DOCUMENT 1 LES DIFFÉRENTES VUES DE LA … · Les Européens et le monde (XVI. e - XVIII. e. siècle) Une campagne navale à la fin du XVIII. e. siècle : l’expédition de la frégate

Les Européens et le monde (XVIe - XVIIIe siècle) Une campagne navale à la fin du XVIIIe siècle : l’expédition de la frégate l’Hermione (1780-1782)

DOCUMENT 1 LES DIFFÉRENTES VUES DE LA FRÉGATE HERMIONE

DOCUMENT 1

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DOCUMENT 2 COUPE LONGITUDINALE DE LA FRÉGATE HERMIONE

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DOCUMENT 3 L’HERMIONE, PHOTOGRAPHIE PRISE À ROCHEFORT, JUILLET 2014

DOCUMENT 3

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DOCUMENT 4 EXTRAITS DU JOURNAL DE BORD DE L’HERMIONE

1DOCUMENT 4

ÉTAT-MAJOR DE LA FRÉGATE

Messieurs :

- de la Touche, lieutenant de vaisseau

- Duquesne, lieutenant de vaisseau

- Mullon, officier auxiliaire

- de Villemarais, idem

- Gourg, idem

- Félix de la Palisse, officier bleu

- de Traversay, garde de la marine

- Desbiare, idem

- Lassalle, idem

- Le Révérend Père Saint-Andrieu Augustin, aumônier

- Fabret, chirurgien major

[…]

EXTRAIT DE L’ÉQUIPAGE DE LA FRÉGATE L’HERMIONE

1 - maître

1 - second maître

2 - contremaîtres

1 - bosseman

1 - patron de chaloupe

1 - patron de canot

6 - quartiers-maîtres

1 - maître pilote

1 - second pilote

2 - aides-pilotes

1 - maître canonnier

1 - second maître canonnier

16 - aides-canonniers

1 - maître charpentier

1 - aide-charpentier

1 - maître calfat

1 - second maître calfat

1 - aide-calfat

1 - maître voilier

1 - aide-voilier

44 - officiers mariniers

12 - gabiers

9 - timoniers

131 - matelots

35 - soldats, y compris les bas officiers

231 - hommes d’équipage

71 - surnuméraires

302 - personnes en tout

SURNUMÉRAIRES

État-major : 8

Gardes de la marine : 3

Volontaires : 8

Secrétaire : 1

Pilote côtier : 1

Chirurgiens : 3

Gens du munitionnement : 4

Boulanger : 1

Cuistres : 1

Armurier : 1

Mousses : 31

Domestiques : 9

Total : 71



2DOCUMENT 4

DIMANCHE 23 JANVIER 1780

Appareillé à 2 heures après-midi. Les vents au nord-est, j’ai levé l’ancre pour descendre la rivière ; mais n’ayant pu éviter le flot par la force du vent, j’ai remouillé. […]

SAMEDI 19 FÉVRIER 1780

J’ai reçu ordre de prendre six mois de vivres. J’en ai embarqué un, ce qui a complété les six et je me tiens prêt à exécuter ma mission.

VENDREDI 10 MARS 1780

À 10 heures du matin, s’est rendu à mon bord M. le mar-quis de La Fayette, colonel du régiment du Roi dragons, et général major au service des États-Unis de l’Amérique, que je dois passer à l’Amérique ainsi que me l’avaient prescrit les instructions que j’ai reçues de la Cour. À 11 heures du soir, j’ai appareillé du port des Barques. […]

MERCREDI 15 MARS 1780

Le vent gros frais, la mer grosse. La grande vergue a cassé par son milieu par la très mauvaise qualité du bois qui était rempli de nœuds. Cet accident m’a forcé de prendre le parti de relâcher à l’île d’Aix. […]

DIMANCHE 9 AVRIL 1780

J’ai perdu aujourd’hui le nommé Étienne Laurent, aide-canonnier de l’île de Ré, mort d’une fièvre putride.[…]

VENDREDI 28 AVRIL 1780

À 4 heures et demie du matin, j’ai appareillé de Marblehead pour Boston. […]

JEUDI 18 MAI 1780

[…] J’ai perdu aujourd’hui le nommé Carel, soldat du Corps Royal de la Marine, division de Rochefort, mort du scorbut. […]

MERCREDI 7 JUIN 1780

[…] À 7 heures du matin, j’ai eu connaissance de quatre voiles au vent à moi. […] Après avoir fait toutes mes dis-positions pour le combat, j’ai viré sur la frégate […] Le combat a duré pendant 1 heure et demie […] J’ai tiré dans

ce combat 260 coups de canon, 140 coups de pierriers et 1 280 coups de fusil et d’espingole.

État des tués dans le combat

– Joseph Motay, aide-canonnier ; chef de la première pièce à la batterie ;

– Pierre Colin, quartier-maître ; sur le gaillard d’arrière à la manœuvre ;

– Léon Metreau, matelot ; à la première pièce à la batterie ;

– Jean-Baptiste Careau, matelot ; sur le gaillard d’arrière ;

– Pierre Leneau, matelot ; sur le gaillard d’arrière ;

– Jean Laroche, matelot ; sur le gaillard d’arrière ;

– Mathieu Bruneau, matelot ; sur le gaillard d’arrière ;

– André Chain, matelot ; sur le gaillard d’arrière ;

– Jean Dumeau, mousse ; sur les passavants ;

– Jean Bernard, mousse ; à la batterie.

Blessés

État-major

– M. de Latouche, commandant ; sur le gaillard d’ar-rière. Une balle au bras, forte contusion ;

– M. Duquesne, commandant en second ; sur le gaillard d’arrière. Deux forts éclats, deux fortes contusions ;

– M. de Villemarais, officier auxiliaire ; sur le gaillard d’arrière. La cuisse cassée par une balle de mitraille ;

– M. de Chadirac, gentilhomme volontaire. La main droite emportée par un boulet.

– Jean Diroin, second maître ; sur le gaillard d’avant. Les deux cuisses percées par une mitraille très fine et le bras gauche emporté par un boulet ;

– Joseph Luccas, maître voilier ; sur le gaillard d’arrière. Une forte contusion à la fesse par un boulet ;

– Jean C..., second maître ; sur le gaillard d’avant. Une forte contusion... ;

Jean Cantin, matelot ; sur le gaillard d’arrière. Une balle de mitraille dans la poitrine ;



3DOCUMENT 4

– Pierre Labrégé, matelot canonnier ; sur les passavants. Une forte contusion à l’épaule gauche ;

– Pierre Garneau, timonier ; gaillard d’arrière. Une contusion au genou ;

– Michel Guilbeau, aide-canonnier ; à la batterie, onzième pièce. Une contusion au nez et aux pau-pières ;

– Giraud Lageniose, matelot ; gaillard d’arrière. Une plaie à la cuisse gauche ;

– Jean Rouane, aide-canonnier ; à la batterie, dixième pièce. Une forte contusion à la jambe et au pied ;

– Pierre Daimion, matelot canonnier ; gaillard d’arrière. Deux plaies au bras et à la main ;

– François Mainguestet, matelot ; gaillard d’avant. Un doigt de la main droite emporté et une forte contu-sion au bras gauche ;

– François Gaurit, matelot canonnier ; à la batterie, qua-trième pièce. Une forte contusion à la main droite ;

– François Michonneau, matelot canonnier ; à la batte-rie première pièce. Une plaie à la main droite ;

– Jean Blocheau, aide-charpentier ; gaillard d’arrière. Une contusion au bras droit ;

– François Disé, aide-canonnier ; gaillard d’avant. Une contusion au bras gauche ;

– Antoine Pinard, matelot canonnier ; gaillard d’arrière. Une plaie à la cuisse droite ;

– Jacques Charrier, gabier ; hune de misaine. Une plaie à la main gauche ;

– Thomas Lavigue, gabier ; hune de misaine. Le bras droit cassé ;

– Pierre-Nicolas Berryer, matelot ; gaillard d’avant. Une forte contusion à l’avant-bras gauche ;

– Pierre Sureau, matelot ; gaillard d’avant. Une contu-sion à l’épaule gauche ;

– Martin Baralasiat, matelot ; gaillard d’avant. Une brû-lure considérable à la cuisse, au genou et à la jambe ;

– Jean Seva, matelot ; à la batterie, septième pièce. Une brûlure à la cuisse droite ;

– André Gaborit, matelot ; à la batterie, première pièce. Une plaie à la main gauche ;

– Charles Galucheau, second maître ; sur les passa-vants. Une légère contusion à la main ;

– Noël Micheau, tonnelier ; gaillard d’arrière. Une légère contusion au côté gauche ;

– Jean Braud, matelot ; gaillard d’arrière. Une contusion considérable à l’épaule et au bras droit ;

– Jacques Bonneteau, boulanger ; à la batterie, sixième pièce. Une forte contusion au bras gauche ;

– Jérôme Dubarry, mousse ; à la batterie, cinquième pièce. Une contusion à la cuisse droite ;

– Jacques Robert, mousse ; à la batterie, deuxième pièce. Une plaie à la jambe gauche ;

– David Gotrou, mousse ; gaillard d’avant. Trois doigts de la main droite emportés ;

– Jean-Georges Chevalier, mousse ; à la batterie, onzième pièce. Une forte contusion au nez et une brûlure sur toute la figure ;

– Pierre Geai, mousse ; sur les passavants. Une contu-sion à la jambe gauche ;

– Eutrope Canolle, mousse ; sur les passavants. Une forte brûlure à la main droite.

[…]

MARDI 13 JUIN 1780

[…] J’ai perdu aujourd’hui le nommé Huin, soldat du Corps Royal de la Marine, mort du scorbut. […]

VENDREDI 7 JUILLET 1780

[…] J’ai fait donner la cale au nommé Jacques Valet, aide-canonnier que j’ai préalablement dégradé, qui a été convaincu d’avoir volé une grande quantité de hardes de l’équipage. J’ai perdu ce jour le nommé François Guillac, matelot, mort du scorbut. […]

DIMANCHE 10 SEPTEMBRE 1780

Les vents de la partie du sud-ouest, le temps beau et serein. J’ai perdu le nommé Corbeil, matelot de l’île de Ré qui s’est noyé. […]

SAMEDI 14 AVRIL 1781

[…] Dans la journée, j’ai déchargé trois cent qua-rante-cinq barils de farine. À 9 heures du soir, j’ai eu le malheur de perdre ma chaloupe qui a été coulée entre le vaisseau Fantasque et un brick américain. Elle était char-gée de vivres et de vingt-huit hommes, dont douze ont

4DOCUMENT 4



péri malgré les secours qui leur ont été portés du Fantasque. Les noms de ces malheureux sont :

– Jean Rouanne, aide-canonnier de Bordeaux ;

– Joseph Elnes, matelot canonnier ;

– Arnaud Taudiau, matelot de Nérac ;

– Étienne du Coureau, matelot de Bayonne ;

– Guillaume Langlade, matelot de Toulouse ;

– Julien Pascaud, matelot de Saint-Jean-de-Luz ;

– Gratien Detchegaray, matelot de Saint-Jean-de-Luz ;

– Joannès Harismindy, matelot de Saint-Jean-de-Luz ;

– Jean Convenant, matelot de Brest ;

– Pierre Boisseau, matelot de l’île de Ré ;

– René Hilaire, boucher ;

– François Batard, mon domestique.

[…]

DIMANCHE 22 AVRIL 1781

[…] J’ai perdu ce jour le nommé Pierre Sellier, timonier, mon patron de canot, mort d’une péripneumonie putride. […]

SAMEDI 21 JUILLET 1781

[…] À 9 heures et demie, on a découvert du haut des mâts plusieurs voiles qui doublaient l’île de Sacatari [au large de Louisbourg, près des côtes canadiennes]. À 10 heures, on les a reconnues pour une flotte de dix-huit à vingt voiles dont trois se sont détachées pour venir nous recon-naître. […] À 6 heures et demie, le combat a commencé par le feu de nos bordées. […] J’ai tiré dans ce combat cinq cent neuf coups de canon, cent de pierriers et mille sept cents de fusil ou d’espingoles.

État des tués

– Jacques Chenut, gabier, dans la hune d’artimon ;

– Pierre Bouilléer, matelot calier, sur le gaillard d’arrière ;

– Pierre Sochet, matelot d’Olonne, sur le gaillard d’arrière.

Blessés

– M. Gourg, officier auxiliaire. Très forte contusion à la cuisse. Gaillard d’arrière ;

– Le sieur Marcel Moutardiu, premier pilote. Forte contu-sion à l’aine. Gaillard d’arrière ;

– Le sieur Tunclair, volontaire. Une dent cassée. Gaillard d’arrière ;

– Oudart Combault Boniment. Le bras emporté dans l’articulation ;

– Pierre Garneau, aide-canonnier. La cuisse percée d’une balle. À la batterie ;

– Jean Campo, second maître. La hanche emportée par un boulet. Passavant ;

– Nicolas Bertrand, timonier. Le crâne fracturé par une balle. Gaillard d’arrière ;

– Pierre Labrégé, matelot canonnier. Le poignet droit emporté. Passavant ;

– Jean Eyquem, second maître. Une plaie à la main.

– Pierre Pessard, second maître. Une brûlure à la main.

– Rey, soldat. L’oreille coupée. À la batterie ;

– Solguio, capitaine d’armes. Une contusion au visage. Gaillard d’arrière ;

– Henry Broissier, gabier. Une forte contusion au bras. Hune de misaine ;

– L. Evrard, matelot. Une brûlure à la main et au visage. À la batterie ;

– Antoine Manuel, matelot. Une brûlure à la main et au bras. À la batterie ;

– G. Marchand, matelot. Une brûlure à la main ;

– Pierre Moreau, caporal. Une contusion au bras ;

– Binjamin Bigaré, caporal. Une brûlure à la main et une contusion au bras ;

– Bernard Deypujol, matelot canonnier. Une contusion à la cuisse, plaie légère au visage. À la batterie.

VENDREDI 10 AOÛT 1781

[…] Ce jour, j’ai perdu le nommé Louis Gazeau, aide-ca-nonnier des Sables d’Olonne, mort d’une hydropisie de poitrine. […]

LUNDI 25 FÉVRIER 1782

Au jour, j’ai eu connaissance de la tour des Baleines […]. Peu après, j’ai vu la tour de Chassiron […]. Les vents ont passé au sud, ce qui m’a forcé de courir plusieurs bordées pour gagner le mouillage de l’île d’Aix où j’ai laissé tom-ber l’ancre par dix brasses, fond de vase. J’ai débarqué tout de suite pour me rendre à la Cour.


DOCUMENT 5 DESCRIPTION DE L’ORDRE DE BATAILLE DE LOUISBOURG, 1781

DOCUMENT 5


ACTIVITÉ 1

1ACTIVITÉ 1

1. QU’EST-CE QU’UNE FRÉGATE ?

L’Hermione est une frégate de 12, c’est-à-dire qu’elle emporte 26 canons de 12 livres (boulets de 6 kg) et 6 canons de 6 livres (boulets de 3 kg).

À l’aide des documents 1, 2 et 3, indiquez :

■ les dimensions de l’Hermione :

■ le nombre de mâts :

■ le nombre de voiles :

■ le nombre de ponts :

2. L’ÉQUIPAGE

À l’aide du document 4, indiquez :

■ le nombre de personnes embarquées :

■ le nombre d’hommes d’équipage :

■ le nombre de surnuméraires :

■ la composition de l’état-major :

3. LES PRÉPARATIFS AVANT LE DÉPART

■ À l’aide des documents 2 et 4, indiquez la nature et la durée des vivres embarqués :


ACTIVITÉ 1

2ACTIVITÉ 1

Cliquez sur le lien suivant : La vie à bord d’un 74 canons (http://www.musee-marine.fr/programmes_multimedia/vieabord/vieABord_fr.html), puis allez dans la rubrique « alimentation » pour connaître la ration quotidienne des hommes de l’équipage.

■ Combien le commandant La Touche-Tréville doit-il emporter :

– d’eau (ex. : 3 litres/homme/jour) ?

– de vin ?

– de biscuits ?

– de bœuf salé ?

– de lard salé ?

■ Qu’est-ce que ce stockage implique pour la vie à bord ?

4. LES ÉTAPES DU VOYAGE

■ Quelle est la mission de La Touche-Tréville ?

■ Quand quitte-t-il l’arsenal de Rochefort ?

■ Quand part-il pour l’Amérique ? Qui embarque-t-il et quand ?

■ Quand arrive-t-il à Boston ?

■ Quand revient-il à Rochefort ?

■ Combien a duré la campagne de l’Hermione ?


ACTIVITÉ 1

3ACTIVITÉ 1

5. LES COMBATS

■ Quels sont les deux principaux combats auxquels participe l’Hermione ?

Contre qui ? Où ?

■ D’après le document 5, comment se déroule la bataille navale de Louisbourg ? Quelle en est l’issue ?

■ Combien d’hommes perd l’Hermione au cours des différents combats ? Quelle est la nature des blessures ? Quel problème ces décès posent-ils pour la suite ?

6. À QUELS ACCIDENTS ET DRAMES LA FRÉGATE ET SON ÉQUIPAGE SONT-ILS CONFRONTÉS AU COURS DE CETTE CAMPAGNE ?

Complétez votre réponse à partir de la rubrique « santé » de l’animation La vie à bord d’un 74 canons (http://www.musee-marine.fr/programmes_multimedia/vieabord/vieABord_fr.html).

Les Européens et le monde (XVIe - XVIIIe siècle) L’expédition La Pérouse, deux frégates pour la découverte

ACTIVITÉ 2

1ACTIVITÉ 2

Rendez-vous sur le site suivant pour répondre aux questions : http://www.musee-marine.fr/programmes_multimedia/laperouse/.

Pour répondre, vous devez cliquer sur la carte, puis sélectionner les différentes étapes du voyage dans l’ordre chronologique.

1. Par qui La Pérouse est-il choisi pour commander l’expédition ? En quelle année ? Avec quels navires ?

2. Quels sont les objectifs de cette expédition ?

3. Quels sont les préparatifs de l’expédition ?

4. Quelle est la composition de l’équipage ?

5. Quelles sont les instructions de La Pérouse ?

2ACTIVITÉ 2


ACTIVITÉ 2

6. Quelles sont les régions du monde explorées par La Pérouse ? À quoi sont occupées les escales ?

7. Quelles connaissances apporte La Pérouse sur les populations rencontrées à Port des Français en juillet 1786 ?

8. À quels drames est confronté l’équipage au cours de cette expédition ?


ACTIVITÉ 2

2ACTIVITÉ 2

Jacques Liozu, Carte du voyage de Lapérouse, Albi, 1941.© Musée Toulouse-Lautrec, Albi, Tarn, France.

Documents

DOCUMENT 1 LES DIFFÉRENTES VUES DE LA … · Les Européens et le monde (XVI. e - XVIII. e. siècle) Une campagne navale à la fin du XVIII. e. siècle : l’expédition de la frégate