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Depuis son numéro de lancement du 21 novembre 2011, le journal des étudiants de français de l’uni- versité du Cap-Vert à Mindelo s’est un peu épaissi. Ce numéro 1 de UNICVRAI rend d’abord hommage à Cesaria Evora, disparue peu avant Noël. Vous retrouverez ensuite des rubriques familières : « Note de lecture », « Poème », « Petites annon- ces », « Ça me fait penser » (le témoignage d’un superstitieux qui s’assume), « Faits divers ». Quelques nouveautés néanmoins : le partage d’une chanson aux résonances capverdiennes, un article d’ordre didactique, le courrier des lecteurs. Vous avez en effet été plus d’un à nous envoyer vos réactions sur la naissance d’UNICVRAI. Nous vous remercions de tout cet appui et vous encoura- geons à nous écrire. Nous répondrons ! Attention, notre courriel a changé ; nous avons dé- sormais une adresse électronique aux couleurs de l’Uni-CV : [email protected] Bonne année à tous, Laurence Garcia Coordinatrice de l’atelier Journal Éditorial Dans ce numéro : Éditorial 1 Note de lecture : Matin brun 3 Petites annonces 3 Ça me fait penser 4 Faits divers 4 Toi qui es seule et qui réclames 5 Améliorer sa production écrite 6 Rions un peu 7 Contact Journal UNICVRAI 8 Notre Diva aux pieds nus ... 2 Civilisation 2 Poème : Le coeur de la vie 3 Sponsor 8 Courrier des lecteurs 8 DCSH - São Vicente LE JOURNAL BI SEMESTRIEL DES ÉTUDIANTS DE FRANÇAIS DE L’UNIVERSITÉ DU CAP-VERT À MINDELO N°1 - décembre 2011-janvier 2012 - 50$

Éditorial - ADEF · PDF fileà Cesaria Evora, disparue peu avant Noël. Vous retrouverez ensuite des rubriques familières : « Note de lecture », « Poème », « Petites annon

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Depuis son numéro de lancement du 21 novembre 2011, le journal des étudiants de français de l’uni-versité du Cap-Vert à Mindelo s’est un peu épaissi.

Ce numéro 1 de UNICVRAI rend d’abord hommage à Cesaria Evora, disparue peu avant Noël.

Vous retrouverez ensuite des rubriques familières : « Note de lecture », « Poème », « Petites annon-ces », « Ça me fait penser » (le témoignage d’un superstitieux qui s’assume), « Faits divers ».

Quelques nouveautés néanmoins : le partage d’une chanson aux résonances capverdiennes, un article d’ordre didactique, le courrier des lecteurs.

Vous avez en effet été plus d’un à nous envoyer vos réactions sur la naissance d’UNICVRAI. Nous vous remercions de tout cet appui et vous encoura-geons à nous écrire. Nous répondrons !

Attention, notre courriel a changé ; nous avons dé-sormais une adresse électronique aux couleurs de l’Uni-CV :

[email protected]

Bonne année à tous,

Laurence Garcia Coordinatrice de l’atelier Journal

Éditorial

Dans ce numéro :

Éditorial 1

Note de lecture : Matin brun 3

Petites annonces 3

Ça me fait penser 4

Faits divers 4

Toi qui es seule et qui réclames

5

Améliorer sa production écrite 6

Rions un peu 7

Contact Journal UNICVRAI 8

Notre Diva aux pieds nus ... 2

Civilisation 2

Poème : Le cœur de la vie 3

Sponsor 8

Courrier des lecteurs 8

DCSH - São Vicente

LE JOURNAL BI SEMESTRIEL DES ÉTUDIANTS DE FRANÇAIS DE L’UNIVERSITÉ DU CAP-VERT À MINDELO

N°1 - décembre 2011-janvier 2012 - 50$

Page 2

Notre « Diva aux pieds nus », c’est ainsi que nous la surnom-mons affectueusement, est décédée à l’âge de 70 ans le samedi 17 décembre 2011 à l’hôpital Dr. Batista de Sousa, à Mindelo. Elle était revenue à S. Vicente, son île natale, après avoir an-noncé la fin de sa carrière musicale à Paris en raison de problè-mes de santé... Une carrière exceptionnelle, de nombreux prix gagnés dans des festivals du monde entier, des collaborations avec des musiciens de tous horizons (on se souvient par exem-ple de son duo créole-français, avec B. Lavilliers). Dans un entretien avec Anabela Ribeiro (« Diário de Noticias » 1998), Cesaria Evora a dit qu’elle n’avait pas eu la patience

d’étudier… Malgré cela, et malgré des conditions peu favorables à sa diffusion, grâce à elle, le monde a découvert l’âme du peuple capverdien : elle a fait connaître notre pays, elle a été une fidèle ambassadrice de la morna capverdienne . A sa mort, le gouvernement a décrété 48 heures de deuil national ; le jour de l’enterrement de « Cise », le 20 décembre, a été annoncé « férié » (Tolerança de ponte, cf. « Civilisation » ci-dessous) à S. Vicente ; ce jour-là, le cercueil de la célèbre chanteuse a été transporté de l’hôpital à sa résidence familiale, puis au Palais, accompagné de 30 militaires, ensuite à l’é-glise Nossa Senhora Da Luz et enfin au cimetière de Mindelo, suivi d’une véritable marée humaine d’admirateurs, de proches, d’inconnus qui sont allés aux funérailles de la grande dame pour lui rendre hommage en pleurant et en chantant ses chansons. Et l’aéroport international de S.Vicente s’appellera désormais « Aéroport Cesaria Evora ». Tout le monde a été bouleversé par cette disparition, parce que Cesaria Evora était modeste et qu’elle avait l’habitude de se produire pieds nus en soutien aux sans-abri, aux enfants et aux femmes du Cap-Vert. En 2009, dans une interview de Lusa, la chanteuse a dit : « Je vais chanter pendant un certain temps, je ne sais pas jusqu’à quel âge. Mais je sais que je ne vais pas chanter pour toujours … un jour, je vais arrêter. » Même si cette voix rauque et mélancolique qui a enchanté le monde en-tier s’est arrêtée de chanter, elle restera pour toujours sur les ondes et dans nos cœurs.

A. R. et J. L.

Notre Diva aux pieds nus n’est plus

Au Cap-Vert, comme dans tous les autres pays lusophones, « Tolerança de ponto » (mot à mot : « Tolérance de pointe ») désigne un jour férié qu’on n’attendait pas, improvisé si l’on peut dire... Par exemple, le jour des funérailles de Cesaria Evora, le gouvernement a décrété que les ha-bitants de l’île de S. Vicente ne travailleraient pas pour qu’ils puissent y aller.

Civilisation

UNICVRAI n°1

DCSH-SV Page 3

Illustration de l’édition originale

Matin brun est un livre écrit par Franck Pavloff, auteur français né à Nîmes en 1940. Il a été pu-blié en 1998 par les éditions Cheyne. Le titre fait référence aux « Chemises brunes », sur-nom donné aux miliciens nazis.

C’est une histoire très courte (11 pages) mais passionnante : à travers le narrateur (à la pre-mière personne), vous allez découvrir la pro-gression d’un pouvoir détestable sans que les gens y réagissent. Au début, le régime extrê-me qui s’installe oblige le narrateur et son ami à se débarrasser de leur animal domesti-que parce qu’il n’est pas « conforme », c'est-à-dire de couleur brune. A la fin, même les gens qui ont possédé un chat ou un chien blanc ou noir « avant » sont recherchés :

« Si en avoir eu un avant était un délit, j’étais bon pour la milice. »

Il est difficile de tout comprendre immédia-tement, parce que F. Pavloff exprime beau-coup de choses en très peu de mots, et que parfois le registre de langue est familier ; mais après plusieurs lectures, on voit que l’auteur nous invite à réfléchir à notre com-portement, nos actions, nos lâchetés ; le mes-sage essentiel de ce texte, c’est qu’il faut qu’on donne notre opinion et qu’on proteste davantage contre ce qui ne va pas. Rester les bras croisés n’est pas la meilleure solution. Ce thème nous fait réfléchir sur notre passi-vité, l’habitude de tout accepter et de ne rien dire. Il y a beaucoup de gens qui ne s’intéres-sent qu’à ce qui les intéresse. Il faut qu’on crée l’habitude de s’entre-aider et d’appuyer ceux qui ont besoin d’aide.

Ce texte me fait penser au poème « Je n’ai rien dit » du Pasteur Martin Niemöller et aussi à tous les peuples qui acceptent tout sans protester et résister. A. C.

Note de lecture : Matin brun

Le cœur de la vie

Aujourd’hui, je suis professeure de français Mais par combien de difficultés

je suis passée

Des heures et des heures sans dormir Mille souffrances dans la main

Mais je n’ai pas manqué les cours un seul matin

Loin de mes parents que je voulais toujours embrasser

Vous n’imaginez pas cette douleur Vous qui recevez de votre famille

toute la chaleur

J’ai compris qu’on doit se battre pour ce qu’on croit dans la vie

Et jamais je ne changerai d’avis

A. L.

1.Participez librement au blog récemment créé par José António, professeur de français au lycée Jorge Barbosa (São Vicente) :

francite-jitonis.blogspot.com 2.« Des mots pour voir » (jusqu’au 29 mars) : Concours international d’écriture par internet pour les francophones de moins de 20 ans : il faut écrire un texte à partir d’une des images qui sont proposées sur le site www.imageimaginaire.com en associant don-nées historiques et invention personnelle. Ins-cription gratuite. Prix : un ordinateur portable. Contact : [email protected] 3. Vends vélo dame mountain bike, bon état. S’adresser au journal (Réf. N°1-PA3)

Petites annonces

Comme d’habitude, avant le début de l’année scolaire, les étudiants de l’UNICV-DCSH SV ont renouvelé les contrats des bourses d’étude. Mais, malheureusement, ils ont attendu pen-dant des mois la somme destinée à payer les frais mensuels de l’université, de leur logement et aussi de leur nourriture. À la fois préoccupés et frustrés, ils ont appelé l’entité responsable, la Fondation capverdien-ne d’action sociale et scolaire, pour demander pourquoi, mais les informations obtenues étaient vagues et contradictoires… Par la suite, les boursiers ont découvert que les modalités de versement des bourses d’études avaient été modifiées récemment ; ils n’avaient pas été avertis de ces changements. Des questions demeurent mais la situation vient d’être régularisée.

J. M.

Faits divers

Page 4

Au Cap-Vert, il existe beaucoup de gens superstitieux. Comme moi.

Comme je suis superstitieux, je ne me promène pas autour des arbres à midi, car à cette heu-re-là, il existe minguarda ; et je reste chez moi les mardis après minuit, parce que c’est le jour des sorcières à S. Antão.

Comme je suis superstitieux, je croise les doigts quand je rencontre des personnes qu’on considère comme des sorcières ; et j’ai chez moi une bouteille d’eau de vie avec un testicule de cochon noir, dont je bois trois cuil-lères chaque semestre pour me protéger de ces gens-là.

Comme je suis superstitieux, je ne passe jamais au des-sous d’une échelle; et je refuse que treize personnes s’assoient ensemble à une table car le plus jeune ris-querait d’être attrapé par le diable.

Comme je suis superstitieux, je sais qu’il faut faire très attention, les vendredis 13 : ils ren-dent malchanceux ; la preuve, c’est vendredi 13 janvier que le naufrage du Costa Concordia a eu lieu en Méditerranée et aussi que la France a perdu l’un de ses trois A.

On lit dans le Dictionnaire Robert que la superstition est le « fait de croire que certains ac-tes, certains signes entraînent mystérieusement des conséquences bonnes ou mauvaises » et que c’est un comportement « irrationnel ».

Moi je pense qu’il est mystérieux et irrationnel de ne pas être superstitieux.

A. P. et A. R.

Ça me fait penser

(Grand

Large 1, H

achette 19

87

; p. 39

) UNICVRAI n°1

DCSH-SV Page 5

Toi qui es seule et qui réclames…

Ma fiancée est toujours loin de moi. Elle travaille dans un pays étranger et, donc, on n’a pu passer ni Noël ni la Saint Sylvestre ensemble. Mon cas n’est pas unique : qui n’a jamais vu son amour rentrer dans un avion pour aller trop loin, et donc réclame un peu d’amour, d’a-mitié ou même de chaleur ? Gilbert Bécaud est l’un de ceux qui, à travers leurs chansons, nous aident à surmonter la peine d’un amour lointain. Sa chanson « Un peu d’amour et d’amitié » exprime à mon avis tous ces sentiments à la fois : la solitude, l’impatience, la douleur de vivre loin de son amour, que seule la personne aimée peut guérir :

Né à Toulon le 24 octobre, cet illustre chanteur, compositeur, pianiste et acteur français est mort le 18 décembre 2001 à Paris, à 74 ans. On le surnommait « Monsieur 100 000 volts » en raison de son sens du swing qu’il n’a pas cessé de montrer durant les trente-trois fois qu’il s’est produit sur la scène de l’Olympia; sur scène, il amenait son piano, un piano per-sonnalisé, légèrement incliné pour qu’il puisse voir toute la salle. Les compositions de Bécaud sont marquées par des thèmes chargés de tension affective qui parlent souvent de souffrance et désespoir, comme on peut le voir dans son célébrissime ti-tre, très apprécié par les Français et nous aussi, « Et maintenant ». Cette chanson a été repri-se plus de cent cinquante fois depuis son apparition en 1961 et sa version anglaise « What now my love » a fait le tour du monde.

M. N. et I. L.

Toi qui es seul et qui réclames Un peu d'amour et d'amitié

Un peu de chaleur pour ton âme Pour toi tout seul je veux chanter

Le transistor sera complice D'un secret entre toi et moi Et sur les ondes je me glisse

Pour t'apporter un peu de joie.

Toi sur ton bateau sur la mer Toi dans un village lointain

T'as un problème insurmontable? Tiens, pose-le là, sur la table

Laisse passer, laisse passer

Et le temps et le temps et le temps et le temps et le temps

Te le règlera Okay, okay … bien

Je ne veux pas que tu regrettes Les soleils que tu as ratés

J’essaie pour toi des jours de fête Ah, mais ceux-là, faut pas les louper.

Et toi ta chambre c'est comme une île

Où tu as dû souvent pleurer Autour de toi c’est une petite ville

Prends ton manteau, on va trinquer

Trinquer aux marins sur la mer Aux gars du village lointain

A tous leurs problèmes insurmontables Tiens, pose-les là, sur la table

Laisse crever, laisse crever

Et le temps et le temps et le temps et le temps et le temps

Nous les règlera okay, okay... bien

Dès que j’entends le mot stage, je tremble toujours parce que c’est une phase qui exige beaucoup de concentration, de tra-vail et de stratégies. J’aime travailler, en travaillant et en étu-diant, on apprend beaucoup mais il me manque de la concen-tration et des stratégies pour travailler comme qu’il faut. Je n’ai aucune idée du déroulement du stage et maintenant que j’observe les cours j’ai hâte d’être sur le terrain et prati-qué mais les préoccupations surmontent COD tous les jours. Certes qu’il me faut encore de l’assurance parce que le com-portement des élèves, parfois me fait peur, ils se comportent très mal et la majorité n’aime pas apprendre le français. En observant les cours, j’ai constaté que les élèves sont très démotivés par rapport au français, alors ma préoccupation se tient au niveau de la motivation, mon objectif principal est de leurs montrés que cette langue est intéressante, utile et qu’ils vont l’utilisé pour se communiquer. Ce que je craints le plus, c’est la façon de transmettre les connaissances, comment atteindre les objectifs prévus ? Comme je choisis l’enseignement du français, je pense le faire d’une façon motivante.

Améliorer sa production écrite

Page 6

Tout d’abord, il faut relire et corriger les fautes.

Ensuite, il est indispensable de regrouper les idées de façon à établir un lien cohérent et un ordre chronologique entre elles, c'est-à-dire que le texte doit comprendre une introduction, un développement (en plusieurs paragraphes) et une conclusion. Il faut aller à la ligne quand on change d’idée. La présentation (mise en page) et la ponctuation

jouent un rôle important lorsqu’on organise son texte : elles facilitent la compréhension de la part du lecteur. Il faut aussi toujours ajouter des connecteurs logiques (ex : comme, cependant, alors) qui permettent d’établir une relation entre les phrases du texte, de développer les idées et aussi de les rassembler. Les phrases très longues sont déconseillées et les répétitions sont à éviter autant que possible, sauf si c’est un effet de style.

UNICVRAI n°1

Comment améliorer le texte ci-dessous, écrit par une étudiante capverdienne de Maîtrise Langues, littératures et cultures - études françaises ?

C’est ainsi qu’on arrive au texte qui suit :

Rions un peu

Page 7

Ce n’est pas si difficile, n’est-ce pas ? C. M. et A. R.

• Un policier dit à l’homme ivre : « Donne-moi ton nom et ton prénom. »

– Mais si je te donne mon nom et mon prénom, demain… comment je m’appellerai ? • Pourquoi le fou prend sa douche sans ouvrir l’eau ? – Parce que sur l’étiquette du shampoing, il est écrit : « Pour cheveux secs ».

Blagues envoyées par S. DC

Dès que j’entends le mot « stage », je tremble à l’idée de cet-te phase inconnue, néanmoins attendue, qui exige beaucoup de travail et de savoir-faire. En réalité, travailler ne me fait pas peur. En outre, en tra-vaillant et en étudiant, on apprend beaucoup. Cependant, il me manque de la concentration et des stratégies pour en ti-rer le maximum. Comme je n’ai aucune idée du déroulement du stage, j’ima-gine toutes sortes de choses qui me préoccupent… et mes ap-préhensions l’emportent sur ma hâte à être sur le terrain. C’est l’observation de cours qui m’a donné cette envie d’ex-périmenter la pratique de classe. J’ai constaté que les élèves étaient très démotivés par rapport au français; je me suis alors fixé pour but principal de les motiver en leur montrant que cette langue est intéressante, utile et qu’ils vont l’utiliser pour communiquer. Il me faut gagner de l’assurance parce que les élèves, qui se comportent très mal et n’aiment en général pas apprendre le français, me font peur. Mais ce qui m’inquiète le plus, c’est la façon de transmettre les connaissances : comment attein-dre les objectifs prévus? Finalement, en réfléchissant au stage, je me rassure ; je par-viendrai à motiver mes élèves. N’ai-je pas choisi d’enseigner le français?

DCSH-SV

UNICVRAI - le journal des étudiants de français de l’Uni-CV Département des sciences humaines et sociales

Mindelo - São Vicente

[email protected]

Ce numéro UNICVRAI a été réalisé par : Ailine Rocha, Airton Pires, Aissata Diarra, Analiza Lima, Cleudir Mota, Irineia Lima, Josilene Leite, Natalino Assunção, Suely da Cruz… avec la contribution de : Angelina Chantre, Arietson Delgado, Jandira Cruz, João Melo, Marcelo Nöel et Zélia da Graça…

Merci aux lecteurs qui y ont également collaboré en nous écrivant ou en nous donnant des informations à publier.

« Unis, c’est vrai ! »

La version papier de ce journal UNICVRAI est sponsorisée par :

L’archipel à pied! www.cap-vert-trekking.com

Page 8

Courrier des lecteurs

- Je m’appelle E*** et je pose la question suivan-te au journal UNICVRAI et à ses lecteurs: « Les professeurs font acquérir aux élèves des choses inutiles pour l’avenir. Pourquoi ? » - J’ai lu le n° zéro de UNICVRAI avec beaucoup d’intérêt. Félicitations à vous! Bon courage pour la suite. - Bonjour Laurence! Bonjour chers étudiants! C'est avec grand plaisir que j'ai découvert et "feuilleté" le n° 0 de votre bulletin. Félicitations! Je vous souhaite beaucoup de succès. - Bravo aux étudiants de français de S. Vicente. Exemple à suivre… - Je souhaite une longue vie à UNICVRAI. - C'est une belle initiative, bon courage à vous. - Bravo. C'est super! Je l'ai édité de suite pour le lire. Félicitations aux étudiants et à la coordina-trice! (Un lecteur attentif…)

UNICVRAI n°1