LES 13 & 14 NOVEMBRE 2018PARIS

Dossier de presse

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Pourtant les Français, comme les professionnels, sont prêts et n’attendent que cela. Ainsi, deux tiers des Français pensent que les outils digitaux permettront d’améliorer le parcours de soins(1), et 89% des établissements considèrent l’innovation digitale comme une priorité stratégique(2). Nous pourrions multiplier les références à des enquêtes et études réalisées ces cinq dernières années, toutes vont dans le même sens.

D’ailleurs, comment pourrait-il en être autrement ? Tous, dans notre quotidien, nous mesurons de quelle manière le numérique a pu modifier nos comportements et souvent faciliter l’accès à des services dans bien des secteurs.

Et tous, en tant qu’acteurs engagés dans la santé, nous n’avons pas de doute sur le fait que le numérique est une des clefs pour répondre aux défis de santé qui se présentent.

Nous avons quand même toutes les raisons d’être optimistes. Déjà, les volontés sont là. A commencer par celle du gouvernement qui entend bien accélérer les choses comme en atteste le plan « Ma santé 2022 » présenté le 18 septembre dernier. Elles s’accélèrent aussi sur le terrain. Des projets ambitieux, au niveau des territoires, voient le jour avec un objectif commun : développer de nouvelles formes de collaboration, notamment entre l’hôpital et la ville, pour rendre les parcours de soins plus fluides, plus simples pour les patients. Des projets qui donneront sans doute le LA pour d’autres projets à venir.

C’est tout l’esprit des Journées e-Santé 360. Donner la parole à celles et ceux qui, souvent audacieux et toujours convaincus, croient qu’il est possible de faire avancer les choses.

En cela ces journées se veulent résolument ancrées dans le concret. Tous les retours d’expérience et les échanges qu’ont pu avoir les participants avec les acteurs de ce changement ont pour objectif de leur donner les clefs pour faire avancer leurs propres projets et surmonter les difficultés auxquelles ils doivent souvent faire face.

Dessiner le futur de la santé ! Tel a été l’objectif des Journées e-Santé 360 des 13 et 14 novembre 2018 qui ont réuni 500 participants dans les Jardins de Saint Dominique à Paris.

Si le secteur de la santé a toujours joué un rôle moteur dans la recherche et l’innovation, force est de constater que nous éprouvons toujours des difficultés à déployer de grands projets autour du numérique pour améliorer la prise en charge des patients sur nos territoires.

(1) Baromètre 360 sur l’hôpital réalisé par Odoxa dans le cadre de l’édition 2018 de la Paris Healthcare Week

(2) Juillet 2018 - Enquête «Innovation digitale dans les établissements de santé» réalisée par le Centre National de l’expertise hospitalière auprès de ses adhérents (500 établissements)

Donner toutes les clefs aux participants pour faire avancer leurs projets

Christophe Boutin,Président de Maincare Solutions

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Les Journées e-Santé 360, qui se sont tenues les 13 et 14 novembre 2018 aux Jardins de Saint Dominique de Paris, ont permis d’imaginer le parcours de soins de demain.

Grâce à des exemples concrets, partages d’expérience et présentations de projets innovants, les intervenants, qu’ils soient institutionnels, responsables d’établissements, professionnels de santé ou experts du numérique, ont démontré à une assistance de 500 participants que l’ensemble des acteurs de soin et de santé sont engagés dans cette vision à 360 degrés d’un nouveau parcours patient.

Le message est unanime : professionnels de santé et patients sont déterminés à prendre le virage du numérique, à condition de concevoir des outils pertinents et ergonomiques. Pour ce faire, les utilisateurs finaux doivent être intégrés au développement, et les outils rendus interopérables pour fluidifier les parcours, et rendre l’informatique médicale moins complexe.Pour socle central, le Dossier patient informatisé (DPI), auquel doivent se greffer les autres étages de la fusée, pour reprendre une métaphore largement partagée lors de cette journée. Gestion des identifiants, mise en commun des dossiers patients, ouverture des données aux professionnels de ville et aux usagers, compatibilité et complémentarité avec le DMP… Une journée riche en enseignements et en réflexions, qui place la santé numérique et le parcours de soins innovant sous de bons auspices.

un temps fort du secteur

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GHT, région, prévention : retours d’expérience

Temps forts - Mardi 13 novembre

La Direction générale de l’offre de soins (DGOS) élabore et contrôle la mise en œuvre des politiques publiques de l’offre de soins, son objectif, comme l’a rappelé Madame Le Gloan à l’occasion de cette conférence d’ouverture, étant d’améliorer notre système de santé. Pour ce faire, la cheffe du bureau des systèmes informatiques des acteurs de l’offre de soins estime que « le volet numérique est l’un des leviers au service de l’innovation et de la transformation des métiers. » Les moyens sont là : une enveloppe de 400 millions d’euros a été débloquée après identification et atteinte des cibles d’usage, budget dont la gestion a été saluée par la Cour de comptes. « Hôpital numérique a permis d’engager une dynamique positive et stratégique autour des SIH que nous allons poursuivre avec Hop’EN», a souligné Caroline Le Gloan.

Mais le numérique n’est pas seulement un outil, c’est une stratégie. La responsable de la DGOS l’a d’ailleurs répété : « Il ne suffit pas de supprimer le papier. Il s’agit de faire preuve d’intelligence pour optimiser le système. ». Elle précise qu’avec la DGOS a été mis en place l’accompagnement global de la transformation des GHT pour décloisonner la prise en charge des patients et favoriser l’interopérabilité des services mis à leur disposition. » Reste à faire évoluer les pratiques. Le programme Hop’EN prévoit plusieurs prérequis pour ce virage numérique : les outils de partage et l’échange d’informations via le dossier médical partagé (DMP) pour « appuyer sa généralisation », le recours aux messageries sécurisées de santé (MSSanté) et le répertoire opérationnel des ressources (ROR). S’ajouteront aussi deux « domaines fonctionnels pour les usages »

Introduction par Christophe Boutin, Président de Maincare Solutions

« Le plan Ma santé 2022 est ambitieux, et certaines notions nous intéressent particulièrement, notamment celles sur le numérique. » : c’est par ces mots que Christophe Boutin, Président de Maincare Solutions, a introduit la première des deux Journées e-Santé 360. Au menu : DMP, bouquets de services numériques, déploiement de la télémédecine, et un ensemble de plans et d’initiatives pour structurer l’innovation, le tout orchestré et animé par Dominique Lehalle, journaliste, le docteur Thierry Vermeeren, co-fondateur et directeur scientifique du Patient Numérique ainsi que Lionel Reichardt, fondateur de 7C’s Health Pharmageek.

Contrairement aux stratégies précédemment suivies qui voyaient fleurir des programmes numériques en silos, le plan Ma santé 2022 est centré sur le patient et s’accorde parfaitement avec les innovations proposées par Maincare Solutions depuis maintenant plusieurs

années. Confort et efficacité de la prise en charge sont la norme pour le groupe qui fêtera en 2019 ses 20 ans et a vu sa panoplie de solutions se diversifier au fil des années. « Nous avons le devoir d’accompagner l’innovation et de participer à la transformation du paysage de la santé » a déclaré Christophe Boutin, soulignant la volonté du groupe d’être également présent au niveau stratégique, auprès des hôpitaux, établissements et communicants. Il l’affirme : « La grande bagarre dans les sites santé n’est pas liée à la technologie mais à l’usage », et il assure que Maincare Solutions fera en sorte que les systèmes numériques soient installés sur le terrain pour donner satisfaction aux professionnels de santé et aux patients. En réunissant ce jour les acteurs de la transformation à Paris, et en streaming, Maincare Solutions inscrit sa volonté de participer proactivement à l’essor des nouvelles pratiques en termes de soins et de santé.

Tout savoir sur la politique publique de déploiement de services numériques en santé Focus sur Hop’En et e-Parcours Caroline Le Gloan, Cheffe du bureau des SI des acteurs de l’offre de soins - DGOS

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en matière de communication et d’échanges avec les partenaires, et de services en ligne pour les patients. Enfin, la DGOS précise avoir ajusté son programme en fonction du plan ‘Ma santé 2022’ et revu ses prérequis historiques en matière d’identification patient -avec l’identifiant national de santé (INS) qui arrive en 2020- et en termes de confidentialité et cybersécurité notamment en intégrant le règlement européen relatif à la protection des données (RGPD). La feuille de route du programme Hop’EN devrait être dévoilée d’ici la fin d’année.

Au sujet du lancement du DMP et son « imbrication avec e-Parcours », Caroline Le Gloan recommande et appelle à la complémentarité : « Nous attendons les industriels pour une imbrication réussie, comme ils l’ont fait dans le cadre du programme TSN en Île-de-France avec le programme Terr-eSanté. Il ne doit pas y avoir de DMP bis dans e-Parcours et les industriels devront orchestrer cette complémentarité ».

GHT : saisir l’opportunité pour amorcer l’ouverture vers la villePrès de 3 ans après leur création et un premier bilan en demi-teinte, certains GHT ont saisi l’opportunité pour amorcer leur ouverture sur la ville et déployer des services numériques innovants pour les patients et les

professionnels du territoire.

Alain Lamy, DSIO - CHU POITIERS / GHT de la Vienne

La Vienne compte environ 400 000 habitants. Dans ce territoire, la recherche de modernisation a conduit à l’imagination d’un modèle dynamique pour simplifier les pratiques : le « Portail Hôpitaux 86 » qui s’appuie sur le plateforme d’échange et partage IdéoLink de Maincare Solutions. Le CHU de Poitiers et le groupe hospitalier Nord-Vienne ont été les premiers établissements français à se lancer dans cette expérience.

Concrètement, la plateforme Hôpitaux86 poursuit quatre objectifs. Le premier : gérer l’identité du patient au niveau du groupement hospitalier de territoire sans remettre en cause le système d’information de chaque établissement. « Nous avions une obligation de convergence et d’alignement dans nos systèmes d’information et nous cherchions un outil pour fédérer les identités » explique Alain Lamy. Pour l’heure, le Portail Hôpitaux 86 est garant de l’identitovigilance du territoire, centralise les annuaires référentiels (structures et professionnels intra et extrahospitaliers) et permet une unicité de l’authentification et de l’administration par les utilisateurs. Pour le directeur du système d’information (DSI) du CHU de Poitiers, Maincare Solutions s’est révélé être la seule solution proposant un point d’entrée unique. « Avec Maincare, le patient accède à l’ensemble des fonctionnalités sans consulter plusieurs sites (prise de rendez-vous, comptes-rendus opératoires, résultats de biologie

médicale …) ». Pour affiner l’outil, plusieurs réunions avec des professionnels libéraux, hospitaliers, la CPAM, les syndicats et l’Ordre ont été organisées :

« Nous avons constaté qu’il n’y a pas de profil unique de médecin « estime Alain Lamy. « Certains se connectent constamment, à se demander comment il faisait avant … D’autres sont inscrits mais n’y vont pas. Tous ont accès aux documents qu’ils ont considérés comme nécessaires, comme les comptes-rendus de consultation, lettres de sortie, comptes-rendus opératoires, et même les comptes-rendus d’imagerie avec l’image ! Cela peut paraître anecdotique, mais l’intérêt à l’accès à l’image est vif en ville, permet de rétablir un lien différent dans la relation patient-médecins et enrichit les consultations ». Quant à savoir si ce projet lui paraît reproductible dans d’autres GHT, Alain Lamy est catégorique : « Il n’y aura pas deux portails identiques mais je ne vois pas de motif particulier qui ferait que cet outil ne pourrait pas s’appliquer à d’autres GHT ».

Prochaine étape : les pharmaciens. « On sait qu’ils sont demandeurs » justifie Monsieur Lamy, puis les paramédicaux de ville. Et dès janvier, le portail sera ouvert aux usagers.

Temps forts - Mardi 13 novembre

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Région : le numérique pour répondre à la nouvelle complexité des parcoursL’ARS Hauts-de-France travaille actuellement à la mise en œuvre d’un espace numérique urbanisé. Une initiative unique en son genre qui doit répondre à un double objectif : aider des patients à s’orienter dans le système de soins et renforcer la

coordination de tous les acteurs à l’échelle de la région.

Christian Huart, Directeur - Sant& Numérique Hauts-de-France

Emmanuel Guilbert, Chargé de mission SI - ARS Hauts-de-France

La matinée s’est poursuivie avec la présentation du programme PRéTDISS (Projet Régional de Transformation Digitale du Système de Santé) qui a pour objectif le déploiement d’une plateforme unique d’échange et de partage à l’échelon régional. « Le Conseil Régional et ses partenaires, avaient pour vocation de participer à l’élaboration d’une vision stratégique de santé dans les Hauts-de-France » a expliqué Emmanuel Guilbert pour ouvrir cette nouvelle discussion. Ces éléments ont permis de poser un équilibre entre la mission de l’ARS qui est de piloter le projet et d’en confier la mise en œuvre au Groupement d’Intérêt Public (GIP). « Ce qui facilite les choses, c’est de s’appuyer sur des solutions éprouvées en région » poursuit Christian Huart. La segmentation « maîtrise d’ouvrage », avec l’ARS qui élabore la stratégie et « l’assistance à maîtrise d’ouvrage », grâce au GIP qui décline cette stratégie de la manière la plus efficiente possible grâce aux moyens donnés par l’ARS, a en plus le mérite de préserver toute relation de l’institution avec les industriels.

Autre enjeu : ne pas créer de nouvelles zones blanches par la disparité numérique et ne pas segmenter les professionnels entre eux : « Nous préférons d’ailleurs parler d’interrelation entre les professionnels à la terminologie « ville-hôpital », stigmatisante et réductrice » a commenté le directeur. En effet, les GHT ne sont pas les seules parties prenantes, le médico-social et l’associatif ayant un rôle important à jouer dans cette coordination des soins.

Après l’évangélisation, la compréhension et l’adhésion, l’heure est à la gouvernance stratégique et opérationnelle. Sur ce dernier volet, la région a bénéficié de l’expertise et de la méthodologie de Maincare Solutions, éditeur rompu à l’exercice du projet. Christian Huart en est conscient : « A l’échelle nationale, nous sommes regardés et attendus. Maintenant, à nous de faire bénéficier d’autres territoires de notre expérience ».

Temps forts - Mardi 13 novembre

Prévention : comment le groupe MGEN entend révolutionner la prévention avec son programme digital VivoptimEn juillet dernier, la MGEN lançait auprès de ses adhérents la nouvelle version de son programme digital de prévention personnalisé Vivoptim. Expérimenté dans sa première version depuis 2015, le programme, qui combine outils numériques

et plateforme médicalisée de coaching, vise à rendre l’adhérent acteur dans la maîtrise de ses risques cardiovasculaires.

Virginie Femery, Directrice santé et prévention - Groupe VYV - Groupe MGEN

Les maladies cardio-vasculaires sont la première cause de mortalité chez les femmes et les plus de 65 ans. Avec 400 décès par jour et un coût de 25 milliards d’euros par an en 2017 tous régimes confondus pour l’Assurance maladie, le groupe MGEN a identifié la prévention de ces maladies comme étant un axe majeur de prévention. Après deux années d’expérimentation en Occitanie et Bourgogne-Franche-Comté, des résultats significatifs ont montré l’impact positif du programme Vivoptim sur la santé des adhérents. « Nous voulons mettre un terme aux politiques de prévention généralistes dont nous n’arrivons pas à évaluer les bénéfices depuis 50 ans » explique Virginie Femery. Le groupe a alors réfléchi, en surfant sur la vague de la numérisation, à une technologie plus ciblée et une collecte de données pour évaluer l’impact sur les déterminant et les coûts de santé, un thème dans la lignée directe du plan Ma santé 2022, concentré sur le soin et la santé.

Le constat est clair : « Le médecin accompagne son patient sur la prise en charge de sa maladie et l’observance de son traitement, mais n’a pas le temps de le conseiller, l’accompagner dans le respect de règles hygiéno-diététiques. C’est la différence entre le parcours de soins et le parcours de santé » affirme la directrice. En choisissant Maincare Solutions, le groupe a préféré se concentrer sur la stratégie. « Pour innover, il faut aller vite et laisser aux experts l’opérationnel » justifie Madame Femery.Prochain objectif : intégrer le service à toutes les stratégies émergentes telles que le e-parcours ou le DMP. Pour le groupe, un DMP intégrant seulement les soins et les dépenses de santé « s’essoufflera rapidement ». Vivoptim imagine donc intégrer des fiches de synthèses « prévention » personnalisées aux dossiers patients.

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Implantation du programme e-santé de la MGEN

Maincare Solutions accompagne le déploiementde Vivoptim Cardio à l’échelle nationaleAvec plus de 4 millions de personnes protégées, MGEN est un acteur majeur de la protection sociale et de la santé. En 2015, le Groupe expérimente dans deux régions pilotes, Bourgogne-Franche-Comté et Occitanie (soit 250 000 adhérents éligibles), un programme innovant de prévention personnalisée des risques cardiovasculaires et métaboliques.

Lance une phase pilote de son programme personnalisé de e-santé, Vivoptim Cardio . Pendant 2 ans, plus de 8 000 personnes des régions Bourgogne-Franche-Comté et Occitanie se sont inscrites au programme et ont bénéficié de l’ensemble des services d’information, d’évaluation, d’accompagnement et de suivi individualisé.

Evaluer l’intérêt et l’efficacité de cet outil connecté de prévention du risque cardiovasculaire et métabolique. Les retours d’expérience, l’appétence des adhérents et les résultats des évaluations ont été positifs et la MGEN a ainsi décidé de généraliser Vivoptim Cardio, en juillet dernier, à l’ensemble du portefeuille MgenGEN Santé Prévoyance, soit 2,3 millions d’adhérents.

Retour d’expérience

De l’expérimentation à la généralisation, nous avons opéré un ensemble de modifications. En effet, il y a quatre ans, aucun partenaire n’était en capacité de couvrir l’ensemble des solutions et des services que nous souhaitions mettre à disposition de nos adhérents. Nous avons donc dû former un consortium de 11 sociétés dont plusieurs intervenant sur le SI. Cela a été très compliqué à coordonner, il était difficile de faire travailler toutes ces sociétés les unes avec les autres et certains fournisseurs n’étaient pas forcément au niveau d’exigence métier ou fonctionnelle souhaité.

explique Virginie Femery, Directrice Générale de la société Vivoptim Solutions (filiale de MGEN).

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Le déploiement national a été initié par Maincare Solutions début 2018 auprès des 2 premières régions pilotes. En octobre 2018, c’est en Normandie, Pays-deLoire, Provence-Alpes-Côte d’Azur Corse, DOM Antilles Guyane que l’implémentation s’est poursuivie. Elle sera totale d’ici la fin de l’année avec une dernière phase qui concernera le Centre Val de Loire, DOM Océan indien, Bretagne, Auvergne et Rhône-Alpes. D’ici la fin de l’année 2019, l’objectif de la MGEN est d’accompagner 40 000 personnes via sa plateforme Vivoptim Cardio.

Les résultats ont démontré un accueil positif des utilisateurs

Retour d’expérience

La MGEN a alors décidé à la fin de la phase pilote de tout remettre à plat et de lancer un nouvel appel d’offres pour se faire accompagner par des partenaires plus matures sur les sujets de la e-santé, et surtout pour réduire le consortium désormais constitué de quatre prestataires, dont Maincare Solutions sur toute la partie SI.

Nous avons particulièrement apprécié la capacité de Maincare Solutions à nous fournir une solution complète, intégrée et évolutive, sans besoin de sous-traitance. Cela permet une agilité optimale. Idéo de Maincare Solutions est une plateforme de référence dans le secteur de la e-santé et elle constitue l’écosystème le plus proche de ce à quoi la MGEN souhaitait tendre.

poursuit Virginie Femery.

Un déploiement progressif sur tout le territoire

plus de 100 000 visites sur le portail vivoptim.com

10 min en moyenne de recherches sur le site

plus de 15 000 questionnaires déjà remplis, dont 6 250 par des adhérents MGEN

déjà 2 500 personnes personnes à risques accompagnées dont 500 dont le niveau de risque nécessite un coaching en ligne par des professionnels de santé (nutritionnistes, tabacologues, éducateurs médico- sportifs ou encore psychologues).

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Des enjeux techniques importantsPour élaborer le programme Vivoptim Cardio, l’équipe MGEN a travaillé avec de nombreux services dans le groupe, dont les directions du digital, comm-marketing, juridique et des achats. L’assemblée générale a voté un budget de 3 millions d’euros sur quinze mois pour l’investissement en infrastructure et en ressources humaines (en plus du budget d’exploitation de la solution qui comprend notamment l’hébergement des données et le coût des professionnels de santé de la plateforme téléphonique qui assurent le coaching).

Aucune donnée n’étant partagée à la MGEN, une partie importante de ce budget a été allouée au développement des environnements techniques totalement extérieurs à ceux utilisés par la mutuelle.

Cependant, grâce à sa technologie innovante, sa richesse fonctionnelle, son niveau de paramétrage permettant l’adaptation à des processus de prise en charge variés, de prévention et d’éducation thérapeutique, la plateforme Idéo a permis de simplifier la mise en place de Vivoptim. La plateforme intégrée de PHM (Population Health Management) Idéo s’appuie sur son socle d’échange / partage IdéoLink Collaboration et sa suite de gestion des parcours IdéoCM pour couvrir l’ensemble du périmètre fonctionnel du projet : portail adhérent sécurisé web et mobile (applications iOS et Android) concentrant les

données de santé, les recommandations et les informations clés selon le profil et le parcours de prévention de suivi, une solution de PRM (Patient Relationship Management) pour les coachs santé et enfin les solutions de Business Intelligence pour le reporting et le pilotage du programme.

Maincare Solutions n’a procédé qu’à un nombre limité d’adaptations d’Idéo pour répondre au cahier des charges de la MGEN. Les équipes ont notamment développé un moteur de règles puissant pour automatiser une proposition de contenus et de missions personnalisés pour chaque participant (selon les thématiques et objectifs qu’il a définis). Les équipes ont également travaillé à une meilleure ergonomie de la plateforme et une gamification plus poussée afin d’assurer un maintien du taux de suivi du programme, compris entre 3 et 5 % des adhérents.

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Vivoptim, des évolutions déjà en réflexion

La direction de Vivoptim Solutions a d’ores et déjà décidé de l’enrichissement de la solution Vivoptim à partir de 2019, en partenariat avec Maincare Solutions :

intégration de nouveaux services tels qu’une application mobile qui permettra de suivre le programme directement depuis son mobile, gamification de la plateforme via des leviers motivationnels qui permettront de gagner des points afin d’obtenir des consultations supplémentaires, installation d’outils communautaires tel que le forum de discussion.

Et au-delà du dispositif actuel, le développement d’une plateforme e-santé complète pour déployer des solutions en marque blanche.Cette toute jeune société envisage également d’étendre son programme à de nouvelles pathologies chroniques, ainsi qu’intégrer des données extérieures, telles que les données des laboratoires d’analyses médicales par exemple pour adapter toujours plus l’accompagnement des adhérents. Elle entend aussi commercialiser la solution à d’autres mutuelles et Clients.

Pour en savoir plus : www.vivoptim.com et www.vivopim-solutions.com

Retour d’expérience

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Le numérique au service d’une meilleure coordination des soins … au service du patient !

Pour conclure cette première matinée d’échanges, Christophe Boutin a mis en avant un chiffre fort : 3/4 des patients souhaitent voir la e-santé comme un vecteur amélioration de leur qualité de soins.

Les professionnels de santé comprennent que le numérique devient leur outil clé. Alors quel plan d’actions suivre pour avoir une vraie stratégie orientée patient ?

Le Président relève trois thématiques importantes : l’organisation du parcours du patient avant son entrée dans l’établissement (prise de rendez-vous en ligne, préparation administrative dématérialisée …), la gestion de ce parcours in situ (parcours multi-pathologies intégré à des systèmes globaux …) et la mise en place de la télémédecine et du suivi médical connecté à distance. Sur cette dernière problématique, Covalia apporte une solution globale et a récemment remporté trois appels d’offres nationaux. « La télémédecine n’est pas une science » explique le Président,

« c’est une accélération de certains parcours. Pour les mêmes raisons, nous n’allons pas avoir à chaque fois des plateformes différentes. Les usagers ont besoin de plateformes globales et multiusages. »

Omar Mrani a complété ce discours en s’intéressant au DMP qu’il considère « insuffisant ». « Il doit être intégré nativement dans tous les processus de production de soins, explique t-il, et être « un boulon que l’on peut mettre partout » pour fournir les même services. Sa réussite passera par là et par la simplification de son accès aux professionnels de santé ». Le directeur général adjoint a ainsi présenté une solution ouverte à l’innovation et permettant d’avoir toujours un coup d’avance : Maincare IC, plateforme digitale de santé à l’échelle d’un territoire.

Christophe Boutin - Président de Maincare Solutions

Omar Mrani - DGA en charge de l’innovation et de la R&D

Retour d’expérience

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Les Journées e-Santé 360, comme leur nom l’indique, ont vocation à dresser un panorama le plus large possible des initiatives et des réussites dans le domaine de la e-santé. Aussi, il semblait intéressant de se pencher sur la manière dont nos voisins européens s’approprient le numérique pour moderniser leur offre de soins.

Carte Blanche au

Temps forts - Mardi 13 novembre

Table ronde de l’Europe : Comment se construit l’hôpital numérique aujourd’hui ? Quel doit en être le socle technologique de base ? Comment accompagner les praticiens dans la conduite du changement de leur pratique métier afin de maximiser l’effet de levier technologique ?Trois professionnels de trois pays voisins ont partagé les bonnes pratiques à développer (et les erreurs à ne pas commettre).

Dr. Arnaud Depil-Duval, Chef de service département

des urgences - CH d’Evreux

Dr. Paul Wirtgen, Directeur médical au centre hospitalier

du Nord d’Ettelbrück (Luxembourg)

Olivier Remacle, Directeur des Systèmes d’Information

- CHI Edith Cavell

Le nouvel hôpital numérique Edith Cavell (Belgique) est sorti de terre en 5 ans. Entièrement reconstruit autour du patient plutôt que « médecin-centré », son Directeur le présente comme un « hôpital digital ». « La population vieillissante change le modèle d’exercice et nous donne de nouvelles façons d’envisager la médecine » explique Olivier Remacle. « La technologie apporte beaucoup mais elle peut aussi s’avérer mal appropriée, voire intrusive. Pourtant, dans ce projet hors normes, l’informatique investit tous les métiers de l’hôpital. La stratégie mise en place sur 5 à 10 ans a pour objectif de décloisonner les métiers du monde médical et de l’information technologique (IT). Pour ce faire, un data center, véritable cerveau numérique, a été conçu dans l’hôpital pour garantir

performance, sécurité des informations, et réaction des dispositifs dans l’infraseconde. Nous avons installé la fibre optique sur la totalité du site et avons travaillé sur un important réseau wifi pour accéder à l’information partout, grâce à des appareils mobiles et connectés. Nous sommes en mesure de géolocaliser les équipements, de téléphoner dans toutes les zones de l’hôpital. Nos bornes d’accueil et chariots mobiles possèdent une autonomie de 24h et de grands écrans ont été installés dans tout le bâtiment pour relayer nos informations. » détaille Olivier Remacle. Dans les chambres, plus de téléphone, mais un wifi et un service patient poussé à son maximum avec la possibilité de choisir son menu parmi une vingtaine de plats sur une tablette mobile, fruit d’un partenariat avec le groupe Sodexo.

Ce socle robuste et puissant, constitue une infrastructure efficace pour un hôpital entièrement numérique et de nouveaux services à venir.

Dans les discussions, le sujet du coût est prédominant. Selon Arnaud Depil Duval, « en France, le problème reste le manque de financement » en plus des infrastructures, non adaptées. « Nos hôpitaux ne sont faits ni pour accueillir du WIFI, réseau, ni voies IP » remarque le chef des urgences d’Evreux. Et un médecin coûte cher : selon ses chiffres, 35 000 euros par an et par médecin sont dépensés pour remplir des dossiers médicaux, un acte qu’il qualifie de « sous productif ». Le médecin accuse également les logiciels de ne pas communiquer entre eux et les applications mobiles de ne pas être certifiées. « Si on ne trouve pas d’éléments pour motiver les médecins, cela ne fonctionnera pas. Il faut que la collaboration entre les soignants et les éditeurs soit plus importante. » Sur ce point, il est rejoint par son confrère Luxembourgeois, le Dr. Wirtgen. Il s’interroge : « Pourquoi les médecins feraient de la télémédecine ? Leur agenda est déjà plein. Mais pour autant, le Luxembourg est-il un territoire numérique ? Oui ! Est-ce facile de faire bénéficier tous les professionnels de ces nouveaux outils ? Moins. »

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Table ronde « Et demain... ? » : Quelles tendances technologiques pour répondre aux besoins nouveaux en santé ?L’émergence des territoires de santé, l’évolution des pathologies et l’apparition d’un véritable patient numérique sont autant de virages que vont devoir prendre en compte les institutions de soins. Quelles sont les technologies - et avec quels bénéfices pour la qualité et l’économie des soins – avons-nous aujourd’hui dans nos radars ?

Dr. Thierry Vermeeren, fondateur du Patient Numérique

Lionel Reichardt, fondateur de 7C’s Health, Pharmageek

Comment faire progresser l’intégration des technologies à l’hôpital ? En arrivant à des outils de pilotage plus efficients et linéaires. Selon Thierry Vermereen, « L’intelligence artificielle et la robotique feront partie intégrante du parcours de soins ». La smart city pourrait alors devenir la norme, tout comme le territoire numérique de santé s’agrandit et les réflexions s’ouvrent à plus d’acteurs. « L’intelligence artificielle apprenante sera présente dans 10 ans, et nous devons anticiper leur intégration dans nos pratiques ». Thierry Vermeeren estime que de nouveaux métiers vont apparaître (IA, bio-médecin, data scientist, bio-ingénieur) et viabiliser les métiers médicaux historiques, impliquant la nécessité de formation technico-médicale des acteurs de soins. Pour le fondateur du Patient Numérique, un nouvel équilibre serait donc à trouver entre l’offre et la demande de soins. Comment intégrer l’innovation médicale dans la demande de soins ? Comment consommer la santé en dehors de l’hôpital ?

De son côté, Lionel Reichardt incite à passer d’une vision intellectuelle à une vision pratico-pratique de la e-santé. Ne pas faire tout et n’importe quoi reste le mot d’ordre : il faut faire monter le niveau de culture de la communauté des professionnels de santé pour aller enfin au bout des pratiques. L’expert qui ne croit pas en une « ubérisation violente » et conseille aux acteurs de s’adapter, de faire converger les outils, de favoriser l’ergonomie et l’expérience utilisateur, de se méfier du buzz et enfin de se familiariser avec ces outils. Il conclut par ces mots « Le meilleur moyen de prévoir le futur

c’est de le créer ».

Temps forts - Mardi 13 novembre

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Le niveau global de maturité technologique du secteur a augmenté

Dr. Thierry Vermeeren, Co-fondateur et directeur scientifique du Patient NumériquePouvez-vous nous présenter en quoi consiste le Patient Numérique ?

J’ai créé le Patient Numérique il y a 8 ans avec deux médecins. Nous sommes partis du constat que le secteur hospitalier est un secteur assez vertical alors que le monde de la technologie est par nature un monde de transversalité. Nous avons donc fait le pari de créer une communauté, réunissant 65 hôpitaux belges leaders en IT médicale, portant sur le phénomène de la numérisation des métiers de la santé afin d’aller au-delà des clivages traditionnels du secteur. L’idée de la communauté était dans un premier temps de s’interroger sur les tendances, sur où va le secteur et d’identifier les points de référence qui permettraient aux hôpitaux d’avancer.

Après 8 ans d’existence, quels enseignements tirez-vous de cette initiative ?

Je constate une évolution dans le regard des hôpitaux qui aujourd’hui ont compris que la technologie constituait une véritable valeur ajoutée. Et sous l’impulsion de ce processus continu de création de savoir, de connaissances, le niveau global de maturité technologique du secteur a augmenté. Cela se traduit par des investissements dans les nouvelles technologies plus réfléchis, plus pertinents.

En quoi, selon vous, est-il important d’accélérer l’usage du numérique dans le domaine de la santé ?

Nous entrons dans une période où la technologie va de plus en plus accompagner, aider, voire remplacer certaines pratiques. Si l’on prend l’exemple de l’imagerie médicale, l’intelligence artificielle est déjà aujourd’hui capable d’analyser des images « simples ».

Il faut selon moi voir cela d’une manière positive. Cela permettra à l’être humain d’accorder plus de temps pour traiter les cas compliqués requérant réellement son expertise.

Aujourd’hui on demande encore trop souvent à des gens extrêmement qualifiés de réaliser des tâches redondantes et à faible valeur ajoutée. L’enjeu est de faire accepter au soignant que ces nouvelles technologies ne viennent pas prendre son emploi mais simplement le rendre plus accessible, plus agréable, plus simple.

On est encore au début de l’ère du numérique dans l’hôpital. Nous allons vers des technologies beaucoup plus dynamiques, beaucoup plus invasives en termes de pratique avec des impacts métiers, économiques et sur le patient beaucoup plus forts.

Quel regard vous portez sur le système français ? la France a de grandes intelligences et une grande capacité à appréhender les choses d’un point de vue conceptuel.

La où je serai un petit peu plus nuancé, c’est dans la mise en œuvre. On ne passe pas assez de la vision à la réalisation, ce que l’on appelle en anglais le « proof of concept », pour essayer de voir concrètement ce que ça nous apporte. Quelque part l’osmose entre le secteur industriel émergent et le monde hospitalier me paraît encore insuffisante.

Il y a un travail à mener pour diminuer la distance entre le concept et sa mise en œuvre. La question centrale est d’identifier comment on conduit le changement dans un secteur qui change difficilement ?

Temps forts - Mardi 13 novembre

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Depuis plus de 10 ans, Maincare Solutions donne rendez-vous à ses clients à l’occasion d’une journée qui leur est dédiée. Cette année, elle leur a permis de découvrir en avant-première, au cours de plénières et d’ateliers, les dernières évolutions de leurs solutions autour de thématiques aussi variées que la digitalisation des processus administratifs, financiers et RH, la télémédecine, le big data et l’intelligence artificielle ou encore l’approche populationnelle en santé et la gestion des parcours.

Les participants ont pu en particulier se familiariser avec les fonctionnalités de la plateforme territoriale de santé, Maincare IC, intégrant des services numériques à destination des professionnels et des patients.

L’occasion pour les clients d’échanger avec les équipes Maincare Solutions et d’autres utilisateurs dans un cadre chaleureux.

La journée des utilisateurs Maincare Solutions

Temps forts - Mercredi 14 novembre

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Premier acteur de la e-santé en France

Nous nous engageons aux côtés de nos clients pour les accompagner dans leur transformation digitale et améliorer la prise en charge des patients à toutes les étapes de leur parcours de santé.

Christophe Boutin, Président de Maincare Solutions

Maincare Solutions est un éditeur majeur de solutions digitales pour le monde de la santé. Depuis près de 20 ans, l’entreprise élargit son offre afin de répondre aux nouveaux enjeux de santé : développer la prévention et améliorer la prise en charge des patients à toutes les étapes de leur parcours de santé ou encore accélérer l’usage de la télémédecine.

Ses clients et partenaires sont les établissements publics et privés, groupements, agences régionales, assureurs et mutuelles de tout le territoire. Son socle technologique unique lui permet en effet la réalisation de projets à l’échelle nationale.

Maincare Solutions accompagne ainsi près de 1 000 établissements et GCS, dont 80% des CHU/CHR français. Déjà présent au Luxembourg et en Suisse, le groupe travaille aujourd’hui à l’accélération de son développement à l’international.

Présentation de Maincare Solutions

Visite d’Emmanuel Macron et d’Agnès Buzyn à l’EHPAD de Rozoy-sur-Serre dans l’Aisne en Novembre 2018, où une démonstration de la plateforme de télémédecine Covalia (Maincare Solutions) leur a été faite (ici téléconsultation).

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Succès 2017/2018Maincare Solutions

Sérialisation des médicaments : Maincare Solutions Copilote lance son module SerialCop pour répondre à la nouvelle réglementationLa nouvelle réglementation sur la sérialisation des médicaments entrera en vigueur le 9 février 2019. Afin de permettre à ses clients de répondre sereinement à cette nouvelle réglementation, Maincare Solutions a développé un module dédié à sa solution Copilote, SerialCop.

Octobre 2018

Maincare Solutions annonce un changement d’actionnaire financier pour accompagner sa croissance et son développement international

Montagu Private Equity (« Montagu »), un des principaux acteurs du marché européen du capital investissement va investir en soutien de la stratégie long terme élaborée par le management Maincare Solutions et du plan d’affaires associé.

Mai 2018

Trois nouveaux succès pour l’offre de Télémédecine Covalia de Maincare Solutions

La solution de télémédecine Covalia de Maincare Solutions a été retenue dans le cadre de trois projets d’envergure : le déploiement de la télédermatologie en mobilité sur l’ensemble de la région Hauts-de-France, la modernisation de la plateforme de téléradiologie dans le Grand Est et, il y a quelques semaines, le référencement par le Resah dans le cadre du premier marché de télémédecine.Trois nouveaux succès qui confirment la capacité de la solution à toujours mieux répondre aux besoins et exigences des régions et établissements, notamment par l’apport de nouveaux services à forte valeur ajoutée.

Avril 2018

Maincare Solutions fait son entrée dans le top 25 des éditeurs de logiciels français (Truffle 100) et devient le premier éditeur de logiciels sur la région Nouvelle-Aquitaine

Indicateur de référence dans le domaine de l’édition de logiciels, la 14ème édition du Truffle place Maincare Solutions dans le top 25 des 100 plus gros éditeurs de logiciels français. Une belle performance qui permet au groupe de devenir le premier éditeur de logiciels sur la région Nouvelle Aquitaine.

Juillet 2018

Au Luxembourg, deux des plus grands établissements hospitaliers choisissent Maincare Solutions pour leur Dossier Patient DOP@MIN

A l’occasion d’une conférence de presse qui s’est tenue le 18 avril dernier à Esch-sur-Alzette, deux des principaux établissements hospitaliers du Luxembourg, le Centre Hospitalier Emile Mayrisch (CHEM) et le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL), ont officiellement annoncé le choix de la solution web Maincare IC pour remplacer leur dossier patient existant sur une large couverture fonctionnelle (administrative, médicale et soignante).

Avril 2018

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Le GRADeS ESEA Nouvelle-Aquitaine choisit le serveur d’identité et de rapprochement IdéoIdentity de Maincare Solutions pour fédérer les identités régionalesAprès 10 mois de dialogue compétitif, le GRADeS GIP ESEA Nouvelle-Aquitaine, dans le cadre de son projet Krypton, fait le choix du Serveur d’Identité et de Rapprochement des patients IdéoIdentity développé par Maincare Solutions. Avec ce projet, la structure a pour ambition de fédérer les identités des patients de la région.

Mars 2018

Le CHD Vendée renforce sa stratégie de formation grâce à la plateforme e-learning TuitizQuand le Centre Hospitalier Départemental Vendée s’est lancé dans une refonte complète de son système d’information et a eu besoin d’accompagner les futurs utilisateurs, son choix s’est porté sur la plateforme e-learning Tuitiz de Maincare Solutions. A long terme, l’objectif du CHD Vendée et du futur GHT est de réaliser 100% des formations e-learning.

Février 2018

Doc&You et Maincare Solutions nouent un partenariat autour des solutions de télémédecine Covalia pour développer l’accès aux soins en AfriqueLa société Doc&You, jeune entreprise française, développe la plateforme digitale ResoDoc. ResoDoc facilite l’accès à des soins de qualité en Afrique, dans un contexte de forte croissance économique et digitale, grâce à différents services en ligne (annuaire médical et prise de rendez-vous médicaux, paiement/financement participatif en ligne, forum médical professionnel en ligne…).

Janvier 2018

Le groupe MGEN choisit la plateforme Idéo de Maincare Solutions pour généraliser son programme e-santé VIVOPTIM

Au terme d’une procédure d’appel d’offres de 6 mois, le groupe MGEN a choisi la plateforme intégrée de PHM (Population Health Management) de Maincare Solutions pour généraliser son programme de santé connectée VIVOPTIM, jusqu’alors en phase d’expérimentation depuis 2 ans. La plateforme de Maincare Solutions, véritable solution industrielle, sécurisée en mode HDS et contractualisée en mode SaaS, couvrira l’ensemble des besoins du programme.

Décembre 2017

Le groupe accélère ses investissements R&D sur sa plateforme Idéo et la met en production dans le cadre du projet TSN Océan Indien (OIIS)

Le groupe Maincare Solutions accélère ses investissements R&D sur sa plateforme Idéo qui équipait déjà plusieurs régions françaises, ainsi que le Luxembourg. Un leadership qui se concrétise avec la mise en production de la nouvelle version de la plateforme Idéo dans le cadre du projet TSN Océan Indien (OIIS).

Décembre 2017

Pour plus d’informations, rendez-vous sur

www.lesjournees-esante360.com

Les journées e-santé 360, un événement

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