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S’inscritau4eséminaireCSEPPE

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EPSoles23et24septembre2010

etsouhaite:

��une convention de formation

��une fiche de réduction SNCF “Congrès“

INSCRIPTIONS:

Elles se font par courriel (communication@gepso.com), fax (01 44 68 04 48)

ou courrier (en renvoyant ce coupon) et comprennent:

�l’accès à tous les débats, tables rondes et ateliers,

�les déjeuners des 23 & 24 septembre 2010,

�les actes du séminaire.

MONTA

NT DE L’INSCRIPTION:

il est fixé à 290 dpour les participants dont les établissements adhèrent

au GEPSo et à 390 dpour les autres participants.

RÈGLEMENT:

• Il se fait à réception de la facture qui sera adressée au terme du séminaire.

• Annulation: si elle intervient:

- Moins de 72heures avant la date du séminaire: facturation à 100%

- Entre 72heures et 10 jours (inclus) avant la date du séminaire:

pénalité forfaitaire de 50

€par participant.

• En cas de dédit par l’établissement ou d’abandon en cours de formation

par un ou plusieurs stagiaires après le 13/09/2010, le GEPSo remboursera sur

le coût total les sommes qu’il n’aura pas réellement dépensées ou engagées

pour la résiliation de ladite action (article L.920-9 du code du travail).

• N° d’agrément du GEPSo(comme organisme de formation): 11 94 05742 94.

• Une convention de formation et une réduction SNCF “Congrès” de 20%

peuvent vous être adressées (cochez la case correspondante).

POUR RÉSERVER VOTR

E HÔTEL:

Une liste des hôtels d’Annecy sera disponible sur le site du GEPSo

(www.gepso.com).

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L… pour une posture critique entre responsabilité, résistance et créativité

Les 23 et 24septembre 2010 à Annecy

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«L es questions que posela dépendance des établissements sociaux

et médico-sociaux aux normes technocratiques et aux procédures denormalisation des pratiques profes-sionnelles nous offrent un nouvelangle de vision pour poursuivre laréflexion entamée depuis 2004 sur l’é-valuation et ses multiples déclinaisons.Dans un environnement néolibéral,l’évaluation s’est étendue à tous lesdomaines de l’activité humaine. Ainsidans différents secteurs (l’éducation,la recherche, le soin, la psychiatrie, le travail social…) s’épanouissent progressivement mais sûrement desdispositifs d’évaluation technocrativo-procédurier, bref un prêt-à-évaluerdonc à penser et à agir qui réussiraitmême l’exploit de s’adapter par seslogiciels et référentiels à la complexi-té du réel et à la réalité mouvante dessituations sociales.

Figer ainsi l’engagement des profes-sionnels et normaliser leurs pratiqueslaisse finalement peu de place ausavoir acquis dans l’expérience, à lacréativité ou à l’innovation : mais lestravailleurs sociaux les réclament-ilsencore ? Si l’évaluation est indispen-sable dans le champ du travail socialsouvent accusé d’opacité et d’ineffi-cacité, il y a aujourd’hui un risque devoir se forger une croyance dans latoute puissance des critères quanti-tatifs précédant celle d’une strictelogique de résultat.

Il est encore temps de (re) trouver uneposture critique sans toutefois céderà une critique trop facile, c’est-à-diredéployer un discours de résistanceconvenu à un ennemi extérieur etlointain symbolisé par la figure de l’affreux technocrate normatif oul’abominable ultralibéral : un “Deus exmachina” de l’évaluation mû par uneconception réductrice de l’humain, qui de facto ne comprend rien au

« vrai travail de terrain » et considè-re le travail social comme une simpleproduction de biens marchands etmatériels. Il est vraisemblablementplus productif, mais sans doute plusdifficile, de se libérer d’une idéologiedominante ou de l’aspect sécurisantde la conformité en faisant preuve de responsabilité, de résistance, et de créativité.

Quelles seraient alors les pistesd’évolution? Un travail social quis’appuierait davantage sur larecherche et une éthique que surdes procédures toutes faites ? Un engagement sur une voie pluspolitique? Entrer en résistanceplutôt que de s’installer dans une conformité aux recommanda-tions toujours rassurantes? Cespremières questions en appel-lent bien sûr d’autres : existe-t-ilencore des espaces de résistanceconstructive dans l’intérêt de l’usager? Comment concilier lesvaleurs des professionnels aveccette dimension normative despratiques en travail social et unbesoin croissant de solidaritédans notre société?

Regroupant des chercheurs, desresponsables politiques et des pra-ticiens, ce séminaire proposerad’avancer dans ces réflexions aucours de sessions plénières et detravaux en ateliers. Ainsi leséchanges d’expériences desacteurs du terrain seront-ils enco-re largement privilégiés. Des actesseront publiés et remis à chaqueparticipant(e). Ce séminaire,comme toutes les manifestationsdu GEPSo, sera ouvert à tous lesprofessionnels ; aux responsablesde formation; aux praticiens cher-cheurs du travail social, aux déci-deurs et aux usagers de l’actionsociale et médico-sociale. �

J E U D I 2 3 s e p t e m b r e 2 0 1 0

V E N D R E D I 2 4 s e p t e m b r e 2 0 1 0

Animation : Vincent MEYERProfesseur des universités

Animation : Michel LAFORCADEPréfigurateur ARS du limousin

8h30 : Accueil des participants

9h00 : ouverture et discours d’accueil

9h30: « Normes et pratiques dans l’histoire :l’exemple des communautés monastiques auMoyen-âge »• Anne-Marie HELVETIUS : Professeur en HistoireMédiévale, Université Paris 8.

10h00 : « De Erbkrank (1934-36) à Opfer des Vergangenheit (1937), les représentations du handicap mental dans le cinéma de propagande nazi »• Christian BONAH: Professeur en Histoire des sciences de la vie et de la santé, Université de Strasbourg,membre de l’IUF.

• Vincent LOWY: Maître de conférence en études audio-visuelles et cinématographiques à l' Université de Strasbourg.

10h30 : « La fausse neutralité des normes. La nécessité des accords normatifs »• Michel CHAUVIERE : Directeur de recherche serviceCERSA, université Paris 2, Directeur de recherche au CNRS

11h00 : Pause

11h15-12h30 : table ronde 1« Pratiques normatives, normalisation des pratiques : au service de qui ? »

8h00 : Accueil des participants

8H30 – 9H30 : Restitution des ateliers en session plénière.

9H30 – 10H15 : Dimension politique• Claude EVIN : Directeur général de l’Agence régionalede santé d’Ile de France

10H15 : Pause

10H30-12H00 : table ronde 3 :« Attentes des usagers et engagement desprofessionnels : quelle place pour la singulari-té de l’usager au regard de la normalisationprofessionnelle? »

• Michèle LAPEYRE : Psychologue« Déontologie et normalisation des pratiques »

• Gilles BONTEMPS : Directeur associé à l'ANAP encharge des problématiques portant sur le médico social« Concept de performance et normalisation »

• Michel CHAUVIERE :« Services publics ou services au public ? »

12h30 – 14h00 : Repas pris sur place.

14h00 – 16h00 : « Pratiques de terrain etpratiques normatives. Pour une posture critique:5 carrefours de réflexion et de débat… »• Animation : élèves directeurs de l’EHESP

16h15 – 18h00 : table ronde 2 :« Commande publique et institutionnelle : quels espaces de créativité? »• Un représentant de l’ANESM (sous réserve)

• Dominique ROLIN : Directeur d’ALV formation, Lyon« Dessins et destins mouvants des formations sociales »

• Dominique FABLET : Chercheur en sciences de l’éducation.« L'analyse des pratiques professionnelles »

18h00 : Cocktail et soirée festive sur réservation

• Claude FALGAS : Formatrice, gestalt-thérapeute,enseignante de mathématiques,« Apprendre des normes? »

• Jean-Yves DARTIGUENAVE : Maître de conféren-ce en sociologie à l'Université Rennes 2 et co-directeur duLaboratoire d'Anthropologie et de Sociologie« De l'usager à la personne »

• Jean-René LOUBAT : consultant en ressourceshumaines et ingénierie sociale« L'innovation, au carrefour des besoins et des ressources »

12H00-12h30 : intervention du grand témoin :• Michel LEGROS, Directeur du département sciences humaines, sociales et des comportements de santé à l’EHESP« Synthèse des travaux »

Animation : Hervé HEINRYEnseignant, ancien Directeur d’établissement

Animations

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Troupe

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“Les nez fas

tes”

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