Défense d'afficher

8/2/2019 Défense d'afficher

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8 ARTISTES,8 VILLES,8 RÉALISATEURSEn arrivant sur le site Défense d’afficher, l’internaute est

plongé dans les rues d’une ville qu’il ne connaît pas.

Au gré d’un parcours aléatoire, il accède à huit documen-

taires d’environ 7’ chacun, tournés dans les rues de New

York, Paris, Bogota, Sao Paulo, Turku, Athènes, Nairobi

et Singapour.

Autant de films pour décrypter ce qui préoccupe les street

artistes aujourd’hui : la place de l’homme dans la ville

pour Alexandre Orion, le matraquage publicitaire chez

Ludo ou encore, la crise grecque avec Bleeps.Autant de regards de jeunes réalisateurs venus du monde

entier.

Pour compléter le propos des films : contenus addition-

nels, textes, cartes avec œuvres géolocalisées et liens.

Au total, c’est plus d’une heure de contenus qui est proposée.

En bonus pour ceux qui auront regardé tous les films, un

screensaver composé de huit œuvres inédites réalisées

par les artistes du webdoc.

VILLE VIRTUELLE, VILLE RÉELLE

Grâce à l’application iPhone All City, gratuite du 19 au 25

mars, l’expérience du webdocumentaire Défense d’afficher

continue dans la rue. C’est un moyen simple de découvrir

et partager le street art autour de soi, l’application idéale

pour suivre les street artistes incontournables et en

découvrir de nouveaux, partout dans le monde.

« Défense d’afficher » se dit dans toutes les

langues.

Pourtant, dans tous les pays, graffeurs et

street artistes passent outre cette interdiction.

Qu’ont-ils donc de si important à dire ? Quel est

le sens véritable de leur geste ?

Au terme d’un parcours virtuel, le web-

documentaire « Défense d’afficher » invite

l’internaute à découvrir ce que le street art

raconte des villes et du monde d’aujourd’hui.

UN WEBDOCUMENTAIRE

SUR LE STREET ART

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ATHÈNESARTISTE BLEEPS

RÉALISATEUR DIMITRIS PETALAS

Depuis les années 60, le street art a pris l’habitude

d’accompagner les révolutions. Cette fois c’est àAthènes que ça se passe. Tandis que le pays s’enfoncedans la crise et que l’Union européenne oblige l’Etatgrec à adopter une politique de rigueur, la populations’embrase et avec elle, les murs de la ville.Partout, slogans, affiches et pochoirs dénoncent unesociété consumériste dominée par l’argent et l’égoïsme.En tête de ce mouvement « artiviste », Bleeps et sonéquipe. Ecoeurés par l’accroissement de la pauvreté etle cynisme des responsables, ils ont décidé d’agir et deréveiller les consciences : à coup de pochoirs assassins.

BOGOTÁARTISTE BASTARDILLA

RÉALISATEUR LIONEL ROSSINI

Le street art est généralement l’apanage deshommes. Mais il existe des exceptions.A Bogotá, Bastardilla, une jeune femme de28 ans, se rend dans les quartiers les pluspauvres de la ville pour y dessiner.Ses immenses fresques très colorées dénon-cent la dureté des conditions qui y règnent eten particulier, la violence faite aux femmes.

NEW YORK ARTISTE MERES ONE

RÉALISATEUR TREVOR TWEETEN

En plein cœur de Queens, à New York, 5 POINTZ, nousrappelle que c’est là que tout a commencé.Dans ce bâtiment hors norme, des milliers de graffeurs dumonde entier viennent chaque année, y créer de nouvelles

fresques. Le gardien des lieux, Meres One, nous offre enpersonne la visite de ce musée à ciel ouvert.

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NAIROBIARTISTE BANKSLAVE

RÉALISATRICE EVA MUNYIRI

Les pionniers de New York n’en finissent pas

d’essaimer. Partout où l’urbanisation gagnedu terrain, la culture du graff continue dese diffuser.A Nairobi, Bankslave est graffeur. Tandisqu’il démontre la vitalité de cette culture,le film révèle comment il se sert du graffitipour embellir le bidonville de Kibéra.

PARISARTISTE LUDO

RÉALISATRICE LAURIE GROSSET

Dénonçant la pollution visuelle qui envahit les rues deParis, Ludo a décidé de détourner les marques qui font larenommée de la ville du chic et de la mode.Son but : nous vendre des plantes mutantes : ananas mortels,fleurs tranchantes… Une belle manière de nous rappeler que

l’homme qui joue à contrôler la nature, pourrait bien finir paren subir les conséquences…

SÃO PAULOARTISTE ALEXANDRE ORION

RÉALISATEUR PEDRO WATANABE

São Paulo, 18 millions d’habitants, des em-bouteillages légendaires, un taux de pollutionlargement supérieur à la moyenne… Bref, uneville pas forcément accueillante au premierabord. Jouant de la provocation comme à son habitude,Alexandre Orion a choisi de traverser São Pauloà pied. Semant le désordre, il interroge la place

du piéton dans la ville.

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SINGAPOUR

ARTISTE TRASE ONE

RÉALISATEUR THE SHADOW DIRECTOR

En peuplant la ville de Singapour de son petit skateur,

Trase One propose une belle allégorie de ce que sont lesgraffeurs.L’artiste qui peint les murs de la ville, fait corps avec elle.Il glisse d’une rue à l’autre, en connaît les moindresombres et parvient toujours à se faufiler là où on l’attendle moins. Et dans une ville sur-réglementée comme Sin-gapour, cette démarche est un véritable geste politique.

TURKUARTISTE PALLO

RÉALISATEUR TIMO WRIGHT

Quand règne l’ordre et la tranquillité commeà Turku en Finlande, il faut tromper l’ennui.Pallo, non sans humour, soigne sa dépres-sion en s’évadant dans la forêt. Entre deux

bières et trois cauchemars, il se débarrassede ses démons intérieurs en dessinant desmonstres sur des murs abandonnés.

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AUTEURS

SIDONIE GARNIER,FRANÇOIS LE GALL& JEANNE THIBORD

DIRECTION ARTISTIQUE ET MOTION DESIGNGREG MIGNOLINI

DÉVELOPPEMENT FLASHADRIAN GANDOUR

MOTION DESIGNPIERRE BIET

GRAPHISME ADDITIONNELBRIGITTE NATAÏ

SOUND DESIGNGREG CORSARO

FICHE TECHNIQUE

EN PARTENARIAT AVEC

CONTACT PRESSE

EN COPRODUCTION AVEC

PRODUCTION

AVEC LE SOUTIEN DE

JEANNE [email protected] 64 03 42 62

SIDONIE [email protected] 09 79 74 08

FRANÇOIS LE GALL [email protected] 79 86 30 42

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FRANCE TÉLÉVISIONS

AGNÈS [email protected]

01 56 22 70 10

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