Déclaration Des Droits de La Femme Et Du Citoyenne

7/25/2019 Dclaration Des Droits de La Femme Et Du Citoyenne

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Les droits de la femme([Reprod.]) [Olympe de

Gouges]Source gallica.bnf.fr / Bibliothque nationale de France
http://www.bnf.fr/http://gallica.bnf.fr/


2/32

Gouges, Olympe de. Les droits de la femme ([Reprod.]) [Olympe de Gouges]. 1791.

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3/32

Illisibitit partielle

VALABLE POUR TOUT OU PARTIE DU

DOCUMENT REPRODUIT


4/32

Couvertures suprieure et infrieure

en couleur


5/32


6/32


7/32

;.' >

point

Moa but Madjtin*

m'exprimer )ainai l'poque

de U

et

d'Qrago, j'ai n 'la^ fore' de' prendre vore

pu. me, p^UR4er


8/32

lorsque j'ai vu le glav

-j'ai observations

entre inais aujourd'hui

que je vois qu'on observe do prs la foule do.

inutins soudoye, &


9/32

(3)pourrais craindre que vos intrts particule

ne l'emportassent sur ceux de'Votre sexel

Vous aimez la glpte songez Madame

que les plus1 grands cimes s'immortalisent

comme les plus grandes vertus, mnis queUe

faste jd

l'histoire poi\t

exemple et l'autre est dternelloment

tion.du ge,nre huniaii

Onne triaVilfr

la ^staUratlon des moeurs dorin1!1 h

votre serte .toute la coensistenc dontiliet

susceptible. Cet ouvrage n'est pas l travail

d'un jour, malheureusement pour le louVeau

rgime. e*te .volution ne s'oprera que

quand toutes les femmes feront .pntres

de leur dplorable sort, & des droits qu'elles

ont 1 perdus dans la sociti Soutenez' Ma-

dam, une si beUe cause; dfendez ce sexe'

malheureux, et vous aurez bientt' ptr vous

royaume, et le tiers au moins

de l'fM^ V-.

par quels exploits

vous devez vous1 signaler et employer votre

crdit. Croyez-moi, Madame, notre vie est

bien peu de chose sur-tout pour une Reine,

juftd cette vie n'est pas mblU par l'mour


10/32


11/32

(i>

A3

LES DROITS DE LA' FEMME/

une femme qui t 'en fait H question; tu n

lui teras pas du moins ce droit. Dis-moi f

qui t'a donn le souverain empire d'opprimer

!non sexe ? ta force tes taiens ? Observe le

crateur dans sa sagesse y parcours lanaturo

dans tonte sa grandeur, dont tu sembler

vouloir te rapprocher, et donne-moi si ta

l'oss V l'exemple de cet empire trannque.

Remonte aux animaux, confult les *l-

mens' tudie les vgtaux, jatte enlin un ;

coup-cl'oeil sur toutes les modifications de la

quand je t'en offre les moyens; chercha,

fouille et 'distingue, si tti le peux, les sexes

""dans'1'dkninistraton de la nature. Partout

tu les. trouverais, confondus par-tout ils

cooprent avec un ensemble harmonieux j

ce

L'homme seul s 'est fagot un principe ^e

cette ekcp n. Bifarre aveugle hoursonfft

de &neWet dgnr, dans ce sicle de

du -Japon r..


12/32

( il)lucres et dans l'ignorance l

plus crasse, il veut commander en despote

sur un sexe qui a reu'toutes les facults

intellectuelles y il prtend jouir de la: rvo-

lution, et rclamer ses droits l'galit, pour

ne r ien dire de plus.

DCLARATION DES DROITS DE LA

FEMME ET..DE LA CITOYENNE,

dcrter par VJssmble nationale dans

ses dernires sances dans cclle de

la!prochaine lgislature.

P R i; A M B u Il F.

Les mres. les filles, les soeurs repr-

sentantes de Variation, demandent d'tre cons-

titues en assemble nationale. Considrant

que l'ignorance l'oubli ou le nipris de

droits de le femme, sont les seules causes

.des. malheurs publics et de la corruption des

gouvememens ont .rsolu d'exposer dansune dclaration solemnt.lle

rels inalinables et

ain que cette, dclaration c^stapmont

prsente tous les membres du. corps. socixl,

leur .rappelle sans- Cesse, leurs (droits et le rs

devoirs, afin. du es


13/32

(7 )

A4

femmes, et ceux ;du pouvoir des ihomme

pouvant tre chaque instant compars avec

le but de toute institution politiyue ,( n.'soient

plus respects afin que

des citoyennes fondcs dsormais sur des

principes .sitrples et incontestables tournent

toujours au maintien de la constitution. des.

bonnes moeurs, et au bonheur de tous.

En consquence le sexe suprieur,en beautcomme en cc-uirage, dans les souffrances

maternelles reconnat et dclar, en prsence

et sous les auspices de l'Etre suprme les

Droits suivans de la -Femme et de la Ci-

toyenne.

A R T 1 C t B P R E M 1 JB R

La Femme nat l ibre et demeure gale

l'homme -en droits. Les distinctions sociales

ne peuvent tre fondes que -sur! l'utilit

II.

Le but d toute association politique est

Irf conservation des droits naturels et iiix*

prefcfiptibles de la Femme et d l'Homme j'

ces droits sont la libert la pfopfit la1

ret


14/32

( 8)essentiellement dans la ration, qui n'est que

la runion de la Femme et de l'Homme

nul corps nul individu, ne peut exercer

d'autorit qui n'en mane expressment.

La libert et la justice consistent a rendr

tout ce qui appartient autrui ainsi l 'exer-

cice des droits naturels de la femme n'a de

bornes que la tyrannie perptuelle que i'hom*.

irio lui oppose; ces bornes doivent tre r-

formes par les lok de la nature et de la

raison.

Les loix de la nature ct de la raison dfen-

dent toutes actions'nuisibles la socit:

tout ce qui n'est pas dfendu par ces loix,

sages et divines, ne pe.ut tre'empche, et

nul n peut tre contraint faire ce qu'elles

n'ordonnent pas.

La Loi doit tre l'expression de la volont

gnrale; toutes les Citoyennes et Citoyeij?

doivent concourir personelletne;nt ou paj?

leurs reprsentans sa formation j elle doit

tre la mme pour tous toutes les ctoye'flr

ns et tous les citoyens, tant gaux ses

yeux, doivent tre galement admissibles i i

toutesdignits 'places

et emplois 'publics


15/32

A5

on leurs capacits, & sans autres distipo*

tions que celles 'de leurs vertus et de leur!

tlehsi

VII.

Nulle femme n'est excepte ell est accu:

ec*e > arrte, & dtenue dans.les casdter*

jnirrs par la Loi. Les fcmmes_ obissent com-

me les Hommes cette Loi rigoureuse.

La loi ne doit tablir que des peines strlc-

tement & videmment ncssaires & nul ne

peut tre puni qu'en vertu d'une Loi tablie

tt promulgue antrieurement au dlit et l

alerent applique, aux femmes.

il

Toute femme tant dclare coupable $

toute rigueur est exerce par la Loi.

Nul ne doit tre inquit pour ses ;opinidn

jtimes. fondamentales la femme a le droit/

de monter, sur elle doit a vol

galement celui de monter la tribune

pourvu que ses manifestations ne troublea

-pas Vordre public tabli par la loi.

La.libre communication des penses et dei

des dreits les plus prcieux-


16/32

(it)

de la femM Risque cette libert assure *la

lgitimit des pres envers les enfans. Toute

Citoyenne peut donc dire librement je suis

mire d'un enfant qui vous appartient; sans

qu'un prjug barbare la force dissimuler la

.Vrit } sauf . rpondre de l'abus de cette li-

bert dans U cas dtermins par la Loi.

La garantie des droits de la femme et de

la citoyenne ncessite une tHi t majeure;

cette garantie doit tre institue pour l'avaii-

toge de tous & non pour Inutilit particu-

lire de celles qui elle est confie.

XIII.

Pour l'entretien'de la force publique, & pour

les dpenses d'administration, les contribu-

tions de la femme et de l'homme sont gales y

elle a part, toutes les corves toutes les

tches pnibles ) elle doit donc a voir de mme

part la distribution des places, des emplois,

des charges, des dignits et de l'industrie.

les Citoyenne$ et.Citoyens ont le droit

de constater par .eux-mmes %pu par leurs

reprsentans la ncessit de la contribution

publique; Le$ .Citoyennes ne peuvent y adh-

z que par l'admission


17/32

A6

ftoa-suement dans la fortune mais encore

dans l'administration publique et do doter

miner la quotit, l 'assiette, le recouvrement

et la -dure de l'impt.

XV.

.La masse, des femmes coalise pour Il

contribution celle des hommes a le droit

de demander compte, tout agent public,

de son administration.

XVI.

Toute socit* dans laquelle la garantie des

droits n'est pas assure ni la sparation des

pouvoirs dtermine n'a point de constitu-

tion la constitution est nulle, si la majorit

des individus qui composent la Nation n'a

pas coopr sa rdaction.

xvii. n

Les proprits sont a tous ls sexes runi

ou spars elles ont pour chacun un droi

invio)able et sacr nul n e peut en tre priv

comme vrai patrimoine dela nature, si ce n'est;

lorsque la 'ncessit publique lgalement;

constate l'exige videmment et ;sous la

condition d'une juste et pralable indemnit.

P OS TA M BU LE.

Femme, rveille-toi j le tocunde la raison

e fait entendre dans tout l'univers recon,-


18/32

( il.)nois tes droits. Le puissant empir del n&

turc n'est plus environn de prjuges, de^

fanatisme, de superstition et de mensonges.

Le flambeau de la vrit a dissip tous les

nuages de la sottise et de l'usurpation. L'hom-

me esclave a multipli ses forces, a en besoin

de recourir aux tiennes pour briser ses fers.

Devenu libre il es t devenu injuste envers

sa compagne. 0 femmes femmes, quand

cesscrcz-voiis d'tre aveugles ? Quels sont les

avantages que vous avez recucillis dans la

rvolution ? Un mpris plus marqu un: d-

dain plus signal. Dans les sicles de corrup-

tion vous n'avez rgn que sur la foiblcsso des

hommes. Votre empire est dtruit; que vous

rcsiC't-il donc ?.la conviction des, injustices

de l'homme. La rclamation de Votre patri-

moine, f 'onde sur les sages dcrets de la nature}

qu'auriez-vous i\ redouter pour une si belle

entreprise ? le bon mot. du Lgislateur

des nonces de Cana ? Craignez vous' que

nos Lgislateurs Franais, correcteurs de cetf

morale long-temps accroche aux branches

de la politique mais qui n'est plu s de saison

ne vous rptent femmes, qu'y ft-t-U de coin-

mun entre vous et nous ? Tout auriez-vous

rpondre. S'ils s'obstinoieU dajis leur

fai-

blesse, mettre cette inconsquence en con-

tradiction avcc leurs principes opposez cou-.


19/32

( Il )

rageusement la forcede la raison aux vaines

tM-tentions de supriorit; runissez.vous sous.

;les tendards de la philosophie dployez

toute l'nergie de votre caractre, et vous

verrez bientt ces orgueilleux non serviles

adorateurs rampans vos pieds mais fiers de

partager avec vous les trsors de l'Etre-Su-.

soient les barrires que l'on

vous oppose il est en votre pouvoir de l es

affranchir; vons n'avez qu' le vouloir. Pas-'

sons maintenant l'effroyable tableau de ce

que vous avez t dans la socit; puisqu'il

est question, en ce moment, d'une ducation

nationale voyons si nos 'sages Lislateurs\

panseront sainement sur l'ducation des

Les femmes ont fait plus de mal que de

bien. La contrainte et la dissimilation ont

.t leur partage. Ce que la force leur avoit

ravi la ruse leur a rcnHu y elles ont eu

recours toutes les ressources de leurs char-

mes et le plus Irrprochable ne leur rsistoi|;

pas. Le poison le fer, tout leur toit sou.

jm's elles commandoient au crimecomme

la vertu. Le gouvernement franais suit.

l'administration nocturne des femmes; 1

cabinet n'avoit point de secret' pour leur ni.


20/32


21/32


22/32

(*>autre engagement perd

ses droits. Quelles

lois restent-il donc faire pour extirper le -vice

jusques dans. la racine ?Celle du partage dos

fortunes entre les hommes et-les femmes,

et de l'administration publique. On conoit

aisment que celle qui est'ne d'une famille

riche gagne beaucoup avec l'galit des

partagcs. Mais celle qui est ne d'une famille

pauvre, avec du. mrite et d es vertus j quel

'est sont l ot ? La pauvret et l'opprobre.

Si elle n'excelle pas prcisment en musique

ou en peinture elle ne peut tre admise au-

cune fonction publique, quand elle en'auroit

toute la capacit. Je ne ve-ux donner qu'un

aperu des choses, je les approfondirai dans

la nouvelle dition de tous mes ouvrages po-

litiques que je nie propose de donner au pu-

blic? dans quelques joujs avec des notes .

Je reprends mon texte quant aux moeurs.

Le mariage est le tomber d la constance & de

l'amour. La femme marie peut irapunmht

donner des btards son mari, et la fortune

qui ne leur appartient pas. Celle qui ne l'est

pas, n'a qu'un foible droit les lois ancien-

nes lui rfusoient ce droit sur e

nom curie bien enfan

et fe>n n'a pas fait de noveies'lois sur cet 0

Wati'e.' Si tenteV de donner mon sexe,


23/32

Ih)

consistance h onorable et jusley est considr

dans ce moment comme un paradoxe de ma

part, cicomtnc tenter l'impossible; jelaisse aux

hommes ventr; $ lagloire de -traiter cette ma-

tire mais on attendant, on' peut la prpa-

rer par l'ducation nationale, pa l a restauration

des moeurs et par les conventions conjugales.

l'orme du C ontrat social de l'Homme et de

la Femme..

Novs N et N, mus par notre propre^ vo-

lont, nous unissons pour le terme de notre

vie, et pour la dure de nos penchans mu-

tuels, aux conditions suivantes Nous enten-

dons & voulons mettre nos Fortimesen corn-

munaut, en nous rservant cependant la

droit de les spdrer en faveur de nos encans,

et de ceux que nous pourrions avoir d'une in-

clination particulire, reconnoissarit mutuel- |

lement que notre bien appartient directement 4

nos enfans de quelque lit qu' ils sortent, et.,

que tous indistinctement ont le droit (te por- j.

ter le nom des pres et mres qui les ont

avoues, et nous imposons de souscrire l

loi qui punit l'abngation de son propre sang.

Nous nous obligeons galement au cas de

sparation^ d ft^*le~j5Cr^gede notre for-

tune, et poroh de nos enfans


24/32

.[ >s j

indique, par la foi jet, au, cas d'union par-

faite, celui qui viendroit mourir, se dsis-

teroit de la moiti de ses proprits en faveur

de ses enfans et si l 'un mourait sans enfans,

le survivent hriteroit de droit, moins que

ie mourant n'ait dispos de, la., moiti du bien

commun en faveur dequi il jugeroit propos.

Voil -peu-prs la formule de l'acte con-

jugal dont je propose l'excution. A la lec-

1 turc de ce bizarre crit, je vois s'lever contre

moi les tartuffes, les bgueules, le clerg et

toute la squelle infernale. Mais combien il

offrira aux sages de moyens moraux pour

arriver la perfectibilit d'un gouvernement

heureux j'en vais donner en peu de mots la.

preuve physique. Le riche Epicurien sans en.

fans, trouve fort bon d'aller chez son-voisin

pauvre augmenter sa famille. Lorsqu'il y aura

une loi qui autorisera la femme du pauvre

faire adopter au riche ses enfins les l iens

de la socit seront plus resserrs, et les moeurs

plus pures. Cette loi conservera peut-tre

le bien de la communaut, et retiendra le

dsordre qui conduit tant de victimes dans

les hospices de l'opprobre, de la bassesse et

de la dgnration des principes humains,

o depuis long-tems, gmit la nature. Que

les dtracteurs de la saine philosophie cessent


25/32

i?v

donc de se rcrier contre les moeurs prmV

tives ou qu'Us aillent se perdre dans la source

de leurs citations. (1)

Je vodroSjvjencore une loi qui avantaget

les veuves et les demoiselles trompes par les

fausss promesses d'vh homme qui elles se

cette loi Fort un inconstant tenir ses en-

gagemens, ou une indemnit proportion-'

ne fortune. Je voudros encore que'

cette loi ft rigoureuse contrles femmes

du 'rriis pour celles qui auroient le front

de recottrir une loi qu'elles auroeftt elles-'

mmes enfreinte par leur inconduite, si lae

preuve en toit faite. la voudrons, en mme

tems comme je l'ai expose dans le bonheur

publiques fiassent places dans des quartiers'

dsigns. Ce ne sont pas les femmes publiques

qui contribuent le plus la dpravation

moeurs-^ te sont les femmes de la socit.!

En restaurant les derrires, on modifie 'les:

premires.- Cette chan d'union fraternello

mais parls sUites>

cHe^roduira la fin un ensemble parfait.

eut d'et d'Agar,


26/32

t[A:l*r

Tarne des femmesj c'est de:lesjoindre tousles -exercicesde l'homme sil'homme s'obs-tinc trouver cemoyen,impraticable, qu'ilpartage,sa non ,1son xaprice, des loix.le

prju^ tombe les rooeurs s'purent, et 4*.nature reprend tousses droits. Ajoujtez-ylemariagedesprtres,Je Roi, raffermi sucsontrne et le gouvernement franais Viasau-roit plus prir, r, . ,

l toitbienncessaireque le diser/uelque&mots sur les trquhl$. quecause, diK>n ledcret en faveurdes hommesde couleur,


27/32

urf]circule kl ans leurs veines, mas nous le rpan-

drons tout s'il le faut, pour assouvir notre

cupidit" ou notre aveugle ambition. C'est dans

ces lieux les pins prs de li nature, que le

pre m'onjiot le lits piurdimx.crjs du sang,

il en tou/Fe tous ls charmes j que put-oH

esprer de la rsistance qu'on-lul oppose la

contreindro avec violence, c'est rendre

terrible, la laisser encore dans les fers , c'est

acheminer toutes les .calamits veri l'Amrique.

Une main divino; semble rpandre par tout

l'appahagc de llib'mm l libert} la loi seule

a le droit de re'primr cette libert si eUe d-

gdnre en licenj nifii* elle doit

pour tous, c'est qui doit renfermer1

l'Assemble .Nton^dftjtis son dcret dict

et

agit de' mme France, et se

attentive nouveaux abus,

qui

Mon- &$>}-

mon sBoit encore pouvoir

il me

Semble l ju" l'autre n'est

riftj natra,

ce$ d x


28/32

:&*.)quidpive^t tre unis,

donc vf a ' ^l1;16 nj)l .individu fe peut chap-

per a spn sorti j'en fais

l- 'jfluf 'wtft Dt pdtir rire 'dans iitt

L cconomi* n est

point tout

r


29/32

"[*].bien serres & ''remplies. Je

de marche de cnYpV*?tin -6c ditapression y je d'llet

prendre un bain" dans le quartier1 ou Temple, o onie lieu fVs moins un

Ht demie , rhaf s pou* ne pas1iV&Ir. de

dispUte y,ec lin. je loi offre 4g fols: i l

l.'il fait .do bruit*

que

l- menace de la. loi il me-dt


30/32

.M]

nientdecemoderneBiidcVpiso^-en'.disant:cestdoVclapteccJarcIpn'neyc/itqueija.Semblablesconimeauxnt\)vi$.lIln*yaq'yi)

ren


31/32

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