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Multiple(x), pièce chorégraphique pour 3 danseuses et 1 vidéaste.
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Catégorie, réseau, genre, style, où se situer ? Est ce un certain milieu qui éduque un individu à se
diriger vers certaine source ? Ou est-ce l'individu qui génère certaines affinités avec un
environnement? Comment se définit-il et comment se rapproche-t-il d’un milieu ? Multiple(x) propose
de questionner et challenger la notion d’appartenance et d’influence dans notre société en général
et chez l'individu en particulier. Innovant dans sa façon de révéler l’inspiration, Multiple(X) est un spectacle qui dévoile, entre pudeur
et fureur, l’intimité du processus de création, le cheminement de la vision artistique et la singularité du
geste.
X, comme le système génétique de détermination sexuelle.
Multiple(X), c’est trois nationalités, trois parcours artistiques distincts, trois processus de création
singuliers. Trois jeunes femmes, danseuses, chorégraphes, qui mettent à nu leur inspiration et exposent
leur propre réalité, comme un reflet intérieur, exposée au monde qui les entoure.
Ce projet questionne leur relation fondamentale à la danse et s’interroge sur le cheminement du
geste créatif. Portait de trois créatrices, Multiple(X) confronte avant tout la question d’appartenance
et d’influence.
X, comme l’inconnue de l’équation.
Multiple(X), c’est interroger et s’interroger, à la fois individuellement et ensemble, sur l’état de corps
dans lequel l’artiste se trouve convoqué lors du processus de création. Envisager tous les possibles,
plonger avec sincérité en soi, oser la différence, choisir l’inattendu, challenger ses vérités.
X, comme un point de rencontre, tracé sur une carte.
Multiple(X), c’est envisager la scène comme une carte, vierge, où chacune des danseuses esquisse
son parcours intime. Le réseau des tracés s’étoffe, se complexifie : les influences de l’une
déséquilibrent les évidences de l’autre, permettent l’échange, la mise en concurrence, le débat de
corps.
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Le genre Multiple(x) appartient à la scène contemporaine. Ce projet s’intéresse à l’impulsion créative, au processus
de création, à la mise en forme de la vision artistique, à la composition et au mélange des genres. Il est
surprenant et audacieux.
Les lieux et les dates de réalisation Nous sommes à la recherche d’autres partenaires et coproducteurs.
Nous planifions de travailler entre 6 et 9 semaines, entre novembre 2015 et janvier 2016.
Dates de résidence confirmées jusqu’à présents
Du 14 au 20 décembre 2015=> résidence CDC Les Hivernales / Avignon ; sortie de résidence publique les 17-
18 décembre 2015.
Du 07 au 13 décembre 2015=> résidence La Pennes s/ Huveaune.
Du 11 au 07 décembre 2015=> accueil studio au Pavillon Noir / Aix-en-Provence
Dates de résidence devant être confirmées
Du 30 novembre au 06 décembre 2015 => résidence au théâtre du Marché aux Grains, Bouxwiller
Du 23 au 29 novembre 2015=> résidence Atelier du Raccot / Monthey (Suisse)
Diffusion : FÉVRIER 2016
2 spectacles à l ‘Espace sur Huveaune, La Penne sur Huveaune / Bouches du Rhône (FR)
Le projet Multiple(x) propose de questionner et challenger la notion d’appartenance, de genre et d’influence dans
la société en général et dans la création en particulier.
Pour cela, il réunit trois danseuses appartenant à trois scènes différentes de la danse contemporaine :
Janyce Michellod navigue dans le milieu de la scène expérimentale et improvisée, Yui Mitsuhashi se frotte
au courant de la danse en espace public et Amélie Port s’est rapprochée de la création chorégraphique
écrite et scénique.
Multiple(x) est une vitrine ouverte sur la diversité artistique, chorégraphique et esthétique du milieu de la
danse. En ouvrant ainsi les portes de la création au public, il lui permet de comprendre l’impulse créatif et
de saisir de manière plus concrète comment cette impulsion est traduite et finalement mise en forme.
Multiple(x) souhaite générer un espace de liberté et d’échange, où chaque artiste chorégraphique peut
demeurer fidèle à ses convictions artistiques tout en demeurant à l’écoute de celles des autres.
Multiple(x) est l’aboutissement du partage d’inspirations, de systèmes de composition, de stratégies
chorégraphiques et de méthodes de création.
Ce projet représente la compréhension et l’intégration des règles, des habitudes et des vérités subjectives
de chacune des trois artistes. Demeurant en constante négociation, elles (ré)adaptent continuellement
leurs choix et challengent leurs certitudes.
Finalement, Multiple(x) propose une certaine démocratie qui reflète les individus qui la font vivre en se
(re)définissant constamment. Les relations humaines et artistiques des artistes sont un point central de cette
création.
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Une mise en forme La vidéo présente sur scène renforce la sensation d’intimité : les images projetées sont le paysage mental
de chacune des artistes, comme un accès visuel direct à leur source d’inspiration. Il règne alors un dialogue
constant entre les images et le corps en mouvement, telle une mise en forme de l’interaction ininterrompue
de l’inconscient conscient.
Le spectateur navigue alors dans cet environnement interactif et celui-ci lui permet de comprendre
l’évolution particulière et singulière du moment créatif.
Au-delà d’imager l’inspiration, la vidéo apportera une dimension spécifique à chacune des partitions
chorégraphiques des danseuses. On peut même dire qu’elle sera la base de la composition
chorégraphique et aura une grande influence sur le rythme global de la pièce.
Dans le but de nourrir notre discours, nous nous sommes intéressées aux travaux d’Alain Berthoz sur la
question du mouvement-perception-action en relation avec le connexionnisme. Nous nous sommes
également inspirés des travaux de Bill Viola notamment sur l’utilisation de toutes sortes de dispositifs de
captation afin d’élargir les champs de vision ainsi que sur sa démarche intimiste, à exprimer son
cheminement émotionnel et spirituel dans la création.
Les objectifs et les forces à long terme Les artistes chorégraphiques souhaitent générer une interaction et un échange subtil avec leur public. Pour
cela, elles ont choisi de s’inspirer des villes où elles jouent. De cette manière, la partition vidéo et donc par
influence directe, la chorégraphie, dépendent du lieu géographique qui reçoit Multiple(x). C’est le principe
du jeu de piste : chercher et filmer dans ces villes inconnues l’image, l’atmosphère, l’énergie qui inspire.
Trouver la rue, le coin, l’escalier. C’est également faire (re)découvrir au public l’aspect artistique et le
potentiel créatif de son environnement quotidien. Par ce biais, Multiple(x) espère inspirer son public à
percevoir sa vie quotidienne de manière créative et ainsi l’amener à une réflexion qui lui permettra peut-
être de métamorphoser sa vision du monde.
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Un projet collaboratif On peut dire que la scène chorégraphique indépendante traverse des difficultés certaines. L’association de
trois directrices artistiques et de leur compagnie respective constitue une réponse possible aux divers
problèmes rencontrés par les compagnies et artistes indépendants. Fusionner pour avoir une plus grande
chance de réussite, de meilleures conditions de travail et une meilleure diffusion. Espérer ainsi générer un
plus grand nombre de partenaires financiers et de coproducteurs, désormais fondamentalement liés à la
survie d’une compagnie et à son développement artistique.
Certes, ce fonctionnement est complexe et compliqué. Toutefois, il laisser imaginer de nouvelles
perspectives et fait naître de nouveaux espoirs. On est toujours plus forts à plusieurs !
Le public cible Le public sensibilisé : le public sensibilisé qui fréquente les lieux de diffusion de la création contemporaine.
Le jeune public : comme les sciences l’ont fait pour être comprises par le plus grand nombre, nous avons
cette volonté de vulgarisation, dans un sens positif du terme, pour partager l’expérience du processus de
création et de l’impulse créatif avec le plus grand nombre et surtout le jeune public. Lieux : écoles et
centres culturels.
Une compagnie à encourager Une compagnie qui croit en la multidisciplinarité et aux mélanges des genres comme instruments de
partage et de challenge. Nous sommes toujours plus créatifs à plusieurs, d’autant plus quand nous sommes
avides de découvertes. La compagnie œuvre pour mettre en place des contextes de création qui
favorisent l’échange et la compréhension des divers disciplines et / ou genres. Dans ce cadre propice à la
réflexion autant qu’à la pratique, les artistes se questionnent, explorent l’inconnu et peuvent ainsi dépasser
leurs limites, ou en tous les cas les redéfinir.
Pour cette rigueur d’aller toujours de l’avant et de repousser à chaque fois les limites, la compagnie mérite
d’être encouragée.
Une compagnie qui commence à avoir de l’expérience : cela fait déjà plusieurs spectacles que la
compagnie développe avec succès grâce à différents partenaires financiers et artistiques qui lui ont fait
confiance avec raison. Ces expériences offrent une garantie à nos partenaires.
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La Locomotive, deux directeurs artistiques
Amélie Port, chorégraphe-danseuse
Après avoir suivi l’enseignement de l’Ecole Supérieure de danse Rosella Hightower à Cannes, Amélie Port
poursuit sa formation à l’Académie de danse de Rotterdam (NL). Elle commence sa carrière d’interprète au
sein de la compagnie Codarts (Rotterdam) où elle interprète, entre autres, des pièces d’Itzik Galili, Jirì Kilian,
Vaclav Kunes, Félix Ruckert.
Continuant son parcours artistique aux Pays-Bas, elle travaille avec André Gingras, Janyce Michellod et
Nanine Linning.
En 2007, elle retrouve son complice de l’école de danse de Cannes, Yan Giraldou. Ensemble ils créent la
compagnie La Locomotive, où ils mènent différents projets de création. Amélie Port développe également
le volet de la transmission pédagogique. Elle mène des projets culturels autour de la danse contemporaine
et de l’univers des spectacles de la compagnie en milieu scolaire ainsi que des ateliers pédagogiques
auprès des enseignants.
En parallèle, elle rejoint régulièrement le Ballet Preljocaj (G.U.I.D) pour des projets événementiels. Poursuivant
également sa passion pour le théâtre et attirée par le travail en espace public, elle est associée à la
compagnie de théâtre et d’art de rue MADAME OLIVIER pour laquelle elle compose les univers
chorégraphiques des différentes créations et mène les projets pédagogiques.
Depuis 2011, elle est interprète dans la compagnie de danse en espace urbain P2BYM dirigée par Patrice
de Benedetti et Yui Mitsuhashi.
Yan Giraldou, chorégraphe-danseur
Yan est né à Toulouse. Il commence la danse à Pau puis au Conservatoire National de Région de Toulouse
et traverse la frontière pour continuer ses études à la Real Academia de Madrid.
À 14 ans, il rejoint l’École Supérieure de Danse Rosella Hightower à Cannes.
Devenu interprète pour le Cannes Jeune Ballet, il danse les pièces du répertoire de Dominique Bagouet, Jirì
Kilian et crée Duo Concertant et Justines. Il croise ensuite les routes de Kirsten Debrock et Philippe Tallard,
directeur des Ballets de Mannheim.
De 2003 à 2009, il est interprète au Ballet Preljocaj tout en développant ses talents de chorégraphe,
présentant lors des affluents 2007 une première version de Coloriage dont la finesse et la qualité
d’interprétation furent appréciées par chacun.
C’est tout naturellement qu’en 2007, il crée avec Amélie Port la compagnie La Locomotive.
En parallèle à ses créations au sein de La Locomotive, Yan Giraldou continue son travail d’interprète
notamment avec Stéphanie Aubin, Blanca Li, Sylvain Groud, The Will Corporation.
Multiple(x), une équipe1
Janyce Michellod, chorégraphe-danseuse / directrice artistique de
Lastalaïca Productions
Janyce est diplômée de Zürcher Hochschule der Künste (SBBS) et détient une licence (bachelor of
performing arts) de Codarts (Rotterdam Dance Academy).
En 2006 elle travaille en tant qu’assistante chorégraphique, maître de ballet et répétiteur pour Michael Klien
( Daghdha Dance Company ) et en 2009/10 pour la chorégraphe Colette Sadler (Stammer Production). En
2012, elle assiste Susan Quinn et Robert Swinston à New York dans le cadre du Cunningham Fellowship
Program. Depuis 2006, elle enseigne la danse classique, la composition instantanée et l’improvisation aux
danseurs professionnels et dans diverses compagnies et écoles supérieures en Europe.
Janyce développe ses recherches sur le mouvement, l’improvisation et la chorégraphie depuis 2004. Elle est
une participante du Daghdha Mentoring Programme (DMP) en danse et chorégraphie en Irlande en
2006/07. Depuis 10 ans, son travail est soutenu par diverses institutions et organisations en Europe et en Suisse
et est sélectionnée par le Tanzplan Dresden - soutenu par le Tanzplan Deutschland (2009). Elle est
commissionnée à chorégraphier pour Daghdha Dance Company (Choreography for a dancer, 2007) et
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pour SEAD (God! Save the Horse!, 2011 et Deep Flow, Purple Move, 2013).
En 2013, elle reçoit le mérite spécial de la Commune de Bagnes. Elle a travaillé et collaboré avec divers
danseurs-chorégraphes, musiciens-compositeurs et artistes plasticiens en Europe et s’est produite avec le
Zürcher Ballet, le Ballet National de Cuba, Codarts Co., Daghdha Dance Co. et Lastalaïca Productions,
dans des répertoires de Heinz Spoerli, Richard Wherlock, Jiri Kylian, Angelin Preljocaj, Glenn van der Hoff,
Neel Verdoorn, Itzik Galili et Michael Klien.
Yui Mitsuhashi, chorégraphe-danseuse / directrice artistique de P2BYM
Née à Sapporo au Japon, Yui Mitsuhashi effectue sa formation en danse à Sapporo Buyoukai et Mizukami
Ballet. Elle intègre dès 1999 l’Ecole Supérieure de Danse de Cannes Rosella Hightower.
De 2002 à 2004, elle se produit dans de nombreux spectacles pour le Cannes Jeune Ballet. En 2004, elle
rejoint le Ballet Preljocaj (G.U.I.D) pour y interpréter des extraits du répertoire dans des lieux inattendus.
De 2007 à 2009, elle est interprète pour la compagnie Ex Nihilo (Marseille) et danse dans Trajet de Vie, Trajet
de Ville, Loin de Là et Valle Obrapia #4.
En 2009, elle fonde la compagnie P2BYM en association avec Patrice de Benedetti. Ensemble, ils créent des
spectacles de danse en espace public.
Elle a notamment dansé au sein de l’Opéra National de Lorraine, l’Opéra de Marseille et avec les
compagnies enfin Le Jour, K3MK, Médit, Uz et Coutumes, Madame Olivier, Le Nomade Village.
Elle est interprète-traductrice (français-japonais-anglais) pour le Ballet Seminar à Sapporo Art Park.
Elle fait partie de la compagnie La Locomotive depuis 2007.
Dagobert Eigelsreiter, vidéaste
D’origine suisse, Dagobert est formé est à l’ECAV (école cantonale d’art du Valais) où il collabore avec
Mickaël Kummer en tant qu’assistant réalisateur sur le Film “Lettres à une amie vénitienne”.
Diplômé (Bachelor en Arts Visuels) en 2010, il reçoit le 1er Prix d’encouragement de la chambre
économique de Commerce du Valais.
Il travaille actuellement pour Canal9 (télévision valaisanne), réalise des vidéos pour l’ECAV ou encore
Bioskieur et collabore avec des artistes d’horizons divers, tels que Sorcière Blanche, Cyril Delachaux, Jeanne
Naudin, entre autres. C’est en 2013 qu’il collabore pour la première fois avec Lastalaïca Productions.
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La Locomotive, un profil La Locomotive est une compagnie de danse contemporaine créée en septembre 2007 sous l’initiative
d’Amélie Port et de Yan Giraldou. Complices depuis l’École Supérieure de Danse Rosella Hightower de
Cannes, ils inscrivent leur recherche chorégraphique à travers une danse fine et légère, composée avec les
volumes, les lumières et les textures qui les entourent. Attentifs à mêler humour et poésie aux mouvements,
leur danse interroge, souvent, l’enfant en chacun de nous, toujours notre émotion.
La création
Curieux, avides d’échanges, les deux chorégraphes envisagent la création des spectacles comme un
dialogue. Conciliabules secrets entre eux deux, au début. Puis conversations, échanges, qui se nourrissent
des rencontres autour des projets. Enfin, dialogue intime, drôle, interrogatif, artistique entre les corps des
danseurs et le public.
Leurs spectacles conjuguent avec pertinence la création pour le public adulte et la création pour le jeune
public ; La Locomotive n’a pas l’ambition d’abolir les frontières entre ces deux publics mais plutôt de les faire
coexister, avec harmonie, en questionnant à chaque fois leur rapport à l’espace, au corps et à
l’imagination : à partir d’images détournées et retournées par le mouvement, comment un état de corps,
exigeant et précis, peut-il nous émouvoir ?
La transmission
Depuis la création de la compagnie, Amélie Port et Yan Giraldou ont toujours été soucieux de transmettre la
danse pour tous, tous pour la danse. Sensibiliser ainsi le public à l’art chorégraphique lors d’ateliers,
rencontres, répétitions ouvertes et résidences demeure l’une de leurs priorités.
Les deux interprètes/chorégraphes aiment éprouver l’écriture de leurs spectacles en la confrontant avec
des non-danseurs et explorent avec eux les éléments constitutifs de la scène. Ainsi, afin de sensibiliser le
public à d’autres champs artistiques, Amélie Port et Yan Giraldou privilégient la collaboration avec des
artistes issus de disciplines différentes qui interviennent dans leurs créations et lors des rencontres
pédagogiques.
Le dialogue qui s’instaure entre amateurs/professionnels questionne alors leur propre création et leur propre
univers, quitte à tout bousculer pour mieux basculer vers l’inconnu, inconnu singulier, excitant, et de ce fait,
toujours plus riche.
La diffusion
La Locomotive est soutenue par le Conseil Régional Provence-Alpes-Côte d'Azur, le Conseil Général des
Bouches du Rhône. Suite aux différentes résidences de création au Centre Chorégraphique National d'Aix-
en-Provence, à la complicité de partenaires comme le Ballet Preljocaj, ainsi que d’autres lieux de dimension
régionale et nationale, la compagnie bénéficie aujourd’hui d’une certaine renommée et de la
reconnaissance d’un public, plus nombreux, et fidèle aux rendez-vous proposés par La Locomotive.
Les spectacles sont diffusés en région Paca et en France. Ils ont été accueillis avec enthousiasme au
Pavillon Noir à Aix-en-Provence, au théâtre d'Arles, au théâtre Golovine à Avignon, au Triangle à Rennes, au
théâtre de Laval, à l’Opéra Théâtre de Saint-Etienne, à la Scène Nationale 61 d'Alençon, à Concarneau, à
Crolles, à Châteaudun…
La Locomotive a embarqué de nombreux spectateurs lors de festivals comme Les Élancées à Istres, Objectif
373 dans les Côtes d'Armor, Made In Cannes, Les P'tits Cannes à You. Les créations ont aussi foulé les
planches de l'Espace Culturel de Meyreuil, Châteauneuf le Rouge, Châteaurenard, Fuveau, La Penne sur
Huveaune,Toulouse.
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La Locomotive, un répertoire
Lors de sa création en 2007, La Locomotive a eu le plaisir de bénéficier du soutien du Ballet Preljocaj et du
Centre Chorégraphique National d’Aix-en-Provence.
2016_ Multiple(x) Cette pièce est créée en collaboration avec trois danseuses-chorégraphes. La première est en cours de
programmation.
2013_ J'entends les mouches voler Cette pièce a été créée en collaboration avec une danseuse et deux comédiens-danseurs, un l'artiste
plasticien Bruno Michellod, le musicien-compositeur Yves Miara. La première a été programmée à la Scène
Nationale 61 à Alençon.
Ce projet est réalisé avec le soutien du Conseil Régional Provence-Alpes Côte d’Azur, du Conseil Général
des Bouches du Rhône dans le cadre de l’aide à la création, de la DRAC Basse-Normandie dans le cadre
du projet de Jumelage avec les écoles primaires de Saint Hilaire le Châtel et de Bellême. Le projet a
bénéficié du dispositif "Plateaux Libres" (projet Marseille Provence 2013), d'une résidence au Théâtre du Jeu
de Paume, Aix-en-Provence, ainsi qu'à la Scène Nationale 61 d’Alençon.
2012_ Des corps d'école
Cette pièce a été créée pour 8 classes des écoles maternelles et primaires du XVème arrondissement de
Marseille. Les représentations ont eu lieu sur la scène du Théâtre l'Astronef, Marseille.
Ce projet a été construit en collaboration avec la directrice du Théâtre l'Astronef de Marseille.
2011_ Résonances Cette pièce courte a été créée pour 2 danseurs et une exposition d'œuvres d'art de l'artiste Bogdan
Konopkan.
Présenté à la Galerie Itinérante d’Arles, ce projet a bénéficié du soutien de la Galerie Françoise Paviot de
Paris ainsi que de la directrice de l'IUP d'Administration des Institutions Culturelles, Arles.
2011_ Galerie, pour une histoire anachronique dans la peinture Cette pièce a été créée pour 4 danseurs, en collaboration avec le compositeur Antoine Guenet. La
première fut programmée au Pavillon Noir, CCN Aix-en-Provence.
Ce projet a été coproduit par le Ballet Preljocaj et le Théâtre de l’Olivier, Istres. Il a bénéficié d'un accueil en
résidence de la compagnie Système Castafiore, Grasse, de Système Friche Théâtre, Marseille. Il a reçu
également le soutien exceptionnel des Amis du Ballet Preljocaj et s'est vu attribué la bourse d'aide dans le
cadre de sa résidence d'artiste au Pavillon Noir.
2009_ Evènement durable Cette pièce courte est créée pour deux danseuses et une exposition d’œuvres d'art de l'artiste Claude
Mollard.
Présenté à la Galerie Itinérante d’Arles, ce projet a bénéficié du soutien de la directrice de l'IUP
d'Administration des Institutions Culturelles, Arles.
2008_ Coloriage / Image 3 Cette pièce a été créée pour 3 danseurs. La première fut programmée au Pavillon Noir-CCN, Aix-en-
Provence dans le cadre des "Affluents".
Ce projet fut réalisé avec le soutien du Ballet Preljocaj. Il a bénéficié d’une résidence de création au Centre
Chorégraphique National d'Aix-en-Provence.
2007_ Coloriage / Image 1-2 Cette pièce a été créée pour 3 danseurs. La première fut programmée au Pavillon Noir-CCN, Aix-en-
Provence dans le cadre des Goûter-apéro danse.
Ce projet fut réalisé avec le soutien du Ballet Preljocaj. Il a bénéficié d’une résidence de création au Centre
Chorégraphique National d'Aix-en-Provence, ainsi qu'au théâtre de La Licorne à Cannes.
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CONTACTS
LA LOCOMOTIVE Friche la Belle de Mai
41 rue Jobin, 13003 Marseille
+33(0)6 19 21 20 41 // [email protected]
www.lalocomotive.fr
Diffusion/Production: La Strada et compagnies - Sylvie Chenard
+33 (0)6 22 21 30 58 // [email protected]
Administration: Romaric Matagne
+33 (0)6 27 968 968