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9b, UMINISTRATION & RÉDACTION 38, Rue Roqueleiriu:, TOULOUSE TI.JÉPZ=2027/C 829 .Enotsuebeentmarb...;, mol. 6 F'"*""!bfo torr. 201e Colonies ; " Btrangar 9 fr. 18fr. 38 fr. SEPTIEME ANNEE. N. 19022 OPINIONS les ramones illsocielditagullig La vie est une perpétuelle explora- , lion et un voyage de découvertes. Mais le sort des explorateurs, et la faveur que trouvent leurs récits, sont parfois différents. Un instituteur qui a de bons yeux observe dans son école, et autour dalle, des phénomènes curieux et in- quiétants. S'il ne garde pas pour lusses observations, s'il raconte ses découver- tes, il peut très bien arriver qu'on 1m en sache Matovisig gré' qu'on le regarde de travers, et qu'on le traite en Sus- pect. Quoi, disent les gens en place, les Instituteurs font du socialisme, mainte- nant ? Ce maître est animé d'un mau- vais esprit 1 C'est un syndicaliste, un révolutionnaire, un ennemi de la Femme. Arnivo un autre explorateur ; mais celui-là est inspecteur d'académie. Il prend la peine d'ouvrir les yeux à son tour. Ce qu'il voit lui parait nouveau, Intéressant, et aussi, comme je viens de dire, inquiétant. Il publie ses décou- vertes, reans avoir Fair de soupçonner qu'il découvre ce que les instituteurs ont aperçu depuis longtemps. -Mais ces récits sont accueillis avec faveur; et les eknea observations qui ont valu à tant d'instituteurs syndicalistes la défiance des ministres Brian,c1 et Barthou ne lui attirent que des 'éloges. Les instituteurs sont gens d'esprit et sans rancune, ile semourent discrè- tement cette petite revanche et net hommage involontaire. a Oui ! son- gent-ils, oui ! il y a une contre-éduca- tion, et sauvent plus forte que l'école. Nous le savions. L'école ne forme pas tun monde à part. Elle est une portion de la :société; il ne suffit pas d'instruire et d'éduquer dos enfants. Il faudrait, pour que ruvre fût durable et com- plète, que notre besogne fût continuée par la famille et la société. Elle se dé- teilla, nese oeuvre, si l'enfant, clageue fois qu'il sort de l'école, quitte un mi- Leu intelligent et juste pour tomber dans cm milieu de misère, de servitude et de grossièreté. Il faut donc que l'école étende son Influence au-delà de ses murs,; et que 'instituteur s'efforce, pour que ses pei- nes ne soient pas perdues, de rendre la société meilleure, plus humaine et plus Mais sitôt que nous essayons, quels cris, mes amis 1 Haro sur Le baudet, SUr l'Aliboron! Tout est perdul l'insti- tuteur va au peuple! Le maître qui ins- truit les enfants des travailleurs ose s'Unir aux travailleurs! Affreux! il va à la Bourse du travail! » Pourtant que voulez-vous faire ? Vous n'écoutez pas l'instituteur quand il relate é ce que ses yeux ont vu ». di- rait Arthur Meyer ? Croyez-en donc M. l'inspecteur d'académie ! L'inspecteur d'académie a reçu les confidences d'une inspectrice d'école maternelle, étourdie encore et comme demi assommée d'un close imprévu. Elle voulmt habituer les bébés à dire merci à leur maman. Gomme elle avait raison 1 Mais, essayant de les encas- rager, elle eut une inspiration malheu- reuse. Pour leur faire trouver le mot, le mot gentil qu'il faut dire ciao maman, elle eut ride de faire appel à leurs sou- venirs e Voyons, mes enfanté, le mot ! le petit mot de cinq lettres 1 vous sone. bisa! le mot qu'on répète toujours au- tour de vous, que vous entendez à tout Propos, le mot gus dit votre papa, que dit votre maman t M,er. Ah ! ce ne fut pas long 1 Père Libu, qUe n'étais-tu là 1 D'un seul cri, d'un seul coeur, la cle,se unanime le hurla, le mot ! mats ce ne fut pas celui quoi- tendait l'Inspectrice. En chaque bébé dormait mi Cambronne qu'elle avait Soudain éveillé. Pauvre inspectrice ! Estomaquée, la voix coupée, elle s'enfuit on déroute et courut s épancher auprès de l'inspec- teur d'académie. Pauvre inspecteur ! godé les dramatiques aventures aux- quelles sont exposés les explorateurs. Monsieur l'inspecteur d'a.démie, je croyais trouver des populations civili- Sées, et je suis tombée dans une tribu de sauvages. Pour moi, je vous félicite tous les deux, 'Monsieur et Madame. Je vous fi. 'Lette non seulement pour l'élévation de vos sentiments, mais pour cette bon- ne fortune ,qui vient de vous arriver. Tenez ! je suie presque tenté de félici- ter aussi les bébés qui vous ont donné cette leçon. Vans en avez profité, de cette leçon !reçue des bébés, et je vois que le mat, 1,^ fameux mot, l'ignoble mot vous a ouvert les yeux. 116 quoi, Monsieur Héq uoi Modo- ? fallu le met pour vous faire apercevoir iété que si Pécole est admirable, la soc l' ssaueoup e Que si l'école enseigne aux enfants la mu- rale, le devoir, la sobriété,a m 1 p la politesse, la société leur ensugdreurtout eontnaire ? huiraiment vous 'êtes, alors qu'au dé- de v- nos découvertes de 1,0> étonne- aients et de Vtle oévoltes. Les institu- seeeseteiseeeeeetesiese- leurs ont voyage dejs plus loin quo vous, si loin qu'on leur a crié, comme je vous disais, d'arrêter ! Ils ont ex- ploré plus avant. Non contents de re- pérer toutes les traces des influences nuisibles, des atmosphères malsaines et des miasmes infects, ils ont poussé bravement jusqu'aux sources empoi- sonnées. ils savent d'où cela vient. Ils connaissent les origines et les causes. Ces causes, Monsieur l'inspecteur d'académie, est-ce que vous ne les en- trevoyez pas ? Alors, regardez encore! regardez-y de près, monsieur 1 prenez votre temps ! ne vous pressez pas, et regardez bien 1 Mais quand vous les aurez aperçues, aurez-vous le courage de les nommer tout haut ? Oui, n'est-roc pas ? Autre- ment ce serait le mensonge par orne-o- -si-on ; et à quoi bon, entre nous, s'inda- gner tant d'une grossièreté de langage, pour feindre ensuite l'ignorance en face de barbaries pires ? Out, vous oserez, comme un brave et honnête homme. Seulement, ce jour-là, vous tiendrez le même langage que tant d'institu- teurs dont les ministres ont flétri les paroles à la tribune de la Chambre. Vous dites vrai ! il y a une contres éducation; et l'école, en effet, n'est qu'un flet dont les vitrages sont battus par une mer désastreuse. A peine échappé de récole où l'Instituteur lui parlait raison, lui apprenait des véri- tés, lui recommandait la justice, le res- pect des autres, reniant se trouve plon- gé dans la vie, et souvent c'est une vie de misère et de grossièreté. Les parents de cet enfant sont grossier., Monsieur l'inspecteur d'académie, savez-vous pourquoi ? C'est peut-être parce qu'ils sont esclaves. Vous étonnerez-vous en Ce cas qu'ils aient des moeurs d'escla- wes ? Servitude engendre grossièreté t les leçons de l'histoire vous l'ont en- seigne depuis longtemps. L'instituteur aussi l'a compris depuis longtemps. Quand il a vu la pauvreté si grande autour de lui, la misère si dure, l'op- pression si lourde, il s'est indigné, cet honnête homme, comme vous voue in- dignez quand Le bébé dit merde ! Sa conscience intime a souffert et s'est ré- voltée. Il s'est écrié t Csmment peut- on, quand les peuples sont ai miséra- bles, gaspiller en oeuvres de guerre st de mort tant de milliards qui seraient indispensables à leur bien-être 1 » A came de cela on l'a accusé d'être antipatriote, de ne pas aimer la France, et on Eu dénOncé comme un ennemi publie ! Il s'est écrié ntu Dans notre Républi- que subsistent des privilèges ; et les pauvres sont soumis à une exploitation qui ne finira guère que s'ils méritent leur délivrance et la conquièrent eux- mêmes en se groupant ! » A cause de cela, on l'a appelé révo- lutionnaire, socialistlé, syndicaliste, et su lui a commandé de ne plus penser, de ne plus parler, do fermer les yeux. Pourtant Il se souvient que pour fon- der la République et convertir les pay- sans à la démocratie, on lui avait au contraire demandé d'ouvrir les yeux, de penser., de parler Comme il a gardé intacte sa cervelle, elle continue de fonctionner en loi, même malgré lui; et quand il pense, mes foi, cela se de- vine toujours ! Il continuera, en dépit des ministres qui passent et des députés qui trem- blent, il continuera à penser, à parler; et vous voyez bien, après tout, qu'il a raison, puisque voici les inspecteurs d'académie qui ee Metteriti à parler comme lui. Marcel SEMBAT, C HOS CHANGEUR ET PAYSAN On sait que jadis le pont au Change émit cou- vert de mations dam lesquelles logement des changeurs de monnaies. Lin jeun un paysan qui se promenait sur ce pont or qui no. voie. Poiso de marchandises dans les boutiques, s'approche d'un bureau de Mun1e et d'un air ailes niais t MonsimM dit-il, qu'est-oz donc que vous vendeze d Le change., croyant qu'il pouvait bafguer le lourdaud, répondit Je vends des têtes d'âne. Ma foi, lui répliqua le paysan, scores faites alors un grand débit, car il rien men plus qu'une dans votre boutique. EH COIN DES RIEURS Comment appelle-t-on /e cours de mise en scène au Conservatoire L'écale des miros. A la faculté de Med.ecine, comment nomme-, on k cours où il est traité des enalaides du nez ? L'école resale. A la tamaie., pour les distillateurs L'école de rhum. Certaines conférences faites aux ingénieurs au fond des mines ? L'écale dans terre. Les travaux pratiques de chirurgie 2 L'écale de section. Les élections législatives, ou encore Es tirages dus bielles des ensis. 1,1Ecole normale de Sèvres 1 L'école des maîtresse«. (A vous, Pierre Conrard, La pisciculture ? de poissons. SOBRIETE ECOSSAISE Les statistiques judiciaires nous en aPlimm... de Mlles sur le compte des Rainais. Rien que pendant l'année i913, la petite ville de Rlairgourie (cmuté de Perth), dent la Pors- larion comprentl 7.ore habitants, en a vu con- damner su pour ivresse pal.s,rz et mulot/este. Cela fain un peu plus d'un poivrot pour dis personnes, fernmta si min= Eitmariat . Ccit gai LENDMIWAILL DE MEURTHE Deux Grandes Nations face à lace au Mexique UNE SITUATION GROSSE DE CONFLITS On sonnait la situation équivoque qui existe ou Mexique depuis La /in tragique en Présidési aiment le général Huerta a Me praolsonè du gouvernement, mais acre-contra sur sa route pl.ours conourrents qui contestent là ...nu- Lionel./ de son mandat; en ot Mt g.e ses ri- vaux pourraient m'erre que des agents de saln- talUtes américains désireux Se M.P..' des mi- nes de pétrole du Mexique. Les revollês ont à .ur tete -le général Voila gui mére dans le Nord. La, p/upart des gouverne- sients ont rem l'élection du général Metra, sauf les Etats-Unis; or, foras de cette attitude qui déguise à peine une o.PPr.bail... bec lesont poussé av. énergie Hies aphzol0005zO c'est a. Etats_unts même qu'ils se enunissent d'armes; cependant l'opinion Pablitne P- ratt pas approuver le président Wilson gon Mun cite, se refuse à reconnaître Huerta et, de l'au- tre, ne veut pas intervenir pour rétablir tordre au Mexique. Mais vol. que les évbements viennent com- pliquer encore la situatim et mettre . quel- que .rte les Etats-Uno en demeure -de se pro- ..., ...me nos dépêches IMnt rapporté, /e général Villa, sme ap,parenee de dron au de jugement réguler, a fait fusiller un strict an- guis, PL Donon; l'Anglelerre qui Ma pas Ibos bitude toe larmer molester ses nationaux den., de ries expliestom et semble bon décidée h al- ler mettre Pondre elle-même miles StattsUns Cri prétendent toujours en vertu de tà théorie de Monroe que l'Europe n'a ,pas S interveuor en Amérique, ne font pas me-aimes Pa police dans ces régions livrées à l'anarchie. On voit qu'il à- a la une situation brome de difficultés et de mésintelligences. On s'émeut en Angleterre comme aux Etats-Unie et la losition de à« Wil.n devient très difficile. as mffera- t-il cerna merta acte délicat puisqu'il l'a re- pousse jusqu'ici, ou bien se résoudra-Sil s in- tervenir f Nous le saurons bien.t; en atten- dant, les Etats-unis font snionector h. une en- quete sur les eireo.tances de da mort de Ber, ton que les révoltés s.usent d'avrte voul0 as- mssitor le général Meure M. EAU-OH AURAIT BIEN ETC EXECUTE Londres, 26 février. On -Mande de Washington au o Daily friaa » que selon des nouvelles émanant d'officiers des forces américaines d'El Pa- so, les déclarations du général Villa, d'a- prés lesquelles l'Américain Bauch aurait été relâché 11 y a quelqu. jours, sont inexa. tes. En réalité, M. Bauelt aurait dit exécuté vendredi dernier h duarez. L'ASSASSINAT D'UN /TAN5A/8 Paris, 26 février. Les journaux français du Mexique ont si- gnalé qu'un de nos compatriotes, proprié- taire d'une ferme dans l'Etat d'Hidalgo, qui connue au district fédéral de Mexico, aurait étê assassiné par les bandes de Zapâta, à la lin de janvier. à la suas de son refus de payer plusieum milliers de piastres, que voulait lui extorquer Zapata. Au ministère des affaires étrangères, on n'a reçu jusqu'à présent sucau avis de la légation du Mexique, concernant me meur- tre. Plais on a lié avisé, de source privée, du merise d'un Français, annoncé par les parents de la victime. L'état sanitaire de l'Armée et la Loi de Baux Ans /L'émit° «une loti 11110e très comptoir, publiée par Le Matin » du D) février 1915, go u proportion des malades a se.dsle- ment augmenté, daim l'armée française, de- }mis ta, 90-0 es application de la lm d 1905, Notre confrère .nclut do la que-la réduc- tion de Li damé du senvioe a été néitaste pour la saute de rarmée. Ce qui a été néfaste, Ornons omis, es lie« .la loi de deux ans, c'est riod façonger. dont, silo a été appliquée. On croit tellement, en France, à la supé- riorité du sctriad, de caserne sur le réser- viste qu'on préfère un solide de ci ng mois, n'ayant encore exeMuot0 ni tir ds gueutte, ni manteuvre de garnison, rill manoeuvre d'a, tortue, à cm réserviste qui a accompli de. atuése entières do seloome, puis une période d instruction, ti l'époque des grandes manoeu- vres. On veut utiliser le jeune soldat le pie; tôI pessiblet A net effet, o.n .pouzse son ins- truction de Incll rrquiofit mobilisplile au Mois de mared on la pousse jusqu'au Sur- menage da.. la sais. la plus d/Mayor.. de ruminée, et à un Mo qui exigerait les poins grands rnértagunents. Il est effrayant t penSar que, ci la guerre e,elatait ad printemps prochain, nous em- mènerions, avec la prétention de les enga- ggr dans ,1es premieres batailles, ces enfants de le Masse 1013 qui, avard d'avoir tiré ur coup de fouit, mourraient entreraient dans Les lot aux, plus encore qu'Us ne le fouit eue. en Meine paix; tandis qu'on laisserait à la c..erne des réservistes de virigtg-six ans, qui ne paronaient que quinze jours .prée. Votla cependant ridée directrice des parti_ sare da la loi de trois am. Il faut préférer .M soldat de caserne au néservbffe; sinon, on est un mauvais Franç., I Taot quis nos hommes 00 0.0 emmure. Mont pas q. Le soldat de cinq mois est un eurnbaltarn incomplet, ana po ta do vue de l'endurance, comme ois point de vue du' l'instruction; tant qu'ils ne comprendront pas que le réserviste, qui est un homme fait un homme sérieux, caner mal de ses devoirs envers le pays, est supérieur à ce collégien //n'est le soldat de caserne; h condition, bien entendu, gut. entretienne tentratnemord .réserviste et son instruction militaire, ea ortranuand convenablement Péducation post- régimentaire; h condition, e.ore, qui on en /Tett/dm. son aptitude h reprendre Lu/média- tentent. sa pla.ce dans le rang, par an êys têtue de convocation bien co.mprts; tant q.ue nos hormones d'ULM, enfin, croiront qu'a °ba- ttue libération de cd.me l'armée Mayre. une periode critique, dont i importe, h tout prs de dimmuer la durée; tant qu'ils n.0,15 propo.ront, pour parer à ce prétendu dan- ger, des solutions teL1. qms la rallonge, tap- i/cl deux fors, ou toute autre memeo uniquernent L'effectif de paix, je leur di- rai Nous Ire rnyea pas ami réserviste. Veins « bien montré, dans votre toi du touai t 1913, en appelant armée active la punte de n Pasnée r, 51e préseute I n caserna, « pendant trois ans Et bien que vous ayez « constamm.mt sur Les lèvres reser.. mots « de nation armés, votre mendabté est colle « des ,Nart.o,aul cts à armés da métier. s PEACIN, AM/EOR 00115 cama La Clans des Nobles Menai en Russie Au-dessus des Forces UNE CLASSE APPELEE A DISPARAITRE Rouhanovitch, étudiant les causes de La crise ministérielle qui vient de surgir co Russie, y voit, en ligne .principate, l'action de la neblesse russe désireuse de s'assurer, bar le pouvoir, le plus complet, les moyens ee Sr barder en face des Muences écono- miques grandissant b ses antes ot prev0- gué. par le développement industriel. La noblesse perd ses riehossm et se voti me- nacée par la bourgeoisie «affaires t lob ses tentatives réactionnaires, qui seront vaincs cependant contre l'évolution fatale qui ,tentraine. Une st:insigne publiée il y a quinze jours, raconte Roubanovictch, la veille de la eri- se », par -le ministère al.e l'agriculture, a produit une vioc sensation. Elle a montré avec da dernière évidence que la classe des nobles était en pleine deuomposition so- ciale et économique, que, noyés dans des dettes hypothécaires, elle perdrait bientet toutes ses propriêtés si EEtat, mette pro- vidence de La noblesse, n'intervenait pas pm do nouvelles el. suprêmes faveurs. En 5803, au leddemain de Eaffrancbisse- ment dus paysans, la noblesse possédait dans 05 gouvernements de la Russie d'Eu- rope 87 millions d'hectares envie. fesse- 'lament 87.181.000 u, dessiatines). Or, en 1907, se ehiefre est tombé à 07 million «hecta- res, c'est-h-dire a diminué de moitié. Ge qui, surtout, affole les seigneurs russes, c'est que leur appauvrissement suit une marche -progressive et régulière. 5803-rff72 0.7 p, c. et pur an. 1613155-O 1.2 -- 8059 1892 LH. '11103-1907 1.5 Si cette progression contin.ue et en réa- 1110 elle s'accentue la classe des nobles doit tomber socialement au nivento Mune q.ntitil négligeable, d'ici une trentaine d'années. En effet, Les Dures, qui restent entre les maiuls des nebolbs, soni grevées de Met. hy- pothecairs. Ainsi, la Banque de la noblesse leur a avancé, jusqu'it janvier 1504. la som- me de un milliard trois cent millions de nen., et les banques .pritées oz,ne somme presque égale. Pl. de .quisse millions d'hectares sont menacés cette armée d'une vente aux enchères. Quand on pense au pouvoir politique que détient cette classe dos nobles, qui a la majorité dans la Douma et presque Punani- mité dans le Conseil d'empire, ei qui daes la persunne des gouverneurs règne dans les ;provinces, oh 5,10 détient aussi l'énorme majorité dans les .mstvos, on eomprend de quelle contradiction profonde entre le pou- voir politiqu.e et les fore. économiques .nouvelles, est frappé le régime actuel. LA POLITIQUE Pour le Secret du ilote LES DISPOSITIONS QUI SERONT PRISES EN VUE DES ELEGEM/NB GENERALES, ' L'approche des élections générales engage Le.gouvernement b hâter «adoption de cer- tainse dispositimco de loi destinées à ussurer bu sincérité du vote. Des renseignements que mus avoua re- cto/Pie, d résulte que la loi recette qui a institué l'isoloir et essaimes autres garan- ties pour l'électeur a déjà besoin d'être ais- Allés; Mie a été mise à l'épneuve h Po.a- sien d'une seule élection Législative, ceile d'Ivry, et tout de mite elle a montré ses e6Lês faibles. C'est ainsi que la commission de recensement, n'a pas en h statuer sur moins de 6000 enveloppes et bulletins contes- tés. La véroblcation a exigé pour cloaque lom de scrutin une demi-journée de sic.sien. Oses a conclu qu'en cas de renouveSament général, l'unique commission départemen- tale . tronmenait dam l'impossibilité maté- rielle d'examiner tous les dossiers en temps voulut Donc, l'augmentation du nornbw des comnissarres de rece.ement s'impose. D'nutre part, P., conviendrait de ramener en nombre des êlecteurs inscrits 1:666.ai drs einctopps,z à envoyer aux maires, les di- vers sets.r.s auquel il a été procédé ayant MM/ ressortir que, pour 100 inscrits, il n'a pas été utilisé en moyenose plus de 75 à Se enveloppes; cette réduction procurerait à (Etat une économie d'un tiers; cl faudrait encore exiger quo les enveloppes fussent frappées d'un timbre h date au lieu d'un simule e.het, toutes les enveloppes utili- sées au cours d'un même scrutin devant porter la marne date, sons peine de nlétre pas valables, et les enveloppes non Mi-Usées devant esse détruites. Ce suit la des détails, en apparence. mois des détails qui menacent de comp,iquer ter nt - ribleme le scrutin a l'on y prend garde. Plusieurs entités avaient sone à attri- buer à l'État le soin de confectrenner les bui- fftins; d'autres réoltamaient, pour chaque candidatn n représentant aa bure. électo- ral. Le ministre de /*Intérieur est opposé ces deux mopositions; PI combattra égale- mont La responsabilité des nréfels cri matiè- re électorale et le droit pour tee candalaiLs de les citer en police correctionnelle. Très probablement, par exemple, on ré- glernentma nafilIctiagge ; chaque candida/ disposera crenipSucemenL« suédois., «une surface égale, en deinsrs desquels aucune af- liche ne pourra elfe apposer. De plus, tout affichage électoral sera interdit passé le jeudi qui précédera lo scruiiu. Enflu, des diseositions seront prises rieur assurer équitablement h tous lea candidats la dis.pecition de locaux coinmunaux essor de réunions publiques. lite Erreur Jeditiairo en Allemagne ELLE VA ETRE REPAREE ORAGE MU PARTI SOCIALISE Berlin, 26 février. La veuve Ramat qui avait Sa condainnée, il e peine de quatorze ans de tra- Z1au'as';orfésg boue avoir tué son mari, a eus mise iret=n'u'" relui On va ouvrir une mistelle La mise en liberté et la revision picota ma Cl,' provoquées par l'Intervention du Par/estent et surtout du Pesti socialiste, qui am. (0,;,_ ment attaqué le jugematen démontrant que le témoin principal du pro«, le commissaire de potine von Troeshow, Sait un per.nnage indi- gne ele foi. &111Z FAITESIÉRsr'ATIDI 1,OCIAL1STS Liee DRAMES SOC11110 VENIMEDT 27 ÉDITIONS RÉGIONALES sans, le66/60326, 161716É,6É165-CaZIETVIALF-S, 12016,4,016/6tZE,C6,6,-, n.s.mmodriortszonnish., - missesesvutirése, .0E6N, AUDE, Alill,a16, MM, HAIT6E-066120212661, TOULOUSE. VIEI A.T..T Un des drames les plus émouvants. est cents, ,naltriste que ses compagnon,s, 1- assuremmt celin que le grand littérateur no,rvégim Ellornstjerne Hjoruson, a mis. à la scène sous le titre « Auedes.sus des forons ho,msinss Grâce à la lounbie, intelligente et cou- rageuse initiative de Lugne Poe, acteur de , ta:eut teint faiblesse, les patrons s'orgall talent et impresario éclaire, cette pi&e sent pour ace bont,, les premiers et fut donnée au théâtre de l'OEuvre, en client la tactique, pour la lutte, les sema, 1894, et en 1897. , cOnsallident leur résistanee. Et setrx A Voeesteiett Go le Peesenec à Pari. .o pour aire mieux armés, et rester vio dromnteeee 0011e toevre eePriee eu riens se syndiquent à leur toue, afin 1991. Elle obtint chaque fois un succès résister ums 'rlolamalioni, limiter la pro mérité, car elle se distinguait par de 'sel- dsetten, et s'assurer les marchés. les qualités, one solide contexture et une Ils s'assemblent da. un sa/on, dise/ originalité rare, tent, ot envisagent des solutions. Holge An-dess's dry f''rer"' humen'er r /ni, ambitieux, intransigeant sorita-re comprend de. parties. La première ton- ,i,,orité de, 'je' 55 -us d'ux voudrait la conciliation. Il top ,,vc, expese urt divin ; la ummerne, et id.... Ide est un Marne en quatre actes eà Csit pré-ho ors mn reme-SOe sente le problème social. Bjornson contente simplement de l'énon 'n cé du pro- ..2-',e 1" nt',.enre néant i,to'cly'e'r'ttil,',,eel'ae, hdème, l'étudie, il l'étale, il le commente e' fête. La soirée commence. Mais 10 0, mais ne conclut pas. Sa solution semble teau est ea. domestique. Les servile, &ce dans le titre même la question etc ont tom déserté, le, pertes sont fe omsir er't ''-der"'ur f'rees hwn''"-.sin- L'épouvante n'empare soudain de ces r mois. Au fronton de atelier, semblent écrites en lettres noires, ces mots fatidi- ques do l'Enfer du Dante ; Laseiate agni opéran.a. Abandonne as seuil toute es- perance. Car le seul espoir de eed escia- ors est de travailler comme des betes de somme, cons répit, sans repos, sana con- solation, sans retraite. Le patron sévère et dur reste insensi- ble devant leurs souffrances, Sale« leurs plaintes, ondifferàt a leurs prières. Il lca exploite comme des machines, leur fait produire un maximum, ne consul- tant que 50,0 intérêt d'industriel. Et qumd em eines sans anéantis, vides, épuisOs. hors d usage, il les rejette, les réforme. les ehasse, s'en débarras,se comma d'un instrument inutilisabl Mais cette cruauté, engendre peu à peu Ir mécontentement, fa hr-utalitio du maitre Holger, irrite personnel, sa dureté fait germes la colère dans le coeur des hom- mes. La fatigue, la misère, le désespoir, la souffrance, font tut ou lard fleurir la révolte, et vient un moment ois la rage éclate chez les soumis dr la veille. Un jelle. las d'être expOoités, malmenés, les ,ouvriers &mussent, se syndiquent et rédigent leurs revendications qui seront transmises à l'impérieux Holger 05h ses ennfreres. Pendant que les travailleurs discutent, une femme par esprit de sacrifice, «ab- négation héroique, mais d'un geste vain, se suicide. Elle entraîne dans la mort. ses deux enfants, eroyant attirer sur mea grévistes, par sa détermination, Mon du maitre et sa pitié. e Quelqu'un doit mourir, dit-elle. oie-ou île ne pren- dront pas garde à nous,a Hélas, la disparition de Marie, n'atteint quo sa famille, n'endeuille que ses pa- SétrialleX RéSiinat3 La Journée d'hier marque la plus sérieuse eonquête que la corporation minière ait réa- liée depoute longtemps. Elio permet dasSi «espéras la p.oltaine rét.nerliation des deux fractions du pral,etariat minier qui s'op posent aujourd'hui si Néplorabiement. A nunguirnite absolue la Chambre a r.du définitive la Loi qui revenait du .Sértat et qui améliore dene des proportions très impor- tantes la retraite lire vieux ouvriers et, des vetwes d'ouvriers. Citais déplorons, D est vrai que les ouvriers ardolsiers,naient éle immédiatement compris da. Io bénefice de la lei. Mais nous avone ebtems du ministre l'a.urance fermer. qu'il allait saisir la Chambre, très bref délai, do tout. Les dis- pis/Lions intére.ant les ardoisiers et qu'elles seraient réglées selon I. sûmes principes qui s'appliqu.eat aus mineure. Quant aux mineurs proprement dits, ils vont toucher tout de suite, je veux dire. six mois après la promulgation, de la hoi, des pensions de retraite Hee majorées. Pour don ner une idée de ce que sera le relèvement, euldit de .citer un chiffre d'ensemble. En moment, le chiffre des retraite.s servies a. ontriers minoenne s'élève environ à neuf mil- lions. Or, nue Domine n.ouvello de plus ode boit m,600050ns va âtre répartie chaque an- née entre les pensionnés et les veuves x et o cette somme est fournie mur lez A...tiers paf/ais:Let les entelle-Me- Holger sont insensibles à ce malheur Itritaire, a cet acte de desespmr. Le soir .inéme de L'enterrement, c't fête au Chûteau. Les mis pleurent, I, autres se réjouis.. les ouvrières Con' Le sujet est saisissant, torturant, i/ poigne e , fi cnptive, é.,,,L Dans un site ,eilff12117-j_1°_u_,, _1.1e_u,1 i ledéselé, au Pond d'un ravin sombre. enten- ere.târtus rà d'une nature sévère, .s'élkvent a.es vt";',r nes ot sont occupés de nombreux au- ,,tet-JÉivic'si,"ar d'tes,sejs=est I0POSO,O osiers OePaY"ge méls'n"lig"i 'misé avec une livrée. Le château est o st attris"et impre"iorinna"qu". ahane Lte,e,tleittei donnera le,ignet tisé ce lieu sinistre l'Enfer. La des horri- big,ent pedumd du ou,sui, e,el e juhu.. ae.r deviaant une machination, abat E mes vivent courbés sous le joug, ils peu- Se.,.e:et trent pour 51. salaires derisoire.s, ils su- d'un coup de revolver. Une angotese descriptible s'empans alors des e niais, ils pressentent In catasèrophe minante, la terreur les envahit, l'spot vante les bouleverse. Un des hôtes deven eubite,ment fou, se jette par la CriliS un ileirSièMe vent le suivre dm, le itétui Et ors maures intraitables et se sp.a«, ce, pnissonto cousus d'oc, adonne lient devant le cataclysme qu'ils presse tent fatal et ils prient po. être xx sés. Mais tont saute dses lin fracas Infe nul. C'est la fin, la justice immanente . choses sans doute. Holger n'est -pas mort .pourtant, e d/Mignoté et re5te paralysé du côté def Ainsi se déroute ce drame puissant hardi, qui torture et émotionne, avec t misères sociales expose. l'orgueil la cruauté des riche-s sttsmatise, leur duret0 de cur qu'il étale. Les v. !mecs criminelles jies, Outisiiirs, leur ri volte, leur paroxysme, son: inadmirale ment dépeintu en des scènes ép.tpos. COMInte remède mliv souffres des ro vrier«, à leur lei« tiezespoi 1.11..)ffrff«,tes auivnlcrn d 550fer Hutt Bjornson, pet:ci:mise le eetnur de I hom ve. Ils sont soutenus dans leur action par vers la nature, ct la Via ehompétre. le pasteur Brait qui les aide de sg.s con- ! in, entions scientifiques, le p»rfeelionitt ..2.3 St uosmi de sen gegen Nat' étrè farts ment du machin isme allés] nerant les fatigues eu seavnideur. A1,1 pan le dramaturge norvi'.gient . Et quand on connnit nne telle mea' mue fortes qualités littéraires et drame& ques, saine; robuste et morale, on re . vivement qu'elle ne iremolaro pas d les tliéâtres les inepties qui :tiennent I, fiche opiniâtrement. Ah I comme de pareilles .pièces nu E do cinéma eugsérecnient an public pensées notoire, des sentiments élevée ecntribueraie.nt à l'éducation du peu à sen exaltation-mer:tele, à son idéale lion 'José SA/NCAIZE. Cm1séA1JD CONFIJT Dans le Centre et le Midi, le chômage est corm et et la classe ouvriere montre la puissance de son organisation. - Dans le Fiord le mouvement est stationnaire Mais voici qui eut très impi.risel. Il è, impossible de d.re «mance, tude abso'oe, quel sua, a., a. loi 000004 te cniiiiire de la retraite. On sait gu.s1 'n'ables/lent supérieur au chiffre as 'a s, comme os ao pas - 'nrd ' ent le nombre des veumeR dos ,11`9. nes ancionseansirrn non pensas/rés cgst loua des dvoits h faire valoir, osi p e's r dès maintenant, et avant l'a.. I're'nde la loi, quelle sera la retraite, ceite incertitude qui a déterminés. 'emorogien minois.° l'étai de matoise proaide pour une part le mowernent 4' et qui n aggravé 4mite la controverseni runtieie 52. Le ministre a voulu, rept> , manifesta de la Chambre et h n i i/0u Va .iunitat;:i:oi 1:17i e:thirr.rnd:ii.,i7::«:Sier:la 2Ct â ers 1hneintebeirrP' permet nue la, sons nouveau, entour 555 r le solo définitif 0: peemolgotion dei* sod. Ours inquietuds. Les ,, n'auront pas de déeeption. Si part raison des éléments encore mut chiffre de ln retraite s'éleignalt aenia du chiffre de 130 Prases, le gon, uscra de l'asile,: de la loi ont 4alit d'aceroltre dam la loi out lui permet, d' aux sissitironn sie 730 fri d, d', g Id q 15219 cHtf e Pat zedettiweled Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Deux Grandes Nations les ramones Au-dessus des …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914... · les ramones illsocielditagullig La vie est une perpétuelle

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9b,UMINISTRATION

& RÉDACTION

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TI.JÉPZ=2027/C 829

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SEPTIEME ANNEE. N. 19022

OPINIONS

les ramones

illsocielditagulligLa vie est une perpétuelle explora-

, lion et un voyage de découvertes. Maisle sort des explorateurs, et la faveurque trouvent leurs récits, sont parfoisdifférents. Un instituteur qui a de bonsyeux observe dans son école, et autourdalle, des phénomènes curieux et in-quiétants. S'il ne garde pas pour lussesobservations, s'il raconte ses découver-tes, il peut très bien arriver qu'on 1men sache Matovisig gré' qu'on le regardede travers, et qu'on le traite en Sus-pect. Quoi, disent les gens en place, lesInstituteurs font du socialisme, mainte-nant ? Ce maître est animé d'un mau-vais esprit 1

C'est un syndicaliste, unrévolutionnaire, un ennemi de laFemme.

Arnivo un autre explorateur ; maiscelui-là est inspecteur d'académie. Ilprend la peine d'ouvrir les yeux à sontour. Ce qu'il voit lui parait nouveau,Intéressant, et aussi, comme je viensde dire, inquiétant. Il publie ses décou-vertes, reans avoir Fair de soupçonnerqu'il découvre ce que les instituteursont aperçu depuis longtemps. -Mais cesrécits sont accueillis avec faveur; et leseknea observations qui ont valu à tantd'instituteurs syndicalistes la défiancedes ministres Brian,c1 et Barthou ne luiattirent que des 'éloges.

Les instituteurs sont gens d'espritet sans rancune, ile semourent discrè-tement cette petite revanche et nethommage involontaire. a Oui ! son-gent-ils, oui ! il y a une contre-éduca-tion, et sauvent plus forte que l'école.Nous le savions. L'école ne forme pastun monde à part. Elle est une portionde la :société; il ne suffit pas d'instruireet d'éduquer dos enfants. Il faudrait,pour que ruvre fût durable et com-plète, que notre besogne fût continuéepar la famille et la société. Elle se dé-teilla, nese oeuvre, si l'enfant, clageuefois qu'il sort de l'école, quitte un mi-Leu intelligent et juste pour tomberdans cm milieu de misère, de servitudeet de grossièreté.

Il faut donc que l'école étende sonInfluence au-delà de ses murs,; et que'instituteur s'efforce, pour que ses pei-nes ne soient pas perdues, de rendre lasociété meilleure, plus humaine et plus

Mais sitôt que nous essayons, quelscris, mes amis 1 Haro sur Le baudet,SUr l'Aliboron! Tout est perdul l'insti-tuteur va au peuple! Le maître qui ins-truit les enfants des travailleurs oses'Unir aux travailleurs! Affreux! il vaà la Bourse du travail! »

Pourtant que voulez-vous faire ?Vous n'écoutez pas l'instituteur quandil relate é ce que ses yeux ont vu ». di-rait Arthur Meyer ? Croyez-en donc M.l'inspecteur d'académie !

L'inspecteur d'académie a reçu lesconfidences d'une inspectrice d'écolematernelle, étourdie encore et comme

demi assommée d'un close imprévu.Elle voulmt habituer les bébés à diremerci à leur maman. Gomme elle avaitraison 1 Mais, essayant de les encas-rager, elle eut une inspiration malheu-reuse. Pour leur faire trouver le mot,le mot gentil qu'il faut dire ciao maman,elle eut ride de faire appel à leurs sou-venirs e Voyons, mes enfanté, le mot !le petit mot de cinq lettres 1 vous sone.bisa! le mot qu'on répète toujours au-tour de vous, que vous entendez à toutPropos, le mot gus dit votre papa, quedit votre maman t M,er.

Ah ! ce ne fut pas long 1 Père Libu,qUe n'étais-tu là 1 D'un seul cri, d'unseul coeur, la cle,se unanime le hurla,le mot ! mats ce ne fut pas celui quoi-tendait l'Inspectrice. En chaque bébédormait mi Cambronne qu'elle avaitSoudain éveillé.

Pauvre inspectrice ! Estomaquée, lavoix coupée, elle s'enfuit on déroute etcourut s épancher auprès de l'inspec-teur d'académie. Pauvre inspecteur !

godé les dramatiques aventures aux-quelles sont exposés les explorateurs.Monsieur l'inspecteur d'a.démie, jecroyais trouver des populations civili-Sées, et je suis tombée dans une tribude sauvages.

Pour moi, je vous félicite tous lesdeux, 'Monsieur et Madame. Je vous fi.'Lette non seulement pour l'élévationde vos sentiments, mais pour cette bon-ne fortune ,qui vient de vous arriver.Tenez ! je suie presque tenté de félici-ter aussi les bébés qui vous ont donnécette leçon.

Vans en avez profité, de cette leçon!reçue des bébés, et je vois que le mat,1,^ fameux mot, l'ignoble mot vous aouvert les yeux.

116 quoi, MonsieurHéq

uoi Modo-? fallu le met pour vous faireapercevoiriété

que si Pécole est admirable,la soc l' ssaueoup e Quesi l'école enseigne aux enfants la mu-rale, le devoir, lasobriété,a m

1 p lapolitesse, la société leur ensugdreurtouteontnaire ?

huiraiment vous 'êtes, alors qu'au dé-de v- nosdécouvertes de 1,0> étonne-aients et de Vtle oévoltes. Les institu-

seeeseteiseeeeeetesiese-leurs ont voyage dejs plus loin quovous, si loin qu'on leur a crié, commeje vous disais, d'arrêter ! Ils ont ex-ploré plus avant. Non contents de re-pérer toutes les traces des influencesnuisibles, des atmosphères malsaineset des miasmes infects, ils ont poussébravement jusqu'aux sources empoi-sonnées. ils savent d'où cela vient. Ilsconnaissent les origines et les causes.

Ces causes, Monsieur l'inspecteurd'académie, est-ce que vous ne les en-trevoyez pas ? Alors, regardez encore!regardez-y de près, monsieur 1 prenezvotre temps ! ne vous pressez pas, etregardez bien 1

Mais quand vous les aurez aperçues,aurez-vous le courage de les nommertout haut ? Oui, n'est-roc pas ? Autre-ment ce serait le mensonge par orne-o--si-on ; et à quoi bon, entre nous, s'inda-gner tant d'une grossièreté de langage,pour feindre ensuite l'ignorance en facede barbaries pires ? Out, vous oserez,comme un brave et honnête homme.

Seulement, ce jour-là, vous tiendrezle même langage que tant d'institu-teurs dont les ministres ont flétri lesparoles à la tribune de la Chambre.

Vous dites vrai ! il y a une contreséducation; et l'école, en effet, n'estqu'un flet dont les vitrages sont battuspar une mer désastreuse. A peineéchappé de récole où l'Instituteur luiparlait raison, lui apprenait des véri-tés, lui recommandait la justice, le res-pect des autres, reniant se trouve plon-gé dans la vie, et souvent c'est une viede misère et de grossièreté. Les parentsde cet enfant sont grossier., Monsieurl'inspecteur d'académie, savez-vouspourquoi ? C'est peut-être parce qu'ilssont esclaves. Vous étonnerez-vous enCe cas qu'ils aient des moeurs d'escla-wes ? Servitude engendre grossièreté t

les leçons de l'histoire vous l'ont en-seigne depuis longtemps. L'instituteuraussi l'a compris depuis longtemps.

Quand il a vu la pauvreté si grandeautour de lui, la misère si dure, l'op-pression si lourde, il s'est indigné, cethonnête homme, comme vous voue in-dignez quand Le bébé dit merde ! Saconscience intime a souffert et s'est ré-voltée. Il s'est écrié t Csmment peut-on, quand les peuples sont ai miséra-bles, gaspiller en oeuvres de guerre stde mort tant de milliards qui seraientindispensables à leur bien-être 1 »

A came de cela on l'a accusé d'êtreantipatriote, de ne pas aimer la France,et on Eu dénOncé comme un ennemipublie !

Il s'est écrié ntu Dans notre Républi-que subsistent des privilèges ; et lespauvres sont soumis à une exploitationqui ne finira guère que s'ils méritentleur délivrance et la conquièrent eux-mêmes en se groupant ! »

A cause de cela, on l'a appelé révo-lutionnaire, socialistlé, syndicaliste, etsu lui a commandé de ne plus penser,de ne plus parler, do fermer les yeux.

Pourtant Il se souvient que pour fon-der la République et convertir les pay-sans à la démocratie, on lui avait aucontraire demandé d'ouvrir les yeux, depenser., de parler Comme il a gardéintacte sa cervelle, elle continue defonctionner en loi, même malgré lui;et quand il pense, mes foi, cela se de-vine toujours !

Il continuera, en dépit des ministresqui passent et des députés qui trem-blent, il continuera à penser, à parler;et vous voyez bien, après tout, qu'il araison, puisque voici les inspecteursd'académie qui ee Metteriti à parlercomme lui.

Marcel SEMBAT,

C HOSCHANGEUR ET PAYSAN

On sait que jadis le pont au Change émit cou-vert de mations dam lesquelles logement deschangeurs de monnaies. Lin jeun un paysan quise promenait sur ce pont or qui no. voie. Poisode marchandises dans les boutiques, s'approched'un bureau de Mun1e et d'un air ailes niais t

MonsimM dit-il, qu'est-oz donc que vousvendeze d

Le change., croyant qu'il pouvait bafguer lelourdaud, répondit

Je vends des têtes d'âne.Ma foi, lui répliqua le paysan, scores

faites alors un grand débit, car il rien men plusqu'une dans votre boutique.

EH COIN DES RIEURSComment appelle-t-on /e cours de mise en

scène au ConservatoireL'écale des miros.A la faculté de Med.ecine, comment nomme-,

on k cours où il est traité des enalaides du nez ?L'école resale.A la tamaie., pour les distillateurs

L'école de rhum.Certaines conférences faites aux ingénieurs au

fond des mines ?

L'écale dans terre.Les travaux pratiques de chirurgie 2L'écale de section.Les élections législatives, ou encore Es tirages

dusbielles

des ensis.1,1Ecole normale de Sèvres 1

L'école des maîtresse«. (A vous, PierreConrard,

La pisciculture ?de poissons.

SOBRIETE ECOSSAISELes statistiques judiciaires nous en aPlimm...

de Mlles sur le compte des Rainais.Rien que pendant l'année i913, la petite ville

de Rlairgourie (cmuté de Perth), dent la Pors-larion comprentl 7.ore habitants, en a vu con-damner su pour ivresse pal.s,rz et mulot/este.

Cela fain un peu plus d'un poivrot pour dispersonnes, fernmta si min= Eitmariat .

Ccit gai

LENDMIWAILL DE MEURTHE

Deux Grandes Nations

face à lace au Mexique

UNE SITUATION GROSSE DE CONFLITSOn sonnait la situation équivoque qui existe

ou Mexique depuis La /in tragique en Présidésiaiment le général Huerta a Me praolsonèdu gouvernement, mais acre-contra sur sa routepl.ours conourrents qui contestent là ...nu-Lionel./ de son mandat; en ot Mt g.e ses ri-vaux pourraient m'erre que des agents de saln-talUtes américains désireux Se M.P..' des mi-nes de pétrole du Mexique.

Les revollês ont à .ur tete -le général Voila guimére dans le Nord. La, p/upart des gouverne-sients ont rem l'élection du général Metra,sauf les Etats-Unis; or, foras de cette attitudequi déguise à peine une o.PPr.bail... beclesont poussé av. énergie Hies aphzol0005zOc'est a. Etats_unts même qu'ils se enunissentd'armes; cependant l'opinion Pablitne P-ratt pas approuver le président Wilson gon Muncite, se refuse à reconnaître Huerta et, de l'au-tre, ne veut pas intervenir pour rétablir tordreau Mexique.

Mais vol. que les évbements viennent com-pliquer encore la situatim et mettre . quel-que .rte les Etats-Uno en demeure -de se pro-..., ...me nos dépêches IMnt rapporté, /egénéral Villa, sme ap,parenee de dron au dejugement réguler, a fait fusiller un strict an-guis, PL Donon; l'Anglelerre qui Ma pas Ibosbitude toe larmer molester ses nationaux den.,de ries expliestom et semble bon décidée h al-ler mettre Pondre elle-même miles StattsUns Criprétendent toujours en vertu de tà théorie deMonroe que l'Europe n'a ,pas S interveuor enAmérique, ne font pas me-aimes Pa police dansces régions livrées à l'anarchie.

On voit qu'il à- a la une situation brome dedifficultés et de mésintelligences. On s'émeut enAngleterre comme aux Etats-Unie et la lositionde à« Wil.n devient très difficile. as mffera-t-il cerna merta acte délicat puisqu'il l'a re-pousse jusqu'ici, ou bien se résoudra-Sil s in-tervenir f Nous le saurons bien.t; en atten-dant, les Etats-unis font snionector h. une en-quete sur les eireo.tances de da mort de Ber,ton que les révoltés s.usent d'avrte voul0 as-mssitor le général Meure

M. EAU-OH AURAIT BIEN ETC EXECUTELondres, 26 février.

On -Mande de Washington au o Dailyfriaa » que selon des nouvelles émanantd'officiers des forces américaines d'El Pa-so, les déclarations du général Villa, d'a-prés lesquelles l'Américain Bauch aurait étérelâché 11 y a quelqu. jours, sont inexa.tes.

En réalité, M. Bauelt aurait dit exécutévendredi dernier h duarez.

L'ASSASSINAT D'UN /TAN5A/8Paris, 26 février.

Les journaux français du Mexique ont si-gnalé qu'un de nos compatriotes, proprié-taire d'une ferme dans l'Etat d'Hidalgo, quiconnue au district fédéral de Mexico, auraitétê assassiné par les bandes de Zapâta, à lalin de janvier. à la suas de son refus depayer plusieum milliers de piastres, quevoulait lui extorquer Zapata.

Au ministère des affaires étrangères, onn'a reçu jusqu'à présent sucau avis de lalégation du Mexique, concernant me meur-tre. Plais on a lié avisé, de source privée,du merise d'un Français, annoncé par lesparents de la victime.

L'état sanitaire de l'Armée

et la Loi de Baux Ans

/L'émit° «une loti 11110e très comptoir,publiée par Le Matin » du D) février 1915,go u proportion des malades a se.dsle-ment augmenté, daim l'armée française, de-}mis ta, 90-0 es application de la lm d 1905,

Notre confrère .nclut do la que-la réduc-tion de Li damé du senvioe a été néitastepour la saute de rarmée.

Ce qui a été néfaste, Ornons omis, es lie«.la loi de deux ans, c'est riod

façonger.dont, silo a été appliquée.On croit tellement, en France, à la supé-

riorité du sctriad, de caserne sur le réser-viste qu'on préfère un solide de ci ng mois,n'ayant encore exeMuot0 ni tir ds gueutte, nimanteuvre de garnison, rill manoeuvre d'a,tortue, à cm réserviste qui a accompli de.atuése entières do seloome, puis une périoded instruction, ti l'époque des grandes manoeu-vres. On veut utiliser le jeune soldat le pie;tôI pessiblet A net effet, o.n .pouzse son ins-truction de Incll rrquiofit mobilisplileau Mois de mared on la pousse jusqu'au Sur-menage da.. la sais. la plus d/Mayor..de ruminée, et à un Mo qui exigerait lespoins grands rnértagunents.

Il est effrayant t penSar que, ci la guerree,elatait ad printemps prochain, nous em-mènerions, avec la prétention de les enga-ggr dans ,1es premieres batailles, ces enfantsde le Masse 1013 qui, avard d'avoir tiré urcoup de fouit, mourraient entreraientdans Les lot aux, plus encore qu'Us ne lefouit eue. en Meine paix; tandis qu'onlaisserait à la c..erne des réservistes devirigtg-six ans, qui ne paronaient que quinzejours .prée.

Votla cependant ridée directrice des parti_sare da la loi de trois am. Il faut préférer.M soldat de caserne au néservbffe; sinon, onest un mauvais Franç., I

Taot quis nos hommes 00 0.0 emmure.Mont pas q. Le soldat de cinq mois est uneurnbaltarn incomplet, ana po ta do vue del'endurance, comme ois point de vue du'l'instruction; tant qu'ils ne comprendrontpas que le réserviste, qui est un homme faitun homme sérieux, caner mal de ses devoirsenvers le pays, est supérieur à ce collégien//n'est le soldat de caserne; h condition, bienentendu, gut. entretienne tentratnemord

.réserviste et son instruction militaire, eaortranuand convenablement Péducation post-régimentaire; h condition, e.ore, qui on en/Tett/dm. son aptitude h reprendre Lu/média-tentent. sa pla.ce dans le rang, par an êystêtue de convocation bien co.mprts; tant q.uenos hormones d'ULM, enfin, croiront qu'a °ba-ttue libération de cd.me l'armée Mayre.une periode critique, dont i importe, h toutprs de dimmuer la durée; tant qu'ils n.0,15propo.ront, pour parer à ce prétendu dan-ger, des solutions teL1. qms la rallonge, tap-i/cl deux fors, ou toute autre memeo

uniquernent L'effectif de paix, je leur di-rai

Nous Ire rnyea pas ami réserviste. Veins« bien montré, dans votre toi du touait 1913, en appelant armée active la punte den Pasnée r, 51e préseute I n caserna,« pendant trois ans Et bien que vous ayez« constamm.mt sur Les lèvres reser.. mots« de nation armés, votre mendabté est colle« des ,Nart.o,aul cts à armés da métier. s

PEACIN,

AM/EOR 00115 cama

La Clans des Nobles

Menai en Russie Au-dessus des ForcesUNE CLASSE APPELEE A DISPARAITRE

Rouhanovitch, étudiant les causes de Lacrise ministérielle qui vient de surgir coRussie, y voit, en ligne .principate, l'actionde la neblesse russe désireuse de s'assurer,bar le pouvoir, le plus complet, les moyensee Sr barder en face des Muences écono-miques grandissant b ses antes ot prev0-gué. par le développement industriel. Lanoblesse perd ses riehossm et se voti me-nacée par la bourgeoisie «affaires t lobses tentatives réactionnaires, qui serontvaincs cependant contre l'évolution fatalequi ,tentraine.

Une st:insigne publiée il y a quinze jours,raconte Roubanovictch, la veille de la eri-se », par -le ministère al.e l'agriculture, aproduit une vioc sensation. Elle a montréavec da dernière évidence que la classe desnobles était en pleine deuomposition so-ciale et économique, que, noyés dans desdettes hypothécaires, elle perdrait bientettoutes ses propriêtés si EEtat, mette pro-vidence de La noblesse, n'intervenait pas pmdo nouvelles el. suprêmes faveurs.

En 5803, au leddemain de Eaffrancbisse-ment dus paysans, la noblesse possédaitdans 05 gouvernements de la Russie d'Eu-rope 87 millions d'hectares envie. fesse-

'lament 87.181.000 u, dessiatines). Or, en 1907,se ehiefre est tombé à 07 million «hecta-res, c'est-h-dire a diminué de moitié. Gequi, surtout, affole les seigneurs russes,c'est que leur appauvrissement suit unemarche -progressive et régulière.

5803-rff72 0.7 p, c. et pur an.1613155-O 1.2 --

8059 1892 LH.

'11103-1907 1.5Si cette progression contin.ue et en réa-

1110 elle s'accentue la classe des noblesdoit tomber socialement au nivento Muneq.ntitil négligeable, d'ici une trentained'années.

En effet, Les Dures, qui restent entre lesmaiuls des nebolbs, soni grevées de Met. hy-pothecairs. Ainsi, la Banque de la noblesseleur a avancé, jusqu'it janvier 1504. la som-me de un milliard trois cent millions denen., et les banques .pritées oz,ne somme

presque égale. Pl. de .quisse millionsd'hectares sont menacés cette armée d'unevente aux enchères.

Quand on pense au pouvoir politique quedétient cette classe dos nobles, qui a lamajorité dans la Douma et presque Punani-mité dans le Conseil d'empire, ei qui daesla persunne des gouverneurs règne dans les;provinces, oh 5,10 détient aussi l'énormemajorité dans les .mstvos, on eomprend dequelle contradiction profonde entre le pou-voir politiqu.e et les fore. économiques.nouvelles, est frappé le régime actuel.

LA POLITIQUE

Pour le Secret du iloteLES DISPOSITIONS QUI SERONTPRISES EN VUE DES ELEGEM/NB

GENERALES,' L'approche des élections générales engageLe.gouvernement b hâter «adoption de cer-tainse dispositimco de loi destinées à ussurerbu sincérité du vote.

Des renseignements que mus avoua re-cto/Pie, d résulte que la loi recette qui ainstitué l'isoloir et essaimes autres garan-ties pour l'électeur a déjà besoin d'être ais-Allés; Mie a été mise à l'épneuve h Po.a-sien d'une seule élection Législative, ceiled'Ivry, et tout de mite elle a montré sese6Lês faibles. C'est ainsi que la commissionde recensement, n'a pas en h statuer surmoins de 6000 enveloppes et bulletins contes-tés. La véroblcation a exigé pour cloaque lomde scrutin une demi-journée de sic.sien.Oses a conclu qu'en cas de renouveSamentgénéral, l'unique commission départemen-tale . tronmenait dam l'impossibilité maté-rielle d'examiner tous les dossiers en tempsvoulut Donc, l'augmentation du nornbw descomnissarres de rece.ement s'impose.

D'nutre part, P., conviendrait de rameneren nombre des êlecteurs inscrits 1:666.ai drseinctopps,z à envoyer aux maires, les di-vers sets.r.s auquel il a été procédé ayantMM/ ressortir que, pour 100 inscrits, il n'apas été utilisé en moyenose plus de 75 à Seenveloppes; cette réduction procurerait à(Etat une économie d'un tiers; cl faudraitencore exiger quo les enveloppes fussentfrappées d'un timbre h date au lieu d'unsimule e.het, toutes les enveloppes utili-sées au cours d'un même scrutin devantporter la marne date, sons peine de nlétrepas valables, et les enveloppes non Mi-Uséesdevant esse détruites.

Ce suit la des détails, en apparence. moisdes détails qui menacent de comp,iquer ter

nt-

ribleme le scrutin al'on y prendgarde.

Plusieurs entités avaient sone à attri-buer à l'État le soin de confectrenner les bui-fftins; d'autres réoltamaient, pour chaquecandidatn n représentant aa bure. électo-ral. Le ministre de /*Intérieur est opposéces deux mopositions; PI combattra égale-mont La responsabilité des nréfels cri matiè-re électorale et le droit pour tee candalaiLsde les citer en police correctionnelle.

Très probablement, par exemple, on ré-glernentma nafilIctiagge ; chaque candida/disposera crenipSucemenL« suédois., «unesurface égale, en deinsrs desquels aucune af-liche ne pourra elfe apposer. De plus, toutaffichage électoral sera interdit passé lejeudi qui précédera lo scruiiu.

Enflu, des diseositions seront prises rieurassurer équitablement h tous lea candidatsla dis.pecition de locaux coinmunaux essorde réunions publiques.

lite Erreur Jeditiairo en Allemagne

ELLE VA ETRE REPAREE ORAGE MU PARTISOCIALISE

Berlin, 26 février.La veuve Ramat qui avait Sa condainnée, il

e peine de quatorze ans de tra-Z1au'as';orfésg

boueavoir tué son mari, a eus mise

iret=n'u'"relui On va ouvrir une mistelle

La mise en liberté et la revision picota maCl,' provoquées par l'Intervention du Par/estentet surtout du Pesti socialiste, qui am. (0,;,_ment attaqué le jugematen démontrant que letémoin principal du pro«, le commissaire depotine von Troeshow, Sait un per.nnage indi-gne ele foi.

&111Z FAITESIÉRsr'ATIDI 1,OCIAL1STS

Liee DRAMES SOC11110

VENIMEDT 27

ÉDITIONS RÉGIONALES

sans, le66/60326,161716É,6É165-CaZIETVIALF-S,

12016,4,016/6tZE,C6,6,-,

n.s.mmodriortszonnish.,- missesesvutirése,

.0E6N,AUDE, Alill,a16,

MM, HAIT6E-066120212661,

TOULOUSE.

VIEI A.T..T

Un des drames les plus émouvants. est cents, ,naltriste que ses compagnon,s, 1-assuremmt celin que le grand littérateurno,rvégim Ellornstjerne Hjoruson, a mis.à la scène sous le titre « Auedes.sus desforons ho,msinss

Grâce à la lounbie, intelligente et cou-rageuse initiative de Lugne Poe, acteur de , ta:eut teint faiblesse, les patrons s'orgalltalent et impresario éclaire, cette pi&e sent pour ace bont,, les premiers etfut donnée au théâtre de l'OEuvre, en client la tactique, pour la lutte, les sema,1894, et en 1897. , cOnsallident leur résistanee. Et setrx

A Voeesteiett Go le Peesenec à Pari. .o pour aire mieux armés, et rester viodromnteeee 0011e toevre eePriee eu riens se syndiquent à leur toue, afin1991. Elle obtint chaque fois un succès résister ums 'rlolamalioni, limiter la promérité, car elle se distinguait par de 'sel- dsetten, et s'assurer les marchés.les qualités, one solide contexture et une Ils s'assemblent da. un sa/on, dise/originalité rare, tent, ot envisagent des solutions. Holge

An-dess's dry f''rer"' humen'er r /ni, ambitieux, intransigeantsorita-recomprend de. parties. La première ton- ,i,,orité de,

'je' 55 -us d'ux voudrait la conciliation. Il top ,,vc,expese urt divin ; la ummerne, et id.... Ideest un Marne en quatre actes eà Csit pré-ho ors mn reme-SOesente le problème social. Bjornsoncontente simplement de l'énon

'ncé du pro- ..2-',e 1"nt',.enre néant i,to'cly'e'r'ttil,',,eel'ae,

hdème, l'étudie, il l'étale, il le commente e'fête. La soirée commence. Mais 10 0,mais ne conclut pas. Sa solution semble teau est ea. domestique. Les servile,&ce dans le titre même la question etc ont tom déserté, le, pertes sont fe

omsir er't ''-der"'ur f'rees hwn''"-.sin- L'épouvante n'empare soudain de ces r

mois. Au fronton de atelier, semblentécrites en lettres noires, ces mots fatidi-ques do l'Enfer du Dante ; Laseiate agniopéran.a. Abandonne as seuiltoute es-perance. Car le seul espoir de eed escia-ors est de travailler comme des betes desomme, cons répit, sans repos, sana con-solation, sans retraite.

Le patron sévère et dur reste insensi-ble devant leurs souffrances, Sale«leurs plaintes, ondifferàt a leurs prières.Il lca exploite comme des machines, leurfait produire un maximum, ne consul-tant que 50,0 intérêt d'industriel. Et qumdem eines sans anéantis, vides, épuisOs.hors d usage, il les rejette, les réforme.les ehasse, s'en débarras,se comma d'uninstrument inutilisabl

Mais cette cruauté, engendre peu à peuIr mécontentement, fa hr-utalitio du maitreHolger, irrite personnel, sa dureté faitgermes la colère dans le coeur des hom-mes. La fatigue, la misère, le désespoir,la souffrance, font tut ou lard fleurir larévolte, et vient un moment ois la rageéclate chez les soumis dr la veille.

Un jelle. las d'être expOoités, malmenés,

les ,ouvriers &mussent, se syndiquent etrédigent leurs revendications qui seronttransmises à l'impérieux Holger 05h sesennfreres.

Pendant que les travailleurs discutent,une femme par esprit de sacrifice, «ab-négation héroique, mais d'un geste vain,se suicide. Elle entraîne dans la mort.ses deux enfants, eroyant attirer sur mea

grévistes, par sa détermination,Mon du maitre et sa pitié. e Quelqu'undoit mourir, dit-elle. oie-ou île ne pren-dront pas garde à nous,a

Hélas, la disparition de Marie, n'atteintquo sa famille, n'endeuille que ses pa-

SétrialleX RéSiinat3La Journée d'hier marque la plus sérieuse

eonquête que la corporation minière ait réa-liée depoute longtemps. Elio permet dasSi«espéras la p.oltaine rét.nerliation desdeux fractions du pral,etariat minier qui s'opposent aujourd'hui si Néplorabiement.

A nunguirnite absolue la Chambre a r.dudéfinitive la Loi qui revenait du .Sértat et quiaméliore dene des proportions très impor-tantes la retraite lire vieux ouvriers et, desvetwes d'ouvriers. Citais déplorons, D est vraique les ouvriers ardolsiers,naient éleimmédiatement compris da. Io bénefice dela lei. Mais nous avone ebtems du ministrel'a.urance fermer. qu'il allait saisir laChambre, très bref délai, do tout. Les dis-pis/Lions intére.ant les ardoisiers et qu'ellesseraient réglées selon I. sûmes principesqui s'appliqu.eat aus mineure.

Quant aux mineurs proprement dits, ilsvont toucher tout de suite, je veux dire. sixmois après la promulgation, de la hoi, despensions de retraite Hee majorées. Pour donner une idée de ce que sera le relèvement,

euldit de .citer un chiffre d'ensemble. Enmoment, le chiffre des retraite.s servies a.

ontriers minoenne s'élève environ à neuf mil-lions. Or, nue Domine n.ouvello de plus odeboit m,600050ns va âtre répartie chaque an-née entre les pensionnés et les veuves x et

o cette somme est fournie mur lez A...tierspaf/ais:Let les entelle-Me-

Holger sont insensibles à ce malheurItritaire, a cet acte de desespmr.

Le soir .inéme de L'enterrement, c'tfête au Chûteau. Les mis pleurent, I,autres se réjouis.. les ouvrières Con'

Le sujet est saisissant, torturant, i/poigne e, fi cnptive, é.,,,L Dans un site ,eilff12117-j_1°_u_,, _1.1e_u,1 i

ledéselé,au Pond d'un ravin sombre. enten- ere.târtus

rà d'une nature sévère, .s'élkvent a.es vt";',rnes ot sont occupés de nombreux au- ,,tet-JÉivic'si,"ard'tes,sejs=est I0POSO,O

osiers OePaY"ge méls'n"lig"i 'misé avec une livrée. Le château est ost attris"et impre"iorinna"qu". ahane Lte,e,tleittei donnera

le,ignettisé ce lieu sinistre l'Enfer. La des horri-

big,ent pedumd du ou,sui, e,el ejuhu.. ae.r deviaantune machination, abat Emes vivent courbés sous le joug, ils peu- Se.,.e:ettrent pour 51. salaires derisoire.s, ils su-

d'un coup de revolver. Une angotesedescriptible s'empans alors des eniais, ils pressentent In catasèropheminante, la terreur les envahit, l'spotvante les bouleverse. Un des hôtes deveneubite,ment fou, se jette par la CriliSun ileirSièMe vent le suivre dm, le itétui

Et ors maures intraitables et sesp.a«, ce, pnissonto cousus d'oc, adonnelient devant le cataclysme qu'ils pressetent fatal et ils prient po. être xxsés.

Mais tont saute dses lin fracas Infenul. C'est la fin, la justice immanente .choses sans doute.

Holger n'est -pas mort .pourtant, ed/Mignoté et re5te paralysé du côté def

Ainsi se déroute ce drame puissanthardi, qui torture et émotionne, avec tmisères sociales expose. l'orgueilla cruauté des riche-s sttsmatise,leur duret0 de cur qu'il étale. Les v.!mecs criminelles jies, Outisiiirs, leur rivolte, leur paroxysme, son: inadmiralement dépeintu en des scènes ép.tpos.

COMInte remède mliv souffres des rovrier«, à leur lei« tiezespoi

1.11..)ffrff«,tes auivnlcrn d 550fer Hutt Bjornson, pet:ci:mise le eetnur de I homve. Ils sont soutenus dans leur action par vers la nature, ct la Via ehompétre.le pasteur Brait qui les aide de sg.s con- ! in, entions scientifiques, le p»rfeelionitt..2.3 St uosmi de sen gegen Nat' étrè farts ment du machin isme allés] nerant

les fatigues eu seavnideur. A1,1 panle dramaturge norvi'.gient .

Et quand on connnit nne telle mea'mue fortes qualités littéraires et drame&ques, saine; robuste et morale, on re

. vivement qu'elle ne iremolaro pas dles tliéâtres les inepties qui :tiennent I,fiche opiniâtrement.

Ah I comme de pareilles .pièces nu Edo cinéma eugsérecnient an publicpensées notoire, des sentiments élevéeecntribueraie.nt à l'éducation du peuà sen exaltation-mer:tele, à son idéalelion

'José SA/NCAIZE.

Cm1séA1JD CONFIJT

Dans le Centre et le Midi, le chômage est corm etet la classe ouvriere montre la puissance

de son organisation. - Dans le Fiordle mouvement est stationnaire

Mais voici qui eut très impi.risel. Il è,impossible de d.re «mance,tude abso'oe, quel sua, a., a. loi 000004te cniiiiire de la retraite. On sait gu.s1

'n'ables/lentsupérieur au chiffre as

'as, comme os ao pas -

'nrd 'ent le nombre des veumeR dos ,11`9.nes ancionseansirrn non pensas/rés cgstloua des dvoits h faire valoir, osip

e'sr dès maintenant, et avant l'a..

I're'nde la loi, quelle sera la retraite,ceite incertitude qui a déterminés.

'emorogienminois.° l'étai de matoise

proaide pour une part le mowernent 4'et qui n aggravé 4mite la controverseniruntieie 52. Le ministre a voulu, rept>

, manifesta de la Chambre et h n

ii/0u

Va

.iunitat;:i:oi 1:17ie:thirr.rnd:ii.,i7::«:Sier:la 2Ct â

ers1hneintebeirrP'

permet nue la, sons nouveau, entour 555 rle solo définitif 0: peemolgotion dei*

sod. Ours inquietuds. Les ,,n'auront pas de déeeption. Si partraison des éléments encore mutchiffre de ln retraite s'éleignalt aeniadu chiffre de 130 Prases, le gon,uscra de l'asile,: de la loi ont 4alitd'aceroltre dam la loi out lui permet, d'

aux sissitironn sie 730 fri d, d', gId q

15219 cHtf e Pat zedettiweledBibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: Deux Grandes Nations les ramones Au-dessus des …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914... · les ramones illsocielditagullig La vie est une perpétuelle

enatéstettm0 grue go qu -00511 toIt lOiltrudée,mers 0010m des prtnaurx qUi 14e rad lObaIacm nualnlr000t ourses ot gurorulier oou.tre soute rooprino: eue i-c Chambra &e'h us-

par are approbation 10000mo à l'en..sgaeuer11 gurocaruuraeaatat. Et quant acre dé-lccaacleire et! 14 de sIro101aru que l'art rIe 11

ait ta «orme, 01 qui toux avaleur 010.eldais t le erombattor, lis 'bot d14orocrio a'ei-décorer le rhlftra oie rgrail e qui sera a'.60mO dram la ra 'se urlt*u0550 géant oruni,b:e-rani égal t relui quo Irs mia0mrs du Nordet dia I°as.'dr-Calogé peuvent espérer desCampcgrnir', t eeru Paella t toua, Cl toI '.oaraurt,, de rerlicipte irreniir, à uoiaerfalsiaa-bine eeeoacloua. G'e$ are tare nouvGle du

hIème,c'est nia acy001 tait nouveau ria

r (lit qui opposé les uns art aut000 le,ias nuloirru et qoi au plut de beur,

Le réarl tit de la joornodo rth;rr est dorv$autalam000 00000usi, pub quo les mmeuursmourant h (eh pou ha chaos prés la rerouta* genre (rOstr, pair leur 01 prainquo l'ooité

orale ,t 05éflIt0 de la earporatlea iloutbistrOt ré' rOue salsa. qu'eorrlee clou lotodu pro101uriai miorro puissa or plaIe-

OFao000 Olei cor. itrrin.SCIItI SAtIRES.

Dans le Midi- DaOoe001i,r, 20 lbu.ritt.

*o reereopoedulla partisaliarAse micas de 010 riPe ri cari Valatu500 le

r,liéerage rai. oscar md dr9earo mardi.

I' on. eutoutu net ialr'VrOaè natte Con Lei-

11 (eeot et Ir 000(114 du grène perla' *200000 '00,P t'etieu de lu mine,

e raoroaradea sertit chutais paroi les

e, nO0050atrOela et par totalement; aine cartedélivrée par 10 eoaaoté de grène

5e l050poe du avradirat.* heure de lapres-mldi en lIeu unetocs oh rot ('lé di'etgsrso 105 mIne cru qu'

Intro poelis de lu première équipe.

C, ti''ésurr, 26 (Ourler70e poliO Carre ,100r000t puriirutor o

tISE BELLE REi.lNlOSprésident encore la séance, dicos toc-

rite ri e dtpenlotu aorepérr dos drvenaes 0e-t.nisat'oOs, brOuet ri ace latlre 0000p0e 's

Couopag010 le é taIt;' 1913 paur uua de-

mie Gui eruiioO na pelure, ocre les heur-6m cOurbons, et In rlsenté des colorer.

La calma oct dm00060 à loure tee grcui -cirad'allrr la (vils ueatu't ratière

l)eeeade& 006 faite par e pedo:dctt ale

01001er un blâme relire Barlp. autocar do laaorsrra mrathra et. dr lu lo'eévoOC'iIeUe.Le' 0013 per-sOnars pr000atee col volé b lu-

'eondmité ce lclta,e t Btetr.0105e macinC rot aros0000'r p0000 0e mir ii

Coacoer (Avryrtni, té Ils 01er,

VI arr ereneepoalrnlela paraieellera I

LES SECOUES AUX ESPASSOLS

erre 001000l005em tes stops rert,'O'lulOtr,

morose aeeeea de la port de le ('.onnpagnio

Mienaor au rélevt010e inatalté dues la Mai-

sdiaeiohés et n'ayant Or par or tait, retIra

'lin. eefltbaeo ma rio anal nrtae s appre-

ocr les oema0000t taspugOO14. oourirttrlOrnt

tsr pos'( peur le hue poil' de cr110 00000i-

La Caurrt6 de proue. avaIt ommroeé à

sWprauisée pour 000. Cr00 aIl nombre

s salaire, a reçu Or, fIuoctiet0055 de

de Peuple.Cependant, il rbpre love sortaiol,epervta-qa pa ex r I é

? urh t t

bidet leur Ires dr réglemra4. floue eu-teebondé qtetr1nrs_urs de 500 ramsrsdoe ri,epsol d'après leurS oeatoa et leors paerirr.

ncas avons rou epo'it existait ra rus uset-eotatne agitation norreuse. 21005 avrrr taite porsibla pore 0,. rslmrrntmalqré fr111,ta riaienl Unanimes b 001m répéter lirais

tan de'rsedaieet gos te fruIt de Irlor tra_ail et qe'tla e'avoiecl milienorot betots'allee sh'ectrrr eiltrrtre do cruel 50 stur-

tr

Cula mendier, ai 0011011e vdulee tiraI, 01mie e'sdroaeeieol O l'rcliroil ri, ils uvrieste l'ergent gagné cl de 00 luil tour uppae-

Oflevari ras eranlireliofla, 0100 0000101es tlrlt_pés ie o arIa-r qu'ils, aPI plut qre ruiovoet tout lolo lui-00. Anis e qui de droIt,

Ciematu, 26 frivoles.BrouIra rerr',puuAest pbrticallsr ITuas lvsrn,ur, de Cermuuu udutis os

Joir taU bu soOvirat au ilritbrr do 3,200,aol driridu e i'i.,ianio,ité d entoile pour lx

rite 'lu trouai1 i tedre du Couecd sa-li al qui doit su ritflir himacrhr, t P1015.

Gaeuuaua, 26 11001Cc'.

'-I 1.5 aihuatita eus Mimes oie Car:uaua estut même quo colle des tours peréoiurr.te; sot-

rØle diaoll'iita. qili lait ta toeoa ouvrière etqua 'lOLO assure la ulottiel, cet arspeells

flusai loire 'par les 000gra que par 1m tau-

brut 50 matis ne sot p1400011 ni auxVoila et aua do Ira ehaatlooa du la Campa-«nie dus mines do Ois omaus.

raousalloue reoi0010 00 mour.omrotd'uns grive, pOOrip00O ur.itrr,,llrl'elislpot-tant d'ouvrrero fréta do aiuotiririlllrl que2e calme qui surie, CI 60 rIti noue 1er fi-leUses, ram cool pal' 1,1 001,00 ri-baril-

osluigara qui polIo

LES OOIOSEQUSI*CES DE LA GREVEt°ar suite do manqua de cira, aun, la "or'

terce Saiuia°Glolilrlr, Outr000rot dit la Ocr-soie 005anturor. s crut do proudro la déur_

sinode latreer vlriedra deux lama, uuudam_sent 51001 t nia shimeora fIord 000 000-

1 laine d'ocuo'rierr.ta'arrèt de l'rut-Ortso 51m mires dr (tac-

assona e pend lit égaleuleet vr ralolnhasso-l.trnt 0205 tes trarsports. Lest oisoi qut lu

*empopnos dc, rhrrrieu Or 1er du 31161 anatou dam rob1, relies de Ouppelluer piusisurotraies de mtrahsndieer 6111 dr,ureueient. àPi(fd000les usirrs, In charbon erseesaira tLeur Iabrirtt 50,

C'ont surtoot sors te Ces rois quo reliapéanrle se tIra soeur orr c'eut sers relIeannéeS qoa la suppression du ses deeretraIn' do 150001e u ru tien.

Goduno (Tore', 21 i-voler,55e saCre eerra,pcadeaal peeaaeelacr

ROuer, recale en snormblév cIntrais Isa3 600 0115101100 00e minrr d'Albi eerlsnsrrit

,05 oreOinorellors du le polos et allrtrdevt I-l0éc'1l0t0's dcl etrearul aratitsaai. - P,

'A ALlaISAmas, (e Ilve'er,

La cerne;0 r et telul000u oemurlol à loi I

Pet t Ouraé..Oaastts'-de-c'ts'galp'ua,x - ri 11016-

ale '115dm. 0es Pymiirern v5156 lx0r'éle lIeOnuroebo ois eonl'f l'atone' d00no o lr,snie houil-

le. 650 (lard.A «ESSEGES

Psasègoi, 20 tes re'r.La sia01bra rira grévIstes gr005il 011100e,

eus-rince de t,s'lo shloaeei au roclpie,.. oensepis atelier délestes. Mais re

ée'e. t. 3001 laplrquer rosI que, b ehaqurltnetst de soeur ailvs ionrigru arrisor,', uloec'doI, olCese rat rumplot ut l'o'Oro parleur,

A Sealil'oe..dnttuguirrro, le elopeaagt sou-lIta. boueurs I pas h lacieloulu a 1igeainr. A«esheasrerule le ,sembor do ranéerius or Ira-

'teeiad las, le, loues 04v la geuu'u et les ru,-st lIt roru(e, ense isolé 505es.

Dana I. Centr*A S2INT-tTlEmanE

Ca,nl-tit'irnr. 20 lare

trltlteltoe 0011105 na otto, Ise miuture net 60- atout laau021itillior élu oauouea nlraltlqussaaa012* la 200iiuuutiea do 15 grere no atiaudasul cal5000 do bila. 05(10 i'*seaoa lu Gllecihoa qu'ilo déoiotso du Cocos I ualinrui qui 'u omit, c'y o tic li-uI a,rul000l (reluis,

il h mInute proohele t Pasit L au' 'rublée POUR LE PEB805REL

t io°r dr .uoto

Boa iaiarrnettae du claopaa Bafeortepourqrao' - rroéirio mlii burin ets daipsitée et. 0.5 rituira 01000110e mente t I.e Ieitrlaa parier 511500e qui, pOurmoo tort elrtsc,ho Ou vriuun Oernanitor osa aieulorati'os, polir la pea000tel

de' miseoro il obi rata ntleçaesissr, c,,,rlre, cil k la 51 Iro Or rail,- loreoveolio , pliMais croslmrruo soIt (ne euuoaert,rs qu'. i-_ oit do, pilla prr.scseron, eeeourr, ai ameqmrra la

llisileoct do ronde li u' - d ie t o Chamuro eutieee u t couac rire pourleires. tulai,

a'lnr ,' le mussera 'drle errer, nul 51,111 o'auced aeal(

ex t à 0e P50 001er les i u rLusilatr, et la ,ruu-sereélairr 00101, doc-aol001alu de cr1,5 qu. par pneu-pro, runqur- oser aieo M. Caluleun, munisses d'a 0000051,raine de conduire r mous ri000l b us Oshur lot la peomin lIre 10g sereins nlsloaloire. 15e insOnore e la cerrère Ci ueetinsa es mayelle' atout la parano. - 5:10

Le rherlroe eouumrure b manquer duos les b budgrl uolurl. pins le rClCOru500l o ut rOliiCna osa de lu valisa du tirs 6001 dorlu eu- sala, éoraoeédlaaenlnaèal, de la prime OS danger, qui

reionl dli- larmoie art lori r do le, pt- 0(11,1 untrlrlieurut que de un coutuioa.suseel, ' (lou, ptallsseas diannida., O'uprns t Offillol.

A IIIIALONO-eUR.SAOI*E511010-

12111' r'-.urlpotur, nu Iis'eirr,1,1 gril e 0.1 soIn-i lote b Mvul 'rani-ton- LE COTON NItRE

21 mer 10h' nul calme, Demein auto lieu à la La Cbamher sore Ire Omiim;l005 lu 0,111, r AvOtai000 dia roupie, ItOn rouir r 'uaina arc rhapllra il. M. 10001.00 sItars la xuanuoe Ils001,50 da laquelle Ira 0:1 B

' setee dIa aelourd tui le redit 010aesaiee Polir

il q dépIl i 1a 0116or 0

tOI

- -. 000gp 50010e,

Chorobro mir In loI ,5Ous reirurir' M. a'euaieog, -_. .Ir rrgrriss que le 011001m do

-, A 500E-UC-GIER la msuse or sana pou ta IlS' u d,o1huit mas

è o p pt r q I n arr so p2 hILe rirdaoûge rot couipl-i t I urello, Garnit- ourlera uab,ellsa rite salles y j. 'demeada vro_

Crois tolseraae et Bisa-de-41mo, tisa 0' roraçe osn Cli 05(0.Le pute do dépit de priemuliem leI goedP loi''01(001. - .10 un pal s oncle répondre, ii ou

per doua surInés do, 90e réginsert d'trgeoteeie 11110 rollrger dl la r,aoias erre qrli est sa lei-

arriirga ro malle, li n'y t pus d'taoldea&s se.e de o foire,

uiraeler dans ta aIgre, la pape a 616 dites'mure rI maLlo 000000iC015510 fond Imites las

Cr:'rtpa(Oiru. 010 ra no r mplei règne dont lapopiulol 105.

SaA Litho

Loue, fi Ioi'r,rr,Le lras'ull rot cem,rrt dama 100 minor do

,flrueouol Lidoisn, Bdthumo, _\éetiiVleirr etL'Eauapelte, ii nianqua itO eolvs'rcrs cula mi-ole' do COt rri sec ri 750 mat mai10 do Pour,«nu.

Lest (6 (ria-1er,1,0 iras arl 051 rumiilet aux miuos do Coe-

0110, Furrap, Marie,, -tOtaux. Brouy at Lre, uà (latrie beL I'. lusoqun 130 luurleeo 1 ru reuiglsair aoaala i-ui'dent,

POUR LE GOSR2IL nAtIONALLOue, 30 Irroier,

-Le Imilspoel Recoud, sasrélaimr de la F1011-ratina du rorin-n,iI, ru 000 de la réussi-n diarrueeil asildail qui ce tmradro dirllon'ohr àParie, s'iurt d'edm*e.o' son memhr0o,dv 00e--cr50 O-aol, In dlperhr ouisurlo I o' 1,01 00-

'es volér, prrrre moulut -rod'mat ré-- 11001 denauohe,

ChambrtsLtE3wJ$ttdo 191f4

Lu CIOmbee seu100i piormuaul II dc eu-etOil 051 llnOpOO de 10h.

CI Cati'L 're'Oir, 0110 u 0100 dsllc 1000000.oh 0115 a umld pou niai d'all,else.

LE EIJSdET 10ES POSTES101es lu ,oaucr do rneue, 001.00e LOcal 000

mea la O'ofhdrsee do 55, flrbioi, la OPine 000 -'diarotd et oste le budget doc P. t. T.

race le PseseeoatLeaitoren .t,rbohst, eu nous dl peu, p- 0001e-

1151e, riemaodt ail notOire du ospoolir lui 1m0 -Ils anauiths, au ll,'u de oioq, en aottll, 'lovapoemosisasao poreansel de. P, T. T. o de arip-poimer, en unslqunaor. 'tourba Or tIti,

M. DsIIer;rr, ragptrlsur, lppa,5 relIa des,, idt laqurlbo le miulstre deanral ruila Saoteablo.ni 10 anietotet dol teaaees et- 1511 allOua nPlme-

Oeenn estu, 0e elba-On t'tiomae 010,00 tu

Le r0010ee fr101000. - nopuis qorlqLeu oral s,00 nelia 5511 eue prlesa l'admleiutraties si lesG'lrmuromne do alismioe ils 1er, h pi'uuuo dl 10ra1u'l0 des Ornas parle pmelauu; tr sOudenlu ao

u-lue ou oO colla oueet,oe ri qoel ale l'rOet lan-000e 0e 111001 du couaril 0001; i'ai euleaduponce uaro000n ailuul auu e,rlrr 105 tiompauolra

ce quoi u'auitul eaae',r,u'cl t tIlt-c 1100 s00-0011 a eupilulutira dos 0,011, b l'i'lsb sa mo-hum de gratuitd de Isaseprols lroataua t

0f. 500010. 01 as preeoutsr,i 11105,5 cil P50-lomeni un pmel dr r0000allna qtl esele005'e-rail pu ira doella ne o'eltriesia pas, 00 05 poiai,loabea 10e «01000es rtresaairrr,

an, Taarnade, - toi appnue tuer uaeprisr quele Cneipsgaia Trarsetaeriqes allait, eèeem.mesI, ailbeturaonala L'Ooipufeur Orid..0000tqnlr.

0,5 Perinnrct 0cc a pis 61, avisé.gus a'eal-ll paat00saotsnr I tLmri000en Seeaelé, ..-e7, Tlrleaadesoel,nn In

rollirilrr loi anplioao:osa , mou l'estima queesse su seutsareeleirr de le ocarina moerateilequ L 0511 ssdnmaar u te pille, nepeedaat, lut(oaiOlrert',a rapiliialioe u Cl-1 que dus eusa,

la oonniaoioa dec pelles, atu, nous aursstseen.-opon 0m catIn qurollool ai CI. .tilni cousutlIlaOrl qu'il a'r avait nos 00 atoatrle, rpi'eu-ou.., ,,,'lt,SoaIII,,l a uoehl Il' ie':sdrrilr duos le

ioe,r-'e orl,-'_durlI, 1,0110

cru 51100, qu'il r asu,u an eisa asia lion do per.

5. L005ae. - RI dacsiieaor corsos,Le OIle0re SeIsSel, - Le pouuelermesl au

£0; 1151101, prlisqils anas 511 011, qu'il s tait 00-aire de dioecaas in000eltdsu lion aseumaat 55

sOuu 010, rob qua 50115 dsvoesiulnepObleo,3f, peernada, - t'offres qu'il y' a eu iras

lice sou Seubroseoi 00 pr051euen maie a.osi eot qui sooureea la situas ai 'la trlqu0000 dtldopoelal os au-1' aasIS permIs quo np'.vllbOflde la FraIsa (eblorlia dignameol elas 10, oralsed.eeêeir,isOO u la nnas Ourla promu deiaaesue psq000els k dopenla frai-coi..

l,ifolnnu.00uc, 0,01-l'usO, ris 00 qui .1.0 III-orna do Ors .pmraaaaes. *1511(01 dnlqoril,'snoaa50 lu arroldO le subuolillue

t_a dii 105000 gOo,robe ,il rIes'', ('lii' ma cloe_pi Ions rslalls uaa srlltaeeela dIa Uveeo por-aoaartsuealeéarls (5 55 eoaedqliraes d, -le Ire-sonar raile plus boul .pir In 0115155m,

L rna'lcblu Ou -uiapliro est ude1noe. aInsi qu'oaamollis di 00. SIorrIO'uel ,ppt'eablou do loeliclo02 00 lv o do 1010.LA POLITIQUE FIRAREIERR

OR GStIVEI*NEMENT

t.'' tu-r, ,llii 100 50 ll,l'OO tuI,oieauuo up0 uliqils OOan'lèer 011 aorur Or irereot mol, 1 Isdm5005 da 01, Caii.IluS, 000e h 10 ulule Os mlivOs '05 Oublis,

do 0111110e .100010. -.- 1001500m siuo icrcrpob'lalila us peut il'O I.1111t0 rI 11100 00 lias ma.noa,,iuco le C55v'Or.irla.OluolOilurl amas lolo la

010mo iibut, lr0m'0,l a 101,01 merlulilu 0110e m' denra I'aaocesaeo que lu sIs,bure oh Salle Os 05. DOts1, s ner.o pas eooeoo_roc Casa pro 15 Pill''00te00005 la puoaIe.

I_u 51111cc 55*1," k midi lu.

LU BUDGET 11GO FOUfOUSllauusssaéa000 Or I upeOl-iO u, huIs a

O t 1,1 sons la prsxu 00m r, .15. 110sauanel, 10C,hn'sUr'e amI ormupii do àittgnl 000 P00000,.

Le OiasunslsO glcloaiO lai mm,rtia,01, taamébcuauliala qua 1cr 0 10(011 daee dl.

rIes Isla de 35 Ire de 1013 1m glands, Ors alu'do 'en, dos 5500i0 nlm01s,

Ap005 le ruer qui s'est 101iu'OO I la CraiebroouI las 11000555. 0e tels (alu polo O.'irs 5e 000

0mo Pi u000aire or, a0000atitoohmee seausen eurnuu presto 10 pa0000'Ioinsut -

Le tropes pOtin 0000010. - L'auooplou Os lx

50, .-'. Or, Illa da mesoa-peudrspenvessianit dsla peudmaria duelunolrrss 011, 5te SL.ie u ,00uuaO,00a. il p Luai', aL m_a bouc-00

M. Peielrué. -- Or 000.00e qu'oC OluSsroe bebapir'o loulou n' qur 0f, Macla 5011 prlarnt lir'l dél.i'oehls ours dia-01110 baie ou aala palpu faiso de rspéu'mrnses qai .peavrsl ales t,iteaen -ta me:,. -L I II loIr pie udishalirlo que maqun,tloa doms an' caca eeqnau ITrOs bien I 55i0blou li

O

LsÇ.uo.enbre 0o1.srts'o col arIlle 5 colo loue

La BUDGET Os L'ONOTRVCTION PUBLIQUELa Gvaoboe, eu ult'odasl le couvI', l'a-. hein

51 dv 0005es don geudrre, abrrdr lv bodgea del'te,lrur'lua publ.qII',

oIt aristO tt. Mii'louoyo qIol faim de neseidteu.luIra gl'n(talea cor li-ter' semnal On la hbsIl00e leéeee; 95, LOtos ou damelode l'amélieea.lIe flOu 0015 du pOslusael subalterne ds sma uni'I

I.jarsalog parente des ebasrs-aticns cr10 SaqII.sdé9 de ennlaseenreat ra FoiSonne quoI a'aitrieS pI. III 1111m le p001tnr,'l dma Omnlen eunlals,les, la ibot.00ierree'pureaieos ri les oommis d'ias.l000tuo.

01, Vnvlaai repoed u pi, aaauoilru qae la queu-tes de rlele000mtna a ertu bru 000nirs00000lde 5010010e, 10 L5 qui tour 5o loI Irapreirurs promaires l'admlsbnbratian 051 0050a ambarelasir,mole l'aloiolo 'ra mie la lui ds graerea sise Irapeolso'aerles drieulen 500liIO'rn ea n000dl, au-ressuera', ru 0e pli 0,00011e lOs remous daeadé.0110, 110 uluri005l le lorI don l5'lituit,iro,

M, 'rIs, oeioarhsigrnale l'ln'slftaanee dia meodilaffrein' eus fmrtieeaeims 05 tuosorgeemeal Vol.ceeiro,vnst ptso de Smlsaelaess,

LO n(uI,tre Os l'lnsbrieOleu pubblquin 050mO410015e SImple de I'nboeevltlon do M. ROi-

aamh. 100 oS pi1 000000ao les tre,SomeaLs doPoenoenec de l'oslogeioleiil cesndeairr, il cep,poile quo l'ea Oerlrlae os .peneoaurelusleol.u'hOO'uilnaugmestllion de 1,500000 sr000,e. 05, 'li-silo, soueslrlo d'aillnuirs l'ébuds d',rtnr roi is,aagéaaeaia 000 iradmneeia de suaI le peosoluarl no-ao,oa.00 '.tpplaad s'rneelel,

1,0 0000esiou généraIs net InitIe ri lanriuir dlieslreeeo 0e l'luoououel pl01ilqln sella-ko b

LA QUESTION DES POUDRESLe Gilarub000eml.i'Ia la diteuvoita du bodgel

boa psudons,.hprl, use di,nuosl,ia sur rn eoprri'ame bI'

iioriquesao lu euudro b la aitessitnlrlee. di,.uui'aionaobe, 0f, Painecl e iii 5,10010, la cuan,.CII 'usa io rlla'pitoo 0.

aou odheed III 151100 e lu. ut,

Séi'iat -

Lu clin cm l-si 'Oui'emio à O h, '30, nOus lapreu'deuuo do il, Dohosi, 1f. Cailloux let

III 01m busc iii trouca.i-ocoi iolli,lic pi utet do 000zièaro p000isoirr adopté

p10 u Chomblo, 051 snhé sans dt'sru_soiero,

pt ° 1 cvaui1.ulal-Iirie' e luI pouo slr''oiur 1110

111100 dlb pnsim't diiopti euC o.'ccunliu taatr

A partie de lrr ,ianuior 1113, t se eeruV olrnotoegeub. lIce déporte

'elahi-sererut ole Ipropoiélls 0es bbties, qui ce000ma d'lbrr00 lm(ldI d' rép:rrtltice,

Cd. Marilomi dom0000 rommest roi pou'sore dli aonbéesr d' la eépartition à orIellita la qcbtilf-, Il signale rommu lu irloto-01010cc, que l'aolbriu prrmirr cbuedoouno ixdO'lrrmineliee dm l'ionpul ous 'osto spoolIdu lier. Ossus quo, ju01i1'i po'ésrel, lIe me'porroutnrts dec ru010i000bbes, Ils oeseo._dOms Cleol vea des dép,srlrriesis 00 dos or-005dtmaements lo5erornaisn I Oeil0 la Oaa-bios leI 000b,atiole, tlalgol cr0 oba000uc-tirse, l'aotirlr pra100em rat adnpié.

draeliabo t panse Irua la rI-000iblnlilr toc-obère dm0 poopniéllo n001'hdtioe Sore repilorO raison al U rrcn.rma do ors peopriétes. i-1qu'os réerIlo oies ranI, O'Iablis on rsêo'usioste Is lai lu 31 d4ormhrm 067 eS do lies-Iell,'lieS oninirtOriolle dli 31 déornsbrr 1000,la' dit reveoli ulrl 0111 0100 dimirol d'us rio-qIliècel' prlrsr te rrtrl'l dos r5lleslln,ie,

te ditegur li'logogo estro M. ilfemtésrl.111i00010110 te s'alocsr dos ilvelnialions lai-tes pas radmlstial'leuien 50 30. Csilbaue, plila jastldo, 96, Tucires f101 ebsmruem plie lefmrbi'irr lIon-hIt b d,lil 0100 mrndolé arum la0000ier bi-i, te, seiui.oi 0t1 lacé aur la su-cor lorative,

tI, Toraros rmenell,, ce sIllon, r'ornioi-,iromorpIOn des bois et 55161- dam 1m pendu. Etil drieusadr qu'en mal 5mo de pl'sprin'eé 1m-eeoltèee, no s itlpnne pou cri 0011015m lier-hillle tOlaOlé do 000demont de 0040e pu'ope.éSi

1h OoI ali'einlccr d'ser,uler le dlbo;oeelrOidopas'u. 'Ili'hirilh(

Il, Touron ddpmn ou tieondeuioot 5e 00n

tl.'Culillauo la u'un65aI, mIr il étstdleait, dltle iiiilbbelor, Ou o,lgielr oeu,Idaimeo poer 100

05. Aiucoed, r.11lpuefr,10 ercibul h son 1000I sotnaitruieiil, qui n'eut pav pris on coraidé-

56150e d'un nuus u sm0000-moiti, lala eburmser qu'ors nI peuh 1,1000 1'poepriitlira de (boIt.- dclx eatma Ieiuo quosalai qui 000110 (anale" ara OeIl 010000 I 01',at toi amauodte Sasse oldoOliIn rIirroli III-lad à rireagrét de non soIent.

SI. tatoua romllat I asuesdenieal, qui cecIau u le oneonsWralios.L aerbale 2 051 aliepti. Les apItoIe' 3. 4 rI

bi brIe des 'bàtimaallb - 'tut olserdéi, L ar-t mir e o't adapté.

Ii-110 de la eoeiribuliio sur I'ael'e,r 7, ré,5'iOi1ll don alvaluotora, rren:l'r.'dOoeircl n'avl pu' sdoyb( L'aolueie I 5.1

do erèir di000lliOu 111 OeilliOS b

1.0 1r(11r11vr OnlIre ilI t' 'e OrmuinEnpei:u'irslurnin. La séeore rot lolos ue li. cm,

Pris tr b ato u i01'pIGIEiiF - 0X5 AIIE'I'T ulules

r é. marr000i I 10101

tuaoo sel"mabords d'uao maimccello I di ales au quarlaode Clas011'bIaaealIl, apparrdaauo à M, brIsure,il I assis reçu II OIolls'it oodaelroa uoellrP,Clmuer

Vri', 10 heueea III loir, la polIos Ilaul a 100laatr, vil arnicor iloriu ludioldue, L'ilO f1 10001, i'eutrr pn'rrlio O'uueoe, l'unr 00000110 rId'uor plIlOO, 1500110 Oreoie d'oOfIOeaO laUOsla nI'O101're

A 00 ,Iomorl, 150000 PI clip I eedil sur Il mob,foirr mm, 5,OsIa sa 000010m' luit pria s0000ul riorIo0 do carI 500 elle 10 cr0,0, l'os I' rIo

0,100 I, I'011uiLr 1 10 CambriOleur. qui luip1010 us 000010mo mur Or ba0001ta.

Arauflé pur le arg 11111 rouilla da ses bbr,,ri_ria, moue ml,cleoao lprae'O mmc Ovo croIt.sono. iurmol l'tahilocl mIl k crier: e.0 mol, iln 'u 0,10110 I

L0000iuivaailunloOxagmnia. qui OlIleat en-0010 1 quoi-0es melre0501leo-nt, t. nolrIplOO.i'armtleuo larme au la Oi'oOul, qui fut Consoné et51011. molmurlls lueur 11110e' moi' iree 110e lé.Sua eoCe. 0100051 dl ioqulile oommlssamnaalagoola 000001 qeoiqor peu ualmeoéé,

Feulait 000 51110, le 0000,umr booms avaIt ra.pidsieoei 0-.p000,

Conduit ou uiumioearlaL le sIeur .11 011e-0,0 110Ce,ml,el, 00(0 00000005 ollr'iroru Cola, s dOolacOsire luO lu 00 vu, cO n G '011100, rI 11011mO le

la Mn011000,11f, plielipaerr'e es-soc do 15f. bauger (tire-

000000. 0110 uOuholle, M, ulo, mai00. or, on vi,e'rul l'Indu O00ilO 0e 10 00000e 000 0110551i005rotuea paa logo do po'ior ut le foileti peur

Dans l9ArrnéeP01111 LE RJaJPUNI1LI1IIIIENT SES CAIIUES

l'oie, in ldurIrr,Or «(00mai Jo 11e. 00101 d'Olet-mojor p4014-

0e,, &'asnerd arOO le oeanel1 toperirou' do' lu«11510. u pré-rugI au mivialom oie la 111001eirIs j100100 0110 le ralrr 1 :r'omcoi doc cadrasdller000, Gu prnhrl pOluOlve'a' 115511es d 1gomhoo'ontno 1 ellpiloim. ut edo au ioou do Cli 1

rhrt de butel'loo nu d-eoreéeoo- 21 ou LuI. lIelii 1,St.teullld.ol' 1,11," 7,0 dl 1101m dr 00 u

mebeuri lié 01 lino de 00 I g(r,raoi ds looigads611 au lieu de 60,

(ta sait quo 10101 dol 21 (cil-tel 1110 cc P5'004.1 donc I armée de p1om haut ponde quo or.lui do glu000si de diolsise. L'd.tsl.malOr p-aIraI prnplmm néanmOins 000e coca polqmt siloIn rajnL'oi0se1ueet des raotroe de I comme Aiasse pouo la limite dOgs tee g6000ueun 00 di.coi-1mo rvmnoodstui 110 000lnO d'ss'mar 00 piIted'OO uds p0111'0 10' gauaraualle 011510100 maul-lies du u'lner,t. euplriea'r dole «none.

Ainni. pilon roo ilou'Oies'o, au gnoideol do di.011,0e O15C ,1 per l-110011e d'Oige lOb lSrl roiiorv',em. r,rlmi,rlaerait h reros'#o cm' nommas-'dr'eunet ,mu"etrs'rou' SI d(oeadoro de la 552cm lo-

Los morirliromairos de l'eomde, oos000lrorrs,iml'o'Oae'on'."dooius mitttuirle, elliei000 115,1niniobrllior, ron'nroeruisei, leu 000mo, 1m',tro 010go. Pour ei'mlvor tue hnsdeo viSuel 001Or '(005040 1110 rylieioo douar Otro rhr( 'debalaillru t It trI, ,lieccl0000t.rslr-nel b 10 sesrobuerl h Il emo' ci°o°ee t do beigndn h '13 onen;g0000el do dis'iciooh 30 aos. L-On g000100u teboi3e,te. d'.ipoOe 10 prrimt. prurrort (Ire rom-oio.od.ul(mosvii005 après drue 005 do grsdr,u

.p;tCi-orpiuiiO glndral oclimo qo'al srelfiroitor quoi re eesso'ou polir merl r. éntoigtsdnoennlb l'ouvre cul poadrr. Las dilp000no oneseotie'qui lie oé°ultlreiont ront 000101150 b 000iers10 ueibhiens,

Dtn les P, T. T.100E #ISIIIFCSP,ttI011 AU CEO1T0AL

TELLSdAPOETee o.o7ipi-, d'a P T. T, 001 10i1 saillir.

d'bai ; à rooutsmvrlv un Clou, c,tcltlbi àpoCeos du rrllonlmr"t no noir L'oi,lrlOent,

La sf101, 0_0m de, lit.', Irs Chambresas-51001 suld use euguror'..'i ior O,' toaite,0000de unS (maure pot 5,0110 labour 101.100901 despouls IL de 200 500cr, en' 10000m IlIon 0005-e0r'uLu. Cmltia uuog000'abnpli dosait 00mo 0e.qll mol 05010501 a000itéO, 'Lai prrolmrro meomode lUS Il', lut dloleihoi'n aux 150110, 011 010,55e teallve 0e Ire OmOm-apOirlu roreo'ainas, 40105000, 0115 0010001 de l'euè'sruatohr.0 dIe cul.des des i'fliu'i,ns' 01 doo ti'a;trnelnt dru idoir-11111100. lu mreooe000i 0155 liOlteO deouaasbr

que le uluppl'Irnsot do rItal nrueaui qu'il loti'

Il OInt etallailor sien Im sieo(il001eiiouid'aru1'éuu'rd'hUl prodolieu une effet et qua les.0,1', du' P. T. T. mmi trissa birotihi lu eu'

La Grève ds Offl&ersd Port de arseilIe

LOIS OF(ICIEhS Ail 5613011205Elolo,, 26 loi icI',

1,0 déi060lierl rlv,.r'i'e il l°lOio F00 .101 01-0101010 méeaolçirrv h.' o Crntpegnio des 2SoarOçenlos maeulIIoe's, il cirque e. hable puril' ,ouio-ori'rollIra dliii hlomaeloe m0050ou,de, Rho a outillé Otlue,o.Pmrslt au nasinlor'o aenleioue priro pur Or-violaI dol olusr,-b'cI'iOlii"OlO p0001000 poile corn1,agauO, PI tuanirmonloloueueiu,i'ol I arbilrag ', oral, di-00l0lCa, 110001i 11014 prrvl,eot quc leu .il'biIrre, enmnio il roI d 'l'ope. rlimosho000', b liablir une colo usai 1020,5, Ci', pnam la loibbrouismr qu il leum 010tmroitàebluuir. lol,r 00.s rai0000iooi. direntitu. malr,siuorait tuleir-mrct un- Ilsipraso dO 120.000 0e, 11 CII iclalil,'--o,e sua'. 10,0 toriusu do I'nrdro dia jour vIII

b Muesoé-Ile par 15e grris-ialse ode prelomaçocus état d'agio'ahiolO qlil p.e0000it eat051000 desmarrera pi èlljditiahIuu au punI ds .MOOo011bOet ou ruesnirocn ra gloéral,

Le ,ou,-ouoréluirr d'lllal sort hoccO tO

p000000 acta dus. dint0002ioaa duo' oflloiees_méeauiolrsoo, OUI pamaieeen'I euolout eeurinu's0m 00 p55 resirr daeo une ottlretisa mnnaleielirlrllre h aXe lIre nairen oIllriO.'e, mOdo,Liii', rilmmiumlorl, nI 00 souheni admetlreu1aos sapêniaribo o mollo do ooioneuduet

L'ATTITUDE DES INSCRITS'paris, 2g lévrier.

Lo 0oua.rourlliior d Liait h :o manac Iran.riloner r IuuI, o.soedrr ho -rei'Otso'e géseér'eldo ho Fid100' .url deo ifl°ri In unom.l lions l'enlei Cairn liant 010 000 101051 ion do flirtIOl dosmé000boirse Or OCtal h bu diqsosliioo ale lesnmpeosio sfie de na pas prolonger lOi' 01.trutinte 00011cc bu-01 b' eOilt rus.lulor,lo' 0mo,tieeeeu ii Lied, t r0500llme 0110Fr 50mo t oIttu-de Ors iOsorits on Oimennstene,.

Le citerne RivoilI, au msmroi dli il so'raedad au soaaeieroeétariat do la m'orinr, mueebasda, u ddsiaas*- J'ai La slot&0 (000101 de ddul,000, clinom 4e. upadimetu do mseai,ii,r, q-o je sue u,do eeasaaltol' par téllphuee, que 10.5 io'nru'l'e001I, tout pedru tesohe 0liIl'r 01,0 00' 1maI 110ravIlIe eus eiêelair.rno do 1 blusI, Go 010''nos par 00001015 COOtOn l'ollilsode quo lIn

,bmi'oiore mv- or.'e'r. 0mb 000 doao 'on pro-I Ils cee'seno'e pn.loiilumnorot 004es lalrrilsri Ire 000il-ur" r' que eu Olorlou ai t 9110

net-b dOn'' '. . '' llnlp:rmilmot parce qo'tlofroul loue 0 " ' - .100 0 ldolit qai s'oei soi.gegCrlllhi' vil'1 lin deluei'u P100,

U otagne qi ffodrLe' e, 10 Osvr'o,

la 011110 dc ploies '1000uaoolea, ose moita-l.'e duo Le rOlm000, prIe

do poil, osaeololp'ulonIens 05510110 lu eounldr,

Drus 511001100, aoei b0005n 01 elrmnna 00esl5

p000 o élu umaSI. dIse (soma ragIleOis I leml envol eus une lerdrleie 2e lad cr0-

Irma La nes'e 00 00105 Oa 0e r,cdsm qui e mhiesd100iren SOI onlarns 11e luos, 000 osa de arec

al n-e da sIsaL

Les EiIms dus 11Ariiie

r ada , $0 III'in-1er,F-a Glu 1 us' r 'I. 1 110 m,'.'oslc ipO000I'se ,1n' l0l5evuil rimc

01000 PiOlaltIciO'lOo. ' ' ,0155, Ot''mo 'I 'l''1l O, imnoi,il-lra PI'al I'

'III Iror ,l'aoel,0(0 ovoepn, .01, 00 Orreme, I1rymlu . vide 'ut'

1151,00,,' LII tr..nml000, l000eul.0500 C-u'.n, Vile, S f0001 (lie Ofuni, O_000'

C100. .15105 aoL, Oroino . Pluiher, (tala, Il ('lIer, e'-

1100 000rge I005f .001 «u, 111100 ce, P10110, 1)110011, Osa-le ou

i000,ieauu, 000.0,100, MoulpulluOm

011('illll_osiag, Cismiimut, LaOlilIlO ILimOgol.

OlCtI1eeqiO.Oie. Luelol, 10 000peu Orlay11.005. iSls0011lle,,

05. ecehlaroul, 000di, ucto 11 00, AmOrti Lecap OrtIe-ui,. O'ouey, G'ioluu, li-mollI,

I'lu',C 5011 .sroolmo,vpOr 0010e roeoaroosudeal srcOilroiler s

010soeacatr, eu 0000155,00e ron,'igo'e,eors 000.10 bu au 1000es

mermritssm 4.50mn00 qem l'ina', Oeru. aiesl q05iluOpOsI ellileims e000nsOoS de .e,oiades Sous pI's_

-oit 011 0411e 00 011 lis Oespoms.lira plorieura yen dolam OyphOidr elda

auo,500ua, nia do grOgs, dcci q11e de ruraomlo.CrIe ou niee do ,.00prul,001, Xi,u,5 110000 dol-upanel de l'rainuiV dru 150100 qui lnig,.er la11.101,0. il 110110 00010 19001eS de le abolIes 00111i-o orollIes 10111 ballets, i_os Joues delaiera', SOlOSulula au '001 P aboltet dfluai,asn 4' osaIrl Intel qui0e f000leioaa do 00105 uuu ohligla do (aire leplOSiU5 don ohévarla ,r Ler,se su On porulle.Oaa000a m011o afOessé quie la oupubolue V., Oule osea0050uualO (ami pisser uns ornua osesliuoinies sp005 O li, dit edo, apeta I houe 0001e.meololOn,

1.5 000e enlge que ans 500010cc Tim110snt aupaanSoo Ou beau dr ehenier, iI 10111 1111 010e 0ebouogerns 00 duboiao, cIa oempoond Saouiamootla, o01l05. Les bled isa laihlilut, a la ImuOplil.soir, rtguueOuoe 00es 0101 osons Jeai on biserlomhoat nulbadra cl a 001 pcuurlplll tomuecocus15 dlaaas elle 111110, il r o rmrolmbrsmoal la i'tO-putel 000e puer la pina Oesnds gIsIro de 110000et de la -plano,

Au tIsIl de u' nvolmer do toto p0000110 ta-mur les olsets .- pus teea hrmtor,aesi001 - ne00000rosd d'aIr ourrIr qui cal lmueu000,ie,

Quui dclv rn'lurmsea l'oopril qui 01051 dans5100110 ra uari010 dano I. e110berletCollo anal00011001 dru cIsela qrli ana 1150, ,ilsstahllO OonbopaOOIOauikeO,

Il y. qusiqua Ormps. 5m pu10es oeelenaler fatobIlgI do sa 100600 dosa ,u 1,1110 du quarts!'al. de (01m dsa0000ios utobhiquin.e h Ira 0m,nisr. tOrIls na005e pt pa'bor de 00e tari drsl oumonirnl ou o l'eao p000naIt aan nuls

reoelaom,ua e'dOeil ne .alioee effl-ier quivouirail fors r000l000 aIl 'poste de pIro 0010,'vils qui pel ollolositO 50111mO 000015e Plut 15relevrice ru 1001100 duo nclopo de Saut-011equ'il (bain sa Orstu iI'aOOrolsaOue. halls Is o-i do

floua an Sismfllea pash S000mno(.a000ea sonle-uloev' 011 iOulai t 'Il lia0000la.tlameo,

Pur toIle os u (lise. Or .Pill .irifel'', Iaoo,Oa ratOneprepase de no cou 0110 d&r,000allqoe deet sUaauraIs pnuosanl si greed beosie,

Oleiu au 500tO. ohms ubliflnh000s0000L-e qos'hSOIS dr Ou renpmriuoenllut do roovunime millIon, Ot'a ocre urr',rr PI,,, gI'asdv Or l'alIrninisleotoie

L'ecu osn5010.nlée '550 usa soldaIn n est P55 d'Il.e. umpobilé absolus 011 'mnoaoeol eu lae,uooru colie,uldlé 000100e pol000urissseb. roue u us aupoellaosater 50 qui leul,ov 'pus Ire 101os 5055011.Er0000 00 qu'il y'uda ao, (III Iomole do la plotus la menloupailOt qlu na Sala cIls polo mrllddlset oc, frit, 00 riinsea 10051 'lomsatebla, GO, un chia'0100100 1maI nuu Clore espIon u 515m Il'.

°Ce quI 010e aIllOns h dolas mml 000clalstlosguise'. Sons les ;.l.slnoe lie tu lOi 01 boLseus, de m,alnbiss de la O-Issue 01 ar 010 mOi sali,

allOi0500emos dli roonnil mOlOiu-.pd, '1uii subIpu mi poons aeupneolbles da us qui us pleur. Ilfoui duos que rh050so la 005550 pour asa gsude.

'105140,. 06 (000mo,L'n eu0000au ddoée 0501 prodliit Ii,or Ii 1016.

pilaI aubuoabrs1oella dis eonmé OmddO.r 50-eulLa. Ipe 0e 05 dro. arlginslen d'.tnrmu 15050es-Pri-'sém', 010,111 aie l'os st'intsebexe, ilill 0 SlIOosom'iihsi b uno beoerl,lu'pnromeioiie,

aluabalbaa, dl (écolo'.',Deiutsneueuosx dIsse o'besoiont de u'' prurluire0001 loI 001111110m pu tmaite,o'O,i à I'lmoo9Iol.

5mo urilOon da 15 rollaeole ni d'uao goilopa nom'jiqute do brenrhl.gnumooIr,

050geS.Or. 00 OIseler,L'lpidlmir 510 l.uqueibo dalO ,lviona dearlé, Il

I' u 1111-MIna 11005, 1010 000e optinll5Se, vlan', utaira oeo nOOuoIle SIeSirno, La truie neldal .001511ood0iriee, do C.00pumoel, na 1000000 da.,o lulmisioe'e de 5500000G'i,

petS L'IRU3PtNDI1NIU

L étce eLA P11E1°AlI.dtOIOR OU MOIIVEIIEEIOT

O_120000e, la 0toipr-Ou moudr do Glumooru 001001 Us la pri-

rloeiolion eumos colle or In do l'aoli,semiede o Lpun, la dluboao,nm rira uulaoulda g,'e'.qaoe lut olItolulIrmellI p0001uioeo an palaiedu «01.0 crul'sCnl.

'Le guila000emOlt de l'Iipit'e 0011050000 0010 rmutflo h 01, Zen-l'a 0h00, 550brmi oliur'ell,'.uuqanl 10 salilill dl dm'Oeiusr alotiooslo 0(1-0000 1 moprurné sa rantlanen 00 déldned seap11100 .piiraselr's pour sogaolser la roeisian.se ml li-10e, Lavure Ici-nu 131,0,0 uulhooaisr,

L o reooité do déferle d' la COgine dOn-p3'oor000re 1t odoe.s'é solo 11110015 110 pce-tealelislr contre. lu pmelol d'Ovoruntioo «'s-duello do l'ttpirr, p00000isbo deoa tu 1v'p00110 de la fioèneale suIe 00e plmise5000e.02 41191 olIlIner 01mo do oat100 à Focaloueril roanbavrr des F.pirobio, 11 001 éoiuioet.ru motet, quo oi les Inomipro m000qors Ovors000 Oevuo'lieolo,st Ion si-ion, ait.Iha,lesh l'.kltoumoie, la gsildlrioorlu' iaUlIlloiso Ionu000prou .sli III CPth 551100.1.0. moodanl ,ivni lOepmsoilllr 000 qrina dl pOleOasbeu pur

En sile0do venir 00 aide lu mnuvon000lgladrul do résislanue, dri sClleOOiliiiCva pu-hliqros est Clé eedoetos 110es loirs leu 000-100o épiuullmie Oilrlbtois h rblh.."ie (00 ledériviro 111.5 iulv0sador.

L'ATTITUDE DU LA 0001E

151100010. 26 l000len,Lr gouor000mm'tmt lIres aailt Oppria que

0f. Zogoephos, a000loe gaua0000ile 'la IL I.ra, sbaul I locrvtiuo de et mollet t lu 6-1501,1 0000,voatrot de otsielo,liré. u 1010'010 .s,,naotorlbée de Jambna un I a,vdl r au1000 1100,

bos Côtoo do la Mditorraoo

(.0110 'e, 16 11,0cr,120e 001 01150 "I pOi u, 0cv lu litrd IOula

0v rOm 01 SIi'i il lI 00m dOa sbruil'm, m,rllImss,IIi oaogr, 000loliro du, sont coalIsa du p5.

quamu III mer ri- 0000eou I CIels 000000lOasI 000111100v dl poussiura os prmaanl dae&a 00e.

la came ulooiuililuale, 11 trauublllbOlosOt des0050001 001e sllePntdll pn o sIller 0% .imlOsuts

ios 10100 Ooaonuoneov aile ira p1'ooaidi ils

puci roui do plaque nol'oaulr. 000101e parIn 1 li. caloslo lix bail leu lOI l000101Ieo de ea-on sa sunnanu P1', bu un a'hrlpiOso desrlouioeu aScii sum t-edo, dl 0000m s I la polo.

'.0 eore,l par Is 55110 elsiulseoneno pno1elrsur la 001 Cea Onux bbOosea Cal Chia l000lI505_mort Il .iopeoneu 0h55 r-a

1150 liguais que dIse las oIIbsgmens'trvesasrspla.lseoa mIsse, 5500 est rlldemmoroes por000rflIeeue quo, OOsIsmeol ,iS.euuot dan roOrrs

jLa !a

Ou 0,1 0eLyoumio, r

Une VUe' qui se Rvo

.0 001,17,, 1. -« I OilTOli D ',Ol VElu'>,04P1300, - 00, 1011'IES OL90SIIRLO

051,ili.0, (SOileul.La 010501. 001011cr, o'b eotoomlmme1u j,

La papulailuo dl metlr aille peulenlo, mv'.,l'Iegntrotutoa dO 110100 aOl ilipOOs 05m-s pie lamu aloi ptlilil,

1,0 11.0100 i-croaTe n Olé dlrlaese, llimo, ;,maeshds 0051000 deo,,ris et lea dOlbimpa 0g in,eulebers qri berl000lil do renom Otos Il 'SIsturest Impi0001bl000rea pillrre al brIlla,, Idemap..iou'oni Sommés; 0005 tos 000lra dc son5,rhuluer'. La boule a OébbO 110 plre've plaCeunteeerluayorll'o 050alitutos lIes r.ummelqas1,qol aoe:000500mmi iolIra Olobllseeoseote, Deslraaaoo'ues nalileeelueeoaéaetbdsé090_Sneo loi cIl alltolua et neunbéa 05 essoaee desrues pour 100m"r dec b000i002eo, Osa asllIàua,Ss scsi poadllilou 01,000 lI Onrie puubIgoo ests.maOuI0000st'. l'lonIr',-'rmiatollu 001 00 'pneor,

1555 a-supra 00 parreaeu 1m 0110'cbcbaslamuairiputil b ...liaaaxo»ta0000 IPSO o' o"' o'r..i.iiil le

-. i- uObi

111110la tulilhulpaslOel lei 1

La gondar

IL'llo p,',.rdaem ' tu--il500'Vioeabe. Las p I pu .pnr'muoes'o. 010 bu

Lo u-01111 r-lOi que I'. hI .1 lises I., 0".'br.eO e-mol isreesumnoao aurugitos per les masllso.

I rob prub,ohto, 0 10 00100 te se relosul vas0000 ou 00cm 011:1., li Iti d.aiéfsa'sea pInr

..

aaa la fliCcoi rugrI e'melp,, O lutIn ('lilnilo 00 lu oLlao'e

tsilI'emiilm, 01 siuhos,1,00 loumeaulu dli 'F0,51, 0000000 50 noaue è I

0100101111 'opportunS leu mi000v'laanms teicgiqaas0101 lesqasllsu ara ivuaor u III moIns-0m paras11(0e, La sirtumr, orna a-5,0 dl cOla lolos,00001101 l demiol aile, loaias la rIa b' dccli-.5110 do la, 600,0 le rogiso do .I'OtOlLoaO.5155la,

10011311e lit 01015- 105011. 3051050 d'arn SasUn,S000i.lS soUcpeeO de ul lomlom' 0m l'neStluela arn

Loufent 110000 l'ohasrmon Ii 510 60111 seêta éploseimlemsenoarooul_, 000es 00 hIsils, 5I001rosl Ià la p000aoamto du Iollnn 01 dO la pisafa. taud10x001 OIlleOO eiooaldsa pur 050 tutaaeu é. .ar.get dos Iumhoaau 6 OSair, nsudaul, date eu(00.10, ro.'ues00000nepree1ruoens 551e 1,00ddsmesil la ladn.u.-s..50, Use jambe, s 01I 1001116 roafde, ieainaO sur o 'Ot, Ou Ces 1115'heurs 000pa eau (mil nue 'tu 11010 qui p501 p50001 00111101 case 05,010 dIt 000001e, 1.00 rMsSelSsramss)a100seO 01000 te, Olboil SIrnaies 1151110rsppoml000nt ou sIliop',

Terrible obaaieebals, 1 fct'm',ar.

12fb eapbeslanu'Oal pro,l,IuIo '000, jetaI dsaSe55fe1toiqns d'Lsilboo do (000101105 dn Ber-

LI iio'dhre des matOu 5501 file rojinon o.ioe.i,On dO qulI ocrer de 000uu h ail,

D'opoOa 01e 000-'oigeeuu0010 rraiaeiuiujuoet hPr01'aao, I? 0b°reeniena 001 010 cule, eu é bol.aLla

?oIa' d'eaalme,s tirii000,s 1m eCelol 35'noce neuelv'lie, aIls 00, dieollibrss,

Laauuaa de looatualrapao panaS 50,0,0035'pIo,iao do ehoudrlor,

OscIllais qrm lesombro risc O'iolsern 0551plI,, 01506 w'uu Ou 0111.11 ors 6401.1,

015 11010001011 ltoaouil do ruolsroprlo 0- i

0000m loI alerta l'OOPieomOIi. On 011000.0 0100,01-IraI dimollrs lOI 101001mo 0.: ddOl.,beelusL -

Un Uéitar t&tur non

Sïon, t (00010.'.15111111 010 1011111 1,0 Ou ll IOL'OlI établir.

III lipoemdhu ,laia,clé 005,11, dsmria021l eue dolLrnsnili0000, I 511mo, or preseetaln, uneOs 0010"'Item, 0000 35, acm oit h'eeulau. selouror, 02e 00'PeoOiOIe, oa as inoibril b i000elisom su aoIooilMubo IltIroIr tea'ae, 100mo WilIele,

llsOOa tomes, sny,ome ara Intrrinoulorir ceci eois mroeloeo do sa 100e., mpoa rapmdoalenl 05',rhembeauolrr,,e. nais P105011 at leu. T,a 00011clii traeup.orée. p00 la asile, mois le p&o55(amoe or (05 pIs olIriale,

SI, aamm.lnI 41,01 lltro'usOoo, Piour.1 lira arOO loi

bOnI p000100. no b ue,lhrlloaure OuI alleulil p01'en' 01110 smu do,euo du min garlaho, Pais. 15

mrilotoiee 000 lu lICite,o'00rOs 0f. SOlmoau, dort la blolsulo sloOP'°

1,000, p10000. 50e oenIan Inoalatme, esndi p551

sali. lui pot-er l'us senOme serre rosdelolee qs5lleI dci ah. c,ommn u tilt mrearl dram l5I.

col pr.ibsala qa'ii en 0111011 unr Criusuuie 1sl0'ce. 0011 aeolernnnl 00010e sOn onoOn p0000l0vio0lg oaseuoetcIpoiaorulanenlos tIlle'

BIJIIETUII FINANCER.

l'urus, tu

esero,1kuiiri 'oaeu'u.lnilueri. I,u 0001 10 0101, cl le,

1 1' I les Ou moulu ri on mol rio dv s.l

'I '1i'0n 000nr,iao 50 lus OgbleL'UsllrloorreaO pou 1011100. L'lIaiiou11000 u 00 55, Leu 000et ruu'ns orlon

I,' Cvuaoll,i0 I III 00 01 la OleOilImi lii, IoS èeebeasaooelaOl 10.14cal nu,tOeilo

le ur,1ddsn0,nr5id0E tremenui. Lmi IsIqua de allIs 00tels peounlarsr, à soo, le 1153*

5m CobOls Mohillar qool a'rSuiesa ssoslm

Omet dl, 0110150e 01011. Laauto ale suie Eamptolo d'EasnepSo Oc"lle(guilèee fou Baoriltare lsscogl000. Les

0,5. OleflaOtI'ss 50511 Iorltrene 75105 -

010011e, dc for On 00,000005 us ee,OlOøeb, -10 saiblnene 00 01u-TioIo s'aneeolur,

011156555

05

1.5 tOuROns RuOlo oa 05 o -0m. le.90sseO h 101e, 11,11mb dO 31.560 0011011, 1 lu0h00mn paOrlo .101 .iue In '0001000. I.e 500 d'Sm.ml.n 1,1 51

P0. unI ao,"euisdl uaoo'oo or, lino

0500 10, b'rOlrOOOoliso h le 1010000i3O, OuflipilOL do 10000 0'chivauo, 00 10 Sa. ec,i e Proum'noe.hn 'IspilIm 1 'u' rrc-.Oaaposf. se

1e. u°.-igr. 0_a'OSlusa 000e 0.3, la 51010mo00 fr0Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: Deux Grandes Nations les ramones Au-dessus des …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914... · les ramones illsocielditagullig La vie est une perpétuelle

CITÊMEU LOCALU

LesnenComprespgopOS 'DE DEUX .REUNIONS. LA

XONFERENCE SUR L'ECOLE VETERINAIRE

: Vs:tin-mat 10 Parti radical ne pouvait ehoi-Toudoucr, deux eandidans qui se res-

.bleng plutt que Mbl. Eydo. et Emma.girouettes. Deux vanités ambitieuses,

...Mantes el prêtes à toutes les cebricae,loue les reniements.

ose Dun fuiront sonner les éperons el-élue leu étoiles de son père, l'autre gin,

.orateur funèbre, dan, toutes les cé-

:sonies patriotiques Es étaient toms dmixMeus des d.is ans. Et tous les deux. Il.

hues anodenne, conférence, tus cerclebague de Pari,, l'autre bénéficiant du

de, pieuses pratiques de sa parente.feepereeirine espèrent recruter à derme dan'yes-sympathies. Enfin, ffet ont pignon surn. Cs sont de haute bourgeoisie leurs in-êts, Leur marnière de voir rassureront,

Hl, tous les interdis bourgeoisie.Attale ils ne craignent, pas, malgré leur?

*tiens itutimee ri leurs décter.ti récentes de barbouiller de ronge,s lems intérêts eleotoraux, leur nue-

", avariée Et ces deux po.1-, deus, qui .nl le type rhe .politiefen beur-

de de la troisième République, rongé eSOU el, déterminait de serepulm, ont ditfaut Mues tire pour bey trois ans ? 1/6 bien

fia Il faut Pore peur d'impôt sur le revenu ?

Gaie. Si faut se dreSeer contre l'Eglise ?4. q Noua serons de le rue de Valois.

.. ledieeux, les républicains fere. ras.-4 par notre programma Pluie ksi réaction-

« la grosse bourgeoisie seront ras..'par nos origines, par no, inleride par nos

atiores y a quelques jours à peine.inerme effrayerons pas. a'ln misérable calcul euquei ee sent

-et ces deux compèreee ri la poignée de'f, abumnt de :a ereduliil de, vrais:fins et de vrais radicaux, ont été

empile:es !radleale. déterminée à To.

par des réaeloms devenu, démocratesi.sikamasion. dememne toujeure la même r po-

:Attique darrieisine, politique d'assiette aumoyen oPerricer AU pouvoir po.-

" plie Mt pouvoir. -Et M. Eydoux comme M.'fouge, ont prouvé par leurs variations ms-

'germes en l'espace de 6 mots, rI par la rasI %Édité axes laquelle iir tont de l'avis de tout

inonde que de Valois sonjound'hui ilse «ont être d'Enghien. demain. Noue na-, pan oublié, en effeL que, nu lendemainI sa derniesien de tonseiller municipal, M.

toux es demandait si, pour mieux arriver.Ttet ormsentimit pas d'adhérer au Parti es-

lit ers detix hommes, quels tristea moyen,:elltplutet15-ilS pas I

sc Dépêche publiait cm jours-ci dei/testes-rendue de conférences qui semblent

t organisée dans un intését t. nom pet:-s s mas, cps sont au fond quo des «usionsstora.leà

AMet, quelques institinteure à eourte vue,ers de4tand pas qu'il se faisaientOut, d'ambition, politiques. organisées. nui

erganissl ces jours-ri. puée:Mme« à laebilde de la halaire électorale et soue l'ins-tigation& 31. Ev,Le,x une conférence armeALEydaux, candidat radical, qM devait teck

f lia tribune. Oh! ce«es, l'objet apparent «di-' est de le coidercerme c'était une question

pratesaiennel. Mals l'arrière-penséedu cenferermier c'était que ça Se

s finit prermainementrt. ii, Feue, rmturellement, s'étaie rende !:31Pattga,,qui avait eornmie cotte vernale?a ',tern\ de te rendre quelque, minet.

avant Ment la eletneure de M. Mau,',oyait éde sou, ses ordre, à la bibliothe-de ln ville et de se n'Ume immédiate-

: perce club n'y avait pas beaucoup dees et n'y pouvait pdastenner,

d s'Otan. «relu eh« les instRuteuis,dnal,il rimait pris la défense. Sials

'ait avoir dru monde e,amis et nota minci:4 Bedouce rI Peste.

.; h ka Chambre 0001, jan», cesse de de-

.....e,avec ardeur le, iristituteurs IR à quialere.iers olerminsf, demain terre indéf.,e. Oni montre qu'ils n'avaient rien de

un masa ers écumeurs et 01,0 chuta-41..eta la politique en s'excusant, et en ne

t pas rivaliser de battage étectosalde, hommes dent dirmilation est, trop

' lis peins aubade soit 'lacère el désinit-

eamed" dernier. M. Et-doux fil une nemcoartrenee sent litote Vétérinaire, qu'idd'abord gravement momerie et puis

tsiennieusement oubliée jusqu'an me-. il a Pentu «se candidat à la députa-

Et et monsieur, dont les arguments sonttables qu'il n'ose pas les sortir en

..011 puhirque et qu'Ili Dm étale entree umrs el derrière les portes closes, a'61 do vouloir Pairs la dee.. à ceun qui

lti repaver les gaffes et modifier le pro-. t Rê par le Commit d'Et«, de ses amis

" 1 Nous mon, dit, 00001-10er, ren ifealula penser des sonférences el, Cl.

cette oti.flon. Mais nous n'enlem. quo le jans oh cessa« de mouss en vase clos, il. osera Lierait. .la, contradictoire,'Si. nous parlons encore de relie der-lquition c'eal pour eotiligner que làétait nec.. M. Feuga et quo Ce dut-Met' bon pompier que lamentable eue-tt fit retege, dit la ,t, du et-Eyd.o. en emprimant l'espoir dans le

dia idées mni!e défendent d'un et Pau-: me le bleu de la cité et de la Répu-CEydaint et Feugavuesde 'a elle et,. RépulAiono et or 100riant ti tel

onueenir dor oie, du tapit«.

/ -Auguste ne dente de rire. MaisCache pae lui, nate si Cl. Ey-: /Pérore dam le quartier de IProloI.: ee n'est pas pollr not beaux brrr

s/s.tax. ,ttants. mais uniqueem duau.

leuga eone les sirop.. et Ire ddltoteurrs

.,.. ne leur répugne. Us font di' la poSitia els feraient di commerce. Aussi5' bel. que leur

"i }Made lu s'frr011ien ont- braulaMe, sous te «dieu],

(IL A.

]No 1.1ti.sPOUR LES POUDRIERS

DEUX VOTES 1NTERESSANTSDeux votes ires importants qui Migres-

sent .le Poudrerie et les Ouatinés poudriersde Toulouse été émis hi..seir parla Chambre.

On a pu, lire, dans le compte re.ndu de laelance du soir, que la Chambre a voté, dansh. chapitre 11 th; budgét, des poudres, Insuintuo de trois millions et demi pour cens-:ri/ire ene fabrique de cOlen nitré à TOU-lopsn. Cela doublera et peut-être tripleraFin/portance du personnel de la poudrerie.

Nous devons dire que ce vote, si impoi.-tant. peur notre ville, aut l'abomissementdes Rings et constants efforis de nos dé-putés auprea de l'administration rI da lacommission du budget.

On n'ignore pas, en effet. quoifltiRD aitpu dire. la propos du vote relatif à ia 000-vention des chemins de ler du Sud-Ouest,le journal le t, Télégramme e dont la mau-vaise foi persistante nous sliepense de luifaire l'honneur d'uno réponse que c'estsurtout dans les commissions que se fait lephis utile travail parlementaire. Il es( cer-tain que si des élus no se préo.upent pasde rame venir en discussion tel projet ou defaire porter à l'ordre du, jour au. Ogsmerbudget, telle revendront:on, ce projet et cesmvendicetions risquent d, ne Jamais aboli'tir et de Érailler Ani contraire dans les car-tons, tant est compliquée la vie parlemen-taire et si nombreuses sont les proposi-tions, !es résolutions elles projets !

L'activité de nos deux élus ne fui jameisen défaut ei c'est à leurs efforts répétésau sein di la commission du budget et au-près de d'administration rmon devra la fa-brique de cote:, nitré da. more aille.

Oti ta vu également que notre ami Bedoucea eu raison. par son intervenficm qui a en-Ireiné le voie de la Chambre, des hésita-liens do M. Mulenu cor,' qui concerne ro-médieration do sen des poudriers.

A celte amélioration nos élus ont toujoursdo ronce« av. le Syndicat des

ouvriers de la Poudrerie de Toulouse. etbs succès d'hier est le résultat d'une utileet nefive collaberatine.

:Mus ne saurions trop ,nous en réjouir.

59,0011 francs sur le PavéHier malin, à O heures el demie, 3101e la

nt...quise de eientaul-Biron, venant, de Pa-ris on compagnie de son fils qui y aiment-phi son service militaire dans un ségimentde cuirassiers, monta dans une superbe li-mousine qui l'attendait à la sortie de la

Ellegare.

portaid mer elle un sue de voyage,ers eui.r jaune. à fermoir de enivre et MM-tenant, outre divers objets, 30010 francs enon et billets et, dans de fond, une pochemir renferment des valeurs qui lui avaientété confiéoo et qu'elle évaluait à une cin-quantaine de mille francs.

En arrivant au châle., qu'elde possèdesefes_Bleeeat osaeest, elle constata Euh-

:armee du sao présdeux.Ellermroit que, faisalit menler les bagages

sur le voilure, ette aure laissé tomber.- I,sac olans la cour extérieure de la gare.:Mais elle compte pouvoir rentrer en pos-

session de la fortune perdue d'autantpl05 quelle a ermeervé mimé. dei ou'tract et des billets ruelle s'est empresséedo faire ermneltre due établissements -decrédit de la cille et de la région.

Cinquante mille frenes Sur le pavé : çan'arrive pas tous les jours.

Noue avons makis. clans la soirée queil. Roussel. employé' à la 'Maison Amou-reux. a retrouvé lit sac roe Alsace-Lorrai-ne el l'a erporle au service de la Sirote oh1 a été ple. sons seelles.

Les Ppidandes dan: l'imanCEUX QUI MEURENT

A .b or, deux eoldnts s.l. rennInno nallgIicv cuenalis inerds de Mon:am-nem/Io-nie r. as élaient ae la Masse 1'913,

do; lt. un a dl encore enregistrer unveau al te«lui da François Guirica,ea.nnier on I8e obtrtittnr te, né à tieeel(Mal, le 16 janvier 1893.

mIr pauvre gars est mort di l'hôpital efiêfait traitement depuis le 16 février, desatteintes de la bronehe-pneumenie.

Qa'nu pense NI. Io mdiircliisch,r l'hep:-

Union tîss SyndicatsAUX ORTRIERS TERRASSIERS

ET MANCEEIVRES

Appel à tous les Ouvriers de /aCorporation, syndiqués et nons

Syndiques

Cammedes,Voulca-votts de meitieures conditions detravail ? Toul.-vous pouvoir vivre en tra-vaillant '? Vouies-vous etre des lmnunesconscients et tien des esedaym O Rende,vous à l'appel du :Syndicat pour acquérir eequi vous est de en travaillant, unissez-vo.à Vetio qui onl les mêmes intérêts que vOusà défend..

Camarades.Railler b Syedicat qui prépare de nou-

velles ...ilions de travail, et. pour per-mettre à la corporation de faire aboutir sesrmuvelles revendications, répondre bous

appel qu'elle vous lance.Caumrades terrassiers et manuvres, ren-

der-cous tous, syndiqués et non-syndiqués,la

GRANDE REUNION CORPORATIVEgui aura, lieu Sarnedi 28 février, à 8 boumset elernie 00 1010, à la Bourse du travail,place il

Ortie° du jour t Ilevision .du, contrat .fletravail.

Pour la Section Le Bureau,

E.N Li! ELLEUne Conférence

LA LEGENDE DES ATROMTES BULGARESCette conférence sera faite pp. M. Massa-

ky Malade licencié tspiettict, sme 10 pi..sidenee de Si, à, itleasard. agi état d histoire.

Dans la dernière période tiO la mise bal-killique, la preSse Enurapovunc. malmec. a présenté la Bulgarie .us un jourtrès inexact. Lorsque ta Bulgarie, encercléede toutes parts par une et/ah:dom effrovahlde cinq complices, était dansde eommuniquer liter lEurepe, 8Cu adver-saires pesa-Usèrent de son isolement ef tern-Menebrent à ternir son honneur, à dengue.sa gloire. Dans IP bot de discréditer leuradversaire et ainsi de faciliter l'enivre despaliation quelle petpereient, les ennemis deIn Bulgarie lancèrent, par la presse de l'Eu-rope, dus accusations dépourv.nee de toutfondement. Ciesi ainsi qu'on a pu lire, dansles journaux. des imputations d' n, atrocitésbulgares où l'imagination/ fantaisiste de,cornespendenta oie enera ricalhait Mec

neseffessemmossmasses. essesistenteass

méfaits vraiment, mas'. des ennemis cOCde la BU/gante. Détruire les calomnies ttê- Irjeler Théâtral

pendues à l'adresse de la Nation Bulgareon démontrant leur incensietance; mlalfrelbPar des doctuments inettaqueles, rhypeteri-Sie de la mannare par laquelle on a Mille- THEATRE DES VARIETESlo public eurepefea en généra't et le punie QUATORZIEME M.4TINER LITTER.IIIILfrançais en partis...ler, voilà le principalbut de la confarence de M. Manoir sur

le légende des atrocités bulgares,..Cette conférence. publique et gratuite,

aura lieu te vendredi 27 février eourent b8 heures frais quer...Le-Un deesthéâtre de l'encienne rainai. des lettaes, 17,eue de Rémusat, 17.

1-listoire Populairede ToulouseProgramme du cours public municipal

(Ire année' qui aura dieu aujourd'hui non-dot du, 2 71évrier, à 5 heures et dedie duOie, rue Lehanal, 1Partie Chronologique. Guillaume

COUrt-Nes; VaSeofts et S.artaxins; tronlou-sains à Cordone; ...bit... mauresque;Mariage do 1,011:8 le Débonnaire 1 Tondeu-se; Bataille des 0150000; Prim de Barcelo-ne; livre d'heures de Charlemagne n. Saint-Zorn'.

Actualité Ephéméride. Griffoul Dorval« son uvre.

Lenge ifoundino. e Lé Ballet del Gia-blé par J. Laaeisquet.

a Mimer-VaDemain samedi.R.8 février, XI. Fourrier,

prefesrmer au Lycie, donnera s0 conférenceprécédemment ajoutmée, sur les 'Mélodiesde Schubert e.

Mme Magne, du Théâtre du Capitole, in-terprêteea dans leur intégralité les Mugimélodies qui ferment :0 00000 do la Belle:Réunie. a (deuxième audition en France'.

Le piano concertant sera tenu par M. Clié-rubini, chef d'Orehestre du Théâtre du Caspifele.

Billets d'entrée à. .1/mm.0, erms augmen-tation de prix (0 Or. re ah. 1, 000,i00ge,Il rue do Rémusat.

Les pottes, ouvertes à 16 1.30. seront fer-mées au début, de la conférence, ta 17 h. 13,par mesure d'ordre.

La conférence do M. Fliniaux, prote..rk la Feuillé de droit, annoncée pour le 28février, est renvoyée à l'année prochaine.

Graird ConcertNous sommes en même do pouvoir annon-

cer que le program:ne du concert, organisépar la Jeunesse Seeraliste. est des mieuxcomposé pour satisfaire les plus difficiles.

Nous espérons qu'à cette sonrêê diesel.°des spectafeurs récompensera les efferte desorganisateurs.

Un futur nouveau suce« à Inelif de laJeunesse Socialiste.

N. 18. Le Concert cemmeneera à S heu-ree du soir, salle du Coquelicot, un nuit

Entrée gratuite.

Pour les ChasseursM%L leS nhasseurs de la Fédération sent in-

vités à une battue au renard et chasse sousterre, qui aura lieu ce dira:In/Me tee mats, MesM. Saga, fer. de Pressas.

R.AP>VOUS .premler tramway du punit-do.l'Hem. Céram ses vivres_

Eg/antineLEglentine donnera une soir« récréative de-

main asair samedi, a n h, dans la grande saliede t'ancienne Feenné des Lens., 17, rue deliamesat.'

prOgrernme figurent de nombreuses .audi.lions et craelsomies proj.tions.

Mi peut rether 1es cartes d'entrOas °hes leconcierge de l'ancienne Faculté de Lettes, 17,rue de Rémusat.

.Nons né serions trop engager n. lecteurset nov lectrices 'à y assister.

Association, des EtudiautsSOMEE DC ..tLt.

C'est dimanche prochain ler mare, à n 11, dusMr qu'aura lieu dans les salons du restaurantLafayette, la grande sMrée ao gala organisée Lar. . .

IL A ETE PERDU jeudi matin tED févrieraux envia., de la gare Matabiau uosaa eit'rjaune avec fermoirs cuivre contenant di-vers objets rivai:eu«. II sera donné une bon-ne récompense à celui qui -vomira bien enfaire le déclaration au Grand-HP/el, tue doMets TOIGOUso,

riurs DIVERSAbus de Confiance

Sur rident, de Si. François Baron, marehan dechevaux, eu. Charbas-delfde, e 75 arrondiS-sement a dressé ;trona-verbal enntro le nommépierre Ségala, demeurant plat. Olivier, peurarme abus do connuee.

Brûlures mortellesHier. 211 courant, M. le Commissaire de podice

du 7e arrondissement Mait aviso par la direc-lion de rhoispirc de /a 01000, que Mlle Mar500-mb turbuol, pensiontiairD de cet établissement,avait ale victime, dom0 la fOurnae du Mt Cab-rant Oc brûlures accidentelles dora la gravitéavait neeessiM mn évacuation sur I'llAte/-Dien.

1,25 pairmts de la Meesée est telt trampertereglle-ri E eue domkila Mi elle est 'décédée.

Une enquêté est ouverte.

Mendigotsi.e ler arrondissaient a dresse prack.verbal

notre les nommées Marene et The.. Bouemetet leur pére Marius, lot de 39 ans deinkilrm ruede d'Industrie, lé, peur menclielk.

DisparitionMine françoi'e l,aisirto, sec de el ans, de-

meurant avns tilt rue N.-D. des Minimes. 4 adisparu do ce domicile depuis hier soir 3 h.

Signalement n vêtue rie noir, porte un fichunoir sue la tete et une lithons gris fermé surles épaules. Elle est chaussée de panlonbeS lensres. De COrptIlence usa.. ferle. Elle est trèsmyope.

Les PochardsLouis Piclea, sujet italicia égé de 58 ans

et sanin domicile lue Malt ivre. al a été conduità la Permanence, Ou ii a pull la nuit.

Outrages aux AgentsFrançois S, 10, rue Saint-ocenges, e,aueait

du scandale hier soie vers 8 II, me dtturicelits.Appréhendé par les agents. S., lei taabetiva.

Conduit à la Permanence Sh. a 155 mis umu vie-. et conduit. a:1 parquel.

DEORIEME AVIS D'OPPOSITIONPar nets soussaeing prive en .date du ter

IL-latter 1914, 'eudlrr. RI, dlél:Te'e.'y'slje'e,":."vèleY1'n 'en-d3de eemmeres, de café qu'il exploitait, direadresse, à Madame Françoise '.0 1,1. 110,Barbet. domiciliée aussi, al, .allées La-fayette. '

Les oppositions, s'il y a liée, seront«ms pendant les 'dix jours qui .silivront. lePrésent avis, rmouyelant celui du 19, perntneme journal, ut en aime Angle, alites La-fayetle el.

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A propos de PapaAPrGs un nt.roanctee qui menace, de mais .ame,

tee à 6 ln., 31. Brossoles peu ermnprrearoOdans in,o.00 rio ennife de Larzac. fft da. cecube élégant et mondain il va, .pendant près detrois quarts dem., plaider avec verre la causede la province et dire mn DR non sain quetqueexagération, à la société parisienne.

.En. raleon de son lemperknns de la scène etdu peu de tempe dont II a pu disposer, O croa.deveir faire appel. dane un exorde oû II ee meu-t00 déjà tirée maitre dg bai. Ji la blenvelibmoe del'aeltoire. Conquis par une voix aulimbre clair,un .inaintien plein de renceetion, des geste so-bres et la vignette d'un regard qui n'implesene delle personne par delk /a rampe, le Jury ac-corde sapa se faire prier Esegnitlement du cou-pable.

D'un coupabde qui, sait Meilleurs, fort /deeparler à ses juges.el. Bressolles °ormaie .pour rmeir assidûment

fréquenté pendant mate saison, le publie des ma-line. du Jeudi. Froidement attentif avec le°conféreneiers qui l'ennuient. ce publie 51501.,et vibre iero roux qui savent répandre un peud'intérêt dans Piura causeries. Dire que rassit-tance a vigoureusement applaudi hier, c'est doncsouligner que M. Dressoles a présenté avec unart aimable Ir .olet. 015 sa eauSerie.

Ce qui ne veut point dire, qu'aux yealxtous, elle ait été exempte de reproches.

D'aimuns y ont relevé des loagueurs, des à-côtés sur lesquels In conftrencfer mirait eu glis-ser plus rapidement.

D'avism out estime que le tableau de la sociétéprovinoiale avait Md peint avto des couleurstrop flatteuses ri que, par ces temps de mode,nisme et d'unification à outrance., il parait biend'Incite, sinon impoeible, d'opposer de façon siabsolue la vie de la province à la vie de Paris.

vIdernment, il y aurait beaucoup d dire etpeut-être à reprendre sur les esquisses tracéespar le jeune et brillant avocat. Mais où ça: nous

e A bavarder trop /engament et à.11.13 elver du plaLsir de résumer tont. unesuite de notations originales et de critiques spi.rit/relies exprimées dans une langue riebis anfinesso et de distinction.

elon 71, Bresseles la conférence pouvait êtreuneetude de la pie, Paya, qui résume (lut leMaire dp Robert de Flers et Cafilavet. Acesurne tee, /Ingénue; le comte, le jeune .premier;Cbarmeuil, le bon vivant; PAR*, élégante sifantasque; Jean, da pureM et la droiture; 10 0000,mail descendant de l'Abbe Constenfin, ce ennt lespersonnages qu'on retrouve dans Mutes les pie.ces de ces deux aulcults.

Elle pouvait consister, aussi en une critique de/a reconnaissance tardive de Jean par son ,porenu dOnner lieu à de longs développements à Pro-pos de rameur gus, le conne éprouve à cin.quante ans, Tour la jeune fille qu'a destirm ûson fEs.

Mais le conférenCier se baser à silhouetter so-brement les -prineipaux persormages de la pilesduo se &gage, 00 somtne ditél une conclu,slon morale. A savoir 1 que le fêtard renOnsteI' la fête, oublie lout. les 'Mmes pour uneOrmes et que le Ms demeure idole eu terroir.

La pièce se dérOUlant en provin.% on peut .demander el les auteurs ont iststed à nooiu don-ner une lare de la vie previnctale. Mai, ils sonttous les deux bien Parisiene, trop Paeiaunno, bienque Ion soit originaire du Périgord et l'autre dela Losee. Quand ils sortent de leur milieu, ilséchOuent rminpletement. La VIOCS la dém.:,surabondamMent, lus en placent la scène en Lan-guedoc, alors qu'un eléve d'école primaire saitque Lannemezan cst au moins en GaSCOgne. Les1:101715 des personnages ne sont pas ceux titre.rois, Le .patois n'y fait point entend, ses 851-labos sonores et «mitantes. Jeanne, avec dessentiments de demoiselle, f`SL bien MM de nospaysannes et Jean, inhabile et godiche. y pro.née. termese5 de jolis mots, par quoi II eslbien du Ididl.

Uni somme, l/ n'y a là qUe des paysan, d'opéra-comique. 0m taberm de ia vle de provin« telteque nenaginent les Parisiens mai, mie 1c etnle-sencier peint b son tour rm une page savoureuseet qui ateriterait del« citée en entier.

Après quel, il pin tannera qu, lu broGnee estla réserve du p., et terminer casait, donnantln conseil de tester Mies nous .puietue nous a,avons le soleiL

Paul ff0C,

'PARTI SOCIALISTE

SYNDICATS

Fédération de la Haute-GaronneAVIS AUX SECTIONS

Le fresorier fédéral invite les scelles quin'ont pus encore retiré Ieum cartes de 101.1 à letaire le plus Cl possible, afin de permettio auxadhérents de se tenir 1 jour de leurs cotisationset de faciliter la renirde des fond pour la pro-Maine bataille édectorale.

Adremer les demandes au citoyen Julien, 1E,rue des Jardins, Toulou,e,

AUX SEC0ETA1IiE5ET TRESORIERS CANTONAUX

Les secrétaires cantonaux sent invites réu-nir preeimiaement leurs samil10 afin de permet-tre aux militants retardataires de se meure àIon de Imes cotisations. Les trésoriers tante-neux doivent, au lendemain de la «union de-nier° de la Cemmission edministrative, savoiravisé par la poste et au moyen de la formuleimpriniee, fous les camarades pli se trouvaientmus le coup du reglement. Si tcla n'a pas étémit, ils doivent ho faire incessamment,

Les milités cantonaux examinerent ensuite lescas d'espèce possibles et prendrone à regard desréfrachlres les inerme's que comporte 10 règle-meM.

Canton Centre. Munie» samedi prochain 28Marier, it 9 heures sin mer, au tard Morin.

Ordre du jour cotisations; examen Mismoyens propres à activer l'aelien militante dan.,ie cent. Gnmtre; questions diverses.

Groupe de fend-dinues. Le groupe de Saint-Shnon inene tous les camarades à assister à faraunion qui aura lOri e ler maa 1011 au slas;habituel, à 3 heures au solr.

Ordre du Jour t versement des cotisdiees(mois de févrieri: questions diverses.

Gronpe Musical Sad/dis/c. Co soir vendredi,répétition a 9 heures, an café Morin,

Amr let omotere turrttiouts et statitab,te Lesouvrier, mouleurs statuaires et les deerateurset tacusiers sent priés de bien s011Ialr se ren-dre 7 la Bourse du Travail dimanche matin, àln heures, en vue de former un syndicat pecr

defen. de /eu. intérêtsSyndic. des Ouvriers et Parties rindalses tra-

vail/eut le imiraniqueneent. Lev came,des sont priés d'assister da réunion de la cor-poration, qui aura lieu le dimanche fer man911, d 10 heures du meAin. Bourse du Ti..

Ordre du jour t vertement: nomination lbei«légat pour le Congres de la Fédération; at-tribution du journal ft:aérai,

Présence de Matte.r.Lee camarades faisant partie du bureau sert

priés de se rends, /e 9.0 Usriar, u S .heures etdemie du sok, à la Beefee du Travail, ploieSind-Ser.. ,Questions sur la Pataffte Sertirasliste.

LES SOCIELfecnir mutualiste tenir:mis Seetétt

provient h publia que peur faelliter aux 1.14tants l'entrée dans une société de secou. mu-tuels elle accepte lm, adhésions deg roairveauXmembres sans droms dentale.

Les adhésions eint reçues cher. 'MM. Barth.président. 12., Arcades du CepPolet Poya.Se r. rue d Aubulsson; Tircbaque, soCrétaire,rue Dent.. (Sept-Lteelers),

eltentele d'Avenir de 13prIaloy, Sasses der-nière sasses celte tooaa0 a possédé au ramure-

Ilementde mn bureau pme 1914. On/ Me el,

Président, M. Corberieu Antoine; Merl:NA-usante, 5000001000, 1, 'P00110

Jet.; trésorier, 01. Dupuy Albert; secrétaire-adjoint, 7L Coumes Marceau; trésorier-a/Ends,M. Max. Raymond: archivisM, 71. Boulpiquante.

itommission des Mies btat Carlu,. Bor-nard, Turbn han, Depuy mbert, Boulpiquante.

La Seciêté ayant décide de prendre part O un. grand concours mursienu, fait appel an.lotIes

gens et hommes mnries qui elésireraient entrer ala Société et les prie dans ro cas do vouloir biense Dire inscrire al: si.s de la einem faubourgB.netoy, 8, lei mardi et jeudi, jours en capé-UtIon.

Lu lenstousaine. Le soir vendredi, h 9 hemres. «pétition générale pour le concert,

as...ou des Anciens Gymnaste. _roules,sains. Cours à la .11alle-aux-000ins

I. Anatomie, samedi. 28 .courant, 110 h. lb, parM. E. Cadrmat,

2. Pédagogie, dimanche h 14 heures-Speat-Banies. La tombola organisée par h

Club Senlis. Toulousain sera tirée /c dilnanchole' mars officiellement au siège social, salleA.., rue do le Providenec

Le tirage sera précédé d'une soirtn de familleofferte gracieusement par les socle:taises, à 8 11.30du soir.

Tout le monde est admis.

uumurieu Megusires, Laltibie, ES, rue de lidnueat

A VIE SPORTIVEgibanE FRANÇAIS contre sTADE TOLIGli.SATN

Continuant la sdrie des grands matches inscritsau effendrier de la raison, le Stade Tenis.ainrecevra dimanche prormain aux Pent-aljumeauxrémilpe prenliem du Stade Français. .

Le Stade Français après une défaillance quin'a etc que passagère mals qui Inn a valu la dé-faite dans le championnat de Paris a repruis ence mernent sa forme habitue:data dernière par-tie qu'il a fournie contre la redoUtable tquipede Swansea prouve bien que actuellement II estrevenu au niveau des autre, germas clebs. Sesdirigeant, parMens attache« bearmoup demper.tau. aux ntateltas que l'équipe première joueraen relie tin de saison. Ce-1 pourquoi ils ont toutfait pour amener I Toulouse leur tram se com-plet. Voila do50 une belle parfis de plus à allervoir aux Ponts..... Non dame qu'il y sitencore foute dimanche prormain Peur Mallandenotre dquipe toulousadne.

VELO SPORT DE LADANDELe V. S. L. orge«or une mucus edediete dite t

Cour. des Teute.PetID, peur te 22 mars.L'itinéraire sera balarme,Briguier«, et mie.,

environ 20 kilomètre,.Pourront participer eette course tons les cy-

clistes ayant moi. de 10 ans.Pour the valable les engagements decrent

être aceempagnes do ta somme de 0 fr. 10.L'épreuve Mra disputtc sans marqueur, ni

soigneur, nt starters. Les réclamation5 000 omn-rentes flront être adressées aux organisateurspar écrlt et ecoompagnes de lb sorite. de 2 fr,remboursablee st la réciamation est fond#r pas-sa" le dotai de 94 h.res, elles ne devront Phisvalables

Me grande .prudence est reconnuaridée euxcoureurs la société ne répond 400 des accidents.

Lee prix 1110030 seront au nombre de 6 eu es-pèce. 'En plus de see prix il sera offert desprimes par /es commertanis.

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sentier, menuisier, mule do Fronton, b Laiende,CLUB AMICAL S.ALADIEN

Le Club Amie« Saladien dane FA reunioa gai'Arak a promit:Id au tcramellernent du Medandont 10e soins eineent et qui &déposent pendantl'année lel".

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Commission des fêtes I lakenie. 1:3111,5,nereau.

COMmiSgion des Sports t Viguier, Tournier,Dermes', secent dittgets pour la- ftderation deUr Ration:1, Viguier; 101rrier.

LES. TI/EATRESConateentiqués

THEATRE Dl" CAPITOLE. Cc soir, à 8 betz-met o, datuin, oA'srlocu Vo ollrb.Ueorrs 0e 510,.

netl, A. Came :15, 5501, Formée Albert, Brun, Sei-000. Le spectacle sera terminé par da Korrigane,ledtlicieux ballet en un acte de Widor, dans 1s.0101 51115 Cernent, dune vIrtuosità Ineompara-blet Mlles esacky et Gime out obhnu le plus sesuccie.

Au premier jour. une seule repiésentatioagala avers le conmurs de hine victoria Fer, dansMottes.

THEATRE DES VARIBTes. ce soir. à 9heures trols-rmarts, del Littre-Eatztery,

Demain minait, repréeentation de gala denrmeau bénéfice de M. Bascod le sympathique 01005d'arches:ro foi, depuis deux ans, conduit actemal.te, les muvres le, plus délicates. Le pro-gramme, des ndeux choisis, coMprendraRose de Saint-Floue, opéra bouffe eu un aci°d'Offenbach, avec M. Earnt-Léont Les Noces elsJeannette, opéra comique. av. M. 0.150 00Me. de Portes; el. pour terminer. Le Monde oùCcii s'ormoie., comédie en 3 actes de Peiner.

Lendl, une seule représentation de M. Dumeny,du Gymnase de Park La Rafale, do pernetein.

'Location ouverte.C'est encore une grande nouveauté que

l'Impresario CIL Baret nous annonce pour la se-maine proolutMe. Le Veau d'Or a été l'immensesuccès de la mis. au théâtre dee Champs-ER--Mes 00 elle fut représentée 200 fois consécuti-vement.

le Veau d'Or est assurément rune des plèCeSlea plus ilnes, les plus amusantes de /*année 0ea même !Mit que c'était la meilleure

LES NOUVEACTES. Dermie quelques jours./e public était très intrigué par des affiches, sansplus de mention, mins nom : Dennini. Nainsavons aujourd'hui la Dé de l'énigme et nousp anone rede que Dormini ut l'unique transfor-miste au monde, imitan, avec un art parfait tesplus grandes vedeltee de 1-époque.

rignnint débutera ce soir au theltre des Nou-veautés, ou sera donné le quinzième vmdredl degrand gala mee un programme ne comportantaven Denninl qui sera le clou de la goirée, quedos attractions et numéros aussi intéreseanis quecanés.

Avec nue pareille troupe, tout Toulouse défl-!ma eux Nouveautés.

APOLLOITMEATRE. Spar/aras a parumer agir pour la première Pals, sur l'erras deespellealeiefre, et les nombreux spectateurs quiMal. ven. antre,, Ibn splendide se sont reti-res enthousiasmés

Il faut avoir assisté au défile des mervcineluitableaux qui composent .. Spartams pour com-prit:dee jusqu'à quelle splendide perfection ut-tout de .res purs l'art cinématextraphIque.

Une ingigue émouvante dont l'Intentéa ne eessede grandir, une mise en scène fastueuse, des des.on. crun luxe bout une figuration considéra-ble, uno interprédatIon de premier ordre font dece grand flim artistique une pure merveMe,

f relié tra de ..10 musiciens que dirige M. es.Montpellier professeur au Conscovatoire, exaCateune balle adaptation musicale, speciadement fadepour « Spariacus

ou mou, «st un specfacie artiatfme Mou-bliable quo /a direction de l'Apollo effre tous lesjours à son elale pub/le.

Aujourd'hui, deux matintes à 2 bourrues 4heur. 0Ol.00sh. 1h.

ASSOOLATION SY0bPlIONl000, 'Nous ...r-aclons 1 nos lecteurs que Dest demain samedique Se fera entendre, 00 concert de l'Associe-min Symphonimm, à lUSlOulut, In traa jeune etOit renommé, ticiunse 711Ie aeannene Ismed,violoniste, humial du Conservatoire de Paris.

Pour rehausser Ocelot de ce concert, l'Associa-tion Symphouiquo, unifiant de la preirmee parmi

0000 ,10 71110 Calvef, du l'Opera, a dernandê abelle 171010 le concours de tan scand et presle.talcut.

51110 Clives chantera un alr de Lais et cmpremière attentons -- un cycle de maladiesIterceuse. rosat:cade taon Ehédicf, musique da-n'Oro 010110e M. Georges Guiraud, accompa.O,gnées par ',leur.

Nou, espertrut lue les Toulousains ne lais.,rant pas (.51.pportee100aeonsion d'apPlOtopedo leurs plus sympaUliquea rompatriOtas et sterondrent nombreux sa 5onceru do tApollo. denk.'mus mimer°uoo demain le très intéresmnt praemarnent.

AMEMCAN-COSMOGRAPH Tous Ige soirs,a 8 h. 101 jeudis et dmanches, matinées, le2 h. 80 oit h. ace

Fantemas maire Fantomes prend drame/e De Fa en alenniee s, comédie; Mésie, et felDrame de Famille ,, temique; s Bout-0e-2amécrit ses mn/tintes s, core.; Gaumout-ActuaO'lité, les Das de la semaine.

CINEaLa LAFAYETTE. Toujours du no.veau et du beau; les demi-tarifs ...tables. 1,,

Pineau.° sensationnel ., Le Ilesque de Lins ii1

Se'. drame de la vengeance. interprété par M.Charles Krauss, Paulels et Mlle Beseneme La Vocation de Miss Edith, s Jeanne Bloch etFrcy Tarthiette comique; 00 Ma- 4Page sur os 1011S », COMIque vflagraph; «Quand,In LumieFe revient 000 0000011. mlair-lour-nal.

0IND350 PATHE. Tris Inteltessant program.me eu paraissent 1,0 Roi Koko s, célèbre van-devine de Besson, avec prince dans le 1051 de

beau d'art italien, drome en 1 partieDaubiehon;

Le Roman de Magdalena fres

Viermeeent ensuite .. Max fait des Conque-tee par Max Linder; tem Cermile d'Oiseaux. fnie inetruelf Les Grldlons film de armerai- i

salien se:engem:et Les Costumes des 22 Can-tons .issesilbu Palbeelor; Ifat,hé-lourpd,

rgiST.1:I211>ket.E 11.-rt'rer111/ de,o'arefi'2.3 1

février, cencem 05 eerréer ordre, autours iresréputés.

Ratine le dimanche matinée de 4 h. 80 à 6/mures.

Le soir. de 9 à 10 'heures.Entrée 11h00 Consomn.tion obligatoire.

xxxxxxxxxxxxxxxx XXX

f UIMPUP MUON

ARIEGE :

Fédération SocialieteCOMPTE RENDU DE LA AMNON

DU COMME FEDERALTenue à Poix le 22 février Mute.

I!01110ce de t'après-ut-te.La séance est ouverte à 1 heure et demie ,1

précise, SOUS la présidence de Subira.Le Comité Fédéral déaide d'examiner les

candidatures pour ermoun des. arrondisse-amuis, en proeedent par ordre alphabétique I

et en laissant la ferole aux délégués des YIgroupes intéressés. Avant de discuter. srmte choix des candidats, le Comité Fédéral -

bord à la question t Funt-il, oui ou nen,pnols:1:17.e

00111 d: a lieu de répendm tout d'a-

résenter un candidat dans tel arrondise,

Arrondissement de Foix. Prennentpart à la discussion, les seetions de Fe.,favelenet, ilerrms, Saint-Paul et Vilhae.

Après une longue discussion. par 4 ma,dais, centre I. il est &Ici. Ee pas préssenler de eandidat clit Parti due l'arrondie,sereent de Foix. Oint vett

Pmb un candidat à Fois 1 la S.M. deLavedanol dl mendatl;

Centre toute candidature t Foix, Moréas,Saint-Paul et Vilhae (4 mandate).

Arrondissement de Pamiers. Pren-nent part à la discussion Ire sections de'Les Alleraims, la Bast.idessurvittlers. Lure'que-d'nms, Léra.n. Mirepoix, Montée, ."Pamiere. Vieilli. et 'In u-000110,

A l'unanimité sies Sestioes intéressées, il,dest déridé qu'il y aura un eandidat du Parti '1«ms l'arrondissement de Pamiers. Puis,sens discussion, et par eeclamaliona le ci-toyen Gireu est designé comme earmidet.Celte candide«, est immédiatement T.-.fiée per le Comité Fédéent.

Arrondissement de Saint-Girons. Ledélégué de Saint-Girons .expose la question e

nu Comité FédAsal. Aucune sena' ion défini- .!

live n'ont bnectre Intervenue. Mrsh Des prosbahlement, les moines dis Sainf-Oirormaisiprésenterrint. un candidat du Parti. Lia ques-tien est alors «sem', et Subra proposeque, dans le ph10 bref délai possible. le G.mité sfarrrmdisserment de Sainf-Girons fas-se don proposilions fermes pour une «fedi.datuee. et que. pnr cireulaire, de bureau lé-déni eonsulie les groupes peur la satin-ent/on.

La proposition buObn.l est adoptée.3. La Campagne éleetneale. Gonyei

propose quo tous des. delateude le elnigande sentimment lent eandidatures par tupropn,,,ende et. pecuniaieement.

Dreuilh, on main dol arempo des Aflomarclipropose le system° ruivant

membre; b) une souscription/ e) une senca) Une cotisatien Ose de 3 Ganes par

me à prélever sur la caisse fédérale: d) s'iDy

adéfiun cales° du groupe couvrira

teGalycit.donne des renseignements sur lm'

o:Mitions pécuniaires dans lesquell. a Siefaite la derniere campagne dos électionsgislatives. PooT établie des 0000110e, 15 pros bv. ,t

pose de remettre à tons les eamarrmes des .9groupes dm liste, de souscription. Si les s "I,ouscriptions étaient insuffisantes. on im-prierait les groupes d'una somme à détins- ..!

La proposition Galy esf adoptée à rune- .1

miner.

iff.a. sirop:mande dineetementele. Lesecrêta ire fédéral ermerm te matemm de pro,pagende, Il fera l'objet d'an- rerfain nom-bre de «molaires !pli errent. edreesée,tous les groupes par la Bedeau Federal,

5. Ourmia rendu du flenerès d'Amiens,rie renne:ide Peu,. Mil le elopte renditde sa délégation nu Cone«, fullest approuVê -par le Comité- redirai.

La séance est levée S. 5 boers rit derme,

LES ELECTIONS LEGISLATIVES

Nos Can klataA l'heurs netucilo iluol'. Ion riccon.rip-

t:ons des skpartemonts méridien.io n'ontpas encore tenu /eur congrès et par suitepas encore desimié leur candidat.

Nous derme. oisilessoun-les candidaturesdeje ddriddes et approuvées.

I-3krute-QaroranePromi,..ro circonscription de Toulouse

Albert BEDOUCEDéputé sortant

Deuxième «Conscription de ToulouseGabriel-Ellen PREVOT

Député sortantTroisième Me...Meilen de Totdeu.

Jean RIEUXet.ro.d.e Toulen.Conseiller général

Arrondissement de MuretVincent AURIOL

.A.vocat e. la Cour <l'AppelRédacteur 00 01101 du « Midi .Socialiste

Première circonscription do Saint-GaudensJean FONTANILLEa

Avocat 11 Cour .L.AppelDaum ms eireenscription

de SaintGauttenliREDO9INET

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Page 4: Deux Grandes Nations les ramones Au-dessus des …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1914/B315556101_MIDSOC_1914... · les ramones illsocielditagullig La vie est une perpétuelle

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- Tous plaiearulag ? monsice Maurice.OÙ vuulme-vuu. qu'un Mile avec la barque ?

- Tadece que NI SQ1B ? Tiens, le soir ma-rne ou le vomie a dû mourir, je revenais dela vile En passant eu face du moulani j'y alvu de la Lumine. Je me sens coché, j'aiaaleala.. Un instant armé. ta barque qui Olsisidsento revenait do mouillin et f al ara voir/a viootuts au mentent où il nattante:4 I tem.bavvetion...

- Le fait est, dit Pierre, qu'il, n'y a queQUA et voua sp ri eschi. oh je mets La elet.Mais éden-voue Men sûr que ce Md Ml Armoi-de D'aide peut-01m gangue braconnierqui- ormaie/ail usa roibot. et qui était aidétader des filet, du aide du mouldn ?...

- thais il guiratt retiré culfiibets de la bar-que tandis que sat. Yernextreatien amarrée,Pinconna que j' ei vu, si:létale prestement du

- M'est avis, monalecm Maurice, que vousetre mal vu. hue filaMe voues-vo. qu onaillr faim au moulin ? li faut aveir enviede recevoir dise pierre, sur La hâte peur .fourvoyer dans ers rugines_

- T ridas prmieette vrai, fit Fe docteur,mais toutes met observation, m'ont tedge-

eierermetlm Intercédé dur couennes qm nana..,. traite case VAL Cannann Géra, data.,

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Mea dans. .naaon .0.aonolIG calta haut. suelai Y/Mime pneunion. que c'est necditéque Le vicomte a pia rave/air au château. En-fin, pen importe_ Ce point reste Aria cule,In la fera_ Mais eu qua net hase de doute

ne dent nomme MO 1.11 as cet/vaincu main-tenant, dest que La comte eet Merl. empoiecar par tert neveu. Corogne. ? Plouc lenurous, voiu tranquille_ Ce qui mepouvemte, unie- t11, den que sets pauvre jeune nienit à le merci de net homme. Ah je Le mn-nais, 11 set nen. de tout, ayons:. Mauriceen voyant. Gag merde étonnes en eennunn

- 'Vans m'effraya/ ciaintienant, eit Pierraaprès tee que voua ride,. recordé.

recordé.-Si ta savais. cadmia mai, tout ce qu'ily a do vil et de méchant dans cet honme,tramblereis pentetre, eentia. donteur.

- Man non qu» fade ? dairmeasta Le fer-mier.

- Cle quit/. faut fere 9 je vais te ho direD'abord,non seulement en rue Ovin rien ré-

véler de m que je vissa de t'apprend., maisencore 11 le fest gegner le confiance: duvioomte et enneiller attentivement ce quise passe eu chelems. Sassa an avoir Pair,rereeignettoi, sur es niées et venues. nooutene qu'on dit, surveille se qu'il fait, /dettede te mette au cousent 0, 50 ceaduite à ni-Eprd i.e domestiques. de la gouvernante etteaVuut de mademoiselle de Brase.. Rende-toi bien compte de tous es mouvernenffe, detoua ses gestes avec un Perga'', bandit,'Idée .aucumi détail qui no puie. etre arme..et avoir pour no. une steinifiention grave.Rapporte-mot tout saque tu mess vu en-tendu ; d» cette frmen seulement nous pour-roue noua fixer sur Yepouvantable crime quie CA rammis et, qui salt ? sur les plans qu'idpeut °larder enoom. Car, noue ne devon. pas

l'IUT VOLUMES brecne5 COntenani000 numéros différents.14,1,4 humoristes Abe/ Faivrentnnleune. Steintsin. Roulallo,. Mirande, Ri,1.1.00 Florin Weber, etc.

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Dene chalut/ dessin, dans <Moque luger,.sa retrouve Fermat manant ce nos mei.-

ro. Gaz cessameau tuutvuDtvRA,

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'Assiette au Beurre

Mena datisrmaer, coter. DM ermS ce,tala, le vie:ante ateuI délura.. de Sort on-oie, 11 a d'aunes tunes en tete, paut-êtreaussi ; c e'est à noue de vderque personns autre usa devienne Les vic-times.

vo. comprends, dilt Pierre, Mme.air ma- IL y an a une 'armas pour lequel 15jr rra jetterais au Imam, Oh I natg/aurait pas qu'au y touche, ajouta le fer.rnier ferrunt te poing... Pont de miauledelà terrible I répéta-l-11 en se Iva.,

illaurioe rescrits/Met Pierre jusqu'à la rouete Las dalle hommes maint:aient silunien-entent ceite elte, ehacun absorbé par eagpensées. Sur la neint Ose, séparer els échet.on rent une eollds poignes, de rrdin glu en ai.eg pita long que Sautes 10.9 paroles et tomtts lei promenai.

SUR UNE TOMBE

Baht /eues S'étaient ..eutlis depuis la mortde M. de Brenta,, huit joure qui dAtlidat étébien alarmes par le viconate et pendantquets emit oln déployer auprès de Jeanueet du personnel du /Mille./ une os une etune hypocrisie pousses à rose',Lumens

classa de l'appui quo lui prête-raient au 0.0in le notaire et le lime deyen den! 11 avait su gagner Pentiato mon-finuce, avait commence résolument et avec

remementPut-Are eau... un maonnement non men,

datas du e e

sousegfor nem ta somme do dm tramaLitearaiirtie du Sociaiist9" -"

Hignateno Cnornel

uete ingrevebrm patience le s4Vge de La jeuneletle,useetitalt bien gaude ln prenne/Li 'Dunde le ddarelee ee etoule.ur et se ente:Soitne demander la gougvernante de Ses nouvel-I.. Eu revanche, abaque fr. qW11 nvissowtrait la naive Anglaise, P. s'apitoyait avec ilateémotion vraie.. touehante sur te sort dese'cousine et montrait lorsqu'il paubalL deen oncle un te choc-la que mise Garrettse sentait gagnée pan les larmes après ch.con de ced entretien,

n agissant ainsi le vicomte poursuivaitheu..., son but perfide. pensait bienqq"datra les deux femmes il n'étant questiongue du défunt. De qua donc pouvait parlerlionfrat irmonsciable, si ce Gest du lare queta mort canal ravi k son affection et di satendresse ?De quel autne sujet pouvant rat,treteaie sa cernpagne, auni, avaitperdu un bienfaiteur et le pleurait de touteeau âme dévoue» et reconnaissante ? Si les/Messes de reprit et la conaiesance duamie humain ne /u1 avaient pas été donnéesen partage. ..Ag Garnett Pnsedait du moirece don tate-1.1.e que toute femme porte enelle de savoir eatener ln chagrins et sécherles pleurs. Et quel moildeim moyen d'nnueair ta deUlaun e autrui que de partager sol-mime cern douleur et tilsobit.s Pâme à /asouffrance et en regrets Car il on estsoient des larmes comme des torrentseinment cherche-Ems k bis endiguer, der-Me, adostacre morde Le Cet, jusqu'a et qu'al

plus violent, tandis n fûtbierint tarir à se rependre

Misa Carnet arrivait d se nisultat sansl'en rendre tortAte et en entretenant sensceste mademoiselle de Brune de son père.

wie-.iL pas certainement ce que cher-chait le viarante. En étalant sas regrets ae-

ot.,re a ses e etars to-st tes ouvra:3es q1111 ne .:;catat palsportes sur 500catatooJe.

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_vent 10 gouvernante, son inteni.on était sin,pi,,,ea-de se Dose bel Voins Corda c3121e9mats a'a pends du tureafeb dee Vee'eP el'affection dg La jeune DEt, cor Mimait ln-ettnectement 5 dianinuen ette douleur sur la-gune sI comptait tout pour armcher mepromesse dv Ea .bouche.

Cependant Tapa déjà heaume que daavair pu pénétrer dans l'esprit de la jeini80lime s Liquette mina dharma faisatt part derchagrins de son cousin avec en aune d'ex-clamation input.. A l'entendre parle duvtdoete, de sa peine, de .son devenues:Asembla:a que Mt seul eût 040 frappé par Fadisparition du comte.

J.nne Am montreh attendrie et teuehéeensat loraphau lendennin des furerelles deson pkreelle se re.solut S quitter. chambrech aile se tenait renfermée, m première pa-role fut pute sou cousin qu'elle remodelaoves dan larmes plein Les yeux. Depuis ilstee revoyatent avni repas, chaque fois que levicomte n'était pas ou ne as .4..1 pafreeassuau debars par les affaires do cletnuf

Ces affaires étaient à la vérité de conti-nuais pretextes pour fuir lia triste demeureet coure sur In mute de 61outainbaro ou deVILlemunier, it; anelt b voir tannât le notaireai tent« le juge de paix, ne censit-11,nérnter d la jeune fitle qui ne lui demamlailrien et se confiait entièrement à PAS nias.

Un jour qu'il:traversait le village et passaitprès du autel:ace oit durrnoit sa victime,une idée subite lui traversa l'esprit. D ren-tra au château et, dee l'apr.-midi, au mo-ment où M chateur liait un peu tombée, ilmonta jusqu'a 1s obainbre oû se tenaient sacousine et miss Gernett.

Medemoisolle de Breenc était anise errede la fentre al cd l'on apercevait Le cause du

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regardiez le valloge quaud je suiajouta-LN sate songer que de lano pouvait apercevoir 4 Litennunem, 99

rateose,elle répondait si bien a. ined.p04de in jeune fille, que OBRA-Ci, .11B...fier terreur du vicomte, se sen,

- Oh I Je vouer bien, dtt-elle ;

Germe ? fit-il en se reti.ut.

te,ELdbife7,quo'a:::les deux Gram. atterght,,perro.n du château le grand landau

ci'ternd'eunstIanttteelter': eu, me,ab lXvInée de deuil, Lee harnais /mins.MU de ounce. La douleur viconite vétalait partout à profusion. Dan la volte.;Jeanne trmrva, des gerbes de fieung 500,0.5-prêles pour ,sa pieuse offramde.

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110 IPJIO PENNTE Irà.01.13. - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101_MIDSOC_1910... · Rem de Codam. Diardl, 9 75,,lie Froment Roux A. Rieutaud

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ÉDITO Le dossier PerPÉtuelle menace la grippe

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QUOTOEN' SOCALSTE R-GONAL CHÉOUESPOSTAUX 5271 X …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101_MIDSOC_1922... · me enCOl e ti ois semaines NOUVELLES US'1tUCTIONS DE LENINE

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LA REFORME MONETAIRE Les républicains devant le …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1936/B315556101_MIDSOC_1936_10_02.pdf · 78 gyEBEIM Asia, SOCIALISTE Rédaction et Administration

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ruatre lyERS PETITE CONTRIBUTION estant de Za Wehrmacht a ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1942/B... · ces jours derniers, que trois di- planeurs remorqués ardeff visions

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Mort aux Ramones · 5 Tiens, puisqu’on parlait des Ramones, le livre de leur bassiste Dee Dee est l’un des trois meilleurs bouquins rock de tous les temps. Me cherchez pas: les

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phhuh e'an'eisohh L'ANGLETERRE NONIBREIJX4e …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1943/B315556101_MIDSOC_1943... · 150 ANS D'HESITATION.... DEUX DEPARTEMENTS La Convention, inapirée

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Sans le souvenir de la Ruhr1 SOCIALISTE raccord …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1924/B315556101_MIDSOC_1924... · leur arrilrellelerrr des textes de ... Les détenteurs des

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e ce jour Apres te désagre - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1930/B315556101_MIDSOC_1930... · viens-toi que tu es poussière et que tu retourneras

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s'est prononcée en faveur des en puissance …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937... · dlat d'un nombre symbolique de natio. falun non Espagnols combattant

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NS O CIAL1LS '11-*images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1913/B315556101...SLIZEIHE ADMINISTRA a RÉ.DecTicni 38, 1Z00 gotetelaine T01.11101.1SE xer-eyn.t01910 43 Frembets SI tu. 20

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plébiscite allemand ? S CIALISTE Et les communistes donc?images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1931/B315556101_MIDSOC_1931_08_15.pdfplébiscite allemand ? S CIALISTE Et les communistes

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AVRIL 2012  · les disques des Ramones, Stooges, Nirvana. Le Velvet aussi les impressionne. A fouiller dans les bacs des bibliothèques, ils découvrent par hasard les années 50

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Rédaction et Administration: 38, Rue Roquelaine, Toulouse ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1909/B315556101_MIDSOC_1909_08_21.pdfhome n'a qu'a faire ses malles. Il n'apas droit

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No 135 6F mensuel HOT TUNA RAMONES DYLAN ROXY MUSIC … · ROXY MUSIC JAM . musique populaire. Il est malheu- reusement aussi évident que de- puis quelques années cette facette

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Gandhi est l'hôte respecté de l'An- SOCIALISTE ------images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1931/B315556101_MIDSOC_1931... · I' cette visite historique f II est dit-licite de le

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