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La Chaire du Louvre Cycle de conférences à l’auditorium du 16 au 30 septembre 2013 L’ Album de l’art à l’ époque du « Musée imaginaire » Geor ges Didi - Huberman

Didi-Huberman, G. - L´Album de l´art à l´époque du ´Musée imaginaire´ (0)

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  • La Chaire du Louvre

    Cycle de confrences lauditorium du 16 au 30 septembre 2013

    L Album de lart lpoque du Muse imaginaire Georges Didi-Huberman

  • Le Louvre propose un rendez-vous annuel ddi la recherche en archologie et en histoire de lart. Sur un sujet original li aux collections du muse, un historien de renom prsente lauditorium une rflexion indite, qui donne lieu des rapprochements transdisciplinaires entre des uvres du monde entier. la fois exposs savants, causeries ouvertes au grand public et rencontres avec des personnalits exceptionnelles, ces cycles de confrences font lobjet dune publication qui permet dapprofondir et de conserver leurs apports.

    Pour la cinquime dition, lhistorien de lart Georges Didi-Huberman propose dinterroger la notion du Muse imaginaire dAndr Malraux travers les champs imaginaire, matriel, littraire, esthtique et politique dans lesquels elle sest panouie, jusqu former aujourdhui notre inconscient culturel.

    Avec le soutien des laboratoires Septodont et de leur prsident Henri Schiller, mcne fondateur de la Chaire du Louvre

    Cycle de confrences lauditorium du Louvre 19 h

    Lundi 16 septembreLa reproductibilit de lart et louverture du champ imaginaire

    Jeudi 19 septembreLalbum des images et lexpressivit du cadre, de la lumire, du montage

    Lundi 23 septembreLautorit du style et la clture du champ littraire

    Jeudi 26 septembreLe trsor des chefs-duvre et la clture du champ esthtique

    Lundi 30 septembreLhistoricit de la culture et la division du champ politique

    Confrence suivie de la projection du film Les statues meurent aussi (1953)Ral. : Alain Resnais et Chris Marker

    PublicationLAlbum de lart lpoque du Muse imaginaire Georges Didi-Hubermanditions Hazan, 25

    La Chaire du Louvre

    Quelle peut tre, aujourdhui, la valeur dusage de la grande ide de Muse imaginaire introduite par Andr Malraux dans le domaine pratique, historique et thorique des arts visuels ? Panthonise, pliadise , luvre de Malraux appartient incontestablement notre paysage culturel et, cependant, elle semble aujourdhui trop peu interroge que ce soit pour lutiliser ou pour la contester dans les domaines de lesthtique et de lhistoire de lart, voire dans celui de la politique culturelle.Revenir aux enjeux du Muse imaginaire nest rien dautre, au fond, quinterroger notre propre inconscient culturel , cest--dire aussi notre inconscient littraire, artistique, philosophique, politique Il y va de notre ide de lart mondial et de nos usages du patrimoine. Il y va de la relation que nous pouvons tablir entre une uvre dart et une image de lhistoire. Dans cet inconscient culturel coexistent les audaces bien penses et les replis bien-pensants, les prises de position trs exprimentales (Malraux homme de terrain, maquettiste, iconographe, monteur dimages) et les positions trs tablies (Malraux crivain officiel, ministre de la Culture). Cest une histoire qui commence dans les annes vingt et trente, lorsque lauteur de LEspoir dcouvre la revue Documents, les montages dEisenstein ou les thses de Walter Benjamin sur la reproductibilit de lart. Elle se poursuit dans les annes quarante et cinquante au fil de dbats avec Georges Duthuit, Maurice Blanchot ou Maurice Merleau-Ponty. Elle se conclut dans une confrontation avec lavant-garde cinmatographique dont le film Les statues meurent aussi, dAlain Resnais et Chris Marker, constitue sans doute un pisode des plus symptomatiques.

    L Album de lart lpoque du Muse imaginaire Georges Didi-Huberman

    Prsident-directeur du muse du Louvre : Jean-Luc MartinezDirecteur de lauditorium : Jean-Marc TerrasseCoordination scientifique de la Chaire du Louvre :Monica Preti assiste d'Isabelle Haquet

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  • Georges Didi-Huberman

    Car le Beau nest rien dautre que ce dbut de lhorrible qu peine nous pouvons encore supporter,Et nous le trouvons beau parce quimpassible il se refuse nous dtruire.

    Rainer Maria Rilke, Premire lgie de Duino (1912), trad. J.-P. Lefebvre, uvres potiques et thtrales,

    d. G. Stieg, Paris, Gallimard, 1997, p. 527 (cit par Chris Marker dans Immemory, 1997)

    Car il nest pas de tmoignage de culture qui ne soit en mme temps un tmoignage de barbarie.

    Walter Benjamin, Sur le concept dhistoire (1940), trad. M. de Gandillac revue par P. Rusch, uvres, III,

    Paris, Gallimard, 2000, p. 433

    La grande fcondit du Muse imaginaire par rapport au muse traditionnel ne tient-elle pas sa capacit pratique, technique, de faire se rencontrer enfin des objets trs loigns dans lespace ou dans le temps ? Le muse tait une affirmation, crit Malraux, le Muse imaginaire est une interrogation. Une interrogation laquelle il naura pas tard fournir lui-mme toutes les rponses, non seulement en crivant la somme textuelle de sa vaste exprience de lart universel, mais encore en ralisant les montages visuels exprimentaux de son Muse imaginaire . Et cela par le biais dune utilisation de toutes les ressources, formelles et rhtoriques, dont la photographie est capable pour faire de sa nature de document, de prlvement ou denregistrement, un vritable outil de rvlation, de persuasion ou de certitude Il suffit, pour cela, dun montage appropri. Ce qui caractrise dabord les albums dAndr Malraux, cest donc une stratgie quant la succession des images, succession travers laquelle se racontera toute lhistoire historique ? fictionnelle ? de lart mondial. Mais selon quelle ide, selon quelle politique de la culture ? Toute la question est l.

    Georges Didi-Huberman

    Ouvrages de rfrence de Georges Didi-Huberman

    Invention de lhystrie. Charcot et liconographie photographique de la Salptrire, Paris, Macula, 1982 (d. augmente, 2012) La Peinture incarne, Paris, Les d. de Minuit, 1985 Devant limage. Question pose aux fins dune histoire de lart, Paris, Les d. de Minuit, 1990 Fra Angelico Dissemblance et figuration, Paris, Flammarion, 1990 Ce que nous voyons, ce qui nous regarde, Paris, Les d. de Minuit, 1992 La Ressemblance informe, ou le gai savoir visuel selon Georges Bataille, Paris, Macula, 1995 LEmpreinte, Paris, d. du Centre Georges Pompidou, 1997 Phasmes. Essais sur lapparition, Paris, Les d. de Minuit, 1998 Ouvrir Vnus. Nudit, rve, cruaut (LImage ouvrante, 1), Paris, Gallimard, 1999 Devant le temps. Histoire de lart et anachronisme des images, Paris, Les d. de Minuit, 2000 LImage survivante. Histoire de lart et temps des fantmes selon Aby Warburg, Paris, Les d. de Minuit, 2002 Ninfa moderna. Essai sur le drap tomb, Paris, Gallimard, 2002 Images malgr tout, Paris, Les d. de Minuit, 2004 LImage ouverte. Motifs de lincarnation dans les arts visuels, Paris, Gallimard, 2007 Lil de lhistoire, 1-4, Paris, Les d. de Minuit, 2009-2012.

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    Georges Didi-Huberman dans une salle du parcours sur l'Orient mditerranen dans l'Empire romain au Louvre

    Historien de lart et philosophe, Georges Didi-Huberman enseigne lcole des Hautes tudes en Sciences Sociales (Paris). Il a sjourn et enseign dans de nombreuses institutions internationales, notamment en Italie, aux tats-Unis et en Grande-Bretagne, en Allemagne et au Japon. Les rflexions quil poursuit, amples par les enjeux soulevs, ont nourri les expositions dont il a t le commissaire, en particulier LEmpreinte au Centre Georges Pompidou (1997), Fables du lieu au Fresnoy-Studio national des Arts contemporains (2001), Atlas au Museo Nacional

    Centro de Arte Reina Sofa de Madrid (2010) puis au ZKM de Karlsruhe et la Sammlung Falckenberg de Hambourg (2011) et, rcemment, Histoires de fantmes pour grandes personnes et Atlas, suite avec Arno Gisinger (au Fresnoy en 2012, au Museu do Arte de Rio de Janeiro en 2013). Au fil de la quarantaine douvrages sur lhistoire et la thorie des images quil a publis, sest construite une approche transdisciplinaire qui fait se recroiser les dimensions historiques, anthropologiques, psychiques, potiques et politiques des images.

  • La reproductibilit de lart et louverture du champ imaginaireLundi 16 septembre / 19 h

    Une pense de lart jamais ne devrait se reclore sur ses propres rsultats. Celle dAndr Malraux a commenc, au contact dune certaine avant-garde artistique et intellectuelle, par ouvrir le champ de lhistoire de lart une poque o se conjuguaient chez lui un courage thorique (proche, jusqu un certain point, de celui de Walter Benjamin) et un courage politique (proche, jusqu un certain point, de celui de Carl Einstein). On sait, en particulier, combien Le Muse imaginaire est dbiteur, sous certains aspects fondamentaux, des fameuses thses dveloppes par Benjamin sur la question de la reproductibilit technique des uvres dart. Cest ainsi que Le Muse imaginaire, au cur mme de sa critique de lhistoricisme et du muse traditionnel pour ouvrir le temps de lart, a engag Malraux sur la voie pratique dun nouveau type de livres illustrs dont cette confrence tentera de dcrire les principales caractristiques. Avant de juger Malraux sur la consistance de ses concepts ou sur la beaut de son style littraire, on devra comprendre ce qui, en lui, runissait lcrivain et le critique visuel, le penseur et liconographe, lditeur et le maquettiste, dans une mme capacit pratique technique et artistique faire se rencontrer, sur chaque double page de ses albums photographiques, des uvres venues dhorizons gographiques et historiques trs loigns : cette pratique du montage donnant sans doute sa premire et grande force au Muse imaginaire.

    . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Andr Malraux, Le Muse imaginaire de la sculpture mondiale, Paris, Gallimard, 1952, fig. 634-635 (Benvenuto Cellini, Perse)

    Lalbum des images et lexpressivit du cadre, de la lumire, du montageJeudi 19 septembre / 19 h

    De quelle faon les images dialoguent-elles se rpondent-elles, sapparient-elles ou se diffrencient-elles dans Le Muse imaginaire ? Il est bien possible quAndr Malraux, passionn de cinma, se soit mis, toutes proportions gardes, lcole dEisenstein et dune certaine conception du montage caractristique des annes vingt et trente dans tous les domaines de lart (y compris littraire). Il y a donc, dans Le Muse imaginaire, une grande pulsation des diffrences runies par montage. Mais elle vise toujours cet air de famille , une tte gothique avec une tte bouddhique, par exemple, do Malraux voudra postuler quelque chose comme une unit de la culture humaine. Or, pour apparier la tte gothique avec la tte bouddhique, il aura fallu utiliser toutes les vertus expressives du cadre et de la lumire photographiques : cela sobserve dans lutilisation systmatique des gros plans, des manipulations dchelle, des contrastes lumineux et de ces auras qui entourent si souvent, dans Le Muse imaginaire, les uvres photographies. On peut alors faire le lien entre ces oprations techniques et le vocabulaire mme utilis par Malraux devant les images : vocabulaire de la prsence, de la rvlation, de lexpression ou du gnie. La technique des reproductions photographiques engage donc une nouvelle forme du culte de lart, fonde chez Malraux sur lautorit de son exprience visuelle et de son pathos littraire.

    . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Andr Malraux, Les Voix du silence, Paris, Gallimard, 1951, p. 158-159 (art gothique de Reims, art boudhique de Gandhara)

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  • Lautorit du style et la clture du champ littraireLundi 23 septembre / 19 h

    Il faut, ds lors, interroger la double lgitimation du Muse imaginaire : comme littrature manipulant un certain savoir et comme savoir littrairement formul. Il faut se demander si les grandes ides de Malraux sur lart forment vritablement une philosophie, et si le savoir dispens dans ses albums relve vritablement dune histoire de lart. Pourquoi Malraux a-t-il t tout la fois un grand utilisateur et un grand contempteur de lhistoire de lart en tant que discipline scientifique ? Faut-il en rester au jugement svre dErnst Gombrich qui disait de Malraux Il nargumente pas, il proclame ? Regarder une uvre dart, pour Malraux, fut sans doute quelque chose comme un acte inspir : do le grand dialogue intrieur qui court tout au long de ses livres sur lart, do que Malraux se place constamment au centre de sa propre entreprise esthtique. Cela donne ce ton ocanique et souverain qui nous propose un savoir absolu lgitim par sa propre autorit littraire mais par-del toute modestie et, mme, toute prcision dans lexercice du savoir. Tel serait le paradoxe inhrent la connaissance des images que nous propose Le Muse imaginaire.

    . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Andr Malraux, Le Muse imaginaire de la sculpture mondiale, Paris, Gallimard, 1952, fig. 318-319 (art japonais de l'poque Tempyo)

    Le trsor des chefs-duvre et la clture du champ esthtiqueJeudi 26 septembre / 19 h

    Le Muse imaginaire aura fini par poser lart comme un absolu, une chose de toute ternit. Malraux ne cessera plus de se poser en grand tmoin humaniste de luniversalit de lart, de sa prsence ternelle comme il aimait dire. Bref, louverture exprimentale aura fait place une clture aussi grande , aussi majestueuse soit-elle mtaphysique. Il sera intressant, dans ce contexte, de rappeler les principales ractions suscites par la publication des volumes de la Psychologie de lart ou des Voix du silence : il y a, bien sr, la rponse polmique de Georges Duthuit et de son Muse inimaginable. Il y a aussi lanalyse remarquable consacre par Maurice Blanchot aux positions esthtiques du Muse imaginaire : lhommage et ladmiration feront place, de faon trs subtile, une critique du privilge exorbitant accord par Malraux cette chose hyperbolique quest, pour lui, lArt . En rappelant, de faon trs dialectique, que lhomme galement se dfait selon son image , Blanchot sengage linstar de son ami Georges Bataille dans une vision paradoxale de limage comme objet de dpouille . Faon de retrouver les intuitions de la revue Documents dont Le Muse imaginaire reprendra bien des exemples tout en inversant leur usage argumentatif. Faon, aussi, de comprendre ce qui aura pu diffrencier profondment la tentative de Malraux (fonde sur une pratique de lalbum) et celle dAby Warburg (fonde sur une pratique de latlas).

    . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Georges Duthuit, Le Muse inimaginable, Paris, Jos Corti, 1956, III, pl. 36-37 (art japonais, Georges Seurat)

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  • @Lhistoricit de la culture et la division du champ politiqueLundi 30 septembre / 19 h

    Malraux a fini par comprendre lhistoire de lart comme une anti-histoire , un anti-destin . Sa critique vhmente et innovante de lhistoricisme Il nest pas vrai, disait-il, que lart se dfinisse par la succession des uvres aura fini par se cristalliser dans un rejet souverain, radical, de lhistoire. Cest lide dun Intemporel de lart, dont il sera intressant de suivre la gense, mais aussi les critiques quelle a suscites, notamment chez Emmanuel Mounier, Gatan Picon ou encore Maurice Merleau-Ponty. Grce celui-ci, notamment, on comprend que ce qui est en cause nest autre que la conception dialectique du rapport entre les images et lhistoire (et de lhistoire elle-mme). La mtamorphose dAndr Malraux apparat alors sous un angle plus prcis : aprs avoir pens lart selon une vision de transformation politique donc historique lauteur du Muse imaginaire aura prfr extraire lintemporalit de lart hors de toute division historique ou politique. Cela, lpoque mme o il devenait ministre de la Culture du gnral de Gaulle. Mais autour de cette notion de culture se focalisent tous les enjeux thoriques, notamment dans la diffrence qui spare lemploi du mot culture chez Malraux et chez son contemporain Georges Bataille. Un exemple plus clairant encore nous retiendra : il sagit du destin rciproque, autour de 1953, du Muse imaginaire de la sculpture mondiale et du film ralis par Alain Resnais et Chris Marker, Les statues meurent aussi.

    Confrence suivie de la projection du film Les statues meurent aussi (1953) Ral. : Alain Resnais et Chris Marker

    . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Photogrammes du film Les statues meurent aussi, 1953

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    Bulletin de rservationTarifs Places lunit : 6 , 5 (tarif rduit), 3 (tarifs solidarit et jeune) Abonnement fixe : 25 , 20 (tarif rduit)

    Rductions tarifaires sur prsentation ou copie par correspondance dun justificatif.

    Tarif rduit Adhrents du muse ; tudiants de plus de 26ans ; personnel du ministre de la Culture et de la Communication ; Pass ducation ; guides et confrenciers relevant des ministres franais chargs de la Culture et du Tourisme ou de la RMN ; adhrents Fnac ; achat group de 10 places et plus une mme sance.

    Tarif solidarit et jeuneMoins de 26 ans ; demandeurs demploi, bnficiaires des minima sociaux ; personnes handicapes civiles ou victimes de guerre ainsi que leur accompagnateur ; scolaires.

    Entre libre pour les cartes Louvre jeunes et les tudiants en arts dans la limite des places disponibles dans la demi-heure prcdant la manifestation.

    RservationsPar correspondance laide du coupon ci-contre, accompagn du rglement par chque ou carte bancaire et, en cas de rduction, de la copie du justificatif, renvoyer : Billetterie de lauditorium / Muse du Louvre / 75 058 Paris Cedex 01 Par tlphone au 01 40 20 55 00. Du lundi au vendredi (sauf mardi), de 11h 17h (rglement par carte bancaire uniquement). En ligne sur www.fnac.com Aux caisses de lauditorium du lundi au samedi (sauf le mardi) de 9 h 17 h 45, et les mercredi et vendredi jusqu 19h 15. Fermeture du 28 juin au 3 septembre inclus. Les billets commands par courrier et par tlphone sont expdis domicile. Les billets des commandes passes deux semaines avant la date de la premire manifestation choisie sont retirer aux caisses ainsi que les billets achets par tlphone un tarif ncessitant la prsentation dun justificatif. Les places non retires ne sont ni rembourses ni changes. Achats groups groupe adulte (association, comit dentreprise) au 01 40 20 55 00.Groupe scolaire et parascolaire au 01 40 20 50 01, [email protected]

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    * 3 chiffres figurant au dos de la carte bancaire

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    Crdits photogaphiquesCouverture ; Le sourire de Reims Gallimard ; p. 4 : Muse du Louvre / A. Mongodin ; p. 7 : Gallimard ; p. 9 : (1) Gallimard ; (2) Editions Jos Corti ; p. 10 : Prsence africaine ditions ; dos de couverture : Andr Malraux au travail, 1953 Paris-Match / M. Jarnoux

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