2
Houdaifa a dit : « Le Prophète avait fait un sermon dans lequel il n’avait laissé aucune chose de ce qui aura lieu jusqu’au jour de la résurrection, sans en avoir parlé. L’a su qui l’a su, et l’a ignoré qui l’a ignoré ». [Rapporté par Al-Boukhari et Muslim] Abou Zayd Amr ibn Akhatab raconte : « un matin, après qu’il a fait la salat d’al-Fajr, en notre compagnie, le messager d’Allah s’est levé, devant nous a la tribune et il nous a parlé en narrateur jusqu’au midi ou il est descendu pour faire la prière, puis s’est levé a nouveau a la tribune et il nous a parlé en orateur jusqu’au Asr ou il est descendu pour faire la prière, puis il s’est levé encore une fois a la tribune et il nous a parlé en orateur jusqu’au coucher de soleil, dans le sermon il nous a informer sur ce qui existé auparavant et ce qui existe dans l’immédiat. Alors, le plus savant d’entre nous c’était le plus apte à savoir (de telles informations) par cœurs ». [Rapporté par Ahmed et authentifié par Ar-Na-ot] D’après le récit de ‘Awf ibn Malik, le prophète a dit : « Avant l'échéance de l'Heure, il te faudra attendre ces six événements : ma mort, puis la prise de Jérusalem ; puis une épidémie qui s'abattra sur vous, semblable à l'épizootie qui frappe les moutons ; puis la profusion des richesses, au point que l'homme qui aura reçu cent dinars demeurera insatisfait ; puis une sédition qui pénétrera chez tous les Arabes sans exception ; puis un pacte qui vous liera aux «fils des jaunes» (Bânî al-Asfar: les romains) qui vous trahiront et viendront vous affronter avec une armée de quatre- vingts étendards, chaque étendard ralliant douze mille hommes ». [Rapporté par Al-Boukhari et Muslim] Premier Signe : « Ma mort ». L’envoyé d’Allah est mort en l’an 11 de l’hégire (en 634), la mort du prophète était et reste la plus grave tragédie qu’a 1 subie la communauté musulmane, Anas ibn Malik a dit : « le jour où le prophète est entré a Médine, tout Médine s’illumina pas sa venue, et le jour de sa mort on s’est retrouvé dans l’obscurité ». [Rapporté par At- tirmidhi, Al-Bajar et authentifié par Al-Albani] Fatima dit à Anas : O Anas ! Comment avez-vous fait (pour le bon cœur) couvrir de terre le visage du messager ! Deuxième signe : « puis la prise de Jérusalem ». Elle a été conquise a l’époque de Omar Ibn Al- khattab le second Khalife Rachidine, sous le commandement d’Abou ‘Ubayda ibn Al-Jarrah (l’un des illustres chefs des armées musulmanes) en l’an 16 de l’hégire (en 639). Lorsque Omar Ibn Al Khattab, vint à Jérusalem afin de recevoir les clés de la Ville Sainte des mains du patriarche Sophrone, à la demande de celui-ci, le Khalife avait décidé sur le chemin de Médine vers Jérusalem de se partager l’usage de l’unique chamelle avec son serviteur : chacun des deux la monterait durant une étape au cours de laquelle l’autre l’accompagnait à pied. Allah voulut que, dans la dernière étape - celle qui devait aboutir aux portes de la Ville Sainte - le serviteur fût sur le dos de la chamelle; Voyant cela, Abou Ubayda Ibn Al-Jarrah dit : O commandeur des croyants, je n’aime pas que ce peuple te méprise et te voyant ainsi, il répondu : O Abou Ubayda ! si c’était quelqu’un d’autre qui a dit ca ! écoutes Abou Ubayda on était le peuple le plus humilié et Allah nous a honoré par L’islam. Et si on cherche un honneur autre que l’islam, Allah nous humiliera. Ainsi, les habitants de Jérusalem, du haut des murs de la ville, furent les 2 témoins d’un spectacle unique, qu’ils n’avaient jamais vu et qu’ils ne verront, sans doute, jamais tout au long de leur vie : Ils virent Omar, le Khalife, successeur du Prophète et commandant en chef des armées musulmanes, marchant devant la chamelle, la guidant par ses rênes, alors que son serviteur était tout bonnement assis sur son dos ! Troisième signe : « puis une épidémie qui s'abattra sur vous, semblable à l'épizootie qui frappe les moutons ». Une mortalité importante causée par une épidémie peste comme celle qui attaquera les brebis ou les bêtes en déclenchant un écoulement d’un liquide de leurs nez et elles mourront sur le coup. Les savants on dit que ce signe s’est produit, c’est la peste de ’Amwâs en Syrie en l’an 18 de l’hégire (641) et ceci a causé la mort de 25 000 musulmans parmi les quels le gardien loyal de la communauté Abou Ubayda et le compagnon vertueux ; Mou’adh ibn jabal qu’Allah les agrées. Quatrième signe : « puis la profusion des richesses, au point que l'homme qui aura reçu cent dinars demeurera insatisfait». C’est un signe qui s’est produit effectivement, 'Adî Ibn Hâtim rapporte : « Alors que je me trouvais chez le Prophète , un homme vint à lui et se plaignit de la pauvreté. Un autre vint et se plaignit de l’insécurité des routes. Il dit : Si ta vie se prolonge, tu verras certes une femme seule voyager d'Al-Hîra jusqu'à ce qu'elle tourne autour de la Ka'ba sans craindre personne sauf Allah. Je me demandai alors en moi-même : Mais où seront les brigands de Tayyi' qui corrompent les villages ? Si ta vie se prolonge, tu verras que les trésors de Chosroes seront conquis. 3

Depliant 28 Compte Six Parmi Les Signes Précurseurs de l’Heure

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Page 1: Depliant 28 Compte Six Parmi Les Signes Précurseurs de l’Heure

Houdaifa a dit : « Le Prophète avait fait un

sermon dans lequel il n’avait laissé aucune chose de ce

qui aura lieu jusqu’au jour de la résurrection, sans en

avoir parlé. L’a su qui l’a su, et l’a ignoré qui l’a

ignoré ». [Rapporté par Al-Boukhari et Muslim]

Abou Zayd Amr ibn Akhatab raconte : « un

matin, après qu’il a fait la salat d’al-Fajr, en notre

compagnie, le messager d’Allah s’est levé, devant nous

a la tribune et il nous a parlé en narrateur jusqu’au

midi ou il est descendu pour faire la prière, puis s’est

levé a nouveau a la tribune et il nous a parlé en orateur

jusqu’au Asr ou il est descendu pour faire la prière, puis

il s’est levé encore une fois a la tribune et il nous a

parlé en orateur jusqu’au coucher de soleil, dans le

sermon il nous a informer sur ce qui existé auparavant

et ce qui existe dans l’immédiat. Alors, le plus savant

d’entre nous c’était le plus apte à savoir (de telles

informations) par cœurs ». [Rapporté par Ahmed et

authentifié par Ar-Na-ot]

D’après le récit de ‘Awf ibn Malik, le prophète

a dit : « Avant l'échéance de l'Heure, il te faudra

attendre ces six événements : ma mort, puis la prise de

Jérusalem ; puis une épidémie qui s'abattra sur vous,

semblable à l'épizootie qui frappe les moutons ; puis la

profusion des richesses, au point que l'homme qui aura

reçu cent dinars demeurera insatisfait ; puis une

sédition qui pénétrera chez tous les Arabes sans

exception ; puis un pacte qui vous liera aux «fils des

jaunes» (Bânî al-Asfar: les romains) qui vous trahiront

et viendront vous affronter avec une armée de quatre-

vingts étendards, chaque étendard ralliant douze mille

hommes ». [Rapporté par Al-Boukhari et Muslim]

Premier Signe : « Ma mort ». L’envoyé d’Allah

est mort en l’an 11 de l’hégire (en 634), la mort du

prophète était et reste la plus grave tragédie qu’a

1

subie la communauté musulmane, Anas ibn

Malik a dit : « le jour où le prophète est entré a Médine,

tout Médine s’illumina pas sa venue, et le jour de sa

mort on s’est retrouvé dans l’obscurité ». [Rapporté par At-

tirmidhi, Al-Bajar et authentifié par Al-Albani]

Fatima dit à Anas : O Anas ! Comment avez-vous fait

(pour le bon cœur) couvrir de terre le visage du

messager !

Deuxième signe : « puis la prise de Jérusalem

». Elle a été conquise a l’époque de Omar Ibn Al-

khattab le second Khalife Rachidine, sous le

commandement d’Abou ‘Ubayda ibn Al-Jarrah (l’un des

illustres chefs des armées musulmanes) en l’an 16 de

l’hégire (en 639).

Lorsque Omar Ibn Al Khattab, vint à Jérusalem

afin de recevoir les clés de la Ville Sainte des mains du

patriarche Sophrone, à la demande de celui-ci, le Khalife

avait décidé sur le chemin de Médine vers Jérusalem de

se partager l’usage de l’unique chamelle avec son

serviteur : chacun des deux la monterait durant une

étape au cours de laquelle l’autre l’accompagnait à

pied.

Allah voulut que, dans la dernière étape - celle

qui devait aboutir aux portes de la Ville Sainte - le

serviteur fût sur le dos de la chamelle; Voyant cela,

Abou ‘Ubayda Ibn Al-Jarrah dit : O commandeur des

croyants, je n’aime pas que ce peuple te méprise et te

voyant ainsi, il répondu : O Abou ‘Ubayda ! si c’était

quelqu’un d’autre qui a dit ca ! écoutes Abou ‘Ubayda

on était le peuple le plus humilié et Allah nous a honoré

par L’islam. Et si on cherche un honneur autre que

l’islam, Allah nous humiliera. Ainsi, les habitants de

Jérusalem, du haut des murs de la ville, furent les

2

témoins d’un spectacle unique, qu’ils n’avaient jamais

vu et qu’ils ne verront, sans doute, jamais tout au long

de leur vie : Ils virent Omar, le Khalife, successeur du

Prophète et commandant en chef des armées

musulmanes, marchant devant la chamelle, la guidant

par ses rênes, alors que son serviteur était tout

bonnement assis sur son dos !

Troisième signe : « puis une épidémie qui

s'abattra sur vous, semblable à l'épizootie qui frappe

les moutons ». Une mortalité importante causée par

une épidémie peste comme celle qui attaquera les

brebis ou les bêtes en déclenchant un écoulement d’un

liquide de leurs nez et elles mourront sur le coup. Les

savants on dit que ce signe s’est produit, c’est la peste

de ’Amwâs en Syrie en l’an 18 de l’hégire (641) et ceci a

causé la mort de 25 000 musulmans parmi les quels le

gardien loyal de la communauté Abou ‘Ubayda et le

compagnon vertueux ; Mou’adh ibn jabal qu’Allah les

agrées.

Quatrième signe : « puis la profusion des

richesses, au point que l'homme qui aura reçu cent

dinars demeurera insatisfait». C’est un signe qui s’est

produit effectivement,

'Adî Ibn Hâtim rapporte : « Alors que je me

trouvais chez le Prophète , un homme vint à lui et se

plaignit de la pauvreté. Un autre vint et se plaignit de

l’insécurité des routes. Il dit : Si ta vie se prolonge,

tu verras certes une femme seule voyager d'Al-Hîra

jusqu'à ce qu'elle tourne autour de la Ka'ba sans

craindre personne sauf Allah. Je me demandai alors en

moi-même : Mais où seront les brigands de Tayyi' qui

corrompent les villages ? Si ta vie se prolonge, tu verras

que les trésors de Chosroes seront conquis.

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Page 2: Depliant 28 Compte Six Parmi Les Signes Précurseurs de l’Heure

Je dis Chosroes, fils de Hurmuz ? Il dit :

Chosroes, fils de Hurmuz. Et si ta vie se prolonge, tu

verras certes un homme sortir une poignée pleine d'or

ou d'argent en cherchant qui l'acceptera de lui sans

trouver personne pour la prendre... 'Adî poursuit : J'ai

vu la femme seule voyager d'Al-Hîra jusqu'à ce qu'elle

tourne autour de la Ka'ba en ne craignant qu'Allah, je

figurais parmi ceux qui ont conquis les trésors de

Chosroes, fils de Hurmuz, et vous, si vous vivez assez

longtemps, vous verrez se réaliser ce qu’a dit le

prophète , Abû al-Qasim, a dit au sujet de celui qui

donnera une poignée pleine (d’or et d’argent) ». [Rapporté

par Al-Boukhari]

Et Abou Moussa rapporte du Prophète qu'il a

dit : « Il arrivera une époque où l'homme se déplacera

avec une aumône en or puis ne trouvera personne pour

la prendre de lui ». [Rapporté par Muslim]

Les savants ont affirmé que ce signe est arrivé

effectivement a l’époque d’Omar ibn Abdelaziz, en

période de deux ans et demi, la vie de son époque est

devenue identique a celle de la prophétie grâce a son

équité et sa piété, a son époque, les gens ont vécu dans

le confort et l’aisance et en effet il y a eu un sur plus

d’argent. Au point ou il a demandé au crieur public

d’annoncer partout dans la ville et les pays que tout

personne endettée de ce lui qui souffre de la pauvreté

et celui qui veut faire le pèlerinage ou se marier, le

trésor public islamique s’occupera de ses besoins. Les

gens se sont enrichis au point ou personne n’acceptait

cette offre ou l’aumône.

Et certains savants ont dit que ceci se produira une seconde fois à la dernière période qui précède l’heure. Au temps d’Al-mahdi et issa ibn Mariam.

« Telle qu’un don de cent dinars laissera celui qui l’aura reçu plein de dégout ».

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Certains savants ont expliqué ça par son insatisfaction et son avidité ou parce que cette somme serait insuffisante pour satisfaire ses besoins et ses dépenses.

Cinquième signe : « puis une sédition qui

pénétrera chez tous les Arabes sans exception».

Certains savants pensent que cette tentation serait les

medias dans toutes ses différentes formes : audiovisuel,

audio ou écrit, télévision, satellite, internet… Et aucun

sain d’esprit ne pourra nier que ces moyens se sont

introduits dans tous les foyers.

Sixième signe : « puis un pacte qui vous liera

aux «fils des jaunes» (Bânî al-Asfar: les romains) qui

vous trahiront et viendront vous affronter avec une

armée de quatre-vingts étendards, chaque étendard

ralliant douze mille hommes ».

Le Prophète a dit : « Le jour du jugement

dernier n’aura pas lieu avant que les romains rentre à

Al-A’maq (Halab en Syrie) ou Dabeq (Antalya en

Turqui) ». [Rapporté par Muslim]

Dans une narration, le Prophète Mohammed

a dit : « Les Gréco-romains accepteront l’alliance de la

concordance totale de paix et ensuite vous allez

conquérir vous et eux un ennemi [commun] derrière

eux. Vous allez obtenir la paix, jouir du butin et vous

descendrez dans un endroit [plaine] à collines. Un

homme parmi les Gréco-romains viendra en élevant le

crucifix et disant que le crucifix a vaincu. Un homme

parmi les Musulmans viendra le tuer. A ce moment les

Gréco-romains trahiront [les Musulmans] et

s’avancerons vers vous. Ils seront groupés en quatre-

vingt emblèmes et sous chaque emblème douze milles

[hommes]». [Rapporté par Ahmad, Abou Daoud, Ibn Hiban et

authentifié par Al-Albani]

5

Au nom d’Allah, l’Infiniment Miséricordieux, le Très Miséricordieux

Compte six parmi les signes précurseurs

de l’Heure

Abou Maryam licencié à l’université islamique de Médine

Email : dé[email protected]

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Dépliant islamique n° 28