipitations de la période précédant le prélèvement. Sécheresse, basses-eaux,
orages, pluies persistantes, crues, etc.. faibles précipitations
ORIGINE DE L'EAU
Nature du point d'eau : source, puits, forage, cours d'eau, lac ou étang naturel ou artificiel, retenue d'usine,
usine de production, citerne
Dénomination locale du point d'eau
Situation cadastrale - Parcelle n ° _
Commune de
PRT^Tr.NV "
Section
AI^DTN
Nom du propriétaire du terrain
Coordonnées Lambert
Étage géologique Débit naturel Artésien
1 a rnmmTine
Nature du terrain aquifère
Débit du pompage 51 m3/h
Développement du captage
Durée du pompage avant prélèvement
Profondeur du puits ou du forage
Niveau de la nappe : statique
Abaissement de la nappe
22 h 00 le 29.4.86 à 12 h 50
25 m
Artésien dynamique 2.81 m
Profondeur à laquelle le prélèvement a été fait crépine â 21 m
Point de prélèvement exhaure de pompage â 15 m
Causes éventuelles de pollution, permanentes ou non permanentes, dans l'état actuel des lieux
hameau - élevage - pacage â 15 m ^
RENSEIGNEMENTS COMPLÉMENTAIRES
PRÉFECTURE DE U CHARENTE-MARITIME
UBORATOIRE DÉPARTEMENTAL D'HYEIÈNE
UBORATOIRE RÉBIQNAL D'HYDROBIGLOBIE
RÉfilON POITOU-CHARENTES
20, ru* d*« Cord*ri»«17000 LA ROCHELLE
TM. C4«) 41 .SI .47 «t 41.80.77
MA
Examen n° 3039. E. 86
destinée à ralimentation en eau
de
La Rochelle, le 16 MAI 1986
SCR POITOU-CHARENTESArrivée le
confirmation des résultats téléphonés
BULLETIN D'ANALYSE D'EAU
_p.ntahle
communede ARDTN (79)
RENSEIGNEMENTS RELATIFS AU PRELEVEMENT
Opérateur nn l-prhniripn rlii ^a'hnra^o^rp
Personnes ayant accompagné l'opérateur M-r.STnNNKAll - F.i-g MACHKFF.TRT
Date et heure 30.04.86 à 12 h 00
Conditions atmosphériques : température 1 3°R 'C pression 773 mm de Hg
Nature et importance des précipitations de la période précédant le prélèvement. Sécheresse, basses-eaux,
orages, pluies persistantes, crues, etc.. faibles précipitations
ORIGINE DE L'EAU
Nature du point d'eau : source, puits, forage, cours d'eau, lac ou étang naturel ou artificiel, retenue d'usine,
usine de production, citerne
Dénomination locale du point d'eau
Situation cadastrale - Parcelle n ° _
Commune de
PRT^Tr.NV "
Section
AI^DTN
Nom du propriétaire du terrain
Coordonnées Lambert
Étage géologique Débit naturel Artésien
1 a rnmmTine
Nature du terrain aquifère
Débit du pompage 51 m3/h
Développement du captage
Durée du pompage avant prélèvement
Profondeur du puits ou du forage
Niveau de la nappe : statique
Abaissement de la nappe
22 h 00 le 29.4.86 à 12 h 50
25 m
Artésien dynamique 2.81 m
Profondeur à laquelle le prélèvement a été fait crépine â 21 m
Point de prélèvement exhaure de pompage â 15 m
Causes éventuelles de pollution, permanentes ou non permanentes, dans l'état actuel des lieux
hameau - élevage - pacage â 15 m ^
RENSEIGNEMENTS COMPLÉMENTAIRES
1) CARACTÉRISTIQUES ORGANOLEPTIQUES ET PHYSIQUES :
Aspect .,,.....'....
Odeur
Saveur
Couleur
Turbidité . .^P. 89Vtt:es mastic
Température °C
pHà20°C
Résistivité en ohm-cm à 20° C .. .
Matières en suspension (mg/l) . . .
Pouvoir colmatant (unité Beaudrey)
Examen sur place
t-rnnble, finps n
blanches
l?°h
Examen au laboratoire
at-jprps pn Rngppngînn
npa-nf
jaunâtre
>?nn
21.5
7.15
2288
66,0
2) CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES
Extrait sec total à 1 05 ° C (mg/l) =
Fraction minérale à 525° C (mg/l) =
Fraction volatile à 525° C (mg/l) =
T.H. (degré français) = - - -
T.A. (degré français) =
^q?
^ifi
74
??,?5
n.nn
i«,?T.A.C. (degré français) =
Demande Biologique en Oxygène en 5 jours (DBO5), (mg/l O2) =
( milieu acide (4 h à froid)
Oxygène cédé par KMn O4 (mg/l O2) ( milieu acide (ebullition) .
( milieu alcalin (ebullition)
Oxygène dissous (mg/l O2) = -7,50
Pourcentage de saturation % = ZJ
Anhydride carbonique libre (mg/l CO2)
Hydrogène sulfuré (mg/l H2S) =
Silice (mg/l Si O2) =
30,0
7.')
-l^S-
n,85
o.Qn
1) CARACTÉRISTIQUES ORGANOLEPTIQUES ET PHYSIQUES :
Aspect .,,.....'....
Odeur
Saveur
Couleur
Turbidité . .^P. 89Vtt:es mastic
Température °C
pHà20°C
Résistivité en ohm-cm à 20° C .. .
Matières en suspension (mg/l) . . .
Pouvoir colmatant (unité Beaudrey)
Examen sur place
t-rnnble, finps n
blanches
l?°h
Examen au laboratoire
at-jprps pn Rngppngînn
npa-nf
jaunâtre
>?nn
21.5
7.15
2288
66,0
2) CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES
Extrait sec total à 1 05 ° C (mg/l) =
Fraction minérale à 525° C (mg/l) =
Fraction volatile à 525° C (mg/l) =
T.H. (degré français) = - - -
T.A. (degré français) =
^q?
^ifi
74
??,?5
n.nn
i«,?T.A.C. (degré français) =
Demande Biologique en Oxygène en 5 jours (DBO5), (mg/l O2) =
( milieu acide (4 h à froid)
Oxygène cédé par KMn O4 (mg/l O2) ( milieu acide (ebullition) .
( milieu alcalin (ebullition)
Oxygène dissous (mg/l O2) = -7,50
Pourcentage de saturation % = ZJ
Anhydride carbonique libre (mg/l CO2)
Hydrogène sulfuré (mg/l H2S) =
Silice (mg/l Si O2) =
30,0
7.')
-l^S-
n,85
o.Qn
Examen n" 3039. E. 86
3) COMPOSITION IONIQUE
ANIONS mé au litre mg au litre CATIONS mé au litre mg au litre
Carbonate
Bicarbonate
Chlorure
Fluorure
Sulfate
Phosphate
Nitrate
Nitrite
CO3"
HCO3-
ci-
F-
364--
P04---
NO3-
NO2"
Somme
Q,OQ
3,64
0,54
0,31
0.00
0.43
0,00
4.92
0
J22_
-15J-
15.0
0.12
26.5
^ 0.05
282.72
Ammonium
Calcium
Magnésium
Sodium
Potassium
Fer
Manganèse
NH4 +
Ca'^ +
Mg -n-
Na +
K+ .
Fe + +
Mn + +
Somme
0,00
4,05
0,40
-0,^0-
0,06
0.0?
0,00
4,94
<: 0,05
81 .00
4,90
9.50
?,3n
0,50
0.05
Q«,?'^
4) RECHERCHES SPECIALES
Désinfectant
Aluminium
Arsenic
Cadmium
Chrome hexavalent
Chrome total
Cuivre
Mercure
Plomb _
Zinc
néant
0,6 mg/l
néant
néant
néant
npant
npant
Cyanures.
Hydrocarbures
néant
Tensio actifs anioniques néant
Indice phénol néant-
Pesticides - organochlorés
Pesticides - organophosphorés
5) AGRESSIVITÉ
Test au marbre : pHs = 7,?0
TACs °F = ?n,in
Équilibre calco-carbonique selon Legrand et Poirier (voir courbe jointe)
Examen n" 3039. E. 86
3) COMPOSITION IONIQUE
ANIONS mé au litre mg au litre CATIONS mé au litre mg au litre
Carbonate
Bicarbonate
Chlorure
Fluorure
Sulfate
Phosphate
Nitrate
Nitrite
CO3"
HCO3-
ci-
F-
364--
P04---
NO3-
NO2"
Somme
Q,OQ
3,64
0,54
0,31
0.00
0.43
0,00
4.92
0
J22_
-15J-
15.0
0.12
26.5
^ 0.05
282.72
Ammonium
Calcium
Magnésium
Sodium
Potassium
Fer
Manganèse
NH4 +
Ca'^ +
Mg -n-
Na +
K+ .
Fe + +
Mn + +
Somme
0,00
4,05
0,40
-0,^0-
0,06
0.0?
0,00
4,94
<: 0,05
81 .00
4,90
9.50
?,3n
0,50
0.05
Q«,?'^
4) RECHERCHES SPECIALES
Désinfectant
Aluminium
Arsenic
Cadmium
Chrome hexavalent
Chrome total
Cuivre
Mercure
Plomb _
Zinc
néant
0,6 mg/l
néant
néant
néant
npant
npant
Cyanures.
Hydrocarbures
néant
Tensio actifs anioniques néant
Indice phénol néant-
Pesticides - organochlorés
Pesticides - organophosphorés
5) AGRESSIVITÉ
Test au marbre : pHs = 7,?0
TACs °F = ?n,in
Équilibre calco-carbonique selon Legrand et Poirier (voir courbe jointe)
CONCLUSIONS
Eau du forage de "PERIGNY", prélevée après 22 heures de pompage, au débit de
51 m3/h, ses principales caractéristiques sont les suivantes: aspect
trouble, coloration jaunâtre, turbidité très élevée, minéralisation moyenne,
très nette dominante de la fraction minérale, faible demande biologique en
oxygène, faible charge en matières organiques tant d'origine animale que
d'origine végétale, léger déficit en oxygène, teneur moyenne en CO2, dont
constitution anionique suivante, avec par ordre de valeur décroissante:
bicarbonates, nitrates, chlorures sulfates et sa consitution cationique,
toujours par ordre décroissant de valeur: calcium, sodium, magnesium,
potassium et fer. Les recherches spéciales sont dans l'ensemble négatives,
avec une exception pour l'aluminium.
Il aurait été bon de solliciter cet ouvrage pendant un temps plus long,
environ 100 heures, afin de disposer d'une eau plus représentative du
niveau géologique dont elle est issue et au moins de faire disparaître
les éléments exogènes provenant de l'ouvrage proprement dits.
Le Directeur du Laboratoire,
M. TOLEDE
CONCLUSIONS
Eau du forage de "PERIGNY", prélevée après 22 heures de pompage, au débit de
51 m3/h, ses principales caractéristiques sont les suivantes: aspect
trouble, coloration jaunâtre, turbidité très élevée, minéralisation moyenne,
très nette dominante de la fraction minérale, faible demande biologique en
oxygène, faible charge en matières organiques tant d'origine animale que
d'origine végétale, léger déficit en oxygène, teneur moyenne en CO2, dont
constitution anionique suivante, avec par ordre de valeur décroissante:
bicarbonates, nitrates, chlorures sulfates et sa consitution cationique,
toujours par ordre décroissant de valeur: calcium, sodium, magnesium,
potassium et fer. Les recherches spéciales sont dans l'ensemble négatives,
avec une exception pour l'aluminium.
Il aurait été bon de solliciter cet ouvrage pendant un temps plus long,
environ 100 heures, afin de disposer d'une eau plus représentative du
niveau géologique dont elle est issue et au moins de faire disparaître
les éléments exogènes provenant de l'ouvrage proprement dits.
Le Directeur du Laboratoire,
M. TOLEDE
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
Examen n" 3039. E. 8b
1 ° Dénombrement total cies bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies après 24 heures à 37° : ?7n par 1ml.nombre de colonies après 72 heures à 20-22° : 600 pari ml.
2° Colimétrie :
Bactéries coliformes : 1 1 OO par 1 00 ml
Technique utilisée : bouillon lactose à 30° E.M.B., tests I.M.V.l.C.
Membranes filtrantes à 37° C
Escherichia coli : 93 par 100 ml
Technique utilisée : bouillon lactose à 30°, test de Mackenzie
I Membranes filtrantes à 44° C
3° Dénombrement des Streptocoques fécaux :
Streptocoques fécaux : 43 par 1 00 mlTechnique utilisée : milieu de Rothe et Listky (Présomption et confirmation)
4° Dénombrement des Clostridium sufito-réducteurs :
Clostridium sulfito-réducteurs : 90 spores par 100 ml
Technique utilisée : milieu W.B. + alun de fer et sulfite de sodium .
5° Recherche des bacteriophages fécaux :
Bacteriophages fécaux dans 50 ml (Coli) (Shigella) ; négarivp salmonella négative
6° Recherche des Bactéries pathogènes : du groupe des Salmonelles= négative après filtrationde 10 litres d'eau
EXAMEN MICROSCOPIQUE DU SEDIMENT
OBSERVATIONS ET CONCLUSIONSEau riche en bactéries traduisant une souillure fécale.
Le Directeur du Laboratoire :
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
Examen n" 3039. E. 8b
1 ° Dénombrement total cies bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies après 24 heures à 37° : ?7n par 1ml.nombre de colonies après 72 heures à 20-22° : 600 pari ml.
2° Colimétrie :
Bactéries coliformes : 1 1 OO par 1 00 ml
Technique utilisée : bouillon lactose à 30° E.M.B., tests I.M.V.l.C.
Membranes filtrantes à 37° C
Escherichia coli : 93 par 100 ml
Technique utilisée : bouillon lactose à 30°, test de Mackenzie
I Membranes filtrantes à 44° C
3° Dénombrement des Streptocoques fécaux :
Streptocoques fécaux : 43 par 1 00 mlTechnique utilisée : milieu de Rothe et Listky (Présomption et confirmation)
4° Dénombrement des Clostridium sufito-réducteurs :
Clostridium sulfito-réducteurs : 90 spores par 100 ml
Technique utilisée : milieu W.B. + alun de fer et sulfite de sodium .
5° Recherche des bacteriophages fécaux :
Bacteriophages fécaux dans 50 ml (Coli) (Shigella) ; négarivp salmonella négative
6° Recherche des Bactéries pathogènes : du groupe des Salmonelles= négative après filtrationde 10 litres d'eau
EXAMEN MICROSCOPIQUE DU SEDIMENT
OBSERVATIONS ET CONCLUSIONSEau riche en bactéries traduisant une souillure fécale.
Le Directeur du Laboratoire :
Département de ta Charente-Maritime
UBORATOIRE DÉPARTEMENTAL D'HYGIÈNE
UBORATOIRE RÉGIONAL D'HYDROBIOLOGIE
RÉGION POITOU-CHARENTES
MA
20, rua d«« Cordariai17000 LA ROCHELLE
La Rochelle, le 1 6 MAI 1986
ANALYSE DTAU (Potabilité)TYPE II
Origine de l'eau : coimnune de ARDIN
Tél. (46) 41.61.47 ai 41.50.77
Source de "PERIGNY", prélèvement effectué
dans la source.' -
BRGMs c R, POITOU-CHARENTES
Arrivée leDATE DU PRÉLÈVEMENT : 30.04.86 EXAMEN N° 3040. E. 86
EXAMEN PHYSIQUE :
2 3 M^M986j
Aspect : trouble, très fines matières en suspension blanches
Turbidité en gouttes mastic :
Couleur: jaunâtre
Odeur: néant
Saveur : -
pH à 20° C. : 7,10
Résistivité (en ohms/cm/cm* à 20° C.) : 268r.E.86 '
EXAMEN CHIMIQUE :
Degré hydrotimétrique total (Dureté totale), ° français :
Matières organiques en oxygène emprunté aupermanganate de potasse, en milieu acide, mg/iitre :
Matières organiques en oxygène emprunté aupermanganate de potasse, eri milieu alcalin, mg/litre :
Alcalinité de titration en Ca O, mg/litre :
Chlorures en Na Cl, mg/iitre :
Sulfates {S074~), mg/litre :
Phosphates {fiïOst mg/litre : (eO. )
Nitrates (NOa"), mg/litre :
Nitrites (N02~), mg/litre :
Ammoniaque (NH4''"), mg/litre :
Fer (Fe"^ *), mg/litre :
Chlore libre, mg/litre :
Calcium, mg/l :
Magnesium, mg/l :
Manganèse, mg/l :
19,0
20,0
18,0
0,10
11,0
moins de 0,05
moins de 0,05
0,87
69,4
4,1
< 0,05
Département de ta Charente-Maritime
UBORATOIRE DÉPARTEMENTAL D'HYGIÈNE
UBORATOIRE RÉGIONAL D'HYDROBIOLOGIE
RÉGION POITOU-CHARENTES
MA
20, rua d«« Cordariai17000 LA ROCHELLE
La Rochelle, le 1 6 MAI 1986
ANALYSE DTAU (Potabilité)TYPE II
Origine de l'eau : coimnune de ARDIN
Tél. (46) 41.61.47 ai 41.50.77
Source de "PERIGNY", prélèvement effectué
dans la source.' -
BRGMs c R, POITOU-CHARENTES
Arrivée leDATE DU PRÉLÈVEMENT : 30.04.86 EXAMEN N° 3040. E. 86
EXAMEN PHYSIQUE :
2 3 M^M986j
Aspect : trouble, très fines matières en suspension blanches
Turbidité en gouttes mastic :
Couleur: jaunâtre
Odeur: néant
Saveur : -
pH à 20° C. : 7,10
Résistivité (en ohms/cm/cm* à 20° C.) : 268r.E.86 '
EXAMEN CHIMIQUE :
Degré hydrotimétrique total (Dureté totale), ° français :
Matières organiques en oxygène emprunté aupermanganate de potasse, en milieu acide, mg/iitre :
Matières organiques en oxygène emprunté aupermanganate de potasse, eri milieu alcalin, mg/litre :
Alcalinité de titration en Ca O, mg/litre :
Chlorures en Na Cl, mg/iitre :
Sulfates {S074~), mg/litre :
Phosphates {fiïOst mg/litre : (eO. )
Nitrates (NOa"), mg/litre :
Nitrites (N02~), mg/litre :
Ammoniaque (NH4''"), mg/litre :
Fer (Fe"^ *), mg/litre :
Chlore libre, mg/litre :
Calcium, mg/l :
Magnesium, mg/l :
Manganèse, mg/l :
19,0
20,0
18,0
0,10
11,0
moins de 0,05
moins de 0,05
0,87
69,4
4,1
< 0,05
EXAMEN BACTERIOLOGIQUE :
Numération des germes coliformes par 1 00 mi d'eau : 1 100 colonies
a) Technique des membjanes Co5:
b) Technique des milieux liquides :
Numération des Escherichiae Coli par 100 ml d'eau : 23 colonies
a) Technique des membranes Co5 :
b) Technique des milieux liquides :
Identification des germes coliformes trouvés :
Test I.M.V.l.C. :
Autres tests bio-chimiques :
Numération des Streptocoques fécaux par 100 ml d'eau : 23
Numération des Clostridium sulfito-réducteurs : 0
(spores par 100 ml d'eau) :
Numération des germes totaux, sur gélose, p. ml :
a) Après 72 h. de culture à 22° C. : 990 colonies
b) Après 24 h. de culture à 37° C. : 137 colonies
Recherche des bacteriophages fécaux :
a) Bactériophage-Coli dans 50 ml d'eau : 0
b) Bacteriophage-Shigella dans 50 ml d'eau :
Conclusions ; Eau d'aspect trouble, de coloration jaunâtre, de minéralisation moyenne,relativement douce , pauvre en chlorures, sulfates et nitrates, richeen fer, contaminée du point de vue bactériologique par des germes bio¬traceurs de souillure fécale. '
Le Directeur du Laboratoire,
IMPPIMERIE ROCHELAJSE
EXAMEN BACTERIOLOGIQUE :
Numération des germes coliformes par 1 00 mi d'eau : 1 100 colonies
a) Technique des membjanes Co5:
b) Technique des milieux liquides :
Numération des Escherichiae Coli par 100 ml d'eau : 23 colonies
a) Technique des membranes Co5 :
b) Technique des milieux liquides :
Identification des germes coliformes trouvés :
Test I.M.V.l.C. :
Autres tests bio-chimiques :
Numération des Streptocoques fécaux par 100 ml d'eau : 23
Numération des Clostridium sulfito-réducteurs : 0
(spores par 100 ml d'eau) :
Numération des germes totaux, sur gélose, p. ml :
a) Après 72 h. de culture à 22° C. : 990 colonies
b) Après 24 h. de culture à 37° C. : 137 colonies
Recherche des bacteriophages fécaux :
a) Bactériophage-Coli dans 50 ml d'eau : 0
b) Bacteriophage-Shigella dans 50 ml d'eau :
Conclusions ; Eau d'aspect trouble, de coloration jaunâtre, de minéralisation moyenne,relativement douce , pauvre en chlorures, sulfates et nitrates, richeen fer, contaminée du point de vue bactériologique par des germes bio¬traceurs de souillure fécale. '
Le Directeur du Laboratoire,
IMPPIMERIE ROCHELAJSE