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1
Décomposition de la dette publique
0,5
8,5
10,3
70,8
Décomposition de la dette publique 2012 (en point de PIB)
Organismes diversd'administration centrale
Administrations locales
Administrations de sécuritésociale
Etat
La dette publique représente 90,2% du PIB en 2012 (en incluant les plans d’aide à la zone euro)
2
L’investissement des assureurs en obligations
souveraines
315,0
147,0
301,0
179,0
45,0
37,0
195,0
Répartition du portefeuille obligataire et des autres titres de créance entre secteurs publics, financier et non financier à
fin juin 2013
Administrations publiquesrésidentes
Administrations publiquesde la zone euro
Institutions financièresrésidentes
Institutions financières de lazone euro
Sociétés non financières dela zone euro
Société non financièresrésidentes
Reste du monde
Sources : Banque de France
L’encours total des
placements des sociétés
d’assurance françaises en
titres obligataires et de
créance était de 1219 mds€ à
fin juin 2013, dont 315 mds€
en titres publics français.
2
3
Section
1 L’engagement des pouvoirs publics est sous-tendu par un
engagement plus large de réformes structurelles
2 Les taux d’emprunt d’Etat français durablement bas contribuent à
soutenir cet effort des pouvoirs publics
3 La dette française, attractive pour une large catégorie d’acteurs
4
Évolution des PIB des principaux pays de l’OCDE depuis 2008 :
le PIB français devrait retrouver son niveau d’avant-crise à la fin
2013
Sources : Offices statistiques nationaux, dernière observation T2 2013, T3 pour l’Espagne et le Royaume-Uni
90
92
94
96
98
100
102
104
106
108
T1 08 T3 08 T1 09 T3 09 T1 10 T3 10 T1 11 T3 11 T1 12 T3 12 T1 13 T3 13
PIB réel, indice 100= T1 2008
Etats-Unis Allemagne France Espagne Royaume-Uni Italie Pays-Bas
3
5
La nouvelle gouvernance des finances publiques
est en place
Objectif à moyen terme et trajectoire de retour à l’équilibre structurel (TSCG)
Mécanisme de correction automatique (TSCG + 2 pack)
Renforcement du pacte de stabilité et de croissance (systématisation des sanctions (adoptées à la majorité
qualifiée inversée), règle d’endettement et de dépenses, cadre
budg. pluriannuel (6 pack)
Organisme indépendant chargé du suivi des règles budgétaires (TSCG + 2
pack)
Loi organique (LO) définit la procédure et la loi de programmation (LPFP) fixe l’OMT en 2016
(équilibre structurel), avec trajectoire
LO et LPFP définissent le mécanisme : Référence : soldes structurels de la LPFP « Ecarts importants » > 0,5 pt / an ou 0,25 pt en moyenne pendant 2 ans 2 ans
pour revenir à la trajectoire
Création du HCFP
Recommandations de juillet et avis de la Commission sur notre projet de plan budgétaire
en novembre
Projet de plan budgétaire (2 pack) Transmission à la Commission du nouveau Rapport économique, social et financier (RESF)
6
Le ratio d’endettement baisserait dès 2015.
Source : PLF 2014
-2,9-2,3
-2,7-3,3
-7,5-7,1
-5,3-4,8
-4,1-3,6
-2,8
-1,7-1,2
66,8
64,1 64,2
68,2
79,2
82,1
85,1
87,8
90,491,8 91,6
90,0
88,0
-10
-8
-6
-4
-2
0
2
4
6
8
10
55
60
65
70
75
80
85
90
95
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
Déficit public (Dte) Dette/PIB avec Grèce 2nd, Irlande et Portugal (Gche) Dette/PIB (Gche)
Ratios de déficit et de dette publique (points de PIB)
4
7
Une consolidation budgétaire structurelle très large en France en
comparaison avec d’autres pays de la zone euro
Source : Commission Européenne, Rapport sur les Finances Publiques en UEM, Juillet 2013
En cours d’actualisation par la Commission Européenne à la suite de la présentation des PLF 2014, se traduira pour la France par une amélioration
supplémentaire du solde structurel pour 2014.
0
0,5
1
1,5
2
2,5
3
3,5
4
Finlande Belgique Pays-Bas Espagne Allemagne Italie France
Variation cumulée du solde structurel dans plusieurs pays de la zone
euro hors programme d'assistance financière, 2011-2014 (points de PIB)
8
Une rupture majeure dans la tendance
des dépenses publiques
Sources : INSEE, MINEFI
2,0%
2,2%
2,6%
1,8%
2,7%
0,9%
4,0%
0,9%
0,1%
1,0%
1,7%
0,4%
0,0%
0,5%
1,0%
1,5%
2,0%
2,5%
3,0%
3,5%
4,0%
4,5%
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013(p) 2014(p)
Croissance annuelle des dépenses publiques, en volume
moyenne 2003 - 2008: 1,9%
Moyenne 2010-2014: 0,8%
5
9
Un respect total des objectifs de dépenses
d’assurance maladie depuis 2010
Mesures récentes prises
pour contrôler la
croissance des dépenses
d’assurance maladie :
Contrôle de la tarification des
médicaments
Incitations à la
consommation des
médicaments génériques
Réduction du montant des
indemnités journalières
Rationalisation du réseau
des hôpitaux
2,0%
2,5%
3,0%
3,5%
4,0%
4,5%
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
Dépenses d'assurance maladie, taux de croissance nominal annuel
Vert : en-dessous de la cible
Jaune : au-dessus de la cible mais en-dessous du seuil d'alert
Rouge: au-dessus de la cible et du seuil d'alerte
10
Une stabilisation du ratio de dette publique de la France
attendue par le FMI en 2014 à un niveau médian
Source : FMI
*
20
40
60
80
100
120
140
2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012 2014 2016
Evolutions des dettes publiques (2000-2017, % du PIB)
Italie
Espagne
Etats-Unis
Royaume-Uni
France
Pays-Bas
Allemagne
6
11
Le pacte national pour la croissance, la
compétitivité et l’emploi
Le 6 novembre 2012, le Premier ministre a présenté le « Pacte pour la croissance, la compétitivité
et l’emploi », inspiré des travaux de Louis Gallois sur la compétitivité de l’industrie française, voté
dans le cadre de la loi de finances 2013
Le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) allège le coût du travail de 20Mds€
(montée en charge sur deux ans) et renforce la compétitivité des entreprises françaises,
Une réduction des coûts du travail comprise entre 4 et 6% de la masse salariale en-dessous de
2,5 fois le SMIC,
34 mesures destinées à améliorer la compétitivité hors-coût, à travers un meilleur
accompagnement des PME et ETI, l’amélioration de l’environnement des affaires et un soutien à
l’innovation des entreprises françaises (maintien du crédit d’impôt recherche (CIR)),
La mesure est financée (1/2 baisse de dépenses ; 1/2 TVA et fiscalité environnementale) et a été
rapidement votée (publication le 30 décembre 2012),
Impact attendu : 300,000 emplois créés, + 0,5 point de croissance attendu par le gouvernement
d’ici à 2017, et dans 10 ans sous des hypothèses plus pessimistes, amélioration de 0,8 point des
marges des entreprises en 2014
Succès du pré-financement pour les PME en 2013 : soutien en trésorerie fourni par Bpifrance
s’élevant à 907M€ à fin septembre 2013, 1 Md€ attendus pour toute l’année 2013.
11
12
Accord crucial sur la réforme du marché du travail conclu le 11/01/2013 entre 3
syndicats et les fédérations d’employeurs, un pas très significatif vers la
“flexisecurité”. Adoption définitive par le Parlement le 14 mai, avec un texte très
proche de celui de l’accord du 11/01/13 :
Plus de flexibilité et de compétitivité pour les entreprises : - Accords de sauvegarde de l’emploi permettant à l’employeur de réduire les salaires et
d’ajuster le temps de travail en échange d’un engagement de maintien de l’emploi en cas de
graves difficultés conjoncturelles
- Assouplissement des conditions de restructuration : mobilité interne obligatoire, licenciement
pour motif économique en cas de refus du salarié
- Réduction de l’insécurité juridique associée aux plans sociaux : choix au niveau de
l’entreprise entre un accord majoritaire avec les syndicats ou une autorisation administrative
dans un délai de 15 jours, avec des délais de recours juridique raccourcis
Une réduction de la dualité du marché du travail : - Augmentation du taux de cotisation d’assurance chômage payé par les entreprises sur les
CDD très courts
- Incitations à embaucher de jeunes salariés en CDI
- Possibilité de conserver ses droits résiduels aux indemnités chômage entre deux périodes de
chômage
Réactions : « C’est un accord historique (…) il y a des éléments qui vont changer la
vie des entreprises (…), Avec le CICE et cet accord, la France peut espérer un progrès
significatif pour regagner sa compétitivité, » (L, Parisot, présidente du MEDEF)
« Un accord majeur » selon une déclaration de l’OCDE
2013 : une réforme majeure du marché du travail
7
13
La réforme des retraites de 2013
Après concertation avec les syndicats de travailleurs
et les fédérations d’employeurs, un projet de loi de
réforme des retraites a été présenté en Conseil des
Ministres le 18/09/2013. Il prévoit: une augmentation de la durée de cotisation de 41 ans
actuellement à 43 ans en 2035;
une augmentation des contributions sociales retraites
salariés et employeurs de 0,15 point en 2014 et de 0,05
point chaque année jusqu’à 2017 (0,6 point au total);
la suppression de l’exonération de la majoration de 10%
pour les retraités ayant élevé 3 enfants ou plus ;
le report de la revalorisation des pensions du 1er avril au
1er octobre.
Ces mesures s’appliqueront à la fois au régime
général, au régime de la fonction publique et aux
régimes spéciaux.
Les dépenses de retraite du régime de la fonction
publique d’Etat sont soumises à la règle budgétaire de
gel en volume.
Une nouvelle réforme des régimes de retraite
complémentaire sera nécessaire, mais ceux-ci sont
gérés par les partenaires sociaux, et non l’Etat.
Impact des mesures de redressement,
en Mds€ constants 2011 2020 2040
Déficit de l’ensemble des régimes de
retraite avant reforme -20,7 -26,6
Allongement de la durée de cotisation
au-delà de 2020 - 10,4
Report de l’indexation d’avril à octobre 1,9 2,6
Fiscalisation des majorations de pension 1,3 1,7
Hausse des cotisations salariés et
employeurs 4,6 6,8
Economies de gestion 0,2 0,3
Mesures de justice 0 -3,0
Déficit de l’ensemble des régimes de retraite de base (général et fonction publique d’Etat) après réforme et avant équilibrage des régimes de l’Etat ou équilibrés par subvention
-12,7 -7,9
Déficit de l’ensemble des régimes de retraite de base (général et fonction publique d’Etat) après réforme et équilibrage des régimes de l’Etat ou équilibrés par subvention
-0,4 0,0
14
Section
1 L’engagement des pouvoirs publics est sous-tendu par un
engagement plus large de réformes structurelles
2 Les taux d’emprunt d’Etat français durablement bas contribuent à
soutenir cet effort des pouvoirs publics
3 La dette française, attractive pour une large catégorie d’acteurs
8
15
Encours de dette négociable : 1 450 Mds€
– Obligations à long terme (OAT): 1 055Mds€
– Bons à moyen terme (BTAN) : 215 Mds€
– Bons à court terme (BTF) : 181 Mds€
Dette française : chiffres clés au 30 septembre 2013
Evolution du programme MLT Mds€
122111
104,197,5
128,5
165
188 184178
169 174
0
50
100
150
200
2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
16
R-U
14,5
Durée de vie moyenne de la dette française
(30 septembre 2013)
Source: AFT
9
17
Une charge de la dette contenue en 2014
46,3 46,9 45 46,7
0
10
20
30
40
50
60
2012 (LR) 2013 (LFI) 2013 (Révisé) 2014 (PLF)
En Md€- 1,9Md€ en 2013Effet taux (-0,6Md€) Effet inflation (-1,3Md€)
Hypothèses 2014
Inflation (Fra): 1,3%
TEC 10 (moy): 3,3%
BTF 3m (moy): 0,3%
18
Source : Bloomberg, 30 Octobre 2013
Taux de référence France - Allemagne (10 ans)
10
19
Source : Bloomberg, 30 Octobre 2013
Pic d’aversion pour le
risque sur les marchés
obligataires
Décision sur le PSI
grec
Annonce du
référendum grec Tension en
Espagne
1er LTRO
Draghi: “believe
me it will be
enough”
Schatz à 0%
Baisse des taux
BCE
Spread France - Allemagne (10 ans)
Décision BoJ
20
Corrélation France-Allemagne (10Y)
Source : AFT, 30 Octobre 2013
Taux à 10 ans France – Allemagne : niveau de corrélation des
variations quotidiennes (sur 120 jours glissants)
11
21
Amélioration des conditions de financement en Italie
et en Espagne
0
1
2
3
4
5
6
7
8
0 5 10 15 20 25 30
Courbe des taux italiens
31/10/2013 06/09/2012 midi 24/07/2012
0
1
2
3
4
5
6
7
8
0 5 10 15 20 25 30
Courbe des taux espagnols
31/10/2013 06/09/2012 midi 24/07/2012
22
Section
1 L’engagement des pouvoirs publics est sous-tendu par un
engagement plus large de réformes structurelles
2 Les taux d’emprunt d’Etat français durablement bas contribuent à
soutenir cet effort des pouvoirs publics
3 La dette française, attractive pour une large catégorie d’acteurs
12
23
Régularité et transparence sont les
pierres angulaires de notre stratégie
- Calendrier des adjudications publié 1 an à
l’avance BTF chaque lundi
OAT (>5Y) chaque premier jeudi du mois (sauf
en août et en décembre)
OAT (2Y à 5Y) et indexés chaque troisième jeudi
du mois (sauf en août et en décembre)
- Benchmarks 2, 5, 10, 15, 30 et 50 ans
- Régularité dans le rythme et la structure
des émissions
- Absence d’opportunisme dans l’approche
Avec l’introduction d’éléments de flexibilité
depuis la fin de l’année 2007
- Plus d’émissions de “off the run”
- Plus de lignes lors des adjudications
- Fourchettes d’émission plus larges
- 2 adjudications optionnelles (août et
décembre)
- A compter du 1er janvier 2013, nouvelles
émissions réalisées sous la forme d’OAT
(plus de BTAN) avec des nouvelles dates
de maturité (mai et novembre)
“L’Agence France Trésor gère la dette et la trésorerie de l’État dans les meilleures
conditions de sécurité et dans l’intérêt du contribuable,”
Mandat et stratégie de l’AFT
24
Source : AFT
Un programme de financement régulier
2013 : 172,6 Mds€ d’émissions brutes
Jan Fév Mar Avr Mai Juin Juil Aou Sep Oct Nov Déc Total
2 A 2,4 2,0 5,0 4,3 3,4 3,3 2,1 2,5 25,0
3-4 A 1,6 2,0 1,4 1,8 1,9 3,0 11,6
5 A 4,0 5,6 3,0 3,6 4,8 4,1 4,8 3,1 5,3 38,2
6-7 A 3,3 2,2 2,5 2,7 1,8 12,5
10 A 3,5 3,4 3,6 5,7 7,2 3,8 6,3 7,7 6,0 47,3
15 A 1,2 4,0 1,8 1,0 2,3 3,3 2,9 16,4
30 A + 50 A 4,5 2,2 6,7
i/€i 1,8 2,3 1,8 1,7 1,4 1,5 1,3 1,5 1,7 15,0
Emissions brutes totales 17,8 21,4 22,1 18,0 19,2 16,9 19,5 18,9 18,9 172,6
13
25
* Au 1er janvier 2013
Encours des obligations au 30 septembre 2013
Source : AFT
26 Source : comité de marché des SVT, basé sur les données de MTS et Brokertec
1
2
4 3
Evolution du spread bid-ask pour les benchmarks 10 ans (moyenne en pb des 9 meilleurs spreads)
1- 13 juillet 2011 : Rumeurs liées à l’aide à la Grèce et contagion européenne
2- 8 août 2011 : Dégradation de la notation du gouvernement américain par S&P
3- 26 Octobre 2011 : Sommet européen et FESF
4- 17 Novembre 2011 : Inquiétudes sur le référendum en Grèce et tensions sur le marché de la dette italienne
Une forte résilience de la liquidité du marché
secondaire en dépit de chocs exogènes
14
27
Source : Reporting harmonisé des SVT
Volume quotidien moyen depuis 2006 (en Mds €)
Volume quotidien des transactions sur les
obligations françaises
28
Détention de la dette française par les non-résidents
Diversification
hors zone euro
Diversification
intra zone euro
Source : Banque de France
63,2%
Diversification de la base d’investisseurs
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
15
29
2013 (fin Septembre) 2010 2011 2012
Acheteurs nets d’obligations nominales
Source : Reporting harmonisé des SVT
NB : Exclusion des achats nets de titres de maturité inférieure à 1 an
30
Banques 12%
Banques Centrales et
autres entités
publiques 54%
Gestions d'actifs 17%
Autres 17%
Banques 9%
Banques Centrales et
autres entités publiques
50% Gestions
d'actifs 26%
Autres 15%
Banques 10%
Banques Centrales et autres entités
publiques 38%
Gestions d'actifs 34%
Autres 17%
Asie &
Moyen-
Orient
17%
Autres
20%
Europe
63% Europe
74%
Asie &
Moyen-
Orient
23%
Autres
3%
Source: Reporting harmonisé des spécialistes en valeurs du Trésor
2011 2012 2013 (fin Septembre)
Qui sont les acheteurs nets de BTF?
France
41%
Europe
(sauf
France)
53%
Autres
6%
France
59%
Europe
(sauf
France)
34%
Autres
7%
16
31
Gestions
d'actifs
22%
Courtiers
56%
Assureurs
4%
Fonds
Spéculatifs
7%
Autres
7%
Banques
Centrales
et autres
entités
publiques
4%
Gestions
d'actifs
17%
Courtiers
19%
Banques
Centrales
et autres
entités
publiques
5%
Autres
6%
Banques
44%
Fonds de
Pension
1%
Assureurs
8%
Gestions
d'actifs
21%
Banques
Centrales
et autres
entités
publiques
5%
Banques
33%
Fonds
Spéculatifs
17%
Fonds de
Pension
15%
Assureurs
9%
2011
2012
2010
Acheteurs nets d’obligations indexées
2013 (fin Septembre)
Exclusion des achats nets de titres de maturité inférieure à 1 an
Source: Reporting harmonisé spécialistes européens en valeurs du Trésor
32
Plus d’information sur …
Bloomberg: TREX <GO>
Reuters: <TRESOR>
www.aft.gouv.fr
Ambroise Fayolle – Directeur général
Maya Atig – Directrice générale adjointe