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7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
1/96
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
2/96
LON
EGRELLE
L
FASCINANT
HITLER
DITIONS DE LTOILE MYSTRIEUSE
KLOW, SYLD VIE
2 6
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
3/96
CHAPITRE PREMIER
HITLER, QUEL
HITLER
?
DEPUIS 1945 le
seul fait de parler objectivement d'Hitler - celui-l
mme qui, entre
1939
et
1942
ava
it balay l'Europe depuis Narvik
jusqu'au Ploponnse, depuis
le
Golfe de Finlande jusqu'aux som
mets du Caucase et amen sous son pouvoir quatre cents millions
de personnes - vous vaut d'tre vou instantanment la plus
tapageuse des excrations.
I.:Adolf de Berchtesgaden ne peut plus apparatre que sous les
tra its d un brigand griffu, d un asservisseur appt de sang,
d un
reste de gibet.
Si vous avez
notamment
l'audace impie de mettre en doute les
chambres gaz hitlriennes, dclares monuments de la conscience
universelle, une horde de contestataires, rauquant comme des ti-
gres, vous saute dessus, vous trane, par
le
ceinturon ou par
les
savates, devant
des
tribunaux de rpression. Racisme irrmissible
1
Vous tes la honte de la civilisation
Le
cas rcent des avatars posthumes du plus grand philosophe
allemand du xx' sicle,
Martin
Heidegger, est exemplaire.
Il
a suffi,
pour
qu'il ft vomi, qu'on dcouvrt
la
dclaration qu'il avait pro
nonce en
1933
lorsqu'on lui avait offert, en Allemagne, une chaire
duniversit:
Pour moi , il est clair que, mettant de ct tout
motif
personnel, j entends
c
o
mplir la mission qui me permettra de servir de l meilleure faon le
travail d'Adolf Hitler.
Une fois dmasqu comme un hitlrien de
1933
le c lbre Hei
degger, lou partout la
vei
lle par la gauche unanime, devint, sur
l' heure,
un
rebut de la philosophie Son infamie, aussitt, fut cor
ne par toute
la
presse de l'univers.
7
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
4/96
LE FASC INAN T HITLE R
Comme
on a pu le lire dans le
Figaro Magazine
du
f
avri l 1
989,
sous la
sig
natu
re
d'Henri Amouroux:
Les Allemands ne pouvaient pas avoir ison parce
qu'i
ls taient en-
nem i et que l
'e
emi ne pe
ut
jamais avo
ir
ra
ison.
fo r
ce
de submerge r Hitler
so
us les accusations de liquidation
au gaz de mi
ll
ions - toujours croissa
nt
s - de Jui fs, Auschwitz
ou ai
ll
eurs, les aboyeurs taient convaincus qu' ils empc heraie
nt
dfinitivement l
es
foul
es
de connatre quoi que ce ft d 'authen
tique sur Hitler ; s
ur
son access ion au po uvoir, hiss, po
urt
ant, et
constamment, s
ur
les pau les du peuple a llemand (il obtiendrait
91 fo d
es
vo ix, sous con /rle alli, dans la Sarre en 1935 ), sur sa r
fo
rme soc iale d'avant 1939; sur l'pop
e
que fut, de 1939 1945, la
plus fantas tique guerre s
ur
terre, s
ur
mer, dans l
es
air
s,
que connut
jamais notre plante.
C'est pour ce
tt
e raison qu'avant de pa rler de
ce
t Hitler-l -
le
vrai
- ,
il est indispensable de soumettre l'examen
le
s accusa tions
sous lesqu elles une propaga
nd
e furibonde l'a presque en
se
veli ,
aprs la victoire de Staline, des
Juif
s et de leurs mentors amricains
le 8 mai 1945.
Av
ec
le te
mp
s, qu elques historiens libr
es
d'esprit, renifl ant des
exagrati
ons dans le batta
ge
ga nt de l Holocauste et de
ses
vingt
succdan
s mlo
dr
amatiques, crurent dcent de faire
face sc
ientifi
qu ement aux
ava
leurs de charre
tt
es et gra
tt
er un peu le terrain sous
le soc des cha
mbr
es gaz
".
Apr
s
1945 les propagandistes des dmoc rati
es
avaient in
ten
s
ment dbit leur
dr
ogue. Longtemps on put croire qu e les
chercheurs indi
sc
rets ne
se
maient
qu
e sur le
sa
bl e.
Ce
nt tmoins
- un cur compris - ava ient vu, de leurs ye ux vu , ces chambres
gaz
1
Il
s l
es
avaient parcourues le jo
ur
, la nuit , dans tous l
es
se
ns,
Dac hau, Bu chenwald, Mauthausen.
Dr
agons de ve rtu, ils les
avaient dc rites jusqu'
au
dernier remc hement dans d' innombra
bles livres apoca lyptiques .
8
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
5/96
LE FASCINANT
HITLER
- .
Or, ces fameuses chambres gaz de Dachau, de Buchenwald
et
d'une
srie d'autres camps du Reich n'avaient - c'est
maintenant
officiellement tabli -jamais exist.Vous trpignez de fureur lire une
telle affirmation? .. Calmez-vous. Cette affirmation, c'est le plus
faro uche des intellectuels antinazis de l'aprs-guerre qui la mise.
E
ll
e a t prononce par le D' Martin Broszat, celui-l mme qui
a
ll
ait devenir le directeur du fameux Institut jr Zeitgeschichte. Cet
Institut d ' histoire contemporain
e
est
le
trs puissant organisme
charg
par
la Rpublique fdrale d A llemagne de dissquer les
restes du Reich.
Et
voil le D' Broszat, fleur de l'antifascisme,
a bien d dclarer, le
9
aot 1960, dans le journal
Die
Zeit en des
termes on ne peut p
lu
s formels, qu'aprs quinze annes d'tudes,
d'ana lyses et de confrontations, il lui fa llai t conclure qu'aucune
chambre gaz n'avait fonctionn dans quelque
camp
que ce ft sur
toute la superficie du territoire de l'ancien Reich.
Pas possible vous crieriez-vous. Prenez vos lunettes et
li
sez le
texte exact du D' Broszat:
Ni Dachau,
ni
Bergen-Belsen,
ni
Buchenwa ld, des
Juifs ou d'autres
dtenus n on t t gazs.
Le
D'
Broszat fut
on
ne peut
plus net dans
un
e autre lettre, en
date du 17 juillet
1961,
envoye
un
correspondant sudois et pu
blie
par
le rvisionniste sudois Ditlieb Felderer dans Auschwitz
Exil
quand
il prcisa :
[... J non plus que dans les autres camp s de concentration de l
a
ncien
Reich [fron
ti
res de 1937 J
1.
Au
procs d Ernst
Zndel
Toronto
(Canada), le professeur
Raul
Hilb
erg,
auteu r d un volumineux
travail
intitul The estruction o he European Jews
re-
connut que telle tai t bien la conclusion de son co llgue Martin
Broszat
(Tran
s-
c
ripti
on stnographique
du pr
ocs, 7 j
anv
ier
1 9B5 p
1223).
9
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
6/96
LE FASC INANT
HITL
E
R
Alors enverrez-vous sous les verrous et dclarerez-vous inligibl e
ce lui qui rpandra ce texte
se
nsationnel son compte?
Ce rt
es, le
D' Broszat avait limit
1 ancien Reich allemand
[frontires de
[937]
ses dngations absolument catgoriqu
es
de
l'existence des chambres gaz. JI s'tait abstenu d'mettre des affi r-
mations similaires au s
uj
et des gazages dans les ca mps situs hors de
la ncien Reich, notamment dans la Pologne, conqui
se
par Hitler en
septembre
939
puis passe sous la botte de Staline en [945.
donc, Hitler aurait pu
se
fourvoyer, draper dans un gno
cide. Mme l
es
chnes sont parfois dvors par leurs chniers.
Alors, Auschwitz? .. On connat la vaste polmique suscite
ce
sujet aussi bien en France qu'en
All
emagne, en Angleterre,
au
Canada, aux tats-Unis.
Ce lui qui dclencha l'norme bagarre des chambres gaz a t,
en tout premier lieu, en
950,
Paul Rassinier, ancien dport, ancien
dput socialist
e.
Ensuite, sur
sa
lance, apparut, en [9
74,
le professeur Robert
Faurisson,
un
chercheur mrite de l'universit de Lyon. Lui aussi,
comme le professeur Heidegger, avait t remarqu jadis par la
grande pres
se
Le Monde, notamment)
pour
la valeur
sc
ientifique
et littraire de ses tudes de textes, qu'elles eussent t consacres
Rimbaud (1961) ou bien Lautramont (1972).
Le 29
dcembre 1978,
il publia, dans eMonde prci
s
ment, un article intitul Le pro
blme des chambres
gaz
ou
La
rumeur d'Auschwit
z
l
L'homme de
la
rue, videmment, ne dispose pas des moyens de
recherches que
po
ssde un
prof
esseur d universit. JI ne peut pas
consacrer dix ans des investigations. Mais, faisant rflexion, cha
cun pouvait nanmoins, aprs avoir lu Faurisson, se
po
se r quelques
questions de bon sens :
l ) Pourquoi, s'i l tait si simple de ga zer des millions de Juifs
avec
le
seul emploi de granuls de Zykl
on
B,
pas plus gros qu'une
2 Cet article fut
suivi , le 6
janvier 1979. d'une lettre
de
rponse
au
formidable
tir de barrage
dclench
par
son re tentissant article.
O
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7/96
L FASCINANT HITL
ER
aspirine, pourquoi les A
ll
emands nava ient-
il
s pas uti lis sur
pl
ace
ces moyens, tou t simples, dans les pays mmes o vivaient ces Juif
s,
en Hongrie, en Serbie, en Grce, en France, etc., au lie u de trimba
ler
in
te rmina
bl
em
ent
ces Ju i
fs
dans d
es
mi
lli
ers de trains encom
brants, cote ux, t ravers toute lEurope, parmi les comp lications
inoues des rseaux fe rroviaires surchar
gs de 1942
1944 ...
,0) Alors que les Allema
nd
s, prci
s
men t, manquaient de mat
riel ro
ul
ant tel point que le
ur
s millions de so ld ats tardaient de 21
3 jou rs po
ur
arrive r, en wagons bes ti aux, au front de lEs t, pou
r
quoi auraient-
il
s dtourn de leur foncti on militaire, po
ur
charrier
des Jui
fs
,
ce
nt mille wagons et six mille l
oco
motives dont leurs
armes prouva ient un besoin ex trme? . .
Le transbahutage des Jui fs en qu es tion a reprsent au long des
annes de guerre des millions de kilomtres de parcours. Si c ta it
pou r amener ces Isra li tes sur le territoire alle
mand
dans le se ul
but de les liquider, pourquoi les Allemands nutilisa ie
nt
-ils pas sur
place ces granuls si peu encombrants de Zykl on au lieu de recou
rir d
a
u
ss
i intermina
bl
es
dplacements pa r voie ferre?
3) Les Allemands, privs de le
ur
s travaille
ur
s, partis comme
so ld ats au front sovitique, devaient amener grands frais des
millions d tran
ge
rs afin que fussent maintenues en activit le
ur
s
usines. Alors pourquoi, dans un tel cas de ncessit, eusse nt-
il
s t
se priver, en la gazant, de l
imm
ense ma in -duvre juive, gr
at
uite
ce lle-l ? ..
4) Pourquoi en outr
e,
alors qu ils prou
va
ient,
un po
int si
harc
el
ant,
un
besoin de collaboration manue
ll
e dans le
ur
s indus
t
ri
es de guerre, pourquoi les Allemand
s,
or
ga
nisate
ur
s patents,
eussen t-
il
s, en affa mant ou maltraitant ce tte main-
d
uvre, ou en
la gazant, commis la stupidit de rduire
ri
en le rendement de
ce tte rserve de trava
il
qui, de toute v id ence, et pu t re consid
ra
bl
e . .
5
) Enfin , s il est exact que tous les Jui fs d E urope, ou peu s en
fa
ut, ont p
ri
gazs dans l
es
ca
mp
s a
ll
emand
s,
co
mm
ent est
-il
ex
p
li
ca bl e qu
a
pr
s
la dfaite du Reich en 945 aient pu arri
ve
r tout
frtillants dans le nouve l tat d I sr
a
l quelque deux millions dex
loca taires jui fs des ca mps d Hitler
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8/96
LE
FASC
INANT
HITLER
Certes, les 75000 dports isralites
li
vrs par la France aux Al
lemands pendant
la guerre n'avaient auc
un
motif de retourne
r, un
e
fois libres, dans
le
pays qui
les
avait si mal traits; Isra l prsentait
beaucoup p
lu
s d'attraits. Mais
il
s taient accompagns de tribus de
toute l'Europe dite libre, notamment de centai nes de milliers de
Juifs provenan t de Hongr
ie
et d'un million - oui un million - de
Juifs de Pologne, prfrant mi lle fois Isral au retour leur ancien
gte, o les communistes vainqueurs se livraient dj de nouveaux
pogroms
S'
il
s taient tous, ou peu
pr
s tous, morts chez Hitler, co
mment
arrivaient-ils si nombreux, aprs 1945 aux rivages de Tel Aviv ?
Revenons maintenant au professeur Faurisson.
Celui-ci n a rien d un naz
i.
Il avait t , au contraire, un ant inazi
dclar tout au long
de
la Seconde Guerre mondiale . Il tait le
fil
s
d'une co
ss
ai
se.
Absolument rien ne le prd ispo
sa
it donc, on
le
voit, retirer du pied des Alle
mand
s de
1945
l
'norm
e dard des
chambres gaz .
Ce n'est qu'apr
s
avoir pas
s
intelligemment au crible
de
la
re-
cherche mthodique les preuves , et avoir tudi pierre par pierre
l
es
camps polonais, que
le
professeur frana
is,
stupfait de ce qu'il
dcouvrait, eut l'honntet de reconnatre publiquement qu'il avait
donn dans un attrapoire.
Avant de prononcer
ce confiteor
le
prof
esse
ur
Faurisson avait
soupes chaque accusation, visit les chambres gaz partout et
dans tous les sens.
A
Au
sc
hwitz, tout spcialement, il avait
sc
rut
chacune d
es
constructions de ce qui tait prsent comme une
~ h m b r e
gaz en l tat d
o
rigine ou
l
tat de ruines.
Il
ava
it
so
upes mticuleusement l'ensemble d
es
documents exposs
au
Mu
se du ca mp et il avait pu mettre la main sur des pices que
l
es
autorits dudit Muse s'taient bi en ga rdes de publier, en par
ticu
li
er certains plans de crmatoires o figuraient sous leur forme
originelle et sous leur vraie dnomination ( dpositoire
, a
bri an
tiarien )
le
s locaux bapti
ss
aprs la guerre du
nom
de chambres
gaz homicides. Par-dessus tout, il montrai t, par comparaison
12
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
9/96
LE FASCINANT HITLER
avec les procdures de gazage employes soit pour la ds in fec tion
des vtements, so it pour l'excution des condam ns mort dan s
les pnitenciers amricains, que l'existence des chambres gaz
d'Hitler
se
heu rtait une impossibilit radicale, d'ordre physique
et
chimique.
Ses conclu sions furent formelles. Faurisson et pu les taire.
Il
se ft pa rgn
ce
nt bagarres, des procs, des ag ress ions sauvages.
Il
rpta son verdict en
'
979 la tlvision
su
isse italie
nn
e. Po
ur lu
i,
t
out
tait clair: les gaz d'Hitler n'taient que du
ve
nt.
Brava nt alors, dj, les poursuites judiciaires
mont
es par une
nue d'organisations juives riches millions, il apparut devant les
micros d'Europe N Ile 8 dcembre
980.
Et l
,
au cours de l'mis
sion Expliquez-vous du
Juif
Ivan Leva,
il
pel
a,
mot mot, la
phrase suivante:
Les
pr
tendues cham
br
es
gaz hitlriennes et le
pr
tendu gnocide des
ui s forment un seul et mme mensonge historique qui a permis une
giga
ntes qu
e
escroquerie
politico-
fin
anci re, dont les principaux bn
fi-
c
iair
es so
nt
j t at dIsral et le sionisme international et dont les prin
ci-
pa
l
es
vi
ct
im
es so nt
le
peup
le a
ll
emand - m is non
p s ses dirige nts - et
le
peuple palestinien tout entier.
Une te lle affi rmation ta it norme. Elle heurtait, de plein front,
la
fabuleuse propagande d
bordant
travers tout l'univer
s.
Fauris
son ne dsarma point. dix repri ses il rcidiva. Appel tmoi
gner au premier procs Zndel devant le tribunal de Toronto, au
Canada, en fvrier 985, et au second procs Zndel en avril '988,
il reprit pour la nime fois, mot mot, sa dclaration d'Europe
r
Le chariva ri fut immense, car la puissance des Isralites sur les
mdias est immense. Et, aussi, sur les partis. D o, en France par
exemple, la l
g
islation d'exception qui, depuis
sa
publicat ion au
1]
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
10/96
LE FAS C INANT
HITLER
journal
officiel de la
publique
ranaise
le
'4
juillet
990,
dcide de
l'Histoire, au lieu des historiens. Le professeur Faurisson n tait
qu une fauvette
li
vre la traque des mille chats-huants. Il n tait
qu'u.n homme d
't
ude, un spc ialiste universitai
re
de l examen
d
es
t
ex
t
es
.
Il
avait
comm
is le crime de
sc
ruter minutieu
se
me
nt
un
vnement historique; il donnait des co nclusions, comme la fin
d'un sminai re scientifique. C hac un restait libre de le croire ou de
ne pas le croi re.
Apropos d innombrables vnements qui
se
sont produits au
long de milliers d'annes, on a pu souve nt mettre de fortes suspi
cions ou des dngat ions radicales. Tout doit tre cent
fois
remis en
ca
u
se
lorsque l on
re
cherche la
v
rit historique. Douter n est pas
seulement
un
droit, mais un devoir de tout historien srieux qui
entend faire un tri entre les bobards et les faits rels.
la presse qui l'interrogeait avec hargne, le professeur Fauri s
so n rpondit tout simplement:
Aucun des mots de cette dclara
ti
on ne m
a
t inspir
par
une opinion
politique quelconque Je ne suis ni anti smite, ni mme an tisioniste.
Le dbat et pu
se
limiter
un
e baga
rr
e vio lente. Au contraire,
il
allait, en quelques annes , aboutir une v ritable guerre de religion.
Faurisson, sans lavoir voulu, fit cole : vingt autres professeurs, sa-
vants, historiens mthodiques
ont
tenu ana lyser strictement ses
tr
avaux.
Il
s provenaient de pays trs diffrents.
Il
s comprenaient
non seul ement des Franais mais des Ita liens, des Hongrois, des
Canadiens, des Nord-Amricains, des Japonais. Beaucoup ont
abouti
d
es
co nclusions
id
entiqu
es
ce ll
es
de Fauri
ss
on, tel, en
Allemagne, lancien mag istrat Wilhelm Staglich, la uteur de Der
uschwitz My/hos tel, aux tats-Unis, le professeur duniversit
Arthur R. Butz, qu i avait publi en 976, avant mme l
es
publica
tions de Faurisson, The
Hoax
of he
Twentieth
Century (LImposture
du xx sicle) .
Te
l le gra nd spcia
li
ste d
es
cham br
es
gaz amri
caines, Fred Leuchter.
Il ya peu encore, un Franais, M. Henri Roques,
dan
s une thse
de doctorat en histoire, prsente devant un jury de lun iversit de
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
11/96
LE
FASCINANT
HITL E R
Nantes, dmonta
les" Confessions"
d'une des grandes vedettes de
la propagande juive sur les" cham bres
gaz
,
Kurt Gerstein.
Cet Allemand Gerstein, tomb aux mains de la po lice allie
en 1945
,
tait
un
individu bizarre,
un
S5 de bureau, que nul n'avait
jamais vu
la guerre. Il avait rdig sous l'injoncti
on
de
la
police
franaise, aprs la dfaite a llema
nd
e, une succession de dclara
tions d ' hallucin, se perdant dans ses contradict ions, tellement
in vra isembl ables qu'il se sui
cida"
en aot de l
'a
nne mme,
la prison militaire du C herche-Midi de Paris. Suici d? ou liquid
si lencieuseme
nt
dans sa ce llule? aprs qu'on eut constat que ses
rvlat ions
n'avaient
ni
queue
ni
pattes et ne formaient qu 'un
magma d'incohrences
... En
tout cas, le suicid
e
ve nait bien
po int.
Le cas avait t exemplaire.
Le
tribunal de Nuremberg, peu difficile, on le sait, en matire
de preuves (n'importe quel ragot de tmoin suffisait
J
avait lui
mme ren
cl
devant les prtendues rvlations de Gerstein.
A
'en croire, les Juifs
qu
' il prtendait avoir vu voluer dans des
chambres
gaz"
de Pologne grouillaient dans celles-ci
32 per
sonnes au mtre carr, ce qui quivalait
192 Juif
s entasss s
ur
une
J. C'est sur un ragot du tmoin Wilhelm
Hat
ti que le tribunal osa, dans
son jugement, avancer le chiffre des Six Mi
ll
ions de victimes juive s (Dbats et
do uments, tome l, p. 266 et }
1I
Le 4 dcembre 1945. avocat de Kaltenbrunner
avait demand, mais en vain, au tribunal la omparution du tmoin pour
terrogatoire et
o
ntre-interrogatoi re sur le contenu de sa stupfia nte dclaration
c
rit
e.
W. Hatti tait
porte
de ma
in dans
la
prison mme de
Nuremberg o
il
travaillait pour le co
mpt
e des pro cureurs amricains (i l devait par la su i
te
rv ler
que, mme pendant la guerre, il avait travai ll pour le co mpte d
es
Amricain s
).
Le
tribunal
luda
la demande et
se pe rm
it
plu
s tard , dans son jugement
du r
oc
tobre 1946, d'attribu er Eichmann en personn e un chiffre qu'en ra lit W. Ht
tl
disait avoir recuei ll i
de la
bouche d'Eichmann, Budap
es
t, en .. aot
1944
En
1961
lor
s de l'instruction de son procs
Jrusa lem, Eic
hm
ann se v
it
soumettre
par le capitaine isralien Le ss
la
dclaration de W. Httl ; Eichmann protesta
vivement contre
ce
qu'il dcrivit comme
un
sa lmigondis
de
c
hif
fres
qu
e
ce
type s'tait f
ourrs dans
la tte . W. Ht
tl
vi t encore auj ourd'hui en Autriche .
Interrog
sur
sa dposition c rite, il cherche en minimiser
la va
leur et prtend
qu'Eichmann ta
it
i
vre
le jour o
il
lui avait
fa
it
ce tt
e
dclara ti
on qu'i l n'au r
ait
pas
fa
llu prend re
trop au
s ri eux.
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
12/96
LE
FASCINANT HITLER
table de ping-pong de 2 mtres sur 3 mtres, ou 6Juifs perchs en
quilibristes appliqus sur une lunette troite de wc.
Ces contasseries de Gerstein
ava
ient d'ailleurs t amplement
am
li
ores dans l' information que publia le quotidien parisien
L clair
le
4
dcembre
1945
:
Les
chambres
gaz avaient une capacit d'environ 45 mtres cubes. Dans
une d'entre elles 5 Juifs furent effroyablement entasss et attendirent
24 heures le
mom nt
de leur mort.
L clair ajoutait:
Selon le propre tmoignage
de
Kurt Gerstein, le nombre
de
Juifs et de
dports d'Europe centrale massacrs par les nazis dans les camps d'ex-
termination
s
l
ve 5
millions.
La haine, vraiment, leur brouillait tous la cervelle.
Vingt-c inq millions, cela faisait neuf millions de plus de Juifs
qu'il n'en existait
cette poque s
ur
la terre entire.
Mme si Hitler n'avait pas lais
s un
seul Juif survivre sur
la
pla
nte,
neuf
millions de Juifs auraient
d
bel et bien mourir chacun
deux fois
Quant
aux
5000
Juifs gazs dans
45
mtres cubes, acceptons
mme que Gerstein et
le
rd
ac
teur de
clair,
peu cals en math
matiques, aient confondu en
1945 les
mtres cubes et les mtres car
rs. Soyons bons princes et admettons qu'il
se
soit agi de
45
mt res
carrs et non de
45
mtres cubes. Cela dit, qu'on fasse
le
calcul:
5000
Juifs, diviss par
45
mtres carrs,
donne lU
Juifs dans une
seule cabine tlphonique ou
les
superposer
300 dan
s
un
taxi,
ou 3000 dans
un
autobus 1
Un grand journal de Paris,
clair,
pouvait se permettre, en
dcembre 1945, de claironner
ce
chiffre fou de Gerstein: III Juifs
au mtre ca rr
( )
sans que nul lecteur ne s'tonnt L'et-il fait,
il
se
ft retrouv, deux heures aprs,
les
yeux pochs,
le
nez en com
pote, dans un cachot puant de la prison de Fresnes, pour outrage
la
vrit
16
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
13/96
LE FASCINANT HITLER
Il
fallut attendre plus de quarante ans avant que soit prsente
une thse universitaire annihilant
les
barbotements de ce mirifique
Gerstein,
si
apprci par L clair. Ces multiplications vertigineuses
avaient t utilises mille fois entre-temps par les intrpides cabrio
leurs de la propagande isralite.
Prsente par Henri Roques, devant un jury de l'universit de
Nantes, celui-ci proclama l'auteur docteur en histoire, avec la men
tion Trs bien
Hurlements - aprs prs
d'un
an de
si
lence organis
pour
tenter
de trouver la parade - de tous les alpinistes de la
Propaganda
taffil
isralite Celle-ci exera de telles pressions que,
pour
la premire
fois dans l'histoire des uni versits de France, on vit le ministre
de l'ducation nationale, un certain Devaquet, se dclarer abso
lument certain que l'lasticit des Juifs
32
ttes de pipe au mtre
carr, relevait de la doctrine mathmatique la plus irrfutable: aussi
ann
ula-t-il
d'un
coup de plume
ve
ngeur
ce
doctorat iconoclaste
Que chacun, dsormais,
se
le rpte: ou vo
us
croyez aux 32 H
breux au mtre carr de M. Gerstein, ou mme, selon
L clair,
aux
fils d'Isaac parfaitement l'aise dans une cabine tlphonique
d'un mtre sur un mtre, ou vous serez catapult dans la stratos
phre avec votre beau diplme
La dernire rvlation au sujet des gazages produits par les pi
lules de M. Hitler a t rapporte, en
1988
et en 1989 par le grand
spcialiste amricain des chambres gaz, le spcialiste Fred A.
Leuchter, de Boston (Massachusetts).
Des chambres gaz existaient,
en
effet, officiellement, comme
instrument de mise mort, dans la moiti des prisons des tats
Unis.
Cet expert amricain, contact par Faurisson sur la demande
d'E. Zndel, croyait comme tout le monde aux chambres gaz
d'Hitler mais ne s'tait jamais demand
quoi elles pouvaient res-
17
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
14/96
L FASCINANT HITLER
sembler. Faurisson lui dcrivit ce qu'il avait vu Auschwitz,
Bir-
kenau et Majdanek, lui montra ses documents, lui exposa ce qu'il
considrait comme " les impossibilits physiques et chimiques de
la
magique chambre gaz hitlrienne . Leuchter, intrigu par ces
histoires de millions de gazs juifs ayant voltig comme des nues
de spectres de coloptres entre 1942 et 1944 dans
le
ciel polonais,
se rendit Auschwitz, Birkenau et Majdanek afin d' tudier sur
place le phnomne.
Il
tait accompagn de deux techniciens de choix, M. Howard
Miller, dessinateur industriel, et M. Jrgen Neumann, cinaste,
ainsi que d'une secrtaire et d'un interprte.
Avec rigueur, en s en tenant
des examens d ordre exclusive-
ment scientifique, ces Amricains tudirent
le
s camps fameux.
Ils regagnrent les tats-Unis le 3 mars 1988. Le rapport conte
nant
la
synthse de leurs recherches ainsi que l'analyse d'chan
tillons prlevs dans les" chambres gaz " et comportant, avec
ses annexes, 93 pages, fut dit aux tats-Unis, puis en France.
Riposte) Rfutation) Vous tes bien naf Le rapport fut reu dans
un si lence spulcral. Oui le silence des spulcres Silence ton
nant
car ici, sous
la
plume de M. Leuchter,
il
ne s'agissait plus
d'un
reportage de presse plus ou moins bcl mais de conclusions s'ap
puyant sur des faits, sur des calculs mathmatiques, sur des prlve
ments de matriaux soumis des examens prcis d'un prestigieux
laboratoire amricain : Alpha Analytical Laboratories, Ashland,
Massachusetts.
Un tel ta lage de preuves, si celles-ci n'taient pas exactes, devait
tre rfut mthodiquement,
sc
ientifiquement. Et sans attendre
Le furent-e
ll
es?
C'tait essentiel pourtant, car ce rapport est, presque certaine
ment, le document
le
plus important qui ait t consacr jusqu' ce
jour au problme des" chambres gaz" endosses Hitler.
Il
n
'e
mpche. L'immense propagande juive aux trompettes qui
retentissent partout, tout bout de
champ
plus bruyantes encore
qu' Jricho, est reste
tonnamment
muette, part
les
injures clas
siques ou une vague tentative de rfutation par un vieux
Juif
du
nom de Georges Wellers, bard de titres mais dpourvu de tout
diplme. Ces instruments tapageurs restrent si lencieux. Et
pour
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
15/96
LE FASCINANT HITLER
cause comme s'ils
se
trouvaient devant un dsert roussi et infini,
o nul rabbin ne pouvait mme plus expdier
un
infortun bouc
missaire
Ce livre de l'Amricain Leuchter marquait
le
renversement
de
l
mare.
On
v
voir en quoi
il
consiste.
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
16/96
CHAPITRE
II
LES GAZ
DU
III REICH
IL
ne nous es t pas possible, videmment, de reproduire ici in ex
tenso l
es
1
93
pag
es
du rapport de Fred Leuchter, car le texte de
ce
spcia
li
ste amricain est bourr dune quantit d'annota tions
sc
ientifiqu
es,
souvent obtuses.
La
construction des phrases laisse,
aussi, parfois dsi rer. .
Cette tude de
te
ch nicien - que ce
tt
e ca ractristique soit note
ds l abord - ne contient pas la moindre allusion la politique.
Dans son tude, l ingnieur yankee s en
ti
ent, de franc jeu, rigou
reuse
ment
aux faits, aux seuls faits .
Pas
de pass ion
non
plus dans le
style employ. Un spcialiste hautement qualifi a dissqu scien
tifiquement un sujet. Il conclut. Un point, c est tout. Au lecteur de
braquer
ses
lunette
s.
Rien ne donne le repos
qu
e
la
recherche sincre de la vrit
,
avait, trois sicles plus tt, crit Pasca l.
Au
sc
hwit
z, le
s
gazages se
faisaient, sel
on
le s accu
sa ti
ons,
surtout au
Zy
klon
B.
Que doit pen
se
r de ce produit le lecteur non averti?
Sous les co te s 6.000, 6.004 et 6.005 de son tude, l'expert ap
porte l-dessus des prcisions qui - nous nous en excusons - sont
d une lecture plutt ardue. Elles nont rien, en tout cas, du savoi r
enrouill des pontifes pdants de la propagande juive. Mais les pr
cisions sont exemplaires:
6.000
Le gaz
cyanhyd
riqu
e
(HCN,
ou acide cyanhydrique) a t utilis
comm
e
gaz
de
dsinfection ds avant la premire guerre mondiale. Les tats
Unis et leu s alli
s
ont utili
s
en concu ence avec la vapeu d'eau et
21
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
17/96
LE FASCINANT
HITLER
l
air
chaud et, pendant la seconde guerre mondiale, en concurrence avec
le
DDT.
6 DP4
Le
Zyklon
B
est une prparation commerciale qui contient
de
l a
cide
cyanhydriqu e. Le n
om
Zyklon
B
est une marque dpose.
Le HCN
tait fabriqu l usine et li
vr
sous une forme dans laquelle
le
HCN tait
absorb par un e matire poreuse, soit de
la
pulpe de bois, soit une
terre
diatomace (craie).
Il
tait livr sous forme de disques ou de pastilles
ou de granuls. Cette prparation tait scelle dans une bote herm
tique dont l ouverture
se
faisait avec un ouvre-bote spcial. Sous cette
forme, le Zyklon B/HCN
re
sta it sr et facile manier. Le gaz manant du
Zyklon
B
tait du
HCN.
Les
disques, l
es
pastilles ou
le
s granuls devaient
tre
rpandus
su
r
le
sol de la zone fumiger ou utiliss dans une chambre
o
l air
tait ventil et chauff une temprature suprieure 257 c . Si
on lutili
se
dans un btiment, dans un bateau ou sous des tentes pour
la
fumigation des arbres et de leurs produits,
la
zone doit tre chauffe
une temprature qui dpasse
257 C,
point d bullition du
HCN.
Faute de
cette temprature ,
le
rsultat est beaucoup plus long ve nir. La fumiga-
tion
prend au
minimum Z4
48
heures.
6.005
Aprs
la
fumigation,
la ve
ntilation de
la
zone doit prendre un mllli-
mum de
1
heures, selon l
es
dimensions et
le
volume des lieux, et plus
longtemps si le btiment n est pas pourvu
de
fentres ou
de
ventilateurs
d vacuation. L
es
zones traites doivent tre alors testes
par
des moyens
chimiques
pour
dceler l ventuelle prsence de gaz avant que l on y
entre. [ .. ]
Les
portes -
joute
notre
spci liste
-
doivent tre pourvues
de
joints
d'tanchit; [l installation] doit avoir un gnrateur de gaz ou un sys-
tme de distribution du Zyklon
B
qui doit souffler de la ir chaud sur le
Zyklon B [ ] ; [ ]la chambre ou la structure doit avoir les moyens n-
cessaires
pour
lvacuation du mlange empoisonn air/gaz [ .. ] ; [cette
dernire] doit se faire distance de scurit au-dessus de l in
sta
llation,
l o les courants d air peuvent disperser le gaz. La hauteur normale est
d environ mtres au-dessus de la
st
ructure mais doit
tre
suprieure
si
ladite structure est abrite du vent. [ .. ]
La
temprature des murs ainsi
que
de
lair lintrieur
de
l in sta llation et
de
l
air
introduit doit tre
maintenue au moins
ao
au-dessus
du
point d bullition de l acide cya n
hydrique.
22
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
18/96
LE FASCINANT HITLER
[ .. ] Le Zyklon n est pas recommand pour les chambres gaz
d excution en raison du temps qu il faut pour faire sortir le gaz de son
support inerte.
Aprs avoir crit
main
pose sept pages
de documentation
au
sujet de ces constructions, F A Leuchter en vient une premire
conclusion:
La
construction dune chambre gaz requiert la prise en considration de
nombreux problmes compliqus.
Une
erreur sur l un d eux pourrait, et
probablement devrait,
causer
la mort ou blesser tmoins et techniciens.
Ces dtails techniques une fois dsentortills, l auteur du rap
port amricain expose, point par point, mtre par mtre, sous le
titre PLANS
ET
PROCDURES D EMPLOI DES PRSUMES CHAMBRES
GAZ D EXCUTION
", le rsultat des examens mens par lui dans
les
diffrents btiments censs avoir servi de chambres gaz d ex
cution
de
1941
1944
dans
les camps d Auschwitz
et
de Birkenau
(situs sur
un
territoire rattach au Grand Reich) et dans
le camp
de Majdanek (situ sur le territoire du
Gouvernement
gnral de
Pologne) :
U DOO
D aprs une enqute portant sur les documents historiques consults et
sur les installations elles-mmes,
il
semble que
la
plupart des prtendues
chambres
gaz aient t la transformation de btiments qui avaient t
conus et construits dans un autre but que celui de servir de chambres
gaz
. Seules les chambres que l on appelle exprimentales Majdanek ont
t, dit on, spcia lement construites comme installations de gazage.
12.001
Les bunkers n
05
l et 2 sont dcrits dans les documents du Muse d tat
d Auschwitz comme
des fermes reconverties dotes de plusieurs cham-
bres
o
les fentres auraient t scelles. Elles n existent plus dans leur
condition d origine [ ..
J
Les Kremas I, II, Ill, IV et V sont dcrits dans ces documents
comme
tant des morgues reconverties, ce que notre inspection a confirm,
re-
23
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
19/96
LE FASC IN A NT HITLER
lies aux crmato
ir
es et installes dans le mme btiment qu
e
ux. L in s-
p
ec
tion s
ur place de ces
con
struct
ions indique
que la
conception
de
ces installations aura it t extrmement mauva ise et dange
reu
se si e lles
ava
ient
se
r
vir
en tant qu e ch
ambres
gaz d excution. Rien n
y est
pr
; u pour des portes dotes de joints ou des fentres dotes de joints ou
des
conduits dvacuation; les bti me
nt
s ne sont
pa
s enduits de go ud
ro
n
ou d autre couche imperm a bilise pour empcher les fuite s ou labsorp -
tion
des
g
az
par l
es murs.
L
es
crm
ato ires
qui so
nt
proches re
pr
sente
nt
un
dan
ge rpotentiel de
xp
losion. Les
br
iques et le mortier poreux exposs
Jaction des gaz aur aient accumu l le H N et rendu ces insta
ll
atio ns
dangereuses pour les hommes pendant plusieur s annes. Le Krema est
ad
j
ace
nt
lhpital
SS
d Auschwitz et il est dot de drains de ca nalisa
tions qui
se
jettent dans le principal gout du camp, ce qui
au
ra
it
p
er
mis
au gaz de sinfiltrer dans tous les btiments du camp. Il ny avait pa s de
systme d ex traction pour ventiler les gaz aprs usage, p
as
de mcanisme
pour chauffer et diffuser le gaz Zyklon introduire U faire vaporer.
On dit que le Zyklon
B
tait jet depuis
de
s ou
ve
rtur
es
pratiques dans
le toit et
travers les fentres, ce qui ne permet pas une distributi
on
homogne du gaz U des granuls .
Le
s insta llations sont continuelle-
ment humides et ne sont pas chauffes. omme nous lavons indiqu ci-
d
ess
us
l humidit et
le
Zyk
lon
B
ne
so
nt
pa
s compatibles.
Les
chambres
sont trop petites pour contenir
le
nombre d occupants quon leur attribue
et
le
s portes s ouvrent toutes
vers
l intrieur, ce qui ne pourrait que gner
l enlve ment de s corps. Les chambres tant compltement remplies par
les occupants, il n y a
ur
ai t pa s de circul
at
ion du HCN lintrieur de la
pi
ce. En outr
e
si le gaz avait ventue
ll
ement rempli la pice pendant
une longue priode de temps, ceux qui auraient jet le Zyklon par les
ouvertures
pr
atiques dans le toit et vrifi la mort des occupants
se rai
ent
morts galement par suite de leur expositi
on
au HCN.
Prc isions assez impressionnantes que nous co nfions au juge
me
nt
des
magistrat
s
promi
s brusquement,
par
des lois d exception,
des fonct ions imprvues de contrleurs scientifiques.
I.:
e
xpert
amricain
passe ensuite, sous les cotes
'5
.
001
et
15.0
02
l
'
tude du premier des Kremas d Auschwitz, le Krema l , propos
duquel, so
ulignons
-le,
d'norme
s affabulations avaient t dmuse
les d
j
par
le
professeur Fauris
son et son
quipe.
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
20/96
LE
FASCINANT
HITLER
Voici les
concl
usions de F. Leuchter:
5
1
Dans la
zo
ne de la morgue on trouve quatre ouvertures de venti lation
et
un
co
nduit de chem ine . Le conduit de chem ine est ouvert et rien
ne montre qu il
ai
t jamais t ferm. Les ouvertures dans le toit sont
dpourvues de joints d tanchit et une boiserie neuve indique qu elles
ont t rcemme
nt
reconstruites. Les murs et le plafond sont fa its de stuc
et le sol est en ciment. La surface au sol est de 44 pieds carrs
(78
m
).
Le
plafond comporte des pou tr
es
et on peut voir au sol la
tr
ace de murs
d abri antia rien qui ont t dmolis. Le systme lectrique ntait pas et
nest toujours pas protg contre les exp los io n
s. 11
y a des canali
sa
tions
dans le sol de la chambre qui sont relies au sys tme principal dgout
du camp. Si l on suppo
se
qu
il fa
ut n
euf
pieds carrs par personne pour
permettre au gaz de circuler, ce qui
re
ste tr s se
rr
, on pourrait faire
entrer dans cette pi ce en mme temps un maximum de 94 personnes.
D aprs les textes, la pice
pa
sse pour avoir contenu
600
[et mme 800 ]
personnes la fois .
15.
002
Comme nous lavons dj dit, cette prsume chambre gaz d excution
na
pa
s t conue pour tre utilise
cette fin.
Il
ny a aucun lment
montrant la prsence d un systme d ex
tra
ction de l air ou de ventilateur
d
a
ucune so
rte.
Le systme de venti la
ti
o n de ce tte prsume chambre
gaz
co
nsistait simplement en quatre ouvertures carres dans le toit d-
passant de
se
ulement 60 cm de la s
urf
ace du toit. Ventiler du gaz HCN de
cette faon rsulterait sa ns aucun doute dans l
e
mpo isonnement par ce
gaz des abords de
l h
pi tal
5S
qui
se
tro
uv
e
une
fai
ble distance de l
a
utre
ct de la chausse et la mort des patients et du personnel de cet hpi-
tal. tant
donn
que le btiment ne
co
ntient aucun lment d tanchit
pour prveni r les fuites,
pa
s de portes
com
portant des joints d tanchit
pour empcher le gaz d atteindre les crmato ire s, des cana
li
sa tions, en
revanche, qui auraient permis au gaz d atteindre chaque btiment du
camp, aucun systme de chauffage, au cun systme de c irculation d air,
aucun systme d extraction ou de
pri
se d
a
ir permettant la ventilation,
aucun systme de distribution du gaz, une humidit constante, aucu ne
possibilit
po
ur le gaz de circuler en raiso n du nombre de gens qui se se-
raient trouvs dans la chambre et aucun
mo
yen satisfa i
sa
nt d introduire
le Zyklon
B,
il aurait t un pur suicide d essayer d utiliser cette morgue
en tant que chambre
gaz d excutio
n. II
en serait rsult une explos ion
o u des fuites qui auraient tu par
le
gaz le camp tout entier
25
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
21/96
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
22/96
LE
FASCINANT HITL
ER
au hasard d'une nuit: 95 des dputs s'taient clipss ce so ir-l
et avaient assez lchement confi
la
clef de leur a
pp
are
il
voter
quelques co
ll
gues, courant, affairs,
d une
bote
l'
au
tre afin
d'obtenir, tout de mme, une majorit, tout en escamotant l
es
r
es
ponsabilit
s
d
es
fuyards.
L'imposition
d une
loi
ce
point sectair
e
dans une te
ll
e ab
sence de coura
ge
civique, n'avait, en
fai
t de riposte
d
es
constats
sc
ientifiques rien de bien convaincant ni, surtout, d 'difiant.
Aux mag istrats franais - promus si soudainem
en
t
Pic
de la
Mir
andole
col d'hermine, tout
la fois ingnieurs chimiste s et
historiens - no
us
laissons le soin de faire r
fl
exi
on
et de soupeser
chacune des constatations livr
es
au grand public par le spcia
li
ste
amricain dont nous poursuivons ci
-a
prs les conclusions.
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
23/96
CHAPITRE
III
L EXPERT U TRAVAIL
PRS Auschwitz, l Amricain Fred A. Leuchter et ses techniciens
taient alls mener leurs
in
vestig
at
ions au camp de
Majdanek
(Lu
blin). Ce
lles-ci ont
t
tr
anscr
ites
aux
cotes
U
002 et
U OO} de leur
rapport:
[2 002
[ ..] les installations de Majdanek ne sont pas en mesure d atteindre le but
qui, dit-on, leur ta it fix . On y trouve d abord un crmatoire reconstruit
accompagn
,
dit-on, d une chambre gaz.
Les
seu les parties
de
l
d ifice
qui existaient avant la reconstruction taient
le
s fours crmato
ire
s. On
prtend que ce btiment a t reconstruit d aprs des plans qui n existent
pas.
Le
btiment est con
str
uit de telle sorte que le gaz ne pourrait pas
avo
ir
t
contenu
lint
ri
eu r
e
la
chambre
gaz et
la
cham
bre
}
elle-mme est trop petite pour avo ir contenu le nombre de victimes qu on
lu i attribue. Le btiment est trop humide et trop froid pour un usage
efficace du gaz Zyklon B. Le gaz aurait atteint l
es
fours et, aprs avoi r
tu le s techniciens, il aura it provoqu une explosion qui au rait dtruit le
btiment. En
out
re
, le
btiment, en c
im
e
nt, est radica
l
eme nt
diffrent
des
autres constructions
de
l installation. En bref, le btiment
ne
pouvait pas
tre
utilis dans le but qu on lui attribue et
ne
correspond mme pas
aux
ncessits minimales
de
la construc
ti
on d une c
hambr
e gaz.
U OO}
La deuxime installation Majdanek apparat sur l
es
plans comme un
btiment en forme de u [ . .].
Le
Zyklon aura it t plac
la
main sur
le sol. Il est
clair
que cette pice n
est
pas une chambre d excution. L air
peut y circuler mais il n y a pas de dpart d un conduit d aration. Tout
comme les autres installations, cette pice
n a pas t
conue et
n a
pas
pu
tr
e utilise comme ch
ambre
gaz
pour
des
excutions.
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
24/96
LE
FASCINANT HITLER
Le camp de
Majdanek disposait
aussi, a-t-on affirm, de
deux
chambres gaz exprimentales .
L encore, les investigateurs amricains accumulrent leurs re-
cherches, sans
luder un
e seu
le
interrogation.
u oo4
A arrire de ce btiment
se
trouvent les prsumes chambres gaz ex-
primentales. [ .. ]
A ce qu on prtend,
ces
deux chambres taient utilises [indiffrem
ment] pour le Zyklon B ou le monoxyde de carbone. Ceci
ne
peut pas
tre
vrai
.
12005
De ces deux pices, l une n a jamais t termine et n a jamais pu serv ir
l uti lisation de monoxyde de
ca
rbone. Elle n est pas non plus conue
pour l utilisation du
HCN [
. . .
] .
En dpit de l crit
ea
u plac sur la porte,
qui indique exprimentale , cette chambre n aurait pas pu servir
des excutions par le
co
en rai son
du
besoin de produire
4
ppm
(l
a
concentrat ion mortelle)
la pression ncessaire de 2,5 atmosphres. Les
deux pices ne rpondent pas aux ncessits de ventilation, de chauffage,
de circulation d air et d tanch it. Les briques, le stuc et les mortiers
ne sont nulle part revtus de produit tanche, ni t>intrieur ni lext-
neur.
6
L un des aspects les plus remarquables de ce complexe est que les cham
bres sont entoures sur trois cts par un trottoir de bton qui se situe en
contrebas. Ceci est tota lement incompatible avec une utili
sa
tion ration-
nelle des gaz vu que toute fuite de gaz s>accumulerait dans cette
tranche
et, tant l abri du vent,
ne
se
dissiperait pas. Ceci transformerait toute
cette
zo
ne en un pige mortel, particulirement avec le
HCN.
L auteur en
co nclut donc que cette insta llation na jamais t prvue pour un usage,
mme limit,
du
HCN
F.
Leuchter
a not sc
rupul
euse
ment
sous
le
s cotes
qooo 17.001
[7.002 [7.004 qo05 qo06
ce
qui
lui a
paru particulirement
inac
ceptable
scientifiquement.
noter ses
remarques sur
les
stations
O
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
25/96
LE FASCINANT
HITLER
d'pouillage et de dsinfec tio n, simples insta llations d ' hygine
qui,
seule
s, auraient pu prter conf
usi
on,
dans
l'esp
rit des dpor-
ts, avec de fantomatiques cha
mbre
s
gaz .
'
On trouve Majdanek plusieurs
in
stallations qui nous intre ssent: le
cr
mato ire or
igin
al, aujourd 'hui d truit; le crmatoire avec la chambre
gaz pr
s
um
e,
aujourd'hui reconstruit ; le btim e
nt
de Bains et de D
-
sinfec tion n 2, qui tait apparemment une installation d'poui llage, et le
btiment de Bains et de D si
nf
ect ion nO qui
co
ntenait une dou che, une
pice d 'pouillage, une pice de stockage et, ce qu'on dit , les chambres
gaz
ex
primentales au
co
(monoxyde de
ca
rbone et au
HCN .
] 001
[
..
] En ce qui concerne le btiment de Bains et de D sin fection n
2
qui
est actuellement ferm, une inspection par le s fentres
co
nfirme qu'il n'a
serv i qu l pouillage, de la mme manire
que
ce ux de Birkenau.
Le cr-
matoire et
la
prtendue chambre
gaz reconstruits, dont nous avons dj
parl, feront de nouveau l'objet ici de brves considrations.
Le
s fours
sont
la
se ul e partie de l'installation qui n'ait pas t rebtie. La structure
de base semble tre en bois,
comme
le sont le s autres installations de
Maj danek (except les chambres exprimentales).
17-002
La zone d'pouillage et de stockage dans le btiment de Bains et de D-
sinfection n est une pice en forme de L avec une cloi son intrieure en
bois et une porte.
Ell
e comprend un volume de quelque 7
6 7
pieds cubes
et
une surface
de 806
pieds carrs. [ .. ] Il semblerait, d'aprs
le
plan, qu'il
s'agi
ssa
it d'une pice pour l' pouillage ou pour le stockage du matriel
dsinfect. Les ouvertures dans le toit ne peuvent procurer qu'u ne ara-
tion lente des matriels entreposs. Les portes sont dpourvues de joints
et ne sont pa s conues pour
tre
tanches.
La
pice ne
co
mpor
te
ni l'in-
trieur ni l'ext e
ur
de revtement tanche. Il y a plusie
ur
s zones dans
le b timent qui sont fermes en permanence et que nous navon s pa s pu
visiter. Cette pice n'tait v idence pas une chambre d'excution et ne
rpond aucun des critres que nous avons dcrit
s.
[ . . ]
JI
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
26/96
LE
FASCINANT
HITLER
Pas un seul endroit du camp n cha
pp
a aux investigateurs am-
rIcains
:
17.004
La
chambre
nO
a la place pour une ventilation dans le toit mais
il
ne
semble pas qu on ait jamai s perc ce to it. La chambre n
1
a un systme
de cha
u
age et de circulatio n de J
air
qui n est pas
o
nu correctement
(l ad
mi ss
ion et l exp
ul
sion sont trop proches) et na
ri
en pour effectuer
la venti lati on. Les murs sont en pl t re , le to it et le sol sont en ciment,
et tous sont entire ment dpourvus dlment d tanchit.
Il
y a deux
systmes de rchauffement d a
ir
qui sont dans d
es
ca ban
es
adjacen tes,
l ext
ri
eur, lun pour la chambre n 1 et l autre pour une autre pice dans
le btiment de Bains et de D
s
inf
ection , devant, [
..
) mais aucun d
es
deux nest conu
orr
ectement et aucun systme nassu
re
la ventilation et
lext racti
on
de l a ir.[... )
17-05
Bien qu premire vue ces installations par aissent dune conception nor-
male,
il
s en faut qu ell
es
rpondent tous l
es
critres n cessa ir
es
une
chambre gaz d excution ou une installat ion d pouillage. D abord,
il
n
y
a pas d tanchit s
ur
les surfaces intrieures ou extrie
ures
.
En
second
li
eu, le trottoir en contrebas est un pige potentiel pour le gaz
N ce qui rend le btiment extrmement dangereux. La chambre n 2
n est pas finie et
n
a probablement jamais t utilise.
La
tuyauterie est
in complte et la ventilation n a jamais t ouverte dans le toit . Bien que
la chambre n soit oprationnelle
pour
l emploi du monoxyde de ca r-
bone, elle est peu ve ntile et ne pourrait pas fonctionner avec du H
N
.
Le circulateur d air chaud n est pas
bi
en in stall. Il
n y
a ni ventilation ni
chemin e d
a
ratio
n.
7
006
Aussi l opinion de j
a
uteur de ce rappor
t,
au mieux de ses connaissances
techniques,
es t-
elle que
le
s chambr
es
n S
1
et
2
nont jamais et ne pour
raient jamais tre utilises comme chambres gaz dexcution. Aucune
des installations de Majdanek n est utili
sa
ble ou a jamais t utilise des
fins d excution.
3
2
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
27/96
LE
FASCI
NANT HITL ER 1
Le lec teur, apr
s
avoir dcortiqu chaque terme du constat am
rica in, tirera lui-mme ses
co
nclusions.
Si l'on
s e
n
ti
ent aux multiplications opres, pendant quaran
te
an
s,
par
un
e lg ion de tranche-mont
ag
n
es
, les cha
mbr
es
gaz
avaient t gorges de quantit
s
gigantesqu
es
de victimes, repr
se
ntant , lors de chaque fo
urn
e, de six ce nts
plusie
ur
s milliers
d I sralites .
Le spcia
li
ste Leuchter
nou
s apporte dans son
ra
pport d
es
hot
tes de prcisions, tout fait surprenantes, s
ur
l'
imp
ossibilit ma
trielle de tels gazages
ma
ssifs
et homi
cid es
dan
s l
es
ca mps de la
zo
ne polaco-sovitique.
Que
ce
ft
Birkenau, complme
nt
d 'Au
sc
hwitz :
16.00)
Le
s prsum es chambres gaz dans cha cun des Kremas et avaient
un
e surface de 2 5 pieds c
arr
s, soit 2
3
Ceci permettrait dy faire
entrer
278
personnes s
ur
la base de 9 pieds carrs par perso nn
e.
Ou
que
ce
ft
Majdanek,
la zone
d
pouilla
ge
o, explique
t-on, s'taient
ef
fec tus des super-gazages :
7
0
)
Si
cet endro it ta
it
utilis, ainsi quon le prs
um
e,
comm
e chambre d ex
cutio
n
il contiend r it 90
per
sonn es au plu s et ncess iterait l utilisation
de 2
li
vr
es
de gaz
Zy
klon B Le
temp
s n
cessair
e
la
ve
ntilation sera
it
au
moi ns d une semaine. Usage maximum d excutio
n:
90 perso nnes
par
se
ma
in e.
17-0 7
La
chambre n' 1 a
un
e surface de
480 pi
eds
ca rr
s, un vo lume de
4
40
pieds cubes; elle peut
co
nteni r 54 personnes et requ ie rt une l
iv
re de gaz
Zyklon
B.
La cha
mb re
n'
2
a une surfa
ce
de
2
09
pieds ca rrs
,
un vo lum
e
de
18)0
pieds cub es; elle
pe
ut contenir 4 per
so
nn
es
[ ..J.
On
ve
rra plus loin
quels chiffr
es
globaux
F.
Leuchter
es
t a
r
r v.
De toute faon, en cas de gazag e homicide, il et fallu encore, si
on
voulait liminer tous ces cadavres,
le
s faire passe r par d
es
fours
33
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
28/96
LE FASCINANT
HITLER
crmatoires.
Ou
bien les rduire en cendres dans des tranches
l extrieur.
Qyelles
ont
t,
e
propos, les constatations des investigateurs
. .
amenC31flS
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
29/96
C HAPITRE IV
LES
FOURS
CRMATO IRE S
LA
propagande juive, dans son ampleur bablique, avait apport au
public des chiffres vertigineux, atteignant ju squ
24
cadavres
incinrs Au schwitz en
un
seul jour .
I:Amricain Fred A. Leuchter est,
l
aussi, all jusqu au
bout
de
son travail scientifique.
Il a
dans son rapport, consacr de nom
breuses pages
la
question, dressant une comparaison d
un vif
in
trt entre
les
possibilits des fours allemands de
la
Seconde Guerre
mondiale, tous de type ancien et
d une
activit relativement r
-
duite, et celles des fours crmatoires de nos cits actuelles.
On
sait que ceux-ci travaillent, en gnral, une cadence qui
va
d une
heure et demie trois heures par corps, selon la puissa nce
de l installation .
Quel tait
le
rendement possible des crmatoires des camps al
lemands?
5 Commission gnrale d 'enqute sur les crimes hitlriens en Pologne,
Le
amp
de concentration d Oswiecim-Brzezinka (Auschwitz-Birkenau), par Jan Sehn,
docteur en droit. Varsovie, Wydawnictwo Prawnicze,
19f 1, p
Jan Sehn, juge
d'instruction, instruisit no tamment le cas de Rudolf Hss, J'un des trois com
mandants success ifs du camp d'Auschwitz. Dans le mme ouvrage, il ne craignit
pas d'crire que le
re
nd ement des chambres gaz de Birkenau ta it peu prs
de 60000 personnes
par
24 heures (p. 1}2).
6. Un four moderne, fonctionnant au gaz, brle un maximum de cinq co rps
par jou r bien que chaque crmation ne dure e
ll
e-mme qu'un peu plus d'une
heure. Il faut, en effet, chaque matin une dure de prchauffage d'environ une
heure et demie.
De
plu
s,
avant chaque nouvelle intro mission d'un nouveau cer
cueil, il faut une priode de tem ps o o n laisse retomber
la
temprature. Aucun
four crmatoire ne peut fonctionner jour et nuit. Auchwitz-Birkenau, les fou rs
fonctionnaient
au
coke rai son de 12 heures par jour et ncessi taient un impor-
tant travail de dgrillage Les pannes taient frquentes.
35
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
30/96
LE
FASCINANT
HITLER
Rponse de
l ingni
e
ur
Leuchter:
lJ.oo6
Les
crmatoires utiliss dans les installati
ons
allemandes que nous avons
visites taient de type ancien. Ils taient construits en brique rouge lie
au mortier et tapisss de brique rfractaire. Tous les fours avaient plu
sieur
s moufles, dont quelques-uns taient ventils
mai
s
aucun
n tait
combustion directe) ; aucun n avait de dispositif de post-combustion et
tous foncti onnaient
au
coke lexception, Majdanek, d une
in sta
llation
qui n existe plus aujourd hui. Aucun des moufles que nous avons exami
ns dans la totalit des crmatoires nta
it onu
pour l incinration de
plusieurs corps
en
mme temps.
Malgr les
Z4
fours et leurs 69 moufles, le nombre total des
morts
incinrs Auschwitz, Birkenau et Majdanek, tel
qu il
ressort de l enqute amricaine, ne concorde ni de prs ni de
loin,
ni mme de trs lo
in
, avec les chiffres imposs jusqu prsent
par
les propagandistes d aprs 1945 :
lJ.
oo
5
Les anciens fourneaux au charbon ou au oke, avec une ventilation for
ce (mais
sa
ns application directe de la flamme), prenaient normalement
de },5
4
heures pour chaque corps. Ceci permet thoriquement de brler
6,8 corps
au
maximum dans une priode de
Z4
heures. [ .. ] Ces estima-
tions ont pour base un ca davre par moufle et par crmation.
On
verra,
dans
la
nudit
des chiffres
du
tableau
VIII
dress
par
Fred Leuchter, quelle
pouvait tre
l activit maximum de tous les
fours crmatoires
d Auschwitz, de
Birkenau et de Majdanek. Ma-
triellement, ces fours ne sont
point
parvenus, en trois ans, in-
cinrer plus de 106512 corps d interns dcds, soit quarante fois
moins que
ce qu ont
expliqu au public berlu cent auteurs mlo-
dramatiques.
Scrutez avec soin ce tableau VIII: il rcapitule,
Krema par
Krema,
camp
par camp,
face des fictions d hypothtiques gazages 123976
personnes), les possibilits thoriques d incinration (242176) (r-
duite
par
de longs arrts
pour
rparation)
et
les incinrations re lles
(I06jl2 corps au total).
3
6
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
31/96
LE FASCINANT
HITLER
1
Mme les fosses extrieures crmation de
Birkenau,
dcrites
comme ruisselantes
de
feu, censes avoir ananti des milliers
de
cadavres
de Juifs
chaque fois, n ont
pas
rsist
davantage aux
in
vestigations
scientifiques
de
l ingnieur en chef
Leuchter.
Lisez:
14-
008
Lauteur veut aussi
pa rler
ici des prtendues fosses de crmation.
L auteur
a personnellement inspect et photographi l
es
fosses de crmation
Birkenau. Ce q
ui
es
t tout fait remarquable propos de ces fosses est la
hauteur de la nappe phratique, qui se trouve seulement
40
cm de la
surface. Les historiens dcrivent ces fosses comme ayant eu 6 mtres de
profondeur. l n'est pas possible de brler des corps sous l'eau mme en
usant d un moyen artificiel d acc lration (essence). Toutes les fosses qui
se trouvent officiellement sur les cartes du muse ont t inspectes, et,
com
me o n pouvait s y attendre tant
donn
que Birkenau est construit
sur un marais, tous ces emplacements avaient de leau environ 60 cm de
la surface. L opinion de l auteu r de ce rapport est qu il ny a jamais eu de
fosses de crmation Birkenau.
Non seulement les chambres gaz , les fours crmatoires, les
tranc
h
es
combustion
ava ient
t
, comme on l'a vu, exam ins
visuellement avec la plus s
tricte rigueur
par les experts amricains,
mais des dizai
ne
s
de prlvements de
m atriau x avaient
t
effec
tus,
qui furent emports aux
tats-Unis
et
analyss
dans des labo
ratoires spc ialiss (cotes
14.000,
14.001,
4 4 et 14.006
:
14 000
[
..
] des chantillons
ont
t prlevs
des fins d'analyse md ico-lga le
dans les briques, le mortier, les c ments et les sdiments de plusieurs en
droits en Pologne. [ ..]
14-
01
3
chant
ill
ons
ont t slectionns et pris dans les prsumes chambres
gaz des Kremas l, Il ,
III
, IV et v. Un chantillon de con tr le a t pris
dans l' insta
ll
ation d'pouillage n
1
de Birkenau. [
..
]
14.
4
l es
t remarquable que presque tous l
es
chantillons taie
nt
ngatifs et
que les quelques-uns d entre eux qui taient positifs se trouvaient trs
37
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
32/96
LE FASCINANT HITLER
prs de la limite de dtection possible 1 mg/kg) : 6,7 mg /kg au Krema Ill ,
7,9 mg / kg au Krema
1.
I:absen
ce
de toute l
ec
ture significa tive dans
les
diffrents endroits ana lyss compar
e
avec la l
ec
tu re de l'chantillon de
ontrle 1 050 mg / kg) est un lment de preuve de
ce
que ces in stalla-
tions n'taient pas des chambres
gaz d'excution. Les petites quantits
qu'on peut dtecter semblent indiquer qu' un moment donn ces b-
tim
e
nt
s o
nt
t dsinfects avec du Zyk lon B, comme taie
nt
tous les
btiments de to us ces ca mps.
Ces
petites quantits
reprsentaient cent trente-trois fois
moin
s
que
les mille cinquante
mg
/ kg,
indispens
ables
des fins ho-
micides. Elles avaient tout juste servi basse dose dsinfecter des
locaux ou raliser les pouillages, comme tout souci
d'hygine,
dans
tous les
camps,
le rclamait rguli
rement.
'4.
006
On aurait pu s'attendre
la
dtec tion d'un
taux
plus lev de cyanure
dans l
es c
hantillons prlevs dans les pr
s
umes chambres gaz
(e
n rai-
son
de
la plu s grande
quan tit
de gaz utilis, d
prs les sources, dans ces
endro
its)
que dans l'chantillon de contrle. Comme c'est le contraire qui
est
vra
i, force est de nclure que, lorsqu'on associe ce fait avec d'autres
lments de
pr
euve recueillis sur place au urs de notre inspection, ces
in
stallations
n
taie
nt pas de
s chambres
gaz dexcution.
Mme l'
examen
des cendres dposes au
Mmorial
de Maj
dan
ek a
provoqu chez
l'expert
amricain une
sor te d 'a
pitoiement
car, pour en
augmenter
le volume, du sable, pense-t-il, oui du
sable y
aurait
t ajout 1
Leuchter s'explique:
'4007
Il nex iste p
as
d'lment matriel pour juger du fonctionnement des Kr
e-
m
as pu isque
le
four du Krema
a
t
co
mpl
teme
nt
reconstruit, que l
es
Krema
s
l
et
ont t
en
pa
rtie
dtruits,
qu
e
ce
rtains de le
ur
s co
mpo-
sants manquent et que les Kremas V et Vont disparu. Majdanek, l'un
des Krema s a compltement disparu
t l
second
Kr
erna a t reconstruit
l'exception des fours. Un regard jet
sur
le tas
de ce
ndres quon trouve
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
33/96
LE
FASCINANT HITLER
au
mmorial Majdanek montre
des cend res
d une couleur
tra
nge,
beige. Les cendres des restes humains (d'aprs les enqutes personnelles
de
l'auteur
de ce
rapport) sont gris-ca
ille. Il
se peut qu'il y ait du sab le
dans le m lange du mmorial
de
Majdanek.
Quant
aux autres ca
mp
s de Pologne dont certains romanciers
nous ont dcrit thtralement le spectacle sinistre, les Amricains
n'y ont mme rien eu observer. Et pour ca u
se.
[ .. ] d'autres installations qui n'auraient utilis que le monoxyde de
ca rb
one en tant que gaz d excution se se raient trou ves Bel zee, Sa
bibo
r,
Treblinka et Chelmno (camions
gaz . Ces autr
es
installations
qui
auraient t dtruites
so it
pendant la seco
nd
e
guerre
mondiale,
soit
ensuite, [ .. ].
Ensuite . ? ... Oui, ensuite? . .. Q i les a dtruites ensuite et
pourquoi?
Q 'en pensent l
es
juges, cumulant l
es
fonc tions de bi ologistes et
d'experts en matriaux?
On
ne
peut
plus rien observer, en tout cas, a
ujourd'hui
, en ces
li
eux, ni
un
morceau de brique de four, ni,
moin
s encore,
un
poi
gnard de S5 L'abandon est total. Toute enqute dans ces gtines
es
t vaine.
Le
spcialiste amricain Leuchter, pragmatique
com
me tout
ex-
pert, sait que rien n'est rien. llui importait peu d'tudier s
ur
ces
lieux dserts des gramines, ou le passage d '
un
lapin.
Il
prfra
s e
n tenir
au
re
l,
c est--dire
ce qui, selon ses examens, s tait
pass, ou
ce qui ne s'tait pas pass
Ausc hwitz,
Birkenau et
Majdanek.
On a vu quels r
s
ultats ngati fs l'enqute amenca ine avait
abouti: des mouches devenant des lphants, puis redevenant des
mouches.
Ce
n'tait pas tout.
Arrivait le
moment
de l'addition finale.
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
34/96
CHAPITRE
V
COMBIEN DE MORTS '
O en arr
iv
e ainsi, automatiquement, la toute grande question
- question longtemps h
ypo
th tique - qu'eurent
se
poser en
1
988
l
es
experts amrica ins. Au cas o les gazages hitlriens eussent pu
avoir
li
eu dans les camps de concentration d'Au
sc
hwit
z,
de Birke
nau et de Majdanek,
comb
ien et pu s'lever le
nombr
e total des
victimes?
Le rapport de l'Amricain Leuchter n
a
pu que dcevoir au plus
haut point l
es
proclamateurs des Six Mill ions de morts, devenus
chez certains de leurs propagandistes
le
s plus gnreux huit mil
lions, puis ne
uf
millions, puis dix millions chez l'
aff
te
ur
viennois
Wiesenthal et mme dix-sept millions chez le jsuite Pre Riquet,
pour
dg ringoler en cascade, d anne en anne, quatre millions,
puis
un
million, voire
800000,
pour
arriver,
en
1991,
Ausch
witz,
peut-tre
150000 si
l on s en tient aux
r gi
str s mortuaires
du ca
mp dont
l
es
Soviets s'taient empars en
1945
et
qu
'avec qua
rante-cinq ans de retard M. Gorbatchev a lai
ss
enfin s'entr'ouvrir:
ces
46
r
eg
istres ( raison
d une
page par dcs)
comprennent 74000
dcs pour l
es
priodes considres; nous doublons
ce
chiffre afin
de tenir co
mpt
e des priodes
pour
lesquelles on n'a p
as
encore
re-
trouv les registres manquants.
Ajoutons que dans ces registres, rce
mm
ent rvls par les So
viets, toute allusi
on
un gazage homicide quelconque es t in
ex
is
tante. Une telle possibilit n'est mme pas voque.
Finalement la confusion est devenue telle
qu
il a
fa
llu, co
m-
me
pour l insc
ription commmorative de l'entre du camp de
D
ac
hau, qui indiquait 238000 morts l o il y
en
avait eu }2000,
enleve r Au
sc
hwitz les grandes dall
es
qui, en diverses langues,
faisaient tat, pour les touristes bats, de 4 d 'assassins my-
thiqu
es,
chi
ff
re inou ne reposant que s
ur
des bull
es
d 'air que J
ea
n-
4
'
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
35/96
LE
FASCINANT HITLER
Paul II, malgr mes averti ssements (voir ma
ellre
au Pape au sujel
d Auschwitz), avait en '987, navement ou non, repris son compte
lors de
sa
visite, sinistrement publicitaire, ce thtre funbre .
. Nous ne voudrions pas manquer au respect d aux morts,
quelle qu'et t leur nationalit ou leur race, ni aliner l
es
esprits
des lecteurs de
bonne
foi. Mais, les chiffres sont les chiffres et
il
faut bien les citer, qu'ils plaisent ou non, tel s qu'ils ont t rendus
publics au Canada, aux tats-Unis et en Europe, en conclusion de
leurs travaux, par Fred Leuchter et son quipe, venus ce t effet en
mission technique dans les camps allemands de Pologn
e,
en fvrier
et en mars 988, puis dans les camps de Dachau, de Mauthausen et
de
Hartheim
l'anne suivante, en avri
l.
Tenter de rfuter scientifiquement leurs rapports mthodiques et
dpassionns et t digne de considration et de respect. On s'est
abstenu de le faire, remplaant les arguments par un flot d'outrages
tardifs et tumultueux.
On
a essay, pour finir, d 'touffer ces r-
vlations capita les sous une accumulation d'impratifs judiciaires,
en recourant
la complaisance dmocratique d'un Parlement
franais anesthsi par le montage de Carpentras et dont l'into
lrance
et
l'ignorance
se
manifestrent en
'990
avec une brutalit si
grotesque et si fanatique qu'e lle en devient mme risible.
Tant de ripostes tortueuses n'ont fait qu'ajouter au discrdit des
auteurs de ces oprations de retardement. Tt ou tard, l'Histoire,
qui est toujours la dernire prendre la parole et trancher, se
chargera de montrer l'inanit de tels procds, si mdiocres intel
lectuellement, et si piteux moralement.
Les conclusions des investigateurs amricains, fuyant
le
s effets
de rhtorique, sont nettes et implacables:
000
RSUM T CONCLUSIONS
Aprs t
ud e
de la
documentation disponible,
aprs
examen et valua
tion
des
in
sta
llati
o
ns
exis
tant
Auschwitz,
Birk
e
nau
et
Majdanek en
s appuyant s
ur
les connaissances techniques des
ca
ractristiques de
construction ncessaires au fonctionnement des chambres gaz, aprs
une
re
cherche
sur
les techniques
de
crma
ti
on et une inspection de cr-
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
36/96
LE
FASCINANT
HITLER
matoires modernes le rapporteur ne trouve
auc
une preuve qu aucune des
installations normalement prsumes tre des chambres gaz homicides
ait jamais
t
utilise en tant que telle; en outre,
il co
nclut qu en raison
de la conception et de la ralisation de ces installations, ce
ll
es-ci n
o nt
pas
pu
se rvir
de chambres
gaz homicides.
4
001
De plus, une tude d
es
installations de crmation inflige, de manire
dfinitive et probatoire, un dmenti au nom
bre
prsum de cadavres
incinrs dans le laps de temps gnralement avanc.
En co
nsquence
l
auteur estime, au mieux de ses connaissances techniques, qu aucune des
installations examines n a jamais servi excuter des tres humains et
que
le
s crmatoires n
aura
ient jamais
pu
accomplir
la
t
che qu on leur
attribue gnralement.
La fin du rapport amricain est spcialement frappante:
19 000 CONC
LUSIO
N
Aprs avoir pass en revue tout
le
matriel de documentation et inspect
tous
le
s emplacements
Auschwitz, Birkenau et Majdanek, lau
teur
trouve que les preuves sont crasantes: EN AUCUN DE CES LIEUX IL N Y A EU
DE CHAMB
RE
A GAZ D EXCUTION.
L auteur
estime,
au
mieux de ses connais
sances techniques, qu on ne peut pas s rieusement considrer qu aux em
placements inspects l
es
prsumes chambres gaz aient t autrefois
utilises ou puissent aujourd hui fonctionner comme des chambres
gaz
dexcution.
Fait Malden, Mas sachusetts, le 5avril 1988.
ce dictum, si impressionnant, du grand spcialiste amricain
des chambres gaz, nul adversaire,
on le
sait, n a rpondu correc
tement, c est--dire scientifiquement. Chaque propagandiste
jui
a
bu en silence
la
lie de
ce
vin.
Pa
s
un
n a sonn
mot
sa
u
Georges
Wellers, dj nomm, dans un article du onde ui
Le seul commentaire valable que l on ait pu noter a t une
dclaration du clbre historien anglais David Irving, l auteur
fa-
43
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
37/96
LE
FASCINANT HITLER
meux de La estruction de Dresde. Celui-ci s'tait distingu, pour
tant, pendant des annes, en reprenant la fa
bl
e des Six Millions de
morts, tout en ajoutant qu'Hitler avait t sur
ce
point tenu dans
l' ignorance par
Himml
er Aprs avoir lu l
es
193
pages du rapport de
F
Leuchter, Irvi ng a t positif, formel, catgo
ri
que:
Il s agit l d'un document accab lant [ bal/ering] appel devenir essentiel
pour tout historien de la Seco
e Guerre mondiale
Fred Leuchter, avec une quipe de chercheurs, a tenu
rpter
ses examens et analyses, en avril 1989, aux camps de D
ac
hau, de
Mauthausen et de Hartheim, avec de s r
s
ultats aussi spectac ulaire
ment affirmat ifs.
La balle est retombe dans
le
ca
mp
des mathmaticiens isra
lites qui, avec leurs millions de gazs, sans cesse rptai
li
s et tou
jo
ur
s accrus, avaient abasourdi si longtemps
le
s foules et barbaris
les esprits.
Quant
Fred Leuchter, le technicien calme entre tous,
ceux
qui lui demandaient
s
il ne craignait pas quelques suites dange
reuses ",
il
ava it rpondu tout simplement,
sa
ns
se
distiller la cer
velle: Un fait est
un
fait. "
des faits il ne suffit pas d'opposer des grands c
ris
et des pa
tauge
ages. Il
faut,
sa
ns dport, leur opposer d'autres faits. Sinon,
qu'on soit propagandi ste ou magistrat, on finit par n'avoir pas plus
de crdit qu'un chien la boucherie.
7/21/2019 Degrelle Lon - Le Fascinant Hitler
38/96
CHAP
I
TRE
VI
DE S SICLES
D'EXAGRA
TION
DA S
le cas des six dix-sept mi
lli
ons de Juifs
pr
s
um
s gazs par
Hitler, comme dans d
a
utres cas o fi rent merveille
le
s mmo
ri
a
li
stes jui fs de la Seconde Guerre mondi ale,
l
ne s'est pas agi du
tout dun mau
va
is to
ur
de la mmo
ir
e, mais
bi
en, on va le vo
ir
,
d ' habitudes millnai
res.
Il
y a plusieurs milliers d
a
nn
es
que de te
lles
erreurs " -
to
uj
ours dans le
se
ns de l'exagration -
se
s
ont
produites, un e
che
ll
e digne de
ce ll
e de Jacob. Les Jui fs des temps abrahamiques
taie
nt
- ch
ac
un le sait - d
es
nomad
es
peu nombreux,
men
s
par
quelques chefs de bande, qui
se
chourinaient
pour
un ne ou pour
un figuier, dans des dser
ts
peu accue
ill
ants.
Dans les rc its, l
a
mpleur es t tout a
utr
e. Une simple empoignade
e
ntr
e Abija et Jroboam
(Il
Chroniques, XIII , 3) avait vu - mer
ve ille
1 -
s'affronter en bataille
4
0000
0
hommes d'lite cont
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8
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, c es
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pas moins
de
12
0
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va leureu
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Q\lant Asa, autre hros, l avait emmen avec lui
un e bagate
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580000
Jui
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En face , son en
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menait avec
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en moins qu'une arme
de mille milliers d 'h
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