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DOSSIER DE PRESSE
l a r é g i o n a u t r e m e n t2
Samedi 7 avril 20
12
l a r é g i o n a u t r e m e n t
20 février 2012 [ numéro 0 ]
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BORDEAUXLe menu vert de Michel Portos
GERSDouceur de vivre à la maison d’hôtes
ROYANDes soins thalassotrès mâles
P.30
P.40
P. 28
de biarritzLe grand Bleu
Musée
16/24/32
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l a r é g i o n a u t r e m e n t
20 février 2012 [ numéro 0 ]
P
BORDEAUX
Le menu vert
de Michel Portos
GERS
Douceur de vivre
à la maison d’hôtes
ROYAN
Des soins
thalasso
très mâles
P.30
P.40
P. 28
de biarritzLe grand Bleu
Musée
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A partir du 7 avril 2012, le journal SUD OUESTpropose chaque samedi un magazine de terri-toire entièrement dédié à la région Sud-Ouest etconsacré l’art de vivre : Le MAG.
SUD OUEST est le seul et le premier quotidienrégional à proposer un magazine hebdomadaire enFrance.
Le MAG : un hebdo à forte identité régionaleLe MAG est un magazine 100 % Sud-Ouest :il met à l’honneur les hommes, le patrimoine, lanature, la gastronomie, les savoir-faire et la culturedu grand Sud-Ouest, de la Charente aux Pyrénéesen passant par le nord de l’Espagne.
Le MAG est le magazine qui permet de vivre plei-nement sa région : il la présente en mouvementdans toutes ses richesses et toute sa diversité.
Le MAG : l’hebdo détente et plaisir du samediLe MAG a pour objectif d’offrir aux lecteurs deSUD OUEST une lecture détente en accord avecles envies de loisirs et de sorties du week-end.Il répond aux attentes de ses lecteurs qui privilé-gient le tourisme de proximité, souhaitent décou-vrir, cuisiner, recevoir, prendre soin d’eux, sedivertir, aller à la rencontre de leur région. Ils’adresse à toutes les générations.
SUD OUEST lanceLe MAG, le 1er hebdo de régiondédié à l’art de vivre
SUD OUEST LE MAG
• Magazine hebdomadaire
• Vendu 1,40 € chaque samediavec SUD OUEST
• 52 pages
• 1re parution : 7 avril 2012
• Diffusion : 307 629 exemplaires
Sur 3 régions et 8 départements :
(Charente, Charente-Maritime,Gers, Gironde, Landes, Lot-et-Garonne, Dordogne, Pyrénées-Atlantiques)
LE MAG en bref…
Le MAG : un pari réussi
Il y a un an, le MAG (version 24 pages) naissait àl’intérieur de Version Femina, le supplément deSUD OUEST Dimanche.
Rapidement, il a trouvé ses lecteurs : 81 % utilisent ses infos pratiques, 87 % le trouvent divertissant et 90 % pensent que le MAG les rapproche de leur région.
Ainsi plébiscité, le MAG double aujourd’hui sa pagination et devient désormais un magazine autonome distribué avec le quotidien chaque samedi.
Le MAG : 52 pages pour 0,50 € de pluschaque samedi
Samedi 7 avril, le n°1 du MAG est offert à tous lesacheteurs de SUD OUEST.
A partir du 14 avril, le MAG sera vendu avecle quotidien au prix de 1,40 € sur la Gironde,les Landes, le Lot-et-Garonne, la Dordogne, leGers, la Charente, la Charente-Maritime et le Paysbasque.*
Le MAG : la conquête d’un nouveau lectorat
Le MAG, diffusé à 307 629 exemplaires, est le 2e magazine de la région Sud-Ouest derrière TV Magazine (341 390 ex.) et devant Version Femina (271 826 ex.).
Avec le MAG, chaque samedi, SUD OUEST souhaite conquérir un nouveau lectorat en rendantplus attrayante son offre de lecture de fin de semaine et convaincre de nouveaux annonceurs(professionnels du tourisme, institutionnels, etc.).
*Le MAG est vendu avec SUD OUEST Dimanche et Version Femina 1,70 € dans le Béarn chaque dimanche.
C’est un magazine
au ton volontairement
positif, curieux,
chaleureux, qui privilégie
les sujets ludiques
et optimistes pour faire
découvrir
et mettre en valeur
la région.
“
”
SUD OUEST LE MAG
18 I le mag [numéro 29]
L’événement
le mag/www.sudouest.fr I 19
O aussi au rendez-vous, au Grand Théâtre à
la Coursive le 15 juillet pour une création
originale « dans l’esprit de son album ».
Un joli voyage intérieur en prévision.
Pour le reste et comme d’habitude, la
programmation des Franco allie tradi-
tion de la chanson française et actua-
lité brûlante en mettant à l’affiche jeudi
11 juillet Julien Doré, Benabar, Arthur
H ; vendredi 12 ce sera au tour de Dio-
nysos, Catherine Ringer, HF Thiéfaine,
Rodrigo et Gabriela ; vendredi 13 Fran-
çois and the Atlas Mountains, Thomas
Dutronc, Camille, Charlie Winston et
Caravan Palace. Samedi 14
sont programmés Revol-
ver, General Electriks,
Izia, Moriarty, Pony Pony
Run Run et dimanche 15
Chinese Man, 1995, Zebda,
Shaka Ponk, Birdy Nam
Nam. Sachez-le: la billet-
terie est ouverte. Comptez
entre 32 et 37� pour les pla-
ces de concert.
« On revient quand vous voulez. On a
été trop bien reçu… », avait lancé Cœur
de Pirate sur la grande scène des Fran-
cofolies le 14 juillet 2010. C’est chose
faite puisque la jeune et jolie chanteuse
québécoise tatouée revient sur la scène
rochelaise le 11 juillet prochain pour
l’édition 2012. Un nom complétant une
programmation déjà riche. Ce sera aussi
le retour de Thomas Dutronc, qui avec
Camille, ouvrira la scène à Charlie Wes-
ton. Plus rock, la veille, Thiéfaine parta-
gera la soirée du 12 juillet avec Dionysos
et Catherine Ringer. Laurent Voulzy sera
Le tempsdes
A SAVOIRFrancofolies de La Rochelle (17). Du 11 au 15 juillet.
A partir de 18 heures, sur l’Esplanade Saint-Jean d’Acre.
Programme complet sur www.francofolies.fr .
Renseignements : 05 46 50 55 77.
Tarifs : Places Debout : 32€. Places assises : 37€.
Réservations : Mise en vente des places assises et plein
tarif dans tous les points de vente habituels.
Contact : 05 46 50 55 77 - [email protected]
L’incontournable festival de la chanson française démarre
le 11 juillet prochain à La Rochelle. Comme d’habitude,
la programmation allie tradition et actualité brûlante.
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francos
12 I le mag [numéro 29]
L centrée sur ses personnages. Le regard
qu’elle porte sur le ballet lui permet de
rentrer dans le processus de création »,
analyse Charles Jude. « Si je ne m’étais pas
intéressée à cette dimension psychologi-
que, je n’aurais sûrement pas dansé aussi
longtemps, confirmetelle. Les héroïnes
classiques sont toutes jeunes. Pour les
incarner quand on a dépassé la quaran-
taine, il faut apporter de la sensibilité, de
la gravité… » De la musicalité. aussi Car,
plus encore que l’élégance de ses atti-
tudes ou l’intensité de son regard, c’est
son aptitude à traduire toutes les nuan-
ces instrumentales par son corps qui la
rend si expressive. C’est que sa vocation
est née à l’écoute de l’abondante collec-
tion de disques classiques de son père,
vers l’âge de 5 ans. « En dansant, spon-
tanément, j’avais la sensation d’entrer
dans la musique. » Elle commence alors
à suivre des cours, puis intègre à 13 ans
une école de danse privée, sur le modèle
des sections sportsétudes. Elle se retrouve
à Cannes, loin de sa Bourgogne natale. «
Ça a été une épreuve, mais pas une souf-
france, témoignetelle. Outre le classique,
on travaillait la danse jazz, contempo-
raine, les danses de caractère. On étudiait
l’anatomie, l’histoire de la danse, et de
l’art. » Un nouveau monde s’offre alors
à elle. À 17 ans, elle connaît un premier
déboire lorsqu’on lui propose d’intégrer
Le 5 juillet, Emmanuelle Grizot e dan-
sera pour la dernière fois le rôle titre de «
Giselle » au GrandThéâtre de Bordeaux.
Un ballet majeur du répertoire romanti-
que qui lui colle à la peau. Cette femme
que l’amour mène à la folie et à la mort,
elle l’a incarnée en Italie, au Japon, en
Espagne et, tous les deux ou trois ans
depuis 1997, à Bordeaux. « C’est le pre-
mier grand rôle que m’a confié Charles
Jude, le directeur du Ballet, avant ceux de
“Coppélia”, “Roméo et Juliette” ou “Don
Quichotte” ». Ces œuvres ont fait d’Em-
manuelle Grizot l’une des deux étoiles
de l’Opéra. Aujourd’hui, une page de sa
carrière se tourne. Sans doute y auratil
beaucoup d’émotion ce 5 juillet. Mais la
danseuse dit avoir « dépassé l’angoisse
de l’inconnu ». D’autant qu’elle a préparé
sa reconversion. « Hänsel et Gretel », sa
première chorégraphie jeune public, est
déjà programmée dans plusieurssalles
d’Aquitaine ou d’ÎledeFrance pour la
saison prochaine.
Musicalité avant tout
Emmanuelle Grizot a encore beaucoup de
choses à dire dans le monde de la danse.
Logique pour quelqu’un qui a toujours
privilégié la narration et le drame à la
simple exécution technique. « Emma-
nuelle est une danseuse romantique,
Dans quelques jours, la danseuse interprétera pour la dernière fois
«Giselle» pour l’Opéra de Bordeaux. Sa carrière d’étoile s’achève,
alors que celle de chorégraphe commence
DATES CLÉS
1997 : Premier rôle
de Giselle confié par
Charles Jude. Puis
danse dans « Roméo
et Juliette », « Casse-
Noisette », Coppélia,
« La Belle au bois
dormant », « Le Lac
des Cygnes », « Don
Quichotte », « Roméo
et Juliette ».
2002 : Charles Jude
la nomme danseuse
étoile du Ballet de
l’Opéra National de
Bordeaux.
2008 : Signe sa pre-
mière chorégraphie,
Comédie italienne
pour le festival d’été
de Formentera en
Espagne.
Grand angle
Emmanuelle Grizot
sur le balcon du
Grand-Théâtre,
où elle aura dansé
pendant près de
vingt ans.
GrizotEmmanuelle
la deuxième vie d’une étoile
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le mag/www.sudouest.fr I 13
Si je ne m’étais pas intéressée à la
dimension psychologique
des rôles, je n’aurais sûrement pas
dansé aussi longtemps
le Jeune Ballet de France : « La compa-
gnie était dirigée par Rosella Hightower.
On y dansait du Béjart. Mais l’on m’a fait
comprendre que, pour y entrer, je devais
me faire recoller les oreilles. J’ai reçu ça
comme une agression. » L’année suivante,
autre désillusion, à Lausanne cette fois,
dans un concours international de jeunes
danseurs. « J’avais choisi un programme
très technique, mais, envahie par le trac,
j’ai échoué lamentablement. »
Un bagage à transmettre
Ces deux échecs lui seront finalement
profitables. Ils pousseront Emmanuelle
Grizot sur une voie qui fera d’elle une dan-
seuse non stéréotypée.Sa technique,elle
la peaufine à Monaco avec Marika Beso-
brasova. Cette dernière lui apprend
surtout à aller audelà du décompte des
temps quand elle aborde une musique,
« à être aussi attentive aux couleurs des
instruments. Depuis, c’est toujours par
la musique que je suis entrée dans les
personnages.» Elle s’y affirme progres-
sivement. D’abord à l’Opéra de Bâle,
puis à Düsseldorf, avant de suivre le
directeur,Paolo Bortoluzzi,à Bordeaux
en 1992. Elle qui avait jusquelà évolué
dans des registres plutôt néoclassiques
y découvrira les grands rôles classiques
avec Charles Jude. Emmanuelle Grizot
est nommée étoile en 2002, alors qu’elle
est déjà bien engagée dans la trentaine.
Le couronnement de sa maturité. C’est
de cette maturité qu’elle veut nourrir
sa nouvelle vie : « J’ai un bagage et j’ai
envie de le transmettre. » La danseuse
le fait en animant des stages à l’école
de SaintMédardenJalles, dont elle est la
marraine. À l’invitation d’Eric VuAn, son
deuxième directeur bordelais, elle s’ap-
prête à faire travailler les danseurs de
l’Opéra de Nice dont il s’occupe désor-
mais. Et puis il y a la chorégraphie : un
projet autour de « La Nuit transfigurée »
de Schönberg et le désir de proposer des
ballets ailleurs qu’en Gironde,« même si
Bordeaux restera mon portd’attache »,
souligne-t-elle. Christophe Loubes
« Giselle », en représentation du 29 juin au
5 juillet au GrandThéâtre de Bordeaux.
Plus d’infos sur www.operabordeaux.com
Le MAG :un contenu100% Sud-Ouest
Le MAG, c’est 52 pages dédiées à l’art de vivre dans le Sud-Ouest
Au sommaire chaque samedi…
L’actu, les sorties, les loisirs
Le MAG est le guide pratique des sorties de lasemaine, des rendez-vous à ne pas manquer… Il permet de composer son agenda de la semaine.
Des portraits, des rencontres, des reportages
Dans les pages ”Grand Angle”, le MAG va à la rencontre de personnalités célèbres ou moinsconnues qui partagent l’amour de la région et lafont rayonner au delà de ses frontières.
Dans les pages ”Reportage”, le MAG développechaque semaine un sujet phare sur 8 pages enconsacrant une large place à la photo.
SUD OUEST LE MAG
Des escapades gourmandes
Dans les pages “Bon appétit”, leMAG présente les tables et leschefs étoilés de la région, maisaussi toutes les bonnes adressesgastronomiques, des idées de re-cettes, des infos sur le monde duvin…
Le MAG c’est aussi des pages nature, histoire, bien-être,déco, jeux…
28 I le mag [numéro 29]
U
Bon appétit
met la cuisine au vert PortosUn menu tout vert annonciateur
du printemps ? Michel Portos ne
l’avait jusqu’ici jamais imaginé.
Pourtant, lorsqu’on lui a lancé
ce défi, le chef du Saint-James à
Bouliac a immédiatement relevé
le gant. S’il s’est lancé dans cette
œuvre expérimentale, il a pris soin
qu’elle ait un sens. Car il ne suffit
pas que l’œil plonge allègrement
dans un camaïeu de vert pour que
le palais explose de bonheur. Mais
c’est aussi en jouant de tout et avec
tout que la gastronomie progresse.
Michel Portos est de ceux-là, insa-
tiable curieux mais respectueux
des goûts. Il fait et défait avant
d’inscrire un plat sur la carte de
son restaurant deux étoiles.
Des exploits, Michel Portos en a
accompli avec ce repas vert. Jugez
plutôt ! En entrée, un velouté de
courgettes sur un lit de petits pois
et de fèves est recouvert d’une gelée
de céleri. Les contrastes détonnent
en bouche. Vous sentez d’abord
les goûts de cette soupe fine qui
accompagne le ragout de légu-
mes printaniers. Dans un second
temps, la gelée fond dans le palais
pour libérer en pluie la multitude
de brisures de céleri. Cet « effet
retard », on le doit à l’agar-agar,
un gélifiant naturel indonésien,
qui supporte la forte chaleur du
velouté et ne se désagrège que
dans la bouche.
Asperge crue
En plat principal, Michel Portos
a choisi d’associer une chapelure
de persil à un pavé de maigre. Le
tout repose sur des asperges ver-
tes crues débitées en julienne,
minces comme des cheveux,
assorties d’une crème de persil et
d’une vinaigrette-ciboulette. « Je
défends bec et ongles l’asperge non
cuite ! », s’exclame le chef. Il n’a pas
tort ; coupée aussi fine et baignée
de cette vinaigrette discrète, cette
plante potagère perd l’essentiel de
son amertume. Un petit miracle
pour une recette bien ancrée dans
sa saison.
Le dessert enfin ! Normalement,
vous aurez l’opportunité de le goûter
au Saint-James ce printemps. Car
lorsqu’il a vu le résultat du « Tout
vert », Michel Portos s’est déclaré
« emballé ». Il s’agit d’un biscuit de
Savoie à la menthe fraîche associé
à une crème pâtissière également
mentholée, surmontés d’un sor-
bet à la roquette. Ce sommet de
gourmandise qui vivifie instan-
tanément les papilles paresse sur
une sauce menthe, quelques billes
de concombres et des pousses de
chiso. L’ensemble est relevé d’un
trait d’huile d’olive. Quant au sor-
Chef doublement étoilé du restaurant
Saint-James, à Bouliac (33), Michel Portos
plonge avec originalité dans la belle
saison, avec un menu tout en verdure
A LIREEn jouant au jeu
du repas mono-
chrome, Michel
Portos partage
cette folie avec
quelques écri-
vains et artistes :
Sophie Calle, qui
a proposé une
exposition de
plusieurs repas
autour d’une seu-
le couleur ; Joris-
Karl Huysmans
et son célèbre
repas noir dans
« A rebours ».
Michel
Textes Marie-Luce Ribot / Photos Laurent Theillet
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le mag/www.sudouest.fr I 29
bet à la roquette, il fallait y penser !
Chacun fait le lien avec les végé-
taux. La première association est
étymologique. Le vert en latin,
c’est « veridis » qui nous conduit à
« virere » signifiant la vigueur des
plantes. Un terme qui désignait
même jusqu’au XIIIeme siècle les
personnes jeunes et saines ».
Le Saint-James, 3, place Camille Hostein,
33 270 Bouliac. Tel : 05.57.97.06.00.
www.saintjames-bouliac.com
A BOIRE AVECRueda. Bodega José
Pariente, verdejo 2008
Le verdejo, cépage
blanc de Castille et
Léon en Espagne, a
toutes les qualités pour
l’élaboration de vins
blancs secs fruités,
élégants et équilibrés.
Rappelant légèrement
le sauvignon avec des
notes végétales et
épicées, il possède une
droiture qui respecte à
merveille les mets. Ode
au végétal.
Vin blanc,
moins de 10 euros.
Ecosser les petits pois et les fèves et blanchir. Réserver.
Confectionner le velouté de courgette dans de l’eau à
pleine ébullition aillée et salée ?
Plonger le vert de la courgette taillée sur 3 à 4 mm
d’épaisseur. Cuire, faire un choc thermique en plon-
geant les courgettes dans de l’eau glacée afin de fixer
la chlorophylle. Mixer avec l’eau chaude de cuisson et
un trait d’huile d’olive.
Faire la gelée de céleri : hacher finement des feuilles
de céleri vertes.
Confectionner avec les branches un bouillon à base d’eau
de céleri et de sel.
Filtrer le bouillon, coller à l’agar-agar. Alors que celui-
ci est en train de prendre, verser les feuilles de céleri
hachées afin de les garder bien vertes.
Couler cette préparation sur une plaque à pâtisserie en
inox. Attention, prise immédiate.
Dans un petit cul de poule, mélanger les fèves et les
petits pois avec un trait d’huile d’olive.
Verser la soupe chaude sur le mélange et recouvrir de la
gelée d’agar-agar taillée au diamètre de l’assiette.
INGRÉDIENTS
POUR 4 PERS.
300g de petits
pois 500 g de fèves
non écossés
6 courgettes
1/2 tête d’ail
2 cuillères à
souples d’huile
d’olive1 pied de céleri
branche2 g d’agar-agar
velouté de courgette, petits pois, et fèves de
printemps. Fine gelée de céleri
LA RECETTE
Vous dites vert, je vous réponds
chlorophylle, estragon, basilic,
sauge, ciboulette, petits pois…
Les tendances, la mode…
Avec la rubrique “Dans l’air”, leMAG évoque tout ce qui est“made in Sud-Ouest”.
Des balades, des idées deweek-ends et d’escapades àdeux ou en famille, toutes lesbonnes adresses…
SUD OUEST LE MAG
SUD OUEST, TERRE DE ”MAG”
Le MAG s’inscrit dans une forte dynamique de diver-sification. Les magazines sont devenus une part importantede la production et de la diffusion des produits portant lamarque SUD OUEST. Ils se sont imposés comme des sup-ports complémentaires du quotidien.
En s’appuyant sur des savoir-faire maison et sur les thématiques qui caractérisent la région et son art de vivre,SUD OUEST a lancé avec succès :
SUD OUEST GourmandTrimestriel dédié à lagastronomie et au terroir avec son carnet gourmandTirage : 15 000 exPrix de vente : 3,90 €www.sudouest-gourmand.fr
Terre de VinsBimestriel dédié au vinet à l’art de vivreTirage national : 40 000 exPrix de vente : 6 €www.terredevins.com
Destination PyrénéesSemestriel dédié au tourismeet aux activités en montagneTirage : 20 000 exPrix de vente : 4,90 €www.pyrenees.com
Attitude rugbyBimestriel 100% rugbyTirage : 15 000 exPrix de vente : 3,90 €
L’agence de développement du journal SUD OUEST estégalement à l’origine de nombreux hors-séries thématiquesrécurrents ou liés à l’actualité.
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Le MAG est le dernier-né de ces magazines qui mettenten valeur la région Sud-Ouest.
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l a r é g i o n a u t r e m e n t2
Olivier PLAGNOL05 35 31 23 [email protected] de rédaction du MAG
Marie-Luce RIBOT05 35 31 23 [email protected]édactrice en chef adjointe suppléments, magazines, hors-sériesAgence de développement
Francis DUPUY05 35 31 23 [email protected] déléguéChargé du développement
Carole VILLENEUVE05 35 33 33 [email protected]ée de communicationRelations presse
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